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Dimanche de la Trinité

Lecture du livre de l'Exode (Ex 34, ab-6.8-9)

Moïse se leva de bon matin, et il gravit la montagne du

Sinaï comme le Seigneur le lui avait ordonné. Le Seigneur

descendit dans la nuée et vint se placer auprès de

Moïse. Il proclama lui-même son nom ; il passa devant

Moïse et proclama : « Yahvé, le Seigneur, Dieu tendre et

miséricordieux, lent à la colère, plein d’amour et de

fidélité. » Aussitôt, Moïse se prosterna jusqu’à terre, et il

dit : «S’il est vrai, Seigneur, que j’ai trouvé grâce devant

toi, daigne marcher au milieu de nous. Oui, c’est un

peuple à la tête dure ; mais tu pardonneras nos fautes et nos péchés, et tu feras de nous un

peuple qui t’appartienne. »

Dimanche 19 juin - Sainte Trinité (sol.) 17h30 Vêpres solennelles suivies à 18h30 de la Messe en grégorien de la Communauté Saint-Martin à la Basilique. Baptêmes d'Antoine MASQUELIER et Louca FLORIO.

Lundi 20 juin - Férie.

Mardi 21 juin - Saint Louis de Gonzague (mém.). Messe à 9h00 à Sainte-Bernadette. 14h15 Réunion du groupe de prière des mères de famille au plateau Notre-Dame. La réunion du groupe biblique à Sainte-Bernadette est reportée au mercredi.

Mercredi 22 juin - Férie. 15h30 Réunion du groupe biblique à Sainte-Bernadette.

Jeudi 23 juin - Férie.

Vendredi 24 juin - Nativité de Saint Jean-Baptiste (sol.). 15h00 Chape-let de la Miséricorde à Boulouris. Pas de Messe de 18h00 à Notre-Dame de la Paix et Sainte-Bernadette

Samedi 25 juin - Férie. Pas de Messe anticipée de 18h00 à Bou-louris.Mariage de M. Stéphane BUSSA et Melle Marie DONNEVE.Mariage de M. Joseph DIOP et Melle Julie DIXIUS.Baptême de Lucas COMBE.

Dimanche 26 juin - Saint Sacrement (sol.) 9h30 Messe et Pro-cession à l'occasion de la fête patronale de Boulouris. 17h00 Procession de la Fête-Dieu à Notre-Dame de la Victoire suivie à 17h45 Vêpres et Salut du Saint-Sacrement et à 18h30 de la Messe en grégorien de la Communauté Saint-Martin à la Basilique. Baptêmes de Faustine GAC et Stella PEIRONE

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«Dieu révèle son nom »par Don Bruno Attuyt, Curé.

Les exégètes ont identifié comme source du livre de l’Exode trois traditions littéraires. La tradition dite élohiste qui souligne le rôle de conscience nationale que joue pour Israël le nom de Dieu, la tradition sacerdotale qui manifeste les exigences d’obéissance et de sainteté que réclame la révélation de Dieu et enfin, celle qui concerne notre passage, la tradition yahviste qui s’inscrit dans la perspective des rapports intimes entre Dieu et son peuple.

C’est à la lumière de la tradition yahviste que nous pouvons relever les aspects importants de ce texte. Tout d’abord il nous

faut constater le double mouvement, ascendant pour Moïse et descendant pour Dieu, qui permet la présence du Seigneur

aux côtés de Moïse. Même si l’initiative appartient toujours au Seigneur, la proximité de l’homme et

de Dieu résulte d’une synergie. Dieu descend vers l’homme par la nuée dont on sait qu’elle

prophétise l’Esprit saint qu’un jour le peuple recevra (la Pentecôte), et l’homme monte vers Dieu par sa recherche et son cheminement vers les réalités d’en haut

que symbolisent le départ de bon matin et l’ascension sur la montagne. La rencontre entre

Dieu et l’homme n’est pas unilatérale. Le Seigneur ne rencontre que ceux qui veulent le rencontrer, Il

ne nous tombe pas dessus comme une pluie d’orage un après-midi du mois d’août.

« Yahvé proclama lui-même son nom ». Selon la tradition sémite, nommer ou dire le nom de quelqu’un c’est atteindre sa nature, sa personne, c’est créer un lien de dépendance. Dieu est insaisissable et ne dépend de personne ni de rien, c’est pourquoi c’est lui qui donne son nom. En livrant son nom il n’abdique pas de sa liberté mais il révèle son mystère et y attache une promesse, sa fidélité à l’égard de son peuple. « Tendre, miséricordieux, lent à la colère » sont, certes, des anthropomorphismes mais des anthropomorphismes prophétiques au regard du Christ qui amènera à sa plénitude la révélation du Nom de Dieu nous montrant par sa vie au milieu des hommes ce qu’est la tendresse, la miséricorde et la patience de Dieu.

« Aussitôt, Moïse se prosterna ». L’effet immédiat de la révélation du Nom et de la bonté divine, c’est l’adoration et la prière au sein desquelles Moïse demande à Dieu l’Alliance : « marche au milieu de nous ». C’est là le sens profond de toute prière. Non pas obtenir quelques privilèges particuliers mais être toujours en alliance avec le Seigneur en reconnaissant dans l’aveu et le pardon des péchés la volonté d’être de ceux qui lui appartiennent.

Nous recommandons à votre prière nos frères défunts :

à Notre-Dame de la Victoire : M. François CAMILLERIM. Emilien VALETTE

à Notre-Dame de la Paix : M. Jean FRANCO

Sauf indication contraire, les messes du dimanche et de la semaine sont aux heures indiquées sur les feuillets disponibles à l’église.

Publication des bans Il y a projet de mariage entre :

M. Gauthier JAYER et Melle Elodie LECOCQ le 9 juillet 2011 à Notre-Dame de la Victoire

à Saint-RaphaëlM. Sébastien CARUSO et Melle Corinne MOLDÈS

le 9 juillet 2011 à Tous les Saints à Saint-Raphaël

Ordination sacerdotale de Don Ignace

Le samedi 25 juin à la Basilique N.-D. de la Trinité de Blois

Un car est organisé pour entourer notre diacre qui va devenir prêtre.

Départ le vendredi 24 juin à 9h00 pour Blois.

Logement à l'hôtellerie de la Basilique N.-D. de la Trinité. Retour le dimanche 26 juin au soir.

Prix du voyage : 128€ (chambre double) ; inscriptions au presbytère de la Victoire. Un acompte de 50 € est demandé. Places limitées. Familles nous contacter.

Si vous souhaitez participer au cadeau qui lui sera fait, merci de déposer vos dons au presbytère de la Victoire.

Ordination sacerdotale de Don Ignace

(voir page 4)

Prière de la semaine

Ô mon Dieu, Trinité que j'adore,aidez-moi à m'oublier entièrement pour m'établir en

vous,immobile et paisible,comme si déjà mon âme était dans l'éternité !

Que rien ne puisse troubler ma paix ni me faire sortir de vous, ô mon immuable, mais que chaque minute m'emporte

plus loin dans la profondeur de votre mystère !...

Ô Verbe éternel, Parole de mon Dieu, je veux passer ma vie à vous écouter, je veux me faire toute enseignable

afin d'apprendre tout de vous ...

Ô Feu consumant, Esprit d'amour,survenez en moi afin qu'il se fasse en mon âme comme

une incarnation du Verbe ...

Et vous, ô Père, penchez-vous vers votre pauvre petite créature, couvrez-là de votre ombre ...

Ô mes Trois, mon tout, ma béatitude,solitude infinie, immensité où je me perds, je me livre à

vous comme une proie; ensevelissez-vous en moi, pour que je m'ensevelisse en vous, en attendant d'aller contempler

en votre lumière, l'abîme de vos grandeurs.

Elisabeth de la Trinité

L’Entraide paroissiale de Saint-Raphaëlse propose de porter assistance

aux personnes de la ville en difficulté

Ses membres assurent un ACCUEIL chaque mardi de 9h30 à 11h00 dans les salles de Notre-

Dame-de-la-Paix

Fête patronale de Saint Jean-Baptiste à

Boulouris(voir page 4)

Fête patronale de Saint Jean-Baptiste à Boulouris

Samedi 25 juin : 20h30 arrivée du Saint au port de Boulouris

Dimanche 26 juin : 9h30 messe et procession Bénédiction de la souche et danses traditionnelles

Attention : En raison des festivités, pas de Messe anticipée de 18h00 à Boulouris

L'entraide paroisiale de Saint-Raphaël

(voir page 4)

Agenda de la semaine

Confirmation des enfants de l'Institut Stanislas et des paroisses de Saint-Raphaël

Parvenus au terme de leurs années de catéchisme, qui ne sont rien d'autre que leur instruction initiale de baptisés, soixante-dix enfants de 6ème de nos paroisses ont reçu, des mains de Monseigneur l'Évêque, le sacrement de Confirmation.

Un premier groupe, scolarisé à l'Institut Stanislas, reçut le sacrement le samedi 4 juin, tandis que les enfants catéchisés dans les paroisses le reçurent le dimanche de Pentecôte, 12 juin.

Si le sacrement agit toujours en lui-même, par la puissance du saint-Esprit, il convient que ce Don

de Dieu soit reçu et goûté par une âme bien préparée. C'est pourquoi les enfants ont été

invités à vivre trois jours de retraite, les uns au sanctuaire de la sainte-Baume,

les autres à l'abbaye bénédictine de Jouques. Les uns et les autres ont

dû montrer qu'ils connaissaient suffisamment la foi de leur

baptême pour pouvoir la professer solennellement au moment de leur confirmation. Puis leur

cœur s'est disposé et ouvert à la grâce du Saint-

Esprit par le sacrement de la Confession.

C'est avec beaucoup de ferveur que tous se sont vu imposer les mains et marquer du

saint-Chrême : pénétrés de l'Esprit de Dieu, confirmés dans leur mission de baptisés, ils sont

appelés à vivre dès à présent dans l'âge adulte de la foi et affermis dans leur mission de proclamer au monde entier : Le Christ est Seigneur, il est vraiment ressuscité !

ou Edeltrude. Elle fut quelque temps la plus populaire des saintes anglaises. Native de Suffolk, elle était fille du roi Annas de l’Est Anglie et sœur des saintes Sexburge, Ethelburge et Withburge. Le grand nombre d’églises anglaises qui portaient son nom jadis montre bien combien cette sainte fut populaire en son pays. Elle vécut à l’époque de l’Heptarchie, c’est-à-dire à l’époque où l’Angleterre comprenait sept royaumes : Essex, Sussex, Wessex, Kent, Mercie, Est-Anglie et Northumbrie. Bien qu’Audrey ait désiré garder sa virginité, son père, Anna, roi d’Est-Anglie, ne l’en fit pas moins contracter deux mariages politiquement utiles. Par le premier, elle devint la femme d’un vieillard malade, le prince Tonbert

qui mourut au bout de trois ans. Restée vierge, sainte Audrey pensait entrer en religion, quand on exigea d’elle qu’elle épousa le prince Egfried, fils du roi de

Northumbrie. Ce n’était qu’un enfant. Quand il fut pubère, il voulut user de ses droits conjugaux, mais la future reine

prit la fuite et se retira dans l’abbaye de Cuningham. Egfried ne poursuivit pas son projet pour trouver femme mieux à sa convenance. Elle prit le voile à Coldingham, sous sainte Ebbe. Elle put alors fonder l’abbaye d’Ely, puis passa à Ely, où elle devint abbesse du double monastère. Dans cette riche maison, royalement dotée, elle mena une vie extrêmement simple et d’une grande sainteté, chantant la louange de Dieu tout à loisir durant des nuits entières.Sa dépouille mortelle demeura intacte ; sa main est toujours conservée à l’église catholique d’Ely. Elle est représentée comme abbesse, portant une couronne et tenant un rameau en fleurs ou un lys. Elle meurt en 679.

Sainte Audrey Fête le 23 juin

Messe de la Pentecôte : Homélie de Benoît XVI

Chers frères et sœurs !

Nous célébrons aujourd’hui la grande solennité de la Pentecôte. Si, en un certain sens, toutes les solennités liturgiques de l’Église sont grandes, celle de la Pentecôte l’est d’une manière particulière, parce qu’elle marque, au bout de cinquante jours, l’accomplissement de l’événement de la Pâque, de la mort et de la résurrection du Seigneur Jésus, à travers le don de l’Esprit du Ressuscité. (…)

L’Église a revécu ainsi ce qui est advenu à ses origines, lorsque les Apôtres, réunis au Cénacle de Jérusalem, « étaient assidus à la prière avec quelques femmes, dont Marie mère de Jésus, et avec ses frères » (Ac 1, 14). Ils étaient réunis dans l’attente humble et confiante que s’accomplisse la promesse du Père qui leur avait été communiquée par Jésus : « C’est dans l’Esprit Saint que vous serez baptisés sous peu de jours... vous allez recevoir une force, celle de l’Esprit Saint qui descendra sur vous » (Ac 1, 5.8).

L’Esprit Saint est Celui qui nous fait reconnaître en Christ le Seigneur, et nous fait prononcer la profession de foi de l’Église : « Jésus est Seigneur ». « Seigneur » est le titre attribué à Dieu dans l’Ancien Testament, titre qui dans la lecture de la Bible prenait la place de son nom imprononçable. Le Credo de l’Église n’est rien d’autre que le développement de ce qui est dit à travers cette simple affirmation : « Jésus est Seigneur ». (…) Si nous voulons être dans l’Esprit Saint, nous devons adhérer à ce Credo. En le faisant nôtre, nous accédons à l’œuvre de l’Esprit Saint.

L’expression « Jésus est Seigneur » peut se lire dans les deux sens. Elle signifie : Jésus est Dieu, et dans le même temps : Dieu est Jésus. L’Esprit Saint éclaire cette réciprocité : Jésus a une dignité divine et Dieu a le visage humain de Jésus. Dieu se montre en Jésus et il nous donne ainsi la vérité sur nous-mêmes.

Se laisser éclairer en profondeur par cette parole, tel est l’événement de la Pentecôte. En récitant le Credo, nous entrons dans le mystère de la première Pentecôte : après le désordre de Babel, de ces voix qui crient l’une contre l’autre, a lieu une transformation radicale : la multiplicité

se fait unité multiforme, à travers le pouvoir unificateur de la Vérité grandit la compréhension. Dans le Credo qui nous unit de tous les coins de la Terre, se forme la nouvelle communauté de l’Église de Dieu.

Le passage évangélique nous offre ensuite une merveilleuse image pour éclairer le lien entre Jésus, l’Esprit Saint et le Père : l’Esprit Saint est représenté comme le souffle de Jésus-Christ ressuscité (cf. Jn 20, 22). L’évangéliste Jean reprend ici une image du récit de la création, là où il est dit que Dieu souffla dans les narines de l’homme une haleine de vie (cf Gn 2, 7). Le souffle de Dieu est vie.

Aujourd'hui, le Seigneur souffle dans notre âme la nouvelle haleine de vie, l’Esprit Saint, son essence la plus intime. À travers le baptême et la confirmation ce don nous est fait de manière spécifique, et à travers les sacrements de l’Eucharistie et de la pénitence, il se répète c o n t i n u e l l e m e n t : le Seigneur souffle dans notre âme une haleine de vie. Tous les sacrements, chacun à sa manière, communiquent à l’homme la vie divine, grâce à l’Esprit Saint qui œuvre en eux.

Dans la liturgie d’aujourd’hui nous saisissons encore un lien supplémentaire : l’Esprit Saint anime l’Église. Elle ne dérive pas de la volonté humaine, de la réflexion, de l’habileté de l’homme ou de sa grande capacité d’organisation, car s’il en était ainsi, elle se serait déjà éteinte depuis longtemps, comme toute chose humaine passe. L’Église en revanche est le Corps du Christ, animé par l’Esprit Saint.

Les images du vent et du feu, utilisées par saint Luc pour représenter la venue de l’Esprit saint, rappellent le Sinaï, où Dieu s’est révélé au peuple d’Israël et lui avait concédé son alliance ; « la montagne du Sinaï était toute fumante – lit-on dans le Livre de l’Exode –, parce que le Seigneur y était descendu dans le feu » (19, 18). En effet, Israël fêta le cinquantième jour après Pâques, après la commémoration de la fuite d’Égypte, comme la fête du Sinaï, la fête du Pacte. Quand saint Luc parle de langues de feu pour représenter l'Esprit Saint, on rappelle l'antique Pacte, établi sur la base de la Loi reçue par Israël sur le

Sinaï. Ainsi, l’événement de la Pentecôte est représenté comme un nouveau Sinaï, comme le don d’un nouveau Pacte où l’alliance avec Israël est étendue à tous les peuples de la Terre, où tombent toutes les barrières de l’ancienne Loi et apparaît son cœur le plus saint et immuable, c’est-à-dire l’amour, que l’Esprit Saint justement communique et diffuse, l’amour qui embrasse toute chose.

Dans le même temps, la Loi s’élargit, s’ouvre, tout en devenant plus simple : c’est le Nouveau Pacte, que l’Esprit écrit dans les cœurs de ceux qui croient dans le Christ. L’extension du Pacte à tous les peuples de la Terre est représentée par saint Luc à travers une énumération de populations considérables pour l’époque (cf. Ac 2, 9-11)

À travers une chose très importante nous est ainsi communiquée que l’Église

est catholique dès le premier moment, que son universalité n’est pas le fruit de l’agrégation successive de différentes communautés. Dès le premier instant, en effet, l’Esprit Saint l’a créée

comme l’Église de tous les peuples ; elle embrasse le monde entier, dépasse toutes les frontières de race, de classe, de nation : elle abat toutes les barrières et unit les hommes dans la profession du Dieu un et trine. Dès le début, l’Église est une, catholique et apostolique : c’est sa vraie nature et elle doit être reconnue comme telle. Elle est sainte non pas grâce à la capacité de ses membres, mais parce que Dieu lui-même, avec son Esprit, la crée, la purifie et la sanctifie toujours.

Enfin l’Évangile d’aujourd’hui nous offre cette très belle expression : « Les disciples furent remplis de joie à la vue du Seigneur » (Jn 20, 20). Ces paroles sont profondément humaines. L’Ami perdu est à nouveau présent, et celui qui était jusque-là bouleversé se réjouit. Mais celle-ci nous dit bien davantage. Parce que l’Ami perdu ne vient pas d’un lieu quelconque, mais de la nuit de la mort : et Il l’a traversée ! Il n’est plus un parmi d’autres, mais il est l’Ami et en même temps Celui qui est la Vérité qui fait vivre les hommes ; et ce qu’il donne n’est pas une joie quelconque, mais c’est la joie même, don de l’Esprit saint. Oui, il est bon de vivre parce que je suis aimé, et c’est la Vérité qui m’aime !

Vie des Paroisses

Dès le début, l’Église est une, catholique et apostolique : c’est sa vraie nature et elle doit être reconnue comme telle.

Échos de l'Église universelle