avec… L’ESSENTIEL - Unité pastorale Notre-Dame · Ste-Thérèse FÉVRIER 2017 | MENSUEL NO 1...

Cahier romandL’apostolat des laïcs

Votre magazine paroissial

Unités pastorales du Grand-FribourgUP Notre-Dame, UP Saint-Joseph

L’ESSENTIELUne heure avec… Loraine Wicht

UP Notre-DameLe chemin de croix de l’église du Christ-Roi

UP St-JosephFête des 50 ans de l’église Ste-Thérèse

FÉVRIER 2017 | MENSUEL NO 1 UNE PUBLICATION SAINT-AUGUSTIN

ÉDITORIAL

PAR CLAUDIEN CHEVROLETPHOTO : LDD

Cette année, à l’occasion du premier dimanche de février, dit de l’apostolat des laïcs, l’Eglise nous propose un passage d’Evangile bien connu : vous êtes le sel de la terre ; vous êtes la lumière du monde (Mt 5, 13-14). Belle illustration de notre vocation chrétienne qui est aussi un appel à l’apostolat. Voilà une réalité à laquelle on ne réfléchit sans doute pas assez. Etre apôtre… Mais comment ?

Nul besoin d’adopter le mode de vie des contemporains de Jésus ou d’apprendre par cœur les lettres de Paul. Aujourd’hui, l’apostolat se vit en participant concrète-ment à l’action de l’Eglise qui cherche à faire grandir le règne du Christ dans le monde. Chaque jour, dans les paroisses, les familles, auprès des jeunes, dans le milieu social, les baptisés sont appelés à être témoins de l’Evangile et artisans de charité.

Bien sûr, l’apostolat n’est pas de tout repos. D’ailleurs le mot apôtre, qui signifie « envoyé au loin », souligne la nécessité de se laisser envoyer loin de soi-même, loin de ses zones de confort, de ses habitudes ; le pape François ne parle-t-il pas sans cesse des périphéries ? Le dimanche de l’aposto-lat des laïcs est là pour nous rappeler que « chrétien » et « apôtre » vont ensemble pour laisser l’Esprit saint souffler dans nos voiles.

Le sel n’est pas fait pour rester dans un bocal, mais pour être incorporé et donner du goût. La lumière n’est pas faite pour être dissimulée, mais placée sur le lampadaire et offerte au monde. Le chrétien n’est pas fait pour être inactif, mais apôtre au cœur enraciné et aux bras ouverts au loin.

Editeur Saint-Augustin SA – 1890 Saint-Maurice

Directrice générale Dominique-A. Puenzieux

Rédaction en chefDominique-A. Puenzieux

Secrétariat Tél. 024 486 05 25 | fax 024 486 05 36 E-mail: [email protected]

Rédaction locale Véronique Benz, Pérolles 38, 1700 Fribourg E-mail : [email protected]

Equipe de rédaction Véronique Benz – Emmanuel Rey Dominique Rimaz – Paul Salles Fanny Sulmoni – Thérèse Yang

Maquette Essencedesign SA, Lausanne

Infographie page 20 ESA, Saint-Maurice

Photo de couvertureC. von Siebenthal

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re 02 Editorial03 Une heure avec…04-05 Le coin des jeunes 06-10 UP Notre-Dame

I-VIII Cahier romand

11-16 UP Saint-Joseph17 Nicolas de Flüe18 Décanat19 Horaire des célébrations20 Prière Carnet d’adresses

2 UNITÉS PASTORALES DU GRAND-FRIBOURG

026 465 25 55

Rte de Chamblioux 341763 [email protected]

3UNITÉS PASTORALES DU GRAND-FRIBOURG

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PROPOS RECUEILLIS PAR THÉRÈSE YANGPHOTO : EVELYNE WICHT

Je suis née dans une famille non prati-quante. J’ai été baptisée parce que c’était la tradition. Après ma première commu-nion, je me suis engagée dans le groupe des servants de messe avec des amis. A 18 ans, on m’a proposé d’accompagner des confirmands et d’aller au conseil de communauté. J’étais toujours interpellée par la foi ; j’avais soif d’approfondir ma spiritualité et mes connaissances théolo-giques. Alors, pendant ma dernière année de formation d’éducatrice spécialisée, j’ai effectué un temps de discernement en vue de commencer l’IFM.

Puis j’ai passé une dizaine de mois à Matadi en République démocratique du Congo, où j’ai travaillé dans un centre pour personnes handicapées. On y accueil-lait entre autres des enfants avec un retard mental, mais on ne s’occupait que peu d’eux. J’ai alors mis en place une classe spé-cialisée. Durant ce séjour, j’ai découvert la joie des chrétiens. A l’église, ils chantaient et dansaient. Ils étaient actifs au sein de leur communauté et n’avaient pas peur d’afficher leur foi au quotidien. Au début, j’étais étonnée. Puis j’ai été heureuse de pouvoir exprimer ainsi ma foi. Les sœurs qui me logeaient m’ont offert également un magnifique témoignage.

Lier travail et foiMon retour d’Afrique a été difficile, car des changements s’étaient opérés en moi. Il me fallait également retrouver le calme de la pratique chrétienne chez nous. J’ai commencé l’IFM en même temps qu’un engagement en paroisse. Les cours m’ap-portaient des réponses aux questions que je me posais. Mais dans la pratique, je ne trouvais pas mon équilibre. On m’a pro-posé alors de travailler en diaconie. J’ai été à la gare de Bulle et de Fribourg comme écouteur de rue. J’ai découvert là une autre dimension de la pastorale. J’avais l’im-pression d’être au plus proche de ma foi en apportant du soutien à ceux qui sont autour de nous et sont souvent délaissés. Mais je n’arrivais toujours pas à me sentir bien dans mon engagement. Du coup, j’ai arrêté ma formation à l’IFM. J’ai recher-ché un travail en lien avec ma formation de base ; j’ai été engagée comme curatrice. J’arrive ainsi à mettre en lien mon travail et ma foi.

J’ai aussi un petit pourcentage d’activité à Formules Jeunes. Je m’y occupe de la Pause

de Midi. C’est un accueil proposé tous les jours aux étudiants. Ils peuvent venir avec leur pique-nique manger au chaud. Il y a toujours une personne pour accueillir les étudiants, pour leur prêter une oreille attentive si nécessaire. On leur propose aussi des animations. Ainsi, l’année der-nière durant le Carême, un groupe de réfugiés mineurs du Foyer des Remparts est venu manger une fois par semaine avec les autres étudiants. On engage aussi des jeunes en difficulté pour la mise en place et le rangement de la salle ; nous essayons d’accompagner ces jeunes dans leur situa-tion de vie.

Je vais me marier au mois de juillet. J’en-trerai dans une nouvelle étape de ma vie, dans l’optique de fonder une famille. Cela va soulever de nouvelles questions dans ma foi et la manière de la pratiquer. J’ai l’im-pression que j’ai eu beaucoup de moments de doutes, de difficultés dans ma foi. Cependant, ces épreuves ont toujours fait évoluer ma foi et ma vie. Je suis persuadée que l’Esprit Saint guide mes pas. Il m’a fait rencontrer les bonnes personnes au bon moment. Je suis confiante pour l’ave-nir et les changements qui se profilent, car je sais qu’Il sera toujours là pour m’accom-pagner.

BiographieLoraine Wicht a 27 ans. Elle a grandi à Bulle. Elle a fait une formation d’éducatrice spécialisée. Actuellement, elle est curatrice pour les communes du Plateau du Mouret et de Marly et travaille à 20% pour Formules Jeunes.

LE COIN DES JEUNES


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Dimanche 11 décembre, l’église Saint-Pierre était comble pour accueillir la Lumière de la Paix allumée dans la grotte de Bethléem. 83 Suisses dont 27 Fribourgeois francophones, germanophones et de langue portugaise ont fait le voyage jusqu’à Vienne entre le 9 et le 10 décembre pour aller la chercher. Une messe pleine d’émotion présidée par Mgr Alain de Raemy et animée par les jeunes.

PAR VÉRONIQUE BENZPHOTOS : CHRISTOPH VON SIEBENTHAL

Lorsqu’ils sont entrés en procession pour amener la lumière au pied de l’autel, cette lumière qu’ils avaient été chercher à Vienne brillait encore dans leurs yeux. Bravant fatigue, froid et bruit les jeunes avouent avoir vécu une magnifique expé-rience, riche en partages et en rencontres, à l’image d’une JMJ. La voix manque même à certains pour raconter ce qu’ils ont vécu.

« Il y avait une très bonne ambiance. » « Nous avons passé trois jours avec Dieu dans notre cœur. Grâce à la Lumière de la Paix, Dieu a été avec nous et nous pouvons maintenant la partager. » « Nous sommes partis chercher quelque chose que nous pouvons partager. Une lumière qui se diffuse à travers le monde. » « Je suis parti à Vienne, parce qu’il n’y a pas assez de jeunes qui bougent dans l’Eglise. Si nous

pouvons le faire, d’autres peuvent le faire aussi. »

A Vienne, les jeunes ont été impressionnés par le nombre de jeunes venus chercher la Lumière de la Paix. Elle a été transmise à plus de 30 nations. « J’ai été surprise de voir autant de monde rassemblé pour la paix. » A la fin de la messe, les jeunes qui sont partis à Vienne s’avancent vers l’au-tel, allument leurs bougies et partent dans l’assemblée pour transmettre la lumière. Ils sont les premiers ponts.

Dans notre canton, la Lumière de la Paix a été transmise dans les paroisses, les aumô-neries de CO et de collèges, les homes pour personnes âgées.

Tous les jeunes qui ont vécu cette aventure sont partants pour retourner l’an prochain chercher la Lumière de la Paix et la trans-mettre.

LE COIN DES JEUNES


AgendaQuoi Quand Où Heure

Messe des jeunes Dimanche 12 février Cathédrale St-Nicolas 20h30

Soirée ACT Vendredi 17 février Cathédrale St-Nicolas 18h15-23h

Week-end peaux de phoque Samedi 18 – dimanche 19 février Grand-St-Bernard

Messe des jeunes Dimanche 26 février Eglise Ste-Thérèse 18h30

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s ! JMJ Suisse RomandeDimanche 5 mars 2017 à NyonDépart et transport depuis Fribourg : www.formulejeunes.ch

Retraite des collèges 9-13 mars 2017 au Simplon. Infos : fri-soul.ch

Soirée Open Sky 29-30 avril 2016 à FullyDépart et transport depuis Fribourg :www.formulejeunes.ch

Pour nous atteindre et nous rencontrer ou pour t’informer ou t’inscrire à une activité :Rue des Alpes 2 – 1700 Fribourg – Tél. 026 347 14 07 – E-mail : [email protected] – Internet : www.formulejeunes.ch


VIE DES UNITÉS PASTORALES

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iPAR LE CHANOINE PAUL FROCHAUX PHOTOS : FONDATION ARMAND NIQUILLE, DR

La paroisse du Christ-Roi a été fondée en 1947 ; sept ans plus tard, le 24 avril 1954, la nouvelle église était consacrée. La volonté des bâtisseurs était de conférer une grande unité artistique à l’édifice. Les premières œuvres qui ornèrent la nouvelle église furent le chemin de croix d’Armand Niquille en 1955 puis, en 1957, le monu-mental Christ en croix de l’artiste d’origine catalane Apel.les Fenosa. Armand Niquille et Appel.les Fenosa furent choisis par l’ar-chitecte Denis Honneger : ce sont les seules commandes de la première étape du chan-tier.

Le mystère de la Croix a été d’une immense importance dans la vie de Niquille. En dehors de ses chemins de croix, on trouve de très nombreuses œuvres évoquant ce mystère. Laissons l’artiste s’exprimer à ce propos : « Mon enfance a été ainsi marquée par le Crucifié dont le mystère, fascinant et inquiétant, faisait partie des émois d’un garçon rêveur et bagarreur. Ce n’est pas impunément que l’on représente le Christ crucifié. L’on se pose des questions. On se plonge dans la mystique chrétienne […].

Avec le Christ, il y a toujours la croix. La croix de notre rédemption et de la divinisa-tion de notre âme. »1

Dans nos églises, les chemins de croix racontent en quatorze stations les étapes subies par le Christ depuis la condamna-tion à mort par Ponce Pilate jusqu’à la mise au tombeau. Huit stations s’inspirent des évangiles : la condamnation à mort (1), le portement de croix (2), l’aide de Simon de Cyrène (5), la rencontre avec les femmes de Jérusalem (8), le dépouillement des vêtements (10), la crucifixion (11), la mort de Jésus (12) et la mise au tombeau (14). Six stations s’inspirent des évangiles apo-cryphes : les trois chutes de Jésus (3, 7, 9), la rencontre avec Marie (4) et avec Véro-nique (6), Marie tenant dans ses bras son fils mort, la pietà (13).

Après avoir réalisé un chemin de croix pour l’église de Fétigny en 1954, l’archi-tecte Honneger proposa donc à Niquille de réaliser celui du Christ-Roi. Il devait être inséré dans le mur de béton et se pré-senter de manière dépouillée comme une succession d’icônes. Les fonds de chaque station sont dorés et polis à l’agate comme le sont souvent les icônes byzantines ou de nombreux tableaux médiévaux. Le fond d’or permet aux personnages de se déta-cher nettement, favorisant ainsi la lecture du tableau ; l’or représente la gloire de Dieu, la lumière céleste et la perfection. On retrouve dans nos quatorze stations cette double dimension des ténèbres qui n’em-pêcheront pas la gloire divine de l’empor-ter. Ainsi, la lumière de la Résurrection est déjà présente tout au long du chemin de croix.

Niquille a volontairement dépouillé cha-cune des scènes en y mettant peu de per-sonnages : le plus souvent trois, dont le Christ pour douze d’entre elles ; quatre pour la dernière station : deux enfants s’ajoutent aux deux femmes de Jérusalem. Les personnages ont une attitude hiéra-tique et en même temps expressionniste ; en revanche, le visage du Christ est presque toujours le même. L’historien Aloys Lau-per note que la silhouette des personnages devait rester lisible dans la pénombre du soir : « Les dimensions restreintes du cadre défini par l’architecte l’obligèrent à souli-gner les lignes, à théâtraliser les attitudes, Jésus est condamné à mort (Fondation Armand Niquille).



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à raidir les formes et à exagérer certains détails, comme ces yeux exorbités qui ont parfois choqué »2. Certains personnages portent des vêtements contemporains tels que Simon de Cyrène, Véronique, les femmes de Jérusalem et leurs enfants. Saint Jean au pied de la croix porte comme un prêtre l’aube, la chasuble et l’étole, il a dans les mains un calice. Dans la trei-

zième station, un prêtre en soutane est agenouillé, mains jointes. La présence de ce prêtre, comme les habits sacerdotaux et le calice que porte saint Jean, soulignent l’importance du sacerdoce pour Niquille.

Dès la deuxième station, le sol est jonché de cailloux exprimant la dureté du che-min. Aux douzième et treizième stations, les cailloux demeurent en même temps que des fleurs sont en train d’éclore au pied de la croix et, à la dernière station, c’est même un bouquet de fleurs qui est déposé sur le tombeau. On retrouve quatre fois la figure de Marie. Dans la quatrième station, elle exprime sa tristesse par des larmes. De l’autre côté, Marie-Madeleine, reconnais-sable à ses cheveux déployés, est celle qui se tiendra aussi au pied de la croix et qui sera la première dépositaire de l’annonce de la Résurrection. Dans la douzième sta-tion, Marie est dans la contemplation du mystère. Dans l’avant-dernière station, elle tient son fils debout comme on le voit dans certaines mises au tombeau médié-vales, des larmes coulant à nouveau sur son visage. On la retrouve dans la dernière station, remplie d’une paix profonde, les yeux ouverts regardant plus haut, comme pressentant déjà la gloire de la Résurrec-tion. On notera la forme des plaies très marquées en forme de losange.

Luc-François Dumas termine son article dans La Liberté en disant : « Lorsque vous sortirez, retournez-vous et voyez : l’église a sué ces gouttes d’or. C’est le mystère de la passion du Christ »3.

1 Armand Niquille, Des réalités aux symboles et aux images de la foi, Editions Fragnière, Fribourg, p. 144.

2 Patrimoine fribourgeois n° 10, L’église du Christ-Roi, p. 53.3 Luc-François Dumas dans La Liberté du 15 janvier 1956.

Les œuvres de l'artiste Armand Niquille – celles de l'église du Christ-Roi et ses autres œuvres religieuses ou profanes – sont visibles sur le site internet de la Fondation Armand Niquille : http://armand-niquille.ch.

Jésus meurt sur la croix (Fondation Armand Niquille).



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PHOTOS : EMMANUEL REY

En novembre, une cinquantaine d’adoles-cents se sont retrouvés au chalet paroissial d’Im Fang pour commencer le parcours de confirmation. Après la visite des prêtres et

des animateurs dans les familles, ils se sont engagés en janvier à poursuivre leur par-cours. Portons leur cheminement dans la prière.

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PHOTOS : EMMANUEL REY

L’évêque de Myre et l’Enfant Jésus ont ras-semblé autour d’eux les aînés de notre unité pastorale en décembre : le 2, saint Nicolas ne s’est pas montré trop sévère dans son

discours… et le 20, le sacristain et les béné-voles ont magnifiquement installé la salle du Christ-Roi tandis que des enfants ont enchanté le cœur des participants.

FamillesPHOTOS : VALENTINE BRODARD, DOMINIQUE RIMAZ

La crèche vivante en l’église du Christ-Roi a été revisitée à partir de la première lecture de la messe de Noël, pour le plus grand bonheur des nombreux enfants présents. En

l’église Saint-Paul, une famille irakienne de Bagad et Mossoul a tenu les rôles de Marie, de Joseph et de l’Enfant Jésus.



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UP Carême des enfants

Soupe de Carême et animation pour les enfants chaque vendredi de Carême à midi à la salle paroissiale et en l'église du Christ-Roi.

Préparation au mariageTrois rencontres pour les fiancées, animées par un prêtre et deux couples, les vendredis 3, 10 et 31 mars de 19h30 à 21h45 à la cure du Christ-Roi. Informations et inscription : 026 347 10 40 (lundi et mercredi) ou [email protected]

Via CrucisChemin de croix le premier vendredi du mois (5 mars) à 12h20 en la chapelle de l'Hôpital des Bourgeois.

Rencontre des aînésRessourcement spirituel le mardi 7 mars à 14h30 à la salle paroissiale du Christ-Roi. Rencontre avec Michel Simonet, le cantonnier à la rose, et conférence du chanoine Paul Frochaux sur le langage des images pieuses.

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Ont été accueillis dans l’Eglise par le sacrement du baptême :Chloé Barras le 4 décembre en l’église St-JeanLaetitia Verdon le 11 décembre en l’église du Christ-RoiRaphaëlle Anna Krystyna Sienkiewicz le 18 décembre en l’église du Christ-RoiKarol Descamps le 18 décembre en la basilique Notre-Dame

Ont rejoint la Maison du Père (date des funérailles) :Marceline Anna Rime le 9 décembre en l’église du Christ-RoiEmilia Juliano Carnevale le 12 décembre en l’église du Christ-RoiVirginia Schafer le 12 décembre en l’église St-MauriceRoland Bersier le 23 décembre en l’église St-PaulDanielle Boillat le 28 décembre en l’église du Christ-RoiJanine Sottaz le 28 décembre en l’église du Christ-RoiJacqueline Fontana le 29 décembre en l’église du Christ-RoiJuliana Krähenbühl le 30 décembre en l’église du Christ-RoiRolando Comazzi le 30 décembre en l’église du Christ-RoiGérard Vonlanthen le 31 décembre en l’église St-Paul

Pour le mois de décembre

Bougies pour chaque événement RAEMY SA

Naissance • Anniversaire Baptême • Communion Confirmation • Mariage

Route Pierre Yerly 6 • Zone industrielle 2 • 1762 Givisiez



Notre-Dame de Bourguillon

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esPAR LE PÈRE LUDOVIC NOBEL, RECTEUR PHOTO : DR

Le 11 février 1858, à la grotte de Massa-bielle, Marie apparaissait pour la première fois à Bernadette Soubirous. Au cours des 18 apparitions, le nombre de fidèles y assis-tant ne fit qu’augmenter et finit par avoi-siner les 10'000 personnes. Une fois les apparitions terminées, Bernadette décrivit son rôle comme celui d’un balai dont on se débarrasse une fois utilisé. Bien que Marie lui fût apparue, la peine, les souffrances, la maladie, les moqueries et les dérisions ne lui furent pas épargnées. Le sourire de la

« Belle Dame » lui donna la force d’affron-ter cela, se rappelant que Jésus-Christ est le rocher qui nous soutient. Venir à la grotte pour l’eau claire et limpide de la source est l’une des démarches pré-férées des pèlerins. Derrière la simplicité du symbole de l’eau, nous sommes invi-tés à découvrir la grandeur et la bonté de Dieu. Il est l’eau vive du salut qui guérit notre corps et notre âme. En ce mois de février, nous ne pouvons certainement pas nous rendre à Lourdes. Avec Bernadette et Marie, nous pouvons cependant louer le Christ, lumière qui vient éclairer nos obs-curités, eau vive qui guérit nos blessures.

PAR L’ABBÉ ARNAUD EVRAT FSSP, RECTEUR PHOTO : DR

Partir en Terre Sainte est chose détermi-nante dans la vie d’un chrétien : toucher le mystère d’un Dieu qui prend les chemins des hommes donne sa profondeur à la foi fondée sur l’Incarnation. Lorsque nous arpentons, Evangile en main, cette terre que Jésus a bénie de sa présence, c’est toute notre lecture biblique qui en est renouve-lée ; et il en va de même du rosaire, dont les mystères prennent vie.

La Fraternité Saint-Pierre en Suisse romande organise un pèlerinage en Terre Sainte du 14 au 25 octobre 2017. La messe sera célébrée chaque jour sur les lieux saints dans la forme extraordinaire du rite romain. Un guide, expert biblique, nous accompagnera durant tout le pèlerinage.Une réduction est accordée aux enfants et aux étudiants. Le nombre de places étant limité, ne tardez pas à vous inscrire ! Pour tout renseignement sur le voyage et son programme, veuillez contacter : [email protected] ou le 026 488 00 37.

AgendaVendredi 3 mars à 20h au sanctuaire Notre-Dame de Bourguillon : chants des Cendres et de la Passion, concert exceptionnel de chant grégorien avec Damien Poisblaud et les Chantres du Thoronet. Damien Poisblaud a reçu plusieurs Diapasons d’or pour ses disques où le chant grégorien retrouve une conduite vocale proche des chants juifs et byzantins. Il a assuré pendant longtemps des concerts ainsi que l’animation liturgique dans l’abbaye du Thoronet (France).

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Le groupe des pèlerins d’octobre 2011.



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TEXTE ET PHOTO PAR GÉRARD TINGUELY

La mission de Thérèse Pittet était de trouver des solutions aux besoins des plus démunis. A Tarija, elle est passée aux actes avec foi et persévérance.

Quand elle était toute petite, un vieux monsieur l’avait sensibilisée aux enfants affamés. Elle rêva d’être missionnaire, choisissant l’un des métiers qui le per-mettait: professeur d’économie familiale plutôt qu’infirmière. Aujourd’hui à Givi-siez, Thérèse Pittet, 52 ans, évoque ses 24 années passées en Bolivie. Un pays où elle a trouvé un mari, eu trois enfants et beaucoup entrepris pour la formation et la santé. Fatiguée de lutter, redoutant de trop s’incruster dans les projets, elle est rentrée en Suisse en août 2014.

« Avant de partir, j’ai donné ici et là des cours d’économie familiale, été animatrice plusieurs années au centre de jeunes Car-refour, à Fribourg. Après une formation à E-changer (ex-Frères sans frontières), je n’avais pas envie d’enseigner le français en Afrique. On évoquait plutôt un accompa-gnement de femmes boliviennes. En pèle-rinage dans le Sinaï, c’est le témoignage rayonnant d’une femme travaillant avec des enfants de Bethléem qui m’a décidée à partir. »

Vite renvoyéesA Tarija, dans le Sud bolivien, Thérèse travaille avec une religieuse canadienne suroccupée. « Quand on a questionné les femmes sur leurs souhaits, leur réponse m’a un peu étonnée : je n’étais pas venue pour faire de la broderie ! J’ai vite compris que cette activité permettait aussi de discu-ter de justice sociale, des droits des femmes ou des pauvres. » C’en sera trop pour

l’évêque local qui les congédiera. Les deux collègues se présentent alors au ministère de l’Education et sont engagées pour une réforme visant à faire de l’école un lieu de partage des savoirs où les enfants se sentent bien. Suivront plusieurs initiatives lancées avec d’autres, dont Maria, une reli-gieuse italienne : un centre de documen-tation pédagogique pour les enseignants attendant leur paie parfois plusieurs jours, des internats, des garderies, des cantines, des pharmacies en médecine naturelle et des centres d’appui pédagogique.

« Et un jour on s’est dit : si on ouvrait une école pour tous ceux qui n’y vont pas, ces enfants du ravin voisin de la maison de Maria ? ! Il fallait un financement, la reconnaissance de l’Etat, recruter des enseignants. Pour que nous soyons dans la légalité, le directeur d’une école voisine nous a refilé ses 50 gamins les plus diffi-ciles ! Mais je crois que la chance nous a toujours bien accompagnées », constate aujourd’hui Thérèse. Car les coups de pouce furent nombreux : une jeune sta-giaire suisse qui monte un réseau de parrains sur la durée ; un évêque qui offre bâtiment et terrain pour l’école ; un chœur d’Huwiler qui fournit un atelier de musicothérapie ; des dons nombreux (un chèque de 30’000 francs ; les billets de 1’000 d’une grand-maman) et des béné-voles très motivés.

Quand Dieu s’en mêle« Son » école est désormais en de bonnes mains. Le moment pour Thérèse d’ex-pliquer ce qui l’a motivée. « A chaque demande, on a essayé de trouver une solu-tion, dont cette école pour ceux dont per-sonne ne voulait. Pour moi, le plus petit est le plus important, celui qui a le plus de besoins doit avoir la priorité, car chacun est le temple de Dieu. Il faut donc essayer de faire quelque chose : nourrir, soigner, éduquer. Dieu nous a donné la vie en plé-nitude et il faut être en santé pour en pro-fiter, pour avoir une bonne énergie. Si nous avons tous les mêmes droits, comment être tranquilles quand certains n’ont pas le minimum ? Si tu partages et que Dieu s’en mêle, il n’y a alors plus de limites ! » conclut celle qui n’arrive toujours pas à économi-ser, les sollicitations ne l’épargnant guère.



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TEXTE ET PHOTO PAR KÉLI KPEGO, AUMÔNIER DU MADEP-FRIBOURG

Le Mouvement d’apostolat des enfants et préadolescents (MADEP) est en lien avec l’unité pastorale Saint-Joseph. Il propose aux enfants et adolescents plusieurs activités qui se déroulent dans le respect des convictions et de la démarche même du mouvement.

Les enfants sont des personnes à part entière qui ont droit au respect de tous ; les enfants sont capables de s’organiser et d’agir avec d’autres ; les enfants qui construisent le Royaume de Dieu sont des chrétiens actifs; le jeu est une activité vitale dans la vie des enfants.

Dès lors au MADEP, nous sommes convaincus que les adolescents et les enfants sont capables de prendre leur place, de s’organiser et d’agir ; de lutter pour défendre ce qui est important pour eux et pour d’autres; de découvrir la dignité de chacun et de tout mettre en œuvre pour qu’elle soit respectée ; de trouver des solu-tions et de réaliser des projets pour amé-liorer la vie ; de s’engager pour construire, comme Jésus-Christ, un monde nouveau, un monde de paix, de justice.

La démarche du MADEP, qui est basée sur le Voir – Comprendre – Agir – Valoriser – Evaluer – Fêter et Célébrer, permet aux enfants et adolescents de s’exprimer sur leur quotidien puis d’agir en vue d’amé-liorer leur vie.

C’est ainsi que le MADEP-Fribourg, dans son élan de rejoindre les enfants, a pro-

cédé, ces derniers temps, à plusieurs visites dans les quartiers de Sainte-Thérèse et de Granges-Paccot. Suite à ces visites et avec l’accord de l’équipe pastorale de l’UP, le MADEP souhaite constituer une équipe 6-9 ans à Sainte-Thérèse et une Option jeux à Granges-Paccot. Ces équipes ver-ront le jour dans le courant du mois de février.

Nous encourageons les parents à faire découvrir le MADEP à leur enfant. C’est le lieu pour votre enfant d’exprimer ce qu’il vit dans les différents milieux où il évolue (école, famille, quartier, loisirs, copains…). Il comprendra ces situations vécues et cherchera des pistes pour les améliorer. Il jouera avec les autres enfants de son âge dans la bonne humeur.

Pour rappel, le MADEP est présent à Villars-sur-Glâne par une Option jeux (1x / mois), à Saint-Pierre par une équipe 6-9 ans, une équipe 9-12 ans, une équipe Ados et enfin par deux Options Vacances (en automne et à Pâques) pour tous les enfants de l’UP Saint-Joseph.

Plus d’informations sur le site internet du Mouvement : www.madep-fribourg.ch

Nouvelle équipe à Ste-ThérèseEquipe pour les 6-9 ans, première rencontre mercredi 1er février de 13h30 à 16h30 au Centre paroissial.



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ePAR BERNARD BOVIGNY PHOTOS : BERNARD BOVIGNY ET CHRISTOPH VON SIEBENTHAL

La paroisse Sainte-Thérèse a fêté dans la simplicité et la ferveur les 50 ans de son église le 8 décembre, fête de l’Immaculée Conception. La célébration d’action de grâce a notamment rassemblé les parois-siens, ainsi que les représentants de l’UP Saint-Joseph et du décanat du Grand-Fri-bourg.

Onze prêtres et un diacre, entourés d’une vingtaine de servants de messe, ont par-ticipé à la célébration, en compagnie du Chœur mixte de Sainte-Thérèse et du Chœur des aînés, du Chœur d’enfants « Les Enchanteurs », du Frauenchor aléma-nique et du quatuor de cors des Alpes « Les Incorrigibles ». Les chœurs ont interprété la messe « Sur les pas de l’Exode », compo-sée par Pascal Gendre (musique) et Sœur Janine Bochud (paroles).

Les pierres vivantes de nos communautésDans sa prédication, l’abbé Philippe Blanc, curé modérateur de l’UP Saint-Joseph, a souligné que tous les baptisés sont appelés à être des serviteurs là où ils sont envoyés. « Nous sommes des pierres vivantes de nos communautés et de notre Eglise », a-t-il lancé, avant d’exprimer « joie et action de grâces » pour les racines plantées « par nos prédécesseurs » dans la paroisse et pour les fruits que ces arbres ont portés.

Dans le message final, le président de la paroisse Ste-Thérèse, Laurent Praz, a souligné que l’église Sainte-Thérèse « aux

lignes simples, nobles et futuristes » était déjà « adaptée aux exigences actuelles de la liturgie ». Il a rappelé « l’élan et l’engage-ment de toute la communauté » d’alors, et a affirmé en allemand que « notre paroisse est comme un vitrail multicolore où dif-férentes sensibilités sont soudées les unes aux autres », avant d’appeler l’unité pasto-rale Saint-Joseph à se convertir en « union de prières afin que croisse et se fortifie notre collaboration ».

La célébration a été suivie d’un temps de rencontre et d’agape fraternelle préparée et servie par divers groupements de la paroisse ; un documentaire sur les étapes de la construction, mis en forme par l’abbé Roberto Pellizzari a été projeté.

Les débuts de la paroisse et de l’église Ste-ThérèsePar acte du 31 octobre 1959, l’évêque François Charrière détache le rectorat de Sainte-Thérèse-de-Lisieux de la paroisse Saint-Pierre pour être érigé en paroisse canonique.Les actions financières en faveur de la construction de l’église se succèdent à partir de 1960.En 1963, le Conseil paroissial acquiert un terrain de 4'700 m2. Au terme d’un concours, la construction de l’église est confiée à l’architecte Jean-Claude Lateltin.Le 9 septembre 1963, Marie Gachoud fait don à la paroisse d’un terrain avec immeubles de 13'665 m2.4 novembre 1964 : ouverture du chantier de construction de l’église.8 décembre 1966 : dédicace de l‘église de Sainte-Thérèse-de-Lisieux, avec messe présidée par l’évêque.



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PHOTOS : DR

Revisitez en images les différentes crèches vivantes qui ont enchanté petits et grands lors des célébrations de Noël dans notre unité pastorale.

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TEXTE ET PHOTOS PAR AGNÈS JUBIN ET MARIE-FRANÇOISE DOMON

N’y a-t-il que la parole pour dialoguer ? Ce qui paraît impossible en côtoyant des personnes de milieux si lointains et dif-férents ne l’est plus autant en cherchant d’autres moyens, en ouvrant notre regard et nos cœurs. Essayons de nous mettre à la place de quelqu’un qui est propulsé dans un environnement si différent et étranger. Avant même de comprendre les raisons d’un déplacement obligatoire, faisons déjà l’expérience d’un sourire, d’une accolade, d’une poignée de main.

Dans le service d’accompagnement des requérants d’asile à Saint-Pierre, Fribourg, les requérants souhaitent communiquer et s’insérer. Ils ne sont pas tous au même niveau d’études et de savoirs. Un groupe de dames érythréennes et éthiopiennes,

n’ayant pas ou peu de bagage scolaire, et à leur demande, s’est constitué et se réu-nit chaque vendredi après-midi avec deux bénévoles. Les moyens les plus abordables sont le visuel et le travail manuel pour apprendre les mots du quotidien. Par des journaux publicitaires, utiles dans ce cas, avec des photos de légumes, de fruits, de nourriture diverse, les dames apprennent les noms sous forme ludique complétée par une visite du groupe dans un magasin, tout en pratiquant les modes de contacts.

Les photos étant parlantes, voyez le plaisir de ces dames décorant chacune leur arbre de Noël avec du matériel simple et récupéré.

Bonne fête de la nativité de Jésus, célébrée en janvier par nos amis orthodoxes !

Au

livre

de

vie Pour le mois de décembre

Ont été accueilli dans l’Eglise par le sacrement du baptême :Damien et Manon Favarger, Alexandre Hernandez, Amandine Oberson, Alice Rudaz, Ewan Schwab, Léane Tran

Ont rejoint la Maison du Père :Wolfgang Brülhart, Berthe Buchs, Suzanne Bulliard, Angela Cammarota, Gertrude Daguet, Lucien Debernadi, Monique Duruz, Joseph Glannaz, Pierre Gougain, Fernando Davide Guerreiro Da Silva, Elise Heimo, Emilia Juliano, Rosine Köstinger, Luigi Lan-dolfo, Danielle Laner, Jean-Pierre Maradan, Pierre Menoud, Julia Meyer, Emile Morandi, Gabrielle Reynaud, Simone Richon, Pierre Sauterel, Jeanne Schwab, Claire Weber-Bovet

Se sont unis par les liens du mariage Marie-Monika Papaux et Olivier Rossel



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leLes repas spaghettis !Les paroisses Saint-Pierre et Sainte-Thérèse vous invitent à vous simplifier la vie le samedi à midi et à venir partager un plat de spaghettis préparé par une équipe de bénévoles !

Rendez-vous le samedi 18 février au Centre paroissial de Sainte-Thérèse dès 11h30 et le samedi 25 février à la salle paroissiale de Saint-Pierre dès 11h30 !

ConférenceJeudi 2 février à 20h à Saint-Pierre : « La haine du monde (totalitarisme et postmodernité) » par Chantal Delsol.

Filles et garçons du jeudiTu as entre 12 et 17 ans, tu veux affermir ta foi, tu veux comprendre la messe, tu veux vivre des moments fraternels avec d’autres filles / garçons de ton âge ? Les réunions comprennent un repas canadien (chacun apporte du salé ou du sucré que l’on partagera), une petite explication sur la messe donnée par Sœur Jessie pour les filles et par l'abbé Jean Arfeux pour les garçons, ainsi que les réponses aux questions que tu peux avoir, puis un temps d’adoration.Contact : pour les garçons : [email protected] – pour les filles : [email protected] rencontre : Jeudi 16 février à 18h30 au Centre paroissial de Sainte-Thérèse

Eucharisties festivesL’eucharistie festive aura lieu le samedi 11 février à 17h30 à l’église Sainte-Thérèse suivie d’un pique-nique canadien ! Venez nombreux !

Messe pour la paixMardi 7 février, chapelle de Sainte-Thérèse.

Messes en famille

Samedi 4 février, 18h, église Saint-PierreDimanche 5 février, 10h, chapelle des MartinetsDimanche 19 février, 10h30, église de Vil-lars-sur-Glâne, précédée de « la Question du Dimanche » dès 9hSamedi 25 février, 17h, Centre paroissial de Granges-Paccot

Messe des jeunes

Dimanche 26 février à 18h30 à l’église Sainte-Thérèse.

Eveil à la foi pour les 0-6 ans

Samedi 4 février à 9h30 la salle de caté-chèse de Sainte-Thérèse.

Pour joindre nos paroissesSt-Laurent : tél. 026 466 25 67, [email protected]érèse : tél. 026 460 84 20, [email protected] : tél. 026 422 01 09, [email protected] : tél. 026 401 10 67, [email protected]

Vente en faveur des MissionsMercredi 15 février à 14h au Centre parois-sial de Sainte-Thérèse.

Mouvement chrétien des retraitésProchaine rencontre le jeudi 23 février à 14h au Centre paroissial de Sainte-Thérèse.

MADEP

Les prochaines rencontres du MADEP auront lieu le :Mercredi 1er février de 13h30 à 16h30 à Sainte-Thérèse pour les 6-9 ansMercredi 8 février de 13h30 à 16h30 à Saint-Pierre pour les 6-9 ansSamedi 11 février de 10h à 12h à Villars pour les 6-10 ansVendredi 17 février de 17h à 20h à Saint-Pierre pour les 9-12 ansVendredi 24 février de 17h à 20h, à Saint-Pierre, ADO-MADEP

Prière du chapelet

Tous les mercredis à 16h à la chapelle Saint-Joseph.


NICOLAS DE FLÜE

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e » Jeune femme suisse du XVe siècle, ayant vécu dans un village

surplombant le lac de Sarnen, Dorothée peut nous sembler lointaine, du double fait de la distance historique et culturelle, et aussi du peu de détails transmis sur sa vie et ses sentiments auprès de Nicolas. Mais, si nous nous approchons de l’expérience de ce couple singulier, nous réalisons qu’entre vie concrète et quotidienne et vie spirituelle, Dorothée a, elle aussi, eu sa part de chemin avec Dieu.

PAR PASCALE PATÉ, COMMUNAUTÉ DU CHEMIN NEUF PHOTO : DR

Lorsque Dorothée Wyss, originaire de Schwendi, épouse Nicolas de Flüe, elle a 15 ans. De quinze ans son aîné, Nicolas est, comme elle, d’origine paysanne, mais déjà connu pour sa sagesse en tant qu’officier, juge et membre du conseil. Au cours des vingt années qui suivront, Dorothée mettra au monde dix enfants, cinq garçons et cinq filles. Sa vie sera partagée entre la tenue et la gestion de la maison familiale et l’éduca-tion des enfants. Mais, ce qui particularise ce récit de vie, c’est sa dimension de foi. En effet, son époux Nicolas, qui la chérit, elle et ses enfants, est aussi et d’abord un « cher-cheur de Dieu ». La prière est, certes, pré-sente dans la vie du couple et de la famille, mais Dorothée sait son mari tout entier habité par l’esprit de prière. Les veilles de la nuit, les retraits au Ranft, les jeûnes, tout cela, elle le sait. On pourrait dire que le « renoncement » que Dorothée vivra plus tard prend ici sa source : elle sait « bien ». « Elle garde dans son cœur toutes les étapes qui jalonnent l’itinéraire de son époux : elle accueille dans le silence, elle accompagne dans la vérité de la foi, elle prie à ses côtés, mais dans la distance que le respect d’un tel appel oblige1 ».

Une fenêtre ouverte vers DieuNe pourrait-on pas comparer l’expérience de Dorothée à celle de Joseph, époux de Marie, qui a permis l’accomplissement d’une vocation mystérieuse ? Comme Joseph, Dorothée est, pour son mari, plus fenêtre ouverte qu’obstacle sur le chemin vers Dieu.

De son côté, Nicolas respecte infiniment Dorothée. « Ma chère femme », dit-il, pour parler d’elle. Lorsque Dieu lui adressera l’appel de Le préférer au bonheur conjugal et familial, Nicolas Lui demandera la grâce d’obtenir le consentement de sa femme et de ses grands enfants. Vivre le manque pour Dieu, oui, mais le faire vivre à l’autre, voilà ce qui tenaille Nicolas. Il faut l’accord de chacun pour que cette voie soit acces-sible.Dorothée et Nicolas de Flüe nous parlent de l’amour conjugal : connaître l’autre et le respecter, pour répondre ensemble, mais non sans combat, à l’appel d’une vie plus large que celle que l’on s’était fixée et entrer dans la liberté de ne pas se préférer à soi-même. Aujourd’hui, il ne faudrait parler du Ranft qu’au prisme d’un double consentement : celui d’un homme et d’une femme qui s’ai-maient et aimaient Dieu.

1 Philippe BAUD, Nicolas de Flüe, 1417- 1487. Un silence qui fonde la Suisse, Cerf, 1993.

Pour poursuivre la réflexionDans l’ouvrage « Mystique Médiateur Homme, Les 600 ans de Nicolas de Flue (1417–1487) », publié sur commande de l’Association 600 ans Nicolas de Flue 1417–2017, de la Fondation Bruder-Klausen (Sachseln) et du Comité de la Romandie : « Homme Médiateur Mystique », par Roland Gröbli, p. 11.« Le chemin de silence des époux », par Lucienne Bussy, p. 47.

Dr Thiémard

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« Coin de ciel » sur Radio FribourgTous les dimanches et les jours de fêtes religieuses à 8h30 « Coin de ciel » vous propose une pause spirituelle. Elle s’articule autour de rencontres avec des intervenants variés : laïcs engagés, théologiens, philosophes, gens de toutes conditions religieuses et sociales, etc.


UNITÉ PASTORALE

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ST-NICOLAS – cathédrale 8h30 10h15 18h15 18h15 18h15 18h15 18h1520h30

ST-PAUL – église 9h30 d 8h15 d11h00

CHRIST-ROI – église 8h00 8h30 8h00 8h00 8h00 8h00 8h0017h00 d 10h00 18h15

ST-JOSEPH DE CLUNY – couvent 17h30 17h00 17h00 17h00 17h00ST-JEAN – église 10h00 b

18h00PROVIDENCE – chapelle 10h00 10h00 17h00 17h00ST-MAURICE – église 17h30 8h00NOTRE-DAME- basilique * 9h00 10h00 9h00 9h00 9h00 9h00 9h00

18h30 18h30 18h30 18h30BOURGUILLON – chapelle 8h15 9h00 d 18h15 8h15 8h15 d 8h15 d

10h30

Samedi Dimanche Lundi Mardi Mercredi Jeudi VendrediST-HYACINTHE – couvent 12h00 10h30 6h50 6h50 6h50 6h50 6h50VILLA BEAUSITE – chapelle 16h00N.-D. DE LA ROUTE – chapelle 17h45 17h45 17h45Srs INGENBOHL – couvent 8h15 9h30 8h15 8h15 8h15 8h15 8h15SALVATORIENS – institut rel. 7h30 d 11h00 d 7h30 d 7h30 d 7h30 d 7h30 d 7h30 dSCHONSTATT – chapelle 19h00 dUNIVERSITE – chapelle 12h10ST-JUSTIN – chapelle 8h00 9h30 7h30 7h30 7h30 8h00 7h30

11h00 eCORDELIERS – couvent 8h00 7h30 d 8h00 8h00 8h00 8h00 8h00

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19h30 dVISITATION – monastère 7h30 9h30 7h30 7h30 18h15 7h30 7h30CAPUCINS – couvent 8h00 10h00 7h00 7h00 7h00 7h00 7h00CARMES – couvent 12h20 10h00 12h20 12h20 12h20 12h20 12h20STE-URSULE – couvent 7h30 9h30 7h00 7h00 7h00 7h00 7h00

10h30 10h30 10h30 10h30MONTORGE – monastère 7h30 8h30 7h30 7h30 7h30 17h30 7h30MAIGRAUGE – abbaye 7h45 9h45 7h45 7h45 7h45 7h45 7h45STE-URSULE – centre 12h15 12h15 12h15AFRICANUM – institut rel. 17h 7h15 7h15 7h15 7h15ST-CANISIUS – couvent 9h00 d 9h00 d 7h10 d 7h10 d 7h10 d 7h10 d 7h10 d

Samedi Dimanche Lundi Mardi Mercredi Jeudi VendrediSTE-THERESE – église 17h30 11h00 d 8h00 8h00 8h00 18h30

18h30 8h45 dGIVISIEZ – église 10h00 10h15

(Le Manoir)GRANGES-PACCOT 17h00ST-PIERRE – église 18h00 10h30 8h30 ch 8h30 ch 8h30 ch 8h30 ch

19h30 pVILLARS-SUR-GLÂNE – église 10h30 8h30 8h30LES MARTINETS 10h00 10h00VILLARS-VERT 8h30 8h30HFR – chapelle 9h30

* : forme extraordinaire i : en italien d : en allemand p : en portuguais e : en espagnol ch : à la chapelle St-Joseph b : en rite byzantin le 2e dimanche du mois

MÉDITATION / UP PRATIQUE

UNITÉS PASTORALES DU GRAND-FRIBOURG

Au

jour

le jo

ur…

Vis le jour d’aujourd’huiDieu te le donne, il est à toi.Vis-le en Lui.

Le jour de demain est à Dieu.Il ne t’appartient pas.Ne reporte pas sur le lendemainle souci d’aujourd’hui.Demain est à Dieu.Remets-le-Lui.

Le moment présent est une frêle passerelle :Si tu la charges des regrets d’hier,de l’inquiétude de demain,la passerelle cède et tu perds pied.

Le passé ? Dieu pardonne.L’avenir Dieu le donne.Vis le jour d’aujourd’huiEn communion avec Lui.

S’il y a lieu de t’inquiéterpour un être bien-aimé,Regarde-le dans la lumière du Christ Ressuscité.

Infos utiles

Unité pastorale Notre-Dame Rue des Chanoines 31700 FribourgTél. 026 347 10 40Fax 026 347 10 59Courriel : [email protected] : www.notre-dame-de-fribourg.ch

Unité pastorale Saint-Joseph Av. Jean-Gambach 41700 FribourgTél 026 422 01 05 / 00Fax 026 422 01 09Courriel : [email protected] : www.upsaintjoseph.ch

Katholische Pfarreiseelsorge FreiburgRue de Morat 8 1700 Fribourg Tél. 026 425 45 25 Site : www.free-burg.ch Courriel : [email protected]

PAR SAINTE BERNADETTE SOUBIROUS PHOTO : V. BENZ

avec… L’ESSENTIEL - Unité pastorale Notre-Dame · Ste-Thérèse FÉVRIER 2017 | MENSUEL NO 1...

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