de Galapagos, du requin

blanc, du bison d’Amérique...

Que pouvons-nous faire pour

éviter ces catastrophes ?

Arrêtons de jeter les sacs

plastiques qui ne sont pas

biodégradables. Stop à l’abus

de pesticides qui tuent les

insectes. Ayons pitié des

thons, cessons de porter des

objets en ivoire, car bientôt, il

n’y aura plus d’éléphants.

Arrêtons les trafics des bêtes

les plus protégées. Le journal

webjunior signale la dispari-

tion de plus de 17 291 ani-

maux. Soyons sympa avec

nos amies les bêtes, car elles

sont utiles à la nature et

constituent un beau patri-

moine à transmettre aux

autres générations.

Lola, Selma, Aurore, Océane

Dans son livre Les espèces

menacées, paru aux éditions

Milan Jeunesse en 2006,

Emmanuelle Grundmann dit

que si les espèces sont me-

nacées, c’est la terre qui est

en danger. Les humains aus-

si, car nous ne pouvons pas

vivre heureux sans nos amies

les bêtes. Elles sont impor-

tantes pour notre équilibre.

Qu’est-ce qui menace les

espèces ?

Disons d’abord qu’une es-

pèce est une communauté

d’organismes qui ont des

caractéristiques semblables

et qui peuvent se croiser.

Elles sont partout et sont

apparues il y a 4 milliards

d’années. L’homme en fait

partie. Ce qui cause aujour-

d’hui la disparition des ani-

maux, ce sont : la déforesta-

tion, la pollution, la chasse, la

pêche, les trafics et…

l’homme. Demain, il sera trop

tard pour pleurer la fin des

cougars, des ours bruns des

Pyrénées, du lynx ibérique, de

la panthère des neiges, du

tigre de Sibérie, des élé-

phants, du rhinocéros et de

l’orang-outan de Sumatra, du

phoque moine de Méditerra-

née, du condor de Californie,

des esturgeons, de l’alligator

de Chine, des tortues géantes

Le journal, nous dit le La-

rousse, est une publication

qui donne différents types

d’informations. Dans Ze Jour-

nal, les membres du Club

Journal de notre collège, ont

choisi de parler de la dispari-

tion des espèces, source de

déséquilibres pour notre envi-

ronnement. Les métiers,

autre souci pour quiconque

se prépare à la vie active, ont

leur place dans ces colonnes,

tout comme l’art, le sport, les

loisirs. Découvrons le portrait

d’un grand footballeur polo-

nais qui a choisi de vivre en

France : Andrzej Szarmach et

dont l’un des petit-fils est

élève de notre établissement.

Lisez dans ce numéro une

fiction originale, réalisée dans

le cadre du cours de Mme M.

Merlin, professeure de fran-

çais. Bravo et longue vie à

notre nouveau trimestriel !

Le Principal du collège

Le cougar ou Lion des montagnes

N o s a m i e s l e s b ê t e s l e s p l u s

m e n a c é e s d a n s l e m o n d e

S O M M A I R E :

Editorial du Principal du

collège p.1

Les animaux en voie de

disparition p.1

Portrait d’un buteur P.2

Les nouveautés du CDI p.2

Technologie : les mini-

drones p.3

Ecrivains en herbe : le

feuilleton p.3

Les caricatures de

Watsons p.4

Le métier de styliste p.4

Un magnifique Dessin

Pray for Paris, de

Morgane P., 3ème C

(ci-dessous) par

solidarité avec les

victimes des attentats

de novembre 2015)

L E D E S S I N D U

S C R I B E

StarWars 7:Révélations

Article intérieur 2

Article intérieur 2

Article intérieur 3

Article intérieur 4

Article intérieur 5

Article intérieur 6

E d i t o r i a l

L E C A N A R D D U C L U B J O U R N A L D U C O L L È G E

L A V A L L É E V E R T E D E V A U V E R T

zeJournal

17 décembre 2015 Année 1, n° 1

Andrzej Szarmach restera à

jamais le prolifique buteur

de la mythique équipe de

Pologne des années 70 .Son

jeu léché et offensif lui a

permis de remporter la mé-

daille d’argent au J.O de

Montréal en 1976 et d’obte-

nir deux troisièmes places

lors des coupes du monde

de 1974 et 1982 .Né le 3

octobre 1950, son avenir

s’annonçait sur les chan-

tiers navals de sa ville na-

tale de Gdansk. A 19 ans,

bac pro en poche, le jeune

Andrzej travaille dans le

grand port et marque les

buts le week-end pour son

club l’Arka Gdynia. Il est très

vite remarqué, et signe en

1972 au Gornik Zabre alors

qu’il intéresse déjà à l’étran-

ger. Mais le régime commu-

niste interdit aux Polonais

de quitter leur pays avant

30 ans. Tant pis pour la

carrière de Szarmach ! Il

attend tranquillement sa

trentième année pour goû-

ter aux grands champion-

nats. Il rejoint ensuite à 25

ans le Stal Mielec avec le-

quel il remporte son unique

titre de champion de Po-

logne en 1976. Il marque

150 buts en 279 matches

de première division polo-

naise. Avec Grzegorz Lato,

Kasimiersz Deyna et Szar-

mach, la Pologne enregistre

ses plus belles années de

football, L’absence de

Wlozimierz Lubanski per-

met à Szarmach de mener

l’attaque polonaise. Elle

sera la meilleure du mondial

1974 avec 16 buts. On com-

prend dès lors l’image et le

prestige dont il bénéficie

non seulement auprès du

public polonais, mais aussi

des amateurs du ballon

rond.

cœur cookie ,

le journal

d’une grosse

nouille, nos

étoiles con-

traires, la

face cachée

de Margo…

Des essais

sur les reli-

Le Club lecture a commencé

ses activités au CDI depuis

le mois de novembre. Plu-

sieurs nouveautés sont dis-

ponibles en BD : Le collège

invisible, Cat et son chat,

Titeuf…

Des romans : Cœur salé, ,

cœur coco, cœur guimauve,

cœur vanille, cœur sucré,

gions du monde, l’abécé-

daire de la citoyenneté, les

injustices et la discrimina-

tion. Au CDI, mangas, poé-

sie, contes, théâtre ainsi

que le kiosque à journaux

vous attendent. Vos sugges-

tions sont aussi utiles pour

construire un pôle-livres

capable de satisfaire tous

les appétits de lecture. Ivan

est toujours à ce jour le meil-

leur buteur d’un club qui a

connu après lui connu

d’autres stars internationales

comme Enzo Scifo, Laurent

Blanc ou Djibril Cissé. La Po-

logne, qualifiée pour le tour-

noi final de la coupe d’Europe

des nations de football qui se

déroulera en France en juin et

juillet prochains, aura peut-

être besoin des conseils de

son légendaire buteur. Lewan-

dowski, l’actuel goleador et

canonnier du Bayern de Mu-

nich, regardera sûrement les

vidéos de son prédécesseur

à la tête du Onze polonais.

Szarmach, ancien entraîneur

et agent de joueurs, n’a pas

perdu contact avec le pays

natal qu’il aime à retrouver

même s’il a adopté la France

et coule des jours heureux à

Puymoyen, en Charente. Il a

trois petits-enfants avec

lesquels il adore faire du

vélo.

Par Guilhem, Ivan, Ro-

main.

le célèbre entraîneur Guy

Roux. L’attaquant à la

moustache et au flair de

félin dynamise l’équipe

auxerroise pendant cinq

saisons, donnant à l’AJA

une identité forte et en-

viée. Star du club, mais

discret, il mettra Auxerre

sur le podium de l’élite du

football français en 1984.

Son bilan dans l’Yonne est

éloquent : 148 matches

joués et 94 buts inscrits. Il

Légende accompagnant

l'illustration.

P o r t r a i t D ’ u n f a n t a s t i q u e b u t e u r :

A n d z r e j S z a r m a c h

L u s e t a p p r o u v é s

L e s n o u v e a u t é s d u C D I

P a g e 2

Auteur de cinq réalisations,

Szarmach marque la

compét i t ion de son

empreinte. Deux ans plus

tard, il confirme son statut

de terreur des surfaces de

réparation et termine les JO

de Montréal avec le titre de

meilleur buteur. Il inscrit

alors 9 réalisations. En

1980, il est enfin autorisé à

quitter son pays et c’est à

Auxerre qu’il atterri, séduit

par la bourgogne et le

discours d’un homme :

Szarmach, une légende

z e J o u r n a l

C’est l’armée de Terre qui a inau-

guré, il y a une dizaine d’années,

l’utilisation intensive des mini-

drones pour des missions de ren-

seignement et d’intervention. Ces

appareils sont maintenant très

présents dans le monde de la sé-

curité civile. Ils pèsent entre 2 et

25 kg, sont dotés de pilote auto-

matiques et sont capables de

suivre en autonomie une trajec-

toire préalablement définie. Au

sol, veille un télé-pilote qui peut

reprendre le contrôle de l’engin en

cas de nécessité.

Une vingtaine de constructeurs et

plus de 350 opérateurs se parta-

gent le marché français. La photo-

graphie aérienne n’est plus la

seule activité dominante dans le

secteur. La surveillance de sites

industriels, l’inspection des chan-

tiers, le combat contre les incen-

dies, l’expertise des catastrophes

naturelles sont aujourd’hui con-

cernées. Attention aux farceurs,

Vives les drones ! Guilhem

trer et qui se cachaient dans

leurs galaxies pour vivre heu-

reux comme l’avait dit plu-

sieurs millénaires plus tôt M.

Jean de La Fontaine. Un jour,

voici Flox mal à l’aise ; il se

sent un peu sale. Cela fait

plusieurs jours qu’il n’a pas

fait sa toilette. Un bal mas-

qué l’attend ? Un rendez-vous

galant ? Un voyage à l’autre

bout du monde ? Il ne veut

Toutes les races, humaine et

extra-humaine, cohabitaient.

Il y avait même des croise-

ments entre robots et hu-

mains. Dans les quartiers

branchés de Sydney, on ren-

contrait à certains moments

des Martiens qui avaient si-

gné un pacte pacifique avec

les terriens et lancé un appel

à d’autres populations qui ne

voulaient pas encore se mon-

rien révéler à quiconque. Il est

pressé. A trois pas, dans le

centre ville, il y a Vladis, son

fournisseur en lubrifiants

adaptés à sa peau en métal,

et gérant de la station service

Open any time. Alors, il court

vers Open any time. Vladis

l’accueille avec une tape ami-

cale dans la main et lui dit :

- Hi, Flox ! Tout roule ? (A

suivre…)

faible particulier pour les

câbles électriques qu’il ava-

lait avec un appétit d’ogre. Il

tressautait de joie en man-

geant quand le courant élec-

trique était branché. Habitant

de Sydney, Flox résidait dans

un quartier tranquille de la

grande métropole austra-

lienne et ne pouvait profiter

de la mer car il risquait l’élec-

trocution. Depuis la révolution

des transports dans les tubes

qui roulaient à la vitesse du

son, les gens se déplaçaient

vite dans le vaste pays-

continent qu’est l’Australie.

Ils entraient dans des cap-

sules, et, par une fantastique

propulsion, ils allaient par-

tout. Cette technique révolu-

tionnaire venue des Etats-

Unis était donc un triomphe.

L’année 4032

Flox, un humain-robot de 19

ans, petit, vêtu d’une combi-

naison métallique, avait des

cheveux gris souris et des

mèches qui ondulaient, qui

couraient sur sa tête dans

tous les sens comme des

spirales. Il adorait tout ce qui

était gris et blanc et avait un

T e c h n o l o g i e

L e s m i n i - d r o n e s d e s u r v e i l l a n c e

S i t o u t c e l a e s t b i z a r r e ,

c ’ e s t p a r c e q u e n o u s

p a r l o n s i c i d e c e q u i e s t

a u f u t u r

E c r i v a i n e n H e r b e :

U n e n o u v e l l e d e

K . A . L o g a n ( 3 è m e )

P a g e 3 A n n é e 1 , n ° 1 Z e J o u r n a l

Légende accompagnant l'illustration.

L’assistant perçoit 1600€ puis quand il

est confirmé, il peut gagner jusqu’à

4000€ par mois. Mais ces sommes ne

sont pas celles que touchent les stars

comme Karl Lagerfeld (voir photo ci-

contre). C’est l’un des meilleurs sty-

listes contemporains ! En tout cas, l’un

c’est l’un des plus médiatiques. Il fait

l’événement pendant et en dehors des

défilés de mode. Né en Allemagne, il y

a longtemps qu’il vit en France et qu’il

adore Paris. Nous aimons la mode,

mais devons aussi nous souvenir que

« l’habit ne fait pas le moine » ! Et

vous, quel est votre look préféré ?

Lola, Selma.

Le look, la mode, l’apparence, la fa-

çon de s’habiller sont importants.

Zoom sur un métier artistique parti-

culier :

Le métier de

Styliste

Etre styliste, c’est créer des vêtements

pour les mannequins ou les stars ! Il

faut avoir beaucoup d’imagination,

savoir dessiner !

Le ou la styliste dessine d’abord, fait

plein de croquis, puis il réalise des

coupes sur des tissus et là, le produit

nouveau est né !

LES CONTRAINTES : Les stylistes doi-

vent faire attention au coût de leurs

réalisations, aux attentes du public,

aux saisons !

ON GAGNE COMBIEN dans ce métier ?

Ze Journal

L e c o i n d e s m é t i e r s

RETROUVEZ-NOUS AUSSI SUR LA

PAGE FACEBBOOK DU CDI DU

COLLÈGE LA VALLÉE VERTE EN

TAPANT : BOBBY AU CDI

Karl Lagerfeld, Source Deposit Photos

—————————————

La rédaction de Ze Journal :

Directeur de la publication : M. Munier

Comité de rédaction : Romain, Josué, Ivan,

Evann , Guilhem, Selma , Lola, Océane, Aurore

Dessinateur : Watsons

Dessin de solidarité avec Paris : Morgane P.

Maquettiste : Eugène Ebodé

Les Caricatures de Watsons

Page 4

Expression du trimestre :

Carpe diem !