Atelier pour l’Examen de la mise en œuvre des programmes FFP:

Niger et Burkina Faso –

LAHIA, PASAM-TAI, SAWKI, FASO, VIM Programmes DFAP et MYAP

Niamey, Niger 16-18 Mai, 2017

RAPPORT D'ATELIER

Le programme de soutien pour la performance technique et opérationnelle (TOPS) et le réseau de sécurité alimentaire et de nutrition (FSN) reçoivent le soutien généreux et la contribution du peuple américain par l'intermédiaire de l'Agence des États-Unis pour le Développement International (USAID). Le contenu de ce rapport ne reflète pas nécessairement les points de vue de l'USAID ou du gouvernement des États-Unis.

1. SOMMAIRE Le Bureau Food for Peace (FFP) de l'Agence des États-Unis pour le Développement International (USAID) a engagé le Programme de Soutien pour la Performance Technique et Opérationnelle (TOPS) pour concevoir et faciliter un atelier de trois jours sur l'examen de la mise en œuvre (IRW) pour son portefeuille DFAP (Development Food Aid Program) de cinq Projets au Burkina Faso et le Niger, à Niamey Niger, du 16 au 18 mai 2017. L'ordre du jour visait à fournir des conseils qui seraient utiles pour les partenaires praticiens, lorsqu'ils abordent les 18 derniers mois de programmation, ainsi qu'à définir les principaux points d'apprentissage des programmes existants. Conduite en français, le modèle de l'atelier était un mélange de brèves présentations techniques à propos de cinq thèmes de programmation, suivi par des tables rondes présidé par le personnel du projet, puis de petits groupes pour « creuser profondément» dans l'un de ces cinq thèmes. Les cinq projets DFAP ont servi de contexte de discussion et d'application. Les présentations techniques ont fourni la base de connaissances et de preuves pour des sujets spécifiques. Les tables rondes ont mis l'accent sur les expériences de projet dans le domaine des connaissance référencées, et les séances de petits groupes ont permis à tous les participants de s'attaquer à certains des défis et opportunités associés aux thèmes. La première journée s'est concentrée sur deux approches importantes de programmation DFAP- «concentré ou entendu», et les méthodes de ciblage. La deuxième journée s'est concentrée sur les stratégies de durabilité et de sortie, à base de l'étude Tufts Université /USAID « Soutenir le développement: une synthèse des résultats de 4 études de pays sur la durabilité et les stratégies de sortie». Le troisième jour, les participants ont évalué les approches et les lacunes en matière de résilience et ont identifié les occasions manquées qu'ils estimaient pourrait renforcer les résultats attendus s’il existent moyens pour les inclure dans les projets en cours. Les éléments clés à retenir comprennent:

• Il existe des avantages comparables de «Concentré» par rapport à la programmation «Etendu», comme la proximité des bénéficiaires, l'établissement de relations solides avec les fonctionnaires et l'impact du changement de comportement;

• Les approches approfondies de concentré ou d’étendu ont chacun des avantages / inconvénients et semblent être influencées par l'approche de ciblage;

• Bien que les projets apportent de nombreux avantages, cela accroît également le fardeau du travail des femmes, tant dans la maison que dans le domaine de la ferme, le marché ou les activités d’élevage;

• L'examen des approches de ciblage utilisées par les programmes DFAP a permis de révéler des lacunes et des disparités entre les populations et les activités désignées;

• Le travaille à travers les quatre facteurs clés pour la durabilité et les stratégies de sortie a permis aux praticiens du DFAP d'identifier les domaines d'opportunité de collaboration avec les gouvernements et la société civile, ainsi que de découvrir certaines suppositions sur la durabilité qui peuvent ne pas se réaliser ;

• Une stratégie de sortie doit être très spécifique, et • Une stratégie de sortie doit tenir compte de toutes les activités, mais en même temps toutes

ces activités ne nécessitent pas de plan de développement durable;

• Il faut clarifier davantage le ciblage à la phase de conception et améliorer les outils de suivi pour refléter l'exactitude du ciblage tout au long de la mise en œuvre;

• En ce qui concerne la programmation de résilience, cibler les «moins pauvres» pourrait donner de bons résultats, car ils sont les moteurs de changement;

• Cependant, les programmes DFAP doivent effectuer un ciblage plus efficace à fin d’identifier les plus pauvres et vulnérables ;

• Il est clair que nous devrions envisager de modifier la façon dont les DFAP s'engagent avec les structures étatiques, par exemple, per diems, les coûts de l'infrastructure routière, etc.;

• La présentation de la résilience et le travail ultérieur en petits groupes ont posé des questions pertinentes et ont souligné les lacunes dans la couverture et la planification;

• Certaines des propositions pour les opportunités manquées nécessiteraient des fonds substantiels.

Les points saillants des principaux éléments de programmation pour une considération globale sont les suivants:

• Réexaminer le fardeau du travail des femmes dans le contexte des actions DFAP et identifier les moyens d'alléger la charge de travail supplémentaire;

• La population des jeunes devrait être correctement identifiée et les actions devraient être définies en tenant compte du leur profil;

• Un dialogue ouvert avec les gouvernements devrait se tenir pour étudier le cofinancement en ce qui concerne les projets de développement d'infrastructure qui peuvent avoir un impact sur l'adoption réussie et la durabilité des actions DFAP (par exemple, la construction de routes, le développement de l'énergie rurale);

• Les programmes doivent rendre opérationnels le concept de résilience en tant que dimension renforcée des programmes de développement;

• FFP a reconnu la valeur du suivi post-projet (recommandation de l'étude Tufts) comme moyen d'améliorer tous les aspects de la programmation DFAP - ciblage, approches d'intervention, précision de l'indicateur, correspondance des ressources, etc.

D'autres points saillants et des recommandations spécifiques aux différents thèmes peuvent être trouvés dans le corps du document. 2. DESCRIPTION DU PROJET Le Niger et le Burkina Faso ont tous deux des portefeuilles DFAP quinquennaux Food for Peace depuis [2012]. Au Burkina Faso, Catholic Relief Services (CRS) et ACDI / VOCA mettent en œuvre des interventions de base dans les domaines de l'agriculture et de la gestion des ressources naturelles, de la santé et de la nutrition et du renforcement de la société civile. Les programmes visent à améliorer l'état nutritionnel des populations les plus vulnérables, y compris les femmes enceintes et allaitantes et les enfants de moins de deux ans, ainsi que l'amélioration de la production et de la productivité agricoles et la diversification des moyens de subsistance, y compris les liens entre les marchés. Des distributions alimentaires ciblées, des activités alimentaires par travail, des repas scolaires, des rations à domicile et des formations sur les meilleures pratiques en matière de nutrition, d'hygiène et d'assainissement, permettent aux ménages d'augmenter leur consommation d'aliments nutritifs, d'améliorer la diversité alimentaire et d'améliorer l'adoption des meilleures pratiques de WASH. Au Niger, FFP soutient trois programmes intégrés d'aide alimentaire au développement avec Catholic Relief Services, Mercy Corps et Save the Children pour réduire l'insécurité alimentaire et la malnutrition, et améliorer la résilience de la communauté parmi les ménages ruraux dans les régions de Maradi et Zinder. Les programmes visent

plus de 500,000 individus et visent à promouvoir des changements positifs de comportement dans la nutrition, la santé, l'hygiène, l'assainissement et l'agriculture, ainsi que diversifier les moyens de subsistance grâce au bétail, à l'épargne et aux prêts et aux activités d'alphabétisation. Les programmes complémentaires incluent RISE (Resilience in the Sahel Enhanced) et Sahel Resilience Learning Project (SAREL). D'autres partenaires de cofinancement et / ou de collaboration comprennent le Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations Unies. 3. HISTORIQUE ET CONTEXTE DE L'ATELIER USAID FFP Equipe à Washington DC, à Dakar et au Niger a tenu sept réunions consultatives avec TOPS entre mars et mai 2017 pour identifier les thèmes principaux et pour discuter des méthodologies, des sources d'information et des présentateurs potentiels. Au cours de ces discussions, USAID FFP a expliqué l'intention d'introduire ce genre d’atelier de DFAP à la dernière étape dans la chronologie des projets. Les évaluations à mi-parcours (MTE) auraient été menées à ce stade, qui constatent les activités, les résultats et les progrès réalisés jusqu'à ce point. Un tel atelier se concentrera davantage sur les principaux défis de mise en œuvre qui sont communs dans le portefeuille de DFAP, compare les expériences, partage certaines solutions appliquées et fournit des références fondées sur des preuves pour l'amélioration. Les projets appliqueront alors ces apprentissages vers les 18 derniers mois de mise en œuvre. La facilitatrice de l'atelier TOPS a effectué un examen des rapports de progrès des cinq projets DFAP, des évaluations, des documents d'orientation, etc. afin d'identifier les éléments qui pourraient fournir des faits saillants à travers tous les programmes et d'identifier certains principes partagés, les succès, les défis, etc. Quelques points clés sont listés ici :

• Le niveau d'engagement des Comités de développement du village (VDC) - responsabilité, initiative, redevabilité - se présente de manière constante dans tous les projets comme un défi;

• Les technologies WASH (latrines, tippy-taps, etc.) et les programmes (CLTS, hygiène scolaire) ont entraîné un changement soutenu;

• Les aliments produits localement semblent acceptables en remplacement des programmes Rations (PM2A);

• Les choix, les opérations et les résultats des chaînes de valeur agricoles ont encore besoin de travailler pour rendre les modèles et les processus toujours réussis;

• Les programmes d'élevage ont également produit des résultats inconsistants; • Un accent supplémentaire sur les questions de genre au niveau opérationnel est nécessaire; • La collaboration RISE (en retard) a donné des résultats; • SILC et les services étendus / associés bénéficient d’une grande popularité et du succès.

Cinq thèmes se sont distingués qui ont capturé certains mécanismes de projet qui sont fondamentaux pour déterminer comment et si les projets atteindront des résultats. Ceux-ci inclus: 1) l’approche Concentré ou Etendue en programmation. La concentration dans la programmation

nécessite une intensité et une concentration dans la portée. Il devient difficile de mesurer systématiquement la «dose» relative des actions de projet dans les communautés, surtout si le programme permet à chaque communauté d'avoir une certaine marge de flexibilité dans la façon dont elle aborde la mise en œuvre de chacune des interventions. En général, l’approche étendu diffuse plusieurs interventions dans une base cible plus large, tout en s'appuyant sur l'interrelation des interventions pour compenser un engagement moins direct avec chaque bénéficiaire.

2) Ciblage. Qui sont les bénéficiaires visés, par rapport à ceux qui sont effectivement atteints? Comment les méthodes de ciblage contribuent-elles aux erreurs d'exclusion ou d'inclusion? Quelles sont les «clés» du ciblage efficace?

3) Stratégies de durabilité et de sortie. Les données tirées d'une étude commandée par l'USAID ont identifié quatre facteurs clés qui déterminent la durabilité après la conclusion des projets: capacité, ressources, motivation et liens. Dans quelle mesure les projets DFAP sont-ils en train de construire ces facteurs dans leurs programmes? Quelle est la relation entre une stratégie de sortie et la durabilité? Quel rôle jouent les partenaires et les acteurs?

4) Gestion des risques et résilience. Comment aborder la résilience: quelles sont les possibilités d'institutionnalisation de la résilience? Validation / renforcement des capacités actuelles de gestion des risques et de résilience parmi les ménages, les communautés et les pays - comme point de départ sur lequel les investissements de l'USAID peuvent être créés.

5) Opportunités manquées. Une recherche parmi les évaluations de projets et les documents de recherche indique qu'il y a des occasions manquées dans les projets DFAP qui devraient être explorés pour être utilisés.

4. PROFIL DES PARTICIPANTS Dix-sept participants sont venus de l'USAID FFP / Washington DC, du Bureau pour la sécurité alimentaire, du Bureau mondial de la santé, du Centre pour la résilience, des bureaux régionaux de l'USAID FFP Sahel à Dakar, du Sénégal et des bureaux FFP / BFS à l'USAID Niger et au Burkina Faso. Dix-sept partenaires praticiens de Mercy Corps, Catholic Relief Services, Save the Children, et ACDI-VOCA représentait le portefeuille DFAP. Des représentants du projet SAREL (Sahel Resilience Learning) ont également assisté. Ils ont été rejoints par douze membres du personnel gouvernemental qui sont des collaborateurs sur les projets au Niger et au Burkina Faso. Alfreda Brewer, représentante de l'USAID Niger, a ouverte et a clôturée l'atelier. Dans l'ensemble, la participation des femmes était inférieure (8/46) aux niveaux recommandés et les femmes présentes étaient en grande partie personnel de l'USAID (6). Des études montrent que les femmes doivent composer 30% d'un groupe avant d'avoir un impact sur son objectif déclaré. Les organisateurs ont reconnu l'écart et ont pris note pour les futurs programmes de ce genre.

5. BUT ET OBJECTIFS DE L'ATELIER L'atelier était orienté vers l'apprentissage et l'échange plutôt que de produire des plans d'action ou des recommandations officielles. Les buts et les objectifs reflètent cette intention. LE BUT: Prendre une pause de réfléchir aux années de mise en œuvre et de voir ce que nous avons appris. Ce qui a fonctionné, ce qui n'a pas fonctionné, et comment pouvons-nous intégrer l'apprentissage dans le programme pendant la durée restante des projets. LES OBJECTIFS : 1) Fournir un forum pratique pour partager et tirer des leçons des expériences actuelles du

programme; 2) Examiner et évaluer les modèles de mise en œuvre actuels dans les programmes FFP; 3) Comparer (1) avec les principes opérationnels de base, les informations techniques et les meilleures

pratiques émergentes pertinentes aux secteurs et aux activités du programme FFP de l'USAID;

4) Identifier les approches les plus prometteuses et les plus efficaces pour considération future.

6. PROGRAMME JOURNALIER: PROCESSUS ET RÉSULTATS

Mardi, 16 MAI: Approches de programmation - Qu'est-ce qui fonctionne, dans quel contexte et avec qui? Sessions matinales 4 et 5 : Les exemples et les expériences l’approche Concentré ou Etendue en programmation. Ahmadou Ndiade / FFP Officer Niger, a présenté une brève présentation à l'aide d'un graphique visuel qui a comparé les cinq projets à travers le nombre de bénéficiaires, le nombre de villages, les fonds et les années de mise en œuvre, afin de orienter la discussion sur la l’approche concentré ou étendue. La présentation a également décrit les interventions simples ou multi-focus, et la façon dont l'approche sélectionnée est opérationnelle dans le cadre géographique.

Ensuite, cinq panélistes ont abordé des questions concernant l'approche avec laquelle leur projet fonctionne, en partageant les observations et les leçons apprises. En particulier, les panélistes ont abordé la motivation pour choisir une approche, et diverses raisons ont été citées:

− Atteindre le plus grand nombre de bénéficiaires dans une zone géographique donnée, avec un ensemble limité des interventions;

− L’agence de mise en œuvre (CRS) a un objectif mondial pour le nombre de bénéficiaires, ce qui contribue au calcul des bénéficiaires dans un projet au niveau des pays;

− Un facteur clé régard ce que d'autres actions / projets opèrent dans la zone d’intervention vue d'une programmation complémentaire;

− Le choix d'une approche d'intervention simple ou multi-focus dépendait dans certains cas de la taille la zone d’intervention.

Aucune formule nette pour décider d'une approche n'est apparue, suggérant que le choix peut dépendre d'un certain nombre de variables, nécessitant une solution sur mesure dans chaque cas. Les avantages et les inconvénients des deux approches ont été plus clairement articulés à l'aide d'une «Marche de la Galerie», au cours de laquelle les participants ont ajouté des commentaires et des réponses aux tableaux de bord dans la salle, qui comportaient chacun une question de défi «l’approche concentré ou étendue». Le tableau ci-dessous résume les commentaires des panélistes et de la Marche de la Galerie» :

Avantages Inconvénients Concentré − Meilleure crédibilité pour les

agents de projet − Les écoles du mari travaillent très

bien − Moins de pression sociale − Masse critique au niveau du village − La surveillance, la supervision et la

gestion des données sont plus faciles à gérer.

− Avantages clairs pour les interventions multi-focus - la séquence des activités conduit à une plus grande participation et la valeur de la production et du revenu est plus considérable.

− Les communautés à proximité, mais hors du projet, ont les mêmes problèmes mais ne peuvent pas bénéficier des actions du projet.

− Les situations défavorables dans les communautés hor des projets mais à proximité peuvent se répandre dans les communautés de projet (ex. Maladies du bétail, etc.)

− Surcharge de travail pour le personnel du projet

− La productivité est également une préoccupation constante, car le temps d'un agent est consacré à voyager vers et depuis les communautés cibles, ce qui est un temps perdu pour l'engagement réel.

− Les résultats des projets n'entraînent pas beaucoup d'impact sur les indicateurs nationaux de santé.

Etendue − Une économie d'échelle − Moins de distance pour

voyager d'une communauté à l’autre

− Une meilleure collaboration avec et entre les institutions étatiques

− Les écoles du mari travaillent également très bien

− Grande variété d'expériences pour l'échange et l'apprentissage.

− Les opportunités peuvent être optimisées pour assurer le succès.

− Moins de présence = moins de compréhension des actions du projet

− L'économie d'échelle offre plus de résultats, mais ne correspond pas toujours à des résultats mesurables

− Une quantité substantielle de paperasserie et de logistique doit être déployée pour maintenir toutes les activités opérationnelles en même temps dans toutes les communautés.

Chaque groupe a également étudié une question précise dans le contexte à un projet. 1) Existe-t-il des contraintes spécifiques liées à l'une ou l'autre approche en termes d'autonomisation des

femmes (lourde charge de travail, manque de participation, capacité à répondre aux besoins spécifiques des femmes)

Le consensus dominant était que, bien que les projets apportent de nombreux bénéfices, cela ajoute aussi un fardeau du travail des femmes, tant dans la maison que dans le domaine de la ferme, le marché ou les activités d’élevage. Les parcelles agricoles des hommes sont plus productives que les femmes, car ils ont probablement plus de temps à consacrer à elles. Les femmes tentent d'appliquer toutes les pratiques de santé, de nutrition et d'assainissement qu'elles apprennent, mais elles n'ont pas le temps de suivre. Certains participants ont estimé que les activités destinées spécifiquement aux femmes doivent être mieux définies. En engageant les hommes et les femmes dans les activités, il devrait y avoir un moyen de tenir compte des exigences pour les femmes, de sorte que les autres obligations des femmes soient atténuées. La dynamique intra-ménage influence la capacité des femmes à participer

(par exemple, les maris doivent être consultés afin de permettre aux femmes de participer aux réunions). Si le modèle de recrutement des membres de la communauté locale en tant que mobilisateurs, agents de santé, etc., aurait été entrepris ‘post-projet’, cela serait difficile car les femmes ne peuvent pas se déplacer d'un village à l'autre sur une moto, ou travailler la nuit si nécessaire*. Enfin, même si les projets devaient prendre en compte certains ménages très pauvres en tant que bénéficiaires directs, cela ne résoudrait que partiellement les problèmes des femmes vulnérables. 2) Quelles sont les principales contraintes de personnel (ressources humaines) pour chaque approche? Les membres ont passé beaucoup de temps à discuter des défis du personnel, ce qui mérite une mention particulière. Le recrutement et la rétention du personnel féminin du projet sont particulièrement difficiles, en partie en raison d'un «double fardeau» d'obligations envers leurs familles et leur emploi. Cela s'applique au personnel du projet ainsi qu'aux bénévoles de la communauté féminine, tels que les ‘mamans leaders’, les jardiniers, les mentors, etc. Il y a un manque de coordination entre les secteurs, ce qui se traduit par des spécialistes techniques qui sont isolés dans leur propre secteur de manière «silo». Il existe un soutien pour les agents de terrain multidisciplinaires ou généralistes qui sont soutenus par des superviseurs techniques. Les agents de vulgarisation ont souvent du mal à s'installer et à rester dans une communauté isolé. Ils peuvent ne pas parler la langue locale. En outre, les projets imposent de lourdes exigences aux agents de vulgarisation du gouvernement, en plus de leurs autres tâches et obligations. 3) Quels sont les problèmes rencontrés avec les zones non ciblées par le programme? Le groupe a identifié un certain nombre de défis pour l'adoption des pratiques par ceux qui ne reçoivent pas directement l'intervention:

• Manque de ressources et de moyens pour reproduire les actions du projet • Moyens et services gouvernementaux insuffisants pour aider dans l’ensemble • L'effet «masse critique» n'est pas systématique • Variables indépendantes telles que l'accès à la terre, le manque d'eau • Dans certains cas, le type d'activité, par exemple, les écoles de terrain des agriculteurs

nécessitent une expertise technique • Dans certains cas, la chaîne de valeur totale n'est pas opérationnelle (par exemple, les produits

agricoles sont cultivés, mais aucun marché pour les vendre, sans semences améliorées) • Manque d'expertise locale • Les femmes dans les zones autres hors du projet qui n'ont pas de titres fonciers n'ont pas de

réseau de soutien (comme dans la zone du projet) • Les populations nomades ne profitent pas.

4) Comment l'approche encourage-t-elle les liens avec le gouvernement? le secteur privé? Le groupe a identifié les avantages et les inconvénients des approches en ce qui concerne l'établissement de liens avec le gouvernement et le secteur privé. Les caractéristiques positives incluent:

• Les activités sont suffisamment alignées sur les politiques nationales • Des accords officiels existent entre le gouvernement et le projet • Des révisions et des ajustements peuvent être effectués sur une base trimestrielle • Le niveau régional du gouvernement a désigné les points focaux par secteur pour surveiller et

soutenir les activités du projet • La taille des zones / zones de captage du projet est une taille raisonnable

* Cela suppose que le statut des femmes est stagnant et n'est pas sujet à une évolution sociale.

• La dynamique interne (gouvernement?) Peut influencer la mise en œuvre du projet • La capacité organisationnelle est bonne • Le gouvernement peut être flexible.

Le groupe a énuméré quelques difficultés telles que: • Crée des dépendances (les donateurs sont le clé conditionnel dans les stratégies

gouvernementales pour la durabilité) • Le manque de financement indépendant pour les activités • Manque de personnel (gouvernement) • Les besoins de la communauté dépassent la capacité du gouvernement à les résoudre • Manque d'agents du gouvernement pour servir de support technique au projet.

5) De quelle manière l'approche a-t-elle affecté ou favorisé l'intégration programmatique des différents

secteurs / objectifs stratégiques? Dans certains cas, tous les villages ont le même menu d'activités. Un certain nombre de facteurs distincts sont ressortis: Aider l'intégration Décourage l'intégration Concentré − Meilleure intégration de différents

secteurs − Meilleure communication et échange − Possibilité pour les bénéficiaires de

participer à de multiples activités et de diversifier

− Une meilleure visibilité des actions du projet

− La stratification des interventions est plus efficace dans les groupes cibles.

− Rigidité dans la demande - Opportunité perdue pour les communautés voisines de bénéficier

− Doit avoir plus de souplesse et devrait être plus attentif aux hiérarchies gouvernementales, par exemple, la responsabilité / l'autorité entre les niveaux de la commune et du district.

Etendue - Le choix de l'intervention est rationnel - Les interventions multi-focus sont adoptées sélectivement, plutôt que d'une manière universelle.

− L'intégration est sélective − La prise de décision, les

modifications, les ajustements nécessitent un volume élevé de données de tous les sites.

Les coûts du projet peuvent varier considérablement en fonction de l'approche combinée avec le choix de l'intervention / s. Il existe des différences significatives dans le coût par bénéficiaire entre les deux approches, insistant la nécessité de définir vraiment l'optimisation des ressources. Sessions de « Concentré ou Entendu » 4 et 5. - Questions / problèmes / préoccupations exceptionnelles. Les discussions indiquent qu'il existe des problèmes programmatiques et opérationnels valides qui restent à résoudre. Ceux-ci comprennent le coût> < bénéfice, et l'optimisation des ressources, entre autres. Les préoccupations générales pour l'impact des mesures de DFAP sur le fardeau de travail chez les femmes sont réelles. Le capital temporel des femmes est l'un des facteurs d'aide / entrave dans l'Indice de l'autonomisation des femmes dans l'agriculture (WEA-I). Sessions de l'après-midi 6 et 7- Les Clés pour un Ciblage Efficace. La fondation de cette session était basé sur les observations offert par des membres de l'équipe de l'USAID FFP à ce que le ciblage inefficace dans les programmes DFAP peut détourner ou empêcher la

livraison des activités et peut modifier les résultats. David Kauck / Senior FFP Officer, DC a ouvert la session avec une courte présentation qui met en évidence certaines approches défectueuses du ciblage, et les erreurs résultantes conduisant à des cibles manquées.

Suite à la présentation, une table ronde «Shift and Share» a permis aux cinq directeurs de projet de décrire leur approche de ciblage. Ils ont préparé des tableaux à feuilles mobiles qui ont abordé les questions suivantes:

1) Qu'est-ce qui a été fait en premier, la sélection de la population cible (et non la zone géographique), ou les interventions techniques?

2) Quelles méthodes de ciblage utilise-t-elle? 3) Le projet utilise-t-il plusieurs méthodes de ciblage? 4) Les critères de ciblage varient-ils à travers les secteurs ou les activités?

Les participants ont visité les affichages visuels en trois tours de 15 minutes pour connaître les différentes approches de ciblage dans les cinq projets. De cette façon, le contenu a été partagé de manière interactive, tout en évitant une série de présentations passives de power-points. Les hôtes de table ont décrit les objectifs et les méthodes de ciblage du projet en profondeur, en comparant les conséquences, et les avantages et inconvénients de la stratégie de ciblage. Ils ont examiné si le projet atteint effectivement les personnes qu'il avait initialement l'intention de cibler, ainsi que les conditions, les circonstances et les contraintes particulières qui ont influencé le ciblage. Les petits groupes se sont formés pour prendre une «plongée profonde» dans des questions plus détaillées:

1) Décrire les ménages les plus pauvres dans les endroits où vous travaillez. Quels sont les défis auxquels sont confrontées ces personnes? Quelles ressources et capacités ont-elles?

2) Votre projet atteint-il vraiment le plus pauvre des pauvres? 3) Les critères de ciblage éliminent-ils ceux qui en ont le plus besoin? 4) Les partenaires de mise en œuvre ont-ils réellement une expérience significative en identifiant

les extrêmes pauvres? 5) Votre projet utilise-t-il plusieurs stratégies de ciblage? Est-ce que chaque volet technique de

votre projet cible une population différente? 6) Si oui, est-ce fait express, ou par hasard? 7) Votre stratégie de ciblage est-elle alignée sur celle de vos partenaires d'exécution et d'autres

organismes coopérants? 8) S'il existe une division du travail entre votre organisation et vos partenaires, est-il possible que

ces organisations ciblent différentes personnes? Si oui, est-ce fait express? 9) Est-ce que ça importe?

Les groupes ont travaillé pendant deux heures. Un exemple illustratif est fourni ici à partir d'une discussion de groupe. On décrit un ménage typique, ce qui semble servir à informer la stratégie de ciblage: "Sept membres dans le ménage - dans certains cas, dirigés par des femmes; La superficie moyenne est de 0,8 hectare, la production de récolte est de 2 à 3 mois; La propriété du bétail est inférieure à 1 [ne spécifie pas le type d'animal, mais le mot «betail» suppose des bovins appartenant généralement à des hommes]; Aucun moyen de production, aucune activité génératrice de revenus ". Les défis auxquels est confronté ce ménage comprennent: "Très peu d'accès à la terre, et cela est plus grave pour les femmes; Aucun bétail [assume le bovins, et non les chèvres], pas de filets de sécurité sociale, aucune stratégie de subsistance en période de soudure. » Ce ménage a des mécanismes d'adaptation qui comprennent: «Engager à faire le main-d'œuvre manuelle, coupe / vente d'arbres, migration après récolte». Quant à savoir si le projet atteint les plus pauvres, comme l'illustre ce ménage: "Ils reçoivent des rations distribuées, ils ont accès à habbanaye [petit programme d'élevage de ruminants], donc ils bénéficient plus ou moins. Mais les activités du projet n'atteignent pas les plus démunis. Les critères de ciblage excluent le pourcentage de ceux qui en ont le plus besoin. » Ensuite, les groupes ont offert des recommandations sur le ciblage pour les projets futurs. La liste consolidée comprend:

1) Outre le financement des activités ciblant les plus pauvres, il devrait y avoir des activités pour les moins pauvres - dans le modèle du développement «aspirationelle»;

2) La phase de démarrage du projet devrait être flexible pour ajuster le ciblage si nécessaire; 3) Combinaison de différentes stratégies de ciblage pour différents secteurs; 4) Élaborer une stratégie globale qui comprend des groupes nomades avec leurs caractéristiques

particulières; 5) Utiliser les données de base pour un bon effet afin de déterminer le niveau de vulnérabilité; 6) Les ménages très pauvres qui engagent dans la migration devraient recevoir des formations

appropriée pour les encourager de rester dans la communauté; 7) Élaborer un outil de ciblage qui correspond à la définition de la pauvreté de l'USAID; 8) Cibler tous les catégories des pauvres pour tous les projets de l'USAID; 9) Développer des activités génératrices de revenus telles que l'installation de petites unités de

production qui relanceront l'économie locale; 10) Élaborer des programmes qui tiennent compte des zones géographiques les plus isolées; 11) Il est sage de revoir le contexte des pauvres et des très pauvres; 12) Les activités doivent être très flexibles afin d'être adéquates à tous les niveaux.

Les Clés pour un Ciblage Efficace. Sessions 6 et 7 :Questions / problèmes / préoccupations exceptionnelles. La présentation initiale a été très éclairante pour les participants. Les points sur le ciblage inefficace ou erroné ont été renforcés dans les discussions en petits groupes pendant que les participants ont examiné les questions dans le cadre de leurs projets. Les recommandations reflètent le besoin de plus de clarté sur le ciblage à la phase de conception et de meilleurs outils de suivi pour refléter la précision de ciblage tout au long de la mise en œuvre.

Mercredi, 17 MAI: La Durabilité et les Stratégies de sortie. Sessions 13 & 14: Présentation: étude TUFTS 10.2016 «Développement durable: une synthèse des résultats à partir de 4 études sur les stratégies de développement durable et de sortie». Marie Therese Ndiaye / Spécialiste en gestion de programme FFP, Dakar, a guidé les participants à travers un sommaire de l'étude Tufts commandée par l'USAID. Parmi les points clés: - Contexte de l'étude - Stratégie de sortie contre stratégie de développement durable - Principaux facteurs de durabilité pour les projets FFP - Résultats et leçons apprises - Recommandations. Mme. Ndiaye a offerte quelques exemples pour illustrer les points saillants. Une observation mémorable était: "L'espoir n'est pas une stratégie! Les éléments du plan de développement durable doivent être explicites et détaillés ... " La contribution des participants a ajouté d'autres dimensions aux faits de la présentation. Voici quelques points saillants de leurs commentaires:

− Il est important que les hypothèses des stratégies de durabilité des projets soient régulièrement vérifiées;

− Le temps devrait être intégré dans le plan du projet pour que les bénéficiaires commencent à gérer les activités de manière autonome;

− Le personnel du projet (agents communautaires) devrait être formé et équipé pour guider les bénéficiaires dans les mécanismes de durabilité;

− Des facteurs externes tels que la sécheresse affectent la durabilité; − La pratique actuelle des per diems aux fonctionnaires devrait être progressivement éliminée; − Les problèmes de coordination entre les différentes organisations nécessitent un cadre de

collaboration pour la poursuite après la conclusion du projet; − Assurer un financement ciblé pour les activités des jeunes, car ce seront les futurs acteurs pour

soutenir les programmes; − Ne pas perdre de vue les facteurs de durabilité sous la pression des indicateurs; − Cette étude montre qu'un projet à impact graduel est meilleur qu'un projet à faible impact.

La présentation de base a été suivie d'une table ronde avec des participants qui se sont portés volontaires pour servir au panel. Le modérateur, Siaka Millogo / Spécialiste principal de FFP, Burkina Faso, a préparé la phase de discussion en renforçant la définition des quatre facteurs essentiels à la durabilité, selon l'étude de Tufts. Voici les définitions :

Quatre membres du panel ont abordé l'opérationnalisation des quatre facteurs dans le contexte de

leurs projets. Le discours était en grande partie descriptif et superficiel, soulignant le succès et les assurances de la durabilité. Les panélistes ont ensuite identifié des défis à l'égard des quatre facteurs, qui semblaient contredire les déclarations précédentes de mécanismes de durabilité :

− La difficulté prévue d’ étendre le projet aux communautés voisines; − Comment encourager les producteurs à participer et à assurer la fonctionnalité des systèmes

communautaires d'épargne et de prêt; − Manque d'un cadre de suivi après le retrait des exécutants de LAHIA (Save the Children Niger); − Comment s'assurer que la population a la capacité d'assurer la continuité; − Il est nécessaire de réfléchir sur la façon d'impliquer l'État de manière soutenue, compte tenu

du roulement fréquent du personnel du gouvernement. Séances du matin et de l'après-midi 15, 16,17,18: Travail en petits groupes 4 Facteurs Clés. Après la discussion, les participants se sont joints à cinq petits groupes pour étudier un facteur clé à la fois dans l'optique des secteurs techniques:

1) Agriculture, élevage, NRM (habbanaye) 2) Gestion des risques, Systèmes communautaire d'alerte précoce 3) Santé / Nutrition, PM2A 4) WASH (CLTS) 5) SILC / VSLA, habbanaye.

Le tableau ci-dessous identifie des points saillants et les recommandations de chaque facteur par secteur.

Secteur Capacité Ressources Motivation Liens/ Mise en Relations

Agriculture/ Elevage

La gestion de projet est un «prisonnier» d'indicateurs qui peut étouffer la durabilité.

La non-alphabétisation est un défi majeur pour tous les secteurs.

Renforcer la capacité des municipalités à

Les femmes ont besoin d'une source de crédit continue et fiable (montant progressivement croissant).

Créer une taxe sur les marchés du bétail.

Récupérer des terres dégradées au profit de toute la communauté.

Les gens sont prêts à payer pour des biens tangibles (par exemple, des graines), mais pas pour des services (par exemple, agents de vulgarisation). Développez des messages «ambitieux» qui présentant des propriétaires de gros troupeaux comme exemples

Créer des liens entre chercheurs et services - pour développer de nouvelles idées. Développez un paquet clé que l'état peut absorber.

capitaliser sur les réalisations et les succes.

de bons modèles commerciaux.

Recherchez des opportunités manquées pour promouvoir l'intérêt et l'investissement (par exemple, les cacahuètes locales).

Gestion des Désastres, Système d'Alerte Précoce

Même lorsque les systèmes sont en place, la réponse retardée au longue de la chaîne de communication entrave l'efficacité. Faible coordination et capacité décisionnelle. Déconcentrer la prise de décision.

Des ressources insuffisantes pour les opérations et l'équipement nécessaire.

De graves lacunes dans la compréhension de la valeur de DRM / EWS. Construire la crédibilité et l'autorité des comités EWS.

Les chaînes de commandement existent> l'élevage, l'environnement. MAIS il y a une faible coordination entre les différents niveaux et les partenaires. Les plans DRM / EWS devraient figurer dans tous les plans de développement.

Santé, Nutrition, PM2A

L'État doit établir les services. - Définir des politiques claires pour la santé / Nutrition - Formation continue à tous les niveaux - Introduire de nouveaux modules dans la formation des agents de santé (exemple: relation santé / agriculture). - Sensibiliser les élus locaux sur l'importance de la nutrition. - Soutenir les activités de santé et de nutrition dans les PDC.

Faut-il élaborer un plan qui est à la portée des gouvernements, ou qui répond aux besoins réels? -Inscriptions des activités de santé / nutrition dans les PCP et leur financement au niveau municipal -Un financement accru pour la santé et la nutrition par les gouvernements -Mobilisation des ressources communales locales.

Défis pour le transfert de messages. - Sensibiliser les communautés afin qu'elles comprennent que l'État ne peut pas tout faire. Sensibiliser les communautés sur la pertinence des activités.

WASH/CLTS Dans de nombreux cas, les membres de la communauté gèrent déjà les systèmes. Former tous les acteurs de la chaîne d'opérations dans la gestion et les technologies WASH. Accent sur COGES (niveau communal). Les jeunes devraient être ciblés pour être des acteurs clés dans les programmes WASH. Développer la capacité

Générez des fonds par des pénalités pour non-conformité: les latrines. Ajouter un élément de campagne au budget de la commune - assurer le transfert des ressources du niveau central au niveau local. Frais pour la politique de services. -Subsidies pour les nomades. Augmenter les ressources pour assurer la continuité.

Pression sociale pour se conformer et réussir dans la communauté. La certification CLTS devrait être considérée comme une politique officielle par les gouvernements. - Mobiliser tous les acteurs afin de satisfaire le besoin permanent d'eau de qualité. -Existence des fonds SMEA sur la base desquels les plans d'action SEA peuvent être financés. - Mettre à disposition les intrants pour la construction

Connectez les utilisateurs avec les fournisseurs de services. Au niveau de la commune: un système transparent qui soutient les techniciens rémunérés (SMEA).

technologique et commerciale dans le secteur privé - les maçons, les foreurs, les vendeurs de pièces de rechange, etc.

- Améliorer la qualité des services (bénéficiaires plus motivés à payer, réparation de qualité). - Encourager le rôle du secteur privé dans la gestion des services d'eau et d'assainissement. -Accès au financement privé -SILC-WASH intégration.

des latrines: Rôle du secteur privé pour répondre à la demande créée par CLTS. - Formation des jeunes pour WASH en collaboration avec le Ministère de l'éducation. - Plaider pour une approche harmonisée pour CLTS sans subvention. -Utiliser les personnes-ressources dans le village pour se conformer. - Institutionnaliser les récompenses pour les villages GOAL.

SILC/VSLA Établir l'accès aux marchés pour le placement de produits.

L'épargne et le crédit sont déjà la base de ressources - comment encourager la diversité d'utilisation pour la durabilité? Construire la demande de services.

S'appuyer, renforcer la cohésion sociale et les mérites de l'appartenance à un groupe - Accès à un marché rentable - Motiver les para-vétérinaires privés grâce à des incitations / recyclage - Plaidoyer auprès des ministères pour intégrer les para-vétérinaires dans les campagnes de vaccination

Créez des liens horizontaux entre les groupes d'épargne. Faciliter l'affiliation aux associations commerciales (RECA, CRA). - Lier les groupes d'épargne aux réseaux (visibilité, IMF et partage d'expériences) - Accès aux marchés pour l'élimination des produits (AGR) - Associer les producteurs aux candidats nationaux (STA, WFA)

Principaux facteurs pour les sessions de durabilité 13-18 - Questions, problèmes, et préoccupations exceptionnelles. Les membres du groupe ont observé de manière anecdotique que la planification de la durabilité est mieux amorcée tôt dans la mise en œuvre du projet. Lorsqu'ils ont étudié chaque facteur, ils ont découvert que tous étaient très entrelacés. Malgré les instructions pour le faire, les analyses n'ont pas vraiment pris en compte l'autonomisation des femmes, les initiatives hors ferme et les systèmes de migration / versement. Les discussions de planification pour l’atelier a mis un accent particulier sur ces directions, de sorte que il se pourrait qu’ils méritent davantage d'investigation plus profonde. Session 19 - Défis pour la mise en relations (liens) - la perspective des gouvernements. Le thème de la durabilité s'est terminé par une table ronde sur la mise en relations qui comprenait six représentants gouvernementaux des services techniques au Niger et au Burkina Faso. Parmi les quatre facteurs clés, les liens semblent être la ligne de base qui tient les autres facteurs ensemble - ou non. Jeff McIntosh / Le chef d'équipe de FFP West Africa, DC a préparé certaines observations sur la base de l'étude Tufts: • La “mise en relations” est souvent un facteur critique, mais pas toujours (eg, modèle PSP) • Cela se passent à travers un transfert des activités à une entité externe (gouvernement, secteur

privé, ONG, etc) • La réussite est assuré si l’entité possèdent les trois facteurs clés

Les Défis comprennent: • Gouvernements manquent parfois un des trois facteurs • Manque d’implication des acteurs dès le début • Objectifs du projet ne reflètent pas priorités du gouvernement • Manque de planification conjointe pendant implementation, Il n'y a donc aucun sens de

'investissement'. Les panélistes ont reçu des questions d’avance. Les panélistes ont apporté diverses réponses, dont la plupart étaient extrêmement optimistes et complémentaires à la fois au nom de gouvernement et les partenaires d'exécution. "Quelles activités / interventions clés du DFAP nécessiteront un engagement continu du gouvernement, des ressources et des capacités techniques pour assurer sa durabilité au-delà du projet?" Les panélistes ont assuré que toutes les activités se poursuivront après les projets, ne faisant aucune distinction entre les actions susceptibles d'être éliminées et celles qui devraient constituer les fondements du développement pour le pays. Les panélistes semblent croire que, dans la mesure où certains domaines tels que les services de santé et les services para-vétérinaires fonctionnent efficacement dans le cadre de la supervision des partenaires de mise en œuvre, cela se poursuivra après la sortie de l'ONG. Il est possible que ces panélistes participent largement aux aspects techniques des programmes, sans être impliqués directement dans la planification de la durabilité. «Les acteurs gouvernementaux ont-ils été suffisamment impliqués dans la planification / la conception de ces activités pendant la mise en œuvre du projet? Qu'est-ce qui a bien fonctionné ou aurait pu être fait différemment?" Encore une fois, les panélistes ont estimé que les acteurs gouvernementaux étaient pleinement impliqués dans la planification et la conception du «début à la fin». Un paneliste a cité la forte collaboration avec CRS, mentionnant qu'il existe un respect pour les politiques et le «partage du programme» avec l'État. Des exemples spécifiques incluent le cas des écoles de terrain des agriculteurs, où les agents de vulgarisation et les villageois formés assurent la continuité et «des améliorations sont faites en fonction des réunions». Un autre exemple fait référence à un programme d'eau et d'assainissement qui est durable maintenant après deux ans de mise en œuvre - des ressources financières sont en place, le système de gestion de l'administration municipale est renforcé et les puits sont maintenus dans un système d'utilisation communautaire. Un certain nombre de panélistes consignent la durabilité des activités à la population et aux bénéficiaires, par exemple, le stockage des aliments, la production de moringa, les bénévoles dans les écoles de terrain des agriculteurs, etc. Dans un cas, le partenaire d'exécution et le gouvernement étaient en désaccord avec l'engagement d'un Vétérinaire du secteur privé pour fournir des services de vaccination. L'approche du fournisseur du secteur privé n'était pas compatible avec l'approche du gouvernement et, en tant que telle, ne serait pas durable. "Le gouvernement aurait-t-il suffisamment de capacité / de ressources / de motivation pour poursuivre de telles activités? Si c'est le cas, expliquez. Sinon, quels sont les défis et ce qui pourrait être fait pour relever ces défis avant la fermeture du projet? Dans un exemple, la «durabilité» sera assurée en alignant davantage de bailleurs de fonds, par exemple, le gouvernement du Luxembourg pour financer les systèmes d'approvisionnement en eau. Le principal inconvénient de cette approche semble être le retard dans le transfert de fonds du trésor national au niveau municipal. En ce qui concerne les défis, une préoccupation semble être le «manque de

leadership national», ce qui indique que les liens verticaux entre les niveaux administratifs peuvent ne pas être aussi robustes que prévu précédemment. Une autre préoccupation est l'absence de mécanisme de suivi post-projet. Enfin, malgré les assurances que les agents communautaires et les acteurs locaux poursuivront, il n'est pas clair où les ressources pour la supervision de la formation et la coordination viendront. Session 19 Perspective gouvernementale sur les liens - Questions, problèmes, et préoccupations exceptionnelles. Les panélistes étaient largement représentatifs des services techniques du gouvernement plutôt que des unités administratives. En tant que tel, ils ne semblaient pas avoir de connaissances sur les politiques, la budgétisation, etc. Leurs réponses n’ont pas forcement adressés les moyens et les processus pour permettre aux communautés et aux entités municipales locales de «se lier» avec les organismes de décision et d'octroi de ressources.

Jeudi, 18 Mai- La gestion des risques, la résilience, convertir les opportunités manquées en réalisations. Séances du matin 22-24: Encadrement de la résilience dans les programmes DFAP. Andre Mershon / Conseiller en résilience, Centre pour la Résilience/BFS, a établi le contexte de sujet en expliquant comment aborder la résilience. La résilience est une nouvelle façon de travailler - qu’est-ce qui est différent et quel est le rôle de Food for Peace? Un concept clé est que l'action collective est égale à l'impact collectif. La présentation a examiné ce que nous savons déjà des chocs et lesquelles capacités de résilience sont importantes selon les analyses. La présentation a cherché à stimuler la réflexion sur la façon dont les interventions améliorent la résilience dans le Sahel. Mershon a décrit le travail du projet RISE (Resilience in the Sahel Enhanced) et la technique de « séquençage, de calage et d'intégration » (SLI). L'enquête de de base RISE a identifié une approche graduée pour les communautés afin d'atténuer les chocs - absorber, adapter et transformer. Certains points saillants de la résilience sont les suivants: − Tous les pays du Sahel connaissent des chocs réguliers qui mettent l'accent sur les moyens de

subsistance et les stratégies d'adaptation; − Les pays doivent atteindre un certain niveau de croissance inclusive afin de vaincre continuellement

les chocs et le stress; − Les fonds DFAP sont un peu plus souples que d'autres instruments, avec possibilité pour la

planification des ressources pour la résilience. Après la présentation, les participants ont mis en place de petits groupes pour étudier une série de questions dans le cadre de leur travail et de leur expérience. Comment votre travail contribue a renforcé ces capacités de résilience? Dans vos projets ou en collaboration avec d’autres? Que feriez-vous différemment?

1) Accès a l’infrastructure 2) Capital humain 3) Accès a l’information 4) Accès aux filets de sécurité formels 5) Accès aux filets de sécurité informels 6) Stratégies de réduction des risques de catastrophe 7) Aspiration et la confiance pour s’adapter

Selon vos expériences, qu’est ce qui manque ici (en termes d’analyse)?

Par rapport aux désignations précédentes, les petits groupes étaient divisés par hiérarchie: individus, ménages, villages, communes et niveaux nationaux. Ils avaient la directive de répondre aux questions par le filtre de ces niveaux. Groupe 1: niveau individuel. Ce groupe a d'abord défini les différents «individus»: femmes, filles, hommes, garçons, personnes âgées, personnes handicapées. Ils ont ensuite évalué chaque profil selon les sept catégories ci-dessus. Il est apparu que les femmes évaluaient le meilleur en 1, 2 et 4. Ceci est qualifié comme l'accès en grande partie aux services de santé et l'accès secondaire aux services de production agricole. Les hommes évaluent toujours mieux l'accès aux marchés, à la formation et à l'information. Notamment, les hommes ne semblent pas avoir accès aux services de santé. Entre les filles et les garçons, les garçons sont particulièrement absents de toutes les catégories. Les personnes âgées et les personnes handicapées ont un accès modéré à 1, 2, 4 et 5. Le groupe n'a eu le temps d'aborder les questions 6 et 7 et les questions supplémentaires. À travers les analyses, il était très clair que les garçons sont absents de la programmation. Les recommandations du groupe visant à améliorer la capacité du programme DFAP à développer la capacité de résilience sont les suivantes:

− L'évaluation des besoins (avant le démarrage du projet) devrait prendre en compte les différents profils / caractéristiques des «individus»;

− Ciblage plus ciblé et délibéré de la jeunesse; − Meilleure compréhension et coordination entre les interventions à travers la lentille de «profils

individuels». Groupe 2: Niveau des ménages. Les ménages ont collectivement accès à (1) par l'eau et l'assainissement, le stockage des aliments, les améliorations agricoles et le bétail. Ils bénéficient de (2) par la formation, et (3) sous forme d'éducation, en particulier les cours d'alphabétisation. Les ménages jouissent de la sécurité de l'assurance agricole comme moyen d'assurer (4), tandis que les mécanismes d'entraide fournissent une certaine sécurité informelle (5). Les stratégies des ménages pour DRM (6) comprennent l'assurance-récolte (warrantage), les coopératives, l'amélioration des semences, les calendriers de plantation, la diversification économique, le crédit et l'épargne, le stockage des aliments> <ventes alimentaires. Enfin, les ménages développent leur autosuffisance (7) lorsqu'ils participent à la formation, au crédit et à l'épargne, au développement de la petite entreprise, aux «Safe Spaces» et à l'EDM. Certaines recommandations pour améliorer la programmation de résilience comprennent:

− Standardiser les spécifications des latrines selon les critères de conformité; − Promouvoir les transferts monétaires; − Explorer les autres mécanismes / produits d'assurance; − Programmes pour les jeunes; − Gestion des cultures / récoltes.

Groupe 3: Niveau du village. Le groupe a passé la plupart de son temps sur 1 et 2. Ils ont énuméré leurs activités de projet et les ont comparés avec des résultats. Les progrès réalisés dans le développement et l'accès aux infrastructures ont entraîné une réduction des maladies, une hygiène améliorée, des activités agro-pastorales plus productives et un certain soulagement dans la charge de travail des femmes. Le capital humain (2) est progressivement développé par la protection et la production des animaux, la protection de l'environnement, le maintien des infrastructures, la réduction de la malnutrition et la prévention des maladies et la mobilisation des ressources. Les recommandations ont identifié plus de travail à faire:

− Développer les routes; − Établir des centres de formation; − Activités hors ferme; − Jeunesse; − Alphabétisation fonctionnelle pour les membres des groupes / coopératives / comités; − Donner plus de responsabilité aux comités de développement villageois en tant que centres

d'autorité. Groupe 4: Niveau de Commune+ Les observations de ce groupe reflètent le défi général pour les programmes DFAP de comprendre et s'engager avec le secteur administratif. Ils ont pris le temps d'identifier les lacunes, en notant le manque d'infrastructure (chemins auxiliares). Le faible capital humain conduit à une consultation communautaire insuffisante avant et après la restauration des terres, une mauvaise gouvernance et une faible alphabétisation. Les différentes entités municipales et communales ne travaillent pas ensemble de manière consultative. Un certain nombre de recommandations ont émergé:

− La politique nationale de développement devrait ouvrir des zones de production en construisant des chemins d'alimentation dans les zones agricoles;

− Engager la discussion à tous les niveaux pour une définition claire de l’objectif des terres récupérées;

− Renforcer les capacités des conseils communaux; − Les communes devraient s'aligner sur la politique de l'État en matière d'alphabétisation; − Initier / renforcer les cadres et les occasions de dialogue entre acteurs.

Groupe 5: Niveau national. + Comme pour le Groupe 4, ce groupe a semblé passer la majeure partie du temps à essayer de mieux comprendre les rôles et les responsabilités, ainsi que le fonctionnement «intérieur» des entités publiques en relation avec des programmes comme les DFAP. Ils ont identifié des faiblesses qui reflètent les lacunes administratives, politiques et des programmes. Ceux-ci incluent: pas de délégation de pouvoir exécutif, pas de routes pour ouvrir des zones isolées, consultation communautaire inadéquate avant et après la restauration des terres, faible niveau d'alphabétisation, problèmes de gouvernance, faible implication de certains acteurs (pasteurs, marabouts), actions insuffisantes de planification familiale, et faible niveau de consultation entre les acteurs municipaux.

− Renforcer la collaboration et la synergie entre SIM (Market Information System) et SIMA (Agricultural Market Information System);

− Renforcer la capitalisation du système de gestion des données; − Opérer le système d'alerte précoce et le SISEA pour la collecte de données; − Renforcer le système de gestion des risques de catastrophe; − Meilleur harmonisation sur le système national de protection sociale; − Les fonds DFAP devraient apporter des plans d'intervention en cas de catastrophe; − Collaborer avec le gouvernement pour donner la priorité aux investissements dans les zones

DFAP (également avec d'autres donateurs); − Plaider et soutenir la décentralisation pour la rendre plus opérationnelle (compétences, plans

...); − Fournir des bourses d'études;

+ Les notes de travail détaillées des Groupes 4 et 5 n'étaient pas disponibles. Les informations présentées ne représentent pas l'analyse qui a abouti aux conclusions.

− Détachement du personnel du projet DFAP pour siéger au sein des ministères partenaires pour fournir une assistance technique aux homologues.

Séances 22-24 Programmation DFAP pour la résilience - Questions exceptionnelles, problèmes, préoccupations. Les discussions de groupe, si bien que productives et éclairantes, ne semblent pas distinguer la résilience en tant que dimension améliorée des programmes de développement. La langue d'atténuation des risques, d'absorption, d'adaptation et de transformation ne faisait pas partie des discussions et ne figurait pas dans les recommandations. Sessions 25-29: Opportunités Manquées dans les Réalisations: qu'avons-nous manqué? L'équipe de planification de la FFP a proposé ce thème pour stimuler la réflexion et capitaliser sur les actions potentielles et réalisables qui pourraient être intégrées dans les 18 mois finaux de programmation DFAP au Niger et au Burkina Faso. Une revue des rapports de projet, des études et des évaluations à mi-parcours du DFAP a identifié un certain nombre de ces opportunités manquées. Cette session a été conçue pour générer plus d'idées et esquisser les processus pour les développer. Thibaut Williams / FFP Health Officer, Dakar, a mené une séance très animée de remue-méninges qui a généré une liste d'idées. 32 sujets ont émergé, allant du développement du potentiel de transport du fleuve Niger à l'agriculture biologique, aux équipes de formation pour la prévention de la violence à l'égard des femmes. La liste a été réduite jusqu’a 13 grâce à une facilitation d'adepte. Les participants ont ensuite été informés de chacun de choisir leur top 4 parmi les 13 et la liste finale a été décidée:

1) Renforcer le fonctionnement des municipalités; 2) Infrastructure routière; 3) Développement de l'énergie rurale, et 4) Programmes jeunesse.

Ensuite, Williams a appelé à des bénévoles pour servir d'hôtes aux forums qui stimuleraient la discussion sur les quatre sujets. On s'attendait à ce que les bénévoles soient des «champions» pour le sujet particulier. Au cours de la période du déjeuner, les 8 bénévoles (2 par thème) se sont rencontrés pour esquisser les points principaux et étudier un guide sur la façon de gérer leur forum. Dans l'après-midi, deux forums de panel simultanés ont été menés, suivis d'un deuxième tour de deux panneaux. Les participants ont pu s'associer à leurs deux thèmes prioritaires parmi les quatre. Ci-dessous les résumés des quatre débats. Panel 1: Renforcer le fonctionnement des municipalités. Les municipalités sont les unités de gouvernement qui détiennent les clés pour entraver ou aider les programmes DFAP à obtenir des résultats. La sphère gouvernementale et la sphère non gouvernementale abordent le développement à partir de différents points de vue, mais avec l'intention d'obtenir les mêmes résultats. Les ONG envisagent la décentralisation et la coordination latérale comme moyen de construire les fondements du développement, tandis que les gouvernements s'appuient sur la hiérarchie et les directives pour faire de même. La durabilité des programmes DFAP dépend de la capacité de l'urbanisme au niveau de la commune. Les acteurs du DFAP devront apprendre à travailler avec les bureaucraties et à mieux comprendre le mandat, les politiques et la motivation des entités et des fonctionnaires du gouvernement. Certains membres du group ont observés que l'éthique de la transparence du DFAP est une menace pour le gouvernement. Sans transparence, les informations sont a risque d’être manipulées et les multiples interprétations du même message empêchent le progrès. Le Niger et le Burkina Faso ont engagé des politiques et des processus

de décentralisation, mais les responsabilités déléguées aux municipalités ne sont pas nécessairement accompagnées des ressources nécessaires. Les lois sur la réglementation de l'eau, la protection des terres, etc., ne sont pas appliquées. Des fonds non affectés ou désignés 'flottent' au niveau national, alors qu'au niveau de la commune, l'assiette fiscale est insuffisante. La collecte des impôts est un cercle vicieux - si les services ne sont pas fournis, les gens sont moins susceptibles de payer des taxes et la qualité des services se détériore faute de fonds. Quel rôle les DFAP peuvent-ils jouer pour faciliter le fonctionnement efficace des municipalités dans l'intérêt de soutenir ses programmes? Est-il dans le cadre du mandat de DFAP de s'impliquer dans les processus administratifs et politiques qui concernent le développement et l'utilisation de la terre, l'autorisation de la planification, la protection et l'utilisation de l'environnement, le bien-être public et la conception de l'environnement communautaire, y compris l'air, l'eau, et l'infrastructure, etc.? Après un débat animé, le panel a proposé quelques recommandations:

− Au minimum, les CDV devraient participer pleinement et régulièrement aux réunions et aux travaux du conseil municipal;

− Les CDV et les autres entités de la société civile devraient se renseigner sur les politiques et les processus gouvernementaux;

− Investir dans le renforcement des capacités en ressources humaines des fonctionnaires; − La qualité des plans de développement doit être grandement améliorée - dans leur forme

actuelle, lorsqu'ils sont passés au niveau suivant, ils ne sont pas pertinents; − Engager la responsabilité des actions et des décisions; − Favoriser / soutenir le soutien d'autres partenaires (donateurs) ayant une expertise et / ou se

concentrer sur le développement administratif local. Panel 2: Infrastructure Routière. La discussion s'est basée sur le principe qu'un bon réseau routier est essentiel au développement économique et à la croissance. La couverture routière à la fois au Niger et au Burkina Faso est insuffisante, et les routes existantes sont en mauvais état et, pendant certaines saisons de l'année, sont infranchissables. Le manque de mobilité pour acheter et vendre des produits réduit les prix, et la distribution des aliments est inadéquate. Les faibles réseaux routiers limitent également l'accès aux services sociaux tels que la santé et l'éducation. Les femmes en particulier sont pénalisées par de mauvais réseaux routiers. Bien qu'il soit généralement admis que le développement des routes est nécessaire, les défis sont importants. Tous ces domaines de développement DFAP. Comment financer, puis maintenir? Les solutions sont liées à la discussion dans le Panel 1. Les recommandations pour la considération du DFAP sont les suivantes:

− Considérer le cofinancement des routes (auxiliaires) en collaboration avec les municipalités locales;

− Inclure la construction et / ou la réhabilitation des routes dans les projets de FFP; − Associer le développement des réseaux routiers à la réussite des projets FFP.

Panel 3: Développement de l'énergie rurale Les dirigeants du groupe ont commencé les réflexions en soulignant que l'énergie est un facteur clé pour aider les femmes à atténuer leur fardeau de travail. Cela a également un impact positif sur l'environnement, aidant à conserver les ressources naturelles - arbres, eau, terre. Un observateur a déclaré que le gaz coûtait cher pour les femmes, alors que «le bois est gratuit». D'autres observations ont un lien entre l'accès à l'énergie et l'amélioration des résultats en matière de santé et d'éducation. Les défis pour apporter de l'énergie (électrique, renouvelable, fossile, etc.) sont largement centrés sur le

coût. Le renforcement des réseaux est prohibitif compte tenu des vastes zones à couvrir et du faible retour sur investissement. Le coût de transport du diesel dans les zones éloignées est élevé, en raison de la mauvaise infrastructure routière (voir Panneau 1). Quelles sont donc les options? L'énergie renouvelable était au top de la liste de tous - l'hydroélectricité, l'énergie solaire, la biomasse et le vent. Certaines initiatives au Burkina Faso sont en cours, en étudiant les mini-grilles/réseaux et l'hydroélectricité. Le financement est le facteur fondamental pour toutes les possibilités. Au-delà des subventions, quels sont d'autres mécanismes faisable et réalisables? Les suggestions finales incluent:

− Les ONG partenaires devraient demander à l'Etat de subventionner les coûts de l'énergie solaire;

− Les ONG partenaires devraient subventionner les coûts du gaz; − Les programmes DFAP devraient promouvoir la fabrication d'unités de production d'énergie

solaire par les femmes dans les zones rurales; − Engager le secteur privé dans le développement de solutions énergétiques rurales; − Exonérer les taxes sur les matériaux d'énergie solaire.

Panel 4: Jeunesse La prémisse des discussions s'est concentrée sur l'observation selon laquelle le ciblage et la conception de projets du DFAP negligent des filles et des garçons adolescents. Les femelles dans les programmes DFAP sont présentées en tant que mères et / ou enfants de moins de cinq ans. Comme indiqué dans la précédente Session 23: Résilience / Profilage individuel, les garçons sont presque complètement absents de la plupart des activités DFAP. Les indicateurs de suivi et d'évaluation ne capturent pas leur âge démographique. Un débat très animé a mis en évidence que les programmes du DFAP connaissent très peu les espoirs et les aspirations de la jeunesse. L'argent - le gagner, le dépenser - est une préoccupation universelle pendant que les jeunes prennent leurs responsabilités et prennent conscience d'un monde vaste et de ses défis. Sont-ils soutenus par des compétences de vie? L'éducation formelle leur sert-elle suffisamment? Quels sont les secteurs d'emploi appropriés pour eux? Quels services sont disponibles pour eux? Y a t-il une place pour eux sur le marché des biens et des services? Comment aborder l'exode rural des jeunes? Les membres du groupe étaient passionnés par le potentiel d'un engagement DFAP très réalisable avec les jeunes et l'opportunité perdue si elles n'étaient pas saisies. Leurs recommandations incluent:

− Les évaluations de base et des besoins devraient faire un profil approfondi des jeunes (définissez d'abord la tranche d'âge, car certains états utilisent 15 à 35 ans);

− Compter les jeunes dans les indicateurs DFAP conformément à la Politique de la jeunesse de l'USAID;

− Développer des programmes de formation professionnelle; − Faciliter l'accès au financement; − Fournir aux jeunes des informations pratiques sur les migrations; − Formation en matière de santé sexuelle et reproductive pour les filles et les garçons - y compris

les techniques de négociation du comportement; − Les produits et services disponibles dans les centres de santé doivent être adaptés aux jeunes

(centre amical des jeunes); − Créer une demande et des services pour les nouvelles technologies de l'information axées sur

les jeunes; − Intégrer les jeunes dans toutes les structures communautaires développées et promues par les

programmes DFAP; − Incorporer des modules au niveau de l'éducation formelle sur la gouvernance et la cohésion

sociale;

− Les options d'emploi pourraient inclure un rôle de fournisseur de services privés (auxiliaires vétérinaires, PSP SILC);

− L'analyse du marché du travail est importante, afin d'identifier les niches et les défis pour les jeunes.

Séances d'occasions manquées 25-29: Questions, problèmes et préoccupations exceptionnels. La série de tables rondes était probablement la plus populaire et la plus engageante de toutes les activités de l'atelier. Bien que les tables rondes aient été informelles et ont principalement servi à enflammer la réflexion sur les sujets choisis, le contenu et les idées générés pourraient jeter les bases des futurs axes DFAP. La liste complète de toutes les idées originales se trouve dans les annexes. Session 30 - Points Saillants des sessions de l'atelier et des prochaines étapes. La session finale a profité de l'occasion pour travailler avec les participants pour examiner, résumer et consolider les points forts et les aspects exceptionnelles pendant les trois jours de travail. Jeff McIntosh et Shannon Rogers / Directeur régional de la FFP, Dakar ont organisé un engagement participatif. Le but et les objectifs ont été mise en revu, et il a été convenu qu'en général, ces repères étaient respectés. Les facilitateurs ont déclaré que dans les 18 mois restants des projets DFAP, il existe des possibilités définitives de faire des ajustements. Certaines observations des facilitateurs sont citées ici:

− Il existe des avantages définitives de «Concentré» par rapport à la programmation «Etendue», comme la proximité des bénéficiaires, l'établissement de relations solides avec les fonctionnaires et l'impact du changement de comportement;

− En ce qui concerne la programmation de résilience, cibler les «moins pauvres» pourrait donner de bons résultats, car ils sont des moteurs de changement;

− Il est clair que nous devrions envisager de modifier la manière dont les DFAP s'engagent avec les structures de l'Etat, par exemple, le per diem, les coûts de l'infrastructure routière, comme exemples;

− La présentation de la résilience et le travail en petits groupes posent des questions pertinentes et soulignent les lacunes dans la couverture et la planification;

− DFAP doit examiner davantage, et de meilleures approches pour travailler avec les jeunes, ainsi qu'avec les homologues du gouvernement;

− Certaines des propositions dans de nouvelles idées nécessiteront des fonds substantiels. Un « cri de ralliement » a demandé à l'auditoire d’identifier pour eux les points clés à partir des trois jours:

− Une stratégie de sortie doit être très spécifique, et − Une stratégie de sortie doit aborder toutes les activités, mais pas tous exigent un plan de

développement durable; − L'exercice Opportunité Manquée a été très utile, et FFP réfléchira sur ces idées; − L'exercice de ciblage a été très éclairant et a révélé des lacunes à fermer; − Il est bon d'entendre que les moins pauvres peuvent également être impliqués; − L'ouverture à la planification pour changement des comportements chez les jeunes; − Nous devons changer l'approche avec le gouvernement, par exemple, le cofinancement avec

l'État pour la construction de routes permettrait le suivi par l'Etat; − Il était encourageant de voir que FFP est ouvert à l'étude des lacunes comme un bon début

d'apprentissage et de mise en œuvre; − La participation des équipes techniques du projet tout au long de l'atelier a été très utile;

− FFP s'intéresse à la surveillance post-projet; − Nous sommes plus conscients maintenant qu'après la conclusion de SAWKI (Niger), les

villageois pourront continuer à composter en raison du fait qu'il y a une centaine de villageois formés;

− Le dicton "le travail de développement est une affaire nationale" correspond bien aux différents points développés par cet atelier.

7. LEÇONS APPRISES Identification, développement et livraison du contenu

1) Les thèmes d'orientation final pour l'atelier semblent être opportuns et utiles pour les partenaires d'exécution sur le terrain;

2) Le contenu des séances d'information (présentations plénières) reflète la pensée et les tendances actuelles que les programmes FFP / DFAP peuvent exploiter;

3) Néanmoins, une partie des réflexions de petit groupe manquait de profondeur et reflétait une approche «typique»;

4) Les participants auraient profité d'une courte «liste de lecture» pour orienter et les préparer à des discussions plus approfondies et plus ciblées sur les thèmes.

Conception et format d'atelier

5) La séquence de l'atelier de la plénière au panel au petit groupe semble fonctionner bien, satisfaisant le désir général des participants d'avoir un temps optimal pour la discussion et l'échange, tout en évitant la «flotte de la discussion» d'un trop grand travail de groupe généralisé;

6) Les présentations clés ont été des opportunités d'apprentissage précieuses, mais le matériel n'a pas toujours été pris en compte dans le travail en petits groupes associés;

7) La facilitation du grand groupe nécessite une attention particulière à la synchronisation tout en respectant le désir et le besoin des participants de s'engager et d'interagir; des compétences sont nécessaires pour équilibrer ces réalités concurrentes;

8) Le travail en petits groupes a représenté beaucoup de temps et de pensée, ce qui n'a pas toujours été pris en compte dans les rapports.

8. RECOMMANDATIONS Approches de « concentré et entendue »

− Réexaminer le fardeau du travail des femmes dans le contexte des actions DFAP et identifier les moyens d'alléger la charge de travail supplémentaire;

− Examiner soigneusement le coût> <bénéfice et rapport qualité-prix lorsque vous décidez de l'approche à utiliser.

Ciblage Efficace

− L'évaluation des besoins (avant le démarrage du projet) devrait prendre en compte les différents profils / caractéristiques des «individus»;

− Les définitions des ‘plus pauvres’, ‘pauvres’, et ‘moins pauvres’ doivent être plus précises et détaillées afin d’élaborer un ciblage à point basé sur les besoins, et en tenant compte de la possibilité de bénéficier des programmes DFAP ;

− -Meilleure compréhension et coordination entre les interventions à travers les filtres des «profils individuels»;

− La population des jeunes devrait être correctement identifiée et les actions devraient être définies en tenant compte du profil;

− Équilibrer l'approche de ciblage avec la définition de l'indicateur et les exigences de rapportage. Stratégies de durabilité et de sortie

− Dialogue ouvert avec les gouvernements pour le cofinancement en ce qui concerne les projets de développement d'infrastructure qui peuvent avoir une incidence sur l'adoption réussie et la durabilité des actions DFAP (par exemple, la construction de routes, le développement de l'énergie rurale);

− Les programmes doivent rendre opérationnel le concept de résilience en tant que dimension renforcée des programmes de développement;

− FFP considère la valeur du suivi post-projet (recommandation de l'étude Tufts) comme un moyen d'améliorer tous les aspects de la programmation DFAP - ciblage, approches d'intervention, précision des indicateurs, correspondance des ressources, etc.

Programmation DFAP pour la résilience

− Renforcer les aspects distincts de la résilience en tant qu'élément de conception de programme pour les actions DFAP.

Opportunités manquées

− Effectuez des études de faisabilité sur les idées les plus prometteuses / convaincantes.

9. PROCHAINES ÉTAPES PROPOSÉS POUR LE FFP Court terme (6-8 semaines)

− Traiter le rapport de l'atelier et partager-le avec les participants − Solliciter des commentaires sur les Recommandations − Partagez le matériel de ressource clé référencé dans l'atelier (par exemple, le lien de l'étude

Tufts, les résultats de l'enquête RISE Baseline, les définitions de la pauvreté de l'USAID). Moyen terme (3-9 mois)

− Solliciter des exemples de la façon comment les partenaires DFAP du Niger et du Burkina Faso peuvent introduire quelques ajustements du programme en fonction de l'apprentissage par atelier

− Incorporer les principaux points d'apprentissage dans les prochains exercices de recherche et / ou d'évaluation formative.

Long terme (12-18 mois)

− Effectuer des exercices de faisabilité sur la programmation potentielle pour Opportunités manquées.

10. ÉVALUATIONS DES PARTICIPANTS Dans l'ensemble, l'atelier a reçu des notes favorables, comme indiqué dans le tableau ci-dessous. Le format de l'atelier a été intentionnellement conçu pour favoriser les sessions interactives et le travail en groupe, avec une quantité restreinte de présentations. Il semble que la plupart des

participants ont trouvé cette approche attrayante.

En outre, la décision de sélectionner la plupart des panélistes et des chefs de groupe «sur place» plutôt que par avance était exprès, comme un moyen de capitaliser sur l'engagement des participants, et d'obtenir un endossement authentique pour les sujets sélectionnés. Les domaines à améliorer dans le futur incluent davantage de instructions plus précises pour le travail en groupe, y compris des lignes directrices claires pour les résultats escomptés. Le défi consiste à trouver le juste équilibre entre la discussion fluide et le travail en groupe axé sur les tâches.

Question % # Réponses Comment évaluez-vous l'atelier global? 62% = bon

38% = excellent 28/45= bon 17/45 = excellent

À quel point êtes-vous satisfait de la quantité de présentations:

81% = juste assez 12% = Pas assez 7% = trop

35/43 = juste assez 5/43 = Pas assez 3/43 = trop

Dans quelle mesure êtes-vous satisfait de la quantité de travail de groupe effectuée ?

73% = juste assez 27% = trop

33/45 = juste assez 12/45= trop

Comment évalueriez-vous les instructions données pour les sessions?

49% = bon 29% = juste 22% = excellent

22/45 = bon 13/45 = juste 10/45 = excellent

Cet atelier a-t-il répondu à vos attentes ?

71% = oui 29% = partiellement

32/45 = oui 13/45 = partiellement

En tant qu'observation des commentaires des participants, la planification future et le développement du contenu devraient être plus exigeants dans les détails, la définition et l'orientation attendue pour les thèmes choisis. Les commentaires des participants sont très utiles et méritent un chapitre complet ici. Dans le cas où il existe des commentaires similaires, le plus complet a été cité, ainsi que le nombre de réponses similaires. De valeur particulière pour l'équipe FFP est de comment utiliser de l'information et des idées, en particulier pour réviser les propositions d'estimation des pipelines et des ressources (PREP). Au cours de l'atelier, il n'y avait aucune indication spécifique que les idées, les concepts et / ou les directives élaborées soient des mandats «officiels» pour être utilisés comme normes d'évaluation ou d'application aux projets en ce moment en cours. Cela peut causer une certaine confusion à moins qu'il soit clair de FFP que ces révisions seront les bienvenues / attendues. 1) Cet atelier a-t-il répondu à vos attentes? Veuilles fournir brièvement les raisons qui sous-

tendent votre opinion favorable ou défavorable à ce sujet. • Les sujets abordés, le travail en groupe m'a permis de mieux comprendre certains aspects de

la programmation des projets. (23 réponses) • Oui, pour entendre les différentes perspectives des approches DFAP, et surtout l'importance

de renforcer les liens avec le gouvernement. (9 réponses) • Facilitation efficace et participation des participants [enrichissante et informative] [présence

de partenaires CDV et état] (3 réponses) • De nombreuses idées ont été recueillies pour formuler le prochain DFAP. (2 réponses)

• Globalement très satisfait. Bon milieu d'apprentissage, groupe engagé, discussion active. Apprécié approches mixtes facilitateur.

• Un bon aperçu des préoccupations actuelles de l'USAID et des partenaires d'exécution. • Très apprécié la présence des représentants du gouvernement et des villageois - a donné une

bonne perspective sur les sujets. • Nous avons cherché et reçu des commentaires sur les défis et opportunités actuels, les

activités et les innovations possibles. • Les échanges nous ont permis de mieux se comprendre sur des sujets importants tels que le

plan de développement pour la durabilité, la stratégie de sortie, les modes d'intervention / bénéfices et les défis.

• Cet atelier a répondu à mes attentes principalement par la latitude qui nous a été offerte pour explorer les sujets de manière graduel mais progressive.

• Nous avons particulièrement apprécié l'étude sur les stratégies de sortie, la façon d'en faire et la durabilité des actions DFAP.

• Nouvelles idées qui me permettront d'améliorer mon propre travail et la performance de mon projet. Les actions de priorisation seront plus claires à court terme.

• En fin de compte, le groupe a pu comprendre la nécessité de placer des projets dans un contexte de collaboration avec d'autres entités pour atteindre leurs objectifs.

• Pour certains thèmes, oui. Je pense que nous pourrions avoir plus d'informations en ajoutant plus de plénières.

• Les discussions ont été très intéressantes mais peuvent ne pas être trop utiles pour des actions spécifiques visant à améliorer les programmes.

• Oui, mais j'aurais voulu que les thèmes de la santé soient plus développés. • Oui et non, je pensais que l'atelier a soulevé de nombreuses questions importantes pour moi,

en particulier pour les jeunes, mais dans certains, j'ai trouvé les discussions trop abstraites. Plutôt que de discuter des spécificités des programmes FFP, nous avons discuté des activités «idéales», nous avons particulièrement remarqué cela dans les discussions sur la durabilité.

Quel étaient les aspects les plus dignes d’intérêt au cours de cet atelier? • Discussion des 4 principes de durabilité et des stratégies de sortie. (22 réponses). • Le ciblage était intéressant et je pensais qu'il y avait de bon échange entre les participants qui

parlent ouvertement de certaines faiblesses dans le ciblage, par exemple - manque le plus pauvre, et la jeunesse. (9 réponses)

• Les quatre idées [opportunités ratées] qui ont été élaborées et pour prendre en compte (8 réponses).

• Une journée complète consacrée à quatre facteurs de durabilité est très intéressante. [Il semble] un bon modèle à reproduire dans la dernière année du projet. C'est ce que nous voulions tester. (6 réponses)

• Possibilités futures, suite à l'analyse de l'impact des actions actuelles sur la résilience (4 réponses).

• Résilience (4 réponses) • Avantages / défis des interventions, largeur par rapport à la profondeur. (3 réponses)

• C'était une très bonne idée d'inviter les représentants du CDV et du gouvernement. (3 réponses)

• Bon [équilibre] des formats de session - [panneaux, table ronde], petit groupe, intéressant d'impliquer les participants en tant que chefs de groupe. (2 réponses)

• Les discussions au cours de l'atelier ainsi que des séances extérieures. La précision des questions posées. (2 réponses).

• Discussion sur les tendances sociales émergentes et les stratégies programmatiques possibles qui ne font pas actuellement partie du projet.

• Nous devons affiner davantage la collaboration avec le gouvernement / s. • Ce que j'ai le plus remarqué, c'est la recommandation de faire une étude cinq ans après la

fermeture du projet pour apprécier la durabilité. • Les catégories traitant de la durabilité des actions; et les attentes clés de la part de chaque

entité - les services techniques, les donateurs. Cela a entraîné des réflexions vraiment inattendues: par exemple, le manque de ciblage des jeunes hommes.

• J'ai constaté une certaine frustration avec les partenaires et le personnel de FFP qu'ils ne sont pas en mesure de progresser malgré les années de programmation et de mieux comprendre le rôle du FFP dans le développement global.

Quel étaient les aspects que vous avez jugé sans intérêt au cours de cet atelier? • Exercice de «résilience». Résilience du concept. Nous avons déjà travaillé à ce sujet; Pas

nécessairement de nouvelles idées discutées. (2 réponses). • La profondeur et la largeur de la discussion ne m'ont pas permis de clarifier les avantages ou

les inconvénients des différentes approches - j'espérais que cela fonctionnait - je pense que les gens n'avaient vraiment pas compris les questions ou c'était la première session et ils n'étaient pas confortable être honnête. La question de «profondeur» était très complexe. La discussion en profondeur et en profondeur, je pense, a besoin de plus de définition sur ce que nous voulions exactement. Je pense qu'il y avait de la confusion. (2 réponses)

• L'introduction par RSO n'était pas pertinente et manifestait à peine le manque de respect envers nos hôtes - embarrassant - le facilitateur devrait préparer l'intervention RSO pour fournir des informations pertinentes.

• Discussion sur les subventions possibles. Malgré une attention considérable à la durabilité, le goût des subventions persiste.

• Les problèmes budgétaires n'ont pas été abordés. • Concept des pauvres, très pauvres, extrêmement pauvres et les nantis. • Les discussions sur la durabilité ont été un peu longues. Les séances sur la durabilité ont été

très intéressantes, mais nous avons consacré trop de temps à cela. • La préparation au travail en groupe n'était pas suffisamment claire; Besoin de mettre un peu

plus de structure pour le résultat attendu. Peut-être même créer des panneaux à l'avance afin de ne pas perdre de temps à discuter de ce qu'il faut faire.

Quelles sont les connaissances nouvelles et les idées que vous avez acquises au cours de cette réunion, et qui seront sujettes à une application pratique dans le cadre de votre travail? • Les quatre facteurs de la durabilité et la façon de les appliquer aux actions et examens actuels

du projet. (14 réponses) • Un plan de sortie (aussi différent de la durabilité). Avoir une stratégie de sortie très claire et

précise. (9 réponses) • Travailler avec les gouvernements, les services de l'État et les municipalités. Implication du

leadership national dans les priorités nationales. La nécessité d'engager le gouvernement à tous les niveaux pour des actions de durabilité et de profiter aux populations non ciblées dans le cadre du projet.

• Information / collaboration avec le gouvernement, pour être plus efficace, à tous les niveaux - des éléments d'action réalisables sur le renforcement des municipalités et l'intégration des jeunes. (6 réponses)

• Le plus grand à emporter pour moi était le ciblage - comment atteignons-nous vraiment les plus vulnérables et améliorons le ciblage. (4 réponses)

• Les approches de la profondeur et de la largeur. (4 réponses) • Le groupe sur la jeunesse a été très instructif. Les participants étaient conscients des

nombreux enjeux et défis de la programmation pour les jeunes. Ils étaient également experts sur la façon dont le DFAPS manquait ce groupe. Explorez les occasions d'engager davantage les jeunes en tant que prestataires de services. (2 réponses)

• Diagnostic des carences identifiées au niveau individuel, familial, villageois, système et national. Lacunes au niveau individuel. (2 réponses)

• Résilience - capacités, questions à poser (2 réponses) • J'ai appris que les communautés locales commencent à réhabiliter les terres dégradées par

elles-mêmes. C'est un nouvel apprentissage. • Beaucoup de bonnes connaissances spécifiques sur les conceptions sur le terrain et sur la

façon dont FFP et ses partenaires fonctionnent. • La théorie du changement doit résister à la durabilité. • L'inclusion de « personnes moins pauvres» dans des projets visant à stimuler le

développement, car ce sont des «moteurs du changement». • Développement de plus d'actions non agricoles (hors ferme). Comment envisagez-vous d’exploiter et d'appliquer les connaissances et les idées acquise au cours de la réunion de cet atelier? • Organiser des événements d'apprentissage futurs; Intégrer l'apprentissage dans la conception

et la planification future pour le prochain DFAP (13 réponses) • Incorporer dans notre prochain PREP, la révision / amélioration des activités et la prochaine

soumission pour DFAP (9 réponses) • Partagez mon rapport et toute documentation avec le personnel et les partenaires, y compris

le gouvernement (8 réponses) • Élaborer des stratégies de sortie [en consultation avec les partenaires] (7 réponses) • En tant qu'outil de suivi et d'évaluation, y compris les visites sur le terrain (6 réponses) • Appliquer les concepts en lisant les nouvelles propositions de projet, mais aussi en révisant

les PREP soumis par les partenaires (2 réponses)

• L'atelier a soulevé de nombreuses questions - le ciblage, le rôle de la jeunesse - que je pense que je vais accorder beaucoup plus d'attention lors des visites sur le site. (2 réponses)

• Cette information nous aidera à informer et à affiner les investissements de résilience dans le domaine et au-delà.

• Utilisez le modèle de durabilité [facteurs] pour faire en sorte que la communauté s'engage pour prioritiser les activités

• Intégrer les idées dans le PREP actuel, l'ajustement de notre stratégie collaborative avec les collègues du ministère de la Santé.

• Conserver les concepts à partager avec mes collègues et recommander des options de financement.

• Beaucoup de ces idées seront pertinentes pour le développement du nouveau programme RISE. Ils nous aideront à mieux surveiller / soutenir nos programmes en cours.

Comment envisagez-vous de partager les connaissances et les idées engrangées lors de cet atelier avec votre équipe et/ou collègues ?

• Partager avec l'équipe pour concevoir des événements futurs • Intégrer dans des processus réguliers de coordination et de planification de projets • Rendra [partager] lors de la prochaine réunion d'équipe, peut-être une session «déjeuner

du travail» • Organiser une réunion / atelier • Envoyer un rapport• Pendant les visites sur le terrain • Discussions PREP: organiser une réunion de travail • Débriefing avec quelques acteurs prioritaires et des notions à partager pour compléter les

connaissances de l'équipe sur les attentes de l'USAID • Un rapport mettant l'accent sur les recommandations pour les mesures à prendre

concernant les activités qui ne seront pas couvertes par FFP. Dans la mesure du possible, existe-t-il des aspects qui auraient pu être améliorés concernant l’atelier ? Préparation préalable: • La planification de l'atelier devrait être coordonnée entre les bureaux [FFP], les projets et

les services gouvernementaux avant de venir à l'atelier. • L'information et la communication avant l'atelier pourraient avoir été améliorées. • Amélioration de la définition des objectifs et des résultats attendus des groupes de travail. Méthodologies et gestion du temps: • Plus de temps d'échange après la réstitution des groupes de travail. • Certaines discussions n'ont pas eu le temps d'aller en profondeur. • Plus de temps pour les questions après les présentations. • Le temps de discussion était trop court. • Donner plus de temps aux personnes pour approfondir leurs idées / recommandations.

Certaines sessions de groupes de travail ont été trop longues; nous aurions pu couvrir plus de thèmes, si nous avions raccourci certaines sessions.

• L'équipe FFP aurait dû fournir des conseils / clarifications sur leurs points de vue.

Contenu et sujets: • Je pensais que l'exercice sur tous les éléments de la durabilité était trop long. En outre,

j'aurais aimé en savoir plus sur les meilleures pratiques mondiales du personnel de FFP. • J'aimerais aussi en savoir plus sur ce que font les projets FFP avec d'autres acteurs du

développement. • Examiner les budgets à court, moyen et long terme. • L'analyse de la durabilité devrait être menée sur des activités spécifiques et non sur les

domaines d'intérêt tels que le WASH, l'agriculture, etc. • Une meilleure compréhension du thème Profondeur et largeur. • Résilience - pas assez clair! • Présentations des expériences des différents projets.

Logistique et documentation: Un espace plus propice pour le petit groupe et le pause café, mais c'était normale - nous sommes habitués à pire alors que, au moins, l'AC travaillait pendant 3 jours. Bon travail en gardant le français comme langue principale de l'atelier. Nous n'avons pas reçu de documentation pour l'atelier; On espère que le rapport final sera partagé. Partager les documents de présentation; Partagez le rapport de l'atelier avec les participants. Fourniture de documentation sur l'étude de durabilité et d'autres documents. Les pauses café étaient trop courtes. La logistique: toilettes, pause café dans le couloir, une seule pièce pour toutes les activités, avec des inconvénients sonores entre groupes de travail. Nécessité d'une salle de discussion• Une traduction pour ceux qui ne connaissent pas le français.