Automatismes industriels

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Filali Rania Linda L2GM ISET Radés – 09/10 Cours d’Automatismes industriels

Transcript of Automatismes industriels

Page 1: Automatismes industriels

Filali Rania LindaL2GMISET Radés – 09/10

Cours d’Automatismes industriels

Page 2: Automatismes industriels

Sommaire

Généralité sur les systèmesDéfinition d’un SAP et analyse du besoinStructure générale d’un systèmeDifférentes possibilités de commandeLogique CombinatoireDéfinitionsOpérateurs logiques de baseAlgèbre de boolTableau de KarnaughLogique SéquentielDéfinitionsFonctions mémoires AsynchronesFonctions mémoires Synchrones

Page 3: Automatismes industriels

Généralité sur les systèmes

Page 4: Automatismes industriels

Analyse du Besoin

Système Matièred'oeuvre

Matière d'œuvre+

valeur ajoutée

Matière d’oeuvreProduit, matière, énergie, information, personnes, …

Valeur ajoutéeTransformer, transporter, mélanger, filtrer, assembler,

trier, stocker, …

Définition d’un SAP et analyse du besoin

Définition d’un SAP

Un système de production est dit automatisé, lorsqu’il peut gérer de manière autonome un cycle de travail préétabli qui se décompose en séquence ou étape

Page 5: Automatismes industriels

Préactionneurs Actionneurs

Capteurs

Ordres

Informatio

ns

PartieCommande

(PC)

Partie Opérative (PO)

Mati

ère

d’œ

uvre

tr

an

sfo

rmée

Description des différentes parties d’un SAP

Page 6: Automatismes industriels

La partie opérative (PO) est la machine qui transforme la matière d’œuvre afin d’élaborer la valeur ajoutée désirée. C’est le processus physique à automatiser.

La partie commande (PC) est l’automatisme qui en fonction des informations issues de la PO (capteurs) élabore une succession logique de commandes, d’ordres (pré-actionneurs) qui provoqueront sur la PO les actions nécessaires à l’obtention de la valeur ajoutée désirée

Description des différentes parties d’un SAP

Page 7: Automatismes industriels

Systèmes automatisé combinatoire: Ces systèmes n’utilisent aucun mécanisme de mémorisation (ils n’ont pas de mémoire) et à une combinaison des entrées correspond une seule combinaison des sorties. La logique associée est appelée logique Combinatoire. Les outils utilisés pour les concevoir sont l’algèbre de bool, les tables de vérité, les tableaux de karnaugh

Systèmes automatisé séquentiel: le déroulement du cycle s’effectue étape par étape. A une situation des entrées peut correspondre plusieurs situations de sortie. La sélection d’une étape ou d’une autre dépend de la situation antérieur du dispositif. La logique associée est appelée logique séquentiel. Elle peut être:

• avec commande pneumatique: logique câblée;•Avec commande électrique: logique programmée.

Différentes possibilités de commande

Page 8: Automatismes industriels

Logique Combinatoire

Page 9: Automatismes industriels

Un système est combinatoire quand l'état de sa sortie dépend uniquement de l'état présent applique sur ses entrées.        

S = f(E1,E2,…,En)Exemples :Lampe L commandée par un interrupteur M/A.

1-logique Combinatoire

Définitions

SA (Logique Combinatoire)

E1

E2

En

S

Page 10: Automatismes industriels

Variable binaire : c'est un nombre x ne pouvant prendre que deux valeurs conventionnellement repérée 0 et 1, sans autre signification.

Grandeur binaire : c'est une grandeur physique à laquelle on impose deux valeurs conventionnelles 0 et 1.Exemple : signal électrique 0 V ---> 0+5 V ---> 1

Un système binaire est un dispositif dont les grandeurs entrées et de sortie sont de type binaire.

L'algèbre de Boole est l'étude du comportement des variables binaires 

Définitions

Page 11: Automatismes industriels

CONVENTIONS DE LOGIQUE

NiveauConvention de logique

Positive Négative

Niveau haut

1 0

Niveau bas 0 1

Définitions

Page 12: Automatismes industriels

Le code binaire pur :

Le code binaire pur est une représentation numérique en base deux. Cette représentation permet de représenter des nombres sous forme de 1 et de 0, ou de décrire l’évolution des variables vraies ou non vraies d’un système automatisé, c’est cette possibilité que nous allons utiliser. Le nombre de combinaisons possibles des variables  se calcule de la façon suivante : 1 variable d'entrée 21 = 2 combinaisons de sortie, 2 variables d'entrée 22 = 4 combinaisons de sortie 3 variables d'entrée 23 = 8 combinaisons de sortie n variables d'entrée 2n combinaisons de sortie

Définitions

Page 13: Automatismes industriels

Table de vérité:Un circuit logique dispose de plusieurs entrées pour une sortie. Une table de vérité est la représentation de l’évolution du comportement d’un système automatisé en fonction des variations de ses entrées. Une table de vérité est représentée sous la forme suivante :

Logigramme:Un logigramme est un schéma représentant une succession de symboles logiques permettant d’obtenir par combinaison de variables d’entrés la sortie recherchée.

1

Se1 e2

0

0

0

0

111 0

1

1

1

Variables d’entrées

Variable de sortie

Evolution des variables d’entrées

Evolution de la variable de sortie

Définitions

Page 14: Automatismes industriels

Codes binaires

20

0

1

21 20

0 00 11 01 1

22 21 20

0 0 00 0 10 1 00 1 11 0 01 0 11 1 01 1 1

Définitions

Page 15: Automatismes industriels

Codes binaires 23 22 21 20

0 0 0 00 0 0 10 0 1 00 0 1 10 1 0 00 1 0 10 1 1 00 1 1 11 0 0 01 0 0 11 0 1 01 0 1 11 1 0 01 1 0 11 1 1 01 1 1 1

Définitions

Page 16: Automatismes industriels

Les fonctions logiques sont des opérateurs logiques. C’est à dire qu’en fonction d’une ou plusieurs variables données, ils vont répondre par une sortie particulière. Pour définir chacune des fonctions logiques, nous donnerons plusieurs représentations :

une représentation électrique : schéma développé à contacts ;

une représentation algébrique : équation ;

une représentation arithmétique : table de vérité ;

une représentation temporelle : chronogramme ;

Opérateurs Logiques de base

Page 17: Automatismes industriels

Fonction ET &e1

e2

Se1 e2

S

0

0

0

0

1

11

1• Pour que la sortie soit à 0 :Il suffit qu’une entrée soit à 0

• Pour que la sortie soit à 1 :Il faut que e1 ET e2 soient à 1

• La fonction réagit au niveau 01

0

0

0

S = e1 . e2

Opérateurs Logiques de base

Page 18: Automatismes industriels

Fonction NON-ET (NAND) &e1

e2

Se1 e2

S

0

0

0

0

1

11

1• Pour que la sortie soit à 1 :Il suffit qu’une entrée soit à 0

• Pour que la sortie soit à 0 :Il faut que e1 ET e2 soient à 1

• La fonction réagit au niveau 00

1

1

1

S = e1 . e2

Opérateurs Logiques de base

Page 19: Automatismes industriels

Fonction OU >1

e1

e2

Se1 e2

S

0

0

0

0

1

11

1• Pour que la sortie soit à 0 :

Il suffit qu’une entrée e1 OU e2 soit à 1

• Pour que la sortie soit à 1 :

Il faut que toutes les entréessoient à 0

• La fonction réagit au niveau 1

1

1

1

0

S = e1 + e2

Opérateurs Logiques de base

Page 20: Automatismes industriels

Fonction NON-OU (NOR) >1

e1

e2

Se1 e2

S

0

0

0

0

1

11

1• Pour que la sortie soit à 1 :

Il suffit qu’une entrée e1 OU e2 soit à 1

• Pour que la sortie soit à 0 :

Il faut que toutes les entréessoient à 0

• La fonction réagit au niveau 1

0

0

0

1

S = e1 + e2

Opérateurs Logiques de base

Page 21: Automatismes industriels

Fonction OU Exclusif =1

e1

e2

Se1 e2

S

0

0

0

0

1

11

1• Pour que la sortie soit à 0 :

Il faut que e1 OU e2 soit à 1Mais pas les 2

• Pour que la sortie soit à 1 :

Il faut que les entréessoient au même niveau logique

1

1

0

S = e1 + e2

0

S = e1.e2 + e1.e2

Opérateurs Logiques de base

Page 22: Automatismes industriels

Fonction NON 1e1

e1 S

S

0

01

1• Pour que la sortie soit à 1 :

Il faut que e1 soit à 1• Pour que la sortie soit à 0 :

Il faut que e1 soit à 0

S = e1

Opérateurs Logiques de base

Page 23: Automatismes industriels

Relations particulières

a . b = b . a

a + b = b + a

a + ( b + c ) = ( a + b ) + c = b + ( a + c )

a ( b + c ) = a . b + a . c

a . 0 = 0

a . a = a

a . 1 = a

a . a = 0

a + 0 = a

a + a = a

a + 1 = 1

a + a = 1

Algèbre de bool

a +( b . c ) = (a + b) . (a + c)

a . ( b . c ) = ( a . b ) . c = b . ( a . c )

Page 24: Automatismes industriels

Théorème de de Morgan

a . b = a + b

a + b = a . b

Application principale : Transformation d’une somme en produit et inversement

Algèbre de bool

Page 25: Automatismes industriels

Exemple d’application :

Recherche d’équation

&

a

b >1c & S

b.ca + b.c

= c.(a + b.c)

Simplification : S = a.c + b.c.c

S = a.c + b.c

S = c (a + b) S = c (a + b)

Algèbre de bool

Page 26: Automatismes industriels

Exemple d’application :

création d’un logigramme

Equation logique de départ :S = ( a + b.c ).d

&a + b.c

dS>1b.c

a

&c

b

a

d

Règle de construction : Toujours partir de la sortie, rechercherl’opérateur logique qui sépare l’équation

Algèbre de bool

Page 27: Automatismes industriels

Tableau de Karnaugh :

d c b a S

0 0 0 0 0

0 0 0 1 0

0 0 1 0 1

0 0 1 1 1

0 1 0 0 0

0 1 0 1 1

0 1 1 0 1

0 1 1 1 0

1 0 0 0 1

1 0 0 1 1

Etude d’un exemple :définition d’une équation àpartir d’une table de vérité

Tableau de Karnaugh

Page 28: Automatismes industriels

Tableau de Karnaugh : 1 – Construire le tableau

d c b a S

0 0 0 0 0

0 0 0 1 0

0 0 1 0 1

0 0 1 1 1

0 1 0 0 0

0 1 0 1 1

0 1 1 0 1

0 1 1 1 0

1 0 0 0 1

1 0 0 1 1

00 01 11 10

00

01

11

10

d.c

b.a

11

1 1

1 1

0 0

0 0

Tableau de Karnaugh

Page 29: Automatismes industriels

Tableau de Karnaugh : 2 – Compléter le tableau

d c b a S

0 0 0 0 0

0 0 0 1 0

0 0 1 0 1

0 0 1 1 1

0 1 0 0 0

0 1 0 1 1

0 1 1 0 1

0 1 1 1 0

1 0 0 0 1

1 0 0 1 1

00 01 11 10

00

01

11

10

d.c

b.a

Ajouter des 1 ou 0 afin de pouvoir réaliser des regroupements maximums

1

1

1 1 1

1

11

1 1

1 1

0 0

0 0

Tableau de Karnaugh

Page 30: Automatismes industriels

Tableau de Karnaugh :

3 – Regrouper les cases (groupe de 2n)

d c b a S

0 0 0 0 0

0 0 0 1 0

0 0 1 0 1

0 0 1 1 1

0 1 0 0 0

0 1 0 1 1

0 1 1 0 1

0 1 1 1 0

1 0 0 0 1

1 0 0 1 1

00 01 11 10

00

01

11

10

d.c

b.a

1

1

1 1 1

1

11

1 1

1 1

0 0

0 0

Tableau de Karnaugh

Page 31: Automatismes industriels

Tableau de Karnaugh : 4 – Etablir l’équation finale

d c b a S

0 0 0 0 0

0 0 0 1 0

0 0 1 0 1

0 0 1 1 1

0 1 0 0 0

0 1 0 1 1

0 1 1 0 1

0 1 1 1 0

1 0 0 0 1

1 0 0 1 1

00 01 11 10

00

01

11

10

d.c

b.a

S = c.b+ d+ a.b+ a.b.c Recommencer

1

1

1 1 1

1

11

1

11 1

0 0

0 0

Tableau de Karnaugh

Page 32: Automatismes industriels

Tableau de Karnaugh :

Etude d’un exemple :définition d’une équation à partir d’une équation logique

1 – Construire le tableau

00 01 11 10

00

01

11

10

a.b

c.d

S = a.b.c + a.b.c + a.b.c + a.b.d

1 1

11 1 1

Tableau de Karnaugh

Page 33: Automatismes industriels

Tableau de Karnaugh : 2 - Regrouper

00 01 11 10

00

01

11

10

a.b

c.d

S = a.b.c + a.b.c + a.b.c + a.b.d

1 1

11 1 1

Tableau de Karnaugh

Page 34: Automatismes industriels

Tableau de Karnaugh : 3 – Définir l’équation finale

00 01 11 10

00

01

11

10

a.b

c.d

S = a.b.c + a.b.c + a.b.c + a.b.d

1 1

11 1 1 S = a.b+ a.c S = a.(b + c)

Recommencer

Tableau de Karnaugh

Page 35: Automatismes industriels

mercredi 12 avril 2023

Logique séquentielle

Page 36: Automatismes industriels

Définition

S(t) = f(e1(t),e2(t),…,en(t),S(t-1))

• En logique séquentielle, le niveau de la sortie est certes lié aux niveaux des entrées, mais il dépend aussi des états antérieurs (mémoire) :

Logique combinatoire

État binaire à mémoriser État binaire mémorisé

Logique séquentielle

Page 37: Automatismes industriels

Définition

Page 38: Automatismes industriels

Ce sont des bascules dont la sortie ou l'état de mémorisation dépend à tout instant de l'état simultané des entrées.

Mémoire binaire asynchroneÉtat binaire à mémoriser

État binaire mémorisé

●Applications : Mémoriser un état binaire isolé (bouton

poussoir) Utilisé dans les vieux automates câblés.

Fonctions mémoires asynchrones

Page 39: Automatismes industriels

Bascule RS à porte NANDBascule RS à porte NORLa bascule D à verrouillage ou

bascule LATCHBascule RSH - RST

Fonctions mémoires asynchrones

Page 40: Automatismes industriels

Bascule RS à porte NAND

Q/R /S

1

1

0

0

1

11

1

0

1

1

&/S

Q

&/R /Q

/Q

0

0

01

1

0

0

10

Fonctions mémoires asynchrones

Page 41: Automatismes industriels

Bascule RS à porte NAND

Q/R /S

1

1

0

0

1

11

1

0

1

1

&/S

Q

&/R /Q

/Q

0

0

11

1

0

010

0

10

Fonctions mémoires asynchrones

Page 42: Automatismes industriels

Bascule RS à porte NAND

Q/R /S

1

1

0

0

1

11

1

0

1

1

&/S

Q

&/R /Q

/Q

0

0

11

1

0

10

0

10

1

100

0

01

Fonctions mémoires asynchrones

Page 43: Automatismes industriels

Bascule RS à porte NAND

Q/R /S

1

1

0

0

1

11

1

0

1

1

&/S

Q

&/R /Q

/Q

0

0

10

0

1

10

0

10

1 01

01

Fonctions mémoires asynchrones

Page 44: Automatismes industriels

Bascule RS à porte NAND

Q/R /S

1

1

0

0

1

11

1

0

1

1

&/S

Q

&/R /Q

/Q

0

0

1

0

0

1

10

0

10

1 01

0 1

11

0

1

0

0

Fonctions mémoires asynchrones

Page 45: Automatismes industriels

Bascule RS à porte NAND

Q/R /S

1

1

0

0

1

11

1

0

1

&/S

Q

&/R /Q

/Q

0

0

11

10

0

10

1 01

0

1

11

0

1

0

0

0

1

1

Fonctions mémoires asynchrones

Page 46: Automatismes industriels

Bascule RS à porte NOR

QR S

0

0

1

1

0

00

0

1

0

RQ

S /Q

/Q

1

1

1

0

10

1

1

0

0

>1

>1

Fonctions mémoires asynchrones

Page 47: Automatismes industriels

Bascule RS à porte NOR

QR S

0

0

1

1

0

00

0

1

0

RQ

S /Q

/Q

1

1

10

10

1

1

0

0

>1

>1

0

10

Fonctions mémoires asynchrones

Page 48: Automatismes industriels

Bascule RS à porte NOR

QR S

0

0

1

1

0

00

0

1

0

RQ

S /Q

/Q

1

1

1

0

10

1

1

0

0

>1

>1

0

10

0 0

0

1

11

Fonctions mémoires asynchrones

Page 49: Automatismes industriels

Bascule RS à porte NOR

QR S

0

0

1

1

0

00

0

1

0

RQ

S /Q

/Q

1

1

0

0

10>1

>1

1

10

00

0

1

1

1 01

Fonctions mémoires asynchrones

Page 50: Automatismes industriels

Bascule RS à porte NOR

QR S

0

0

1

1

0

00

0

1

0

RQ

S /Q

/Q

1

1

0

0

10

0

1

0

0

>1

>1

10

10

01

01

1

0

1

11

Fonctions mémoires asynchrones

Page 51: Automatismes industriels

Bascule RS à porte NOR

QR S

0

0

1

1

0

00

0

1

0

RQ

S /Q

/Q

1

1

1

0

10

0

0

0

>1

>1

10

10

01

011 1

01

0 0

Fonctions mémoires asynchrones

Page 52: Automatismes industriels

Bascule RS Symbole général :

S

Q

/Q

R

R

Q

/Q

S

Fonctions mémoires asynchrones

Page 53: Automatismes industriels

La bascule D à verrouillage ou bascule LATCH

QD C

1

1

0

0

X

1

/Q

10

Fonctions mémoires asynchrones

D Q

C /Q

01

Q \Q

La sortie Q, recopie la valeur de la donnée D, ici lorsque C est à 1. Lorsque C est à 0, la valeur en Q est mémorisée, la bascule est verrouillée

Page 54: Automatismes industriels

Bascule RS-H à porte NAND Q

R

Q

1

1

0

1

0

00

0

01

1

&

/S

Q

&/R

/Q

/Q

0

001

1

0

0

10

&

&

H

R

S

S

0

0

1

0

1

1

R S H

1

0

/Q

H

1

Fonctions mémoires asynchrones

Page 55: Automatismes industriels

Bascule RS-H à porte NAND Q

R

Q

1

1

0

1

0

00

0

01

1

&

/S

Q

&/R

/Q

/Q

0

001

1

0

0

10&

&

H

R

S

S

0

0

1

0

1

1

R S H

1

0

/Q

H

1

0

1

0 1

Fonctions mémoires asynchrones

Page 56: Automatismes industriels

Bascule RS-H à porte NAND Q

R

Q

1

1

0

1

0

00

0

01

1

&

/S

Q

&/R

/Q

/Q

0

011

1

0

0

10&

&

H

R

S

S

0

0

1

0

1

1

R S H

0

0

/Q

H

1

0 1

0

10

Fonctions mémoires asynchrones

Page 57: Automatismes industriels

Bascule RS-H à porte NAND Q

R

Q

1

1

0

1

0

00

0

0

1

1

&

/S

Q

&/R

/Q

/Q

0

011

1

0

0

10

&

&

H

R

S

S

0

0

1

0

1

1

R S H

0

0

/Q

H

1

0 1

0

10

0 1

Fonctions mémoires asynchrones

Page 58: Automatismes industriels

Bascule RS-H à porte NAND Q

R

Q

1

1

0

1

0

00

0

0

1

1

&

/S

Q

&/R

/Q

/Q

0

011

1

00

10

&

&

H

R

S

S

0

0

1

0

1

1

R S H

10

/Q

H

1

0 1

0

10

0 1

0

1

110

0

0

Fonctions mémoires asynchrones

Page 59: Automatismes industriels

Bascule RS-H à porte NAND Q

R

Q

1

1

0

1

0

00

0

0

1

1

&

/S

Q

&/R

/Q

/Q

0

010

0

11

10

&

&

H

R

S

S

0

0

1

0

1

1

R S H

10

/Q

H

0 1

0

10

0 1

1 1 0

1 0

Fonctions mémoires asynchrones

Page 60: Automatismes industriels

Bascule RS-H à porte NAND Q

R

Q

1

1

0

1

0

00

0

0

1

1

&

/S

Q

&/R

/Q

/Q

0

1

10

0

11

10

&

&

H

R

S

S

0

0

1

0

1

1

R S H

0

/Q

H

0 1

0

10

0 1

1 1 0

1 0

0 0

0

1 0 1

0 0 1

0 1 1

0 0 0

A compléter

Fonctions mémoires asynchrones

Page 61: Automatismes industriels

Bascule RS-H à porte NAND Q

R

Q

1

1

0

1

0

00

0

0

1

1

&

/S

Q

&/R

/Q

/Q

0

1

10

0

11

10

&

&

H

R

S

S

0

0

1

0

1

1

R S H

0

/Q

H

0 1

0

10

0 1

1 1 0

1 0

0 0

0

1 0 1

0 0 1

0 1 1

0 0 0

A compléter

Fonctions mémoires asynchrones

Page 62: Automatismes industriels

Bascule RS-H à porte NAND Q

R

Q

1

1

0

1

0

00

0

0

1

& Q

& /Q

/Q

0

1

10

&

&

H

R

S

S

0

0

1

0

1

1

R S H

/Q

H

0 1

10

0 1

1 0

1 0

0 0

0

1 0 1

0 0 1

0 1 1

0 0 0

Réfléchissons un peu

1 0

1 0

10

10

1 0

Fonctions mémoires asynchrones

Page 63: Automatismes industriels

Bascule RS-H à porte NAND Q

R

Q

1

1

0

1

0

00

0

0

1

/Q

0

1

10

S

0

0

1

0

1

1

R S H

/Q

H

0 1

10

0 1

1 0

1 0

0 0

0

1 0 1

0 0 1

0 1 1

0 0 0

Symbole général

1 0

1 0

10

10

1 0

R

Q

/Q

SS

R

H

Si H=1, la bascule recopie les entrées S et R sur les sorties Q et /QSi H=0, la bascule garde en mémoire le dernier état des sorties Q et /Q

Fonctions mémoires asynchrones

Page 64: Automatismes industriels

Le système mémorise l'état présent sur son entrée si et seulement si une horloge fournit un signal de synchronisation (front). :

●Applications : Ordinateurs, consoles de jeux Montres électroniques.

Mémoire binaire synchroneÉtat binaire à mémoriser

État binaire mémorisé

Horloge

Fonctions mémoires synchrones

Page 65: Automatismes industriels

Bascule JKBascule D élémentaireLa bascule TBascule Schmitt

Fonctions mémoires synchrones

Page 66: Automatismes industriels

Bascule JK Q

X

0

X

0

X

1

1

/Q

\QQX

0

1

X

1

0

CLK K J

Fonctions mémoires synchrones

J Q

CLKK /Q

Pour J = K = 0, le signal d'horloge est sans effet, il y a conservation du dernier état logique pris par Q et /Q : il n'y a jamais de basculement. Pour J = K = 1, le système bascule à chaque front d'horloge (montant ou descendant selon les modèles). Pour J différent de K, la sortie Q recopie l'entrée J et la sortie /Q recopie l'entrée K à chaque front d'horloge.

Page 67: Automatismes industriels

Bascule JK Q

X

0

X

0

X

1

1

/Q

\QQ

X

0

1

X

1

0

CLK J K

Q \Q

Fonctions mémoires synchrones

J Q

CLKK /Q

Pour J = K = 0, le signal d'horloge est sans effet, il y a conservation du dernier état logique pris par Q et /Q : il n'y a jamais de basculement. Pour J = K = 1, le système bascule à chaque front d'horloge (montant ou descendant selon les modèles). Pour J différent de K, la sortie Q recopie l'entrée J et la sortie /Q recopie l'entrée K à chaque front d'horloge.

Page 68: Automatismes industriels

Bascule JK Q

X

0

X

0

X

1

1

/Q

\QQ

X

0

1

X

1

0

CLK J K

Q \Q

\QQ

Fonctions mémoires synchrones

J Q

CLKK /Q

Pour J = K = 0, le signal d'horloge est sans effet, il y a conservation du dernier état logique pris par Q et /Q : il n'y a jamais de basculement. Pour J = K = 1, le système bascule à chaque front d'horloge (montant ou descendant selon les modèles). Pour J différent de K, la sortie Q recopie l'entrée J et la sortie /Q recopie l'entrée K à chaque front d'horloge.

Page 69: Automatismes industriels

Bascule JK Q

X

0

X

0

X

1

1

/Q

01

X

0

1

X

1

0

CLK J K

Q \Q

\QQ

Q \Q

Fonctions mémoires synchrones

J Q

CLKK /Q

Pour J = K = 0, le signal d'horloge est sans effet, il y a conservation du dernier état logique pris par Q et /Q : il n'y a jamais de basculement. Pour J = K = 1, le système bascule à chaque front d'horloge (montant ou descendant selon les modèles). Pour J différent de K, la sortie Q recopie l'entrée J et la sortie /Q recopie l'entrée K à chaque front d'horloge.

Page 70: Automatismes industriels

Bascule JK Q

X

0

X

0

X

1

1

/Q

01

X

0

1

X

1

0

CLK J K

Q \Q

\QQ

Q \Q

0 1

Fonctions mémoires synchrones

J Q

CLKK /Q

Pour J = K = 0, le signal d'horloge est sans effet, il y a conservation du dernier état logique pris par Q et /Q : il n'y a jamais de basculement. Pour J = K = 1, le système bascule à chaque front d'horloge (montant ou descendant selon les modèles). Pour J différent de K, la sortie Q recopie l'entrée J et la sortie /Q recopie l'entrée K à chaque front d'horloge.

Page 71: Automatismes industriels

Bascule JK Q

X

0

X

0

X

1

1

/Q

01

X

0

1

X

1

0

CLK J K

Q \Q

\QQ

Q \Q

0 1

\Q Q

Fonctions mémoires synchrones

J Q

CLKK /Q

Pour J = K = 0, le signal d'horloge est sans effet, il y a conservation du dernier état logique pris par Q et /Q : il n'y a jamais de basculement. Pour J = K = 1, le système bascule à chaque front d'horloge (montant ou descendant selon les modèles). Pour J différent de K, la sortie Q recopie l'entrée J et la sortie /Q recopie l'entrée K à chaque front d'horloge.

Page 72: Automatismes industriels

La bascule D élémentaire

QD CLK

1

X

0

X

/Q

10

Fonctions mémoires synchrones

D Q

CLK /Q

01

Q \Q

La bascule D la plus simple possède 2 entrées (entrée D et l'horloge) et une sortie Q. À chaque front (ici montant) d'horloge, Q recopie l'entrée D.

Page 73: Automatismes industriels

La bascule T

QT CLK

0

X

1

0

/Q

Q\Q

Fonctions mémoires synchrones

T Q

CLK /Q

\QQ

Q \Q

si T=1, on bascule à chaque impulsion d'horloge

si T=0, la sortie ne change pas (mémorisation)

Page 74: Automatismes industriels

La bascule de Schmitt

Fonctions mémoires synchrones