Année 2 N° 3 Le Petit Amançois · 2020-01-21 · CORNU Gabriel FEVRE Charly Elle est partieElle...
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tous les vôtres satisfaction et succès.
L’année 2006 a été consacrée à la finalisation d’un pro-
jet important qui augmente considérablement le patri-
moine de notre commune et en préparer deux autres qui
seront réalisés en 2007, avec pour objectifs regrouper
les arrêts bus, sécuriser la traverser du village et dynami-
ser notre petit village.
A l’aube de cette nouvelle année, le
maire et son conseil municipal vous
présentent leurs meilleurs vœux de bonheur et de santé.
Puisse cette année vous apporter généreusement ainsi qu’à
Le mot du Maire
La vie de la commune
D urant l’année 2006, que de projets, image d’un réel dyna-misme au sein de notre commune.
Le 13 juillet je me suis rendu chez Maître CALLAY afin de si-gner l’acte de vente de la nouvelle forêt. Ce qui porte notre patri-moine forestier à 441 hectares. Il a fallu pour cela recourir à l’emprunt, ce qui est tout à fait logique puisque ce sont les géné-rations futures qui profiteront de ce patrimoine. Afin de donner un nouveau souffle à notre petite commune de 245 âmes, un nouveau lotissement, baptisé « La Chapelle » va prochainement sortir de terre, sur la parcelle « Lieudit de L’Etang ». Situé au nord de la propriété de Monsieur DA COSTA Jacques, le Lotisse-ment « La Chapelle » se trouve à 500 mètres du cœur de notre village. Acheté par notre commune en octobre 2002, le terrain est issu du remembrement de 1984. La majeure partie de la parcelle appartenait à Monsieur FEVRE Michel. Un nouveau bor-nage a eu lieu en 2005.
Le présent lotissement comprend 10 lots strictement réservés à la construction à usage d’habitation. Un lot est réservé à la voirie intérieure. Les lots nommés 12, 13, 14 et 15 sont desti-nés aux espaces verts.
La « demande d’autorisation de lotir » a été déposée auprès de la Direction Départementale d’Equipement de l’Aube le 12 juillet 2006.
La « notification du délai d’instruction » du projet a été commu-niquée par le Directeur Départemental le 29 août 2006. Après cette date, le délai maximum d’instruction de la demande est fixé par le Code de l’Urbanisme à 3 mois. Le permis de lotir a été récemment reçu en mairie, le 25 octobre 2006. Tout vient à point qui sait attendre.
Depuis plusieurs années, vous et moi avons constaté une accélération du trafic routier au sein de notre commune, desservie par la Route Départementale 443. En effet, des chauf-fards peu scrupuleux traversent notre village à folle allure , sans se soucier de mettre en danger la vie de nos enfants. La Munici-palité a donc décidé de réagir en votant à l’unanimité des tra-vaux de Sécurisation et d’aménagements afin de minimiser les risques de la circulation routière.
Malgré l’aide financière de l’Etat et du Conseil Général de l’Aube, il a fallu faire des choix. Vu l’ampleur des travaux, il s’a-vère impossible de sécuriser l’ensemble du village en une seule fois. Le projet de sécurisation doit s’étaler sur une période assez longue. La Municipalité a pris le parti de diviser les travaux par tronçons. Pour l’année 2006-2007, le choix s’est porté sur les travaux d’aménagements et de sécurisation face à la Mai-rie/Ecole,et à l’entrée sud du village, face au Lotissement « La Chapelle ».
PLAN DES AMENAGEMENTS FACE A LA MAIRIE/ECOLE :
Pour réaliser ces deux projets, il a été nécessaire de multi-plier les démarches administratives, et de s’armer de pa-tience. Voici en quelques mots au sujet des principales éta-pes de l’élaboration des projets :
� Choix du maître d’œuvre : la maîtrise d’œuvre des deux pro-
jets a été confiée à la D.D.E. de Bar-Sur-Aube.
� Appel à candidatures : Avis d’appel public à la concurrence
entre le 13 juillet et le 5 septembre 2006.
� La séance d’ouverture des plis a eu lieu le 7 septembre
2006. La Commission d’Appel d’Offres d’Amance, en présence
de Monsieur GREGOIRE Francis, représentant de la D.D.E. de
Bar-sur-Aube, et de Madame PIRES Isabelle, Comptable de la
Trésorerie de Vendeuvre, a procédé à l’ouverture des plis. Huit
entreprises ont sollicité un dossier auprès de la D.D.E. Quatre
d’entre-elles ont déposé une offre en mairie : SCREG EST,
ROUSSEY, GUERITTE, et MERLATEAU.
� Choix de l’entreprise : La Commission d’Appel d’offre a rete-
nu la candidature de la Société GUERITTE, implantée à VILLE-
SUR-TERRE. Par ailleurs, la Commission a retenu comme coor-
dinateur de Sécurité et de Protection de la Santé, NORISKO
COORDINATION, basé à Troyes. Ces choix ont été approuvés
en Conseil Municipal lors de la séance du 15 septembre
2006.
� Le 27 octobre 2006 s’est déroulée à la mairie la première réunion de chantier « préalable à l’ouverture du chantier ». Etaient présents Monsieur GUERITTE, Monsieur ROUGEAUX, coordinateur, Monsieur GLENTZLIN, représentant du S.D.D.E.A., Monsieur BEDEL du S.D.E.A., Monsieur TRICHOT de G.D.F. Sous la direction de messieurs LAMY et DEBRENNE, a
Bulletin d’informations Locales Janvier 2007 Janvier 2007 Janvier 2007 Janvier 2007
Année 2 N° 3 Le Petit Amançois Bulletin d’informations locales
E n 1244, Eudes de Broyes, chevalier, qui était en partie seigneur de Ven-
deuvre, à cause de sa mère, Eude ou
Odette de Vendeuvre, vendit à son beau-
frère, Girard de Durnay, tout ce qu’il avait
à Vendeuvre, à Amance, à la Ville-aux-
Bois, au Val-Suzenay et autres lieux voi-
sins. En 1323, Mile X de Noyers, maréchal
de France, seigneur de Vendeuvre en
partie, acheta la part de Robert Grancey,
sire de Larrey, qui provenait de la famille
de Durnay, et notamment ce qu’il avait à
la Ville-aux-Bois. Nous voyons ces terres
vers 1380 et encore en 1387, en la pos-
session de Marguerite de Melun, dame
douairière, veuve de Jean I de Noyers,
comte de Joigny fils de Mile X, qui avait
épousé en secondes noces, Robert de
Fiennes, amiral de France.
Une partie de cette terre a été possédée
, avec Arsonval et Montier-en-l’Ile, avant
1361, par Hugue de Vienne, Sire de Com-
O n a vu dans l e der-
nier bulletin que
par suite de cer-
tains dons, le
prieré de Vendeuvre avait au moins une
partie de la seigneurie dès le VIIe siècle. Il
y eut aussi des seigneurs laïques ; ceux
de Vendeuvre. En 1244, Eudes de Broyes,
sire de Vendeuvre, par sa mère Odette de
Vendeuvre, vendit à son beau-frère Girard
de Durnay tout ce qu’il avait à Vendeuvre
et en la châtellerie, notamment à
Amance. En 1387, Jeanne de Melun,
veuve de Jean Ier sire de Noyers, se di-
sait dame douairière de Vendeuvre et
d’Amance. Son fil Jean II de noyers qui lui
Elle nous a quittéElle nous a quittéElle nous a quittéElle nous a quitté Mme Geneviève PIERRAT Ils sont nés cette annéeIls sont nés cette annéeIls sont nés cette annéeIls sont nés cette année
Hausberger Noémie BERTHE kylian CORNU Gabriel FEVRE Charly Elle est partieElle est partieElle est partieElle est partie
Collin Simone Ils sont arrivésIls sont arrivésIls sont arrivésIls sont arrivés
COLLIN Robert, FABUREAU Corinne, NIEPS Nicoch, FABUREAU Chloé
La Ville au Bois Seigneurie
Un peu d’histoire
munailles (Jura), qui les vendit à sa tante
Margueritte d’Arc, veuve d’Erard II de
Jaucourt. Après la mort de Pierre III de
Jaucourt, fil de la dite Margueritte, c’est-à-
dire entre 1355 et 1369. Margueritte
d’Arc survécut à son fil et à son petit fils
et ne mourut qu’en 1380 ; néanmoins, en
1369 elle fit partage avec Gautier IV, sire
d’Arzillière, héritier en partie du dernier
Jaucourt. Gautier eut dans son lot, Mon-
tier-en-l’Ile et la Ville-au-bois, mais Mar-
gueritte s’était réservé l’usufruit. Ensuite,
vers 1380 et en 1387, le nom d’alips de
« Maalay » aussi dame du Val-Suzenay,
femme de philippe du Paillier, ,écuyer, à
laquelle succéda Jean de « Maissey » qui
demeurait à Amance. Ce dernier avait à la
Ville-au-Bois ; justice et seigneurie haute,
moyenne et basse, 4 maignies d’hommes,
censives, four banal, terrages.
En 1535, le seigneur était Jacques de
Rochetaillée, écuyer. En 1567, Nicolas de
Rochetaillée, Nicolas II, et Evandeline Le
Gruyer, sa femme, qui demeuraient à la
Ville-au-Bois, n’avaient pas d’enfant et ils
se firent une donation mutuelle. C’est
sans doute ce même Nicolas qui était
seigneur en 1590. La terre échut à la
famille de Pons par suite d’alliance avec
la famille Le Gruyer.
1603, 1626, Gaspar I de Pons, Sei-
gneur de Rennepont, marié en 1590 à
Nicole Le Gruyer, fille d’Alexandre, sei-
gneur de Fontaine-lez-Bar-sur-Aube et de
Claude de « Luts ». 1656 Gaspprd II de
Pons, leur fils, mari d’Anne de Combles,
commandant le régiment de Sautour. Dès
1670, il avait cédé la Ville-au-Bois à ses
neveux et nièces de Mertrus et de Pons
de Rennepont. Sa sœur Claude avait
épousé Claude V de Mertrus, seigneur de
Saint-Ouen. 1688,1700, Antoine de Mer-
trus, seigneur d’Amance, mari de Margue-
ritte-Alexandrine de Nogent, ). Fils des
été élaborée une présentation des tra-vaux.
� La prochaine étape est la signature de
« l’Ordre de services » par la D.D.E. et la
Société GUERITTE, concrétisant le début
des travaux.
Toutefois la saison hivernale et les
congés de fin d’année vont avoir pour
effet de retarder le début des travaux.
Leur réalisation viendra quelque peu per-
turber l’organisation interne de notre
village. Par exemple, l’accès à l’école
maternelle sera temporairement modifiée
durant la démolition du mur et des grilles.
Durant ladite période, les élèves emprun-
terons la propriété de Madame HUOT
Anne-Marie avec son accord afin de re-
joindre l’arrêt de bus
Elections, dates à retenir Elections, dates à retenir Elections, dates à retenir Elections, dates à retenir : �Présidentielles le 22-04-2007 et 06-05-2005 �Législatives le 10-06-2007 et le 17-06-2007
Etat CivilEtat CivilEtat CivilEtat Civil
Les seigneurs de Vendeuvre. Quelques vassaux XIVè. Les derniers seigneurs
Le prieuré de Vendeu-
vre a affranchi de la
mainmorte ses hom-
mes d’Amance
succéda en 1399, et qui se disait aussi
seigneur d’Amancea en 1402, eut à se
défendre, en présence de contestations
soulevées par le prieur. L’affaire, qui avait
été portée au parlement, fut réglée le 28
novembre 1407 ; toute justice fut recon-
nue au prieur en la terre d’Amance sauf à
payer les redevances dues au seigneur de
Vendeuvre. C’est en cette qualité que le
prieur affranchit ses hommes d’Amance
en 1488 <<ainsi qu’il résulte d’un juge-
ment des commissaires du roi, du 2 dé-
cembre 1488. Les habitants ont payé
100 sous tournois, et ont été en consé-
quence déclarés quittes de toutes servitu-
des et autres droits envers le roi, à per-
pétuité>>. La qualité de seigneur lui est
confirmée par un arrêt du Conseil d’Etat
de 1741, relatif aux redevances seigneu-
riales. Cependant, il faut remarquer qu’en
1553, il n’était qualifié que seigneur fon-
cier, et que d’autres part les droits royaux
étaient alors engagés. C’est sans doute au
titre d’engagiste qu’en 1668 et 1686,
Antoine de Mertrus se disait seigneur
d’Amance. En 1729, Pierre Grassio, baron
d’Arcis, déclarait avoir acquis la mairie
royale en 1720 avec la terre de la Ville-
aux-bois, des sieurs et dame de Bouy.
Le titre de seigneur d’Amance était porté
en 1784 par le sieur Béchuat, contrôleur
des bois et domaines de Normandie, et
en 1789 par Guillaume Pavée de Proven-
chères, seigneur de Vendeuvre.>>
Amance seigneurie
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Année 2 N° 3 Page 2 Le Petit Amançois
griculture. De plus, pour être et res-
ter « éleveur familial », nous devons
nous conformer à la « Charte de l’éle-
vage familial ».
Oû vont les Burmeses nés à Amance ?
Partout en France, les acquéreurs
peuvent aussi être Anglais, Luxem-
bourgeois, Portugais, Australiens ou
Néozélandais, certains d’entre eux
vivant en France. Nombre d’entre-eux
sont partis chez d’autres éleveurs.
Les plus éloignés sont en Afrique de
Sud, à Seattle (USA) et à la Guade-
loupe. Tous ces chats à pedigree s’ap-
pellent « du Paty d’Amance ».
Presque 25 ans et toujours autant
d’enthousiasme !
Et la retraite m’a aussi permis de
m’orienter vers diverses activités de
bénévolat, parmi lesquelles avec la
MSA de Troyes, l’animation d’ateliers
du « Bien Vieillir » (Actuellement aux
Grandes Chapelles) et d’ateliers
« mémoire » sur le département.
E leveuse de chats ? Eh oui. Et ce depuis presque 25 ans. Et de
quelle race ? Une très peu connue : le
Burmese. Qu’es aco ? Une race orien-
tale, originaire de Birmanie (actuel
MYANMAR). Une sorte de chat-
chien, qui vous suit partout, arrive en
courant dès qu’on l’appelle, vous rap-
porte sa balle pour continuer à jouer
quand vous la relancez …, et j’en
passe. A quoi ressemble-t-il ? Une
silhouette svelte, élancée, une tête
triangulaire des yeux jaunes (du
« grain de raisin » au jaune le plus
doré) une robe d’un seul ton en dé-
gradé (sauf les « écailles de tor-
tue »). Il en existe de plusieurs cou-
leurs :brun, chocolat, bleu, lilas, roux
très pastel et crème.
Dans les années trente, un médecin
de la marine américaine en rapporte
une, Won Mau, de la ville de BURMA .
C’est l’ancêtre de tous les burmeses
occidentaux. En 1945, une éleveuse
anglaise en importe des Etats-Unis,
puis de Birmanie. En 1949, ils arrivent
en France.
En 1982, j’en ai acquis une, comme
chat de compagnie. Il était prévu
qu’elle soit stérilisée après une pre-
mière portée. Mais j’avais mis le doigt
dans l’engrenage, et j’ai choisi d’en
élever. Ce qui dure encore.
Dans les années 2000, l’activité s’est
vue encadrée légalement. Il nous a
été attribué un numéro de Siret,
nous devons avoir un « certificat de
capacité », le DDSV nous contrôle et
nous dépendons du Ministère de l’A-
Portrait Marie Thérèse NEYROLLES
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-Pas de retraite pour la fourchette,
-Les 5 sens en éveil, gardez l’équilibre,
-Faites de vieux os
-Dormir quand on n’a plus vingt ans,
-Le médicament, un produit par comme
les autres,
Pour tout renseignement et inscription,
contacter Mmes BOURGEOIS (03 25 43
54 41) et VERHAEGEN (03 25 43 54 48)
ou,NEYROLLES Marie-Thérèse à Amance
(03 25 41 47 33)
précédents, Mertrus, seigneur de Saint-
Ouen. 1688,1700, Antoine de Mertrus,
seigneur d’Amance, mari de Margueritte-
Alexandrine de Nogent, ). Fils des précé-
dents, marié en 1627 à Louise du Grez
et mort en 1700, inhumé à la Ville-au-
Bois (pierre tombale. En même temps
que le dit Antoine, dès 1669 et encore
en 1715, son frère Claude VI ou Claude-
Louis de Mertrus, qui demeurait en 1702
à la Villle-au-Bois, où sa femme Elisa-
beth-Hyacinthe de Beurville, fit son testa-
ment.
Il vendit en 1715 au suivant. 1715-
1729, Paul de Bouy, chevalier, seigneur
de Bouquain, du Cluzeau, de Chasseigne
et de Jars. Il vendit au suivant. 1729-
1754, Pierre Grassin, baron d’Arcis et de
Dienville. 1754-1756, Edme-François-
Marcel de Bossancourt, mousquetaire du
roi et ses soeurs, qui avaient acquis du
précédent. ; 1762, Jean-Jacques Prieur,
seigneur du Verger, avocat en parlement.
–1773,1776, Pierre Beugon, » Contrô-
leur des guerres, demeurant à Troyes, et
sa femme, Catherine-Françoise « Turrin
ils étaient cessionnaires des droits de
leurs cohéritiers en la succession d’An-
toine « Turrin », en son vivant demeurant
à Vendeuvre. Françoise « Thurrin » était
la fille de Jacques « Thurrin » marchand à
Troyes. En 1790, le sieur Turin, ancien
seigneur avait 181 arpents de bois et
une ferme.
La MSA Champagne organise une action
de prévention santé intitulée « les ateliers
du bien vieillir ». C e cycle de six ateliers
s’adresse aux personnes de 50 ans et
plus, constituée en groupe de 15 person-
nes maximum et a pour objectif de situer
ses comportements actuels et d’acquérir
de nouveaux réflexes pour rester en
bonne santé ai quotidien. Animés par des
personnes formées à la méthode, s’ap-
puyant sur des documents audiovisuels,
ces séances comprennent 6 thèmes :
-Bien dans son corps, bien dans sa tête,
mum de sécurité. Régulièrement, un exer-cice d’évacuation est organisé avec le concours du Conseil Général et des pom-piers.
Cette année s’est terminée par le tradi-tionnel repas des aînés et une distribution de cadeaux pour les enfants.
Les rendez-vous premier semestre 2007 :
Soirée raclette, vide grenier , soirée bar-becue le 13 juillet au soir.
Tous les membres du Syndicat d’Initiative vous présentent leurs meilleurs vœux pour cette nouvelle année.
L ’activité forestière est repartie avec en septembre la vente d’automne des coupes de l’exercice 2006. Très bonne vente avec une hausse importante de 15 à 20% sur le prix au mètre cube du chêne. La commune proposait 3 coupes qui ont étés vendues :
- Parcelle 14 pour 205 m3 aux établisse-ments MARCHAND pour 21032 €
- Parcelle 17 pour 245 m3 aux établisse-ments DEVREAKER pour 53760€
- Parcelle 38 pour 249 m3 aux établisse-ments MENDOZA pour 23402€
Soit un total pour 2006 de 98194€
A la date du 30 novembre 2006 la par-celle 14 a déjà été abattue, débardée et les grumes enlevées
La chasse a repris également sur les 4 lots de la forêt communale avec pour l’instant une baisse de prélèvement de sangliers sur le massif malgré une pré-sence très importante d’animaux sur les exondés du lac en réserve naturelle
: plus de 500 sangliers sur 500 hectares. Malgré cette tendance la glandée impor-tante de cet automne semble avoir été totalement consommée, à suivre au prin-temps avec la germination.
Les jours de chasse concernent le sa-medi et dimanche jusqu’à la fin de l’an-née 2006 et le dimanche et lundi jusqu’à fin février nous vous demandons d’être très vigilant lors de vos sorties en forêt;
Les travaux : ATTENTION au réseau rou-tier qui se dégrade à nouveau des travaux seront entrepris cet hiver sur la zone la plus dangereuse.
Des travaux d’exploitation de feuillus précieux ont étés effectués par les bûche-rons de l’ONF, il y a eu 27 mètres cubes de merisiers de récoltés sur quatre par-celles de la forêt. Ces arbres étaient pour la grande majorité très âgés et bien sou-vent abîmés au pied. Ils seront transpor-tés jusqu’à la place de dépôt domaniale de CLAIVAUX pour la vente ; nous espé-rons bien sur en tirer un bon prix
Le martelage : les coupes a vendre pour l’exercice 2007 sont la parcelle 30 en définitive sur régénération et les parcelle 1 et 7 de la nouvelle forêt de CHAMP-MOUTOT. Ces trois parcelles seront mar-telées au printemps 2007 et pour l’ins-tant font l’objet d’ouverture de cloisonne-ments de débardage par l’agent forestier avec repérage des feuillus précieux et des brins d’avenir.
Les affouages : nous avons commencé à recueillir les demandes d’inscription et de réalisation ; en ce qui concerne la dis-tribution des coupes affouagères, celles-ci auront lieu au fur et à mesure du mar-quage par la commission des bois
Bonnes fêtes de fin d’année à tou-tes et tous;
PARLONS FORET Philippe DULOU
En 1978, les communes de Jessains, Trannes et Bossancourt ont décidé d’unir leurs efforts pour maintenir une éc ole dans chaque village. Pourt ce faire, elles se sont constituées en Syndicat Interco-munal, qui sera présidé par Mr James Gauthier avec pour vice-présidents les maires des autres communes.
Au tout début, il s’agissait de transporter les élèves de leur domicile aux écoles ; un véhicule a été acheté et un chauffeur recruté pour accomplir cette tâche. Cette gestion du transport en régie permet aus-si d’organiser facilement les sorties scolai-res, aussi bien pour l’apprentissage de la natation à la piscine que pour les sorties à caractère culturel (bibliothèque, théâtre, cinéma…) ou encore pour les voyages de fin d’année.
En 1983, pour pallier à l’insuffisance des effectifs, il a été décidé de transformer la classe enfantine de Trannes en vraie ma-ternelle de recruter, pour aider l’institu-trice, un agent spécialisé des écoles ma-ternelles (ATSEM) ; Cette mesure accom-pagnée d’autres, (création d’un lotisse-ment dans chaque village), a permis, les années suivantes, d’augmenter considé-rablement le nombre d’élèves dans les trois écoles.
La coopération a franchi également une
étape avec la signature d’un contrat avec Guiguet André, qui effectue les tâches communales. (Ne concerne que les com-munes de Bossancourt, Jessains, Tran-nes).
Année scolaire 1997-1998 Amance re-joint le RPI (uniquement pour la compé-tence scolaire) , ce qui a permis d’aug-menter encore les effectifs et de procé-der à la réouverture d’une classe de Grande-Séction CP dans notre commune. En 2001, démission de l’atsem et créa-tion de 2 postes, Amance devient mater-nelle plus CP. Année scolaire 2003-2004, ,les effectifs de plus en plus importants, permettent au RPI d’ouvrir une seconde classe à Jessains. Trannes reste mater-nelle , Amance devient maternelle, Bos-sancourt reste CE, Jessains CP ET CM.
En résumé, le SIRP gère l’ensemble des dépenses relatives aux enfants, scolarisés dans les 5 classes, les communes gèrent leurs bâtiments, le transport scolaire est pris en charge à 100% par le Conseil Gé-néral.
L’exploitation du car en régie et une dota-tion aux amortissements, permet de le changer tous les 6 ans. Le premier était un tub Citroën, maintenant, c’est un su-perbe véhicule de 55 places dans lequel les enfants sont transportés avec le maxi-
SIRP (Syndicat intercommunal de regroupement pédagogique) Président James Gauthier maire de Jessains
Syndicat d’initiativeSyndicat d’initiativeSyndicat d’initiativeSyndicat d’initiative
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