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Annexes sanitaires au Plan Local d’Urbanisme de la commune de Marseille en Beauvaisis 1

ANNEXES SANITAIRES


1. ADDUCTION D’EAU POTABLE ................................................................................. 3

PREAMBULE .......................................................................................................................... 3

1.1. SITUATION ACTUELLE ................................................................................................. 3 1.1.1. Réseau communal............................................................................................... 4 1.1.2. Qualité des eaux distribuées .............................................................................. 4

1.2. SITUATION PROJETEE................................................................................................... 4

2. DEFENSE INCENDIE .................................................................................................... 5

2.1. SITUATION ACTUELLE ................................................................................................. 5 2.2. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES POUR LA DEFENSE INCENDIE .......................................... 5

3. ASSAINISSEMENT......................................................................................................... 8

3.1. SITUATION ACTUELLE ................................................................................................. 8 3.2. EAUX PLUVIALES ........................................................................................................ 8

4. LES ORDURES MENAGERES................................................................................... 10


1. ADDUCTION D’EAU POTABLE

PREAMBULE Décrets 93-742 et 93-743 du 29 mars 1993 relatifs a ux procédures prévues par l’article L.211-1 du Code de l’Environnement (anci enne Loi sur l’eau de 1992) « L’eau fait partie du patrimoine commun de la nation. Sa protection, sa mise en valeur et le développement de la ressource utilisable dans le respect des équilibres naturels sont d’intérêt général » ainsi libellé, l’article 1er de l’ancienne loi n°92-3 du 3 janvier 1992, dite Loi sur l’Eau, établit une série de dispositions qui ont pour objet une gestion équilibrée de la ressource en eau. Cette gestion vise à assurer : - la préservation des écosystèmes aquatiques, des sites et zones humides, - la protection contre toute pollution et la restauration de la qualité des eaux

superficielles et souterraines ainsi que des eaux de mer, - le développement et la protection de la ressource en eau, - la valorisation de l’eau comme ressource économique et la répartition de cette

ressource. De manière à satisfaire ou à concilier, lors des différents usages, activités ou travaux, les exigences : - de la santé, de la salubrité publique, de la sécurité civile et de l’alimentation en

eau potable de la population, - de la conservation et du libre écoulement des eaux et de la protection contre les

inondations, - de toutes les activités économiques et de loisirs exercées (art.2).

1.1. SITUATION ACTUELLE

La Société des Eaux et de l’Assainissement de la Région Beauvaisienne assure la production, le traitement et la distribution publique d’eau potable à l’ensemble de la population des 66 communes composant le Syndicat Intercommunal d’Adduction d’Eau. L’ensemble de ces dispositions est réglé par un contrat d’affermage en date du 26 juillet 1987 modifié et complété par 7 avenants successifs dont le dernier date du 27 mars 1997. La commune est principalement alimentée en eau potable par un puits situé au Nord du territoire à proximité de la Rue du Château et de la Rue des Marronniers au lieudit « Le Village ». Ce captage a été déclaré d’utilité publique le 7 décembre 1984 et génère des périmètres de protection. Un réservoir existe également au Nord Ouest du territoire, sur les hauteurs de la Croix Mai


1.1.1. Réseau communal A la fin 2002, la consommation annuelle en eau potable sur la commune de Marseille en Beauvaisis était de l’ordre de 40 300 m3/an pour 1000 habitants, soit une moyenne de 115 l/hab/jour.

1.1.2. Qualité des eaux distribuées

L’eau consommée doit être propre à la consommation (code la santé publique–article L19). Le décret n°89-3 fixe les limites applicables aux eaux destinées à l’alimentation humaine. L’eau potable est un produit alimentaire extrêmement contrôlé. Outre l’auto-surveillance exercée par l’exploitant, les installations de production et de distribution d’eau sont soumises à un contrôle mis en œuvre dans chaque département par la Direction Départementales des Affaires Sanitaires et Sociales. Les échantillons prélevés, selon une fréquence fixée par décret, sont analysés dans des laboratoires agréés par la Ministère de la Santé. Deux paramètres intéressent particulièrement l’usager du service : la dureté de l’eau (en fonction de la teneur en carbonate de calcium) et la teneur en nitrates (en fonction des apports en azote). Le décret 2001-1220 du 20 décembre 2001, relatif aux eaux destinées à la consommation humaine, est axé sur la prévention des risques sanitaires. Il prévoit notamment, dans son article 36, la transmission au Préfet d’une étude portant sur le risque de dissolution du plomb dans l’eau au point de mise en distribution. Suite à un prélèvement datant du 1er mars 2006, l’eau de ce captage a été déclarée de bonne qualité bactériologique et physico-chimique au regard des paramètres recherchés.

1.2. SITUATION PROJETEE Le décret 2001-1220 stipule que la qualité de l’eau doit être maintenant contrôlée au niveau du robinet du consommateur. Cette disposition prend en compte la dégradation éventuelle de la qualité de l’eau dans les réseaux privés. A partir du 25 décembre 2003, le décret prévoit que les concentrations en plomb ne devront pas dépasser 25 µg/l. Cette valeur sera abaissée à 10 µg/l après 2013. Le respect de cette nouvelle contrainte imposera de remplacer à terme tous les branchements en plomb sous domaine public. Les concentrations en plomb étant désormais mesurées au robinet du consommateur, la plus lourde charge sera imputée aux propriétaires privés pour la mise en conformité de leurs réseaux intérieurs. Au niveau de la distribution, l’ensemble du réseau a un fonctionnement globalement satisfaisant.


2. DEFENSE INCENDIE

2.1. SITUATION ACTUELLE La commune de Marseille en Beauvaisis dispose de 34 hydrants La dernière vérification effectuée par le SDIS et Veolia date de Août 2008. Le réseau de défense incendie de la commune est suffisant. Il est alimenté par : - 1 borne de puisage - 4 aspirations dans les cours d’eau - 2 aspirations dans des citernes. - 27 poteaux incendie. Seul l’hydrant situé au 26 rue de la Chapelle présente un débit insuffisant (48 m3/h au lieu de 60 m3/h demandés). Lors du dernier recensement, les hydrants n°14, 29, 30, 31, 32 et 33 n’ont pas été vérifiés.

2.2. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES POUR LA DEFENSE INCENDIE Les voies de circulation desservant les établissements (bâtiments recevant du public bâtiments industriels et d’habitations) doivent permettre l’accès et la mise en œuvre des moyens de secours et de lutte contre l’incendie. A ce titre, celles-ci devront répondre aux caractéristiques minimales suivantes : - largeur de la voie : 8m - largeur de la chaussée, bandes de stationnement exclues : 3m - force portante calculée pour un véhicule de 160 kilo-newton avec un maximum de

90 kilo-newton par essieu, ceux-ci étant distants de 3.6 mètres au minimum. - Résistance au poinçonnement : 80N/cm² sur une surface maximale de 0.20 m². - Rayon intérieur minimum R : 11 m - Sur largeur S = 15 dans les virages de rayon intérieur inférieur à 50

------- R

- Hauteur libre : 3.5 m - Pente inférieur à 15% Les besoins en eau pour la lutte contre l’incendie sont proportionnés aux risques à défendre et définis par la circulaire interministérielle n° 465 du 10 décembre 1951 et par le document technique D9 – Guide pratique pour le dimensionnement des besoins en eau (INESC – FFSA – CNPP). À proximité de tout risque moyen, un minimum de 120 m3 utilisables en 2 heures doit être disponible. Cela peut être satisfait soit par : - un réseau de distribution d’eau doté de poteaux ou bouches d’incendie de 100

mm normalisés, débitant au minimum 1000 l/mn sous une pression dynamique de 1 bar.


- L’aménagement de points d’eau naturels - La création de réserves artificielles. En outre, ces points d’eau naturels ou artificiels devront répondre aux prescriptions suivantes : Le réseau de distribution doit comporter des poteaux d'incendie de 100 mm d'un débit minimal de 17 l/s sous une charge d'au moins un bar. Suivant le risque, les poteaux ou bouches d’incendie doivent être éloignés de 200 à 300 mètres.. Les poteaux ou bouches d'incendie doivent être conformes aux normes NFS 61.211, NFS 61.213, NFS 61.200. Le réseau alimentant les bouches et les poteaux doit être bouclé et maillé. Ce réseau de distribution peut être complété par des points d’eau naturels ou des réserves artificielles susceptibles de fournir le volume d’eau manquant au regard de la base de 120 m3. Les aires d’aspiration aménagées pour les réserves naturelles ou artificielles doivent respecter les dispositions suivantes :

- superficie minimum de l’aire d’aspiration de 32 m² (4 x 8m) - s’assurer que la résistance au sol de la voie conduisant à cette aire soit

suffisante pour supporter un engin de 16 tonnes. - Veiller à ce que cette aire soit toujours accessible - hauteur d’aspiration maximum : 6 m - s’assurer que le volume soit en tout temps de 120 m3 minimum - nettoyer régulièrement cette réserve.

Il faut noter que c’est la première solution qui présente le plus d’avantages tant au niveau de la mise en œuvre, que pour la multiplication des points d’eau. Cet aménagement sera réceptionné en présence d’un représentant du Service Départemental d’Incendie et de Secours. A ce titre, le tableau suivant donne des valeurs de débits et de distances des points d’eau par rapport à certains risques à défendre.

DEBIT DISTANCE (en m)

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Immeuble d’habitation

Etablissements recevant du public de

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Pour les établissements à risques élevés, ces exigences sont augmentés. Conformément au Code général des collectivités territoriale (art. L.2212.1 et L.2212.2 §5), le Maire dit prévenir et faire cesser les accidents et les fléaux calamiteux sur sa commune. Une défense incendie conforme à la réglementation est un moyen non négligeable de répondre à ce devoir. Il est rappelé qu’il appartient au maire d’assurer l’entretien, l’accessibilité et la signalisation des points d’eau assurant la défense incendie de sa commune. Toute nouvelle implantation d’un point d’eau doit faire l’objet d’un avis préalable du SDIS et faire l’objet d’une signalisation conforme aux dispositions de la norme NFS 61.211. Nonobstant la vérification des points d’eau effectuée par les sapeurs pompiers en conformité au règlement opérationnel, il appartient au maire de la commune de signaler au SDIS toutes modifications ou difficultés même temporaires rencontrées relatives aux points d’eau (indisponibilité ou remise en service).


3. ASSAINISSEMENT

3.1. SITUATION ACTUELLE L’assainissement a pour objectif de protéger la santé des individus et de sauvegarder la qualité du milieu naturel, en particulier celle de l’eau, grâce à une épuration avant rejet. Les décrets 93-742 et 93-743 du 29 mars 1993 relatifs aux procédures prévues par l’article L.211-1 du Code de l’Environnement (ancienne Loi sur l’eau de janvier 1992) distinguant deux grands modes d’assainissement : l’assainissement collectif et l’assainissement non collectif. Le schéma directeur d’assainissement a été réalisé tout comme le zonage d’assainissement . Ce dernier a été approuvé le 2 mars 2001 après enquête publique. Le type d’assainissement a été choisit le 24 juillet 2000 et c’est la solution du « tout collectif » qui a été adoptée, sauf pour la ferme Beaupré qui a été laissé en autonome. Aucune autre commune n’est raccordée sur la station d’épuration de Marseille-en-Beauvaisis. Celle-ci a été mise en service en 1985 et possède une capacité de 2000 Equivalent Habitant (EH) ce qui représente le double de la population actuelle. Une visite du SATESE (Service d’Assistance Technique aux Exploitants de Stations d’Epuration) a révélé un très bon fonctionnement de la station. Il a toutefois soulevé la nécessité de finaliser l’étude diagnostique réalisée en 2001 pour mettre en place un traitement fiable des eaux et répondre aux objectifs de réduction des flux polluants, ainsi que pour définir une filière boue adaptée. La gestion des boues est en effet difficile car le silo offre une capacité de stockage de 6 mois et demi environ, ce qui est insuffisant particulièrement en l’absence de plan d’épandage réglementaire. De plus, en considérant un taux de restitution des eaux consommées de 90%, le débit d’eaux usées attendu sur la station est de 34 000 m3 environ. OrS, le débit effectivement traité est de 60 000 m3.

3.2. EAUX PLUVIALES La collecte de ces eaux s’effectue par un réseau séparatif assez dense qui couvre la quasi totalité du territoire D’une manière générale, les eaux de ruissellement empruntent la voirie avant de se disperser en zone agricole (infiltration superficielle, fossés, …) ou dans les cours d’eau (Petit Thérain, Rû de l’Herboval…) Des problèmes d’écoulement, peu étendus (zones inondables) sont ponctuellement observés (ferme de la rue du Bois, rue de l’Ormelet). Compte tenu des risques d’inondation, il convient de retenir un certain nombre de règles vis à vis de la gestion des eaux pluviales. Il apparaît donc essentiel de maîtriser le ruissellement des eaux pluviales. Pour cela, dans la mesure du possible, l’utilisation des techniques alternatives est à préconiser sur l’ensemble du territoire.


Différentes techniques alternatives existent selon le cas de figure :

o La noue d’infiltration o Le puits d’infiltration o Le puits d’injection, o La tranchée d’infiltration, o La structure réservoir avec revêtement imperméable, o La structure réservoir avec revêtement perméable, o Bassin paysager o …


4. LES ORDURES MENAGERES

La collecte des ordures ménagères et du sélectif est réalisée par la société SEPUR (appel d’offre renouvelé au 1er janvier 2006pour une période de 5 ans). Les déchets ménagers classiques (ordures ménagère : OM) et le tri sélectif (Emballages Ménagers - EM) La Loi de 1992 fixe que la France devra valoriser 50 % de ses déchets ménagers, soit par recyclage, soit par compostage, soit par réutilisation. De plus, il sera interdit d'enfouir ou d'incinérer des déchets bruts n'ayant subi aucun processus de valorisation. A terme, les déchets acceptés en "décharge" ne devront être que des déchets ultimes, c'est-à-dire dont on ne peu plus rien extraire sous forme de matière ou d'énergie. La collecte des ordures ménagères (en bacs ou en sacs) est effectuée une fois par semaine. L’ensemble des foyers est équipé de deux bacs 120 litres (voire 360 litres pour les logements collectifs) qui permet d’effectuer le tri sélectif en même temps que le ramassage des ordures. En effet, le camion de collecte est compartimenté et permet de collecter d’un côté le sélectif (une semaine le bac bleu et l’autre semaine le bac vert) et dans l’autre compartiment les ordures ménagères. Sont trié les matériaux suivants : plastiques, tetra-briques, aluminium, papiers cartons, magazines et journaux. Le verre quant à lui est collecté en points d’apport volontaire par la société PATE. Ce verre est transporté jusqu’à l’usine de Reims. La Communauté de Communes possède deux déchetteries :

- Feuquières avec 30174 visites en 2007 (+2.5% par rapport à 2006) - Gremevillers avec 20 512 visites en 2007 (+9.3% par rapport à 2006) - une plate-forme végétaux à Formerie (29 432 tonnes de déchets végétaux)

La Communauté de Communes propose également une collecte des encombrants pour les personnes qui ne peuvent se déplacer. Le nombre de RDV est stable d’une année sur l’autres avec en moyenne 140/150 rendez vous à domicile. Tonnage La Communauté de Communes produit 8800 tonnes de déchets ménagers, soit 309kg/hab/an Elle produit également 40 538 tonnes de déchets verts ramassés en porte à porte, soit 49.7kg/hab/an. Enfin, en matière de collecte sélective, la Communauté de Communes a produit 2864 tonnes, soit 101kg/hab/


En 2007, le pourcentage global de valorisation des déchets du territoire de la CCPV est de 48%, une valeur très proche de 50% demandés.

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d

AGENCE DE L’OISE

60000 BEAUVAIS

1 Rue du Therain

01/02Planche

Echelle : 1/ 2000

Dessin de B.DEGRUMELLE

ADDUCTION D’EAU POTABLE

SEAO

SIEAB

MARSEILLE

EN BEAUVAISIS

Commune de

Village Nord

EDITION LIMITEE

RØseau Pompage Marseille

RØseau Coullemogne

Voir Plan N° 2Voir Plan N° 2

DEFENSE INCENDIE

Mise a Jour le : 12/11/08

Fte 150

Fte

150

Fte 1

50

Fte 1

50

Fte 150

Fte 1

50

Fte 1

50

Fte 200

Fte

150

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60

Fte

150

Poly

40/5

0

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60

AC

60

AC

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Fte

60

Fte

60

Fte 100

Fte

60

Fte

150

Fte 150

Fte 150

Fte 150

Fte

80

Fte

60

Fte 150

Fte 80

Poly

40/5

0

Poly

40/5

0

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Fte 80

Fte 80

Fte 80

Fte 150

Fte 150

Fte

80

Fte

150

Fte

150

Fte

150

Fte

150

Fte 60

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Fte

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Fte

60

Fte

60

Poly 40/50

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100

AC

100

AC

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Fte

150

Fte

150

Fte

150

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Fte

150

Fte

150

Fte

150

Fte

100

Fte 1

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Fte 1

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Fte 1

25

Fte 125

Fte 125

Fte

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Fte 60

Fte

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Fte

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Fte 6

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Fte

125

Fte

100

Fte

100

Fte

100

Fte

60

Fte 150

Fte 150

Fte 150

Poly 32/40

15

5

18

27

6

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28

1

2

24

17

8

9

10

29

23

13

16

3

31

21

20

19

4

26

12

25

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32

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Y

Y

Y

Y

YY

J

K

K

S

S

R

R

S

Q

R

Fiche Hydrant

Pression Statique en Bars

Pression Dynamique en Bars

DØbit en m3/h

Date de l’essai

1380

8.6

5.2

60

08/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1401

8.5

5.2

60

08/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1379

8.5

5

60

08/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1392

8

4

60

08/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1381

8.2

4

60

08/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1389

8.2

5

60

08/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

4184

7.8

3.5

60

08/02/2008

N° Hydrant SEAO

Y

Y

Y

X

Y

Y

Y

V

Y

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Y

Y

Y

F

S

S

S

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F

S

F

S

Q

X

X

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

10259N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1377

5

4.3

60

08/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1390

5

4.5

60

08/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1391

5.5

2.5

60

08/02/2008

N° Hydrant SEAOFiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1402

4.2

1

60

07/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1387

4

3.4

60

07/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1398

3.7

2.8

60

07/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1376

3.4

2.6

60

07/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1397

5

3.8

60

08/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1383

3.6

2.8

60

08/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai


Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1382

3.1

2

60

08/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1384

3.8

2.3

60

08/02/2008

N° Hydrant SEAO

Y

Y

Y

Y

Y

Y

V

w

Y

w

D F

Q

R

S

Q

Q

S

Q

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Q

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1395

2.6

1.4

60

08/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1394

2.9

1.7

60

08/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1393

2.7

1.7

60

08/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai


Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai


Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1399

3.1

2.1

60

08/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1386

2.7

1.8

60

08/02/2008




DØbit en m3/h

Date de l’essai

1400

1.6

1

48

08/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1378

1.5

1.5

60

08/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai


X

Y

Z

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X

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V

PI 100

RØserve Incendie

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Bouche de Lavage

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Vidange

Ventouse

Clapet

Plaque Pleine

Stabilisateur

de Pression

Compteur

Cone

Purge

E

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RV Ouvert

RV FermØ

Quart de Tour

LEGENDE

RØseau RØduit

PI 100

>

Borne de Puisage

RØserve Incendie 120m3

avec PI d’Aspiration

w

rBouche Arrosage

2

60

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de

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Rue

de

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32

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du

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31

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26

LE VILLAGE

Le

Petit

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9

Rue

de

Bois

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5

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13

15

RUE DU BOIS

5

7

9

11

Voie

CRAPAUDIERE

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de

Fer

de

Paris

au

TrØ

port

Bois

Bois

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Voie

Com

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Rue

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Rue

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Natio

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Voie

Com

munal

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dite

Chem

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des

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20

22

24

LES MURETS BLANCS

Cheminrural de

1

3

579

11

13

Songeons

Marseille-en-Beauvaisis

101214161820

24

68

Rue de Choqueuse

1012

1416

13

57

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1315

86

42

28

26

24

22

20

18

1012

1416

Rue

des

Murets

Bla

ncs

LE FIEF

Rouen

Route

25

26

27

28

29

30

31

32

àla

Capell

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8

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Rue

PhilØ

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11

1

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5

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46

Rue

de

l’Orm

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Voie

Com

munale

Lecle

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Sentedite

des Jardins

Ruell

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dit

e

Com

munale

Voie

des

Rem

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n 1

06

de

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LES REMPARTS

47

49

1

3

57

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13

71

69

67

65

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61

59

57

55

53

51

Ruel

leJe

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15

Rue

Voie

Com

munale

n 2

06

dite

Chem

in

des

Vole

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AU-DESSUS DE LA VIGNE

Chemin

rura

l

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CHEMIN DES VOLEURS

des

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de

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1

3

FOND DE BEAUPRE

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Chem

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de

Chem

in

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n 901

de

Beau

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à

AU-DESSUS DE LA FORET

LE FIEF

Ravin

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dite

n 2

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Com

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Chem

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Fer

Paris

au

LE BOIS FONTAINE

(RiviŁ

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n 4

TrØport

BEAUPRE

Chemin

rura

l

du

Chemin

dØpartemental

n 22

à

la

VoieCommunale

LE BOIS SAINT-PAUL

Chemin

Chem

in

du

Bois

n 205

Voie

RUE DU BOIS

Sain

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Bois

2

4

PRE DE L’ORMELET

Le

de

Cheminrural

de Choqueuseà

BeauprØ

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Chem

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LE CHAMP DE LA ROSE

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min

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l

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de

la

Grippe

LE HAUT DE LA GRIPPE

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n 2

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des

Potiers

LA GRIPPE

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n 22

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is

à

Marseil

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rural

Chemin

de

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embre

ment

LES GERBETTES

LE BOSQUET SAINT-PAUL

rem

em

brem

ent

n 2

2

de

Gis

ors

à

L’HOMME MORT

LE CHAMP GRUYER

Le

Petit

ThØ

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RiviŁre

Rue

du

Moulin

Voie Communale n 5dite

Chemin ruraldit du

vc n 202 dite du Moulinde

Thosac

Moulin de Thosac

46

2

53

de la Station de Marseille

MOULIN DE THOSA

TrØ

port

au

PRAIRIE DE THOSAC

Fer

de

Paris

LE PRE DES VIVIERS

64

66

68

70

72

74

1

3

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GØ

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STABILISATEUR

STABILISATEUR

STABILISATEUR

STABILISATEUR

STABILISATEUR

RV FERME

RV FERME

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d

EN ATTENTE DE PLANAGENCE DE L’OISE

60000 BEAUVAIS

1 Rue du Therain

02/02Planche

Echelle : 1/ 2000

Dessin de B.DEGRUMELLE

ADDUCTION D’EAU POTABLE

SEAO

SIEAB

MARSEILLE

EN BEAUVAISIS

Village Sud

Commune de

EDITION LIMITEE

Voir Plan N° 1 Voir Plan N° 1

Voir ACHY

RØseau Coullemogne

RØseau Pompage MARSEILLE

DEFENSE INCENDIE

Mise a Jour le : 12/11/08

Fte 150

Fte 150

Fte 150

Fte 150

Fte 150

Fte 150

Fte 150

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Poly

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J

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Q

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Q

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1396

9.1

5.6

60

07/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1385

9.5

5.7

60

07/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai


Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1380

8.6

5.2

60

08/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1401

8.5

5.2

60

08/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1379

8.5

5

60

08/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1392

8

4

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08/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1381

8.2

4

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08/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1389

8.2

5

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08/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

4184

7.8

3.5

60

08/02/2008

N° Hydrant SEAO

Y

Y

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Y

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F

S

F

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Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai


Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1377

5

4.3

60

08/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1390

5

4.5

60

08/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1391

5.5

2.5

60

08/02/2008




DØbit en m3/h

Date de l’essai

1402

4.2

1

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07/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1387

4

3.4

60

07/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1398

3.7

2.8

60

07/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1376

3.4

2.6

60

07/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1397

5

3.8

60

08/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1383

3.6

2.8

60

08/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai


Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1382

3.1

2

60

08/02/2008

N° Hydrant SEAO

Fiche Hydrant



DØbit en m3/h

Date de l’essai

1384

3.8

2.3

60

08/02/2008

N° Hydrant SEAO

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