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BACH/HÄNDEL Bernard Labadie | ve. 20 oct. 20h | sa. 21 oct. 18h | symphonique En complicité avec le Festival d’Ambronay/Centre culturel de rencontre d’Ambronay

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BACH/HÄNDELBernard Labadie| ve. 20 oct. 20h | sa. 21 oct. 18h | symphonique

En complicité avec le Festival d’Ambronay/Centre culturel de rencontre d’Ambronay

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Georg Friedrich Händel (1685-1759)Water MusicSuite n° 1, en fa majeur, HWV 348 I. Ouverture

II. Adagio e staccato

III. [Allegro] − Andante − [Allegro]

IV. Presto

V. Air

VI. Menuet

VII. Bourrée

VIII. Hornpipe

IX. [Andante] ou [Allegro]

[26 min]

Johann Sebastian Bach (1685-1750)Suite pour orchestre n° 4, en ré majeur, BWV 1069I. Ouverture

II. Bourrées I & II

III. Gavotte

IV. Menuets I & II

V. Réjouissance

[20 min]

— Entracte —

Johann Sebastian BachSuite pour orchestre n° 2, en si mineur, BWV 1067I. Ouverture

II. Rondeau

III. Sarabande

IV. Bourrées I & II

V. Polonaise

VI. Menuet

VII. Badinerie

[20 min]

… /

L’Auditorium-Orchestre national de Lyon est un établissement de la Ville de

Lyon, subventionné par l’État. Licences n° 1064009–1064010–1064011

Photo couverture : Fontaines du Château de Versailles © DR

Interlude propose un service de bar et de restauration légère avant et après

le concert et pendant l’éventuel entracte. Nous vous rappelons néanmoins

qu’il est interdit d’emporter toute boisson et toute nourriture en salle.

L I B R A I R I E — L E B A L D E S A R D E N T S

Librairie incontournable pour les amateurs de littérature, Le Bal des Ardents

est une fenêtre ouverte sur l’actualité des arts.

Ouverte au moment des concerts, elle propose une offre pluridisciplinaire

autour de quatre univers : la musique, la littérature, les arts et la jeunesse.

Des dédicaces d’artistes de la saison sont également organisées lors de

certains concerts.

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Georg Friedrich HändelWater Music, suites nos 1 et 2Date et lieu hypothétiques de composition et de création :

1715-1717, Londres. Date de première édition (partielle) :

1733, Londres.

En juin 1710, au terme d’un séjour de trois ans en Italie, riche en créations triomphales, Georg Friedrich Händel accepte la charge de Kapellmeister du prince-électeur de Hanovre. Celui-ci a été désigné comme prochain successeur de la reine Anne Stuart d’Angleterre. En 1711, le compositeur précède son protecteur à Londres pour y créer, le 24 février, un nouvel opéra italien, Rinaldo, qui est mis en scène au Queen’s Theater avec un luxe inconnu jusqu’alors du public anglais. Son succès profite amplement à l’image du futur roi, Händel jouant alors avec brio le rôle de propagandiste de la maison de Brunswick-Hanovre. En 1714, la reine Anne Stuart meurt ; le prince-électeur lui succède, sous le nom de Georges Ier. Il s’installe à Londres, accompagné de son épouse, la princesse Caroline de Brandebourg-Anspach, et de leur fils, le prince héritier Georges-Auguste.

Diverses sources évoquent dès 1715 le goût particulier du nouveau roi pour de somptueuses promenades en bateau sur la Tamise, donnant lieu à des divertissements musicaux. L’usage était

alors de disposer des musiciens le long des berges, voire de leur faire escorter le roi dans d’autres embarcations qui devaient alors l’environner. En juillet 1717, un «résident» prussien venu en ambassade à Londres, Friedrich Bonet, relate avec minutie l’une de ces fêtes nautiques qu’affectionnait tant Georges Ier. Le roi avait remonté la rivière de Whitelhall à Chelsea, où il allait souper chez Lord Ranelagh. Bonet explique qu’à côté de la barque du roi «naviguait celle des musiciens, environ au nombre de cinquante, qui jouaient de toutes sortes d’instruments, à savoir des trompettes, des cors, des hautbois, des bassons, des flûtes allemandes [traversières], des flûtes françaises [à bec], des violons et des basses, mais il n’y avait aucun chanteur. La musique avait été composée spécialement par le célèbre Händel, originaire de Halle, principal compositeur à la cour de Sa Majesté. Le roi accueillit l ’œuvre avec enthousiasme, et demanda même qu’elle fût reprise trois fois, quoiqu’elle durât une heure à chaque reprise, à savoir deux fois avant et une fois après le souper.»

Les musiques composées à cette occasion par Händel furent ultérieurement publiées sous différentes formes  : orchestrale, réduite pour diverses formations de chambre, voire pour le clavecin seul. Une tradition ancienne les réunit en trois suites d’orchestre, d’ampleur, de formes, de tonalités et d’effectifs différents.

Georg Friedrich HändelSuite n° 2, en ré majeur, HWV 349 I. Allegro

II. [Alla Hornpipe]

III. Menuet pour trompette

IV. Lentement

V. Bourrée [Air]

[10 min]

Orchestre national de Lyon Bernard Labadie, direction

En complicité avec le Centre culturel de rencontre d’Ambronay.

/…

Fondation

Lever de rideau – 19 heures – Salle Proton de la Chapelle

Avec BarrocoTout – Musiques à Londres en 1717.

L’Auditorium de Lyon et le Centre culturel de rencontre d’Ambronay s’associent

pour offrir aux spectateurs lyonnais une série de concerts des plus grands

représentants de la musique baroque. Ces concerts sont aussi l’occasion de

favoriser l’émergence des jeunes talents avec les levers de rideau confiés aux

artistes du projet eeemerging, projet européen de soutien aux jeunes ensembles

dans le cadre du programme Europe créative de l’Union européenne. Ces levers

de rideau bénéficient du soutien de la Fondation Orange.

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Les deux cors et les hautbois donnent sa couleur particulière à la longue Suite en fa, HWV 348, qui fait se succéder neuf pièces d’une extrême variété de genres et de styles d’écriture. Une ouverture «à la française» est suivie de deux mouvements de concerto grosso à la manière de Corelli. Viennent alors diverses danses, mêlant traditions française (menuet, bourrée) et anglaise (hornpipe).

L’introduction des trompettes dans la Suite en ré, HWV 349 lui confère un surcroît de solennité. Avec plus d’évidence encore que dans le reste de l’œuvre, le compositeur joue avec brio de la spatialisation, en multipliant les jeux d’échos et les dialogues entre les quatre groupes instrumentaux en présence : les trompettes, les cors, les anches et les cordes. Il suscite ainsi une véritable théâtralisation du discours orchestral, créant de vifs contrastes, tant entre les instruments qu’entre les systèmes d’écriture. Le contrepoint germanique, le style concertant et la virtuosité italienne, la pompe et la grâce chorégraphiques françaises alternent, s’opposent et s’entremêlent pour offrir l’une des plus parfaites illustrations de l’esthétique des «goûts réunis».—Denis Morrier

Johann Sebastian BachSuite pour orchestre n° 2, en si mineur, BWV 1067Date et lieu hypothétiques de composition et de création :

1721/1722, Coethen.

Suite pour orchestre n° 4, en ré majeur, BWV 1069Date et lieu hypothétiques de composition et de création :

1722/1723, Coethen/Leipzig.

Quatre suites orchestrales de Johann Sebastian Bach nous sont parvenues. Leur genèse demeure auréolée de doutes et de mystères. Elles seraient nées durant la période dite «de Coethen». En 1717, après avoir successivement travaillé comme organiste et «maître de concert» à Arnstadt, Mülhausen et Weimar, Bach était entré au service du prince Léopold d’Anhalt-Coethen. Il trouva dans son modeste château, à l’austère architecture renaissante, le poste sans doute le plus prestigieux de sa carrière : il y occupait à la fois la charge de maître de chapelle et celle de directeur de la musique de la chambre. Par ailleurs, sa rétribution (aussi élevée que celle d’un maréchal de la cour) signalait la vive estime que lui portait son protecteur. De plus, le prince était lui-même musicien (c’était un honnête violiste) et entretenait un orchestre de cour de dix-sept instrumentistes, réputé parmi les meilleurs de toute l’Allemagne.

Léopold est toutefois calviniste. Cette confession ne tolère pour les cultes aucune autre musique que les psaumes et les cantiques. Durant cette période, Bach ne produit donc pas de musique religieuse et il s’adonne principalement à la composition de musique instrumentale ou de divertissement. Ainsi la plupart de ses sonates, suites, pièces pour clavecin et concertos sont-ils nés durant cette période singulière de la production de Bach.

D’après de récentes recherches, la Deuxième Suite (tout comme la troisième) daterait vraisemblablement des deux dernières années que Bach a passées à Coethen (vers 1721/1722). Quant à la Quatrième Suite, elle nous est parvenue dans une version établie dans les premiers temps où Bach s’est installé à Leipzig, soit vers 1723, mais l’œuvre trouverait sa source, comme les trois précédentes, à Coethen. Ces suites pour orchestre étaient sans doute destinées à l’ornement des festivités de la cour. Leur forme et leur style d’écriture s’inscrivent dans la tradition des divertissements versaillais, tels ceux que Jean-Joseph Mouret et Michel-Richard de Lalande ont composés à la fin du règne de Louis XIV. Toutefois, Bach donne à cette forme française une allure concertante italienne et surtout lui confère une densité de contrepoint héritée de la tradition d’écriture polyphonique savante germanique.

Dans la célèbre Suite en si mineur, BWV 1067, cette dimension concertante est incarnée par l’adjonction d’une flûte principale aux quatre parties de cordes. Toutefois, cette flûte «soliste» double pour l’essentiel la partie de premier violon et ne se retrouve à découvert qu’en de brefs épisodes. À l’instar des trois autres suites de Bach, celle-ci est introduite par une monumentale ouverture à la française qui, avec ses reprises intérieures, occupe près de la moitié de la durée d’exécution de l’œuvre. Après une introduction majestueuse, la seconde partie de cette ouverture revêt la forme d’une véritable fugue, parée de divertissements concertants confiés à la flûte. Viennent ensuite un rondeau aux allures de gavotte, une sarabande, deux bourrées, et une polonaise suivie de son double où la flûte varie le motif principal confié textuellement à la basse. Après un menuet, l’œuvre se conclut par la célèbre «Badinerie», dont la virtuosité gracieuse et la légèreté séduisante forment un ultime hommage à l’esprit français du xviiie siècle.

La Suite en ré majeur, BWV 1069 fait appel à un effectif plus somptueux que la Suite en si. Trois groupes, chacun constitué de quatre parties instrumentales distinctes, dialoguent ensemble  : les cordes (deux violons, altos et basses), les bois (trois hautbois et un basson) et les cuivres (trois trompettes et les timbales). À l’instar des autres suites, elle s’ouvre par une monumentale ouverture à la française, dont la longue fugue explore toutes les combinaisons de dialogue entre les trois blocs instrumentaux. Bach réemploiera le matériau de cette ouverture dans le premier chœur de sa cantate BWV 110, Unser Mund sei voll Lachens (Leipzig, 1725). Les danses proposées à la suite de l’ouverture forment une succession de ce que Bach dénommaient lui-même des «galanteries»  : de brèves danses de goût français «moderne» (bourrées, gavotte et menuets) qui viennent ici supplanter les quatre «grandes danses» de la suite baroque traditionnelle (allemande, courante, sarabande et gigue). L’œuvre s’achève par un mouvement à la rythmique euphorique, justement dénommé «Réjouissance».—D. M.

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Biographies

Bernard Labadie, directionBernard Labadie s’est imposé dans le monde entier comme l’un des chefs de file des répertoires baroque et classique, une réputation étroitement liée à son travail avec les Violons du Roy et la Chapelle de Québec, deux ensembles qu’il a fondés et continue de diriger en tant que directeur musical. Avec ces deux ensembles, il part régulièrement en tournée au Canada, aux États-Unis et en Europe, avec des dates au Carnegie Hall et à l’Avery Fisher Hall à New York, au Kennedy Center de Washington, au Barbican Centre à Londres, au Concertgebouw d’Amsterdam, au Festival de Salzbourg, etc.Depuis ses débuts triomphaux avec l’Orchestre du Minnesota en 1999, Bernard Labadie dirige les plus grands orchestres d’Amérique du Nord, parmi lesquels les Orchestre symphoniques d’Atlanta, Boston, Chicago, Détroit, Houston, Montréal, Saint-Louis, San Francisco et Toronto, l’Orchestre de Cleveland, les Orchestres philharmoniques de Los Angeles et New York et l’Orchestre de Philadelphie. Il dirige aussi l’Orchestre national de France, l’Orchestre national royal de la BBC écossaise, l’Orchestre symphonique de Melbourne, le Collegium Vocale de Gand, l’Orchestre royal du Concertgebouw d’Amsterdam ou encore l’Orchestre symphonique du WDR de Cologne.Bernard Labadie a été directeur artistique des Opéras de Québec et Montréal. En 2009/2010, il a fait ses débuts au Metropolitan Opera de New York dans La Flûte enchantée de Mozart, une production qu’il a également dirigée à l’Opéra de Cincinnati en 2011 et avec laquelle il a fait ses débuts en 2017 à la Canadian Opera Company de Toronto.

RÉSERVATIONS 04 78 95 95 95WWW.AUDITORIUM-LYON.COM

| 22 déc. HÄNDEL LE MESSIELes Nouveaux Caractères / Accentus

| 16 janv. JORDI SAVALLIbn Battûta : le voyageur du temps (2e partie)

| 30 mars BACH PASSION SELON SAINT JEANAmsterdam Baroque Orchestra & Choir / Ton Koopman

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Leonard Slatkin, directeur musical honoraireDirecteur musical de l’Orchestre national de Lyon (ONL) de septembre 2011 à juin 2017, Leonard Slatkin en est à présent le directeur musical honoraire. La saison 2017/2018 est également la dixième et la dernière qu’il passe à la tête de l’Orchestre symphonique de Détroit (DSO). Cette saison est marquée en outre par la parution de son second livre, Leading Tones : Reflections on Music, Musicians, and the Music Industry [Notes sensibles : réflexions sur la musique, les musiciens et l ’industrie musicale, non traduit], la présidence du jury du Concours international de jeunes chefs d’orchestre de Besançon et des invitations à l’Orchestre symphonique de St. Louis, au National Symphony Orchestra (Washington), à l’Orchestre philharmonique de New York, à l’Orchestre national de la Radio polonaise, au Deutsches Symphonie-Orchester de Berlin et à l’Orchestre symphonique de la Radio finlandaise. Parmi les faits marquants de ces derniers mois, citons une tournée en Asie avec le DSO, des tournées aux États-Unis et en Europe avec l’ONL et des engagements avec l’Orchestre symphonique de St. Louis, l’Orchestre symphonique du WDR (Cologne), l’Orchestre Verdi (Milan) et l’Orchestre du Teatro di San Carlo (Naples). Il a par ailleurs présidé le jury du Concours international de piano Van-Cliburn 2017. Leonard Slatkin a fait plus de 100 enregistrements, qui lui ont valu 7 Grammy Awards et 64 nominations. Il a dirigé les principaux orchestres mondiaux. Comme directeur musical, il a été en poste à La Nouvelle-Orléans, St. Louis, Washington et Londres (Orchestre symphonique de la BBC). Il a été premier chef invité à Pittsburgh, Los Angeles, Minneapolis et Cleveland.Né à Los Angeles dans une éminente famille de musiciens, Leonard Slatkin a étudié la direction d’orchestre avec son père, puis avec Walter Susskind à Aspen et Jean Morel à la Juilliard School de New York.

Orchestre national de LyonFort de 104 musiciens permanents, l’Orchestre national de Lyon (ONL) a pour actuel directeur musical honoraire le chef américain Leonard Slatkin, qui a été directeur musical de septembre 2011 à juin 2017. Héritier de la Société des Grands Concerts de Lyon, fondée en 1905 par Georges Martin Witkowski, il est devenu permanent en 1969, sous l’impulsion de l’adjoint à la Culture de la Ville de Lyon, Robert Proton de la Chapelle. Après Louis Frémaux (1969-1971), il a eu pour directeurs musicaux Serge Baudo (1971-1987), Emmanuel Krivine (1987-2000), David Robertson (2000-2004) et Jun Märkl (2005-2011). L’ONL a le privilège de répéter et jouer dans une salle qui lui est dédiée, l’Auditorium de Lyon (2100 places).Apprécié pour la qualité très française de sa sonorité, qui en fait un interprète reconnu de Ravel, Debussy ou Berlioz, l’ONL explore un vaste répertoire, du xviiie siècle à nos jours. Il passe régulièrement commande à des compositeurs d’aujourd’hui, tels Kaija Saariaho, Thierry Escaich ou Guillaume Connesson, compositeur associé pour la saison 2017/2018. La richesse de son répertoire se reflète dans une vaste discographie, avec notamment des intégrales Ravel et Berlioz en cours chez Naxos. L’ONL privilégie les actions pédagogiques et la médiation. En 2017/2018, l’Auditorium-Orchestre national de Lyon lance le projet Démos (dispositif d’éducation musicale et orchestrale à vocation sociale) dans la Métropole de Lyon.Au-delà des concerts qu’il donne à l’Auditorium, l’ONL se produit dans les plus grandes salles mondiales. Premier orchestre symphonique européen à s’être produit en Chine, en 1979, il a fait en 2017 une tournée américaine qui l’a conduit dans la salle new-yorkaise mythique de Carnegie Hall.

Établissement de la Ville de Lyon, l ’Orchestre national de Lyon est subventionné par le ministère de la Culture et de la Communication.

L’Orchestre national de LyonLeonard Slatkin directeur musical honoraire

L’Auditorium-Orchestre national de LyonAline Sam-Giao directrice générale ; Emmanuelle Durand secrétaire générale ; Mathieu Vivant directeur de production ;

Stéphanie Papin directrice administrative et financière ; Christian Thompson délégué artistique ;

et l’ensemble des équipes administratives et techniques.

Violons I

Violons solos supersolistes

Jennifer Gilbert

Giovanni Radivo

Premier violon solo

Jacques-Yves Rousseau

Deuxième violon solo

Jaha Lee

Violons du rang

Audrey Besse

Yves Chalamon

Amélie Chaussade

Pascal Chiari

Constantin Corfu

Andréane Détienne

Annabel Faurite

Sandrine Haffner

Yaël Lalande

Ludovic Lantner

Philip Lumbus

Roman Zgorzalek

Violons II

Premiers chefs d’attaque

F. Souvignet-Kowalski

Catherine Menneson

Deuxième chef d’attaque

Tamiko Kobayashi

Violons du rang

Bernard Boulfroy

Charles Castellon

Léonie Delaune

Catalina Escobar

Eliad Florea

Véronique Gourmanel

Kaé Kitamaki

Diego Matthey

Maïwenn Merer

Aurianne Philippe

Sébastien Plays

Haruyo Tsurusaki

Benjamin Zékri

Altos

Altos solos

Corinne Contardo

Jean-Pascal Oswald

Alto co-soliste

Fabrice Lamarre

Altos du rang

Catherine Bernold

Vincent Dedreuil-Monet

Marie Gaudin

Vincent Hugon

Valérie Jacquart

SeungEun Lee

Jean-Baptiste Magnon

Carole Millet

Lise Niqueux

Manuelle Renaud

Violoncelles

Violoncelles solos

Nicolas Hartmann

É. Sapey-Triomphe

Violoncelle co-soliste

Ph. Silvestre de Sacy

Violoncelles du rang

Thémis Bandini

Mathieu Chastagnol

Pierre Cordier

Dominique Denni

Stephen Eliason

Vincent Falque

Jérôme Portanier

Jean-Étienne Tempo

Contrebasses

Contrebasses solos

Botond Kostyák

Vladimir Toma

Contrebasse co-soliste

Pauline Depassio

Contrebasses du rang

Daniel Billon

Gérard Frey

Eva Janssens

Vincent Menneson

Benoist Nicolas

Marta Sanchez-Gil

Flûtes

Flûtes solos

Jocelyn Aubrun

Emmanuelle Réville

Deuxième flûte

Harmonie Maltère

Piccolo

Benoît Le Touzé

Hautbois

Hautbois solos

Jérôme Guichard

Clarisse Moreau

Deuxième hautbois

Ph. Cairey-Remonay

Cor anglais

Pascal Zamora

Clarinettes

Clarinettes solos

Nans Moreau

François Sauzeau

Petite clarinette

Thierry Mussotte

Clarinette basse

NN

Bassons

Bassons solos

Olivier Massot

Louis-Hervé Maton

Deuxième basson

François Apap

Contrebasson

Stéphane Cornard

Cors

Cors solos

Joffrey Quartier

Guillaume Tétu

Cors aigus

Paul Tanguy

Yves Stocker

Cors graves

Jean-Olivier Beydon

Stéphane Grosset

Patrick Rouch

Trompettes

Trompettes solos

Sylvain Ketels

Christian Léger

Deuxièmes trompettes

Arnaud Geffray

Michel Haffner

Trombones

Trombones solos

Fabien Lafarge

Charlie Maussion

Deuxième trombone

Frédéric Boulan

Trombone basse

Mathieu Douchet

Tuba

Tuba solo

Guillaume Dionnet

Timbales et percussions

Timbalier solo

Adrien Pineau

Deuxième timbalier

Stéphane Pelegri

Première percussion

Thierry Huteau

Deuxièmes percussions

Guillaume Itier

François-Xavier Plancqueel

Claviers

Claviers solo

Élisabeth Rigollet

Harpe

Harpe solo

Éléonore Euler-Cabantous

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ABONNEMENTS & RÉSERVATIONS 04 78 95 95 95

| di. 22 oct. 11hciné-concertHAROLD LLOYD MONTE LÀ-DESSUS !

Fred C. Newmeyer et Sam Taylor Monte là-dessus ! [Safety Last !] – États-Unis, 1923, 1h10, N&B, muet / avec Harold Lloyd, Mildred Davis, Bill Strothers

Samuel Liégeon, improvisation à l’orgue

En coproduction avec l ’Institut Lumière. Dans le cadre du festival Lumière.Tarif : 15 €

| ma. 24 oct. 20hjazzDIANNE REEVES

Dianne Reeves, chant Peter Martin, claviers Romero Lubambo, guitare Reginald Veal, basse Terreon Gully, batterie

En coproduction avec Jazz à Vienne et Rhino Jazz(s) Festival. Tarif : de 16 € à 48 € / réduit : de 8 € à 41 €

| ve. 27 oct. 20hjazzVAILLE QUE VIVRE (BARBARA)

Textes et musiques : Barbara Arrangements musicaux : Alexandre Tharaud Juliette Binoche, comédienne Alexandre Tharaud, piano Vincent Huguet et Chris Gandois, collaboration artistique Éric Soyer, mise en lumière et scénographie

Production Les Visiteurs du soir Coproduction L’Onde Théâtre Centre d’art de Vélizy-Villacoublay Tarif : de 16 € à 48 € / réduit : de 8 € à 41 €

www.auditorium-lyon.com

prochainementSauf mention contraire, les concerts ont lieu à l’Auditorium.

Harold Lloyd "Monte là-dessus" © DR