ACROSPORT - Freesylvain.ayme.free.fr/iufm/AcrosportBerthiller.pdfACROSPORT 2005 Animation : Eric...

ACROSPORT

2005

Animation : Eric Berthiller

Documents d’appui :

Tony Froissart : .-Enseigner l ’acrosport .- Ed. les cahiers actio

Eric Berthiller et JP Olinger: .-l’activité gymnique du lycéen-.Ed revue EPS,Paris,2004.

Richaud : Présentation d ’un cycle d ’acrogym [email protected] http://www2.ac-nice.fr/

Catherine Huot-Monéta et Myriam Socié :.-Acrosport « de l ’école aux associations »-. Éd. Revue EPS;Paris; 1999.

Association pédagoLOG : .-ACROSPORT Construire ses pyramides -.éd.revue EPS.

1

LES PRATIQUES DE REFERENCES

GYMNASTIQUE ACROSPORT

Production finale

Mouvement qui consiste à enchaîner différentes Mouvement d’au moins 6 éléments, avec audifficultés aux agrès avec un temps limité au sol minimum 1 élément par famille, dans un temps et à la poutre (1 ’10 max.). Limité (2 ’30 max.).

Familles

Relatives à chaque appareil, exemple au sol : Empilement - compensation de masse - lancer -maintiens-Acro : Av.. Ar. Lat. St et rotations simples Rattraper - franchissement - éléments de liaison

Evaluation

éléments A,B,C,D,E, super E Difficulté éléments A,B,C,D3 exigences spécifiques par appareil Combinaison1 élément par famille exécution

fautes légères : - 0,10 ; fautes moyennes : - 0,20 ; fautes grossières : - 0,40

1- déviation par rapport à la position correcte

2- fautes de tenues (flexion de jambes, bras,hanches)

3- les déséquilibres

- E. Berthiller - 2004.

« LES ACTIVITES DE REFERENCE »

L ’ACTIVITE GYMNIQUE : consiste à produire et présenter des formes corporelles techniques,codifiées, non expressives au sol ou à partir d’appareils fixes ou semi-mobiles, en prenant des risques calculés dans des situations inhabituelles. Paul GOIRAND

L ’ACROSPORT : activité collective de production de formes en groupe dans la perspective de créer une une composition basée sur les effets visuels; architecture de la forme, simultanéité, complémentarité afin d ’être vu et apprécié et de produire un étonnement. Tony FROISSARD

LA SITUATION DE REFERENCE : construction théorique choisie pour les ressources qu’elle fait mobiliser chez l’élève en relation aux problèmes fondamentaux posés par l ’activité.

- doit-être adaptée au niveau des élèves

- tenir compte des instructions officielles (programmes)

- permet à l ’enseignant de mesurer la qualité et/ou la quantité de savoir appris

- permet à l ’élève de donner du sens à son activité et de contextualiser ses apprentissages

- elle peut se construire sur plusieurs séances notamment en activité gymnique ou la réponse à une tâche donnée peut être source de danger pour l ’élève en début d ’apprentissage.

- elle peut illustrer la pratique sociale de référence adaptée au niveau des élèves ou représenter un thème d ’étude dans cette pratique de référence.

LA TACHE D ’APPRENTISSAGE : elle va permettre à l ’élève de surmonter les obstacles identifiés dans la situation de référence en faisant émerger les principes et règles d ’action inhérents à la situation.

3

Critères pouvant être pris en considération :

La performance: représente la valeur matérielle du mouvement, la difficulté des éléments et des enchaînements d ’éléments qui composent le mouvement.

La combinaison : concerne le respect des exigences du mouvement

la maîtrise de l ’exécution :c ’est la façon dont on procède pour réaliser une figure ou un enchaînement. Le plus souvent la notation de l ’exécution consiste à sanctionner les fautes de tenue de corps, les fautes techniques, les fautes de déséquilibre, les ruptures de rythme, les chutes, les fautes de synchronisation...

La valeur artistique : concerne les effets produits sur le spectateur, le jury lors de l ’exécution d ’une figure, d ’un groupe de figures ou d ’un enchaînement avec ou sans musique. La valeur artistique pourra prendre en considération :

- la prise de risque

• du point de vue la performance (complexification d ’une figure du code ou enchaînement de 2 figures de niveau élevé …)

• du point de vue de la maîtrise de l’exécution (réduction du nombre d ’appui pour arriver à la posture, recherche de l ’amplitude à la limite du déséquilibre, travail sans repérage visuel pour les figures en simultané ...)

- l ’originalité

• du point de vue de la performance ( manière d ’amener une posture et /ou de sortir d ’une posture, manière d ’enchaîner les postures …)

• du point de vue de la maîtrise de l ’exécution ( changements des rythmes pour réaliser une figure ou enchaînement de figures, utilisation de la musique en relation avec l ’enchaînement …)

En fonction du niveau de classe et / ou du thème étudié on pourra choisir d’utiliser un, deux ou l ’ensemble de ces critères.


L ’EVALUATION

Exemples d ’évaluation :

Le nomogramme

Le coefficient La soustraction

L ’approche fédérale La somme

La toile d ’araignée

Nbre de gym + nbre de postures renversées

23

4

5

6

Nbre d ’appui au sol

23456 1

2345

Note

Hauteur

Nbr de gym

renversés

Nbr d ’appui au sol

Eloignement des participants

équilibre

synchronisationLa note résulte du produit d ’un coefficient affecté à la performance par une note sur 8 affectée à la maîtrise d ’exécution.

Coef perf : 0.5 - 0.75 - 1 - 1.25maîtrise : - monté : 0 à 2pt descente 0 à 2pt

- posture : 0 à 3pt- approche : 0 à 1pt

Total possible : 10 pt

Exemple:Difficulté : 3 ptCombinaison : 1 ptExécution : 5 ptArtistique : 1ptTotal : 10 pt

On ajoute la note de performance à la note de maîtrise :

exemple note de performance : 3 /5

note de maîtrise : 3 /5

Total : 6 /10

(on favorise ici le facteur difficulté)

On retranche à une note de départ en performance les fautes d ’exécution. On favorisera ici chez l ’élève le souci de conformité à un modèle.

Exemple : sur 3 niveaux de pyramide 6, 8 et 10 pt un groupe d ’élève choisi de réaliser une pyramide à 8 pt

on déduira de ces 8 pt les éventuelles fautes de maîtrise de l ’exécution

ce qui peut amener le groupe à un total de 6 / 10

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PROCESSUS / PRODUIT

ProcessusProcessus• sens profond de l ’action du pratiquant:

- activité de production de formes corporelles pour plaire ou séduire

. formes expressives

. formes techniques (conforme à un modèle reconnu comme juste)

- activité d ’épreuve (prendre des risques, se perdre pour se retrouver grandi, régénéré)

Au cours de l ’apprentissage l ’enseignant doit être attentif au sens des activités qu’il propose. Il doit veiller à la façon dont les élèves vivent l ’activité.

Enjeux, et problèmes fondamentaux

ProduitProduit• analyse de l ’ensemble des actions gymniques et de la façon dont les savoir-faire se sont historiquement constitués afin de déterminer :

- les voies de complexification- la nature de la complexité des SF

actuels- les actions principales mises en œuvre

(se déplacer, voler …)• analyse du système de rôle sociaux en activité gymnique (compétition, fête, spectacle)• afin d ’avoir une vue dynamique de la culture gymnique (prendre en compte les réalisations et anticiper sur les évolutions).

Apprentissage conçu comme développement de capacités qui permettent la maîtrise d ’un corps aérien et l ’affirmation de son propre style (contribue à l ’EP fondamentale des élèves)

A ctivité Gym n a stiqu e a croba tiqu e

• activité de codification de forme corporelles produites par un groupe. Le code intègre le R.O.V.

• R : par rapport à l’habituel postural, au choix stratégiques; O : être différent par plus de risque et/ou plus de virtuosité; V : pousser l ’amplitude aux limites de l’équilibre.

Sens de l ’activité

• être initié à une activité de production ou de reproduction de formes techniques

• savoir diriger son corps dans l ’espace

•assumer sa silhouette dans ou devant un groupe

• s ’approprier le réel de façon esthétique

Enjeux ce que l ’élève a à

gagner

• produire et/ou reproduire des formes corporelles codifiées

• prendre des risques et/ou maîtriser ces risques (seul ou à plusieurs)

• se perdre et/ou savoir se repérer dans des situations gymniques

• subir la pesanteur et/ou utiliser la pesanteur

• construire des rôle sociaux spécifiques dans une production collective socialisée

Problèmes fondamentaux caractéristiques de

l ’activité

• ressources motrices (force, vitesse, souplesse, coordination, équilibration …)

• ressources cognitives ( connaissance du code, reconnaissance des figures …)

• ressources affectives et sociales (acception d ’autrui, coopération, confrontation…)

Ressources sollicitées

Être en activité gymnique se sera produire et présenter des formes corporelles techniques codifiées, non expressives, au sol seul ou à plusieurs en prenant des risques calculés dans des situations inhabituelles


Pour une conception synthétique de l ’acrosport

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STATIQUE

DYNAMIQUE

SIMULTANE

COMPLEMENTAIRE

EMPILEMENT

COMPENSATION

ASSOCIE

DISSOCIE

LANC

RATTRAP

FRANCH

Porteur: pas de relation entre ancrage au sol et support du voltigeur. Porte son attention sur l ’un ou l ’autre (en fonction du champ visuel)

Voltigeur: recherche des appuis solides sans se préoccuper du porteur

N1« chacun pour soi »

N2« on essaye ensemble»

N3« un pour tous, tous

pour un »

Porteur: privilégie son ancrage au sol, perçoit les variations de posture du voltigeur pour se rééquilibrer.

Voltigeur:prête attention aux placements des appuis sur le porteur

Porteur: anticipe les déplacements du voltigeur pour lui faciliter la montée et la descente.

Voltigeur: donne du rythme à ses déplacements pour alléger ses appuis sur le porteur, intègre rapidement l ’axe de gravité du groupe.

6ème 5ème - 4ème 3ème

Porteur: en po-sition quadrupé-dique, sur le dos ou les genoux.

Voltigeur: On privilégie le travail au sol pour les positions renversées.

Duos privilégiés

Porteur et Voltigeurévoluent au sol.

Montée et descente se font avec une parade

qui reste au contact lorsque le voltigeur est en

situation renversée

Montée et descente se font avec une parade,

surtout en situation

renversée, le porteur est maintenu

L ’axe de gravité du groupe est proche de celui des protagonistes, l ’équilibre individuel n’est pas vraiment remis en cause

Les partenaires acceptent un éloignement par rapport à l ’axe de G. Au sol on accède à l ’accrochage à une main porteur ou en porté à 2 mains porteur membre inf. voltigeur

Les partenaires sont capables au sol de passer d ’une figure en compensation à une autre compensation sans revenir à une position individuelle stable

Les partenaires se synchronisent exclusi-vement par repérage visuel; un décalage est souvent produit par une démarche de réaction à l ’action du partenaire

Le plus souvent un des partenaires guide les autres, passage en vision périphérique sur les déplacements simples (sauts, marche …) le réglage en vision centrale est nécessaire sur les déplacements complexes (roulade, roue, équilibre …) le contrôle s ’effectue en phase de résultat de l ’élément.

Chaque gymnaste est capable d ’adapter son action au rythme du groupe, les contrôles en vision périphérique sont effectués en phase de préparation et de résultat de l ’élément.

Porteur: toutes positions

Voltigeur: assis avec porteur debout; toutes positions porteur couché, quadrupédie, à genoux

Porteur et voltigeur debout au sol

pas de remise en cause de la verticale, départ et réception du voltigeur 2 pieds au sol

Porteur: souvent éloigné et en retard sur les déplacements du voltigeur.

Voltigeur: ne prête pas attention au porteur il oriente son action sur la réception.

Porteur: passe sous le voltigeur pour rendre plus efficace son action.

Voltigeur: place ses membres de façon à ne pas gêner l ’action du porteur;

bonne synchronisation sur les figures simples, relâchement du corps du voltigeur sur figures complexes (récupération dans les bras, changt de face…)

La synchronisation des temps d ’impulsion est suffisamment stabilisée pour que les partenaires portent leur attention sur l ’amplitude du voltigeur et la maîtrise de l ’ensemble de l ’évolution.

Avec 1 porteur: voltigeur départ au sol ou arrivée au sol.

Avec 2 porteurs: possibilité de lancer rattraper en situation simple (assis ou couché dos), rotation Av et/ou Ar en contre haut ; renversement avant avec contact continu.

En quatuor départ avec un porteur,

arrivée possible sur 2 porteurs (position assise ou couchée)

rotation aérienne départ debout arrivée à mi-

hauteur sur gros tapis avec 2 pareurs

ou départ quadrupédie arrivée

sol sur gros tapis

Action dissociée des protagonistes, le porteur ne se préoccupe pas du voltigeur (protège sa tête), bouge à son passage ou se déséquilibre en cas d ’appuis

Porteur: stable anticipe sur l ’appui du voltigeur, peut l ’aider sur contact

manuel continu

Voltigeur: l ’attention est encore portée sur

l ’évitement du porteur

Porteur: idem avant, et peut aider le franchissement avec temps de vol (appuis mains, dos).

Voltigeur: centré sur l ’exécution de la figure

Porteur toutes position sauf debout

corps tendu;

voltigeur: franchissement corps

redressé

Porteur: idem avant et à genou

sur les renversements

voltigeur: tourne ou se renverse

sans élan

Idem avant avec possibilité de prise d ’élan

lors des renversements du voltigeur

Tout élément gymnique avec

le corps redressé ou élément de

renversement et/ou de

rotation ne nécessitant pas de temps de vol

Tout élément gymnique maîtrisé isolément par le gymnaste et qui aura fait l ’objet d ’un apprentissage, les éléments avec vol et renversement (saut de mains flip, salto …) doivent rester minoritaires

Tout élément gymnique ayant fait

l ’objet d ’un apprentissage et ayant été validé par

l ’enseignant

Idem avant

Quels niveaux ?

6

E. B

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-19

99. D

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LA SECURITE

Objective : en relation à un acte ou une décision passée ou présente.

Subjective : en relation à la « perception que l ’on a de son pouvoir de décision ou d ’action ».

même s ’il ne nous ait pas possible de choisir nos locaux et nos élèves ; nous nous devons de tenir compte de leur caractéristiques pour préparer nos cours.

Morale

l ’homme

Administrativele fonctionnaireSociale

l ’éducateur

Juridique

le citoyen

Didactique

le professeur

LE RISQUE

LA RESPONSABILITE

Le risque concerne aussi bien l ’enseignant que l ’élève.

Objectif : risque réel encouru par le pratiquant soit à cause de :

- l ’environnement matériel.

- la situation didactique.

- le niveau de l ’élève.

Subjectif : « qui se rapporte au sujet pensant, à une conscience individuelle »

c ’est l ’impression d ’insécurité que ressent le pratiquant lors de son engagement dans une tâche.

Active : qui fait appel à la participation individuelle ou collective. Elle nécessite l ’acquisition et l ’utilisation de connaissances inhérentes à l ’activité.

Exemple : pour le salto avant : connaître et mettre en œuvre les actions motrices pour assurer la rotation du corps.

Passive : ensemble des moyens mis en œuvre pour assurer la sécurité:

L ’ACCIDENT

L ’aspect objectif :

en gymnastique accidents recensés en 1997 : 25,6 % pour un poids horaire de 16,3.

Sur 168 accidents dans le Rhône en 1986 : 26,8% au sol - 25 % au trampoline - 20,2 % en franchissement - 5,9 % à cause du matériel - environ 20 % sur chute de l ’appareil.

L ’aspect subjectif :

en gymnastique : le sentiment de dangerosité est inverse par rapport au taux réel des accidents de l ’APS.Source: C. Marin SPIRALES N° 12 p165 à 174

Source: C. Marin SPIRALES N° 12 p 160


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LE RISQUE EN ACTIVITE GYMNIQUE

LA CHUTE

- peut se produire durant les phases : d ’action - de préparation - ou de résultat de l ’élément concerné.

Méconnaissance de son niveau de compétence au regard de la tâche à exécuter.

- je m ’engage dans une tâche trop difficile pour moi;

- j ’apporte une réponse partielle ou en décalage à mon projet initial.

Intervention non prévue ou inadaptée d’une tierce personne durant l ’exécution de la tâche

2 cas d ’ échec

UNE REPONSE MOTRICE

n ’amenant pas au résultat escompté

RESULTAT

Vitesse et Rythme

Durée

Translation - Rotation

Position - Posture

Action

Visuel

tactile

kinesthésique

Représentation que j ’ai de la tâche et des actions à mener

PROJET TECHNIQUE


C ’est la probabilité de réussite ou d ’échec dans une tâche gymnique

Relations entre résultats et procédures de l ’action

Objectif : assurer la sécurité active et passive pour faire baisser le risque objectif tout en maintenant un certain seuil de risque subjectif.

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La sécurité

Activefait appel à la participation individuelle ou collective. Elle nécessite l ’acquisition et

l ’utilisation de connaissances inhérentes à l ’activité.

Passiveensemble des moyens mis en

œuvre pour assurer la sécurité:

Porteur Voltigeur

Construire un support stable pour le voltigeur :

- Stabilité des appuis, placements corporels (dos plat, saisies …)

- anticiper les déplacements du voltigeur

- fixation des différents membres, tonicité générale du corps.

- attention maximale jusqu’à la fin de la production (présentation).

- ne pas bouger en cas d ’affaissement d ’une pyramide

- accepter l ’aide, la parade ou les aménagements matériels tant que la production n ’est pas maîtrisée.

Construire des déplacements équilibrés sur et/ou à partir du porteur

- Stabilité et placement des appuis

- Centre de gravité proche de l ’axe de gravité du groupe.

- rythme et sens des déplacements.

- tonicité générale du corps.

- synchronisation des actions avec celles du (des) porteur(s),

- esquiver le porteur en cas d ’affaissement d ’une pyramide.

- accepter l ’aide, la parade ou les aménagements matériels tant que la production n ’est pas maîtrisée.

Pareur

Construire une aide physique et/ou psychologique efficace pour favoriser l ’apprentissage puis la mise en place de la production d ’un groupe:

- connaître les actions d ’aide et/ou de parade en relation à la production en cours

- être attentif aux déplacements et divers déséquilibres du groupe en relation au contrat d ’action initial.

Eviter les risques de contact- laisser une distance suffisante (4m env.) entre le groupe et les murs, les agrès, les autres groupes

Utiliser des matériels adaptés- pour faciliter la stabilité du porteur (plinth, chaise, mur, espalier)

- pour aider à la mise en place, la stabilité et/ou les acrobaties du voltigeurs

- pour prévenir les chutes (tapis de réception et d ’évolution)

G G

Axe de gravité

��

Dos plat

Appuis légèrement écartés

Bassin en rétroversion


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Le risque dans les activités acrobatiques dépend de la relation entre :

le niveau de l ’élève : relation entre action posture position prise de repère.

le niveau d ’exigence de la tâche : relation entre dispositif et la nature du savoir faire à acquérir (déplacement, renversement, rotation,vol,maintien).

d ’une manière générale aucun savoir faire n ’est à priori dangereux si le niveau de l ’élève permet de l ’aborder en toute sérénité et que le dispositif dans lequel se déroule l ’action est approprié au niveau de l ’élève et aux exigences de la tâche.

Ceci dit : dans l ’absolu plus on s ’éloignera de l ’habituel postural pour l ’exécution d ’un savoir faire, plus la prise de risque sera grande.

il faut accorder une vigilance particulière aux éléments qui demandent :

un déplacement renversé ou tourné vers l ’arrière (salto, flip):

vérifier que l ’élève est intégré la dynamique de renversement ou de rotation (vitesse, rythme, repères)avant de l ’engager sur l ’élément global.

une perte importante de repères (salto) :

vérifier que l ’élève prend correctement ses repères visuels et qu ’il ne se relâche pas (corps dynamique quelque soit la posture).

Une élévation importante (saut de lune - pyramide) :

prévoir travailler ces productions dans un premier temps en contre haut.

Et dans tous les cas :

1- donner des repères tactiles plus nombreux et ralentir la vitesse d ’exécution

puis 2- maintenir les repères tactiles augmenter la vitesse d ’exécution

et enfin 3- réduire les repères tactiles.

Pour construire les tâches d ’apprentissages :

faire baisser la charge affective

baisser la vitesse d ’exécution

augmenter la charge mécanique

faciliter la prise d ’informations multiples (visuelle - tactile de l ’élève)

voie de complexification des pyramides :

1- réduction de la surface en contact avec le sol

2- réduction du nombre d ’appuis au sol et entre gymnastes

3- nature des appuis : pieds - main - dos , ventre - tête

4- éloignement de l ’axe de gravité du porteur

5- éloignement du centre de gravité du porteur

6- éloignement de « l ’habituel postural des gymnastes »

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Lancer - Rattraper

Compensation


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Prise pour Empilement


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L ’échauffement en gymnastique

Principes

Progressivité

- dans l ’intensité du travail (cardio pulmonaire, musculaire (force étirement) …

- dans la difficulté des exercices proposés

Alternance

- de temps fort et de temps faibles

- de mouvements dynamiques et de séquences d ’étirements

Assurer un échauffement complet

- de toutes les parties du corps : train supérieur, inférieur, tronc nuque …etc.

- de toutes les principales structures motrices (rotations -déplacements pédestre, quadrupédiques, manuels - appuis renversés -suspensions …etc..)

Assurer un échauffement spécifique

- à la classe, aux problèmes qu’elle rencontre, aux apprentissages envisagés ou programmés, àla leçon qui va suivre.

Objectifs

à court terme

- assurer la sécurité des élèves par la sollicitation

attentionnelle (système nerveux central)

musculaire

articulaire

- assurer une meilleure adaptation à l ’effort

- assurer un renforcement des apprentissages envisagés

travail technique systématique

travail de souplesse et de renforcement musculaire systématique.

à long terme

- acquisition de connaissances relatives à l ’organisation et àl ’entretien de la vie physique :

dosage de l ’effort

identification des risques corporels

Un exemple d échauffement de 30 mn

4 Courses

- courses peu rapide, en avant, latérale libre

- courses rythmées, seul ou à plusieurs

4 Sursauts, sauts, pas chassés, déplacements quadrupédiques non renversés

4 Coordination de déplacements courus, sautés, sursautés

- seul ou à plusieurs

4 Etirements

- ischio-jambier, adducteurs,dos, épaules, nuque, poignets, chevilles, genoux etc....

4 Renversements

- série de roulades avant (groupée à tendue élevée)

- série de roulades arrière (groupée à tendue à l ’ATR)

- série d ’ATR (tenu, marché, valse …)

4 Travail technique systématique

- placement de la jambe libre à l ’ATR

- lancer les jambes tendues pour la roulade arrière, …etc..

4 Séries plus dynamiques et acrobatiques en fonction du niveau

- sauts de mains - salto avant -rondades etc....

Doc. cours licence UFRAPS Lyon - E. BERTHILLER et C.MARIN

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L ’aide et la parade

L ’aide

« concours que l ’on prête à qui ne peut faire seul quelque chose »

participation extérieure qui s ’ajoute à l ’action proposée, elle doit intervenir à bon escient pour :

palier à un manque de force, de vitesse, de repères ...

faire sentir une posture

permettre la réalisation d ’un élément

il s ’agit donc :

de connaître précisément le savoir - faire considéré, l ’action d ’aide à réaliser, son rôle et le moment pour la faire.

de posséder les ressources (physiques et attentionnelles) nécessaires à la réalisation de la parade en toute sécurité pour soi - même et pour l ’autre.

La parade

« action, manière d ’empêcher un événement fâcheux de se produire »

Le but de la parade est d ’éviter l ’accident.

Il s ’agit donc afin d ’être prêt :

de connaître les sources potentielles du danger (lâcher des prises, manque de rotation ou de vitesse …)

de repérer les signes précurseurs de la mise en danger (barre au bout des doigts, tête qui se redresse, déséquilibres divers …) ---> nécessité d ’anticipation

de savoir où se placer, quand et comment faire pour assurer l ’intégrité physique de l ’élève ou du camarade ( le retenir à partir des ceintures scapulaire et pelvienne, assurer la fin de la rotation …)

de posséder les ressources (physiques et attentionnelles) nécessaires à la réalisation de la parade en toute sécurité pour soi - même et pour l ’autre.

L ’aide et la parade s ’apprennent, et nécessitent un entraînement préalable. Elle participent à la sécurité, tout comme les règles à

respecter dans un gymnase

elles nécessitent un contrat d ’action entre pareur et exécutant

(ne pas monter à plusieurs sur un appareil gymnique, remettre les tapis en place, vérifier les distances entre les différents matériels … )

Tout élève n ’est pas à priori apte à aider ou à parer dans toutes les situations

Apprendre à parer

1 - établir les obstacles à franchir : coordonner la course avec l ’impulsion; lutter contre l ’avancer des épaules; conserver la vitesse de rotation …

2 - déterminer les risques encourus :chute sur le dos, sur la tête …

3 - expliquer le comment et le pourquoi de la méthode d ’intervention : regarder où se fait la pose de pieds après le sursaut, en déduire où se fera la pose de mains et venir se baisser pour prendre le bras droit vers l ’épaule avec son bras gauche et le bas du dos avec son bras droit pour favoriser :

• une quiétude affective

• une aide mécanique de soutien du corps et d ’aide au redressement

• une compensation à la dépense énergétique

• un soutien au système informationnel avec

une augmentation du temps d ’exécution du mouvement favorisant la prise d ’informations

un apport d ’informations d ’ordre tactile

4 - parer ou aider avec l ’élève en apprentissage

5 - laisser l ’élève parer ou aider en restant en soutien et en vérifiant l ’installation d ’une confiance mutuelle gym -pareur

6 - laisser l ’élève parer ou aider seul en restant à distance pour vérifier la stabilisation de son apprentissage

7 - laisser l ’élève parer ou aider seul.

dans tous les cas la parade ou l ’aide reste sous la responsabilité de l ’enseignant même si celle-ci est assurée par un élève

- E. Berthiller - 2004. Doc. cours licence UFRAPS Lyon - E. BERTHILLER et C.MARIN

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Voltigeur

Porteur

Fiche de construction de pyramide

ouou

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Voltigeur

Porteur

Fiche de construction de pyramide

ouou

16

LES POSITIONS

VOLTIGEUR

PORTEUR

Schéma C. Muller et T. Froissard Doc:N.C. Kernevez et N. Philouze


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Création - reconnaissance de figures : Le défi : un groupe donne une figure à monter par un autre groupe

les copieurs: un groupe exécute une figure l ’autre doit l ’imiter

l ’Alphabet: écrire un mot de moins de 5 lettres en majuscules

Le tirage au sort: je tire une figure au sort et je l ’exécute

Le puzzle: un groupe prend au sol et de manière décomposée les postures d ’une figure donnée l ’autre groupe devra reconstituer la figure.

Le jeu de l ’oie: équipes de 2 ou 3, chacune à leur tour les équipes jette le dé et exécute la figure de la case sur

laquelle elles sont tombées pour valider le score. La première équipe arrivée à la fin du parcours a gagnée.

Les chaises musicales :Les porteurs se dissocient des voltigeurs au top tous les voltigeurs doivent se repositionner sur un porteur. L ’arbitre enlève à chaque tour un porteur, le voltigeur qui reste sans porteur est éliminé. Le vainqueur est le dernier voltigeur « piste »

La synchronisation : Le miroir :deux groupes face à face exécutent une figure en même temps

Le robot: un groupe exécute une figure ou ensemble de figures l ’autre groupe doit suivre.

Equilibre des charges : Le déménageur: un groupe prend des postures de voltigeur dans un coin du gymnase, l ’autre groupe transporte et regroupe les voltigeurs par catégorie dans l ’autre coin du gymnase. (cette situation peut se faire sous forme de relais).

Le paresseux: le voltigeur escalade et désescalade le porteur le plus lentement possible.

J ’en rajoute un: par équipe de 3 à 6 exécuter une pyramide avec le moins d ’appuis au sol possible.

- E. Berthiller -

Les situations jouées

18

19

ARRIVEE

DEPART JEU DE L ’OIECROBATE

1

2

3

4

5 25

24

23 18

17

16

156

7

8

9

10 1112

13

14

2221

20

19

Règle du jeu :

par équipe de 3

Chaque équipe jette le dé à tour de rôle, et avance d ’autant de case qu ’il y a de point sur le dé.

Pour que le déplacement soit validé il est nécessaire que l ’équipe réalise la figure ou tienne la pyramide 2 secondes sans tomber.

Cases 6 et 18: score validé sans exécuter de figure.

Case 12: Reculer de 2 cases

Case 24 : retour à la case départ.

- E. Berthiller - . 2626

19

ARRIVEE

DEPART JEU DE L ’OIECROBATE

1

2

3

4

5 25

24

23 18

17

16

156

7

8

9

10 1112

13

14

2221

20

19

Règle du jeu :

par équipe de 3

Chaque équipe jette le dé à tour de rôle, et avance d ’autant de case qu ’il y a de point sur le dé.

Pour que le déplacement soit validé il est nécessaire que l ’équipe réalise la figure ou tienne la pyramide 2 secondes sans tomber.

Cases 6 et 18: score validé sans exécuter de figure.

Case 12: Reculer de 2 cases

Case 24 : retour à la case départ.

- E. Berthiller - .

FPC Lyon sud 1 - E. Berthiller - 2000.

THEME : SE RENVERSER

Compétences propres

- construire des positions et postures essentielles à l ’activité.

- Adapter sa motricité aux différents appareils (ou entre partenaires)

- construire la position de référence: appui manuel renversé

-prendre et tenir une position de référence

-construire des repères spatio-temporels d ’ordre visuel, auditifs …etc. dans des situations inhabituelles.

- adapter des formes techniques construites antérieurement, aux nouveaux pouvoirs moteurs de l’élève.

- produire un effet émotionnel repérable par le spectateur


Compétences spécifiques

- se renverser corps tendu

- se poser pour soutenir un partenaire

- Coordonner les actions se renverser, s’équilibrer avec un partenaire pour produire une forme technique- Créer des impulsions pour réaliser des actions dans un espace éloigné de l’agrès

- coordonner un redressement avec un renversement pour enchaîner un élément dynamique.

Figures de références

Tâches d’apprentissages

20

FPC Lyon sud 1 - 2000.

THEME : FRANCHIR


- Présenter des difficultés simples avec une intention esthétique et /ou acrobatique.

- Adapter sa motricité aux différents appareils (ou partenaires)

-passer d ’une façon dynamique d ’un point à un autre

-construire des repères spatio-temporels d ’ordre visuel, auditifs …etc. dans des situations inhabituelles.

- adapter des formes techniques construites antérieurement, aux nouveaux pouvoirs moteurs de l ’élève.




- Franchir un obstacle, avec ou sans appui dynamique des mains sur l ’obstacle.

- créer des impulsions en coopération pour réaliser des actions dans un espace éloigné du sol.

- maîtriser l ’équilibre du corps dans un déplacement aérien réalisé à partir d ’une impulsion manuelle.


Tâches d ’ apprentissages

Franchissement écart avec appui manuel sur les mains du porteur

Renversement arrière par dessus le dos du porteur

Roue sur les genoux du porteur

Renversement arrière au dessus du porteur

Sauter accroupi sur une caisse

Roulade par dessus un tapis mousse

Sauter par dessus une caisse rechercher

Saute mouton

Sauts de lapins pour le renforcement de l ’appui manuel.

Sauter par dessus une caisse rechercher l ’amplitude du 2ème envol en arrivant en contre haut

Renversement départ assis sur un plinth

Roue avec appui sur un plinth

21

FPC Lyon sud 1 - 2000.

THEME : TOURNER EN AVANT




-passer d’une façon dynamique d ’une position à d ’ autre-construire des repères spatio-temporels d’ordre visuel, auditifs …etc. dans des situations inhabituelles.- coordonner des actions de plus en plus complexes simultanément et successivement.





-tourner en avant corps groupé avec appui des mains.- établir une continuité d ’action entre plusieurs éléments simples.


- coordonner des actions pour produire une forme technique

- maîtriser l’équilibre du corps dans un déplacement aérien réalisé à partir d ’une impulsion manuelle.



But : Rouler en contre bas sur plan incliné.Consignes: départ accroupi - se relever sans les mainscritères de réussites: rotation dans l ’axe. redressement sans les mainscritère d ’efficacité: accélération lors de la phase de renversement

Les 2 gyms roulent en avant

-1- Pose de la tête et des mains-2- pose des mains arrivée fesses-3- tourner sans poser les mains-4- idem + mains tapent le tapis en fin de rotation, arrivée accroupi.-5- arrivée debout.Variables : hauteur du tapis

intégration d ’une course d ’élan

Saut de mains avec parade à 2 aux 2 ceintures en se donnant la main.

22

FPC Lyon sud 1- 2000.

THEME : TOURNER EN ARRIERE




- passer d ’une façon dynamique d ’une position à d ’ autre- construire des repères spatio-temporels d ’ordre visuel, auditifs …etc. dans des situations inhabituelles.- coordonner des actions de plus en plus complexes simultanément et successivement.





-tourner en avant corps groupé avec appui des mains.- établir une continuité d ’action entre plusieurs éléments simples.


- coordonner des actions pour produire une forme technique

- maîtriser l ’équilibre du corps dans un déplacement aérien réalisé à partir d ’une impulsion manuelle.



Flexion de la jambe d ’appui pour arriver assis et roulade arrière

De la compensation rouler en arrière.

Variante : départ jambes tendues

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De la position rouler en arrière sur 1 gros tapis

De la position sauter en arrière et rouler

Tourner en arrière par dessus le dos du porteur

Rebond sur le trampoline sauter en arrière pour se réceptionner sur le dos sur les tapis et tourner en arrière

Renversement arrière par dessus le dos du porteur

23

FPC Lyon sud 1- 2000.

THEME : Synchroniser



- produire une continuité des actions réalisant le cas échéant une interaction entre le corps et la musique;

- coordonner des actions de plus en plus complexes successivement et en simultanéité.- construire des repères spatio-temporels d’ordre visuel, auditifs …etc. dans des situations inhabituelles.- savoir composer un enchaînement dans un espace donné en utilisant un ensemble d’éléments permettant de diversifier le choix et l ’articulation des difficultés entre elles

-distribuer dans le temps des éléments au cours d ’un enchaînement de façon à alterner des temps d ’effort important et ceux de moindre effort, pour permettre la réussite des élément les plus difficiles.- produire un effet émotionnel repérable par le spectateur- enchaîner au moins 2 figures dans une réalisation continue.



- Etablir une continuité de réalisation entre plusieurs éléments simples.

- investir l ’espace en enchaînant différents éléments gymniques.

-coordonner un ensemble d ’actions dynamiques et statiques en relation avec un partenaire.

- coordonner par transition courte de 3 à 5 éléments



En duo

travail en canon départ du second est déclencher par la fin du mouvement du premier

marche, foulées bondissantes , sauts

rotation avant (roulade)

En trio

idem 6ème avec des phrases plus longues.

Sauts avec girations,

renversements (roue, équilibre …)

rotation arrière (roulade)

En quatuor

même rythme avec des mouvements ou figures différentes

déplacements avec franchissement

renversements avec rotation avant (st de mains, rondade, roue…)

Par 2 de front : partir du même point et en même temps faire 3 pas en simultané

- idem avec frappe des mains à chaque pose d ’appui

- idem avec pose des appuis dans des zones matérialisées

variable : on allonge progressivement les zones pour arriver aux foulées bondissantes.

Exemple d ’enchaînement : 3 pas marchés - roulade avant - saut en extension

Exemple d ’enchaînement : 3 pas courus- saut enjambé - tour complet - roue - roulade - saut 1/2 tour.

Exemple d ’enchaînement : 3 pas courus-franchissement saut rondade - roulade.

Idem cycles précédents avec

Travail de rythmes différents : tempo -variation d ’énergie

Idem cycle précédent avec

perte momentanée de repères visuels sur le (s) partenaire(s).

Utilisation de repères sonores (frappes dans les mains, musique …)

24

Pou r u n PR O GR AM M E en ACR O SPO R T

Les démarches

possibles

Programme de type concentrique- il y a approfondissement des apprentissages de la 6ème à la terminale.

-la base large au départ, se restreint progressivement pour arriver à une spécialisation (à l ’initiative de l ’enseignant et/ou des élèves).

Exemple sur une pyramide:

6ème: pyramide à 2 avec 4 appuis entre partenaires.

3ème: pyramide à 4 avec 2 appuis entre partenaires.

Programme de type cumulatif / extensifA partir de la définition de l ’ensemble des savoirs à acquérir sur la scolarité, on procède à une répartition de cet ensemble de la 6ème à la terminale en allant autant que faire ce peu du simple au complexe.

Mais ce qui est étudié en 6ème n ’est pas revu en 3ème.

Exemple:

6ème: sol et saut.

3ème: parallèles, fixe, asymétriques...

Comment aborder la répartition des

apprentissages en gymnastique ?

A partir des familles:

liste des savoirs-faire possibles, hiérarchisation puis choix.

A partir des savoirs-fairegymniques:

liste des savoirs-faire référés à des familles, hiérarchisation puis choix.

A partir des capacité générales exigées par l ’activité gymnique:

liste des capacités, choix, repérage et liste des tâches gymniques qui exiges ces capacités, référence à des familles, hiérarchisation puis choix.

PYRAMIDE

modèle du haut niveau

Activité de déduction

Approche, ordre de monté, procédures pour se mettre en

place, procédure et ordre pour sortir de la position

ACROSPORT comme PRODUIT

Equilibration à plusieurs, axes de complexification

ACROSPORT comme PROCESSUS

production de formes techniques

Différents niveaux de réalisation de la

pyramide

Activité de construction

Gym scolaire comme pratique o

riginaleGym scolaire co

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- E. Berthiller -.

25

- E. Berthiller

LES PROGRAMMES

Programme 6ème .A. du 18.06.1996;BO 29 du 18.07.96

Compétences généralesA. Identifier le but, les résultats et les principaux critères de réussite de l ’action motrice;

B. Connaître les risques liés à l ’activité et à l ’environnement matériel.

C. Maîtriser ses émotions.

D. Se construire un regard à la fois critique et tolérant sur laproduction d ’un autre élève.

Compétences spécifiquesn°1. Se renverser corps tendu

n°2. Tourner en avant, corps groupé avec appui des mains.

n°3. Tourner en arrière, corps groupé avec appui des mains.

n°4. Créer et contrôler une rotation longitudinale.

n°5. Franchir un obstacle, avec appui dynamique des mains sur l ’obstacle.

n°6. Etablir une continuité de réalisation entre plusieurs éléments simples.

n°7. Parer un camarade et /ou l ’aider à réaliser un élément non périlleux.

Programme 5è-4è.programme d accompagnement

Compétences généralesA. Mettre en relation des repères sensoriels éprouvés lors de la réalisation d ’une action et les résultats de ses actions.

B. Se donner des indicateurs fiables pour une meilleure connaissance de ses résultats.

C. Vivre différents rôles.


n°1. Se balancer en appui et en suspension

n°2. Coordonner des actions (tourner sauter se renverser, se balancer) pour produire une forme technique.

n°3. Créer des impulsions pour réaliser des actions dans un espace éloigné de l ’agrès.

n°4. Investir l ’espace de l ’agrès en enchaînant différents éléments gymniques.

n°5. Juger la prestation d ’un autre élève.

Programme 3è.programme d ’accompagnement

Compétences généralesA. Adapter ses savoirs moteurs à ses nouveaux pouvoirs physiques.

B. Connaître les facteurs de la création d ’un sentiment émotionnel et en repérer les effets sur un spectateur.

C. Construire les facteurs permettant la continuité de l ’action.

D. Structurer une production pour permettre une meilleure réussite des actions complexes.

Compétences spécifiques (Spirales 3 Vol 2 p 212)n°1. Maîtriser l ’équilibre du corps dans un déplacement aérien réalisé à partir d ’une impulsion manuelle.

n°2. Coordonner un redressement à un renversement : le déplacement quadrupédique intègre le passage à l ’ATR.

n°3. Tourner en suspension autour d ’un axe fixe ou semi mobile en y associant ou non des girations.

n°4. Tourner proche d ’un axe en appui manuel.

n°5. Coordonner par transition courte et dynamique de 3 à 5 éléments sur 1 ou plusieurs appareils

n°6. S ’engager dans des rôles et tâches inhérents à l ’activité gymnique.

26

d ’attitude

- coopérer dans un groupe restreint pour permettre un apprentissage

- accepter de se présenter devant un groupe restreint et être jugé

accepter de juger

- passer d ’une activité fonctionnelle avec prédominance de l ’émotion à une activité de performance ( faire plus difficile) gymnique


- adapter sa motricité aux différents appareils dans des situations inhabituelles: monter sur, tourner autour …etc.

-construire les positions et postures essentielles à l ’activité (appuis, suspensions…)

- Présenter des difficultés simples avec une intention esthétiqueou acrobatique.

- produire une continuité des actions réalisant le cas échéant, une interaction entre le corps, les engins et la musique.

Compétences généralesA. Identifier le but, les résultats et les principaux critères de réussite de l ’action motrice;

B. Connaître les risques liés à l ’activité et à l ’environnement matériel.

C. Maîtriser ses émotions.

D. Se construire un regard à la fois critique et tolérant sur laproduction d ’un autre élève.

Compétences spécifiquesn°1. Se renverser corps tendu

n°2. Tourner en avant, corps groupé avec appui des mains.

n°3. Tourner en arrière, corps groupé avec appui des mains.

n°4. Créer et contrôler une rotation longitudinale.

n°5. Franchir un obstacle, avec appui dynamique des mains sur l ’obstacle.

n°6. Etablir une continuité de réalisation entre plusieurs éléments simples.

n°7. Parer un camarade et /ou l ’aider à réaliser un élément non périlleux.

N°8. Se poser pour soutenir un partenaire

Programme 6ème .A. du 18.06.1996;BO 29 du 18.07.96

moteurs- accepter de se renverser

- dissocier les temps de vol, d ’impulsion et de réception

- prendre une posture en l ’air

- construire de nouveaux repères

- construire la verticale renversée ou le point dynamique aérien comme frontière entre le monter et descendre

- coordonner des déplacements alternatifs et simultanés à plusieurs

- maintien de la posture groupée pendant la rotation

- dissocier action des jambes de celle des bras

- synchroniser son action avec celle d ’un partenaire

de connaissances et de méthodes

- reconnaître les savoirs-fairesréalisés, les nommer, les hiérarchiser (connaissance du code)

- connaître les espaces gymniques

- connaître et appliquer les règles de sécurité et les règle de vie dans le gymnase.

Cours licence éducation et motricité - GYM - E. BERTHILLER

Situation de référence :

Page 9

Contenus d ’enseignement

Par groupe de 2 réaliser un enchaînement de 5 figures en statique et un enchaînement de 5 figures en dynamique prises dans le code construit.

surface disponible équivalent de 6 tapis type sarneige

pas de tapis de réception l ’ensemble des figures doivent être maîtrisée

chaque gymnaste doit passer porteur et voltigeur sur au moins 2 figures

chaque gymnaste doit passer au moins une fois en situation renversée

dans l ’enchaînement en statique 2 figures doivent être en compensation

dans l enchaînement en dynamique au moins 1 franchissement et un enchaînement de 2 figures en simultanée

27

Programme 5è-4è.programme d accompagnement

Compétences généralesA. Mettre en relation des repères sensoriels éprouvés lors de la réalisation d ’une action et les résultats de ses actions.

B. Se donner des indicateurs fiables pour une meilleure connaissance de ses résultats.

C. Vivre différents rôles.

Compétences spécifiquesn°1. Coordonner des actions (tourner, sauter, se renverser,

s ’équilibrer avec un partenaire) pour produire une forme technique.

n°2. Créer des impulsions en coopération pour réaliser des actions dans un espace éloigné du sol.

n°3. Investir l ’espace en enchaînant différents éléments gymniques.

n°4. Juger la prestation d ’un autre élève.

moteurs- accepter de se renverser

- dissocier les temps d ’impulsion, de vol et de réception


- construire de nouveaux repères

- construire la verticale renversée ou le point dynamique aérien comme frontière entre le monter et descendre

- coordonner des déplacements alternatifs et simultanés

- maintien de la posture groupée, carpée ou tendue pendant la rotation

- dissocier action des jambes de celle des bras

de connaissances et de méthodes

- connaître les caractéristiques de l ’espace gymnique investi à plusieurs et en circonscrire les limites (spatiale et physique).

- faire varier les différents paramètres (vitesse amplitude…etc.) de réalisation d ’un même savoir - faire

- éprouver les actions gymniques sur l ’ensemble des familles pour en retenir des règles d ’efficacité.

- connaître et appliquer les règles de sécurité et les règles de vie dans le gymnase.

- reconnaître les savoirs -faire et en apprécier les différents niveaux de réalisation.

d ’attitude- coopérer dans un groupe restreint pour permettre un apprentissage et confronter ses conclusions à un groupe élargi.

- accepter de se présenter devant la classe et être jugé.

- accepter de juger

- passer d ’une activité de performance à une activité technique (expliquer comment-on s’y prend pour réussir).

Tâche : exécuter par trois un mouvement coordonné de 6 éléments au moins intégrant production statique (pyramide) et dynamique (simultané et complémentaire),avec un passage acrobatique vers l ’avant, vers l ’arrière; un passage en position renversée et un élément aérien.

Dispositif : minimum 6X6 avec possibilité de tapis de réception en cas d ’élément acrobatique à risque (passage tête en bas avec perte de repère visuel).

Evaluation : 6 éléments sont pris en considération

12 points sur la motricité (6 X 2 Max.)

6 points sur la difficulté

2 points sur l ’utilisation de l ’espace

Situation de référence :

- E. Berthiller.

Compétences propresConstruire la position de référence: appui manuel renversé

Prendre et tenir des positions de référence, passer de façon dynamique d ’une position à d ’autres; reproduire des formes techniques et en produire de nouvelles.

Construire des repères spatio-temporels d ’ordre visuel, auditifs et proprioceptifs dans des actions inhabituelles.

Coordonner des actions de plus en plus complexes, successivement et simultanément.

Savoir composer un enchaînement, dans un espace donné, en utilisant un ensemble d ’éléments permettant de diversifier le choix et l ’articulation des difficultés entre elles.

Assumer sa silhouette dans ou devant un groupe; lier efficacité et esthétique.


28

d ’attitude- accepter de se présenter devant la classe en situation d ’examen et d ’être jugé.

- accepter d ’assumer les différents rôle sociaux de : porteur, voltigeur, juge, conseillé, spectateur, pareur ...

- dépasser l ’activité de performance pour confronter son activité technique à un celle d ’un groupe en vue de la réalisation d ’un projet.

Programme 3è.programme d ’accompagnement

Compétences spécifiques (Spirales 3 Vol 2 p 212)n°1. Maîtriser l ’équilibre du corps dans un déplacement aérien réalisé à partir d ’une impulsion manuelle.

n°2. Coordonner un redressement à un renversement : le déplacement quadrupédique intègre le passage à l ’ATR.

n°3. Coordonner un enchaînement d ’actions dynamiques et statiques en relation avec un partenaire.

n°4. tourner.

n°5. Coordonner par transition courte et dynamique de 3 à 5 éléments

n°6. S ’engager dans des rôles et tâches inhérents à l ’activité gymnique.


connaissances et de méthodes- identifier les productions gymniques par connaissance de la logique du code :

savoir hiérarchiser et complexifier les productions statiques et dynamiques,

savoir décrire la forme d ’une production,

savoir classer les savoir - faire selon une structure de parenté.

- réguler son activité sur la base du rapport: résultat de l ’action - moyens mis en œuvre pour obtention de ce résultat.

- connaître et appliquer les règles de sécurité et les règles de vie dans le gymnase.Assurer l ’aide et la parade.

moteurs- construire une trajectoire parabolique

- augmenter les vitesses de mise en élan et reprendre de l ’amplitude par l ’action dissociée des ceintures


- construire les repères spatiaux - temporels à partir desquels se fait la coordination

- assurer prioritairement le redressement par le haut du corps

- agir et réagir avec un partenaire pour exécuter un projet gymnique

- construire la position renversée comme repère d ’une locomotion manuelle vers le haut

- anticiper l ’organisation d ’une action par dissociation des temps, position et posture de l ’action précédente.

Cours licence éducation et motricité - GYM -E BERTHILLER Page 11

Compétences généralesA. Adapter ses savoirs moteurs à ses nouveaux pouvoirs physiques.

B. Connaître les facteurs de la création d ’un sentiment émotionnel et en repérer les effets sur un spectateur.

C. Construire les facteurs permettant la continuité de l ’action.

D. Structurer une production pour permettre une meilleure réussite des actions complexes.

Situations de références :

Compétences propres- adapter des formes techniques, construites antérieurement, aux nouveaux pouvoirs moteurs de l ’élève.

- Produire un effet émotionnel repérable sur le spectateur.

- Enchaîner au moins deux éléments dans une réalisation continue.

- Distribuer dans le temps des éléments au cours d ’un l ’enchaînement de façon à alterner les temps d ’effort important et ceux de moindre effort, pour permettre la réussite des éléments les plus difficiles.

Réaliser un enchaînement à 2, 3, ou 4 de 10 figures prises dans le code de l ’établissement sur un espace de 6m au moins de coté; le tapis de réception est autorisé pour une partie de production de grande amplitude ou pour un élément gymnique périlleux (salto, saut de mains, flip …)

- le ou les porteurs devront passer au moins 1 fois voltigeur

- la production devra comporter une partie statique en empilement et en compensation et une partie dynamique simultanée, complémentaire et une partie avec franchissement,

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batiq

ue e

t es

thét

ique

dan

s le

re

spec

t du

code

de

réfé

renc

e N

IVE

AU

2

Con

cevo

ir, c

onst

ruire

, ré

alis

er c

olle

ctiv

emen

t de

vant

un

publ

ic é

larg

i et

jug

er u

n sp

ecta

cle

gym

niqu

e co

nstit

ué d

e fig

ures

dyn

amiq

ues

et s

tatiq

ues

com

posé

es à

par

tir d

e de

ux t

ypes

de

form

atio

ns d

iffér

ente

s et

ave

c un

sup

port

mus

ical

qui

int

ègre

les

di

men

sion

s acr

obat

ique

et e

sthé

tique

dan

s le

resp

ect d

u co

de d

e ré

fére

nce

POIN

TS

À

AFF

EC

TE

R

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EN

TS

À É

VA

LU

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NIV

EA

U 1

NO

N A

TT

EIN

T

DE

GR

É D

’AC

QU

ISIT

ION

DU

NIV

EA

U 1

D

EG

RÉ

D’A

CQ

UIS

ITIO

N D

U

NIV

EA

U 2

Diff

icul

tés e

t réa

lisat

ion

du p

roje

t E x

igen

ces :

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équ

ipe

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ou

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duct

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un

doub

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u un

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n m

iroir,

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son

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ne p

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te d

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pre

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eux

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ne fi

n. C

haqu

e él

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doit

être

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ne fo

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une

fois

por

teur

. Duo

s et

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mid

es so

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aint

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deu

x se

cond

es (s

inon

ils n

e so

nt p

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ompt

abili

sés)

. Dur

ée e

ntre

1'3

0 et

2 '.

Diff

icul

tés =

6 p

oint

s : P

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es d

uos,

les é

lém

ents

sont

cho

isis

dan

s les

cat

égor

ies A

(0,4

), B

(0,6

), C

(0,8

), D

(1) d

es g

rille

s duo

. Des

él

émen

ts p

euve

nt ê

tre c

onçu

s ou

impo

rtés d

'autre

s cod

es. I

l con

vien

t de

leur

don

ner u

ne v

aleu

r en

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tion

de le

ur d

iffic

ulté

estim

ée (A

, B, C

, D

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es é

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ents

de

liais

on, q

ui p

euve

nt ê

tre in

divi

dual

isés

, son

t réf

érés

au

code

sol U

NSS

98

(A =

0,4

, B =

0,6

, C =

0,8

, D =

1).

Les

pyra

mid

es v

alen

t de

0,5

à 2

poin

ts :

trois

éta

ges o

u ha

uteu

rs le

s déf

inis

sent

( vo

ir co

de U

NSS

).

14/2

0

Exé

cutio

n in

divi

duel

le e

t col

lect

ive

* =

8 po

ints

Tout

e ex

igen

ce m

anqu

ante

ou

non

réal

isée

est

pén

alis

ée d

e 2

poin

ts

Tem

ps in

férie

ur à

1'3

0 =

1 po

int,

Tem

ps su

périe

ur à

2 '

= 0,

4 po

int,

Sorti

e du

pra

ticab

le =

0,2

poi

nt, U

tilis

atio

n in

suffi

sant

e de

l'es

pace

= 0

,2 –

0,

4 ou

0,6

poi

nt.

Dés

équi

libre

lors

du

mon

tage

et d

u dé

mon

tage

= 0

,2 -

0,4

– 0,

6 po

int,

Chu

te d

u ou

des

vol

tigeu

rs =

1 p

oint

, Chu

te c

olle

ctiv

e =

1 po

int

Duo

ou

pyra

mid

e dé

séqu

ilibr

és =

0,2

– 0

,4 –

0,6

poi

nt, M

anqu

e de

sync

hron

isat

ion

avec

le su

ppor

t ryt

hmiq

ue =

0,2

- 0

,4 -

0,6

poi

nt.

03

/20

Proj

et c

olle

ctif

Prés

enta

tion

du p

roje

t som

mai

re

Proj

et m

inim

al e

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adéq

uatio

n av

ec le

s re

ssou

rces

des

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ves

Proj

et p

rése

nté

avec

cla

rté

Tous

les i

ndic

ateu

rs so

nt p

rése

nts

Proj

et ré

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te q

ui ré

pond

en

tota

lité

aux

exig

ence

s de

l’épr

euve

Proj

et p

rése

nté

avec

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et q

ui p

rése

nte

de l’

orig

inal

ité, d

e la

vi

rtuos

ité e

t qui

répo

nd a

ux e

xige

nces

dé

finie

s au

nive

au 1

03/2

0

Rôl

e de

juge

C

onna

issa

nce

appr

oxim

ativ

e, le

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men

t est

so

mm

aire

sans

arg

umen

ts.

Écar

t de

nota

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très i

mpo

rtant

ave

c le

pr

ofes

seur

( pl

us d

e 4

poin

ts /2

0 ) =

1 p

oint

.

Con

nais

sanc

e de

s exi

genc

es q

ui p

erm

et d

e do

nner

les c

ritèr

es d

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erva

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utili

sés p

our

juge

r les

élé

men

ts te

chni

ques

. Éc

art d

e no

tatio

n ré

duit

( 3 p

oint

s/20

) =

2 po

ints

Les c

ritèr

es d

’obs

erva

tion

sont

maî

trisé

s au

x ni

veau

x te

chni

que

et c

horé

grap

hiqu

e.

Écar

t de

nota

tion

rece

vabl

e ( 2

poi

nts/

20 )

= 3

poin

ts

CO

MM

EN

TA

IRE

S : *

Les n

otes

sont

indi

vidu

elle

s car

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s pre

nnen

t en

com

pte

la p

rest

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n co

llect

ive

et la

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stat

ion

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au

sein

du

colle

ctif.

EVA

LUA

TIO

N A

CR

OSP

OR

T

BAC

CA

LAU

RE

AT

SESS

ION

200

3

Prin

cipe

de

l’épr

euve

: de

vant

un

publ

ic, p

rodu

ctio

n co

llect

ive

de 1

’30

à 2’

par

grou

pe d

e 4

ou 6

gym

naste

s. Ly

cée

AM

PER

E Ex

igen

ces d

e co

mbi

naiso

n : 1

intro

duct

ion

statiq

ue o

u dy

nam

ique

, 1 d

oubl

e ou

E.

P.S.

tri

ple

duo

en m

iroir;

2 li

aiso

ns d

ynam

ique

s diff

éren

tes ;

1 p

yram

ide

statiq

ue e

t 1

fin

Chaq

ue g

ymna

ste d

oit p

asse

r au

moi

ns u

n fo

is po

rteur

et u

ne fo

is v

oltig

eur.

Proj

et d

e gr

oupe

: N

OM

P

réno

m

Clas

se

NO

M

P

réno

m

Clas

se

dédu

ctio

ns

SOU

S TO

TAL

Diff

icul

té :

/

06

poin

ts

/0

6 Ex

igen

ces :

-

2 pt

s par

ex

igen

ces m

anqu

ante

s

Dés

équi

libre

s -

0,6p

t chq

fois

Ch

utes

: - 1

poi

nt c

hq fo

is

Exéc

utio

n :

/0

8 po

ints

Man

que

de sy

nchr

onis

atio

n en

tre l

es g

ymna

ste

et/o

u pa

r rap

port

au su

ppor

t mus

ical

: -

0,6

poin

t

/08

Clar

té

1,5

poi

nt

Proj

et /

03

poin

ts O

rigin

alité

- Virt

uosit

é 1

,5 p

oint

/03

Maî

trise

des

crit

ères

d’o

bser

vatio

n te

chni

que

et

chor

égra

phiq

ue

1,5

poi

nt

Ju

gem

ent :

Ecar

t de

note

fina

le d

e 2

; 3 o

u 4

poin

ts 1

,5

poin

t

/03

TOTA

L :

/20

1

2 3

4 5

6 7

8 9

10

sché

ma

Val

eur

/1pt

Exig

ence

Exéc

utio

n

FIC

HE

JUG

EMEN

T EV

ALU

ATI

ON

AC

RO

SPO

RT

BAC

CA

LAU

REA

T SE

SSIO

N 2

003

Pr

inci

pe d

e l’é

preu

ve :

deva

nt u

n pu

blic

, pro

duct

ion

colle

ctiv

e de

1’3

0 à

2’pa

r gro

upe

de 4

ou

6 gy

mna

stes

. Ly

cée

AM

PER

E Ex

igen

ces d

e co

mbi

naiso

n : 1

intro

duct

ion

stat

ique

ou

dyna

miq

ue,1

dou

ble

ou tr

iple

duo

en

miro

ir;

E.P.

S.

2 lia

isons

dyn

amiq

ues d

iffér

ente

s ; 1

pyr

amid

e sta

tique

et 1

Fin

.

Chaq

ue g

ymna

ste

doit

pass

er a

u m

oins

un

fois

porte

ur e

t une

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volti

geur

.

JUG

E :

grou

pe N

°1:

dédu

ctio

ns

SOU

S TO

TAL

Diff

icul

té :

/

06

poin

ts

/0

6 Ex

igen

ces :

-

2 pt

s par

ex

igen

ces m

anqu

ante

s

Dés

équi

libre

s -

0,6p

t chq

fois

C

hute

s : -

1 po

int c

hq fo

is

Exéc

utio

n :

/0

8 po

ints

Man

que

de sy

nchr

onisa

tion

entre

les

gym

naste

et/o

u pa

r rap

port

au su

ppor

t mus

ical

: -

0,6

poin

t

/08

TOTA

L :

/14

grou

pe N

°2:

dédu

ctio

ns

SOU

S TO

TAL

Diff

icul

té :

/

06

poin

ts

/0

6 Ex

igen

ces :

-

2 pt

s par

ex

igen

ces m

anqu

ante

s

Dés

équi

libre

s -

0,6p

t chq

fois

C

hute

s : -

1 po

int c

hq fo

is

Exéc

utio

n :

/0

8 po

ints

Man

que

de sy

nchr

onisa

tion

entre

les

gym

naste

et/o

u pa

r rap

port

au su

ppor

t mus

ical

: -

0,6

poin

t

/08

TOTA

L :

/14

1

2 3

4 5

6 7

8 9

10

Exig

ence

IN

TRO

Val

eur

/1pt

Exéc

utio

n

1

2 3

4 5

6 7

8 9

10

Exig

ence

IN

TRO

Val

eur

/1pt

Exéc

utio

n

33

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