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LE MAGAZINE D’INFORMATIONS DE LA VILLE DE REIMS - N°339 NOVEMBRE 2018

AT T R A C T I V E

Proximité : acteurs ensemblede notre quotidien

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NOVEMBRE 2018 - REIMS ATTRACTIVE 3

Il est des priorités sur lesquelles nous n’avons jamais voulu transiger ; des efforts qu’il nous a toujours paru fondamental de maintenir et même d’accentuer.C’est dans cet esprit que nous avons érigé, depuis notre arrivée en 2014, la proximité avec chaque Rémois comme la pierre angulaire de notre action.Car vous accompagner, chaque jour, en restant à votre écoute, en répondant à vos attentes et en vous assurant la meilleure qualité de services sont pour nous des missions aussi essentielles qu’indispensables.Soucieux de permettre à un maximum d’entre vous de s’exprimer, nous avons choisi d’amplifier la démarche de concertation (qui avait montré tout son intérêt sur le projet Reims Grand Centre), en l’ouvrant sur des sujets plus concrets, dans chaque quartier, avec l’objectif de co-construire avec vous les projets de demain.Je pense notamment au réaménagement de la place Alexandre de Serbie, à la création d’une zone 30 au niveau du secteur Sébastopol, ou encore à la consultation concernant la réfection de la rue Lecompte pour le quartier Trois Fontaines – La Neuvillette.Des sujets qui vous concernent, qui vous importent, et auxquels nous nous devons de vous apporter la réponse la plus adaptée. Plus qu’une simple mission de service public, nous portons avant tout la volonté de renforcer le bien vivre à Reims.Partout où elle en a compétence, la Ville agit. Pour la rénovation des écoles de nos enfants, afin de leur permettre d’étudier dans les meilleures conditions, pour l’embellissement de nos places, de nos rues, pour la sécurisation des aires de jeux, mais également dans le soutien aux commerçants (dans le centre-ville et dans tous les quartiers), je salue le formidable travail effectué par les agents municipaux qui ne ménagent pas leurs efforts pour faire de Reims une ville où il fait bon s’épanouir. A titre d’exemple, ce sont 180 agents qui œuvrent au quotidien pour garantir la propreté de la cité des sacres.Au-delà de cette mobilisation de tous les instants sur le terrain, nous avons souhaité mettre en place plusieurs mesures d’envergure afin d’améliorer les conditions de vie de chacun d’entre vous, à l’image du lancement prochain du guide d’activités et de la carte 65 + pour les seniors, ou de la fiscalité que nous avons choisi, cette année encore, de ne pas augmenter et ce, malgré la baisse des dotations de l’État et la suppression progressive de la taxe d’habitation.Être au plus proche de vous et à votre écoute est pour mon équipe et moi-même la seule réponse que nous nous devons d’apporter à la confiance que vous nous témoignez depuis quatre années.

ARNAUD ROBINETMaire de Reims

Être avec vous, au quotidien

ÉDITO

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SOMMAIRE

RETOUR SUR ACTUS

ARRÊT SUR IMAGES

ACTUS

COMMERCE – ÉCONOMIE

NOËL

DOSSIER

PROPRETÉ

ÉCOLOGIE URBAINE

SPORT

MÉMOIRE

CULTURE

F INANCES

VIE SOCIALE

EXPRESSION POL IT IQUE

V IE DES QUART IERS

61012151618222426293034353840

CULTURELe Charabia de Barcella à la Cartonnerie

30

REIMS ATTRACTIVERÉDACTION : HÔTEL DE VILLE DE REIMS - DIRECTEUR DE LA PUBLICATION : ARNAUD ROBINET - DIRECTRICE DE LA RÉDACTION : KARINE PUEYO RÉDACTEUR EN CHEF : AYMERIC HENNIAUX - RÉDACTION : AYMERIC HENNIAUX, JEAN-BAPTISTE LABELLE, EN COLLABORATION AVEC YVES DOGUÉ, FANNY LATTACH, ET CATHERINE RIVIÈRE - PHOTOGRAPHE : ALEXANDRE DUMOUTIER - CONCEPTION : HORIZON BLEU - SANDY DEHON - RÉALISATION : SANDY DEHONSECRÉTARIAT : BRIGITTE HENRY, TÉL. : 03.26.77.75.54 - PUBLICITÉ : VILLIERS COMMUNICATION, TÉL. : 06.11.76.13.64 - IMPRESSION : IMPRIMERIE LÉONCE DEPREZÉDITEUR : MAIRIE DE REIMS, CS 80036, 51722 REIMS CEDEX - TIRAGE : 105 000 EXEMPLAIRES - DIFFUSION : ADREXO - DÉPÔT LÉGAL : NOVEMBRE 2018 - ISSN : 0998-0504 - IMPRIMÉ SUR PAPIER CERTIFIÉ PEFC

10-31-1495 / Certifié PEFC / Ce produit est issu de forêts gérées durablement et de sources contrôlées. / pefc-france.org

MÉMOIRECentenaire 14/18 : derniers temps forts,

derniers hommages

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NOËLLa magie commence le 21 novembre…

16

6 REIMS ATTRACTIVE - NOVEMBRE 2018

RETOUR SUR ACTUS

Réception des sportifs rémois

Le 22 septembre, les sportifs rémois qui se sont illustrés cette année ont été

reçus à l’hôtel de ville pour un hommage du maire, Arnaud Robinet, et de

Kim Duntze, son adjointe déléguée aux Sports qui en ont profité pour souligner

la bonne santé du sport rémois, revenant notamment sur la montée en Ligue 1

Conforama du Stade de Reims. Les bons résultats d’autres disciplines comme

l’athlétisme, le basket-ball et le water-polo ont également été mis en avant.

Tous en marche bleue !Organisée dans le cadre de la Semaine bleue, semaine nationale dédiée aux retraités, aux personnes âgées et à l’intergénérationnel, la traditionnelle marche bleue s’est déroulée le 14 octobre au parc des Grenouilles Vertes, en présence de Bernard Landureau, adjoint au maire délégué aux Solidarités, à l’intergénérationnel et aux seniors. Du 14 au 28 octobre, 120 animations et activités, concoctées par la ville de Reims, ont été proposées spécialement aux seniors mais aussi à toute la population.

Les runneurs à la fêteBien plus qu’une simple course, le Run in Reims a une nouvelle fois traversé le vignoble et le patrimoine rémois. Les trois épreuves de l’événement (10 km, semi-marathon et marathon) ont animé les rues de Reims et de ses alentours le dimanche 21 octobre. Sous un joli soleil d’automne, les concurrents ont pu profiter du panorama pendant leur effort. Plus de 13 600 participants étaient inscrits cette année, dont un record pour le 10 km (7 903 coureurs) et le 21 km (4 446).


RETOUR SUR ACTUS

Les 65 + à l’honneurA l’occasion de la Journée internationale des personnes âgées, les seniors étaient les bienvenus pour un temps fort organisé à l’hôtel de ville, le 1er octobre. Sur place, ils ont pu recevoir de nombreux conseils pour vieillir en toute sérénité.

I love Reims campus, top départ de l’année étudiante

Au cours du mois d’octobre, les rendez-vous « I love Reims Campus » se sont installés dans le calendrier

de la rentrée avec quatre soirées spéciales les 3, 4, 9 et 17. Ces rendez-vous gratuits, dédiés au sport, à la culture ou aux rencontres internationales étaient

organisés par la ville de Reims et une trentaine de partenaires. Au programme : échanges, tremplin jeunes talents, challenges sportifs et découverte de la vie rémoise ! Une formule sur mesure pour

les jeunes qui viennent de rejoindre la communauté rémoise, riche de 31 000 étudiants !

Jean Rottner visite l’ensemble des projets rémois

Au côté notamment du maire de Reims, Arnaud Robinet et de Catherine Vautrin,

présidente du Grand Reims, Jean Rottner, le président de la région Grand Est, a visité le 11 octobre l’ensemble des sites du projet

Reims Grand Centre (halles et place du Boulingrin, place de la République, ancien site Sernam, Promenades, pôle d’échange

multimodal). Jean Rottner a notamment poursuivi sa visite au sein de deux quartiers

bénéficiaires du Nouveau programme de rénovation urbaine, avec la découverte de la

place Jean Moulin (Europe) et des Châtillons.


RETOUR SUR ACTUS

Proposer des solutions solidairesLe CCAS et l’Uriopss (Union régionale interfédérale

des organismes privés non lucratifs sanitaires et sociaux) ont orchestré le 17 octobre la 2nde édition

des Assises de la solidarité, au stade Auguste Delaune. Lancé officiellement par le maire Arnaud

Robinet, en présence du préfet de la Marne Denis Conus et de Christian Bruyen, président du

Conseil départemental, l’évènement a regroupé des rencontres et des temps d’échanges entre les

acteurs de terrain institutionnels et partenaires associatifs. Ce rendez-vous a également permis

d’écouter les usagers et de proposer des solutions concrètes sur les questions de solidarité.

Lumière sur l’ère MeijiA l’occasion du 150e anniversaire de l’avènement de l’ère

Meiji, coïncidant avec l’ouverture du Japon à l’Occident, le musée Saint-Remi accueille jusqu’au 13 janvier l’exposition

« Le goût du Japon, voyages et collections à l’ère Meiji », dont le vernissage a eu lieu le 3 octobre, en présence

notamment de Pascal Labelle, adjoint au maire délégué à la Culture, de Catherine Coutant, conseillère municipale

déléguée au Patrimoine immatériel et de Didier Houdelet, conseiller municipal délégué aux Spectacles vivants.

L’occasion de découvrir près de 250 objets d’arts décoratifs japonais des XVIIIe et XIXe siècles issus de l’importante

collection de l’entrepreneur rémois Alfred Gérard.

70 ans de bons et loyaux servicesChargé d’accueillir les groupes scolaires, randonneurs et autres associations sportives, le Centre international de séjour (CIS) a fêté ses 70 ans le 18 octobre. Spécialiste du tourisme jeune et de l’accueil, le CIS a dévoilé pour l’occasion une exposition de photos retraçant son histoire, de sa création en 1948 jusqu’à aujourd’hui.


RETOUR SUR ACTUS

L’École municipale des sports fait sa rentréeDispositif gratuit, l’École municipale des sports s’inscrit comme un tremplin vers les clubs sportifs de la ville de Reims. Lancé depuis la rentrée, ce nouveau programme propose de nombreuses disciplines sportives aux enfants scolarisés à Reims. Une quinzaine d’activités sportives est à découvrir tout au long de l’année. Cette nouvelle structure est ouverte aux enfants âgés de 6 à 11 ans et scolarisés dans un établissement rémois. Toutes les séances se déroulent le mercredi matin et sont encadrées par des éducateurs sportifs de la ville.

Croix-Rouge à la fêteLe parc Saint-Bruno était en pleine

effervescence le 22 septembre, à l’occasion de la fête du quartier. Tout l’après-midi, de nombreuses animations étaient proposées

aux habitants (lecture, tricot, peinture, djembé…). Les plus jeunes ont même pu

profiter d’une grande structure gonflable déployée pour l’occasion. Un beau moment

de partage qui a su rassembler toutes les générations !

Octobre Rose sensibilise toujours

La ville de Reims et ses partenaires ont mis en avant la prévention des cancers du sein (qui reste la première cause de décès des

femmes) et le dépistage de celui-ci, comme chaque année dans le cadre d’Octobre Rose. Pour cette édition 2018, différentes actions

ont été proposées dans la ville (table-ronde, exposition, stands…), avec notamment un

temps fort place d’Erlon le 19 octobre.

ARRÊT SUR IMAGES

Reims, capitale du teqballLes 12 et 13 octobre, la ville de Reims a accueilli la Coupe du monde de teqball au complexe René-Tys. Une première pour une ville française, qui a permis au public de découvrir cette discipline aussi nouvelle que spectaculaire venue de Hongrie. La 2nde édition de l’évènement a réuni une quarantaine de nations qui se sont rencontrées pendant les deux jours. En finale du double, c’est le binôme du Monténégro qui l’a emporté face à la Hongrie, la Roumanie prenant la troisième place. Pour l’anecdote, la cité des sacres compte un club de teqball, le Reims Métropole Teqball, qui est le premier club français à avoir vu le jour en France.


ARRÊT SUR IMAGES


ACCUEILBienvenue aux nouveaux Rémois !Pour faciliter l’adaptation des nouveaux Rémois installés depuis moins d’un an dans la cité des sacres, une journée d’accueil aura lieu le 17 novembre à l’hôtel de ville. Accueil des villes françaises (AVF) et Smile in Reims se font fort d’accompagner les arrivants dans leurs premières démarches. Les personnes arrivées depuis novembre 2017 sont donc invités à se faire connaître par le biais d’un formulaire à se procurer dans les mairies ou maisons de quartier, ou à télécharger également en ligne sur www.reims.fr.

ESPACE FAMILLEDes rencontres pour tous les âgesAu programme des rencontres proposées par l’espace Famille (Maison de la famille, 50 rue Cognacq Jay ):• jeudi 8/11 (18 h-20 h) :

L’enfant de 6 à 11 ans, ce mystère !

• vendredi 23/11 (14 h-16 h) : L’alimentation du jeune enfant.

• vendredi 30/11 (14 h-16 h) : Le temps des tout-petits.

• vendredi 7/12 (18 h-20 h) : soirée d’échanges pour les enfants de 7-10 ans qui pourront, avec leurs parents, jouer, réfléchir, réagir autour de la question du genre et de la discrimination.

Pour cette 2nde édition, la grande nouveauté va résider dans l’ouverture d’un 3e hall pour gagner en confort de visite et pour accueillir sur scène des concerts. Cette nouvelle levée va d’ailleurs compter avec de nombreux invités du monde des jeux en tout genre. Des Youtubers seront notamment présents pour rencontrer leurs fans et animer des conférences : Siphano, vidéaste spécialisé dans le Let’s play (jeux avec commentaires du joueur) et David Lafarge, célèbre passionné du jeu universel Pokémon seront ainsi de la partie à Reims, les deux comptant chacun plus d’1 million d’abonnés sur leur chaîne Youtube. Dans un tout autre style, des spécialistes du doublage de voix

particulièrement connu dans l’animation, à l’image de Patrick Borg – qui assure le doublage de San Goku, personnage de Dragon Ball Z – feront eux aussi le déplacement. Le salon proposera également une salle de projection dans laquelle les visiteurs pourront rencontrer les équipes, participer à des quizz séries et découvrir des avant-premières. n

Game’in Reims, samedi 24 novembre de 10 h à 20 h et dimanche 25 de 10 h à 18 h. Pass 1 jour : 9 € en prévente jusqu’au 8 novembre et 13 € sur place. Pass 2 jours : 14 € en prévente et non disponible sur place. www.gameinreims.fr

Le Game’in Reims prend du galonFort du succès de sa grande première l’an passé, le salon du Game’in Reims revient les 24 et 25 novembre au Parc des expositions de Reims.

DIVERT ISSEMENT

ACTUS

15 premières minutes gratuites en centre-ville

STAT IONNEMENT

Mise en place le 3 septembre, la gratuité du premier quart d’heure de stationnement sur voirie permet

de faciliter le stationnement de courte durée. Ces emplacements représentent 1 698 places et certaines rues placées en zone verte (581 places) sont devenues désormais zones jaune. « L’automobiliste peut stationner 15 minutes gratuites par jour. Il lui suffit de prendre un ticket pour indiquer son heure d’arrivée », précise Laure Miller, adjointe au maire déléguée aux Espaces publics et

à l’écologie urbaine. Ce nouveau dispositif vise à augmenter la rotation des véhicules et ainsi faciliter le stationnement en centre-ville et l’accès aux commerces. n

Cette nouvelle offre instaure une meilleure rotation de

véhicules en cœur de ville.

Le temps d’un week-end, le Parc des expositions deviendra le paradis des fans de jeux vidéo ou de plateforme.

RE IMS GRAND CENTRE

Les chantiers succèdent aux projetsA toutes les questions qu’ils se posent sur Reims Grand Centre, les Rémois trouveront prochainement des réponses à la « Maison du projet », qui sera installée rue de Mars devant les halles du Boulingrin.

FESTIVAL DES SOLIDARITÉS

Le monde bouge, et nous ?

Du 17 au 30 novembre aura lieu le Festival des solidarités, une série de

manifestations culturelles, sportives et artistiques qui

interpellent et prêtent à l’échange d’idées, qui portent

les valeurs d’ouverture, d’entraide et de paix et ont vocation à rassembler les

Rémois dans la convivialité et la bienveillance. Le coup

d’envoi sera donné le 17 sur la place d’Erlon et le

parvis de la gare. De 11 h à 19 h, ces espaces piétons

seront investis par des démonstrations de danses

du monde, d’arts de combat, une fanfare, une dégustation

de mets culinaires, un mur d’expression, des porteurs

de paroles… L’événement de clôture, qui aura pour cadre

les halles du Boulingrin le vendredi 30, proposera des

animations ludiques en parallèle du marché bio et

favorisera la rencontre avec les associations solidaires. De

nombreux rendez-vous sont prévus entre les deux dates,

préparés par le collectif Festisol, sous la coordination

du Ludoval et soutenus par des partenaires publics et

privés, dont la Ville.

www.festivaldessolidarites.org

ACTUS

Le temps d’un week-end, le Parc des expositions deviendra le paradis des fans de jeux vidéo ou de plateforme.

Des ambassadeurs du projet accueilleront, dans quelques semaines, dans un bungalow les visiteurs qui pourront aussi s’immerger dans le projet grâce à des vidéos en 3D.

Arena : un projet 3 en 1Les chantiers des Promenades et du complexe aqualudique sont maintenant bien engagés, celui de la future Reims Arena est dans les tuyaux. Approuvé par le Conseil municipal une semaine plus tôt, le contrat de concession a été signé le 1er octobre avec le groupement retenu, par Arnaud Robinet, maire de Reims, Marc Legrand, président des concessions Eiffage et Olivier Roux, vice-président de GL Events. « C’est un équipement majeur que la 12e ville de France se devait d’avoir » a réaffirmé Arnaud Robinet, soulignant que cette construction sera couplée avec la modernisation du Centre des congrès et du Parc des expositions, pour que Reims présente une offre globale d’accueil événementiel de haut niveau. Au total, ce sont quelque 76 M€ qui seront investis dans ce « projet 3 en 1 ».

100 places de stationnementD’un point de vue pratique, rappelons qu’un nouveau parking de 100 places a été aménagé à l’angle du boulevard Joffre et de la rue du Chaix d’Est Ange (l’entrée se faisant par cette dernière), de façon à recréer du stationnement dans le secteur et à faciliter l’accès aux services et commerces. Le stationnement y est gratuit dans la limite de deux heures, sur présentation à l’avant du véhicule du disque bleu. 27 places supplémentaires viendront le compléter au 1er semestre 2019. Ce parking est ouvert provisoirement dans l’attente de la requalification du secteur Tri Postal pour laquelle une concertation sera lancée début 2019. Comme lors des précédentes phases d’échanges avec la population sur Reims Grand Centre, les habitants seront invités à participer à différents rendez-vous pour s’informer, préciser leurs usages actuels du secteur gare et leurs besoins futurs, mais aussi proposer leurs idées. n


Sur l’ancien site Sernam, les ouvriers s’affairent sur le chantier du complexe aqualudique.


Qu’est-ce que le Contrat de ville ? A la fois un diagnostic des territoires prioritaires de la ville et un ensemble d’orientations stratégiques qui visent à améliorer les conditions de vie de leurs habitants. Le contrat en cours s’applique à sept territoires regroupant 33 000 habitants : Croix Rouge, Wilson-Maison Blanche-Châtillons, Europe, Epinettes-Chemin des Bouchers-Maladrerie, Chalet-Solférino-Paul Petit, Orgeval, et Walbaum. « Le Contrat de ville est l’accompagnement humain pour la promotion d’une nouvelle vision découlant de la transformation urbaine ; c’est l’humain dans l’urbain », précise Fatima El Haoussine, adjointe au maire déléguée à la Politique de la ville. Depuis 2015, les partenaires signataires financent des actions de terrain qui développent la cohésion dans les quartiers et dans la ville. « La volonté est de renforcer les activités éducatives, économiques, culturelles, sportives et le faire et vivre ensemble, mais aussi d’encourager les talents des quartiers, les promouvoir et les soutenir », complète l’élue. Un appel à projets est lancé chaque année dans ce cadre pour susciter et soutenir des initiatives correspondant aux besoins identifiés sur chaque territoire. Les Conseils citoyens, composés d’habitants et d’acteurs locaux, participent au choix des projets lauréats.

Nouvel appel à projets« Quand les métiers mènent à l’or » fait partie des projets soutenus en 2018 avec, en fil conducteur, la Coupe du Monde féminine de la FIFA qui se

jouera en partie à Reims. Au contact d’anciennes et d’actuelles joueuses, des élèves du collège Joliot Curie à Croix-Rouge mènent une réflexion sur l’égalité hommes-femmes et abordent les métiers du textile et du marketing à travers la conception d’un maillot de foot. Changement de contexte aux Châtillons où l’initiative lancée par l’association #Projets permet aux habitants, au sein d’ateliers collectifs, de raviver les vieux meubles pour leur offrir une seconde vie plutôt que les abandonner comme des déchets. A Orgeval, la maison de quartier mobilise autour d’elle tout un réseau de solidarités pour repérer les personnes isolées, organiser des

visites et un suivi à domicile, et les rapprocher des services de proximité. Avec des 4e des collèges Paul Fort à Reims et Mont d’Hor à Saint-Thierry, l’association Nova Villa utilise, quant à elle, la culture comme un instrument de questionnement et d’ouverture sur l’autre, la société, l’actualité, le monde… Voilà pour quelques exemples concrets des petites pierres qui construisent un quotidien plus doux. Un nouvel appel à projets est lancé pour l’année 2019. Il est ouvert aux porteurs de projets innovants, partenariaux, contribuant à la promotion de l’égalité homme-femme. Les dossiers peuvent être déposés entre la mi-novembre 2018 et la mi-janvier 2019. n

ACTUS

CONTRAT DE VILLE

Des actions, des liens, de la cohésionQuel est le point commun entre le collège Joliot Curie, la Coupe du monde féminine de la FIFA 2019 ou encore la lutte contre l’isolement de certains habitants ? Réponse : le Contrat de ville.

Le projet « Quand les métiers mènent à l’or » a été lancé le 18 octobre au collège Joliot Curie.


COMMERCE - ÉCONOMIE

PROXIMITÉ

La rue de Cernay conserve sa dynamiqueEntretenir la vie de quartier est l’un des objectifs quotidien de la municipalité. Du côté de la rue de Cernay, les commerçants œuvrent pour maintenir son attractivité.

L’atmosphère d’un quartier se perçoit dans ses lieux atypiques. Le bar « Le Revard » (162 rue de Cernay) et sa res-ponsable, Annie Jallamion en font partie. Implantée dans la rue de Cernay depuis maintenant plus de 15 ans, la propriétaire des lieux a pu suivre l’évolution du quar-tier. « La gratuité du parking dans la rue et la conservation de la circulation à double sens sont des bons points pour l’activité commerçante », souligne Annie Jalla-mion. « La majorité de mes clients habitent la rue et le quartier. On y vient de génération en génération ». La rue de Cernay compte

de nouveaux commerces depuis l’année dernière, un témoin d’une bonne attractivité dans le secteur. « Tous les commerçants se serrent les coudes et s’entraident mutuel-lement », ajoute la propriétaire du bar « Le Revard ». Surnommée par le passé le « petit centre-ville de Reims », la rue de Cernay a donc su conserver sa dynamique, mais aussi son identité. n

Un Labo humain et collectif

FORMAT ION

Espace de parole sécurisé et authentique, le Labo propose la formation et de l’accompagnement pour les dirigeants. Habitée par la philosophie d’une entreprise libérée, la structure offre plusieurs sessions pour faire évoluer les managers demandeurs

d’une aide extérieure. La première d’entre elles se déroule le 8 novembre au sein des bureaux des Ressources et des Hommes (16 rue Gabriel Voisin). Le Labo accompagne les entreprises dans leur démarche de mutation grâce à cette formation regroupant de 3 à 10

dirigeants. Le but étant de bien vivre le changement plutôt que de le subir. n

5 jeudis de formation de 9 h à 18 h : 8 novembre, 17 janvier 2019, 21 mars, 9 mai et 4 juillet. Informations : 03.26.79.74.38. / contact@desressourcesetdes hommes.com

TERROIRSavourer la finesse de la truffePour sa 7e édition, le marché aux truffes d’automne se déroulera le 17 novembre au musée Saint-Remi, de 10 h à 17 h. Depuis une décennie, le relais est réalisé par une plantation truffière de qualité pour la production d’automne de Champagne-Ardenne. Les producteurs régionaux seront présents et une démonstration de chiens truffiers aura lieu au cours de la journée. L’accès est libre et gratuit.

COWORKINGRegus : travailler selon vos besoinsLeader mondial du travail flexible, Regus s’adapte aux besoins de chacun. Disposant déjà d’un espace de travail partagé implanté au sein du quartier Clairmarais à Reims, la société compte y ouvrir un second centre prochainement. Situé au 9-11 rue Gaston Boyer, Regus propose 1 300 m² et 150 postes de travail.

Le bar « Le Revard » a vu se succéder plusieurs générations d’habitants de

la rue de Cernay.

Le Labo apporte une aide aux dirigeants et place l’humain au cœur de l’entreprise.

NOËL

Comme chaque année, à quelques semaines du réveillon, la ville se drappe de ses habits de Noël, entre animations et illuminations. C’est sûr, les regards des petits et des grands vont une nouvelle fois s’enflammer. Le marché de Noël (du mercredi 21 novembre au vendredi 28 décembre, fermé le 25 décembre), les animations des Vitrines de Reims, la grande roue seront toujours très plébiscités pendant cette période attendue avec impatience pendant onze mois. Sans oublier tout un lot de surprises…

Le marché de Noël : chalets, artisans et tout pour les enfantsComme lors des deux précédentes années, le parvis de la Cathédrale et la cour du palais du Tau accueilleront les chalets (145), proposant un copieux menu de produits gastronomiques, artisanaux ou festifs. La musique sera de la partie, les mercredis et vendredis après-midi, avec une ambiance jazz et les samedis et dimanches après-midi avec la déambulation de groupes. Le Village des artisans (18 chalets) et la Crèche italienne investiront la cour du palais du Tau. Le Royaume des enfants proposera, lui, un spectacle d’automates « A la découverte du grand nord ». Le Père Noël y établira son domicile jusqu’au 24 décembre, date de son départ pour sa grande tournée. La patinoire offrira aux plus petits une formidable occasion de découvrir les joies de la glisse… et des premières chutes. Cinq accès permettront de pénétrer dans cet espace où l’on trouvera forcément ce que l’on cherche. Que ce soit par « Rockfeller », la rue Tronsson Ducoudray, par le Trésor, le palais du Tau ou la rue Robert de Coucy, l’entrée ne se fera – sécurité oblige – qu’après un

contrôle physique.Ouverture tous les jours de 10 h 30 à 20 h, lundi de 14 h à 20 h, vendredi et samedi nocturnes jusqu’à 21 h.

Les animations : Caraïbes, Bretagne et Stade de ReimsLes Vitrines de Reims et la Ville ont concocté un beau pro-gramme d’animations sur le Marché de Noël, place d’Erlon et place du Forum les samedis et dimanches (14 h à 18 h) : musique caribéenne (24 et 25 novembre), musiciens de parade et bandas (1er et 2 décembre), Color Guard et les Gilles de Tourcoing (8 et 9 décembre), Bagad, musique festive (15 et 16 décembre), Royal Emulation Stavelot et musiciens Police montée (22 et 23 dé-cembre). Pour les plus sportifs, il ne faudra pas manquer la séance de dédicaces des joueurs du Stade de Reims le mercredi 19 décembre (16 h à 18 h).

La grande roue : Reims vue du cielDu côté de la place d’Erlon, entre la fontaine Subé et celle de la Solidarité, cinquante mètres de haut, trente-six cabines fermées, chauffées et sonorisées, emmèneront les visiteurs pour plusieurs tours et huit minutes inoubliables. Il vous en coûtera 8 € (adultes) ou 6 € (enfants). La grande roue fonctionnera du 21 novembre au 6 janvier de 10 h 30 à 22 h (les vendredis et samedis jusqu’à minuit).

Le parcours lumineux : à travers les bullesEntre la gare et le Boulingrin, en empruntant un itinéraire tortueux, vous pourrez traverser des « boules » de lumière. En suivant ce parcours lumineux, le visiteur attiré par les fastes du marché de Noël rémois passera de la gare à la place d’Erlon et sa grande roue, puis aux Loges Coquault, à Carnegie, à l’Opéra et au Cellier ou au Forum.

Des illuminations dans les rues, dans les yeux et dans les cœurs…Noël approche. Depuis plusieurs semaines, on s’affaire en coulisse pour que la fête soit belle et lumineuse.


NOËL

Parcours lumineux : Kopa et l’ange au sourireLe visiteur d’un soir pourra également déambuler en centre-ville, au gré d’une mise en scène lumineuse des symboles phares de notre ville : le biscuit rose, la Victoire ailée, le mythique maillot n° 9 du Stade de Reims, le champagne, le Luchrone et l’Ange au sourire. Dissémi-nés dans des points stratégiques, ces écrans de lumière illumineront le bout de la place d’Erlon, l’ar-rière du Palais du Tau, le Cryp-toportique, les halles du Boulin-grin ou encore la place Jules Lobet. De 18 h à minuit.

Noëls de l’art : seize œuvres en compétitionCent ans après, les métiers d’art se souviennent. En souvenir de la Grande Guerre, le concours « Les Noëls de l’Art » récompensera quatre artisans qui auront créé une œuvre spéciale-ment pour l’occasion (prix de la ville de

Reims, de la Chambre de métiers de la Marne, de la région Grand Est et de la Banque popu-laire Alsace Lorraine Champagne). Le public est invité à voter pour son œuvre favorite (le 18 novembre lors du marché des artisans d’art au Boulingrin). L’exposition sera ou-verte du mardi au di-manche de 14 h 30 à 18 h 30 dans le péristyle de l’Opéra (du 20 no-vembre au 5 janvier sauf 25 décembre et 1er janvier). Elle présen-tera les seize œuvres en compétition. Sur la ligne de départ, on

trouvera différentes disciplines : travail du cuir, tapisserie, céramique, lutherie, ébénisterie, reliures, sculpture, vitrail…

Partout en ville, des selfies avec le Père NoëlLa place Jean-Moulin va connaître une belle effervescence pour la fin d’année. Le vendredi 7 décembre, de 16 h à 18 h 30, la maison de quartier organise avec les commerçants des environs un temps de fête. Le Père Noël sera présent pour l’occasion et se prêtera aux incontournables selfies réclamés par les tout-petits ou leurs parents. Quelques animations se dérouleront dans les chalets : figurines à habiller, bricolage, décoration. Le tout en musique avec la fanfare « Les boules de feu ». Au Chemin Vert aussi, on prendra quelques libertés avec les dates des fêtes de fin d’année : le marché de Noël aura lieu le 18 novembre (10 h à 18 h). Sur la place des Argonautes enfin, le Père Noël viendra en calèche distribuer des bonbons aux enfants le mercredi 19 décembre de 14 h à 17 h. n


DOSSIER


DOSSIER

Concertations et proximité… la Ville agit au quotidien !Actrice du quotidien, la ville de Reims est l’échelon de proximité par excellence. Fort de sa volonté d’être le maire de tous les Rémois, Arnaud Robinet oriente son action et celle de son équipe afin d’être au plus près des attentes des habitants.

La ville de Reims est présente en permanence, sept jours sur sept, dans tous les quartiers afin de garantir aux Rémois une qualité de services au quotidien.Les agents municipaux se démènent pour maintenir une ville propre, rénover les écoles, entretenir les espaces verts (aires de jeux), soutenir les commerçants, travailler à l’embellissement des places… et ainsi répondre aux nombreuses sollicitations. Au-delà des agents, chevilles ouvrières de l’action de la Ville, Arnaud Robinet a exigé de son équipe écoute et réactivité. A titre d’exemple, les élus rémois sont présents chaque dimanche, en alternance, sur le marché Jean-Jaurès ou le marché Sainte-Anne, de 9 h 30 à 12 h, afin de recueillir les demandes des administrés.

Les Rémois associés aux travaux d’embellissement de leur villeAu-delà des Conseils de quartier et Conseils citoyens, assemblées ci-toyennes de proximité qui travaillent à l’amélioration du cadre de vie, la mu-nicipalité a souhaité amplifier la démarche de concertation. Ainsi, la Ville a organisé de nombreuses réunions de concertation à l’occasion des travaux programmés dans les différents quartiers afin de co-construire les projets. Ces discussions ont par exemple débouché sur le réaménagement de plusieurs lieux comme la place Alexandre de Serbie, où les enfants de l’école Roux, les rive-rains et le Conseil de quartier Wilson - Maison Blanche - Sainte-Anne ont travaillé plans en main pour imaginer un square de quartier convivial et utile pour tous. Au sein du quartier Cernay – Epinettes – Jamin - Jaurès, une réunion de concertation a également abouti à un aménagement d’une zone 30 au niveau du secteur Sébasto-pol, dans le cadre de la réfection de cette rue. Dans le secteur la Neuvillette - Trois Fontaines, c’est la rue Lecompte qui, sur le même principe de consultation de la population, a vu ses aménagements entérinés par les riverains. Lieu emblématique du quartier Orgeval, la rénovation de la place de Fermat est un engagement fort d’Arnaud Robinet pris dès 2014. Depuis 2016, le projet fait l’objet d’un échange au long cours avec les riverains. Une réflexion qui a conduit au lancement des travaux à la fin de l’été. Ce lieu va bénéficier de nouveaux espaces verts sur sa partie centrale mais également d’une requalification des accès pour optimiser la sécurité et la visibilité des


DOSSIER

lieux. A Murigny, c’est cette fois la place René Clair et ses alentours qui vont être réaménagés. Un projet de plusieurs mil-lions d’euros. Espérée par les habitants du quartier depuis plusieurs années, cette

réhabilitation s’est faite en concertation avec les conseillers de quartier et les com-merçants des lieux qui ont pu suivre l’évo-lution du projet au fil de leurs rencontres avec les élus et les services de la Ville.

Partout, le désir de végétalisation est comblé par une démarche originale pilotée par les Conseils de quartier. Chaque Rémois peut se voir accompa-gné pour participer à la végétalisation de son trottoir si la configuration de ce-lui-ci le permet.

La concertation citoyenne sur Reims Grand Centre, une première à ReimsProjet phare de la municipalité, Reims Grand Centre va transformer un large secteur de la ville tout en offrant des équipements d’ampleur attendus par les Rémois (complexe aqualudique, grande salle évènementielle, transformation des Promenades). La participation des habitants a été largement requise. A l’issue d’un grand tirage au sort de plus de 8 000 Rémois, toutes les bonnes volontés ont été sollicitées pour imaginer les usages du projet. Une concertation qui a aussi donné une place toute particulière aux associations (notamment les associations sportives pour le complexe aqualudique). Une demi-douzaine de rendez-vous ayant rassemblés plus d’un millier de Rémois ont ainsi eu lieu sur une année. Aujourd’hui en phase opérationnelle, Reims Grand Centre dotera la ville, d’ici deux ans, d’infrastructures répondant au plus près aux attentes des habitants (fin du chantier des Promenades : été 2019, complexe aqualudique : ouverture mi-2020, 1er concert dans la grande salle fin 2020).

La participation citoyenne : une sécurité de proximitéVéritable facilitateur de sécurité au quotidien, la participation citoyenne, dispositif développé par la Police nationale en lien avec les habitants, se développe dans plusieurs endroits de Reims. Depuis juillet 2016, les jardins familiaux bénéficient de cette convention, tout comme la Lézardière à Croix-Rouge et le quartier Murigny. Plus récemment, Soleil-Couchant à Croix-Rouge et la cité du Dépôt à Orgeval se sont inscrits dans le processus. Au Chemin Vert, la démarche pour y participer est engagée depuis le mois d’octobre.

La place Alexandre de Serbie a été inaugurée le 3 juillet dernier.

Plus de 8 000 Rémois ont été associés à la concertation du projet Reims Grand Centre.

Les premières conventions de participation citoyenne ont été signées à l’été 2016.


DOSSIER

Mairies de proximité, un relais préservé pour le citoyenInstallées au cœur des quartiers, ce sont des lieux de première proximité avec les habitants. Les mêmes démarches que celles proposées à l’hôtel de ville y sont possibles, offrant ainsi une réponse de proximité pour tous. Tandis que de nombreuses villes ont décidé pour des raisons budgétaires de supprimer ces antennes, Arnaud Robinet a fait le choix de maintenir ces services publics utiles à tous. A Reims, du lundi après-midi au samedi matin, les cinq mairies de proximité, offrent donc un lien indispensable pour les habitants. Au-delà des antennes présentes à Europe, Croix Rouge, Châtillons, Orgeval et Murigny, la Mairie mobile vient également à la rencontre des habitants tout au long de la semaine dans chacun des quartiers de Reims.

Plus d’informations : 03.26.77.78.79 /

www.reims.fr/mairies-de-proximité

Dernière en date, la mairie de proximité Europe a été inaugurée en mai 2016.

La Ville investit pour les maisons de quartier, vectrices de lien social indispensable« Une maison de quartier s’inscrit au cœur de l’animation de la vie sociale et culturelle de son quartier d’implantation. Reims est en cela une des villes les mieux équipées en France sur ce plan », rappelle Mario Rossi, adjoint au maire délégué à la Proximité. Les maisons de quartier permettent la rencontre de tous les publics en favorisant les échanges et renforcent ainsi le lien social. A Reims, les habitants peuvent ainsi profiter de 14 maisons de quartier disposant pour certaines de plusieurs espaces. Consciente de l’importance de ces lieux pour le bien vivre, l’équipe municipale a souhaité accompagner la dynamique et doter l’ensemble de la ville d’équipements modernes, fonctionnels et répondant vraiment aux attentes des habitants. Maisons de quartier aux Épinettes, à Croix-Rouge, aux Châtillons, halte-garderie à Trois fontaines… dans les années à venir, des équipements de proximité vont venir enrichir davantage

encore l’offre de services et de loisirs à disposition de tous les habitants. C’est en ce sens que la maison de quartier des Épinettes va se reconstruire en entrée de ville dans le cadre de la rénovation du secteur Sainte-Thérèse, le long du pont

de Witry. La première pierre de ce projet a été posée le 10 octobre et les travaux s’étendront sur une durée d’un an pour une livraison prévue en octobre 2019.

www.maisondequartier-reims.fr

La future maison de quartier des Épinettes s’étendra sur près de 1 050 m².

« La proximité ne se décrète pas, il s’agit avant tout de prendre en compte les avis des habitants qui sont les meilleurs connaisseurs de leur ville, car ils la vivent au quotidien. D’où mon souhait d’associer largement les Rémois aux projets d’aménagement. C’est cette même volonté d’écoute qui fait que je reçois tous les Rémois qui en font la demande le samedi matin dans mon bureau. Je participe aussi régulièrement aux Conseils de quartier, sans fanfare, ni trompettes, afin d’entendre sans filtre les demandes. »

ARNAUD ROBINETMaire de Reims


PROPRETÉ

UNE VILLE plus propre3 000

corbeillespour papiers et cigarettes

+ de 9millions d’euros

consacrés tous les ansà la propreté

640conteneurs enterrés

85espaces chien

1,5million de sacs

à déjections caninesdistribués

La municipalité consacre chaque année un budget important pour la propreté. Entre les agents déployés sur le terrain au quotidien et les nombreux dispositifs existants à portée des habitants, tout est fait

pour améliorer ensemble le cadre de vie.

7j/7, le service Propreté veilleIls sont chaque jour plusieurs dizaines à se déployer partout dans la ville (180 au total, déployés 7j/7 de 4 h à 17 h), pour assurer les tâches de nettoiement sur les voiries communales, les trottoirs, les caniveaux et les places publiques. Dans le détail, les agents municipaux du service Propreté assurent ainsi au quotidien le balayage manuel des trottoirs et des caniveaux, le balayage et le lavage mécanique des grands axes, la lutte contre les gra�tis et l’a�chage sauvage, l’élimination des dépôts sauvages, l’entretien des terrains municipaux, sans oublier le nettoiement des marchés de bouche, des rues après manifestations et la viabilité hivernale des trottoirs d’accès aux abords des lieux publics.

Découvrez Recycl’LabA l’initiative du Grand Reims, et avec le soutien des associations Vél’Oxygène, SEL et de la JCE de Reims, le Recycl’Lab a ouvert ses portes le 30 mai dernier à Reims, place Paul Claudel. Ce nouvel espace est dédié à la prévention et la valorisation des déchets.

Se débarrasser de ses encombrantsUn service de collecte à domicile des encombrants existe à Reims. Réalisé par Emmaüs, il permet (moyennant une participation �nancière) de se séparer de certains meubles et de ses appareils électroniques. Une plaquette informative est disponible à l’hôtel de ville et dans les mairies de proximité. Elle est également téléchargeable sur le site grandreims.frAllo Propreté : 03.26.77.71.11

180agents

chargés de la propreté20 000gra�tis e�acés

chaque année


ÉCOLOGIE URBAINE

CADRE DE VIE

Des composteurs partagés à travers ReimsMis en place avec des habitants sur l’espace public, les composteurs partagés sont un moyen simple d’obtenir du compost tout en réduisant nos déchets. Cinq installations sont en place dans la ville depuis le début du mois.

Opérationnels depuis peu, les composteurs partagés

sur l’espace public complètent les solutions proposées aux Rémois

dans la gestion des déchets organiques

(déchets verts et déchets de cuisine).

Après une phase de concertation, ces installations

sont désormais disponibles sur cinq sites à travers la cité des sacres : au centre-ville au niveau du square des Capucins, rue du Jard, square des Cordeliers et au sein du quartier Clairmarais au niveau des places Magneux et Sainte-Claire. Lancé à l’initiative de la ville de Reims et du Grand Reims, ce projet a

pour but d’impliquer les Rémois dans la gestion des déchets. « L’objectif est de compléter l’action déjà importante de notre collectivité en matière de compost, en permettant à chaque habitant, bénéficiant d’un jardin ou non, d’adhérer à cette démarche écologique. Cette dernière permet de rendre à la terre ce qu’elle nous a donné, tout en réduisant nos déchets au quotidien », souligne Laure Miller, adjointe au maire déléguée à l’Écologie urbaine et aux espaces publics. En fonction des difficultés rencontrées, un suivi des installations sera effectué tous les trois mois. n

Plus d’informations au standard tri-info : 03.26.02.90.90.

COLLECTE

Coup de jeune sur les bornes textiles

SOLIDARITÉCollecte au profit du TéléthonDu 4 au 11 décembre, le Grand Reims se mobilise pour donner du poids à la recherche par le recyclage de papiers. En 2017, la collecte organisée par la communauté urbaine a permis le versement pour l’AFM Téléthon d’un don de 2 490,48 €. Il est possible de donner ses papiers via les collectes en porte à porte sur l’ensemble du territoire et dans les bornes à papier au sein des déchetteries de Reims, Tinqueux, Sillery et Saint-Brice Courcelles.

Les composteurs sont à la disposition des habitants.

Une fois collectés, les textiles sont triés avant d’être acheminés vers leur nouvel usage.

Une centaine de bornes textiles sont réparties sur l’ensemble des quartiers de la ville, pouvant accueillir jusqu’à 200 kg par conteneur. Le contenu de ces bornes peut mener à plusieurs types de recyclage, comme le réemploi classique du textile qui représente 60 %. D’autres usages peuvent être trouvés : isolants, chiffon d’essuyage, béton, isolation phonique… Ces bornes accueillent tout type de textile : vêtements, draps, serviettes, chaussures (à lier par paires). Seule condition : que les textiles apportés soient propres et secs (les textiles abimés sont acceptés). Par votre don, vous réduisez le poids de votre poubelle et vous contribuez à l’activité économique

de trois entreprises de collecte dont le chantier d’insertion rémois Fripe Emmaüs. n


ÉCOLOGIE URBAINE

Les stades Géo André et de la Neuvillette bénéficient actuellement de travaux d’aménagement pour être équipés de terrains en gazon synthétique. A Géo André, situé avenue François Mauriac, un terrain de ce type existait déjà, mais il fallait le remplacer après une dizaine d’années de bons et loyaux services. A La Neuvillette, c’est le terrain de foot près du cimetière qui va connaître cette transformation pour la première fois. A la place de l’herbe – vite transformée en gadoue en cas de mauvaises conditions météorologiques – un gazon synthétique sera positionné sur 6 825 m², ce qui permettra aux joueurs de l’AS

Neuvillette et de l’AS Jamin, qui ont fusionné, de s’entraîner par tous les temps. Les travaux ont démarré fin octobre pour un coût global d’environ 350 000 € pour Géo André et 500 000 € pour La Neuvillette. n

Une fois par trimestre, deux contrôleurs de la direction des Espaces verts partent en mission équipés d’un appareil indiquant les points de contrôle à vérifier sur les 135 aires de jeux situées dans les parcs et squares rémois. Fonctionnement des équipements, signes d’usure, stabilité : rien ne leur échappe. Ce suivi, obligatoire pour assurer la sécurité maximale des enfants, est consigné dans un logiciel. Selon les besoins, et tant que des pièces détachées sont disponibles, les jeux sont réparés. Une maintenance malheureusement trop fréquente à cause des incivilités (tag, gravure, casse) sur différentes aires et ce, quels que soient les quartiers, coûte, chaque année, environ 40 000 € en frais de

réparation. Parallèlement aux contrôles trimestriels, le revêtement des aires est, lui, vérifié tous les trois à cinq ans. La vigilance reste permanente puisque des contrôles visuels sont réalisés sur toutes les aires une fois par semaine par les agents de la Ville. Par ailleurs, trois sites sont en cours de rénovation depuis début octobre : réfection complète de l’aire du square Charles Sarazin et de ses allées (98 000 €), changement total de la structure et des jeux dans le parc Saint John Perse (60 000 €) et rénovation de l’aire de la place Verte, rue Paul Vaillant Couturier (35 000 €). Ces chantiers devraient être achevés d’ici la fin de l’année. n

SPORT

Deux nouveaux terrains en gazon synthétique

FLEURISSEMENTPlantations automnales dans les massifsLes agents des Espaces verts ont réalisé, mi-octobre, de nouvelles plantations dans une centaine de points de fleurissement répartis dans toute la ville. Comme pour les massifs d’été, le bleu et le blanc, couleurs qui symbolisent la paix, ont été choisis pour les futures compositions. Les pensées, pâquerettes et autres narcisses n’ont plus qu’à laisser passer l’hiver et attendre le retour du printemps pour éclore et embellir la ville.

PARCS ET SQUARES

Des aires de jeux sous haute surveillanceToboggans, jeux à ressort, cordages : les jeux pour enfants, et les aires sur lesquelles ils sont installés, font l’objet d’une surveillance rapprochée par la Ville. Un impératif pour que plaisir rime avec sécurité.

La ville de Reims compte au total près de 135 aires de jeux.

Les travaux devraient durer entre un et deux mois selon les chantiers.

SPORT

COMPÉTIT ION

FOOTBALL

Trail des Forts : de l’Histoire au sportLe tout premier Trail des Forts s’élancera du Fort de la Pompelle le samedi 10 novembre. Cette épreuve symbolique est lancée à l’occasion du centenaire de la Grande Guerre et se matérialisera par un trail multi-activité.

Créés à l’origine pour défendre les villes, les forts ont aujourd’hui leur course ! Le Trail des Forts se disputera sur un parcours de 36 km, au départ du Fort de la Pompelle jusqu’au stade Auguste-Delaune. Cette 1re édition va se diviser en trois temps : 10 km de run and bike, 25 km de VTT et 1 km de course. Sans objectif de résultat, ce

parcours se déroulera dans un esprit bon enfant qui conduira les engagés à travers le Grand Reims en empruntant le massif de Berru, Cernay-lès-Reims par les vignes, pour un retour par Witry-lès-Reims avant de terminer le long du canal de Reims. L’ensemble du tracé emprunte exclusivement les chemins d’associations foncières et les chemins

communaux. En ce qui concerne les parcours, les premiers kilomètres seront relativement abordables, puis cela se corsera avec une montée dans les vignes puis une descente vers Cernay avant une fin de tracé en faux plat montant. n

Le quota d’inscriptions est déjà atteint.

Coupe du monde féminine 2019 : la billetterie est officiellement ouverteLa dernière ligne droite vers la Coupe du monde féminine de la FIFA a démarré avec l’ouverture officielle de la billetterie grand public le 19 octobre. Le lancement officiel à Reims a eu lieu, lui, le 5 octobre au sein du salon Raymond Kopa du stade Delaune. A moins de neuf mois du début de la compétition, l’appel à volontaires est toujours en cours. Si vous êtes motivé, majeur et disponible

sur la période de compétition à Reims (8 au 24 juin 2019), vous pouvez postuler à cette adresse : ems.fifa.com/volunteer/login/fwwc19. Le recrutement devrait se poursuivre jusqu’en décembre. Lors de la compétition, quatre terrains d’entraînement seront mis à disposition des équipes : deux au centre de vie Raymond Kopa, un à Witry-lès-Reims et 1 à Bezannes. A noter que nous saurons

quelles équipes joueront à Reims lors du tirage au sort de la phase finale réalisé le 8 décembre à Boulogne-Billancourt. n

Réservez vos billets sur tickets.fwwc19.fr

NATATIONLe grand baptême de plongéeDiscipline toujours impressionnante, la plongée est proposée dans quatre clubs rémois. Des baptêmes sont organisés par l’Europe Club Plongée (piscine des Thiolettes, le samedi à 17 h 45), le GASM (piscine Orgeval, mardi à 20 h 30 et pour les enfants uniquement le samedi à 18 h), l’Archimède (Orgeval, jeudi à 20 h 30) et les Hommes grenouilles de Reims (Orgeval, mercredi et vendredi à 20 h 15). Ces initiations à la plongée sont proposées à partir de 8 ans.

Le maire, Arnaud Robinet et son adjointe aux Sports, Kim Duntze, ont officiellement lancé la billetterie à Reims le 5 octobre.

Le Fort de la Pompelle accueillera le grand départ du Trail.


SPORT

Questions à Kim DuntzeAdjointe au maire déléguée aux Sports et à la Jeunesse :

SPORTS AQUATIQUES

Une fusion pour un objectif commun Après un accord en janvier dernier, la mutualisation des clubs de natation rémois a pris corps le 1er septembre. Depuis, le nouveau Stade de Reims Natation poursuit son objectif de former des nageurs et poloïstes de niveau international.

Une fois l’officialisation de sa naissance actée, le Stade de Reims Natation a synchronisé ses forces vives. « Ce rassemblement ne rabaissera aucunement la puissance de chaque entité. Au contraire, c’est l’occasion d’aller plus loin dans les résultats », rassure le maire de Reims, Arnaud Robinet. Dans les airs depuis plusieurs années, cette mutualisation est basée sur le fonctionnement de l’ex-RN89. « Nous avons pris l’engagement d’accueillir l’ensemble du personnel des autres clubs pour préserver tous les emplois », souligne Francis Bartholomé, ancien président du RN89 et désormais à la tête de cette unification. « Le conseil d’administration est désormais réuni depuis le 1er septembre et nous avons élaboré un budget commun ».

Objectif 1 500 membresPorté par sa section water-polo, engagée en Élite, plus haut niveau national de la discipline, le Stade de Reims Natation veut former ses jeunes talents et développer le haut niveau. « En attendant l’ouverture du complexe aqualudique, nous voulons conserver nos poloïstes dans l’Élite et faire grandir notre section natation avec, en toile de fond, les Jeux Olympiques 2024 à Paris. Dans le même temps, nous allons aussi développer la natation artistique », poursuit Francis Bartholomé. Autour de Franck Missy, ancien entraîneur du RN89 et désormais manager général du Stade de Reims Natation, le but est d’atteindre le top 10

des clubs de l’Hexagone, et de franchir la barre des 1 500 membres. « Ces objectifs sont ambitieux mais atteignables, tant sur le plan budgétaire que sportif », ajoute le président du club rémois. D’ici la sortie de terre du complexe aqualudique en 2020, les entraînements se poursuivront dans les bassins des Thiolettes pour le water-polo, et dans les autres piscines municipales pour la section natation. Cette fusion a permis de développer un lien fort à tous les niveaux, au sein du club. n

Qu’apporte la naissance du Stade de Reims Natation ?

Depuis la disparition du complexe Nautilud en 2013, le partage des piscines et des créneaux de natation était devenu plus complexe. Cette fusion permet de mutualiser les créneaux et solutionne les problèmes éventuels de finances. Ce rassemblement encourage également le développement du haut niveau et accroît le nombre d’adhérents dans nos bassins.

Dans quelle mesure le nouveau club va-t-il agir en complémentarité avec la REMS ?

Le Stade de Reims Natation s’oriente davantage sur la compétition et la formation des jeunes du cru. La Régie des équipements municipaux sportifs (REMS) enseignera la natation aux enfants et sera un vivier éventuel de jeunes talents à destination du Stade de Reims Natation.

Pour ses nageurs comme pour ses poloïstes (en photo), le Stade de Reims Natation est lancé vers ses objectifs.


SPORT

JUDO

BADMINTON

La formation comme prioritéNé de la fusion de trois clubs de l’agglomération rémoise, le Judo Reims Métropole s’appuie sur la jeunesse de ses effectifs.

Quatre ans après la fusion du Reims Judo, de l’AS Croix-Rouge et du Judorex

Saint-Brice, la nouvelle entité Judo Reims Métropole (JRM) a trouvé ses marques. Stabilisé à 550 licenciés, le club présidé par Laurent Bernard possède des bases saines et solides. « Nous avons un directeur sportif, Xavier Supernant, l’un des rares 6e dan de la région », se félicite-t-il. « Les cours sont assurés par neuf enseignants, tous diplômés et qui suivent des recyclages réguliers et déclarés. » Cet aspect n’est pas la moindre des satisfactions du président. De haut en bas de la maison rémoise, tout est carré. L’administratif a pris quelques longueurs d’avance sur le sportif : « Nous nous appuyons sur un cabinet d’expertise comptable et

sur un cabinet d’avocats. » Pour autant, il

est difficile de « sortir » des champions de France. « Chez nous, c’est la formation qui prime. 75 % de nos licenciés ont moins de 12 ans », ajoute Laurent Bernard. Preuve de la bonne santé du club, les trois structures originelles bâtissent jour après jour un projet commun. « Cette année, nous allons éditer un document pédagogique – que doit-on savoir réaliser à tel ou tel âge - qui profitera à l’ensemble des profs et donc aux jeunes judokas. » Uniformiser les forces vives du JRM dispersées sur sept lieux d’entraînement (Bourgogne, Jonchery, Champigny, Bezannes, Saint-Brice, René-Tys et François Legros) n’est pas une mince affaire. C’est le challenge que veut relever ce jeune club. n

Un circuit pour l’éliteRéservez votre week-end des 8 et 9 décembre ! Pendant deux jours, le Reims Métropole Badminton vous invitera à son troisième Circuit élite. Trois lieux accueilleront les quatre cents joueurs attendus qui disputeront vingt tableaux (quatre séries comportant chacune des simples, hommes et dames, des doubles, hommes, dames et mixte). L’épreuve rémoise est assurée d’accueillir les plus grands noms du bad. Elle proposera des parties acharnées (600 au total) et permettra à chacun de se placer dans le peloton des candidats aux premières places du circuit. Une trentaine de bénévoles œuvrera au cours du week-end, avec l’espoir de voir leurs efforts récompensés par le bon résultat de l’un des membres de leur club, à

l’image du Franco-Américain Bjorn Séguin (qui a disputé les J. O de Rio) ou le jeune Martin Ouazzen (16 ans). n

Circuit élite : René-Tys (9 h – 22 h le samedi 8 décembre et 9 h – 18 h le dimanche 9 décembre), halle universitaire Croix-Rouge (9 h – 22 h le samedi et 9 h – 12 h le dimanche), salle Lapique (samedi 9 h – 22 h).

PRATIK SPORTLes cycles à l’honneurPratik Sport invite le Vélo Club rémois, le club cycliste du Grand Reims et Vél’oxygène le dimanche 25 novembre sous les halles du Boulingrin (de 14 h à 18 h). Ces trois clubs proposeront différents ateliers : réparation, piste BMX, piste routière, trial, baby vélo, monocycles.

Les meilleurs joueurs de badminton seront à Reims lors du circuit Elite.


Il y a cent ans, la Grande

Guerre s’ache-vait. En 2014, la

ville de Reims a en-tamé la commémora-

tion de cette effroyable période, marquée par des

bombardements incessants. Dans quelques jours, l’Armistice

sera solennellement célébré. « Il y a trois grands aspects dans les cérémonies du mois de novembre », annonce Benja-min Develey, adjoint au maire délégué aux Relations internationales et euro-péennes et aux commémorations, « le souvenir de la ville martyre qui a subi 1 051 jours de bombardements, l’hommage légi-time rendu aux soldats de l’Armée Noire de même qu’à l’ensemble des poilus, et natu-rellement la célébration de la victoire et de la liberté retrouvée. »

La musique enchantera les Halles

Des projections du film « 1 051 jours, Reims ville martyre de la Grande Guerre » de Pierre Coulon seront

organisées jusqu’à la fin novembre. « Ce documentaire rappelle combien notre ville a été marquée dans sa chair par le premier conflit mondial », rappelle Benjamin Develey. Deuxième

facette du programme : la contribution de l’Armée noire a été décisive dans la défense du secteur de Reims. La Ville n’a pas oublié ces actes de bravoure : la cérémonie du 6 novembre, en présence du président de la République et des ambassadeurs de toutes les nations de l’Afrique francophone, « rappeller la force de l’engagement de l’Armée noire, particulièrement dans les batailles de l’automne 1918, si décisives pour la victoire. Enfin, la célébration de la victoire constituera l’ultime point d’orgue de ces journées de commémorations », poursuit Benjamin Develey. Le soulagement, la libération de la ville, la joie, l’avenir redevenu plus souriant… se retrouveront dans la thématique intergénérationnelle (participation des scolaires, Conseil municipal des jeunes) mais aussi à travers les nombreux points musicaux qui enchanteront les Halles, symboles de la renaissance de Reims, avec les chansons de la victoire et une ambiance jazzy venue des Etats-Unis fin 1917… n

Programme complet des spectacles et des cérémonies sur reims.fr (culture patrimoine / Événements).

MÉMOIRE

DE 1914 À 2018

La mémoire, la victoire et la renaissanceLa Grande Guerre a laissé des traces dans toute la France. Au moment de célébrer le centenaire de l’Armistice, la ville de Reims souhaite rendre un hommage appuyé à la contribution de l’Armée noire à la victoire.

Les temps fortsVendredi 9 novembreParc de Champagne

• 14 h : lecture de cartes écrites par des tirailleurs sénégalais,

• 14 h 35 : visite de l’exposition « La caravane de la mémoire, les tirailleurs sénégalais avant, pendant et après la Première Guerre mondiale »

• 15 h : spectacle « Le dernier tirailleur »• 19 h : conférence « L’Armée noire », suivie

de la présentation des actes du colloque « Les troupes coloniales dans la Grande Guerre » (médiathèque Falala)

Samedi 10 novembre• 13 h 30 - 17 h 30 : « trail des Forts », le

marathon de l’Armistice (voir p.26)• De 19 h 30 à 20 h 45 : spectacle

Générations 18 « Moi et mon grand-père, on n’aime pas la guerre » (Le Cellier)

Dimanche 11 novembre• 12 h : baptême d’un véhicule blindé du

132e Bataillon cynophile de l’Armée de Terre au nom de la ville de Reims et signature du jumelage entre la Ville et le 132e Bataillon

• 16 h 15 : déambulation de clôture (monument aux Morts)

Aux halles du Boulingrin

• De 8 h 30 à 18 h : marché aux livres sur la thématique de 14 - 18,

• De 9 h 30 à 18 h : bureau philatélique du centenaire - La Poste.

• De 9 h 30 à 18 h : exposition éphémère « les Postes dans la Grande Guerre »

• De 9 h 30 à 19 h : exposition de véhicules de collection - reconstitution historique

• 12 h : soupe du Poilu• À 14 h - 15 h - 16 h et 17 h : spectacle de

chansons « Nénette et Rintintin »• De 14 h à 18 h : exposition sur le thème

de la Grande Guerre, jusqu’au 25 février 2019 (Le Cellier)

CULTURE

FESTIVAL

L’ascension fulgurante du Charabia Festival !Fort du succès de sa première édition, le festival créé par Barcella revient du 27 novembre jusqu’au 2 décembre et avec lui, son lot de surprises et de nouveautés.

Il y eut d’abord l’Estival du Charabia, à l’aube de l’été 2016, qui avait suscité la curiosité et l’intérêt des mélomanes. Puis le premier Charabia Festival, l’an passé, qui a séduit et confirmé l’adhésion du public à ce nouveau rendez-vous de la musique et des beaux mots. Cette année, avec un festival allongé de deux jours, Barcella compte bien apporter à la cité des sacres une effervescence culturelle supplémentaire. « Pour sa seconde édition, le Charabia prend une autre envergure mais reste animé de la même volonté de toujours surprendre ». Entouré d’une vingtaine de courageux d’Ulysse Maison d’artistes, le souffleur de vers rémois range sa plume le temps du festival, pour enfiler sa veste de directeur artistique. « Ensemble, et avec le soutien de la Ville et de nos partenaires privés sans qui rien ne serait possible, nous avons concocté une belle édition avec près d’une vingtaine d’artistes programmés sur les six jours. Comme l’an passé, nous gardons aussi la journée pour les enfants le mercredi, avec une programmation dédiée au jeune public. »

« Investir différemment la Cartonnerie »

Parmi les nouveautés attendues pour ce volet 2018, l’aménagement du Floor de la Cartonnerie : « Nous avons complètement repensé l’espace avec une décoration en mode bal de village. Le lieu accueillera les jeunes artistes de la nouvelle scène française avant les concerts, et se transformera en guinguette en fin de soirée », poursuit Barcella. Autre nouveauté et parce que la musique n’a pas de mur : la délocalisation d’une date du Charabia à la Comédie, ceci dans le souci d’aller à la rencontre de tous les publics. Enfin, le projet pédagogique, lancé dans le cadre du festival fera, lui, la part belle à la langue française à travers un travail avec trois classes de collège et lycée autour du répertoire de Jacques Brel et ce, au cœur du quarantième anniversaire de la mort de l’artiste. Evidemment, qui dit Charabia Festival dit avant tout musique, coups de cœur et artistes de renom. Pour ce second

rendez-vous, la programmation se veut ambitieuse, familiale, moderne, le tout ponctué de tonalités urbaines.

Des têtes d’affiche de haute volée« Quasiment toutes nos têtes d’affiche ont reçu une Victoire de la musique », rappelle Barcella, ravi de convier autant de talents pour l’évènement. Parmi les incontournables, Feu ! Chatterton, le 27 novembre, Dominique A le 29, Gaëtan Roussel le 30, ou encore Gaël Faye le 1er décembre et Yves Jamait le dimanche 2. « Ces grands noms, à leur manière, dans leur registre, par leur personnalité, leur musique et leurs mots, nous ont touché et convaincu », confie Barcella. Parmi les autres formations à (re) découvrir, Amor Blitz et Grand Blanc le 27 novembre, Monsieur Lune et Gainsbourg for Kids le 28 pour la journée des enfants, Camille Hardouin le 29, Erwan Pinard, Dani Terreur et Belfour le 30, Ma pauvre Lucette, Hippocampe Fou et Foé le 1er décembre et Olivier Vaillant le 2. Si la première édition du Charabia avait surpris par son succès populaire, nul doute que la seconde contribuera à inscrire le festival comme un rendez-vous incontournable dans le paysage culturel rémois mais aussi francophone. Une occasion aussi de faire rayonner Reims tout en s’ouvrant à l’artistique… n

Programmation complète : www.charabiafestival.com

Festivalreims

Le rendez-vous des amoureux des mots & des oreilles curieuses

barcella & ulysse maison d’artistes en partenariat avec la cartonnerie présentent :

dani terreur foé camille hardouin ma pauvre lucettee r w a n p i n a r d o l i v i e r v a i l l a n t b e l f o u r

Gaëtan roussel dominique a feu! chatterton Gaël faye

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Le rock de Feu ! Chatterton débarque le 27 novembre à la Cartonnerie.

CULTURE

MANÈGE

« Born to be a live » est à la croisée de la danse, du théâtre et de la performance, se moque des codes, détonne et surprend. Particularité cette année, les Bisqueers roses (lire ci-dessous) partagent l’affiche du festival pour deux soirées : jeudi 8 novembre à 19 h, le chorégraphe et performer sud-africain Steven Cohen fera écho à son compagnon décédé avec « Put your heart under you feet… and walk ! », un bouleversant rituel funéraire. Et samedi 10 novembre à 19 h, place aux Chauves-souris du volcan de la compagnie du Zerep avant qu’à 21 h, le cirque du Manège ne se transforme en cabaret burlesque animé par la troupe déjantée de Jérôme Marin et Chloé Py. Se lâcher, se libérer, exulter : c’est aussi le programme de la soirée « Sweet fever » du samedi 17 novembre à 21 h. Une quarantaine d’amateurs rémois danseront dans les pas de

John Travolta grâce à la performance imaginée par le chorégraphe catalan Pere Faura, qui revisitera la scène culte de « Saturday Night Fever ». Ambiance disco garantie ! n

Infos et tarifs : www.manege-reims.eu

« Born to be a live », festival jouissif et décoiffantUne folie douce s’empare du Manège jusqu’au 17 novembre avec la 3e édition du festival « Born to be a live », kaléidoscope de propositions aussi déjantées qu’émouvantes. Et qui invite chacun à entrer dans la danse…

FESTIVAL

Les BisQueers Roses dépassent les frontières

CONCERT

La magie du gospel

Samedi 16 novembre à 20 h 30, l’église Saint-Jacques rue Max Dormoy résonnera des chants français, africains et américains du groupe New Gospel Family. Préparez-vous à vous laisser emporter par ses mélodies chaleureuses et rythmées !Entrée : de 15 € à 18 €. Réservations : Fnac. Renseignements : www.newgospelfamily.com

GÉNOCIDE RWANDAIS

Deux événements pour se souvenir

En hommage aux victimes du génocide des Tutsi qui a conduit à l’extermination de plus d’un million de personnes en 1994, le collectif des parties civiles pour le Rwanda organise une conférence à Sciences Po jeudi 29 novembre à 18 h 30, dans le cadre du festival des Solidarités. En parallèle, l’exposition « Les Hommes debout », réalisée par l’artiste plasticien Bruce Clarke, se tient à la Maison Saint-Sixte jusqu’au 2 décembre.www.collectifparties civilesrwanda.fr

Rendez-vous le 10 novembre pour découvrir les Chauves-souris du volcan.

Pour sa 17e édi-tion, le festival des cultures LGBT conti-nue de questionner en toute liberté la place des personnes gays, lesbiennes, bi et trans dans la so-ciété. « Cette année, on garde le même esprit d’ouverture autour de ces thé-matiques et on va

voir comment cela se passe en Allemagne, au

Kenya ou en Afrique du Sud », annonce Olivier Nostry, président d’Exaequo, l’association or-ganisatrice. Les soirées du jeudi 8 (danse puis théâtre à partir de 19 h) et samedi 10 novembre (théâtre à 19 h puis soirée cabaret) se déroule-ront au Manège. Le festival se décline aussi à travers le conte (« Les amazones », vendredi 9 novembre au centre culturel du Crous), le cinéma (les 10 et 11 à l’Opéra) et une confé-rence-débat (samedi 10 novembre au siège de l’association 25 rue du Jard). n

Programme complet et réservations : www.exaequoreims.fr



CULTURE

C’était un amoureux de la Champagne et surtout de Reims, où il se fit baptiser en la Cathédrale et où il conçut une chapelle désormais incontournable du circuit touristique de la ville. Mais le cœur de

Foujita (1886-1968) battait aussi pour la ville lumière, Paris, que l’artiste découvrit en 1913 et qu’il dessina d’un trait moderne et vif. Ce sont ces planches, conçues en 1951 pour illustrer « La Rivière enchantée », un livre sur l’histoire de Paris, qui sont rassemblées dans cette exposition automnale inscrite dans le cycle « Regard sur… », invitation à voir d’un œil différent les facettes d’un artiste. Dans cette œuvre illustrée, considérée comme la plus célèbre de Foujita car la plus aboutie, l’élégance du trait se mêle avec finesse aux traits de l’ironie qui fait de ce livre l’un des plus recherchés par les bibliophiles. Une cinquantaine

de feuilles – dessins originaux, œuvres préparatoires, recherches graphiques et planches – réalisées avec des techniques différentes compose cette exposition qui dialogue avec celle, toujours en cours, de la bibliothèque Carnegie sur « Foujita, artiste du livre ». Une occasion supplémentaire de découvrir l’artiste franco-japonais, figure de proue de l’année du Japon à Reims. n

Du 10 novembre au 11 février au musée des Beaux-Arts, 8 rue Chanzy. Ouvert tous les jours sauf le mardi de 10 h à 12 h et de 14 h à 18 h. Tél. : 03.26.35.36.00.

Niché depuis novembre 2016 au 6 rue de l’Écu, le centre culturel fête le vendredi 9 novembre ses deux ans d’existence avec le lancement de l’exposition de Christian Cantos, peintre québécois installé en Lorraine. Au menu de ce mois d’anniversaire, le Studio Pastel propose des ateliers artistiques (les samedi 10 et dimanche 18 novembre), des projections de courts métrages pour petits et grands les samedis 10 et 17 novembre, un concert du duo

rémois Kalua le dimanche 11 novembre, et une soirée terroir avec une dégustation des Biscuits de Lucie, vendredi 16 novembre. La compagnie sera également sur les planches du centre culturel du CROUS les 24 et 25 novembre pour jouer sa dernière création, « Les coulisses de la liberté ». n

Ouvert du lundi au vendredi de 10 h à 19 h. Programme sur www.compagniepastel.fr

EXPOSITION

SPECTACLE VIVANT

Le Studio Pastel souffle sa 2e bougie !

Sous le crayon, les dessins enchanteurs de Foujita

Peintre, graveur, mais aussi illustrateur : l’artiste franco-japonais Léonard Foujita, indissociable de l’histoire de la cité des sacres, est à l’honneur en novembre dans une nouvelle exposition présentée au musée des Beaux-Arts, qui met en avant son talent pour le dessin.

CINÉMALe Japon s’invite à la médiathèque Falala

La médiathèque Falala participe au mois du film documentaire, un événement national qui s’intéresse cette année au Japon vu par des réalisateurs japonais. De « Nuclear Nation II », documentaire d’Atsushi Funahashi sur la catastrophe de Fukushima aux moyens-métrages de Shohei Shibata consacrés aux saveurs et aux secrets de la cuisine japonaise, quatre films seront projetés en version originale, sous-titrée en français, les jeudis 8, 15 et 22 novembre, ainsi que mardi 27 novembre, à 18 h 30. Entrée libre.

8 rue Chanzy51100 REIMS03 26 35 36 00

MUSÉE DES BEAUX-ARTS 8 rue Chanzy - 51100 REIMS 03 26 35 36 00

L’effervescence culturelle

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L’élégance du trait

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CULTURE

LES PETITS BISCUITS

CELLIER

L’installation immersive de Jean-Christophe Hanché L’installation « Seul(s) » de Jean-Christophe Hanché nous emmène à travers les guerres qui ont émaillé, pendant 18 ans, sa vie de photographe. L’histoire personnelle de l’artiste se mêle à ses reportages, les sensations brutes succédant aux sentiments poétiques. A chacun de s’immerger dans ses propositions afin de se poser cette question intime entre le rapport d’un être et la vie sous ses formes extrêmes. L’artiste nous place au plus près de nous-mêmes, seul(s). Plus qu’une découverte, une introspection, à découvrir du 9 novembre jusqu’au 24 février au Cellier - espace Giuseppe Nivola (de 14 h à 18 h). n

Entrée libre (scolaires sur rendez-vous).Renseignements : [email protected]

Au menu du jeune public, la programmation culturelle de la Ville offre ainsi deux mois d’éveil et d’ouverture très intenses aux enfants (mais pas que). Les petits biscuits, saison 2, véritable agenda des sorties culturelles pour enfants ont donc commencé à « nourrir » les cerveaux des jeunes Rémois depuis le début du mois d’octobre et continueront à les alimenter jusqu’à la fin novembre. Dans toutes les structures municipales, art et culture sont les vedettes d’un temps fort à vivre, à l’école à partager en famille. La programmation « octobre – novembre » est renforcée et Les petits biscuits ont reçu la mission de le faire savoir. Si beaucoup d’évènements sont à découvrir pour le jeune public pendant toute l’année, la programmation est

encore plus riche pendant ces deux mois. Toutes les informations se trouvent également, sur internet (www.infoculture-reims.fr) rubrique jeune public, au Trésor (2 rue Guillaume de Machault). On y déniche les spectacles, les concerts, les expositions, les projections, les contes, les lectures, les jeux, les ateliers, les visites contées, les pièces de théâtre, de la magie… Nouveauté 2018, l’agenda Les petits biscuits est diffusé dans les 104 écoles de Reims et à chaque enfant. Au total, 19 000 exemplaires ont été tirés et diffusés. n

L’appétit culturel vient en sortantLes jeunes Rémois n’ont plus d’excuse. L’agenda des manifestations de la Ville jusqu’à la fin du mois de novembre leur offre le moyen de ne rien manquer.


FINANCES

L’étude* publiée le 15 octobre par l’Union nationale des propriétaires immobiliers (UNPI) mesure l’évolution de la taxe foncière sur les propriétés bâties, comprenant la taxe d’enlèvement des ordures ménagères (TEOM), dans 50 grandes villes françaises. Si certaines ont eu tendance à augmenter d’année en année leur taux, ce n’est pas le cas à Reims ; s’il y a eu une progression limitée de 4,25 % sur cinq ans du produit des taxes et non de leur taux, c’est sous l’effet de la majoration des bases légales et des bases physiques. A titre de comparaison, la moyenne nationale s’élève à 10,56 % et un coup d’œil sur d’autres grandes villes tourne clairement à l’avantage de Reims qui se situe (avec Nancy, Nîmes et Caen) parmi les quatre communes dont les taux de taxe foncière et de TEOM ont le moins augmenté en France. En dissociant la taxe foncière de la TEOM (dont le taux est fixé par le Grand Reims), Reims demeure dans le top 15 des villes ayant la fiscalité la plus modérée avec une progression nulle des taux depuis 2014.

Un effort permanent

A la demande du maire, le Conseil municipal de Reims n’a pas voté de hausse des taux le 29 mars dernier et aucun changement dans les abattements n’est intervenu. Cette stabilité, qui est de mise depuis 2014, le restera jusqu’au terme du mandat. Le mérite est d’autant plus grand que les dotations

de l’Etat aux collectivités sont en baisse et que la suppression progressive de la taxe d’habitation d’ici 2020 va les amputer d’une part importante de leurs ressources et par conséquent de leurs moyens d’action. Jean-Marc Roze, adjoint au maire délégué aux Finances souligne par ailleurs que « depuis 2014, nous avons respecté nos engagements budgétaires : les dépenses de fonctionnement ont été

maîtrisées, la pression fiscale n’a pas augmenté et nous continuons d’investir à un niveau élevé. Cette ligne de conduite exige un effort permanent. » Pour gage de ses bonnes intentions, la Ville a été l’une des premières communes françaises à signer avec l’Etat le Pacte financier par lequel elle s’est engagée à limiter ses dépenses de fonctionnement. n

*Réalisée à partir de données issues du portail de la Direction générale des finances publiques et celui de la Direction générale des collectivités locales.

FISCALITÉ

Quatre années de fiscalité locale sans augmentationNe pas augmenter la fiscalité locale pendant le mandat : c’était une promesse de campagne d’Arnaud Robinet en 2014. Quatre ans après, les estimations de « l’Observatoire des taxes foncières 2012-2017 » confirment avec un regard de neutralité que la promesse a bien été tenue.

Grand Reims : des taux inférieurs à la moyenneLe dispositif de neutralité fiscale qui a été mis en place au sein du Grand Reims, dès sa création en 2017, a permis d’harmoniser les taux préalablement en vigueur sur l’ensemble des 143 communes. Pour ce faire, les communes dont les taux intercommunaux ont augmenté en 2017 par rapport à 2016 ont baissé leurs taux d’imposition communaux, afin que les contribuables ne subissent pas d’augmentation de leur fiscalité directe locale ; en contrepartie, la Communauté urbaine a versé une attribution de compensation aux communes concernées, correspondant à l’écart entre le produit fiscal perçu en 2016 et 2017. Un mécanisme en sens inverse a été mis en place pour les communes dont les taux intercommunaux ont baissé, de façon à assurer la neutralité fiscale pour les communes et les contribuables. Cette année, les taux intercommunaux n’ont pas évolué non plus, conformément aux engagements de modération fiscale pris en Conseil communautaire. Ces efforts permettent aujourd’hui d’afficher des taux, pour les communes du Grand Reims, globalement inférieurs à la moyenne nationale.


VIE SOCIALE

La lutte contre l’habitat indigne est reconnue comme action prioritaire au niveau national. Cette volonté de garantir un logement décent à tous les citoyens se décline au niveau de chaque département. A Reims, le service communal d’hygiène et de santé est identifié depuis longtemps comme acteur incontournable. « On étudie les documents du dossier », explique Hélène Nanet, ingénieur sanitaire, inspecteur d’hygiène, « puis on se rend sur place au besoin. Il y a deux catégories de désordres. Ceux liés au bâtiment (manquements au règlement sanitaire, les insalubrités, les urgences comme une intoxication au monoxyde de carbone…) et ceux liés au mode d’occupation hors incivilités ». Trois cent cinquante dossiers ont été ouverts en 2017 dont la majorité concerne l’habitat. Certains se traitent par un simple rappel à la loi au propriétaire. D’autres sont plus lourds, nécessitent l’intervention du pôle départemental et réclament du temps. « La mise en réseau de tous les acteurs est essentielle », poursuit Hélène Nanet. « Car cela peut aller jusqu’à des arrêtés préfectoraux ou municipaux mettant en demeure de faire cesser cette situation avec une prescription de travaux et parfois une interdiction temporaire ou définitive d’habiter. » Ces gros dossiers « habitat » sont malheureusement en augmentation : « De 1 arrêté préfectoral tous les deux ans environ, nous avons déjà 7 arrêtés préfectoraux et 1 arrêté municipal pour 2018 ».

L’habitat indigne en question Dans la Marne, la charte de fonctionnement du « Pôle départemental de lutte contre l’habitat indigne (PDLHI) », signée en 2014, vient donc d’être actualisée afin de suivre l’évolution réglementaire. En plus des villes de Reims, Châlons-en-Champagne et Epernay, le PDLHI réunit de nombreux acteurs : les services de l’Etat (DDT, DDCSPP), le Département, la CAF, la MSA, l’ARS, le COMAL SOLIHA51, l’ANAH, les procureurs… Qu’est-ce qu’un habitat indigne ? Quel rôle joue le pôle départemental ? « C’est un habitat

qui a des conséquences défavorables sur la santé de ses occupants, les exposant à des risques manifestes pouvant porter atteinte à leur sécurité physique ou à leur santé ». Ces quelques lignes de la charte synthétise brièvement l’activité du pôle : le guichet unique recense les différentes situations, les instances de concertation les analysent, notamment les plus complexes, et le comité de pilotage définit les orientations stratégiques de développement sur le territoire. A partir du signalement d’un logement indigne (par un locataire par exemple), le dossier arrive au guichet unique puis est « orienté » vers les acteurs concernés. n

LOGEMENT

Un guichet unique contre l’habitat indigneSignée par la ville de Reims, la charte de fonctionnement partenarial du traitement des situations d’habitat dégradé vient d’être actualisée.

Les agents du service communal d’hygiène et de santé traite chaque dossier au cas par cas.


Souvent en manque de repères, les personnes sans abri vont pouvoir désormais s’orienter vers une aide extérieure grâce au guide pratique destiné à les aider. Cet outil est le résultat d’un travail initié par l’unité accompagnement des sans domicile fixe du CCAS, et porté par le groupe de travail « Grands précaires » issu des Assises rémoises de la solidarité. Principalement détectés par les associations de terrain et la Police municipale, les personnes SDF peuvent également être aidées par les citoyens. Entre échanges, et apports de premières nécessités, ces petits moments de solidarité peuvent réchauffer l’âme des sans-abri. Ce guide a été concocté pour transmettre une information globale et concentrée

dans un seul et même support. Le CCAS et la ville de Reims ont donc souhaité rassembler tous les services, structures et associations qui peuvent venir en aide dans différents aspects de la vie et lors des difficultés traversées au cours de celle-ci. n

CCAS, 11 rue Voltaire – 03.26.40.26.26.

VIE SOCIALE

Pour rester actif, impliqué, en santé, bien dans sa vie et dans sa ville, la carte et le guide 65 + vous orientent et vous accompagnent. Ce système d’accompagnement regroupe notamment une large gamme de loisirs et contribue au maintien du lien social. Le guide recense cette offre et vous permet d’identifier les lieux ressources, et les acteurs incontournables pour trouver les réponses pour soi et ses proches ou, à l’inverse, pour s’investir, apportant sa compétence et sa force vive. La carte 65 + permettra de

justifier de votre âge et résidence et surtout d’accéder à des avantages spécifiques, notamment celui d’être informés de manière privilégiée sur les évènements à venir. Cet outil sera disponible le 20 novembre et le visuel 65 + sera désormais une balise qui alertera sur tout ce qui pourrait intéresser les personnes concernées. Pour obtenir cette carte 65 + il faut être Rémois, âgé d’au moins de 65 ans et remplir un bulletin d’inscription accessible en ligne sur www.reims.fr (dès le 20 novembre). Ce programme participatif est un échange d’idées qui va mûrir et s’enrichir avec le temps. n

SENIORS

SOLIDARITÉ

Bien vieillir à ReimsPour simplifier la vie des seniors, la Ville sort un guide d’activités adaptées ainsi qu’une carte 65 + à l’attention des Rémois concernés.

CÉRÉMONIE

Remise des prix du mériteActe de solidarité et de bravoure, la cérémonie de remise des prix du mérite et du civisme aura lieu le 23 novembre à l’hôtel de ville. Ce prix récompense principalement des enfants qui ont été identifiés en situation familiale difficile et qui obtiennent des résultats scolaires brillants. Un salarié d’entreprise peut également être mis en avant pour sa bonne conduite et son efficacité. Un jury en interne se penche sur les dossiers pour sélectionner les heureux élus.

Permettre aux seniors de bien vieillir à Reims est une des priorités de la municipalité.

Donner une voix aux sans-abri

Le guide des personnes sans-abri apporte des réponses aux plus démunis.

Guide pratiquePOUR LES PERSONNES SANS ABRI

Service du vêtement19 rue du Jard - 03 26 86 80 19

Vêtements homme, femme et enfant (4 € pour un lot)> Mardi et vendredi de 14 h à 17 h

Secours populaire30 avenue du général de Gaulle - 03 26 79 12 00

Vêtements homme, femme et enfant (contribution à la solidarité)Délivrance d’un bon vêtement lors des permanences de rue.> Jeudi de 14 h à 16 h

Mardi de 9 h à 11 h et de 14 h à 16 h

Vestiboutique la Croix-Rouge1 rue Alain PolliartTram A et B, arrêt Arago

Vêtements à petits prix (2 € à 5 €/pièce)Pas de chaussures et ni de sous-vêtements> Mardi, mercredi, vendredi de 14 h à 17 h

Fripe Emmaüs17 rue Gutenberg - 03 26 04 80 80

TAD, arrêt GutenbergBus 16, arrêt GutenbergBus 4, arrêt Trois fontainesBus 3, arrêt Albert 1er

Vêtements chaussures accessoires à petits prix> Lundi au vendredi de 9 h à 12 h 30 et de 14 h à 18 h

Centre Communal d’Action Sociale11 rue Voltaire - 03 26 40 26 26

Accompagnement socialAide aux démarches administratives> Lundi au vendredi de 8 h 30 à 11 h 45 et de 13 h à 16 h 30

Fermeture le jeudi à 16 h

Accueil Solidaire et Social Ozanam de Reims (ASSOR)80 rue du docteur Lemoine - 03 26 87 41 99Bus 4, arrêt Robespierre

Accompagnement social éducatif global sauf instruction du RSADomiciliation pour les personnes bénéficiant d’un accompagnement par les professionnels de l’ASSOR> Lundi et vendredi de 11 h à 15 h 45

Mardi, mercredi et jeudi de 9 h 15 à 15 h 45

Mission locale pour la jeunesse34 rue de Trianon - 03 26 40 30 34

Insertion sociale et professionnelle des jeunes de 16 à 25 ans> Lundi au jeudi de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h

Vendredi de 9 h à 12 h et de 14 h à 16 h 30

Service départemental de prévention(pour les jeunes de -26 ans)21 rue Voltaire - 03 26 86 74 55

Accompagnement socialAide aux démarches administratives> Lundi au vendredi de 9 h à 12 h et de 13 h 30 à 17 h 30

Fermeture le vendredi à 17 h

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Lieux de vestiaire Démarches administratives

solidarité

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partenariat

accompagnement

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comité des usagers

comité des usagers

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accueil

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intergénérationnel

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Centre hospitalier

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Rue des Capucins

Rue de Vesle

Rue Victor Hugo

Place Aristide Briand

Parc Léo Lagrange

StadeAuguste Delaune

Sous préfecture

Rue des Poissoniers

GARE

Cour Langlet

Esplanade Fléchembault

Rue de Trianon

Guide pratiquePOUR LES PERSONNES SANS ABRI

Service du vêtement

19 rue du Jard - 03 26 86 80 19

Vêtements homme, femme et enfant (4 € pour un lot)

> Mardi et vendredi de 14 h à 17 h

Secours populaire

30 avenue du général de Gaulle - 03 26 79 12 00

Vêtements homme, femme et enfant

(contribution à la solidarité)

Délivrance d’un bon vêtement lors des permanences de rue.

> Jeudi de 14 h à 16 h

Mardi de 9 h à 11 h et de 14 h à 16 h

Vestiboutique la Croix-Rouge

1 rue Alain Polliart

Tram A et B, arrêt Arago

Vêtements à petits prix (2 € à 5 €/pièce)

Pas de chaussures et ni de sous-vêtements

> Mardi, mercredi, vendredi de 14 h à 17 h

Fripe Emmaüs

17 rue Gutenberg - 03 26 04 80 80

TAD, arrêt Gutenberg

Bus 16, arrêt Gutenberg

Bus 4, arrêt Trois fontaines

Bus 3, arrêt Albert 1er

Vêtements chaussures accessoires à petits prix

> Lundi au vendredi de 9 h à 12 h 30 et de 14 h à 18 h

Centre Communal d’Action Sociale

11 rue Voltaire - 03 26 40 26 26

Accompagnement social

Aide aux démarches administratives

> Lundi au vendredi de 8 h 30 à 11 h 45 et de 13 h à 16 h 30

Fermeture le jeudi à 16 h

Accueil Solidaire et Social Ozanam

de Reims (ASSOR)

80 rue du docteur Lemoine - 03 26 87 41 99

Bus 4, arrêt Robespierre

Accompagnement social éducatif global sauf instruction

du RSA

Domiciliation pour les personnes bénéficiant d’un

accompagnement par les professionnels de l’ASSOR

> Lundi et vendredi de 11 h à 15 h 45

Mardi, mercredi et jeudi de 9 h 15 à 15 h 45

Mission locale pour la jeunesse

34 rue de Trianon - 03 26 40 30 34

Insertion sociale et professionnelle

des jeunes de 16 à 25 ans

> Lundi au jeudi de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h

Vendredi de 9 h à 12 h et de 14 h à 16 h 30

Service départemental de prévention

(pour les jeunes de -26 ans)

21 rue Voltaire - 03 26 86 74 55

Accompagnement social

Aide aux démarches administratives

> Lundi au vendredi de 9 h à 12 h et de 13 h 30 à 17 h 30

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StadeAuguste Delaune

Sous préfecture

Rue des Poissoniers

GARE

Cour Langlet

Esplanade Fléchembault

Rue de Trianon


REPAS DES SENIORS

Demande de participation gratuite au Repas des seniors(dans la limite de 2 500 places)

Samedi 19 janvier 2019 impérativement avant 12 h, au Parc des expositions.

1RE PERSONNE :

Nom, prénom (en lettres majuscules) : ....................................................................................................................

Date de naissance :.........................................................................Tél. (obligatoire) : ..............................................

Adresse :. ..............................................................................................................................................................................

Si la personne inscrite avec vous ci-dessous n’est pas retenue, maintenez-vous votre demande ? c oui c non

2E PERSONNE :

Nom, prénom (en lettres majuscules) : .....................................................................................................................

Date de naissance :.........................................................................Tél. Obligatoire : ................................................

Adresse : ...............................................................................................................................................................................

Si la personne inscrite avec vous ci-dessus n’est pas retenue, maintenez-vous votre demande ?c oui c non

Coupon valable pour une ou deux personnes, à retourner àL’ORRPA, 4 rue Marteau à REIMS, avant le 24 NOVEMBRE 2018

Tout coupon incomplet ou illisible sera considéré comme nul

En cas d’empêchement, merci d’en informer l’ORRPA le plus rapidement possible : 03.26.07.14.59

Vous habitez Reims, vous êtes retraité de plus de 60 ans,Arnaud Robinet, maire de Reims et la municipalité vous invitent

à un sympathique repas-spectacle le :

Samedi 19 janvier 2019impérativement avant 12 h,

au Parc des expositions.

Bonne humeur et ambiance chaleureuse garanties avec La Compagnie Créole.

La priorité sera donnée aux personnes N’AYANT PAS PARTICIPÉ aux repas de 2017 et 2018.Pour les couples, un seul des conjoints doit être âgé de plus de 60 ans.

Découpez le bon ci-dessous et adressez-le, avant le 24 NOVEMBRE 2018 à l’ORRPA, 4 rue Marteau à Reims.

Le réseau CITURA est à votre disposition, ligne 6, arrêt Parc des expositions pour vous rendre sur les lieux.


EXPRESSION POLITIQUE

DEPUIS 2014, LE TOURNANT DE LA LUTTE CONTRE L’INSÉCURITÉ À REIMSDepuis 2014, une mobilisation sans précédent de la ville de Reims a lieu pour lutter contre l’insécurité, pourtant domaine régalien de l’Etat.Face aux phénomènes qui empoisonnent le quotidien de nos concitoyens, Arnaud Robinet, maire de Reims, a activé tous les leviers avec volontarisme :• Doublement des effectifs de la Police municipale, déploiement de près

de 200 caméras de vidéoprotection partout dans la ville et armement des policiers municipaux,

• mise en place de la participation citoyenne,• encadrement de la vente d’alcool après 22 h,• sécurisation des abords de toutes nos écoles,• installation de bornes escamotables pour la sûreté de la place d’Erlon

cette année et autour de la Cathédrale l’année prochaine,• réalisation de plus de 50 rappels à l’ordre avec la mise en place du

dispositif contre le décrochage scolaire,• collaboration plus étroite avec les bailleurs et dans les transports

urbains avec Citura, mise en place du nouveau dispositif avec l’Etat du Plan intercommunal de sécurité et de prévention de la délinquance,

saisine systématique de l’Etat face aux occupations illégales des gens du voyage…

Face à l’insécurité liée aux trafics de stupéfiants et en tous genres, aux dérives du communautarisme et à la montée du radicalisme, nous appelons l’Etat à assumer ses missions régaliennes.Nous refusons chaque fois que possible de rajouter des problèmes dans les secteurs déjà fragiles comme par le passé. C’est tout le sens des démantèlements de campements de migrants comme à Saint John Perse, qui grossissaient sous les fenêtres des habitants. Et surtout, nous refusons d’aggraver le communautarisme en ne favorisant plus l’arrivée d’importantes populations de départements comme la Seine-Saint-Denis, à Croix-Rouge ou à Orgeval.Depuis 3 ans, des premiers résultats positifs sont enregistrés, avec des diminutions des atteintes aux personnes et aux biens, preuve que cette mobilisation avec la Justice et la Police nationale était indispensable.Face à l’insécurité, si la route est encore longue, la mobilisation doit être sans faille, tant la situation dont nous avons hérité a été détériorée par laxisme. La lutte contre l’insécurité, il y a ceux qui en parlent et il y a ceux qui agissent.

Groupe de la Majorité – Ensemble pour Reims

POUR LUTTER CONTRE LA DÉLINQUANCE : PRÉVENTION, RÉPRESSION ET SOLIDARITÉDepuis plusieurs mois, notre ville a connu plusieurs actes de violences d’un niveau rarement atteint jusqu’à présent. Qu’il s’agisse des incivilités (insultes, harcèlement de rue…), des vols, des tirs à armes à feu ou plus dramatique encore, des meurtres.Nous avons passé un cap dans les violences perpétrées dans notre Cité avec plusieurs tirs avec armes à feu qui ont malheureusement fait un mort dans le quartier Croix-Rouge et deux blessés dans celui d’Orgeval.Nous faisons confiance aux forces de police qu’elles soient nationales ou municipales pour élucider ces délits et crimes ainsi qu’à la justice pour y apporter la réponse pénale qui s’impose.Mais ces actes doivent aussi nous interroger sur les politiques publiques conduites. Nous avons toujours considéré que face à la délinquance nous devions appuyer notre action sur le triptyque : prévention, répression et solidarité cher à Gilbert Bonnemaison, ancien Maire d’Épinay-sur-Seine.C’est pourquoi entre 2008 et 2014, nous avons consacré 720 000 euros à la prévention de la délinquance et à l’accompagnement des victimes ; créé des médiateurs de quartier aujourd’hui affectés à des tâches sportives. Nous avons également impulsé, en lien avec les bailleurs sociaux, un dispositif de tranquillité publique pour les occupations illicites de halls

d’immeubles, renforcé notre coopération avec la police nationale et la justice, créé une brigade nocturne au sein de la police municipale et augmenté ses effectifs de près de 20 %. Enfin, nous avons obtenu de l’État la mise en place d’une zone de sécurité prioritaire. Nous avons fait le pari de l’humain dans le cadre d’une politique équilibrée.Cette politique a donné des résultats intéressants.Aujourd’hui nous craignons qu’avec la suppression des médiateurs de quartier décidée par la majorité municipale, cet équilibre ne soit remis en cause. Or il est une condition de l’efficacité de cette politique de sécurité.Travailler à la mise en place d’une police de quartier territorialisée, accompagner davantage les associations qui ont vu leurs moyens se réduire alors que leurs actions participent au lien social et à la cohésion et enfin revenir sur l’abandon des médiateurs de quartier. Voilà quelques propositions concrètes.Car la prévention de la délinquance et la lutte contre l’insécurité n’est pas seulement l’affaire de l’État ou de la ville, elle est aussi l’affaire des citoyens.

Groupe PS / DVGEric Quénard, Nathalie Malmberg, Nicolas Marandon, Lissan Afilal, Frédéric

Bardoux, Laurence Delvincourt, Maryse Ladiesse.


EXPRESSION POLITIQUE

Les tribunes publiées dans la rubrique Expression politique sont rédigées par les groupes siégeant au Conseil municipal

de Reims et sont indépendantes du reste du contenu du magazine.

DÉSINFORMATION ET POIDS DE LA PENSÉE UNIQUEVous voulez avoir une idée de la désinformation dont fait preuve la presse locale ? Regardez comment elle ne donne pas une ligne sur nos interventions lors des conseils municipaux alors qu’elle fait largement part des propos des socialistes, des communistes, de l’élu mélenchoniste, des Verts qui, tous réunis, aujourd’hui pèsent moins électoralement que le FN.Comment ? Il suffit simplement de taper sur un moteur de recherche comme Google, « regarder les conseils municipaux de Reims », et une fois sur le site de la ville d’écouter les interventions puis de chercher ce que rapportent l’Union et l’Hebdo du vendredi : rien. On est en pleine désinformation par occultation d’une partie des débats qui donne à penser qu’il n’y a qu’une alternative électorale.Faux, direz-vous en citant le dernier conseil municipal : la presse a noté que j’avais voté contre le changement de nom de la « Place de la Mairie » en « Place Simone Veil » et ma proposition alternative de « Place Joséphine Bakhita », mais c’est en réponse à la demande publique du maire en séance, scandalisé que j’aborde, d’ailleurs en des termes non

polémiques relatifs à l’avortement, mon opposition personnelle (les deux autres membres du groupe ont voté pour la délibération). La désinformation existe bien, même ici, puisque notamment les raisons de ma proposition alternative n’ont pas été données.On a, en France, une presse au service de la pensée unique qui aide à rester au pouvoir les partis qui ont alternativement la main sur les exécutifs depuis plus de 40 ans mais servent la même idéologie ; avec une justice qui va jusqu’à convoquer Marine Le Pen chez un psychiatre pour avoir diffusé sur Twitter des images démontrant les méfaits de la République islamique (méthode de l’ex-URSS).La situation est encore plus vraie à Reims pour ce qui est de la presse, mais un jour que le Système s’effondrera, comme dans les années 1990 le bloc communiste que l’on croyait indestructible.

Jean-Claude PhilipotPrésident du groupe Reims Bleu Marine

(J-C. Philipot et M. Larrère – Rassemblement national, R. Paris, Droite indépendante)

PLUS ON BÉTONNE, PLUS ON MEURT DE CHAUD !Depuis maintenant plusieurs mois, le parvis de l’Hôtel de Ville est en travaux. Il est évident qu’il fallait repenser cet espace public, notamment en limitant la place de la voiture en circulation comme en stationnement. Mais l’équipe municipale Robinet-Vautrin a décidé sans concertation que ce parvis serait 100 % minéral : beaucoup trop minéral pour le monde qui arrive.À l’avenir, les épisodes de canicule vont se multiplier dans nos régions en raison du dérèglement climatique. C’est pourquoi, de Bordeaux à Gennevilliers, de nombreuses villes font des aménagements pour réduire les îlots de chaleur, en misant sur le végétal. Mais à Reims, le duo Robinet-Vautrin fait le contraire !La chlorophylle permet de faire baisser le mercure, et les arbres luttent de manière naturelle contre les îlots de chaleur. À l’inverse, faute de verdure, la chaleur se concentre dans les zones où ne règnent que le béton et la pierre. De plus, la pierre emmagasine la chaleur. La température y est supérieure à celle relevée dans d’autres endroits.

L’arbre a un premier effet par évapotranspiration : il transpire par ses feuilles, et l’eau qui en sort s’évapore au contact de la chaleur de l’air, qui peut diminuer alors de quelques degrés. L’autre effet notable est celui de la photosynthèse : l’arbre absorbe du dioxyde de carbone et, en le digérant, produit de l’oxygène. Ce mécanisme contribue à lutter contre l’effet de serre.Il est également possible de planter des arbres mellifères ou fruitiers ! Et n’oublions pas que tous ces arbres attirent des oiseaux qui mangent les insectes nuisibles.Nous, élus écologistes, proposons donc qu’en lien avec les conseils de quartier, l’ensemble des nouveaux aménagements soient réalisés avec une prise en compte de la lutte contre les îlots de chaleur. Dans l’état actuel des choses, on a au contraire l’impression que la majorité, en dépit du bon sens, veut favoriser une ultra-minéralisation de la ville, au risque de voir Reims suffoquer à l’avenir sous des vagues de chaleur incontrôlables.

Patricia Grain, Stéphane JolyLe groupe Écologistes !

LOGEMENT : L’HUMAIN AVANT LE FRICLe gouvernement a décidé de s’attaquer au logement social avec la loi sur le logement (loi Elan) qui vient d’être votée, après la baisse des APL des locataires. Ce sont les ménages les plus modestes qui vont être les plus pénalisés : moins de logements disponibles, des dégradations du bâti et des loyers qui progresseront inévitablement.Avec un parc de logements sociaux d’environ 40 % sur son territoire, les effets de cette politique risquent d’être catastrophiques pour la ville de Reims si rien n’est fait dans les années qui viennent. Malheureusement, le maire et son équipe accompagnent ce désengagement. Arnaud Robinet a à maintes reprises annoncé et pleinement assumé qu’il fallait réduire la part du logement social dans notre ville.A Reims, un ménage sur deux n’est pas imposable, 23 % de la population vit sous le seuil de pauvreté. La part du logement dans le budget des ménages est de plus en important. Comment les familles modestes vont-elles pouvoir se loger décemment demain dans ces circonstances ? Les conséquences sont malheureusement connues : des classes moyennes qui ne pourront plus accéder au logement social ni à l’accession à la

propriété, contraintes de loger à la périphérie de la ville, entraînant une division et une ghettoïsation dans les quartiers rémois.Nous sommes face à une volonté de favoriser le lobby de l’immobilier, de générer plus de profits au détriment de la solidarité. Le gouvernement et sa majorité vont même jusqu’à s’attaquer aux logements pour les personnes en situation de handicap. Avec la loi ELAN, les bailleurs seront désormais contraints de ne produire que 20 % de logements accessibles pour les personnes handicapées, contre 100 % aujourd’hui. Cette disposition est d’ailleurs contraire à la Convention Internationale des Droits des Personnes Handicapées.C’est pourquoi, sur cette question, nous demandons au maire et à la présidente du Grand Reims de garder la capacité de faire 100 % de logements accessibles sur notre territoire. A travers des conventions avec les bailleurs, c’est tout à fait possible. D’autres grandes villes de notre pays s’y sont engagées.

Cédric Lattuada, Saïda BerthelotGroupe communiste

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La ville de Reims accueilleses nouveaux habitantsle samedi 17 novembre 2018

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Inscription avant le vendredi 9 novembre 2018 par téléphoneau 03 26 77 78 79 ou par courriel à [email protected]


VIE DES QUARTIERS

BOIS D’AMOUR - COURLANCY - PORTE DE PARIS

LAON-ZOLA - NEUFCHÂTEL - ORGEVAL

Conseil de quartierLa prochaine séance du Conseil de quartier Laon-Zola-Orgeval-Neufchâtel aura lieu le mardi 27 novembre à 19 h salle municipale Gallieni (12 rue du Maréchal Gallieni).

Marché de Noël aux Trois PiliersAu sein de la maison de quartier Trois Piliers, un marché de Noël sera organisé le samedi 24 novembre de 10 h à 18 h. Le Père Noël sera présent pour l’occasion tout l’après-midi et distribuera ses chocolats. Des artisans vous accueilleront également pour vous présenter leurs créations.

Un cheminement en bord de VesleRéalisé en juin dernier, un premier aménagement du bord de Vesle a permis une jonction entre la rue de l’Égalité et de l’Épargne jusqu’à l’impasse du Bois d’Amour. Actuellement en discussion pour être prolongé, cet aménagement du cheminement s’étend sur 300 m de long. Une opération de nettoyage avait été effectuée avant la construction de ce chemin qui conserve l’esprit du site. Le Grand Reims a financé ces travaux dont le coût s’élève à 110 000 € TTC.

Rives de Vesle se précise encoreLe projet Rives de Vesle était à l’ordre du jour de la dernière séance du Conseil de quartier, le 15 octobre. L’occasion d’en découvrir un peu plus sur ce secteur situé au bas du pont de Vesle. « C’est un secteur particulier par sa situation entre l’hyper centre et

l’avenue de Paris », explique Jean-Michel Jacquet, architecte-urbaniste chargé de la maîtrise d’œuvre. On sait désormais que des logements, des commerces, un hôtel et des cafés-restaurants seront implantés sur Rives de Vesle. L’ensemble profitera de nouveaux espaces publics et piétonniers et du passage du bus et du tram, ainsi que d’une voirie flambant

neuve dans l’axe de la chaussée Bocquaine. Les travaux devraient débuter au second semestre 2019 pour se terminer en 2022.

Le Petit monde du Grain d’Org’Elaboré en partenariat avec le Parc naturel régional de la Montagne de Reims, le projet du Grain d’Org’ s’adresse aux habitants du quartier Orgeval. C’est une action d’entretien et de découverte de la biodiversité. L’objectif principal étant de valoriser l’ensemble du potentiel écologique de ce quartier. Cette initiative s’inscrit dans le cadre du renouvellement urbain du quartier Orgeval et le Grain d’Org’ permet aux habitants du quartier d’en savoir plus sur les fleurs, plantes et insectes présents dans leur environnement naturel. Le parc des Allées de la Pergola dispose d’un jardin partagé ainsi que d’un carré de biodiversité dans lequel les établissements scolaires et associations viennent y faire des observations et

expériences, au travers d’animations sur le thème de la biodiversité.

La maison de quartier Orgeval participe au Grain d’Org’ avec des ateliers parents-enfants.


VIE DES QUARTIERS

TROIS FONTAINES / LA NEUVILLETTE

MURIGNY

Conseil de quartierLa prochaine séance plénière est programmée le mercredi 7 novembre à 19 h au collège Trois Fontaines (247 rue Paul-Vaillant Couturier).

Repas, débat, bourse…La maison de quartier est en effervescence avec trois événements pour animer les deux espaces ! Le 14 novembre, l’espace La Neuvillette accueillera tout d’abord le repas convivial des adhérents (12 h ; 12 €). Inscriptions jusqu’au 9 novembre. En fin de journée (17 h à 19 h), place aux jeunes de 11 à 17 ans avec la soirée Papothèque (3 rue Walbaum), dédiée à la sensibilisation des dangers des réseaux sociaux. Un repas partagé conclura ce débat ludique. Enfin, le 18 novembre, la bourse de Noël permettra aux visiteurs de découvrir les vêtements et le matériel de puériculture qu’ils recherchent.

Renseignements aux espaces Trois Fontaines (03.26.09.07.85) et La Neuvillette (03.26.82.30.55).

Conseil de quartierLa prochaine séance plénière du Conseil de quartier est prévue le lundi 19 novembre à 19 h, salle municipale Vauban (30 rue Vauban).

Le Looper Tour de retourLe Ludoval (1 place René Clair) lance sa saison 2019 sur les chapeaux de roue avec deux rendez-vous à ne pas manquer. Du 8 au 10 novembre, la 4e édition du Metalanimals Fest passe désormais sur deux journées et a concocté pour l’occasion un joli programme : 13 groupes seront en scène pour cet événement rock. Après six mois de formation avec un musicien-conseil et d’interventions en technique vocale, les groupes lauréats du Looper Tour prendront le relais, le 1er décembre à 20 h, pour présenter le fruit de leur travail au Ludoval. Suite à ce concert, deux groupes seront retenus pour la

deuxième année de formation, mêlant coaching scénique, formations technique et administrative.

Metalanimals Fest du 8 au 10 novembre Tarifs : vendredi 8,50 €, samedi 14 € et pass 2 jours 20 €. polesudmusique. fr

Un jardin du souvenir supplémentaireLe cimetière de la Neuvillette comporte (ou plutôt comportait) trois jardins du souvenir jusqu’à présent. Mais devant la croissance exponentielle des crémations, le besoin d’en créer un nouveau était impératif. Ce sera chose faite d’ici à la fin de l’année. Le nouveau jardin cinéraire, côté crématorium, offrira

1 737 m² de superficie et trois espaces de recueillement aux familles en deuil : une stèle « rocher », une autre « chêne planté sur une butte » et un troisième « artistique ». Au fond de cet espace, une cuve cinéraire de 40 m3 (il sera possible d’en implanter d’autres quand le besoin se fera sentir d’ici une dizaine d’années), enterrée dans le sol, recueillera les cendres. 1 600 végétaux et une quinzaine d’arbres seront plantés dans ce jardin.

CHÂTILLONS

Deux temps forts vont animer le Ludoval

prochainement.

Perspective du future jardin du souvenir.


TROIS FONTAINES / LA NEUVILLETTE

VIE DES QUARTIERS

CROIX-ROUGE - HAUTS DE MURIGNY

Conseil de quartier La prochaine séance plénière aura lieu le mercredi 21 novembre à 19 h à la maison de quartier (1-3 place des Argonautes).

Concerts de pocheDepuis la rentrée de septembre, un groupe d’habitants du quartier travaille dans le cadre d’un atelier chorale, en partenariat avec l’association « Culture du cœur ». Les participants se retrouvent tous les mardis après-midi. Les apprentis chanteurs espèrent la venue de nouvelles voix (qui peuvent se manifester auprès de la maison de quartier). L’atelier est gratuit.

Un mois sans tabacJusqu’au 30 novembre, des animations et des stands d’informations dans le cadre du mois sans tabac sont ouverts à tous dans le hall de la maison de quartier.

CHÂTILLONS

La musique sous toutes… les couturesDans le cadre du Festival des solidarités, la maison de quartier propose, en collaboration avec l’association « Le son des choses », des animations et des ateliers gratuits, ouverts à tous (14 h 30 à 16 h 30). Le lundi 19 novembre, l’histoire de la musique sera revisitée (démonstration musicale avec Emmanuel Bouillaud). Le mardi 20, ce

sera création artistique d’instruments à partir de matériel de récupération. Le mercredi 21, le thème sera la création vocale et réflexion sur les textes de Kery James. Enfin, le vendredi 23, rendez-vous autour d’un thé dansant, pour un moment de convivialité avec une chorale, des animations musicales, des danses et un goûter à partager. A noter, du 26 au 30 novembre, une exposition sonore permanente (9 h à 12 h et de 14 h à 18 h).

La médiathèque aux couleurs du JaponDans le cadre de l’année du Japon à Reims, une exposition sur le thème des Couleurs du Japon, réalisé par Icinori, va être proposée au public de la médiathèque Croix-Rouge du 6 novembre au 1er décembre. Héritiers des maîtres de l’estampe, les illustrateurs Mayumi Otero et Raphaël Urwiller (qui forment le duo Icinori) expérimentent sans cesse l’union entre le dessin, le papier et la couleur. Leur travail est imprégné par la culture japonaise, de ses plus grands artistes comme de son imagerie populaire. Présents à la médiathèque Croix-Rouge le 6 novembre pour présenter leurs œuvres, les artistes nippons travaillent en duo ou de manière

indépendante. Cette exposition présente plus largement l’univers d’Icinori à travers un ensemble de tirages d’art, de croquis et de gouaches.

Loto le 11 novembreSous la houlette des bénévoles du groupe Escapades, un loto aura lieu le 11 novembre de 18 h à 23 h à l’espace Billard. L’occasion en ce jour d’Armistice de la Grande guerre, de se retrouver pour passer un moment chaleureux.

L’Université fête ses 50 ansDu 27 au 29 novembre, ce sont deux anniversaires qui seront célébrés ensemble : les 50 ans d’existence de l’Université de Reims Champagne-Ardenne ainsi que les 40 ans de la Politique de la ville. L’objectif de cet évènement commun est de développer les liens entre l’université rémoise et les habitants et/ou associations du quartier Croix-Rouge, en donnant notamment à ces dernières une plus grande visibilité et en contribuant à développer conjointement des idées de projets.

www.univ-reims.fr/40-50ans infos : [email protected] et en maison de quartier

L’art d’Icinori va être dévoilé à la médiathèque Croix-Rouge du 6 novembre au 1er décembre.


VIE DES QUARTIERS

BARBÂTRE - SAINT-REMI - VERRERIE

CENTRE-VILLE

Conseil de quartierLa prochaine séance plénière se déroulera le jeudi 13 novembre à 19 h à l’hôtel de ville.

Pour tous les goûtsLe Centre des congrès se diversifie comme en atteste sa programmation pour le mois de novembre avec : « Sellig Episode 5 », le 17 (20 h 30), « Paul Taylor – Franglais » le 24 à 20 h 30 pour un stand up Comedy 50 % in French, 50 % en anglais. Le 25 enfin (11 h), le chanteur-compositeur Vincent Bouchot proposera deux mini-opéras.

Conseil de quartierLa prochaine séance plénière du Conseil de quartier Barbâtre-Saint-Remi-Verrerie aura lieu le jeudi 8 novembre à partir de 19 h. Elle se déroulera dans les locaux de la Maison de la vie associative, 122 bis rue du Barbâtre.

Les ateliers de trésorierLa fonction de trésorier est essentielle au sein d’une association et nécessite de la rigueur. C’est en ce sens que le service Vie associative vous propose un espace dédié baptisé « Les ateliers du trésorier », les samedi 10 novembre et jeudi 6 décembre, pour échanger sur vos expériences et trouver réponse à des problématiques rencontrées. Le trésorier peut être confronté à des questionnements sur ses pratiques, et hésiter sur la meilleure méthode à adopter, notamment en cette période de l’année, où certains ont peut-être des dossiers de subventions à renseigner. Sandra Dhainaut et Benoît

Knibbe, coordinateurs de France Active Champagne-Ardenne, animeront ce débat et vous conseilleront utilement de par leurs connaissances acquises dans leur pratique professionnelle.

Maison de la Vie Associative, 122 bis rue du Barbâtre [email protected]

Du manga au trompe-l’œilL’école Blot est une véritable institution culturelle rémoise qui, depuis 93 ans, dispense son savoir. Aujourd’hui, elle propose un grand choix d’activités tout au long de l’année. Et il y en a pour tous les âges : les enfants, à partir de 6

ans, peuvent suivre les cours de dessin chaque mercredi. Les adolescents et les adultes peuvent également s’initier à d’autres disciplines de la peinture, en semaine ou certains samedis comme les petits trompe-l’œil, le manga et la peinture à tableau. Pour les plus insatiables, des stages sont organiser autour de thématiques spécifiques (nuances de gris, dessiner son tatouage, aquarelle). Mais ce n’est pas tout. L’école Blot transmet sa connaissance théorique via des « démos conférences » de trois heures. Différents thèmes y sont décortiqués comme le drapé ou la marqueterie. Ces séances trouvent un prolongement dans des ateliers de deux jours et demi.

55, rue Chanzy / 03.26.47.12.86.

CHEMIN VERT - EUROPE - CLEMENCEAU


VIE DES QUARTIERS

CHEMIN VERT - EUROPE - CLEMENCEAU

CERNAY - ÉPINETTES - JAMIN - JAURÈS

Conseil de quartierLa prochaine séance du Conseil de quartier aura lieu le mercredi 6 décembre à 19 h au Cercle de la Maison Commune du Chemin Vert.

Noël avant l’heureUn week-end festif permettra de célébrer Noël avec un peu d’avance. Les Corail’s Rémoises proposeront un loto cadeaux le 16 novembre (20 h 30), le repas des anciens du Chemin Vert le 17 novembre (11 h) et le marché de Noël du Chemin Vert le 18 novembre (10 à 18 h).

Renseignements : 06.13.99.46.44.

Le quotidien pendant la Grande Guerre« Reims Intime Underground 14-18 », présenté par la Cie Facteur Théâtre, célèbre le centenaire de la Grande Guerre les 7, 8, 9, 13, 14, 15 et 16 novembre (14 h 30 et 19 h) à la Maison Commune du Chemin Vert. Nous sommes fin septembre 1915, soit un peu plus d’une année après l’entrée des Allemands dans Reims. Ces derniers ont quitté la ville le 12 septembre et depuis le 13 du même mois la cité des sacres est bombardée sans cesse du matin au soir. L’action de la pièce se passe dans la cave d’une maison où une famille vit son quotidien depuis plus d’un an.

Réservations 03.26.02.97.76. Tarifs : 12 et 10 €, scolaires 4 et 5 €. [email protected]

L’église Saint-André entièrement rénovée

Après de longs travaux, l’église Saint-André a retrouvé une seconde jeunesse. Entrepris depuis juin 2016,

les derniers aménagements ont touché à leur terme en août 2018. Réalisée en plusieurs étapes, cette rénovation s’est conclue par des travaux au niveau de la couverture, des vitraux, de la maçonnerie, pierre de taille et de la charpente de l’édifice. Ces restaurations interviennent principalement au niveau du transept Est, sur ses côtés Nord, Sud et Est, mais également sur une partie du chœur, de la nef et de certaines façades de l’édifice. Soutenus entièrement et exclusivement par la ville de Reims, les coûts de ces aménagements s’élèvent à environ 6 M€ dont 1,8 million dédié à cette ultime phase de travaux.

Au bal masqué…Le masque cache mais révèle bien plus. Un stage de jeu de masque se déroulera le samedi 8 novembre et dimanche 9 novembre de 10 h à 18 h à la maison de quartier Jean Jaurès espace Le Flambeau (13 rue de Bétheny). Cet événement est l’occasion de découvrir les personnages cachés en vous…

Tarif : 40 € (prévoir l’adhésion à la maison de quartier 2018-2019).

V I V R E F Ê T E R C É L É B R E R

23/24/25 novembre

2018

3 JOURS DE FEU I N A U G U R A T I O N D E S T R A V A U X

D E L ' É G L I S E S A I N T - A N D R É


Conseil de quartierLa prochaine séance plénière aura lieu le mercredi 14 novembre à 19 h à la salle municipale Rossini (4 rue Rossini).

Une journée studieuseLe 20 novembre, la maison de quartier se transformera en un lieu d’informations pour les salariés des différentes maisons de quartier de la ville. La matinée sera consacrée aux formations qualifiantes du secteur jeunesse et sport, et l’après-midi aux professionnels de la formation, de l’orientation et de l’insertion. La journée s’achèvera avec des informations sur les métiers du sport et de l’animation (accès aux formations, financement…).

VIE DES QUARTIERS

CHARLES ARNOULD - CLAIRMARAIS

MAISON BLANCHE - SAINTE-ANNE - WILSON

La tête et les jambesInnovant, exclusif et unique dans la région… Une activité sportive et numérique, ludique et pédagogique, cérébrale et culturelle est proposée par la maison de quartier : Innov Project ou le mariage des jeux interactifs et de l’activité physique. Apprendre, bouger, rire sont les maîtres verbes de cette activité en milieu fermé. Individuellement ou par équipe, le jeu consiste à toucher les cibles projetées sur le mur par six vidéoprojecteurs, avec un ballon (au pied, à la main). Différents jeux sont possibles (puzzle, rébus, additions…). Tous les mercredis matins, dans la salle de squash, trois groupes se succèdent et n’ont qu’un objectif : faire bouger leurs cerveaux. Les seniors ouvrent le bal (9 h – 10 h) puis

transmettent le témoin aux jeunes (10 h – 11 h) et enfin aux enfants (11 h – 12 h).

VoirieSécuriser la circulation, favoriser les déplacements cyclables, maintenir ou améliorer l’offre de stationnement : le Conseil de quartier a planché sur ces différents points. L’instauration d’une zone 30, de mise en sens unique et d’un stationnement de certaines rues a été décidé. Les travaux devraient s’achever pour la fin de l’année.

Arts plastiques et musiqueLe retour à la semaine de quatre jours à l’école a été ressenti par la maison de quartier : les inscriptions ont été nombreuses. Il faut dire que Mohamed Achour et son équipe ont « chouchouté » leurs adhérents en proposant de nouvelles activités le mercredi matin. Les plus de 6 ans peuvent par exemple explorer les arts plastiques. L’atelier Toutenkarton, animé par Sandrine Brisset, crée des personnages et des animaux… en carton. De son côté, Julien Hurlupé (association Capricioso) éveille les moins de 6 ans à la musique. Une activité autour du jeu d’échec a

également vu le jour (pour tous les âges). Le club du temps libre va, lui, profiter de nombreuses activités : visite du musée de l’automobile, sortie repas-spectacle au K, atelier d’art floral, conférence bien-être-santé…

Parmi les nouvelles activités : le jeu d’échecs.

W W W . I N N O V T E A M . N E T

EXCLUSIVITÉ

Jouer, apprendre, bouger, rire...

Bienvenue dans l’univers interactif !

ENTREPRISES | ETABLISSEMENTS SCOLAIRES ET DE LOISIR

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TOUT PUBLIC

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