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AG TPE ENTRAIDE. 4 Juin 2013. Contenu. Assemblée générale Les Actualités : quid du régime de l’auto entrepreneur ? Rapport annuel de l’observatoire de la Microfinance www.pme-marketing.org : nouveau site de l’ADETEM Les entreprises en PACA : Tendances régionales Bilan 2012 - PowerPoint PPT Presentation

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RAPPORT ANNUEL DE LOBSERVATOIRE DE LA MICROFINANCE

4 Juin 2013AG TPE ENTRAIDE

ContenuAssemble gnraleLes Actualits : quid du rgime de lauto entrepreneur ?Rapport annuel de lobservatoire de la Microfinancewww.pme-marketing.org : nouveau site de lADETEMLes entreprises en PACA :Tendances rgionales Bilan 2012 Perspectives 2013

L ACTUALITEASSEMBLEE GENERALE 2013Approbation des comptes 2012PostesEurosLivres, documentation (cd APCE)14.50Fournitures diverses de bureau (Toner)0Assurance Responsabilit civile 101.51Frais de tenue de compte10.40Organisation runions120.78Total dpenses247.19Cotisations adhrents330.00Solde de lanneSolde Cumul82.81912.11Budget 2013PostesEurosLivres, documentation0Fournitures diverses de bureau (Toner)0Assurance Responsabilit civile 105.00Frais de tenue de compte10.40Organisation runions150.00Total dpenses265.40Cotisations adhrents150.00Solde de lanneSolde Cumul-115.40796.71L ACTUALITELE DEVENIR DE LAUTO ENTREPRISEA l'heure o la ncessit de dvelopper le sens entrepreneurial chez les Franais le gouvernement s'attaque au rgime des auto-entrepreneurs alors que ce statut est un vrai ssame pour l'exprimentation de l'entreprise. Lors du Salon des entrepreneurs en fvrier 2013, la ministre Fleur Pellerin a dclar : jeunes entrepreneurs, lancez-vous ! .Vous tes jeune, vous navez jamais tent laventure entrepreneuriale, vous vous dites que lentreprise est un univers risqu, complexe, soumis de lourdes pressions fiscales et vous navez sans doute pas tort Nanmoins, vous savez quun rgime existe justement pour faciliter laccs lentreprise. Ce rgime cest celui de lauto-entrepreneur. Cr en 2008, au cur de la crise, grce une loi de modernisation de lconomie il tait par sa simplicit - destin au succs

Auto-entrepreneur : le rgime vacille sous les coups du gouvernement Ayrault AUTO ENTREPRENEURAujourdhui on compte quelques 900 000 auto-entrepreneurs en France (chiffre comparer aux 3,4 millions dentreprises qui existent en France dont 2,2 millions nont pas de salaris). A chaque vague de chmage, le rgime accueille de nouveaux entrepreneurs qui choisissent ce statut pour continuer exercer leurs comptences dans le cadre dune activit professionnelle .En janvier 2013, alors que les chiffres du chmage atteignaient (presque) le record de 1997, on aurait compt + 25 % de cration dentreprises et + 4,9 % hors rgime dauto-entrepreneur

AUTO ENTREPRENEURPourcentage dAE validant des trimestres de retraite :

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AUTO ENTREPRENEURProportion des AE par secteur :

AUTO ENTREPRENEURLes recommandations du rapport dvaluation :

AUTO ENTREPRENEURLes recommandations du rapport dvaluation :

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http://www.ladocumentationfrancaise.fr/var/storage/rapports-publics/134000225/0000.pdfAUTO ENTREPRENEURLa dmonstration est faite, lauto-entreprise est un moyen de garder le cap et de rester actif. Bien entendu ce rgime bnficie de certains avantages fiscaux avec une imposition forfaitaire moindre et une simplification administrative. Mais qui peut croire quune fois la russite au pas de la porte lentrepreneur conserve ce statut qui noffre pas la possibilit de dvelopper son chiffre daffaires, de cotiser correctement pour sa retraite ou tout simplement dembaucher du personnel ? Une auto entreprise sur cinq parvient dailleurs voluer dans son statut aprs quelques annes dactivit. AUTO ENTREPRENEURCertes, un auto-entrepreneur sur deux a du mal gnrer du chiffre daffaires mais cela fait partie des lois des affaires, on ne peut pas toujours russir et cest justement les checs qui nous apprennent avancer, recommencer, russir ou retrouver un emploi salari. Pourtant, le monde de lentreprise est dans le collimateur du gouvernement qui y voit des rentres fiscales potentielles, et pire, des niches fiscales. Oui, pour le gouvernement Ayrault, dans le budget 2013, le rgime de lauto-entreprise est une niche fiscale qui pourrait, si on la corrige, rapporter 130 millions deurosAUTO ENTREPRENEURQue reproche-t-on ce rgime ? Il est propre d rgulariser, dstabiliser le march ? En permettant des jeunes ou des retraits de se lancer dans lentreprise. Il concurrence lartisanat cause de la diffrence de charges et de TVA ? Mais ne fait-il pas non plus concurrence au travail non dclar ? Les auto-entrepreneurs ne dgagent pas assez de revenus ? Quelle condescendance toute franaise - pour celui qui na pas russi ! Qui a dit que laventure entrepreneuriale devait tre couronne de succs dans 100 % des cas ? Combien de bateaux de marchandises vnitiens ne sont pas revenus bon port laube du capitalisme marchand, combien dentrepreneurs ont rat avant de repartir du bon pied ? Il est vrai quil ny a pas de risque administrer, sinon celui de se tromper AUTO ENTREPRENEURLes rflexions sur budget 2013 prconisaient il y a quelques mois un alignement du rgime de cotisation sociale sur celui des travailleurs indpendants.La FEDAE, Fdration des auto-entrepreneurs avait ragi et lanc une ptition ds octobre 2013 contre ce projet en dclarant : Pour le ministre de l'Emploi et du travail, ceci reprsenterait une conomie de 130 millions d'euros, si lon en croit le projet de loi de finances pour 2013 et Grgoire Leclercq et Cyrille Darrigade, respectivement prsident et Vice-Prsident de la FEDAE dajouter : Le rgime sera tu car le mode de calcul des cotisations sociales sera forfaitaire et remet en cause le pilier fondateur du rgime qui prvoyait une exonration de charges en labsence de chiffres daffaires. La rforme namliora pas la protection sociale des bnficiaires du rgime dans la mesure o cette protection tait dj identique celle des autres travailleurs indpendants. AUTO ENTREPRENEURAujourdhui, puisque il faut bien faire quelque chose, tout prix, lide avance le 11 avril 2013 par Sylvia Pinel, Ministre charge de lArtisanat serait de limiter dans le temps ce rgime en activit principale et renforcer laccompagnement des auto-entrepreneurs . Et pourtant, un audit labor par linspection gnrale des finances la demande du gouvernement prconisait de ne pas limiter dans la dure le bnfice du rgime Laventure entrepreneuriale est un lment cl de la russite de notre conomie dans son ensemble et dans le dveloppement professionnel individuel. Les codes du travail ont chang, la crise met mal le modle classique non pas de lemploi vie qui est dj loin derrire nous, mais de lemploi dure indtermine (CDI -10 % en 2012). AUTO ENTREPRENEURLe fait de se lancer dans le march et proposer ses services titre individuel ou avec une petite entreprise est doublement pertinent. Dune part parce que la situation conomique limpose (chmage, manque de dbouchs locaux etc) et dautre part, parce quaujourdhui lindividu souhaite mieux contrler sa vie et sa carrire. Bon nombre de nouveaux entrepreneurs jouent la carte du freelancing, du tltravail et de lpanouissement professionnel dans lauto-entreprise. Cest un fait, il serait dommage de leur couper lherbe sous le pied. Alors, de mon point de vue, quoi sert ce rgime allg de lauto-entreprise ? A essayer, tout simplementAUTO ENTREPRNEURPour les auteurs du rapport d'valuation du rgime auditionn le 24 avril au Snat, il convient de ne pas bousculer les fondamentaux

Mais sur quoi s'appuiera la dcision du gouvernement ?Sur les prconisations du rapport ou sur une dcision politique ?

RAPPORT ANNUEL DE LOBSERVATOIRE DE LA MICROFINANCE26http://www.banque-france.fr/fileadmin/user_upload/banque_de_france/publications/Rapport-annuel-2011-Observatoire-de-la-Microfinance.pdfRapport annuel de lobservatoire de la microfinance27Le secteur du microcrdit fait traditionnellement lobjet en France dune distinction entre,dune part, le microcrdit personnel (dont la dfinition a t prcise par larticle 23 de la loi du 1er juillet 2010 portant rforme du crdit la consommation) destin financer des projets dinsertion professionnelle et sociale et, dautre part, le microcrdit professionnel qui a vocation financer la cration, le rachat ou la consolidation dune petite entreprise artisanale ou commerciale permettant son dirigeant de crer ou de conforter son propre emploi.Au-del de cette distinction par objet, des points communs caractrisent ces types de crdit : ils sont associs un accompagnement du bnficiaire, ce qui contribue trs fortement scuriser les projets ainsi mis en place, et sadressent, selon des modalits spcifiques, des personnes confrontes des difficults daccs un financement classique.Rapport annuel de lobservatoire de la microfinance28Au-del de cette distinction par objet, des points communs caractrisent ces types de crdit : ils sont associs un accompagnement du bnficiaire, ce qui contribue trs fortement scuriser les projets ainsi mis en place, et sadressent, selon des modalits spcifiques, des personnes confrontes des difficults daccs un financement classique.Ce secteur qui rpond ainsi trs largement des objectifs dinclusion, conomique, sociale et financire des populations concernes bnficie dun dispositif de garanties publiques mis en oeuvre notamment dans le cadre du Fonds de cohsion sociale (FCS) cr par la loi du 18 janvier 2005. Fonds sans personnalit morale, gr par la Caisse des dpts et consignations(CDC), le FCS, qui a vocation garantir des microcrdits personnels et professionnels accords par des tablissements bancaires et financiers, est dot de deux organes de gouvernance, un comit dorientation et de suivi de lemploi des fonds (Cosef) et un comit dagrment (CAFCS).29En effet, ainsi quil ressort des premires donnes statistiques provisoires issues de la collecte ralise par la Banque de France fi n 2011, les microcrdits personnels sont accords trs majoritairement (77 % des encours) afin de favoriser lemployabilit des bnficiaires, notamment en finanant lamlioration de la mobilit des emprunteurs.

Rapport annuel de lobservatoire de la microfinance30Au cours de ces dernires annes, les tudes dimpact menes par les acteurs du microcrdit afin de mesurer lutilit du dispositif ont permis de dgager des enseignements positifs parmi lesquels notamment : lamlioration de la situation des trois quarts des emprunteurs, le retour lemploi dun emprunteur sur deux, ou encore une amlioration de la situation budgtaire des bnficiaires dans 60 % des cas.lamlioration de la situation financire des bnficiaires, le caractre limit des difficults de remboursement (13 % des cas) ou encore la satisfaction des bnficiaires davoir pu mener bien un projet.

Rapport annuel de lobservatoire de la microfinanceRapport annuel de lobservatoire de la microfinance31Parcours Confiance est un rseau dassociations mis en place par les caisses dpargne pour promouvoir le microcrdit et favoriser laccessibilit bancaire.

Rapport annuel de lobservatoire de la microfinance3250,7 % des clients ayant comme objectif le retour lemploi taient effectivement en situation demploi la date de lenqute, dont 41,3 % avaient retrouv un emploi et 9,4 % avaient accd un premier emploi ;83,3 % des clients visant le maintien dans lemploi taient effectivement en situation demploi la date de lenqute, dont 66 % avaient conserv leur emploi et 17 % avaient amlior leur emploi existant (passage de temps partiel temps plein, passage de CDD en CDI ).

Rapport annuel de lobservatoire de la microfinance33La diminution tendancielle du montant moyen des microcrdits personnels garantis observe depuis 2007 se confirme. Ainsi en 2011, le montant moyen des microcrdits distribus sest tabli 2 226 euros, en diminution de 5,4 % par rapport 2007. A fin dcembre 2011 collectes par la Banque de France, lencours des microcrdits personnels sest tabli 45,9 millions deuros soit 7,1 % de lencours total de microcrdits.

Rapport annuel de lobservatoire de la microfinance34Les premiers rsultats provisoires de la collecte des microcrdits professionnels accompagns, en France, mene par la Banque de France font apparatre un encours modeste (prs de 601,8 millions deuros fi n dcembre 2011) au regard de lensemble des crdits aux entreprises. Toutefois, le nombre de microcrdits accompagns accords est significatif et stablit prs de 130 000.Les microcrdits professionnels accompagns sont principalement des microcrdits caractre de fonds propres, pour prs de 416,4 millions deuros. La collecte relve, en outre, que le montant des microcrdits professionnels est gnralement infrieur 10 000 euros.

Rapport annuel de lobservatoire de la microfinance35Les bnficiaires sont le plus souvent des petites entreprises en cration (EURL : entreprises unipersonnelles responsabilit limite) ou des entrepreneurs individuels (y compris les EIRL : entrepreneurs individuels responsabilit limite), ayant une activit dans le secteur tertiaire (commerce, service aux entreprises ou aux particuliers, htellerie-restauration).Rapport annuel de lobservatoire de la microfinance36

Rapport annuel de lobservatoire de la microfinance37Ltude dimpact met en avant lutilit du microcrdit pour la cration dentreprises.Ainsi, 74 % des microentrepreneurs interrogs affirment quils nauraient pas pu crer leur entreprise sans laide du microcrdit et 62 % considrent cet instrument comme indispensable pour dvelopper leur entreprise.Ltude de MicroBank tend galement montrer que le fait davoir cr une entreprise, mme lorsque la prennit de celle-ci na pas pu tre assure, peut constituer une exprience de nature favoriser le retour lemploi du microentrepreneur.

Rapport annuel de lobservatoire de la microfinance38Ainsi, 19 % des bnficiaires de microcrdits dont les entreprises ont ferm et qui ont trouv par la suite un emploi salari affirment ainsi que leur exprience de cration dentreprise a favoris leur retour lemploi.Sagissant de la qualit de vie, 55 % des microentrepreneurs considrent que celle-ci sest amliore grce au microcrdit, la part de ceux qui considrent que leur situation sest plutt dgrade stablissant 14 %. Dans les cas o la prennit de lentreprise na pas pu tre assure, 48 % des microentrepreneurs interrogs considrent que leur situation sest dtriore et 52 % dentre eux que leur qualit de vie sest nanmoins maintenue, voire amliore.

Rapport annuel de lobservatoire de la microfinance39En premier lieu, la cration dentreprise sinscrit dans une dynamique de cration demploi : crer une entreprise, cest dabord crer son propre emploi. Cet objectif nest pas spcifique aux chmeurs-crateurs. En effet, si parmi ces derniers 75 % lindiquent comme prioritaire, cest galement le cas de 63 % de lensemble des crateurs en France. Le souhait dindpendance constitue une motivation universelle la cration dentreprise : 62 % des rpondants prcariss lvoquent comme tant leur principale motivation lors de la cration.Pour les microentrepreneurs prcariss, le fait dtre priv demploi arrive en deuxime position (58 % des rponses) dans lchelle des motivations. linverse, laugmentation des revenus apparat comme tant une motivation moins importante pour les microentrepreneurs

Rapport annuel de lobservatoire de la microfinance40

Rapport annuel de lobservatoire de la microfinance41Finance solidaire et finance participative :Relvent de la finance solidaire les institutions financires qui permettent de mettre en relation des pargnants souhaitant investir dans des activits forte utilit sociale et des porteurs de projets nayant pas suffisamment accs aux financements classiques.La finance peer-to-peer ou participative est un modle de financement alternatif qui permet des particuliers de concourir, le plus souvent sans intrt, au financement de projets en France ou dans les pays en dveloppement via des plate-formes internet.Rapport annuel de lobservatoire de la microfinance42Lpargne solidaire a enregistr en 2011 une croissance de 15,2 % par rapport 2010, lencours stablissant 3,55 milliards deuros fin 2011. Cette volution qui traduit le dynamisme du secteur est toutefois en retrait par rapport aux annes prcdentes (+ 47,2 % en 2009 et + 28,32 % en 2010).Lpargne salariale solidaire demeure le premier contributeur avec un encours de 1,7 milliards deuros, soit 48,5 % de lencours total dpargne solidaire.Natixis Interpargne demeure le premier rseau de collecte dpargne solidaire avec 804 millions deuros collects en 2011 contre 768 en 2010.

Rapport annuel de lobservatoire de la microfinance43Finance Participative :Il existe deux types de plates-formes de peer-to-peer :les plates-formes de peer-to-peer direct qui mettent en contact les prteurs et les porteurs de projets ;les plates-formes de peer-to-peer indirect qui permettent aux prteurs de financer les emprunteurs par lintermdiaire dune institution de microfinance (IMF : international monetary fund) partenaire. Les plates-formes slectionnent en amont les IMF partenaires qui leur proposent des projets financer, le prteur pouvant choisir sur quel projet il souhaite investir et pour quel montant.www.pme-marketing.orgPME-MARKETING.ORGEn fvrier dernier, l'Adetem (Association nationale des professionnels du marketing), soutenue par le Ministre du redressement productif, alanc le site :www.pme-marketing.org.Ses objectifs: accompagner les PME dans leur dmarche marketing, simplifier l'accs des ressources dans ce domaine.

PME-MARKETING.ORGla boite outils marketing pour les PME : fait dsormais partie de la plateforme Adetem de services aux PME, vous y trouverez:Lannuaire des prestataires marketing pour les PME, qui regroupe lensemble des prestataires ayant sign la Charte de dontologie.Un espace emploi marketing PME, pour aider les responsables de PME recruter des profils marketing.Un forum de discussion, qui permettra aux responsables de PME dchanger sur les sujets marketing.Vous avec une question marketing ?Posez votre question marketing, les contributeurs de www.marketingpourpme.org et les experts de lAdetem vous rpondront.Un espace Appels doffreso les PME pourront dposer le cahier des charges de la prestation recherche.

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PME-MARKETING.ORGExemple : comment faire connatre mon entreprise ?

Les entreprises en PACAhttp://www.var-ecobiz.fr/ccinca/varnews.nsf/0/ed585e456a769f0cc1257b24002ecdd5/$File/synthese%20BDF%20PACA.pdf

Les entreprises en PACA Indicateur du Climat des Affaires Un indicateur du climat des affaires permet une lecture rapide et simplifie de la situation conjoncturelle. Il rsume par une variable synthtique lvolution des soldes dopinion qui prsentent des volutions similaires dans le temps. En hausse, il traduit une amlioration du climat conjoncturel ; en baisse, sa dgradation. 100 = moyenne de longue priode

Les entreprises en PACA Contexte national :Aprs le retournement du 2me trimestre 2011, le climat des affaires sest dgrad en liaison avec une forte rduction de la visibilit. Il a atteint un palier partir de la mi-2012, en-de de son niveau de croissance moyenne. En France comme en Zone Euro, ce ralentissement conomique est la consquence, pour lconomie relle, de la rsurgence de la dfiance gnre par la crise de la dette souveraine et son impact potentiel sur la solvabilit des banques. Ainsi, en 2012, le PIB sest peine stabilis (+ 0,1 %), aprs une croissance de 1,7 % en 2011. Linterruption de la croissance au deuxime trimestre a gnr un flchissement de la demande de crdit de la part des entreprises et des mnages en dpit dune stabilisation des conditions doctroi. Les entreprises en PACASur les 11 premiers mois de 2012, le solde des changes extrieurs de marchandises sest amlior denviron 4 milliards deuros en raison surtout de la progression des exportations, en particulier dans le secteur aronautique, malgr un contexte de ralentissement du commerce international.Lemploi sest contract en lien avec le ralentissement de lactivit qui a induit une contraction significative du recours lintrim ; le taux de chmage sest inscrit 9,9 % en fin danne 2012. Les prix la consommation ont progress de + 1,5 % en glissement annuel en dcembre 2012 (indice des prix harmoniss) aprs + 2,7 % en dcembre 2011 : la hausse des prix est principalement imputable limpact du renchrissement des produits alimentaires et de lnergie. Les entreprises en PACALes entreprises en PACA : En 2012, dans lindustrie, lactivit est encore oriente la hausse, principalement soutenue par les exportations. Le manque de visibilit gnrale, notamment sur le premier semestre 2013, rend difficile les anticipations ; les chefs dentreprises sattendent un manque de vitalit du march national et des exportations. Aprs 2012, ou lemploi est en progression, en 2013 une dgradation est attendue. Comme anticip et alors que les capacits de production sont structurellement sous-utilises, les dpenses dinvestissement ont fortement baiss en 2012 et seraient nouveau en recul en 2013.

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Services : les transactions ont lgrement progress en 2012 mais un rythme moins lev que prvu. Latonie de la demande devrait se poursuivre en 2013 avec une hausse trs mesure de lactivit. Les exportations sinscrivent en hausse et progresseraient lan prochain sur un rythme moins soutenu. La situation de lemploi sest amliore lgrement en 2012 et devrait se stabiliser en 2013. Comme prvu, linvestissement en 2012 est en baisse, avec un recul plus marqu en 2013.

Les entreprises en PACAConstruction : la production globale a enregistr une progression mesure en 2012 et devrait se replier en 2013. Les effectifs sont orients la baisse et la tendance devrait se poursuivre en 2013. Les investissements se sont dans lensemble lgrement accrus. Toutefois, face une visibilit qui tend se rduire, un repli devrait intervenir en 2013.

LIndustrie en PACALes entreprises en PACAIndustrie : Comme attendu, les chiffres daffaires sont en croissance. Aprs les bonnes performances de 2010 (+ 9,1 %) et 2011 (+ 5,8 %), lindustrie rgionale enregistre de nouveaux progrs. Ce courant favorable dactivit a bnfici lensemble des branches, en particulier la fabrication de matriels de transports. En repli lan dernier, les performances de lindustrie des quipements lectriques et lectroniques sont en nette amlioration. De son ct, le dynamisme du secteur agroalimentaire, o des hausses de tarifs ont t appliques, sest de nouveau confirm. Pour la troisime anne conscutive, le compartiment des autres produits industriels a galement connu une volution positive. Les prvisions font tat dune hausse plus mesure de lactivit en 2013.

Les entreprises en PACALes exportations ont gagn en dynamisme : les changes extrieurs ont soutenu lactivit de tous les secteurs de lconomie rgionale avec des taux de progression suprieurs ceux de lanne prcdente. Comme anticip, lindustrie des matriels de transports a confort ses dbouchs sur les marchs extrieurs. Il en va de mme pour lagroalimentaire, le secteur des quipements lectroniques et, dans une moindre mesure, pour le secteur des autres produits industriels. En 2013, lactivit continuerait de se raffermir linternational sur un rythme toutefois moins soutenu.

Les entreprises en PACALa situation de lemploi sest amliore. Le confortement des effectifs, notamment dans les grandes units sest poursuivi par un appel lintrim. Ce renforcement se justifie par laccroissement dactivit dans la fabrication de matriels de transport et, dans une moindre mesure, par quelques programmes dembauches dans lagroalimentaire et la fabrication dautres produits industriels. Dans le secteur des quipements lectriques et lectroniques, la stabilit des effectifs a prvalu. Lemploi devrait lgrement se tasser en 2013.

Les entreprises en PACALes investissements industriels se sont rduits. Les dpenses dinvestissement, cycliques par nature, se sont replies, en particulier dans le secteur des quipements lectriques et lectroniques, dautant quun manque de visibilit tait observ en dbut de priode. Seule lindustrie des matriels de transport a finalis dimportants programmes visant accrotre ses capacits de production. Dans les autres secteurs, les projets se sont limits au renouvellement ou la modernisation des outils de production ; certains ayant t finalement reports compte tenu de la sous-utilisation des quipements techniques. Stables lanne prcdente, les investissements immobiliers, qui reprsentent 16 % de lensemble, ont galement t rduits. Un nouveau flchissement des programmes, plus modr toutefois, est prvu en 2013.

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Les Services en PACALes entreprises en PACAEn 2012, laccroissement des chiffres daffaires sest poursuivi de manire moins soutenue que prvu. La progression dactivit dans le secteur des transports -essentiellement des voyageurs- sest ralise dans un environnement conomique difficile faute de visibilit. Linformation et la communication.ont ralis de bonnes performances. En revanche, la tonalit sur les activits spcialises et de soutien aux entreprises (activits juridiques, conseil, publicit, nettoyage-entretien) nont connu quune croissance modre. Les prvisions confirment la poursuite des tendances observes en 2013, sur un rythme densemble moins soutenu.

Les entreprises en PACALes exportations se sont redresses la faveur dune meilleure orientation de la demande internationale. Aprs le repli des annes prcdentes, les marchs exports ont t mieux orientes ; tous les secteurs en ont bnfici des degrs divers : les transports, linformation et la communication, les activits spcialises et de soutien -pour lessentiel recherche et dveloppement- qui reprsentent prs dun quart de lactivit ralise linternational. Les exportations poursuivraient leur croissance en 2013, sur un rythme global moins important.

Les entreprises en PACALa croissance de lactivit a induit une amlioration mesure de la situation de lemploi. Comme les annes passes, lactivit dans le secteur de linformation et de la communication et des activits spcialises et de soutien a gnr un besoin en effectifs permanents. Une quasi-stabilit a prvalu dans les transports. Les prvisions font tat dune faible hausse de lensemble des embauches en 2013.

Les entreprises en PACAEn ligne avec les prvisions, les investissements ont enregistr globalement un repli. Aprs la forte hausse de lanne dernire, les dpenses dinvestissement se sont rduites dans linformation et la communication. Dans les transports, qui reprsentent plus des trois-quarts du total des montants engags, la progression apparat faiblement significative dune anne sur lautre ; il en va de mme pour les autres services. En 2013, le montant des programmes dinvestissement accuserait un recul plus important, illustrant la nature cyclique de ce type de dpenses.

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La Construction en PACALes entreprises en PACATire par les travaux publics, la production globale sinscrit en lgre hausse, mais lactivit du btiment amorce un repli. La demande a enregistr un ralentissement en 2012 et les secteurs du gros oeuvre et du second oeuvre ont vu leur activit se tasser. Alimente par des chantiers denvergure et par lexcution de contrats en cours portant sur de nombreux projets dinfrastructure, la sollicitation des capacits de production sest accrue dans les travaux publics. Pour autant, la baisse des plans de charge sest acclre au cours du second semestre et la visibilit sest rduite pour lensemble des acteurs de la filire. Lactivit densemble sinscrirait en recul. Une relative stabilit prvaudrait dans les travaux publics.

Les entreprises en PACAComme attendu, la situation de lemploi sest lgrement dgrade. Le recul des effectifs sest accentu dans le gros oeuvre. Comme prcdemment, cette baisse a concern les emplois permanents et les intrimaires. La situation est apparue plus favorable aux crations de postes dans le second oeuvre. Enfin, si les effectifs permanents ont peu volu dans les travaux publics, le recours lintrim sest sensiblement ralenti. Lemploi se tasserait de nouveau en 2013. La sollicitation des personnels intrimaires serait nettement moins soutenue dans lensemble de la filire.

Les entreprises en PACALes dpenses dinvestissement ont faiblement progress. Les politiques dinvestissement sont restes prudentes dans la filire du btiment. De nombreux programmes ont t diffrs dans un contexte de faible visibilit et de rduction des plans de charge. Les dpenses engages ont t plus consquentes dans les travaux publics. Le montant total des budgets de ce secteur ddis linvestissement reprsente prs des deux tiers de lchantillon. Ces tendances se poursuivraient en 2013. Aucune reprise du cycle dinvestissement nest attendue dans la construction. Les budgets demeureraient importants dans les travaux publics mais leur croissance serait limite.

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