Atelier de praticiens au XIXème s. Du plâtre au marbre

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Du plâtre au marbre Atelier de praticiens au XIXème s. Bruno Perdu 2019

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Du plâtre au marbreAtelier de praticiens au XIXème s.

Bruno Perdu 2019

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Nous allons étudier

-  Les outils de la taille - Assistant devenant praticien au XIXème- Les méthodes de taille indirecte et ses instruments

TranspositionReport mécanique�Agrandissement et Réduction

« Le sculpteur fait ses œuvres avec plus d’effort physique que la peinture (…) et son travail exige un exercice tout mécanique, s’accompagnant de beaucoup de sueur qui se mêle à la poussière et devient une croûte de boue. (…) Son logis est sale et plein d’éclats de de poussière de pierre »

Trattato della pittura (Traité de la peinture) �- ou codex Urbinas lat.1270 bibliothèque vaticane –�Léonard de Vinci (1452-1519)

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Miniature du XIVème s. (BM)

Statue couchée sur un établi, taillée à la gradine percutée au mailletSur le sol, un marteau bretté. Sur l’établi, un compas et des ciseaux.

Au Moyen-Âge, à partir d’un bloc placé à l’horizontale ou sur un plan incliné, les sculpteurs exécutent les différentes étapes de la taille : l’entame de la pierre autour des contours est réalisée à l’aide d’un marteau pioche, d’une laye au tranchant étroit et d’une pointe frappé au maillet. Les formes sont détaillées avec des ciseaux au tranchant droit, et différentes gradines (ciseau à dents). Les creux et les drapés sont évidés avec des gouges (tranchant arrondis) pour les pierres tendres, des trépans pour les pierres dures. Les détails sont affinés à l’aide de râpes. Les surfaces sont polies grâce à un matériau abrasif.

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TAILLE DIRECTE

1 Les travaux préparatoiresPrenons exemple de Michel-Ange (date)-> Dessins-> Maquettes en cire pour observer l’effet de la lumière-> (parfois) Modèle aux dimensions réelles sur une armature de fer recouverte d’un mélange de plâtre et d’étoupe

2 Le bloc de pierre (ex. marbre de carrare)

-> Choix du bloc : Le sculpteur choisit la pierre qu’il va tailler en fonction de sa dureté, de son aspect (texture et couleur) et de son prix de revient. -> Débitage et Equarrissage sur place : mis à l’équerre et débarrassé de toutes ses irrégularités.-> Transport à l’atelier

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Pic de tailleur

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Chasse

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3 La taille (ex. marbre de carrare)

-> Epannelage : Le sculpteur dessine les contours de la sculpture à venir sur les quatre côtés du bloc, puis supprime la matière extérieure aux contours. L’épannelage a parfois lieu à la carrière pour alléger le bloc durant son transport.-> Principaux outils de la taille :

la pointe et son maillet ,le ciseau droit : tranchant droitla gradine : tranchant dentéla gouge pour pierre tendre : tranchant arrondi

-> Détails :le trépan,le gratte-fond

-> Finition : la ripe , râpe, le rifloir-> Polissage : les abrasifs

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Phidias, La sculpture�attribué à Andrea Pisano,

marbre, entre 1334 et 1337�Musée du Duomo de

Florence

OUTILS du sculpteur/praticien

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POINTE - Tenue obliquement -Laisse des sillons.

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Ciseau plat ou gouge

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Gradine (à quatre dents)

Laisse des traces de directions variablesen forme de stries.

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Maillet Massette

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Racloir

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Ripe

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Râpe à pierre

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Foret

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Les outils � de modelage et de taille�

�d’Emile Bourdelle

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La taille indirecte

Méthodes qui reviennent toutes à effectuer des mesures d’après des perpendiculaires imaginaires.

Permettant l’agrandissement :-  Au moyen d’équerres, de fils à plomb.-  Par le disque circulaire (traité De statua par Leon Battista Alberti 1464)-  Par la « caisse à baguette «  de Léonard de Vinci.-  Par le châssis (Encyclopédie de Diderot, F.Corradori).-  Par la méthode des trois compas.

Ne permettant pas l’agrandissement :- Avec machine à mettre au point. Méthodes permettant de reproduire un

modèle dans un matériau dur. Depuis

Le maître sculpteur modèle la terre pour obtenir une sculpture qui est ensuite moulée en plâtre à reproduire par un atelier. Le maître est donc libéré de la réalisation de son œuvre qui est effectuée par des assistants :Le metteur au point : il taille le bloc pour approcher la forme à 2 ou 3 cm du fini.Le praticien : il sculpte la forme exacte au marbre ou à la pierre en respectant le modèle en plâtre.

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La Renaissance et la recherche du beau

L.B. Alberti - Traité – 1430 - DE STATUA - Traduit en italien en 1568(influence? sur les sculpteurs de la Renaissance)

Pour parvenir au beau, le sculpteur doit maitriser parfaitement la mesure et la finition

La mesureL’exempeda : règle droite pour mesurer les longueurs et une équerre à branches mobiles pour les diamètres.

Le definitor : disque circulaire sur lequel est fixé une baguette pivotante à l’extrémité de laquelle est suspendu un fil à plomb. Cet instrument, défini par Alberti, permet de déterminer n’importe quel point sur le modèle

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60 ans avant Léonard de Vinci, Alberti propose dans son traité de la sculpture une méthode utilisant des règles, équerres et fils à plomb pour pouvoir prendre les dimensions du modèle et pouvoir les reporter sur le bloc.

LE DEFINITOR�ou finitorium�

de Leon Battista Alberti,�vers 1450

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La « caisse à baguettes » de Léonard de Vinci (1452-1519)

« Si tu veux faire une figure de marbre, commence par l’exécuter en argile ; quand elle sera terminé, laisse-la sécher, mets-la dans une caisse assez large pour pouvoir, une fois la figure retirée, contenir le bloc de marbre dont tu veux extraire la figure semblable à la maquette d’argile. Celle-ci mise dans la caisse, fabrique des baguettes qui s’emboitent exactement dans ses trous et enfonce-les jusqu’à ce que chaque baguette blanche touche la figure en des points différents ; teinte de noir les parties des baguettes qui sortent de la caisse et et marque chaque baguette d’un signe distinctif ainsi que le trou correspondant pour pouvoir les ajuster à ton gré. Puis, retire de la caisse la maquette d’argile et remplace-là par le bloc de marbre, dont tu ôteras une quantité suffisante pour que toutes les baguettes disparaissent dans leurs trous jusqu’aux marques ; et, pour mieux y réussir, construis ta caisse de manière qu’elle puisse être soulevée toute entière mais que le fond reste toujours sous le marbre ; ainsi tu pourras faire très aisément usage de tes fers ». (fers : ciseaux du sculpteur)

Les carnets de Léonard, Tome II, p.328, Gallimard, 1942

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Usage des outils : on enlève uniquement

« Ceux qui sont pressés et se mettent tout de suite à creuser le bloc et à enlever hardiment de la pierre par-devant et par-derrière n’ont plus la possibilité de revenir éventuellement en arrière ; de là naissent dans des statues de nombreuses erreurs ; impatient de voir la figure en ronde bosse tirée d’un seul coup, l’artiste commet souvent une faute irréparable ; il ne peut y remédier qu’en rapportant des morceaux, comme nous l’avons vu faire à plusieurs artistes modernes ; ce rafistolage de savetier n’est pas digne d’excellents artistes ou de grands maîtres »

Giorgio Vasari (1551-1571) époque manièriste

Les vies des meilleurs peintres, sculpteurs et architectes italiens, vol.1, p.124, éd.Berger-Levrault, 1981

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Cadre gradué (appelé chassis) qui présente l'avantage de pouvoir se positionner aussi bien horizontalement que verticalement..

Agrandissement et réduction possible

La méthode du chassis ��

Francesco Corradoni�fin du XVIIIème s.�

(1688 - 1752)�Professeur à l’académie de Beaux-

Arts de Florence

L’utilisation des squadre, Istruzioeelementare per gli studiosi della scultura,Florence, 1802, tab.VIII, Rome bibliothèque Vaticane

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La méthode du chassis

Encyclopédie ou dictionnaire raisonnée des sciences, des arts et des métiersSous la direction de Diderot et d’Alembert, 1751-1772Planches correspondant à la définition sculpture

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Carradori Francesco (1747-1825) - Lasinio Carlo (1759-1838)�Instructions élémentaires pour les spécialistes de sculpture�

Manuel publié en 1802�https://archive.org/details/istruzioneelemen00carr �

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b85950915

Francesco Carradori�fin du XVIIIème s.�(1688 - 1752)�Professeur à l’académie de Beaux-Arts de Florence

L’utilisation des squadre, Istruzioeelementare per gli studiosi della scultura,

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L’utilisation des squadre, Francesco Corradori,� Istruzione elementare per gli studiosi della scultura,�

Florence 1802, Tabl.VIII, Rome, �Bibliothèque apostolique Vaticane

Cadre gradué (appelé chassis) qui présente l'avantage de pouvoir se positionner aussi bien horizontalement que verticalement.

Agrandissement et réduction possible

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A identifier

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L’atelier d’Antonio Canova à Rome, vers 1782-86�Francesco Chiarottini (1748-96), Lo studio di Canova in via glacomo a Roma�

Aquarelle - Museo Civico Udine

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Les Trois compas3 compas pour reporter les coordonnées du modèle sur le bloc à sculpter. Le principe : situer un point quelconque du volume à reproduire à l'aide de trois coordonnées prises avec les compas.

De préférence de grands compas munis de branches de 45 cm de longueur au moins, car cela permet d'accéder aux points les plus reculés.

Deux types de compas sont nécessaires :•  Deux compas droits (ou légèrement

courbes) sont utilisés pour indiquer les distances linéaires.

•  Un compas d'épaisseur à branches courbes est utilisé pour mesurer les volumes.

Il faut mettre en place sur le modèle et sur le bloc :- Les points de basement.- Les chefs points.- Les points secondaires.- Les points justes.

Echelle de proportions.-> Agrandir ou réduire

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Différents compas

Trois compas veut dire qu’il faut trois mesures d’ouverture depuis les trois points de référence et le point de sélection. Il en faut donc trois pour une mesure.

Compas d’agrandissement ayant appartenu à Edgar Degas - M’O

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Les compas et Té d’Emile BOURDELLE

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La machine à mettre aux points

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Machine à mettre aux points

A la forme d’un T renversé qui prend appui par trois extrémités sur trois points choisis sur le modèle, de manière à former un triangle constant. Un bras articulé, mobile sur l’axe vertical est muni à son extrémité d’une aiguille réglable. On reporte l’appareil du modèle sur le bloc épannelé à chaque mensuration.

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Té de mise au point

Les pointes sont réglables va permettre

On détermine 3 points de référence X,Y et Z qui sont communs au modèle et au bloc de départ de la sculpture finale.

(On choisit des points les plus saillants possible de façon à ne pas avoir de "manque" sur la pièce finale).

Une fois cette base mise en place, on adapte sur le té un coulisseau articulé avec un système de blocage.

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Bacchante aux lauriers �1869-72�J-B Carpeaux��Plâtre modèle pour l’édition tiré du groupe de la Danse de l’Opéra et diffusé par l’atelier de carpeaux à Auteuil. ��-> 3 points principaux renforcés par des pointes (clous) en fer.

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Bacchante aux lauriers �1869-72�J-B Carpeaux��Epreuve en plâtre réalisée en 1986 par les ateliers de la RMN ��-> Aux trois 3 points principaux, s’ajoutent les chefs points et les points secondaires repérés au crayons �

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Bacchante aux lauriers �1869-72�J-B Carpeaux��Pierre de St Maximin ��-> Epannelage : dégrossissage par pans et chanfreins à « un crayon ».�Mise en place des points de basement et des chefs points.

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Bacchante aux lauriers �1869-72�J-B Carpeaux�� Pierre de St Maximin ��-> Mise en place des points secondaires.�« approche à la coquille » des points secondaires sur le devant�

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Bacchante aux lauriers �1869-72�J-B Carpeaux�� Pierre de St Maximin ��-> Mise en place des points justes �Le plus souvent, le sculpteur intervient lui-même à ce stade. Il arase la matière restante entre deux points justes, cherchant le modelé comme ici sur la partie achevée du visage.

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Point de basement ou chefs points

Plâtre modèleDépôt des œuvres d’art de la ville de Paris - Ivry

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Points de basement (cônes et clous) �points justes (croix).����Buste modèle (récent) en plâtre�Dépôt d’Ivry

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Points de basement�points secondaires (en rouge)�Traces de pointe et de gradine �Marbre- début XXème - Musée Rodin de Meudon�(œuvre non terminée d’un praticien?)

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Sculpture volontairement inachevée de A. Bourdelle��Traces de pointe et de gradine�Points justes ��Marbre - début XXème –�Musée Bourdelle, Paris 15ème

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La Danse 1868�Jean-Baptiste Carpeaux��Modèle original en plâtre�à demi-grandeur d’exécution ��(commandé en 1863 par charles Garnier pour la façade de l’opéra de Paris)��Les points justes (croix) sont encore visibles par endroits. ��Le praticien s’est servi de trois compas en multipliant pas deux toutes les mesures prises sur ce modèle.�

�Musée d’Orsay

Esquisse en plâtre

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Original en pierre calcaire�La taille a été effectuée sur place sur trois assises de calcaire d’Echaillon.��Déposé en 1964 au ML ->Musée d’Orsay

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Un atelier de sculpteur aujourd’hui�Florent Lebon, Agen (lot)

Taille d’un calcaire à partir d’un plâtre

Machine à mettre au point

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Taille d’un calcaire à partir d’un plâtre�Machine à mettre au point�

Points justes sur le marbre�

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Grands développement au XIXèmeNotammentEn 1820 - Nicolas Marie Gatteaux (graveur français)

Les pantographesen 1836 - Achille Collas (ingénieur français)(brevet 1837) -> réduction des sculptures Maison barbédienne

en 1844 - Benjamin Cheverton (sculpteur anglais)

Egalement Procédé de réduction Collas-Sauvage (Brevet 1844)Maison Susse frères, à partir de 1847

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Planche de l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert

Le pantographe des sculpteurs

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Pantographe des sculpteurs

Dérive du pantographe à dessiner, déjà bien connu, mais adapté à la sculpture puisqu'il permet de travailler dans les 3 dimensions.�

- En 1836 par l'ingénieur français Achille Collas - En 1844 par le sculpteur anglais Benjamin Cheverton (ci-contre).

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Gravure 1864 – Le monde illustré - Atelier de sculpture du pantographe

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L’éidographe de William Wallace (1758-1843) - 1821

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François Willème et Photosculpture 1859-60

Première page du brevet Aux Etats-Unis -1864

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Bibliographie

Pierre Noël, Technologie de la pierre de taille, Dictionnaire des termes couramment employés dans l’extraction, l’emploi et la conservation de la pierre de taille, Editions SEBTP, 3ème édition 2012

Jean-Claude Bessac, L'outillage traditionnel du tailleur de pierre, de l'Antiquité à nos jours (supplément 14 de la Revue archéologique de narbonnaise), Editions du CNRS, réédition 1993

http://www.pierres-info.fr