Atelier Ecriture conte CM1B Livret 3 -...

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Il était une fois, sur une plage, dans un pays

inconnu, un enfant rêveur qui pensait à un objet

très utile : une grande boîte. « Si on mettait un

objet dedans et si on appuyait sur un bouton,

tout apparaîtrait d’un coup. » Il parla à quel-

qu’un et lui expliqua son invention : « Il faut que

tu sois très discret. N’en parle jamais ! » Dans

son immense garage il continua à construire une

machine volante, skiante et flottante. Il l’appela

« hélico-ski » et pourrait voir les sept merveilles

du monde.

Un jour, pourtant, ils se fâchèrent au sujet

de leurs inventions et ils finirent par ne plus ja-

mais se revoir.

Liam M

La terre magique.

Devenu adulte, il décida de partir à la décou-

verte d’une terre magique. Il fit un voyage puis

trouva une carte qui lui indiqua le chemin. Il

parcourut les océans et il fut étonné par toutes

ses découvertes.

Tayra L

Il était une fois, dans une grande ville aux

rues étroites, sales et nauséabondes, des en-

fants qui jouaient dans un vieux parc. Ils

s’arrêtèrent et, à un moment, un des enfants

dit : « Si on allait se balader ?

- Oui, oui !

Près de ce lieu, dans une rue très étroite, les

enfants avaient une maison. Leur mère habitait

très loin de leur maison. Un vieillard dit : « Les

enfants, vous êtes très loin de chez vous, il ne

faut pas rester ici parce que cette rue est

sombre, il y a des insectes partout. » Personne

ne sortait, je croyais même que j’étais le seul

dans la rue avec vous. » Les habitants crai-

gnaient une malédiction…

Sankou S

Je cherche un bateau qui pourrait nous emmener dans un pays recelant de l’or, des pierres pré-

cieuses, un pays où foisonnent des étoffes de soie. Dans la brume du soir accoste un magnifique

galion. Accompagné de mes camarades, je parviens à aborder le capitaine qui me dit être là pour

une courte escale. Il s’apprête à repartir vers Cipango où, me dit-il, je pourrai rencontrer de riches

marchands.

Nous embarquons, pleins d’enthousiasme ; un mois plus tard, nous sommes fébriles car nous

voyons flotter à la surface de l’eau de branches témoignant que la terre n’est pas loin.

Hélas, notre navire heurte des récifs. Nous croyons notre fin proche. Finalement, nous parve-

nons à nous raccrocher à des débris du galion, et nous échouons.

Sur une plage d’un pays inconnu, épuisés, nous nous écroulons et nous dormons des heures, des

jours, qui sait ?

A notre réveil, nous nous sentons observés : une jeune indigène nous sourit. Nous ne lui parlons

pas, mais elle mesure la détresse qui nous anime, et semble deviner ce qu’était notre quête. Elle

casse une noix de coco pour en extraire du lait et elle nous en donne afin que nous puissions re-

prendre quelques forces. Puis, après s’être assurée que personne ne l’a suivie, elle nous entraîne

jusqu’à une grotte dont l’entrée est cachée par des branchages. Elle nous désigne une anfractuosité

dans la roche à plusieurs mètres de hauteur. Elle n’a jamais pu l’atteindre et sait qu’elle sera tuée si

son maître la surprend. Elle me propose de tenter de prendre tout l’or qui se trouve dans ce creux,

pour la venger des mauvais traitements que son maître lui a fait subir, puis elle m’avertit : « Il faut

que tu sois très discret, n’en parle jamais. »

M.C.

Il était une fois une personne jeune qui

s’appelait Inès. Elle avait treize ans. Un jour,

devenue adulte, elle décida de faire un métier :

elle voulait être avocate. Inès fit un stage. Dix

ans plus tard, elle décida de partir et démission-

ner. Du coup, elle voulait faire un autre travail :

assistante maternelle. Et elle réussit. Elle était

heureuse. Un jour, dans la rue, elle rencontra

une de ses copines. Inès dit : « Je vais tout te

raconter… »

Radia B

Devenu grand à quinze ans, il décide de rejoindre une école de stylisme et de mannequinat . Il

avait plein de succès. Ce jeune garçon s'appelait Rissane et trouva une amie qui s'appelait Maryline.

Devenue un adulte de vingt-trois ans, avec son mannequin, Il décida d'ouvrir une grande agence et

ils faisaient plein de news dans la presse et sur internet. Il trouva trente cinq autres mannequins et

continua ses succès et prépara tout pour sa collection printemps-été.

Lors de son défilé printemps-été il décida d'appeler son tout premier mannequin ( Marlyne). Il déci-

da alors de faire des chaussures plate-forme en cuir et une robe brodée de fils d'or, tendue de soie

d'or et de velours. On attendit le lendemain pour les résultats printemps-été, et le jeune homme

gagna le concours printemps-été et il aura le trophée du mois, le styliste eut une très belle vie et

continua ses succès.

Rissane D

L'homme qui vécut heureux la moitié de sa vie.

Sur une plage d'un pays inconnu, vivait un pauvre homme

qui était dans une cabane.

Un jour, il partit dans un autre pays. Il y trouva une vieille

dame qui allait mourir. Elle avait un trésor qui donnait ce

qu'on voulait. Elle lui donna et lui dit : « Il faut que tu sois

très discret et n'en parle jamais ! » Il regarda la femme

morte devant ses yeux. Puis il souhaita un palais et vécut

heureux avec sa femme et se jura de ne jamais oublier et

de rester fidèle aux rêves de cette vieille dame.

Corentin K

Sur une plage d’un pays inconnu, il y avait trois enfants

et deux parents. Ils étaient pauvres. Une de leurs filles

était devenue adulte ; dix ans plus tard, elle décida de

partir parce qu’elle avait vingt et un ans. Elle offrit un

cadeau à ses parents et à ses deux petites sœurs. C’était

de l’argent. Maintenant, ils étaient riches et ils avaient

une grande maison, une grande piscine ; la petite sœur

de Marilyne, elle s’appelait Elisa.

Elles furent étonnées de découvrir ici un garçon qui

s’appelait Jérémie. Il avait dix sept ans. Ils devinrent

amis pour toute la vie. Il n’avait pas de parents et on lui

donna une chambre.

Elisa D

Dans la nuit glacée existait une fille qui s’appelait Ellena. Elle passait sa nuit à écrire des livres. Une

belle nuit, alors qu’elle écrivait un livre, elle rentra dans ce livre merveilleux. Elle reconnut le pay-

sage qu’elle avait décrit dans son livre. Elle frappa à la porte. A l’intérieur se trouvait la famille Ours.

Elle dormit alors dans une auberge : c’était une auberge sans confort. Le lendemain matin, elle re-

mercia la famille ours de l’avoir hébergée. L’enfant partit avec Ellena pour ce grand voyage. Tous

deux virent les plus grandes fleurs. En fait, c’est du réglisse pour la tige, et du chewing - gum pour

les pétales.

Ellena dit : « Enfin sortie de ce massif, vite, il faut que je trouve les deux Marie, donc Marie M. et

Marie B. L’enfant ours dit : « Pourquoi donc ? »

Ellena dit : « Je dois les voir, elle diront la formule et cela me ramènera chez moi. »

« C’est là-haut, mais attention, danger ! »

« Pourquoi ? » dit Ellena.

« Le monstre habite ici, dit l’enfant ours, courons ! »

« Ah ! Ah ! dit le dragon. »

Ellena trouva une épée. : « Ah ! Voilà, c’est bon ! »

Les deux Marie dirent : « Retrouvez leur terre, ils seront bénis, entendez l’ours et les Marie. »

« Prenez ces provisions. Bon voyage et bonne chance. »

Alexandra S.

Un mystérieux voyage.

C’était il y a longtemps. Nous cherchions un bateau qui pourrait nous emmener loin, très loin,

bien au-delà des mers, vers un continent inconnu, dans l’un de ces mondes qui ne peuvent exister

que dans les plus fertiles imaginations… Le galion était là, maintenant ; nous y embarquâmes et par-

tîmes toutes voiles dehors. L’aventure était imminente et l’univers attendu s’ouvrirait bientôt à

nous. Tout paraissait possible, même les rêves les plus fous. Nous devenions soudain les conqué-

rants de l’espérance, les chevaliers des espoirs éperdus.

Nous traversâmes des tempêtes effrayantes, cent fois retournés comme des fétus de paille. Nos

vies semblaient si fragiles lors de ces multiples attaques de redoutables pirates, depuis la mer des

Caraïbes jusqu’aux côtes inconnues des mers australes. Le doute s’installa petit à petit dans les es-

prits de tous les membres de l’équipage. Au creux de tempêtes incessantes, le tonnerre vrilla nos

oreilles tandis que nos yeux s’écarquillaient d’effroi devant tant de menaces. Jusqu’à quand pour-

rions-nous tenir ? Il nous faudrait surmonter tous les obstacles, avancer coûte que coûte dans le

matin blême, enveloppés d’étranges brouillards, revisiter notre passé en revoyant apparaître les

compagnons de notre enfance disparus mystérieusement. Nos nuits étaient souvent glaciales, ponc-

tuées d’embuscades de toutes sortes. Poursuivant sa route, le bateau continuait à s’enfoncer dans

les eaux troubles…

Terrifiant parfois, ce voyage était malgré tout extraordinaire. Des silhouettes vaporeuses dan-

saient tout là-bas, sur la ligne d’horizon : quels pouvaient bien être ces êtres fantasmagoriques ?

Nous craignions qu’une malédiction fatale ne s’abatte sur nous et nous entraîne vers le néant. Un

grand craquement se fit entendre puis, à peine perceptible, un souffle à mon oreille qui me susurra :

« Il faut que tu sois discret sur toute cette histoire. N’en parle jamais ! » … C’était un rêve.

GR

Sur une plage d’un pays inconnu, il y avait trois gar-

çons qui habitaient sur la planète Marmoude ; ils

s’amusaient. L’un s’appelait Antoine, le deuxième

Owen puis le troisième Jérémie. Il y avait un monstre

sanguinaire qui s’appelait Faysal. Lui, il habitait sur la

face cachée de la plage. Devenu grand, il rejoignit ses

frères fous. Les enfants jouaient toujours sur la plage.

Ils trouvèrent une sirène qui était « tombée dans les

pommes ». Antoine réveilla la sirène. Elle remercia les

trois enfants. Puis, un jour, Faysal le monstre sangui-

naire, passa à l’attaque. Il écrasa tout sur son passage.

Il mangea tout ce qui bougeait. Owen prit du sable, le

lança dans les yeux du monstre qui ne voyait plus

rien. Il assomma le monstre.

Owen S

Le pays inconnu.

Il était une fois, sur une plage d’un pays inconnu, cinq en-

fants et deux adultes, qui y habitaient. Le premier enfant

s’appelait Marmoulaïde, le second Abaquachabal, le troi-

sième Séorenarsisime, le quatrième Owen, et le dernier

Jérémie. Ils avaient deux parents qui avaient peur du

monstre du Raboule. Celui-ci s’appelait Tacha. Il avait déjà

mangé deux petits garçons. Un jour, dans la nuit glacée,

sur la plage, deux policiers (c’était la police du pays), mi-

rent en prison les deux parents. Un jour plus tard, il y avait

un garçon de plus. Il s’appelait Antoine, il venait de

France. Une semaine plus tard, les cinq frères et Antoine

partirent à la recherche de leurs parents. Ils ne les trouvè-

rent pas. Ensuite, en rentrant à la maison, ils rencontrè-

rent le monstre. Ils avaient très peur. Antoine sortit six

épées et les donna aux cinq frères et en garda une. Ils

combattirent le monstre et ils le vainquirent. Ils étaient

très contents. Et ensuite, ils délivrèrent leurs parents. En-

fin revenus à leur maison, tout ce monde remercia Antoine

pour avoir donné des épées. Ce dernier devait partir, donc

il partit en France et se doutait qu’il risquait de ne plus

jamais les revoir.

Jérémie F.

Le diamant du centaure.

Il était une fois, de l’autre côté de la mer,

sur une île inconnue, une légende qui disait

que celui qui retrouvait le diamant du cen-

taure deviendrait roi de l’île. « Prenez ces

provisions, bon voyage et bonne chance! » dit

la mère d’Arthur qui partait à la recherche du

diamant. Il partit avec deux amis, qui

s’appelait Maxime et Liam. « Nous cherchons

un bateau qui pourrait nous emmener », dit-il

à son ami Martin. Martin lui prêta un bateau

et il s’en alla sur l’île pour trouver le diamant.

Arrivé sur l’île, il essaya de trouver le moindre

petit indice pour trouver le diamant. Ils cher-

chèrent pendant trois jours autour de l’île,

pour trouver un passage secret. Dans ce pas-

sage se trouvaient des scorpions, des

chauves-souris, des serpents vénéneux et

tout cela dans un labyrinthe sous-terrain. Il

entra dans le labyrinthe pour trouver le dia-

mant.

Maxime B

Les invasions de Matt Groenning.

De l’autre côté de la mer, il y avait un guer-

rier qui tenait une épée et qui s’appelait Killian. Il

cherchait la base Simpson et il put partir dans

l’autre monde, là-bas. Un jour, grâce à l’épée

Excalibur, il réussit à détruire la base Simpson.

Dans l’autre monde, il y avait son frère Antoine.

Ils sont partis détruire la base Futurama et la

base American Dad. Ils n’ont pas réussi alors ils

sont partis voir leur frère Abdel-Nour et ils ont

réussi ensemble.

Abdel-Nour B.A.

Les trois amis.

Il était une fois un homme qui se faisait passer pour un aveugle. C’était une personne que con-

naissait Antoine. Un jour Antoine trouva deux amis: Owen et Jérémie.

Les trois amis s’enfoncèrent dans les profondes eaux troubles de l’Amazonie. Une erreur pouvait

être fatale. Ils trouvèrent une auberge non confortable, s’y couchèrent et s’endormirent.

Le lendemain très tôt, ils quittèrent l’auberge : pas le temps de remercier la femme qui les avait

hébergés. Ils continuèrent leur route pour retrouver la fleur aux mille pouvoirs.

Ils s’échangèrent un cadeau pour gagner leur confiance et reprirent la route, Antoine, une

grande épée à la main, Jérémie un chewing- gum qui lui donnait les pouvoirs qu’il voulait et Owen

un autre chewing- gum pour faire apparaître tout ce qu’il voulait.

Ils trouvèrent aussi une planète chewing- gum ; ils voulaient y aller mais la route était encore

longue jusqu’à la fleur aux mille pouvoirs. Ils devaient traverser la vallée infernale, le gouffre de la

mort et les falaises de l’effroi.

Antoine S

L’île magique

De l’autre côté de la mer, trois bateaux naviguaient jusqu'à une île avec un beau volcan et un

trésor enfoui sous terre. Ils accostèrent sur l’île et, avec une jumelle, ils voyaient une base ennemie.

Une grande bataille commença. Tenant une grande épée, un soldat tira une balle en plein cœur d’un

lieutenant. Deux heures plus tard, ils virent qu’il y avait deux-cents morts mais il en restait huit-

cents en vie. Le capitaine du bateau Mimosa s’appelait « capitaine Baroc ». Quand ils arrivèrent près

de l’emplacement du trésor, une pluie de flèches s’abattit sur eux.

« Il s’agit d’une embuscade » dit un capitaine, mais il mourut transpercé par deux flèches. Les

indigènes mangèrent quelques prisonniers et les trouvèrent à leur goût. Les autres ont été jetés

dans la lave du volcan. Trois jours plus tard un bateau accosta et tout recommença et après, plus

rien.

Killian M

Le camion voleur.

Dans la nuit glacée, deux enfants qui étaient frère et sœur se

nommaient Pierre et Loma. Un jour, alors qu'ils jouaient , un

camion emmena son amie. Devenu adulte il décida de partir à

la recherche de sa sœur. Un jour, il ouvrit son livre magique et

regarda les épreuves. Il les réussit car il était très courageux et

il arriva à la ville.

Quand il entra dans la ville, il demanda à tout le monde où le

camion était allé. Mais quand il est arrivé, il n'y avait per-

sonne ; alors, il partit et il est allé dans la rue, dans les mai-

sons, pour demander si quelqu’un la connaissait. Dans une

maison, une personne a dit qu'elle était sur la plage. Et sur

une plage d'un pays inconnu ils se retrouvèrent.

Alexandre Q

La voix du ciel.

A la recherche de terres magiques, un homme reçoit d’un coup, des lettres de nulle part.

L’une disait : «Prenez vos provisions, bonne chance ! »

Une autre disait : « Il y a un trésor sur une terre magique. Attention aux embuscades ! »

Le lendemain, il reçoit une lettre qui disait : «N’ouvrir qu’en cas de recherche de terres magiques.»

Il ouvrit la lettre : «Une voix mystérieuse viendra du ciel. »

Il alla voir un ami et lui dit : « Je cherche un bateau pour aller très loin. »

Cet ami lui prêta un bateau. Il partit donc et s’échoua sur une île. Là, il entendit cette voix qui venait

du ciel. Elle lui disait qu’elle l’aiderait à surmonter les obstacles.

Joachim Z

Il était une fois un mendiant qui parlait sa langue. Il

s’appelait Rodrigo il vivait à Madrid, il avait trois ans. Il parlait

espagnol. Il avait une grande sœur et un grand frère.

Quand Rodrigo allait dans son collège il le trouvait tout petit.

Il retrouva ses amis, il discuta et puis il joua.

Dix ans plus tard, il décida de partir en France à Châtillon car

c’était le correspondant d’un garçon qui s’appelait Morgan et sa

petite sœur Maïlys. Un mercredi , quand Morgan faisait ses de-

voirs Rodrigo joua à Qualof duti black hops. Rodrigo avait du mal

à parler français.

Puis ce fut le deux février, le jour de la chandeleur. Maïlys fit

sa crêpe, Rodrigo aussi et enfin Morgan. Rodrigo et Morgan fi-

rent sauter leur crêpe très haut et Maïlys la fit sauter une fois ;

elle la rattrapa. La deuxième elle la fit tomber et enfin la troi-

sième avec un grand trou dedans.

Une semaine plus tard, Rodrigo retourna dans une grande

ville aux rues étroites, sales et nauséabondes. Et il retrouva sa

famille à Madrid et bien sûr retrouva ses amis. Pendant que

Maïlys mangeait des barbes à papa et plein de sucreries avec

Marie B sa copine, Morgan était à son école avec ses copains.

Maïlys M

Devenu adulte, Dioche décide de quitter la mai-

son de ses parents pour vivre sa vie avec la jolie fille,

Sabrina, qu’il venait de rencontrer. Il laissa ses

compagnons de côté pour sa fiancée, qu’il venait de

demander en mariage : elle lui a répondu un grand

« OUI ».

Après le mariage, ils partirent de l’autre coté de

la mer où tout était gratuit et les gens très gentils.

Les jeunes mariés vécurent très heureux et ils eu-

rent quatre beaux bébés.

Aurore C

… Devenu grand, il rejoint ses amis. Ils étaient contents de le revoir, sa mère aussi. Le garçon

s’appelait Rissane.

Dix ans plus tard, il décide de partir. Soudain, des hommes arrivent vers lui et lui disent : « Où tu

vas comme ça ? Attends, on a envie de te parler !» Il n’avait pas le temps, il leur répond : « Vous

voulez quoi ? »

- On veut ton argent. »

Mort de peur, Rissane dit : « Vous pouvez tout prendre. » Les hommes l’empêchent de partir.

Rissane appelle son père qui est policier. Son père est venu et les a arrêtés.

Peu après, Rissane dit : « Je veux partir ». Son père accepta. « Tu veux venir avec moi ? »

- Oui ! »

Il est parti en pleurant et ils vécurent heureux.

Marilyne C

Un enfant très intelligent qui était roi avait fait un

rêve. Dix ans plus tard, il décida de partir de l’autre côté

de la mer à la découverte de terres magiques mais la mer

appartenait au méchant Faysal qui avait des requins qui

se nourrissaient de chair humaine. Comme le roi était

pacifique et qu’il ne combattait pas, il abandonna alors

la bataille et se jura de ne jamais oublier ses rêves. Il

trouva une fée qui donnait des pouvoirs contre des dents

d’oiseau magique. Par chance, il en avait quatre sur lui.

La fée lui donna le pouvoir de voler mais Faysal avait des

frères qui contrôlaient le ciel. Eux étaient gentils. Faysal

les supplia à genou. Comme le roi ne le savait pas, il

décida de ne plus jamais revoir ses rêves.

Wassim B