n°67 - Janvier 2008

M9~I~~~y

L . . ~ a VJ/Je qui vous 'J3 'Q\e

Chères lgnymontaines, Chers lgnymontains,

Nous voilà re­partis pour une nouvelle an­née.

J'espère que vous avez pris le temps de vous re.ssour­cer en famille à l'occasion des fêtes de Noël avant de partir du bon pied, forts des bonnes décisions et des engage­ments que l'on prend traditionnel­lement à cette période.

Pour la ville, cette fin d'année a été marquée par deux faits signi­ficatifs : la signature de la convention avec la Préfecture des Yvelines et les bailleurs sociaux, qui fait de Montigny-le-Breton­neux la ville pilote dans les Yve­lines pour une gestion plus effi­cace du parc de logement social.

Le second élément a été la créa­tion d'une zone à stationnement réglementée dite zone bleue, dans deux quartiers de la ville, à la Sourderie et au Village,· afin là aussi de mieux gérer l'espace et de le partager au quotidien.

En ce début d'année, je souhaite à chacun d'entre vous bonheur, santé, épanouissement familial et professionnel.

Ma plus grande satisfaction est de vous savoir heureux, heureux de vivre à Montigny. Bonne année à tous.

votre maire, MichellAUGIER

t Logement MONTIGNY INNOVE EN MATIÈRE DE LOGEMENT SOCIAL

t Quartiers VICTORIA GLAIM, L'HUMOUR EN BANDOULIÈRE

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1 •

Une nouvelle année s'ouvre sur un calendrier riche en rendez-vous pour votre commune. Vous en retrouvereztue,guesjalons et quelques avant-goûts dansks pages.~ cette édition. Les électeurs seront aux urnes en mars pour les élections municipales et cantonales, la Ca­valcade se la joue aux couleurG"du monde en juin. Le Vide-Greniers, le forum de rentrée, la Se­maine du Handicap, la féte des Voisins et le reste sont plus que jam(J.Is ô l'ordie du jour.

Pensez au disque place J. Coeur et

place des ymRhes

pageS

t Culture OCLAIRDELA LUNE, LE TH~ATRE DE LA DIFF~RENCE

pogeJJ

t Sports ZOOM SUR LE TWIRLING BATON

poge14

FOOT- DE 16 ANS: FRANCE ET IRLANDE SE NEUTRALISENT A LACOULDRE

Pll9• 14

t Rétro 2007 UNEANN~E IGNYMONTAINE EN IMAGES

L'ignymontain,le journal de Montigny-le-Bretonneux - Hôtel de Ville - 66, rue de la mare-aux-carats 78180 Montigny-le-Bretonneux - tél : 01 39 30 31 32 - fax : 01 39 30 31 33 - mel :journal@montigny78.fr

R e t r o u vez c h a q u e m o i s L 'i g n y m o n ta i n e n 1 i g n e s u r 1 e s i te i n t e rn e t de 1 a v i Ile h t t p : 11 w w w . .m o n.t i g n y 7 8 . fr

SOMMAIRE page 3ACTU ;

Nouvelle collecte des déchets ménagers en avril 2008- Le calendrier 2008 de Montigny.

page4ACTU : Montigny innove en matière de logement so­cial- Au dernier conseil- Les pompiers au rap­port devant la mairie.

page 5 ACTU ; Forums lycéens - Conférence familiale - Re­tour sur le Téléthon 2007.

page6 ACTU : Retour sur Noël fêté à Montigny.

page7 ACTU : L'année 2007 à Montigny dans le rétro

page 8 ACTU: Deux zones bleues dans les quartiers. Les tri­bunes du conseil.

page 9 ECONOMIE: La VAE, diplôme de l'expérience- Zoom sur l'entreprise Freevolt.

pages 10 et 11 QUARTIERS : Les Noëls des quartiers - Rencontre avec Guy Brochot et Nadine Gilbert- Monty-Chars dé­ménage - Réunions publiques, suite - Ren­contre avec Victoria Glaim, humoriste- Place Pompidou, priorité piétons.

pages 12. et 13 CULTURE; L'initiation au Conservatoire de musique -Rencontre avec Zaka's band - Le paradis de Christophe Maé- Les rendez-vous du mois- 0 Clair de la lune, le théâtre de la différence -James Dea no en février à Montigny.

pages 14 et 15 : SPORT Zoom sur la section Twirling bâton et sur le Téléthon- Nouvelle équipe pour I'ASMB Golf - Foot : France et Irlande se neutralisent à la Couldre- La relaxation avec Phare.

page 16 JEUX · ANNONCES

Au cinéma Jacques Brel ce mois-ci IL ETAIT UNE FOIS 2.007 (1h48) Film d'animation comique américain de Kévin Lima avec Amy Adams, Patrick Dempsey, James Marsden La très belle princesse Giselle est bannie de son royaume magique de dessin animé et de mu­sique par la méchante reine. Elle se retrouve à Manhattan ...

MER 01/01 (17h), JEU 03/01 (10h30), VEN 04/01 (16h), SAM 05/01 (17h)

COMME TON PERE 2006 (1h35) Comédie dramatique française de Marco Car­mel avec Richard Berry, Gad Elmaleh, Yaël Abe­cassis 1968. La famille Maïmon débarquent à Mar­seille. Quelques années plus tard, à peine ins­tallé à Belleville, Félix fait la connaissance de Serge, un parrain local avec qui il se lie d'amitié. Serge entraîne Félix sur les chemins du grand banditisme.

MER Ol/01 (10h30), VEN 04/01 (10h30), SAM 05/01 (10h30), DIM o6/01 (18h -10h30)

TOUS A L'OUEST, une aventure de Lucky Luke 2.007 (1h30) Film d'animation français de Olivier Jean-Marie avec les voix de Lambert Wilson, Clovis Cor­nillac, François Morel New York, 1855. Lucky Luke escorte les Dalton pour un énième procès. Inévitablement, les quatre affreux s'évadent et pillent en règle les nombreuses banques de la future Grosse Pom­me. Joe Dalton planque le magot dans le cha­riot d'une caravane d'immigrants.

SAM 12/01 (17h), DIM 13/01 (1oh -17h30), LUN 14/01 (10h30)

JE SUIS UNE LEGENDE 2.007 (1h49) Film science fiction américain de Francis La­wrence avec Will Smith, Sai li Richardson-Whit­field , Alice Braga A la suite d'une guerre biologique, la popula­tion se transforme peu à peu en mutants as­soiffés de sang . Robert Neville, le dernier hom­me sur Terre, organise sa survie ...

VEN 11/01 (10h30), SAM 12/01 (10h30), DIM 13/01 (15h -10h30)

LA CLEF 2.006 (1h55) Thriller français de Guillaume Nicloux avec Guillaume Canet, Marie Gillain, Vanessa Paradis

Depuis peu Eric Vincent, trentenaire sans his­toire, a un fort sentiment de malaise. Est-ce la peur d'avoir un enfant ou celle de voir brutale­ment resurgir le fantôme d'un père qu'il n'aja­mais connu ? Un matin, un inconnu l'appelle pour lui proposer de récupérer les cendres de son père.

MER 16/01 (10h30), SAM 19/01 (10h3o), DIM 10/01 (18h -10h30)

BIG CITY 2.006 (1h4o) Western français familial de Djamel Bensalah avec Vincent Valladon, Paoli na Biguine, Jérémy Denisty Dans les années 1880, la petite ville de Big City attend l'arrivée d'une caravane de nouveaux immigrants. Hélas, la caravane est attaquée par les Indiens, et tous les adultes partent pour la défendre. Les enfants de Big City se réveillent orphelins et les enfants indiens ne vont pas tar­der à montrer le bout de leur nez ...

VEN 18/01 (10h30), SAM 19/01 (18h), DIM 10/01 (15h)

ALVIN ET LES CHIPMUNKS 2.007 (1h3o) Film animation comique américain de Tim Hill avec Jason Lee, David Cross, Cameron Richardson A l'approche de Noël, le sapin où vivent trois frères écureuils nommés Alvin, Simon et Théo­dore, est abattu et installé avec ses petits occu­pants dans le hall d'une maison de disques. Da­ve, chanteur-compositeur venu proposer une de ses chansons, repart sans le savoir avec dans son sac les trois joyeux rongeurs .. .

SAM 16/01 (15h -18h -10h30), DIM 17/01 (15h)

SI C'ETAIT LUI 2007 (1h28) Comédie romantique française de Anne-Marie Etienne avec Marc Lavoine, Carole Bouquet, Florence Foresti Valentin, un jeune homme à l'humour désespé­ré, a tout perdu. Il squatte chez un oncle absent dans les beaux quartiers. Sur le même palier, Hélène et son fils Jérémy. Valentin et hélène vont se cogner pour doucement se rapprocher et peut-être se rencontrer.

MER 13/01 (10h30), VEN 15/01 (10h30), DIM 17/01 (18h - 10H30)

Plein tarif : 5.3o€ -Tarif réduit : 3,5o€ Carte de 10 entrées : 35€ ~ : 01 30 4410 11 (répondeur) ou au 01 39 30 31 70 (Direction de la Culture).

L'lgnymontain, lejoumal de Montigny-le-Bretonneux

Directeur de la publication : Michel LAUGIER, maire Rédaction : 66, rue de la Mare aux Carats- 78180 Montigny-le-Bretonneux

Tél.: 01 39 30 31 30 Fax : 01 39 30 31 33 courriel : joumal@montlgnY?B.fr

Directeur de la rédaction : Yann Pasco Rédaction : Y. Pasco, Sandra Duranteau, c. Maraone, E. Dauberville, Marie Pivano Photos : Catherine Maraone, Yann Pasco Conception, mise en page : Y. Pasco, Samuel Chauvin Imprimerie: SEMIF HEBDOS: bd des Champs Elysées- 91002 Evry Cédex Distribution: ABC Distribution Abonnement : 8,4€ pour 11 numéros - contactez le Journal ISSN : 1241-6053

Ti r é A 2o.ooo exemplaires

sur papier recyclé.

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L'ignymontain www.montigny78.fr JAi'NIER 2008

L'agenda de janvier 2008 Du samedi 12. au dimanche 2.0

Exposition d'huiles par Laurence Pichot : "Transparences" Tous les jours de 14h à 18h - Maison Félix

Vendredi 11

Open Siam Session 19h30- Maison de quartiers Louis Jouvet

Samedi 12

Montylive Pop Rock 20h3o -Maison de quartiers Louis Jouvet

Mardi 15

Conférence d'histoire de l'art : "Calder" :wh - Conservatoire des Arts

Théâtre: "Le tour du monde en 8o jours" 20h30 - Salle Jacques Brel

Jeud i 17

Connaissances du Monde: "La Corse : belle et rebelle" 14h et 20h30 - Salle Jacques Brel

Du jeudi 17 janvier au samedi 2. février

Exposition de trois artistes : Patricia Le­roy, Jean-Max Pairault et Benoît Wiscart Horaires d'ouverture - Conservatoire des. Arts

Samedi 19

Inauguration des Petits Jeux Paul Fort 15h - sur place

Dimanche 2.0

Théâtre : "La Belle et la Bête" 20h30 -Salle Jacques Brel

Mardi 2.2

Théâtre : "Amour et Chipolatas" 20h30 - Salle Jacques Brel COMPLET

Samedi 2.6

Danse : "Carmen" COMPLET 20h30 - Ferme du Manet

Du samedi 2.6 janvier au dimanche 3 février

maire, l.augier et

le Conseil Municipal, vous présentent leurs meilleurs vœux pour cette nouvelle année.

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Exposition de Françoise Renou, Dominique Boitin, Maïté Bonis, Annick et Gérard Limeuil : "Eau, terre et couleurs" Du mercredi au vendredi 14h - 18h, le week-end 10h - 19h - Maison Félix

Mardi 2.9

Spectacle jeune public : "Ulysse le retour de Troie" 2oh - Salle Jacques Brel

Vendredi 1" février

Soirée crêpes avec le conseil de quartier Saint-Quentin 19h30 - Ecole Arthur Rimbaud

Samedi 2. février

Bourse Puériculture et ski de Montigny Inter Familles 9h - 16h - Tennis couverts Coubertin

Concert : "Jean-Louis Aubert" 20h30 - Ferme du Manet COMPLET

Etat-civil NAISSANCES

9 novembre 07 HENTATI Adam 10 novembre 07 PIETERWAS Théo

PUGET Valentin 14 novembre 07 GRICOURT Maxence 15 novembre 07 BARRIERE--CAZASSUS Clotilde YAVO Kyeran 16 novembre 07 SKI BINE !lian 20 novembre 07 COSAQUE Neil DEMASLES Vanessa

MAKWALA BEDA Syrianah-Dorothée 24 novembre 07 TERSAC Lou-Ann GUISL:AIN Margaux 25 novembre 07 SYTijane 27 novembre 07 HAMDI Sanae 2.8 novembre 07 TEXIER Nicolas 1« décembre 07 BELKADI Yacine 3 décembre 07 TINJUS Enzo NIVOIX Clémence 5 décembre 07 BERNIER Noémie 6 décembre 07 HAMADA Assy a RENAUD--RIOUAL Enora

7 décembre 07 21 novembre 07 TEIGNER Victor DUVAL Patrice

9 décembre 07 24 novembre 07 CAILLEAUX Raphaël LAPIE Tony

11 décembre 07 2.7 novembre 07

OlETTE Clovis CORNU Jean-Domi-nique 28 novembre 07

MARIAGES OULD LARBI Farida 30 novembre 07

1« décembre 07 LARABI Sandos COELHO Marco et 9 décembre 07 THOMAS Delphine DE LIMA E SOUSA

Arnaldo

DECES 18 novembre 07 BARRO CHE Lucie épouse DROUILLETTE 20 novembre 07 DOHY Pierre

Si vous ne souhaitez pas que des informations d'état-civil vous concernant apparaissent dans cette rubrique, contacter L 'ignymontain au : 01 39 30 31 31 ou mel : joumal@montignY78. fr.

collecte sélective des déchets ménagers

QUARTIERS

ORDURES MËNAGËRES

EMBALLAGES JOURNAUX/MAGAZINES

QUARTIERS

ENCOMBRANTS 1 fois par mois

DËCHETS TOXIQUES

Pas du Lac Plan de Troux Le Village La Sourderie St Quentin Les Prés Plan de l'Eglise Le Manet

mardi lundi mardi lundi samedi vendredi samedi vendredi

jeudi mercredi jeudi mercredi

Les Prés Pas du Lac Plan de Troux Le Village Le Manet La Sourderie St Quentin Plan de l'Eg lise

mardiS mercredi 2 jeudi 10 mercredi 16 jeudi 17 jeudi 31 janvier janvier janvier janvier janvier janvier

Collectes: le 3' samedi de chaque mois de 9h à 13h place Etienne Marcel, quartier St Quen­tin, le 3' mardi de chaque mois de 15h à 16h rue des Mouettes, quartier Pas du Lac et de 16h15 à 19h place Jacques Cœur, quartier la Sourderie.

GRAVATS Une déchetterie près des Ateliers municipaux (5, avenue du Parc) ouvrira mi-janvier selon des D~CHETS VERTS nouvelles modalités horaires. Plus d'infos dans notre prochaine édition. Justificatif de domici­

le demandé. REOUVERTURE Ml-JANVIER- RESERVEE AUX PAR.llCUUERS

L'

Horaires mieux adaptés, collecte des déchets. verts ....

Collecte des ordures ménagères : Des évolutions au service en avril 2008

A Montigny, sens de l'écologie rime avec économie. Grâce. à l'adoption rapide des réflexes du tri sélectif mis en place en 2002, la ville participe non seulement au recyclage des déchets, mais assure égale­ment la maîtrise de sa facture de traite­ment des déchets ménagers. Au 1" avril prochain, les modes de collecte vont évo­luer afin d'améliorer son efficacité et d'offrir un meilleur service aux habitants, sans en augmenter le coût. Le dossier mobilise les services .de la ville depuis le mois de février dernier. La Commission d'appels d'offres a statué le 30 novembre dernier, accordant le nouveau marché de collecte à l'entreprise Sépur.

Du tri flux au bi flux A compter du 1•• avril prochain, le tri sélec­tif passera en bi flux. Dans les bacs jaunes, vous n'aurez plus à séparer les emballages du papier. Le compartiment des bacs jaunes deviendra obsolète afin de simpli­fier le tri, tout en permettant à l'entreprise Sépur de gagner du temps sur la collecte qui se fera le mercredi pour tous les habi­tants, comme pour le verre. Dans le même temps, la collecte des déchets ménagers changera de rythme et se déroulera désor­mais sur cinq jours au lieu de six. Oublié le passage des camions de collecte le samedi matin dans les rues de la ville. L'aménage­ment de la collecte en semaine unique­ment permettra d'abolir les nuisances so­nores et les ralentissements de circulation du samedi matin, tout en évitant le sta­tionnement extérieur et peu esthétique des containers de poubelles le week-end.

collecte sélective passera du tri-flux au flux et les encombrants seront retirés sur appel téléphonique

Ceux qui étaient collectés le samedi le se­ront le vendredi, ceux qui étaient collectés le vendredi le seront dès le 1•' avril le jeudi. A noter que le ramassage s'effectuera éga­lement les jours fériés, à l'exception du 1•' mai.

la déc hetterie ouverte courant janvier L'ouverture de la nouvelle 'déchetterie, si­tuée en bordure de l'avenue du Parc au Vil­lage, sur l'emprise réservée à l'Au, dans le courant du mois de janvier, constituera une nette amélioration de 'la collecte des déchets spéciaux. Ouverte gratuitement aux lgnymontains, sauf professionnels, elle accueillera désormais en semaine, hiver comme été, et sera en mesure de recevoir les lampes fluorescentes, les pneus, les huiles usagées, la ferraille, les gros déchets verts, le gros électroménager ainsi que les batteries et autres déchets ménagers spé­ciaux récupérés jusque là par le camion Kangourou qui disparaîtra. L'objectif sera

double : offrir une véritable déchetterie aux habitants, facilement accessible en outre, et améliorer le recyclage qui, vous le savez, prend en compte le souci de l'en­vironnement tout en permettant de maintenir la facture du traitement des dé­chets ménagers grâce à l'obtention de subventions et la revente des déchets triés. . les encombrants récupérés su,r simple appel Pour tous les déchets qui ne pourront être transportés par les habitants eux­mêmes à la déchetterie, un camion passe-

ra récupérer les encombrants directement après rendez-vous pris par téléphone. Là encore, l'évolution de la collecte permettra de réduire les nuisances sur la ville, en sup­primant l'étalage des encombrants stockés sur les trottoirs. Il n'y aura donc plus de jour fixe pour la collecte des encombrants. Du côté des déchets verts par contre, le service s'améliore. Ces derniers seront col­lectés, hormis durant les trois mois d'hiver, directement au domicile, le lundi matin, instaurant à nouveau la distribution de sacs spécifiques. Ouverture de la déchetterie: du 7" avril 30 no­vembre, les lundi, mercredi et vendredi de 14h à 19h, les samedi et dimanche de 10h à 12h et de 14h à 19h. En hiver, du 7" décembre 31 mars, les lundi, mercredi et vendredi de 14h à 17h, le sa­medi de 1oh à 12h et de 14h à 17h.

Les nouvelles modalités de collecte feront l'objet d'un large dossier de présentation dans notre édition de mars 2008.

Rens. au 01 39 30 31 oo.

Le calendrier de Monti.gny en 2008 Elections munidpales et cantonales Dimanches 9 et 16 mars dans vos bureaux de vote habituels

Vide-Greniers le dimanche 18 mai 2008 Avenue Nicolas About

Fête des Voisins le mardi 27 mai dans votre rue

Cavalcade de Montigny le dimanche 22juin Avenue N. About et Ferme. du Manet ·

L'été en sable .. JuiJI~t l008 (dates· à préciser) Pa_rc sportif Aiain Colas .

• ' • !

Fête nationale le dimanche 13 juillet au bas;in de la sourderie

Forum des Associations les 6 et 7 septembre au centre sportif P. de coubertin

Fête Auto moto Rétro le dimanche 14 septembre à la Ferme du Manet

Course pédestre Parcourir Montigny

Votre bureau de vote vous attendra les

9 et T6 mars pour les municipales et les cantonales

La Fête des Voisins, le rendez-vous de la convivialité aura lieu le mardi 27 mai.

Dimanche 5 ou 12 octobre Départ et arrivée centre couberti

se Semaine du Handicap 12 au 19 octobre sites culturels et sportifs de la ville

Marc hé de Noël 5, 6 et 7 décembre à la Ferme du Manet

Les amoureux des vieilles voitures peu­vent noter leur rendez-vous annuel.

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Venez chiner sur l'avenue Nicolas About le 18 mai tors du Vide-Greniers

Cette année le Monty de la Cavalcade vous emmènera tout autour du mon­de le dimanche 22 juin.

Devenue incontournable, la Semaine du Handicap aura lieu en octobre.

A retenir ce mo1s-c1 Un coup d'oeil dans

le rétro 2007

Il y aurait forcément beaucoup plus à reteni; d'une année à Montigny. Notre clin d'oeil évoque un· rappel en 1 S Images des évènements majeurs qui ont jalonné l'actualité ignymontaine en2007.

en pagel

Noël, Noël ... Avec les conseils de quartier, les asso­ciations, les illuminations, Noël com­mence toujours bien avant l'heure chaque mois de décembre. Tour d'ho­rizon des acteurs du Noël2007.

en pages 6 et 11

Les pompiers au garde à vous

Les pompiers sortent des casernes pour se faire mieux connaÎtre de la population. Ils ont investi la mairie le 18 décembre à l'occasion d'une prise d'armes inédite.

page4

Après lè$ fêtes, les soldes' Il vous reste encore un peu d'étrennes dans votre porte-monnaie ? Vous ires. · parvenus à économiser? Les soldes d'hiver commenceront le mercredi 9 janvier chez vos commerçants, pour s'achèver le samedi 16 février, soit les six semaines légales.

Toute l'équipe de L1gnymontain se met à

l'unisson pour vous souhaiter une forte

et fructueuse année 2008.

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L'actualité L'i n montain www.montign 78.fr 1/\HVI EH /OOP.

En Bref Scolarité: inscrivez

votre enfant né en 2005 Les inscriptions ont normalement eu lieu entre le 4 octobre et le 16 novembre der­nier, mais il semblerait, selon le nombre des naissances domiciliées enregistré en 2005, qu'elles n'aient pas été faites en totalité. Les parents, dont les enfants nés en 2005 ne seraient pas encore ins­crits, doivent donc se rendre au plus vite en mairie au service Scolaire Enfance, munis de leur livret de famille et d'un justificatif de domicile afin d'effectuer cette démarche. Les parents, dont les en­fants sont nés au premier trimestre 2006, peuvent pour leur part effectuer une pré-ins_cription dès maintenant (au cas où il resterait des places disponibles une fois l'inscription des enfants nés en 2005 achevée).

La ville et la Préfecture innovent en matière de logement social

Commémoration du 5 décembre

Au moment où le président effectuait un voyage officiel en Algérie, le 5 décembre dernier, la section ignymontaine de l'Union Nationale des Anciens Combat­tants commémorait le 45• anniversaire des morts pour la France dans les com­bats d'Algérie, du Maroc et de Tunisie, de 1952 à 1964. "Nous !>ommes rassemblés ici pbur faire mémoire aux soldats morts pour la France, toutes confessions et toutes origines confondues", soulignait Jean-Claude Bouvier, président de I'UNC Montigny pour faire écho aux nombreux débats que suscite encore cette guerre. Instaurée il y a trois ans seulement sur le plan national, la cérémonie est apparue comme le début d'un travail d'apaise­ment des mémoires. Les drapeaux au vent et sous· une fine bruine, la cérémo­nie s'est déroulée selon le protocole consacré. Entre le dépôt des gerbes, le le­ver des couleurs et le discours d'Alain Marleix, secrétaire d'Etat aux anciens combattants prononcé par le maire, cha­cun a pu se recueillir sur cette ·page en­core vive de notre histoire, avant de se réchauffer au local de l'Ancienne Mairie en partageant le verre de l'amitié.

"Recherche appartement plus petit". L'an­nonce paraît saugrenue. Elle reflète pour­tant le quotidien de couples retraités, dont les enfants ont quitté le domicile familial rendant leurs besoins en matière de surface de logement moins importants. Elle répond également à l'une des problématiques ma­jeures du logement social, qui souffre d'un manque criant d'appartements de type T4 et T5 pour loger les familles nombreuses. Pour remédier à cette situation, la ville vient de signer une convention avec la Pré­fecture des Yvelines, le 4 décembre dernier à l'Hôtel de ville. Une première en France, saluée par lq ministre·d'u-logement Christine Boutin .

Un dispositif expérimental La convention, véritable partenariat entre la ville et la Préfecture, cosignée par les bailleurs, servira de test en matière de ges­tion des parcs de logements sociaux sur un plan national. Le dispositif expérimental s'adressera aux personnes seules et aux couples souhaitant intégrer un logement plus petit. Faute de mobilité des locataires et de l'évolution des prix, les bailleurs n'étaient pas en mesure jusqu'à présent de

Au dernier conseille 17 décembre Le Conseil municipal tenait son ultime séance de l'année le lundi 17 décembre der­nier en mairie. Au gré d'un ordre du jour très éclectique, qui n'a pas donné lieu à dé­bat, l'assemblée a adopté notamment le principe des subventions aux associations sportives et culturelles de Montigny pour la saison 2007j2oo8. Les premières sont dotées d'un montant global de noooo€, dont 1700oo€ pour les diverses sections de I'ASMB qui représentent les principales ac­tivités de sport collectif. Côté culture, le montant global des subventions distri­buées s'élève à 4655o€. Ces subventions en augmentation significative, sont attri­buées aux associations en fonction d'une série de critères objectifs.

Sémaphore Surveillance reconduit pour la télésurveillance Le Conseil a autorisé la signature du mar­ché de télésurveillance attribué par la com­mission d'appels d'offres à la société Séma­phore Protection, pour une durée de 5 ans. Près de 500 particuliers, 78 bâtiments com­munaux et 40 commerces, administrations ou entreprises y sont raccordés. L'abonne­ment mensuel est de 24,64€. Le Conseil a lancé les procédures de marché publics pluriannuels ou ponctuels pour l'an­née 2008. Les premiers concernent la res­tauration scolaire et des centres de loisirs,

le transport scolaire et une large série de prestations techniques allant de l'entretien des éclairages, . d!J chauffage, des voies communales à lâ foÙrniture de produits et matériaux nécessaires aux prestations. Les marchés ponctuels concernent la restructu­ration de la crèche La Fontaine, la revalori­sation de la place George Sand à la Sourde­rie et de la rue de Cornouailles au Manet. Le conseil a également approuvé le nou­veau marché de collecte sélective des dé­chets ménagers, qui interviendra en avril prochain avec la Sepur, qui remplace Sita ile-de-France (voir en page précédente).

MDE, un bilan d'activité éloquent En fin de séance, Xavier Bonvarlet, adjoint en charge de l'emploi, a présenté un bilan d'activité 2007 de Montigny Développe­ment Emploi (MDE) particulièrement dé­taillé et apprécié par l'assemblée. Il dé­montre une situation de l'emploi meilleure sur la commune qu'à l'échelon départe­mental ou régional. "Le taux de deman­deurs d'emploi à Montigny est de l'ordre de 3,5%. Le paradoxe est aujourd'hui que nous recevons 400 offres d'emploi en moyenne par mois, mais que nous n'avons plus que 200 inscrits". Nous y reviendrons dans notre prochaine édition. Enfin, notons que le conseil a désigné Bernard Bitu délégué titulaire au SIDOMPE à la place de Françoi­se Fiat, démissionnaire.

Le maire a signé une convention originale élaborée avec la Préfecture, cosignée par les bailleurs, pour optimiser l'occupation des logements sociaux par les familles attributaires.

favoriser une rotation suffisante du parc de logements, chose possible désormais grâce à

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ce dispositif original et innovant. Les loca­taires volontaires seront donc motivés pour intégrer des logements plus petits, à un loyer inférieur, indexé sur les loyers prati­qués lors de leur entrée dans le parc de lo­gement de leur bailleur. La mise en place de cette convention pilote devrait ainsi facili­ter la rotation des logements, réduire ainsi le temps d'attente pour un logement et op­timiser la gestion du parc. Janine habite le quartier des Prés et espère faire partie des premiers bénéficiaires de cette convention . "Je vis seule dans un T 4. Mes enfants ont grandi et j'aimerais emménager dans un deux pièces, en raison du prix du loyer d'abord, de l'entretien aussi. J'y pense de­puis longtêmps, mais ce n'était pas possible jusqu'à présent. Evidemment, cela va dé­pendre des conditions proposéés, mais je trouve l'idée très bonne. C'est aberrant de penser que des familles s'entassent dans de petits logements faute de disponibilité, alors que d'autres aimeraient justement li­bérer de grands appartements".

les pompiers au rapport devant l'Hôtel de ville

Les pompiers de Saint-Quentin ont procédé à une prise d'armes devant la mairie le mardi 18 décembre.

L'Hôtel de ville ne brûlait pas mardi 18 dé­cembre. Le déploiement de force des pom­piers, au premier rang duquel la grande échelle érigée devant l'entrée, n'était que protocolaire. Pour se faire mieux connaître, les pompiers ont décidé de sortir leurs prises d'armes des casernes et de solliciter les lieux publics pour ce faire. C'èst ainsi que le colo­nel De Kuypers, directeur départemental, a

officié sur le parvis de l'Hôtel de ville lors d'une cérémonie de remise de médailles et de passation de pouvoir en compagnie de la sous-préfète de Rambouillet, arrivée en fonction la veille, en compagnie du maire Michel Laugier. A cette occasion, le capitai­ne Jean-Luc Reinaudo a pris le relais du commandant Forçans à la tête du centre de secours principal de Montigny.

L'i n montain www.monti n 78.fr 1/\NVII l i ;oon

Forum de l'orientation au lycée Breteuil le 15 décembre

Quelles options après le Bac ? Vaste question qui préoccupe depuis quelques mois déjà, voire même quelques années, les élèves de lycée et leurs parents. Pour balayer le champ des possibles en ma­tière d'options, les équipes pédagogiques du lycée Emilie de Breteuil ont consacré le mois de décembre à cette problématique. La série de conférences-rencontres, desti­nées à déchiffrer les études universitaires et préparatoires, s'est clôturée par l'organisa­tion du Forum des Métiers, le 15 décembre dernier dans l'établissement. Objectifs doubles, selon Françoise Gautier, proviseu­re du lycée qui a souhaité "permettre aiJx élèves de poursuivre leur réflexion sur leur projet d'avenir tout en remettant les études en perspective, afin qu'ils associent leur pré­sence au lycée à un véritable but". A un mo­ment clé pour les élèves, juste avant les ins­criptions qui s'étaleront de janvier à mars selon les écoles, le Forum a reçu plusieurs centaines de visiteurs. "La particularité de ce Forum tient à son côté local. Les élèves s'y sentent à l'aise et profitent de ce temps de rencontre pour avoir des échanges per­sonnalisés avec des professeurs qui les connaissent bien", soulignait Françoise Gautier. Moins anonyme qu'un forum lambda donc, les lycéens sont venus s'infor­mer, s'éclaircir les idées quant à leur avenir professionnel.

Après le lycée Breteuil en décembre (cl-dessus), le lycée Descartes organise son propre forum de l'orien­tation en janvier, pour éclairer les élèves sur les filières et les métiers.

Les métiers passés au crible Débouchés du marché professionnel, cri ­tères d'accès aux formations, constitution des dossiers d'inscription, les questions se sont succédées pour la quarantaine d'expo­sants présents. Pour beaucoup d'entre eux, IUT, écoles d'ingénieur ou de commerce, le constat était identique : un . nombre d'élèves indécis élevé, une méconnaissance des études supérieures et un grand besoin d'être rassuré, ce dernier constat étant éga­lement valable pour les .parents. "Il y a ef­fectivement un gros chantier à mener en matière d'information", confirmait Stépha-

ne toy, directeur des études Gestion des En­treprises et Administration de l'IUT de Mantes. Au forum, il s'agissait de dépasser les cigles barbares et les idées reçues. Le CIO d'Elancourt et le SCUIO de la faculté de Saint-Quentin (où les moyens du Pôle Inser­tion Professionnelle ont été renforcés en décembre) apportaient pour ce faire leurs panels de connaissances. Pour former de nouvelles ambit ions, les lycéens ont jugé particul ièrement uti le la présence d'anciens élèves, "capables d'avoir un discours plus prq.che de nous et de partager leurs· expé­riénces", rem·arquait Yassine, élève en Ter­minale SI. Source d'aide au choix, la décou­verte des parcours des étudiants présents s'est également révélée être la meilleure source de motivation pour les jeunes inté­ressés. Au palmarès des stands les plus visi­tés, conformément à l'imaginaire collectif, les représentants de l'armée de l'air se sont longuement expliqués sur le métier de pilo-

1'""""""""'"'"""'"'""''""'""""''""""'"""""'"'"'"'"''""'"'"'"'"""""'""""""''""'"'"""''""'"'"'"'"""""""""""""'"'"'"""""'"'"'"'"'"""'"""""'""'"'"""'"'"'"""""""'-'"'""""'""'"""'"""'"'"'"'""""""""' __ , .. , ......... _ .... .

1 . Conférence de la Maison de la Famille: 1·

1 L'école, ce monde impitoyable 1

te. Moins courant mais tout aussi visité, le stand du Conseil Régional des Notaires a in­terpelé, tandis que la faculté prônait le re­nouvellement de ses formations. L'objectif était bien de faire naître de nouvelles idées pour les plus indécis, de mettre en valeur aussi les formations répondant aux nou­veaux besoins du marché profess ionnel, comme la mécatronique, mélange de méca­nique, d'électronique et d'informatique, rei­ne du matériel embarqué.

lu lycée·Desc:artes aussi le 26 janvier

Le lycée Descartes tiendra forum à son tour sur le thème de l'orientation et à l'adresse de toutes les classes le samedi 26 janvier. Les élèves de Première et Terminale se ren­seigneront au contact d'étudiants, d'entre­prises et de conseillers et CPE. Les collé­giens seront aussi conviés à 10h pour dé­couyrir l'établissement, et les Secondes à 10h3o pour débattre de l~ur orientation en Première. Enfin, la présidente de l'universi­té Sylvie Faucheux conclura le forum par une conférence à uh.

En Bref Un Montylive rock

le samedi 12 janvier à la MQ Jouvet

L'édition rock des concerts du Secteur Musiques Amplifiées aura lieu le same­di 12. janvier prochain, dès 20h3o à la maison de quartiers Louis Jouvet, avec autant de succès espérons-le que l'édi­tion métal qui a réuni· plus de 140 per­sonnes, le samedi 15 décembre dernier à la salle Gauguin. Là encore, l'affiche est intéressante puisque la scène accueillera, dans l'ordre de passage, le trio ignymontair\ Wave, compositeur et fan de Muse, le groupe Rouge à la fois tranchant et poétique qui n'ira pas sans rappeler quelques références incontournables de la scène française, pour finir par The Olympie Dragons, symbiose d'une voix féminine de qualité et de rythmes puis­sants. Une découverte à ne pas man­quer pour ce groupe qui a sorti son pre­mier album en octobre dernier et don­né plus de cinquante concerts en 2007.

Soirée Open Siam le 11 janvier à la MQ Louis Jouvet

Nul besoin de s'appeler Grand Corps Malade ou Abd Al Malik pour faire vi­brer ses mots sur la scène. Par défini­tion, le siam est un mode d'expression populaire, ouvert à tous. Chacun pour­ra donc s'exprimer, déclamer ses textes et poésies lors d'un temps d'échange. proposé à la maison de quartiers Louis Jouvet par son équipe d'animation, le vendredi 11 janvier, entre 19h30 et 21h30. Deux sets de 45 minutes chacun sont au programme pour donner l'oc­casion aux volontaires de tester leur éloquence et leur force . poétique. La soirée sera animée par Gérard Mendy et son équipe, des slammeurs aguerris qui font la première partie d'Abd Al Malik. Rens. : 01 30 64- os 76.

1 Pression des notes, emplois du temps le, l'incitation au dialogue et l'écoute en 1

i chargés, sollicitations multiples, plus que premier lieu. Au-delà des règles sociales, , ' la violence à l'école, que traitait la confé- qu'i l a rappelées afin de définir les com- !

renee de la Maison de la Famille organisée portements violents, Dominique Sénore ! le 11 décembre dernier au Club le Village à s'est attaché à la nécessité d'inclure les en- ~ 1

la demande des fédérations de parents fants dans la gestion de leurs propres , d'élèves, ce sont avant tout les origines du conflits, et de poursuivre l'implication des

Le Téléthon a mobilisé dans la diversité

problème qui étaient abordées. Une quin- parents dans la vie scolaire. Car si les cam- : zaine de participants, parents, profession- pagnes télévisées, du •CSA entre autres, ! nels de l'éducation et de l'animation ont rappellent que les ressentis des parents et : assisté à ce temps d'échange et d'informa- des enfants diffèrent, elles ne mention-

, tion animé par Domimque Sénore, direc- nent pas l'importance d'une meilleure l teur de cabinet de l' lU FM de Lyon. En évi- communication qui permettrait juste- ,

tant les écueils médiatiques du phénomè- ment à ces enfants de se libérer de la vio- i ne, le débat s'est centré autour des élèves lence. Au sortir de la conférence, parents ! du niveau élémentaire. Et pour appréhen- et professionnels s'avouaient satisfaits de

, der la violence chez les plus jeunes, en l'angle d'approche proposé par le confé-i augmentation depuis les années 1990, il rencier, qu'ils ont jugé un bon préalable ' s'agissait durant cette soirée d'en com- aux groupes de parole programmés sur le j

prendre les causes. thème les 22. jamlier, 12 février et 4 mars, 1

à 18h30 à la M. aison de la Famille aux Prés. l Les origines de la violence

! Face à un contexte familial tendu, la pres- 1 sion de la réussite, la compétition perma- :

1! nente, l'impact des programmes télé exci-

tants, ou encore le syndrome de l'enfant 1 consommateur, réduire la violence re­: vient à soulager les pressions inhérentes à

l'enfant, car les "problèmes extérieurs ne s'arrêtent pas aux murs de l'école", affir­ma it le conférencier. S'appuyant sur la réussite d'une école lyonnaise (illustrée

! par la diffusion d'un documentaire), il '1 s'est polarisé sur les outils pédagogiques

permettant de limiter les violences à l'éco- j :

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C'était une première ,pour le lycée Descartes et déjà 928€ récoltés. L'initiative du lycée Descartes a sans nul doute tenu une grande part dans ce nouveau record de collecte. Elèves, professeurs et parents ont répondu massivement à l'appel du slogan "Nous avons tous été petits, aidons les à grandir", en ac­ceptant de placarder leurs photos de jeunesse sur le mur du souvenir. Première aussi pour le Manet, avec l'organi­sation d'un. spectacle le 16 décembre à la salle Gauguin, partie de la seule initiative d'une habitante du quartier. Concernée par l'enjeu

Au lycée Descartes, cette première participation s'est traduite par environ un millier d'euros de dons.

du Téléthon, cette lgnymontaine est allée frapper aux portes de ses voisins, s'enquérir et mobiliser les compétences de chacun pour monter, en l'espace d'une quinzaine de jours, un spectacle de deux heures digne de la salle Gauguin. Musique, chant, danse, les habi­tants ont montré leur talent et fait salle comble, notamment grâce à la mobilisation des enfants de l'école Jules Verne. Sur le prin­cipe d'une entrée, un don, l'initiative a fonc­tionné à plein. 1289€, c'est une très belle réussite du point de vue de la collecte, et un moment convivial qui s'est achevé par le pot de l'amitié offert par le Conseil de quartier. Voir également en page 15

Les habitants du Manet se sont exportés à la salle Gauguin pour un spectacle cousu main et 7 00% local, qui a engrangé 7 289 euros de recettes.

L'actualité

En Bref L'AMI au Marché de

Noël de Kierspe .

Kierspe et Montigny fêteront leurs 2.0 ans de Jumelage en 2.008. A peine ren­trés après une participation remarquée au Marché de Noël de la Ferme du Ma­net, les habitants de Kierspe ont accueilli une délégation de l'AMI, du 14 au 16 dé­cembre derniers. Les 2.5 représentants ignymontains, parmi lesquels des jeunes étudiants adhérents de l'AMI et des élus du CMJ, ont tenu un stand de crêpes au marché de Kierspe et reçu un accueil par­ticulièrement chaleureux, les crêpes fai­sant l'unanimité auprès de nos voisins outre Rhin. Ils ont ensuite profité du week-end pour jouer les touristesJ en vi­sitant Ludenscheid et Cologne, sa cathé­drale et ses différents marchés de Noël, sur terre et sur l'eau. Le lien d'amitié entre les deux villes s'est enrichi un peu plus encore de ce nouvel échange. Les cont.acts sont d'ores ~t déjà pris pour la prochaine édition de l'Europe en scène qui se déroulera à la fin du mois d'août.

Soirée crêpes le 1er février au quartier

Saint-Quentin Le Conseil de quartier de Saint-Quentin sera le prémier à entamer la série des soirées de vœux, le vendredi , ., février, dès 19h30, à l'école élémentaire Arthur Rimbaud. Avec les crêpes et le bagad de l'association Ar Bernie, le moment pro­met d'être chaleureux et animé. Chaque année, le rendez-vous désormais atten­du, accueille des habitants de plus en plus nombreux, qui profitent de ce temps d'échange entre voisins et leur permet d'aller à la rencontre de leurs conseillers de quartier.

Noël a pris de l'avance avec le CCAS

Un spectacle, un film, un cadeau et une pho­to avec le Père-Noël, les 118 enfants, conviés au Noël du Centre Communal d'Action So­ciale le 12. décembre dernier à la salle Jacques Brel, n'oublieront pas l'événement. Pour le CCAS, la solidarité d'un Noël pour tous s'est concrétisée à travers cet après-mi­di de fête offert quelques jours avant Noël. Du rire, la joie de _ passer un moment en­semble, et l'occasion rare de se rendre au ci­néma pour certains, les 75 familles bénéfi­ciaires de la boutique alimentaire ont d'abord profité de l'ambiance, chaleureuse évidemment, humaine aussi. "La période des fêtes est toujours plus difficile lorsqu'on est en difficulté. Cet après-midi est une petite réinsertion, une occasion de voir les choses autrement, et surtout un très beau cadeau pour les enfants", soulignait Véronique. Dès leur entrée, le sourire aux lèvres, les plus jeunes ont été attirés par le décor et l'étala­ge de paquets, les étoiles plein les yeux. Dé­tendre et amuser, tel étaient les objectifs de la manifestation. L'atelier théâtre de la mai­son de quartiers Louis Jouvet, grande nou­veauté de l'événement, a réussi ce pari. Trois saynètes et une dizaine de personnages ont séduit petits et grands. Plus dépaysant et lointain, le film "Un jour sur terre" a précédé la distribution des cadeaux et le goûter. Vraiment dans l'ambiance, les enfants ont fait la queue devant le stand de maquillage, une obligation avant de se présenter au Pè­re Noël !

CTOM ensoleille Noël La convivialité serait-elle une tradition ? Si ce n'est une tradition, il semblerait que ce soit bien un mode de vie pour les membres de l'association Cultures et Traditions d'Outre Mer qui ont chanté Noël, le 8 dé­cembre dernier à la salle Gauguin, du soleil dans la voix. En plein cœur de l'hiver, plus de 150 personnes ont savouré le moment chaleureux, porté par l'ambiance rythmée des îles. Sur scène, une dizaine de chan­teurs et musiciens du groupe GMKA, tra­duisez Guadeloupe Martinique et tam­bours, ont entonné les cantiques de Noël, en français et en créole où la Douce nuit se fait Mé Bèl lannwit. Entre le rythme des tambours, "boula" pour la rythmique, "marqué" pour les solos, et l'exotisme d'un repas typiquement antillais composé de pois d'Angol, de ragoût de cochon, de bou­dins et d'aceras, les habitants réunis ont inauguré· Noël sous un soleil inhabituel pour la période.

Soirée épicée à Gauguin

pourrait parler de mode de vie ... A leur ar­rivée, les participants ont reçu un livret de cantiqués, une bouteille en plastiqÙe et une fourchette en guise d'instrument, car la fête ne se conçoit pas sans interactivité avec CTOM. Plus spectateurs que partici­pants néanmoins, les habitants ont pu goûter avec plaisir cette mise en bouche distrayante, de bon augure pour le ré­veillon du 31 décembre qui s'annonçait au Club le Village avec l'association. Depuis sa création il y a quatre ans, l'association, qui a beaucoup grandi et compte aujourd'hui une soixantaine d'adhérents, s'est abonnée aux soirées festives à succès. Pour 2.008, la lignée restera la même avec un program­me diversifié, entre culture, partage et amusement. Une journée porte-ouverte, organisée sur l'histoire de la banane, vous attend le 2. février à la salle Paul Gauguin.

Rens. au 01 30 44 36 39·

Un moment d'importance pour l'as­sociation qui rendait hommage à ses traditions, Noël étant synonyme de partage, des cultures en l'occurrence. " Il est essentiel de faire perdurer nos traditions, d'autant qu'elles prennent tout leur sens en cette période parti­culière", confirmait Jacqueline Mak­pangou, présidente de l'association CTOM. "Ce r rendez-vous est un moyen festif de convier les habitants à la découverte d'autres traditions", ajoutait Evelyne Servier, membre de l'association. Concernant la qualité festive de l'événement, là encore on

Le Chontè ~ aeole de CTOM, un interlude coloré et gastronomique qui a foit le plein de la salle Gauguin le 8 d«em~ tkmier..

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Plus de 10000 visiteurs au Marc hé de Noël

Est-ce l'approche des fêtes de fin d'année ou la proximité des artisans et producteurs régionaux, toujours est-il qu'au Marché de Noël de la Ferme du Manet, du 2.9 no­vembre au 1" décembre, les visiteurs étaient tout sourire, avec, visiblement, l'en­vie de partager un véritable moment de convivialité. Foie gras, champagnes, fro­mages, santons de Provence, sans oublier les traditionnelles décorations de Noël, tout était fait pour que les 1oooo chalands, venus de toute l'lie-de-France, profitent des accents typiquement authentiques et chaleureux de nos régions. Fidèles au ren­dez-vous, les délégations des villes jumelles ont apporté la touche de culture européen­ne, l'occasion de resserrer les liens avec la ville.

Une vitrine pour les artisans Dans les allées aux senteurs variées, les ar­tistes et artisans lgnymontains n'étaient pas en reste. Daubos et ses délices chocola­tés, Ba na n'îles et ses saveurs épicées, ou en­core Julie et Blandine, "stylistes" amatrices de Barbie, séduites "par le lien convivial qui s'est tissé au fil des ans entre les exposants", affirment-elles. Une proximité avec les pro­ducteurs qui a permis d'assouvir la curiosité des promeneurs sur la fabrication et la pro­venance des nombreux produits, venus de toute la France. C'était le cas d'Armanda, qui a fait déguster ses fromages moulés à la louche à Bresnay, dans l'Allier. Constam­ment renouvelé, pour inviter à la découver­te des savoir-faire, le marché accueillait des nouveaux venus comme la créatrice Brigit-

te Pernet qui postulait depuis six ans. « Je suis ravie de cette première participation. Tout est réuni pour que ce week-end soit une réussite du point de vue de l'accueil d'abord, de l'organisation, et du lieu égale­ment qui tient une grande part dans l'am­biance particulière du Marché de Noël", soulignait-elle. Parmi les stands phares du Marché, Isabelle Roger et sa sœur, fabri­cantes de cartes de vœux, faisaient leurs adieux. "Nous sommes un peu émues pour cette dernière participation. Il est temps de dire au revoir à tous les clients qui nous ont été fidèles . C'est une page qui se tourne, mais on se souviendra de l'ambiance et de l'accueil chaleureux qui nous ont animées toutes ces années". Pour les plus jeunes, l'authenticité du Marché, c'était avant tout les animations de Noël qui ont fait le plein de participants tout au long du week-end, et la présence du Père Noël bien sûr. Les pe­tits comme les grands ont pris plaisir à se promener dans les allées colorées et parfu­mées, prenant date pour l'année prochaine.

402 convives au déjeuner des seniors le 7 décembre

Les seniors étaient réunis pour le déjeuner de Noël, moment festif et chaleureux orga­nisé par le Centre Communal d'Action So­ciale, le 7 décembre dernier à la Ferme du Manet. Le décor du marché de Noël est resté en place pour accueillir les 402. convives. Plus nombreux que l'année pré­cédente, ils s'avouaient heureux de ce temps de retrouvailles, illustrant le désir des habitants de la ville de passer leur re­traite à Montigny pour profiter de ses ser­vices. Effectivement, le titre de ville nou­velle a semblé très éloigné de ces habitants qui ont construit leurs racines et les ont transmises à leurs enfants. En présence du maire, Michel Laugier, et de son adjointe en charge de l'Action Sociale, Marie-Noëlle Thareau, l'occasion était donnée, outre la formulation des vœux de bonheur et de santé, d'annoncer le programme des ré­jouissances pour l'année 2.008 : un voyage au Portugal pour la mi-septembre, une visi­te du musée du Louvre en mars, de l'aéro-

port Charles de Gaulle en juin, du musée des Arts forains en septembre et du Sénat en octobre. Après un repas gastronomique, digne d'un réveillon, les convives, parmi lesquels la doyenne, Denise Bonnelle âgée de 90 ans, et le doyen, Pascal Angeliaume âgé de 89 ans (ci-dessous), ont gagné la piste de danse pour un bal fidèle aux tradi­tions d'antan au son de l'orchestre Michel Ville.

Les seniors de la commune ont déjeuné en musique le vendredi 7 décembre à la ferme du Manet, avant de poursuivre en musique et en rythme sur la piste de danse.

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L'actualité L'i n montain www.monti n 78.fr IAN\111 tl .'O()H

2007 • • une année d'actualité ~n images

Montigny est désignée ville la plus sportive des Yvelines par le co­mité olympique départemental. Le trophée est officiellement remis par son président au maire en janvier à l'occasion de la cérémonie de vœux à la ferme du Manet.

Le plan local d'urbanisme est avancé. Vous pouvez dire PLU, on comprendra ... Ce doèument global qui engage l'avenir de Monti­gny pour les décennies futures organise la concertation avec les habitants au ·fil d'un processus au long cours qui le maintiendra dans l'actualité communale pour deux ans au bas mot.

Vesprée ensoleillée, foule assurée. L'été s'ouvre par le jeu dans le parc de la ferme du Manet où les badauds rivalisent d'adresse sur les grands jeux proposés librement.

Un été sur le sable, la proposition inédite de la ville aurait pu être encore plus populaire avec une météo plus propice. Le coup d'essai sera transformé l'été prochain en se transportant du site de Cou­bertin vers celui d'Alain Colas, en voisin du centre aquatique.

C'est la fin d'un chantier au long cours pour la maison municipale érigée en 1987, qui se dote d'une nouvelle aile pour assumer la crois­sance des services rendus au public au rythme de la croissance de la ville. Pour les usagers, l'entrée et le hall changent les habitudes.

En mars, la mairie-annexe se transporte du parvis des Sources à la place Charles de Gaulle face à la Gare, gagnant au passage un lieu d'exposition à l'étage, inauguré avec les photos de Gérard Vandys­tadt à l'automne.

paysage équipements Le s'pace ouvert en mai poursuit une mission: faire de la prévention de la santé à l'adresse des jeunes. Son efficacité, c'est de le faire sans tabou et avec les mots et les usages des jeunes générations.

Montigny accueille une nouvelle ville jumelée dans le cercle de ses partenaires, en invitant l'italienne Marostica à parapher la charte de jumelage en juin. La signature retour s'opère en septembre en terre transalpine.

Le dernier grand programme immobilier à construire sur l'ancien site de l'entreprise Kontron au Village montre la volonté des lgny­montains d'acquérir sur la commune, notamment par le biais du programme d'accession aidée et maTtrisée.

En octobre, la 4• édition de la Semaine du Handicap s'empare à nouveau de tous les leviers pour porter le message de la solidarité

. à l'égard de tous. Culture, échanges, sports, mais aussi Initiation des futurs citoyens de CM 1 qui dans les écoles reçoivent la BD des aventures de Ed et sa bande. ils font un carton dans les cours.

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Le site Internet de la ville opère une nouvelle mutation, qui vise no­tamment à permettre plus d'interactivité avec les usagers. Le por­tail des Familles s'ouvre sur une gamme de services, allant de la consultation de son compte famille au paiement en ligne.

Belle soirée printanière ou non, quels que soient les agapes posés par chacun sur la table commune, la F~te des Voisins imprime dé· sormals le calendrier de la vi/le à la fin mal.

Dans une féérle de lumières et de grâce, les galas de danse bisan­nuels drainent la grande foule à Coubertin, et démontrent que le travail consenti trouve son aboutissement.

Le quartier du Pas du Lac flte 30 ans d'existence en septembre, au rythme d'une flte superbement et majoritairement conçue par les acteurs du quartier eux-mêmes.

Ce n'est pas encore totalement comme sur de la vraie herbe, mals ça commence à y ressembler sur le plan des sensations. Les foot­balleurs de I'ASMB troquent volontiers en novembre le terrain sta­bilisé contre ce nouveau tapis toujours vert au parc des sports de laCouldre.

L'actualité

En Bref Bourse de Montigny

Inter-Familles Montigny Inter-Familles organise sa pro­chaine bourse puériculture et vêtements de ski les 1" et 2. février dans les tennis cou­verts du centre Coubertin. Dépôt de 1 ... de 13h à 19h, vente le 2. de 9h30 à 16h. Rens. : 01 39 30 30 20.

Café-débat le same­di 12 au Marina

Le prochain café-débat organisé au bar le Marina (Saint-Quentin) se déroulera le sa­medi u janvier à 16h30 sur le thème : "la culture pour tous, est-ce une utopie ?"Un autre débat se déroulera le 2.6 janvier à l'abbaye de Saint-Cyr l'Ecole sur le thème "le coeur s'oppose-t-il à l'esprit ?". Entrée libre. http:jjquentlnphilo.over-blog.com

4e Marche de l'Espoir du Lion's Club le 17 février

C'est le samedi 17 février que se déroulera la prochaine Marche de l'Espoir, mise sur pied par le Lion's Club et le Club Léo avec les trois villes. Le principe de cette mani­festation est que vous marcherez ce jour là pour l'un des sept projets de solidarité sélectionnés.

Deux zones bleues installées au Village et à 'a Sourderie-Sud

M9~.Tol~.~y

~ .... vilff! qui vous ~a 'tl~ Heure darrivée Heure de dèpart

G 11.00

Le parking de la place des Nymphes qui marque l'entrée de la ZAC Sud-Village et le parking de la place Jacques Coeur, qui dessert le centre commercial de la Sourderie, sont désormais soumis au stationnement temporaire. il s'agit d'enrayer le phénomène des voitures tampons qui stationnent à demeure et entra­vent celui des usagers du centre.

Dès le début du mois de décembre, les rive­rains de la Sourderie Sud et de la place des Nymphes ont pu remarquer l'installation de panneaux d'information concernant la mise en place de zones bleues sur les parkings de ces deux espaces commerciaux. Sur le ter­rain, le dimanche 9 décembre au matin, le Conseil de quartier de la Sourderie Sud s'est chargé d'une première opération de sensibi­lisation, en débutant la distribution des disques de stationnement imprimés aux couleurs de la ville auprès des habitants concernés. Destinées à limiter le temps de

stationnement pour favoriser le commerce de proximité, ces zones bleues sont entrées en vigueur à la mi décembre, signalées par l'installation de panneaux de signalisation (non par les bandes bleues facultatives).

Des disques disponibles auprès des commerçants et en mairie Effectives sur le parking du centre commer­cial de la Sourderie Sud, sur l'emprise des commerçants situés sur le boulevard Des­cartes entre le point presse et la pharmacie,

et le parking de la place des Nymphes, les zones bleues visent à éviter le stationne­ment des véhicules ventouses afin d'encou­rager au contraire la mobilité des véhicules et par la même le commerce de proximité. "Les commerçants sont favorables à cette mesure. C'est signe de l'intérêt porté au commerce de quartier qu'il est nécessaire de dynamiser et de préserver", commente Myriame Quartier, la boulangère. Les disques de stationnement peuvent égale­ment être retirés à l'accueil de l'Hôtel de ville.

les tribunes des groupes du Conseil municipal

Montigny Plurielle (Parti Socialiste, Verts, Parti Communiste)

Le dernier conseil municipal de l'année s'est déroulé dans un climat d'indifférence assez générale, dans une ambiance de neu­tralité sympathique : est-ce lié à la pério­de des fêtes de fin d'année, à la nature des dossiers présentés, à la lassitude qui aurait gagné les conseillers après plus de six ans de mandat ? Ou est ce, tout simplement, le signe que maintenant, l'essentiel se dit et se débat ailleurs ?

Finalement à quoi bon, en cette "fin de règne", dire et redire en conseil municipal ce que nous pensons ? Année après année, nous avons défendu nos positions, argu­menté, expliqué nos votes, alerté lorsqu'il le fallait . Pour rien ? Pas toujours, la preu­ve, la collecte des déchets verts pour la­quelle nous nous étions prononcés dès le début du mandat, va se faire prochaine­ment alors qu'il nous avait été répondu que c'était impossible car trop cher. De même, l'enveloppe budgétaire pour les as­sociations culturelles, dont nous avons re­gretté qu 'elle ait été au f il des années, tou­jours trop faible, a été augmentée de plus de 2.0% avec à la clé, une augmentation de la subvention pour quasiment toutes les associations sans que l'on sache ce qui le justifie. Nous nous en réjouissons même si nous déplorons qu'il ait fallu attendre la proximité de l'élection municipale pour l'obtenir. A se demander, d'ailleurs, s'il y a là, une relation de cause à effet .. .

Un sujet de satisfaction : pour la première fois un bilan de la M.D.E. (maison de l'em­ploi) nous a été présenté pour l'année 2007. Il nous appartiendra, dans d'autre lieux et sur d'autres supports, de dire ce que nous pensons de ce service, mais, mê-

me succinct et tardif ce bilan à le mérite d'exister. Il n'y a pas eu beaucoup de docu­ments équivalents, proposés pour infor­mation au conseil municipal en six ans. Nous n'avons que le souvenir de l'inter­vention du président de l'association Dl RE, venu, une fois dans le mandat, présenter le bilan d'activité de cette structure de pré­vention sur la ville. Pour tous les autres services, police municipale, conservatoires, maison de la réussite .. . rien !

Finalement, la seule nouveauté lors de ce conseil aura été le choix fait par la munici­palité de ne pas voter, comme cela se fait chaque année à cette période, le budget primitif de la commune. Nous prenons ac­te qu'il appartiendra à l'équipe nouvelle­ment élue en mars, de proposer un budget pour l'année 2008 et c'est la ra ison pour la­quelle nous avons voté le principe de l'en­gagement de 25 % du budget précédent pour permettre aux services de la commu­ne de fonctionner sur les premiers mois de l'année.

Aussi, les grandes orientations budgé­taires, c'est chacun d'entre vous qui les fixerez par le choix du projet et de l'équipe qùe vous ferez lors des prochaines élec­tions municipales.

Au nom des élus du groupe Montigny Plurielle, je souhaite présenter à tous, mes meilleurs vœux pour cette nou­velle année 2008.

Sandrine Grandgambe Présidente du groupe

Pour nous contacter : montigny.plurielle@voila.fr

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Montigny Ensemble La convivialité pour moteur Comme vous aurez pu le constater, Monti­gny s'est parée de lumières et de décorations pendant les fêtes de fin d'année. Encore une fois une dynamique particulière s'est mise en place entre l'action municipale et l'envie de nombreux habitants de contribuer à embellir notre ville. Depuis quelques années, la muni­cipalité a créé le concours des illuminations et il est plaisant de voir, chaque fois, davan­tage de maisons et immeubles participer.

Même satisfaction pour l'organisation de notre marché de Noël. La municipalité a sou­haité depuis quatre ans en assumer entière­ment la gestion. L'objectif était d'apporter une offre commerciale et artisanale plus co­hérente et qui intègre les lgnymontains qui en manifestaient le désir. Nous sommes heu­reu x de cette décision car vous avez été plus de dix mille à arpenter ses allées cette année. Ce succès a permis à Montigny de se hisser au premier rang des marchés de Noël des Yvelines et au 3' rang en Île-de-France. Tous ces visiteurs présents pendant le week­end à la Ferme du Manet ont conforté la mu­nicipalité dans son choix de préserver cet en­droit et d'en faire un lieu phare de la com­mune.

Pour tous les visiteurs, l'arrêt aux stands de nos différentes villes jumelles, y compris Ma­rostica la ville italienne, aura été l'occasion de découvrir ces amis venus de tous les hori­zons. Leur présence récurrente à ce rendez­vous montre l'amitié qui s'est développée avec les habitants de Montigny. Là encore la dynamique qui préside au succès de ces ju­melages, six au total, repose sur la collabora­tion de la ville et d'un grand nombre d'habi­tants qui, en devenant familles d'accueil, per­mettent d'établir de véritables. liens avec nos voisins européens. Sans cela il ne nous serait pas possible de pouvoir proposer autant d'échanges pour nos jeunes. Que les familles

de l'association Montigny International soient remerciées de leur implication.

Vous l'aurez compris, l'évènementiel à Mon­tigny est une formidable occasion de resser­rer les liens entre les habitants. Parce que le bien vivre ensemble doit être l'affaire de tous, la municipalité fait en sorte de créer des manifestations qui par leur nature et leur intérêt répondent aux souhaits du plus grand nombre. Une fois l'hiver terminé, à l'occasion de la braderie de printemps, de nombreux lgnymontains pourront mettre en vente les objets dont ils n'ont plus besoin et des di­zaines de milliers de visiteurs viendront ar­penter l'avenue Nicolas About pour trouver leur bonheur. Encore une fois, voici un évé­nement devenu au fil des années l'un des plus importants de la région .

Enfin, en juin prochain, la grande parade de la Cavalcade impliquera grands et petits dans une manifestation qui est avant tout la fête de tous les lgnymontains. Son succès repose sur l'envie et la mobilisation de nombreux acteurs de la commune que sont les conseils de quartier, les associations, les écoles et en­core de nombreux bénévoles. L'association Monty-chars, par exemple, est en train de réaliser pour cette occasion de superbes chars qui défileront sous nos yeux. C'est un travail considérable, pour lequel les services de la ville apportent leur concours, et sachez que tous ceux qui souhaiteraient y participer sont les bienvenus.

En conclusion, je dirai que ces manifesta­tions ne rencontreraient pas un tel succès sans votre participation active. C'est fort de vos remarques et suggestions que nous pour­rons continuer à faire de Montigny une ville où il fait bon vivre.

Jean-Luc Ourgaud Adjoint au Maire délégué

à I'Evénementiel et la Communication

L'i

Validation des Acquis de l'Expérience En Bref Le diplôme de l'expérience

Depuis 2002, il existe un autre moyen que la formation et les examens pour obtenir un diplôme. Inclue dans la loi de moderni­sation sociale du 17 janvier, la Validation des Acquis de l'Expérience (VAE) offre la possibil ité aux actifs de valider leur expé­rience afin d'acquérir un diplôme. Cette loi s'accompagna it de la création d'un réseau national d'information et de conseil dont la gestion a été déléguée aux régions. Dix an­tennes en lie de France, deux dans les Yve­lines dont une au CFA Delorozoy reçoivent les candidats à la formule. Gérée par la Chambre de commerce et d'industrie, ratta­chée au Centre d'Information et d'Orienta­tion Professionnelle (CIOP), l'antenne VAE, qui a ouvert en 2003, a traité quelques 480 dossiers en 2006 sur la v i lle.

Un audit des compétences La formule intéresse plusieurs milliers de demandeurs chaque année. Obtenir tout ou partie d'un diplôme sans retourner sur les bancs de l'école explique d'ailleurs le nombre de candidats et le délai de deux mois d'attente pour rencontrer le conseiller VAE de l'antenne Delorozoy. Mais il faut savoir que la procédure de VAE peut durer entre 9 et 18 mois, et coûter jusqu'à 500o€ même si la procédure est gratuite pour les demandeurs d'emploi et peut être financée par les entreprises pour les salariés au titre du Plan de Formation ou du Droit indivi­duel à la formation . Bien préparer sa de­mande s'avère donc une nécessité. Lors d'un entretien gratuit d'une heure et de­mie, le conseiller VAE vous transmettra toutes les informations à connaître sur la VAE, analysera votre parcours profession­nel pour vous donner les solutions corres­pondant à votre demande. Suite à cette première étape d'orientation et d'aide au choix, chaque candidat devra ensuite constituer son dossier de manière indivi­duelle auprès du centre de formation choi­si. "ka difficulté est de savoir à quel diplôme correspond l'expérience des candidats car il existe souvent plus d'une dizaine de solu­tions possibles, la loi ayant exigé la création d'un équivalent VAE pour l'ensemble des 15000 diplômes recensés dans le Répertoire national de certification professionnelle", explique Christophe Robin, conseiller VAE spécialisé dans la gestion des compétences.

Une procédure en quatre étapes Que ce soit pour envisager une réorienta­tion professionnelle, postuler dans une nouvelle entreprise, ou tout sim~lement faire évoluer votre statut, la Validation des Acquis de l'Expérience constitue un moyen de justifier de votre niveau de compétences avec !.'obtention d'un diplôme, atout non négl igeable sur le CV. Pour cela, il vous fau­dra d'abord justifier de trois ans d'expérien­ce professionnelle à temps plein et dans les dix dernières années en tant que salarié, trava il leur li béral ou bénévole, justificatifs administratifs à l'appu i. Après cette prem iè­re étape, une commission statuera sur la re­cevabilité de votre demande afin de vous autoriser ou non à intégrer la procédure de VAE. Pour la troisième étape, vous devrez alors constituer un dossier complet (46 pages à l'état vierge) pour justifier de vos compétences ou réussir des mises en situa­tion professionnelle si vous avez choisi de postuler auprès de I'AFPA (un atout notam­ment pour les métiers à vocation tech­nique). Enfin, c'est un jury composé de 4 à 10 personnes, enseignants et profession-

Les soldes commen­cent le 9 janvier

La période officielle des soldes d'hiver, fixée par le Préfet des Yvelines, débutera le mercredi 9 janvier et s'achèvera le samedi 16 février, soit les 6 semaines légales.

Christophe Robin, conseiller VAE, et Irène Lopez, assistante VAE, ont traité 480 dossiers de candidats à la validation des acquis de l'expérience en 2006.

nels, qui délibèrera sur votre dossier après un entretien d'une heure. Ouverte à tous, du candidat au CAP au diplômé d'ingén ieur, la VAE qui ne nécessite pas de plancher sur

une table d'examen vous demandera tout de même un investissement constant tout au long de sa procédure.

Noël avec les com-merçants du Manet

Tapis rouge, déco de circonstance, les commerçants du Manet avaient décidé de fêter Noël cette année. Une première tentative, initiée par les gérants du ma­gasin de fruits et légumes et de la supé­rette, qui s'est malheureusement vu contrarier par la pluie, mais qui préfigu­re peut-être l)ne nouvelle dynamique chez les commerçants. "Cette première organisation illustre une volonté com­mune de dynamiser le centre commer­cial du Manet, d'y créer l'ambiance de quartier qui fait la force du commerce de proximité", explique Ala in Juppin, gé­rant de Marché Plus. Le Père-Noël et son tirage au sort devrait donc être mieux relayé l'an prochain. Les habi­tants n'auront peut-être pas à attendre si longtemps si les commerçants se met­tent à suivre l'actualité, comme ils l'es­pèrent. Pâques et la fête de la musique, les occasions ne manqueront pas pour concrétiser cette envie.

Freevolt à Promopole, branché sur le solaire photovoltaïque

Quoi de plus gratifiant pour un mi­litant écologiste que d'allier l'utile à l'agréable ? Confronté à un manque criant d'entreprises spécia­lisées dans l'énergie solaire en lie­de-France, Eric Pluvinet a créé Freevolt à Promopole, fin no­vembre dernier. Après un an et de­mi de préparation et de formation Qualisol, afin d'obtenir les accréd i­tations nécessaires en . matière d'énergies renouvelables, l'heure est à l'emménagement dans la pépi­nière d'entreprises, élue pour sa "proximité de la Maison de l'envi­ronnement et d'entreprises spécia­lisées dans la recherche sur le déve­loppement durable", affirme Eric Pluvinet. L'activité démarre, dans

un réel intérêt auprès de mes interlocuteurs". Particuliers, municipali­tés, entreprises, ils se­raient de plus en plus nombreux à étudier la solution solaire, respec­tueuse de l'environne­ment et financièrement intéressante à long ter­me.

Et avec économie Quelques panneaux photovoltaïques fi xés à votre charpente, garan­t is pour résister aux tempêtes ou à la grêle, un ondulateur rel ié au un contexte favorable au dévelop­

pement des énergies renouvelables. compteur pour trans­fric Pluvinet a créé et installé Freevolt à Promopole. Son credo: l'énergie solaire former le courant conti­photovoltaïque, un marché qui intéresse les particuliers comme les collectivités. nu en courant alterna-Un atout pour l'entreprise dont les

objectifs sont ambitieux, sur le plan écologique comme sur le plan de sa croissance. Eric Pluvinet, président direc­teur de Freevolt, espère bientôt accueillir tro is de ses amis, électron icien, monteur et comptable, qu i ont également investi. dans le projet.

Quand énergie rime avec écologie L'énergie solaire : on en parle beaucoup, mais on en voit peu, surtout dans le Nord

Les panneaux photo-voltaïques captent les rayons solaires, y compris par temps couvert.

de la France. Alors que ce mode d'énergie est répandu au Danemark, en Norvège ou en Allemagne, l'entreprise va devoir lutter contre une idée reçue forte, celle de l'inef­ficacité de l'énergie solaire dans le Nord. Pour militer en faveur de l'énergie solaire, Eric Pluvinet organise donc des réunions d'information où sa tâche consiste à diffé-rencier l'énergie solaire thermique, qui a besoin d'ensoleillement pour chauffer l'eau, et l'énergie solaire photovoltaïque, qui capte les rayons solaires, y compris par temps couvert, pour les transformer en courant électrique, sur le même modèle que la calculatrice solaire. "Cette technolo­gie est utilisée sur les parcmètres du centre ville de Saint-Quentin par exemple, sur les bouées en haute mer, preuve de son effi­cacité", explique Eric Pluvinet.

Financièrement intéressant à terme "L'énergie solaire est une technologie d'au­jourd'hui, non une technologie d'avenir.

· Bien que peu d'entreprises tentent le pari, je crois en ce projet. Je rencontre d'ailleurs

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tif, et un simple raccor­dement à un compteur d'électricité spécifi­quement adapté, vous permettent de pro­duire de l'électricité et de l'injecter directe­ment dans le réseau. Ou vous consommez, ou vous revendez, assuré du rachat de votre énergie par une directive européen­ne, au prixactuel de 55 centimes d'euro par kilowatt heure produit. Sachant qu 'une installation coûte ' en moyenne de 10 à 1500o€, après déduction des aides (crédit d'impôts de 50% du coût TTC du matériel plafonné à 8ooo€ par personne, subven­tion de la région à hauteur de 50% du coût HT de la main d'œuvre), il faut en moyen­ne dix à douze ans pour l'amortir, avant qu'elle ne rapporte environ 10oo€ par an pour une centrale de 2000 watts. Sans en­tretien particulier, couvert par toutes les garanties nécessaires, et mis en lumière lors Grenelle de l'environnement, ce mode d'énergie a une place à prendre sur le mar­ché de l'énergie, une niche où les particu­liers pourraient bien constituer une part importante des consommate-urs. Rens. au 01 39 so 64 09.

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Dans les quartiers ..

Suite des réunions publiques dans les quartiers

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A Saint-Quentin le 28 novembre

Au quartier Saint-Quentin le 28 novembre

Le maire accueillait une assistance relative­ment clairsemée le 28 novembre à l'école Rimbaud pour une réunion publique très lo­cale, dont les débats se sont axés essentiel­lement sur les tracas vécus par les riverains sur ce quartier dense, où logements et com­merces cohabitent dans une forte promis­cuité. Pas de grands retours sur les projets structurant pour l'avenir de la ville, comme le futur vélodrome ou le prolongement de l'Au, les échanges ont porté sur le ressenti des riverains sur leur environnement. La ré­habilitation du boulevard Vauban a été sa­luée, et l'annonce du réaménagement de la place Etienne Marcel à partir de juin pro­chain a été bien accueillie. Sur le plan des re­vendications, plusieurs riverains ont remar­qué le caractère glissant de chaussées et trottoirs du centre ville, les nuisances qu'oc­casionnent les pigeons sur certains sites .. . et la mauvaise distribution de votre journal qui échappe à un nombre important de boîtes aux lettres des résidences.

Au Manet le 29 novembre

Au Manet le 29 novembre

Au Manet, le 29 novembre dernier, entouré de ses adjoints parmi lesquels Michèle Pa-

- -. rent, présidente du Consei l du Quartier du Manet, Michel Laug ier a accueilli près de 8o habitants, dans une ambiance colorée, du point de vue du décor plus que du débat, puisque la réunion se déroulait au centre de lois irs du Manet. Une rencontre jugée utile par les participants. Au chapitre des sujets

· ::;-- traditionnellement traités dans le quartier, le problème du survol des hélicoptères était une nouvelle fo is abordé, avec humour. "Je sors mon zoom" concluait l'un des habitants face à la nécessité de prendre ces hélico­ptères en flagrant délit. Concernant le fa­meux pylône EDF, le maire informait l'as-

_,_ semblée sur la première victoire de la muni­cipalité renvoyée en cassation par l'entre­prise. Il relatait également le bras de fer en­tamé avec Orange pour la nécessité d'un nouveau relais internet (NRA) sur la ville (en réponse au problème de connexion in­hérents dans la zone sud de Montigny), qu 'il souhaite concomitante au développe­ment du réseau de téléphonie mobile.

Circulation et projet A 12 Particulièrement attentifs au projet de pro­longement de l'Au, les habitants ont inter­rogé le maire sur son devenir. Les nouvelles ont été rassurantes à plusieurs titres : suite à un gel des projets autoroutiers par le pré­sident lors du Grenelle de l'environnement d'abord, un refus de faire apparaître le pro­longement de l'Au au SDRIF signifiant un

refus de financement par la Région, et une autorisation accordée par l'Etat pour construire la nouvelle déchetterie sur l'em­prise du tracé. En projet depuis plusieurs années, le maire annonçait l'accord reçu ré­cemment du Conseil général pour la construction d'un rond-point au croisement des avenues Manet et Kierspe, et le lance­ment d'une étude pour un deuxième rond­point rue Jean Goujon. En projet également dans le quartier, la rénovation de la rue de Cornouailles, prévue fin mars, avec l'aug­mentation du nombre de places de station­nement, et la réflexion en cours pour le ré­aménagement du square situé en face du café le Manga. Bien que tous n'aient pu ob­tenir satisfaction, sur les problèmes ne rele­vant pas de la seule volonté municipale no­tamment, les habitants s'avouaient satisa­faits de.<ette rèncdntre, à l'instar d'Antoine Guern, ''satisfait de l'intervention du maire auprès du circuit Jean-Pierre Beltoise pour limiter les nuisances sonores".

A la Sourderie-Sud le 5 décembre

A la Sourderie-Sud le 5 décembre

Le maire a clôturé sa série de réunions pu­bliques, débutée au Pas du Lac à la mi no­vembre. Les habitants présents en petit nombre, une trentaine au total, ont pu aborder à loisir les questions qui les préoc­cupaient, en présence de Jean-Pierre Pluyaud, président du Conseil de Quartier, et Jean-Pierre Dauvergne, adjoint en charge de la démocratie locale. Parmi les sujets ré­currents et communs à tous les quartiers de la ville, le maire s'est exprimé sur le conflit Numéricâble, l'Au, l'influence de 1'01 N (opération d'intérêt national pour l'aména­gement du plateau de Saclay) et sur ce der­nier sujet, la constitution d'un Groupement d'Intérêt Public dont il souhaite faire partie, les problèmes de circulation et de station­nement.

Voirie et circulation douce Réaménagement de la traversée de la dé­partementa le 36 au carrefour du boulevard Descartes et de l'avenue du Lycée, réhabili ­tation de l'école Marie-Noëlle, fin de lil ré­novation de l'avenue de la Source entre la place Georges Sand et l'avenue Nicolas About, un programme dense est déjà arrêté pour le quartier. Des études vont également débuter pour la mise en place d'une zone 30 sur la place George Sand, le réaménage­ment des rives du bassin de la Sourderie par la Communauté d'Agglomération, la vitesse de circulation des automobilistes sur le bou­levard Descartes afin d'envisager de nou­velles mesures pour ralentir le trafic. Lors de cette réunion, les habitants ont été in­formés en avant première de l'installation de la zone bleue au centre commercial de la Sourderie Sud, et du changement des modes de collecte du tri sélectif, à compter du 1" avril, suite à la signature concomitan­te du nouveau marché (voir notre article en page 3). Peu de demandes en résumé dans ce quartier, hormis une meilleure signalisa­tion de la maison Jacques Prévert et de la Coordination Handicap, dont l'accès pour­rait se faire prochainement par l'Hôtel de ville, ainsi que le développement des par­kings à vélos dans la ville. Les habitants de la Sourderie Sud ont montré une sensibilité particulière aux modes de circulation alter­natifs, très intéressés par l'aménagement futur d'un nouveau plan de circulation dou­ce par la ville.

L'i n montain www.monti n 78.fr J,\N\/ItH )008

( La Sourderie-Sud ) ----- ------

Guy Broc hot et Nadine Gilbert, la passion en ligne

Guy Brochot, chasseur d'images passionné de ; photo aérienne et d'avions.

t C'est un couple qui a choisi de remettre à · plus tard l'idée d'une petite vie tranquille.

Guy Brochet et Nadine Gilbert, qui rési­dent dans le quartier de la Sourderie-Nord, ont mis leur passion en ligne en ouvrant une boutique virtuelle consacrée à leurs travaux. Une boutique synonyme de quê-

; te artistique effrénée pour ce duo aty­! pique qui colore sa vie à la palette de ses : passions : la photographie pour lui, la · peinture pour elle. Dans le couple, c'est el­: le qui prend en charge les contraintes de la

communication. Nadine a créé la boutique en ligne où se vendent les oeuvres du couple. "Guy travaille depuis 30 ans à re­donner à l'aéronautique ses lettres de no-

( Le Village )

Nadine Gilbert, la plasticienne, qui administre également la boutique en ligne du duo.

blesse en conservant l'esprit des belles an­nées de l'aviation. il a constitué une pho­tothèque de plus de 1ooooo images". Au final, ces dernières sont vendues à l'unité, mais aussi déclinées en une collection d'objets : montres, horloges, tee-shirts, ou encore reproduites en peinture par Nadine sur véritables tôles. Tous les deux ont des parcours qui font résonner l'entièreté de leurs passions : parachutiste, pilote pour Guy, restauratrice de tableaux, créatrice de galerie pour Nadine, qui se souvient aussi avoir obtenu un prix au Salon d'art 1999 de Montigny. Leur vie et leur quête sont à découvrir sur la toile : www.guybrochotdesign.com

Monty-Chars emménage dans son nouveau local

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Monty-Chars a démenagé sa machinerie de la Cavalcade du Club le Village à son nouveau local de l'avenue des Frênes.

Curieux défilé dans la ville, le vendredi 14 décembre dernier au matin . Quand les en­gins de l'association Monty-Chars démé­nagent, la manœuvre attire les regards et ne passe pas inaperçue, mais aucun scoop n'a filtré sur les chars de la prochaine Ca­valcade. Du Club le Village au nouveau lo­cal de l'association, situé 1 avenue des Frênes, la distance est courte, mais le dé­ménagement, pour le moins original, a mobilisé les services techniques de la ville.

les 3 c ha..S de la cavalcade 2008 et le Monty déjà en préparation La trentaine d'adhérents de l'association ont attendu le moment avec impatience, car ils travailleront désormais dans un lo­cal plus lumineux, et surtout mieux chauf­fé, détail. de confort essentiel pour les po­seurs de papier qui vont pouvoir gagner du temps sur la phase de séchage. Le temps passe vite et le constat s'intensifie

généralement à l'approche des fêtes. Les membres de Monty-Chars en ont pris l'ha­bitude, et pour tenir les délais, ils débutent la construction des chars dès la rentrée de septembre. La majeure partie du gros œuvre est donc terminée, et les structures en papier ont pris bonne forme. Pour achever la préparation de leur tour du monde, thème de la Cavalcade 2008, ils se réuniront dès la fin des fêtes chaque mar­di et vendredi, voire plus si besoin et affi­nité. Originale et couronnée par un défilé grandeur natur~, l'activité est ouverte à toutes les bonnes volontés comme le rap­pellent les fidèles de l'association. Brico­leur, décorateur, colleur, découpeur, cou­turier, petites mains, chacun pourra ap­porter sa touche aux chars que la popula­tion admirera le dimanche 22 sur l'avenue Nicolas About. En attendant, voici quelques indices sur le tour du monde qui devrait sillonner l'Afrique, traverser les pôles et faire le tour de la terre .. .

Dans les quartiers L'i n montain www.montign 78.fr 1,\ NVI!Ii )()OH

( Saint-Quentin ) ------ - ------- ------- ---··-- ..... - -----···- · · ······ -- ( Les Prés )

PlaCe Pompidou : la priorité est aux piétons !

Victoria Glaim, tout pour la scène et l'humour

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! Sur la place Pompidou, le piéton est prioritaire sur les véhicules où qu'il traverse les chaussées. C'est J

Victoria Glaim est une jeune artiste habitante des Prés issue du cours Florent, qui convoite une place sur la scène des humoristes françaises dans la veine des Florence Foresti.

j le principe de la zone 30. i

i Où qu'ils se trouvent sur la place Pompi- piétons, la zone 30 a été mise en place ! i dou, que ce soit ou non sur les passages pour concilier la vie locale aux déplace- ! J piétons, les piétons ont la priorité pour ments. Courant 2008, la Communauté ! ! circuler. Installée au printemps dernier et d'Agglomération réalisera des travaux ! i signalée par des panneaux aux entrées et d'aménagement sur le revêtement, en ins- i ! aux sorties de la place pour faciliter la tra- tallant une emprise en résine sur la cha us- ! ! versée des piétons, la zone 30, comme son sée de la sortie du centre commercial Car- i i nom l'indique, transforme la voirie en zo- refour à l'entrée de SQY Ouest. L'amélio- i ! ne et non plus en rue, zone qui donne la ration de la visibilité de la zone 30 devrait i ! priorité aux usagers vulnérables afin ainsi canaliser le flux des piétons et faire 1

i d'améliorer leur sécurité. Dans cet espace prendre conscience définitivement les au- i ! fréquenté; dont la contrainte est de régu- tomobilistes qui l'oublient, qu'ils n'ont pas i ! 1er la circulation des automobilistes et des la priorité sur cette zone. i L---------------------·-----·-·-------------·-------------·------------·--------------.--.1

A une semaine de la première de son one woman show, programmée à la maison de quartiers André Malraux le 19 décembre, Victoria Glaim est souriante, comme à son habitude, anxieuse aussi. Pour l'artiste touche à tout qui rêve de percer dans le métier, ce sera une première véritable confrontation avec le public, le grand saut, aussi important qu'impressionnant. "Je me demande quel va être l'accueil du public, ses réactions. Evidemment j'ai peur du fa­meux bLanc, mais c'est aussi comme ça qu'on progresse, qu'on peaufine un spec­tacle. Je crois que l'on n'arrive pas là par ha­sard. C'est trop difficile si ce n'est pas par

Le Noël des conseils de quartiers

500 tickets de crêpes ont été distribués au Noe/ du Plan de l'Eglise. le 14 décembre. preuve du succès de la manikstation qui a battu des records de fréquentation. Ambiance chaleureuse et kstive, la réputation des rendez-vous du Conseil de quartier n'est plus à foire.

Le Noe/ de la Sourderie Sud a fait le bonheur des enfants, le 7 décembre. Une soixantaine d'entre eUK ont gu~té l'arrivée du Père Noe/, occupés à la création d'objets de Noe/. Un avant gollt savoureUK des fêtes.

Environ 80 enfants et leurs parents Noe/ avec le Conseil de quar­tier du Plan de Troux, le 8 décembre. qui a rarement connu telle affluen­ce. Goliter, ateliers créatifs et pause café, il faut dire que l'accueil chaleu­reUK a fait des émules par cet après-midi froid et pluvieux.

Malgré le froid, les habitants du quartier de la Sourderie Nord ont massive­ment répondu au rassemblement de Noël, le 15 décembre, où le chocolat chaud partagé entre voisins a pris tout son sens, entre deux contes de Noël.

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passion", affirme Victoria. De nature opti­miste, bonne vivante, l'heure est aux der­nières répétitions d'un spectacle qu'elle a entièrement écrit. "Le cinéma était mon premier objectif, puis j'ai eu un déclic. J'adore rire et sur les conseils de mes amis, je me suis dit : pourquoi ne pas faire rire les autres ? Je me suis inspirée de ma vie quotidienne, de celle de mon entourage ou de l'actualité. J'avais envie de parler de tout et de tout le monde. Je parle beaucoup avec le publiè", explique-t-elle. Bien décidée ~,_. donc, elle met la touche finale à son show qui mêle durant une heure le stand-up, la comédie et l'humour. "Mon envie est de fai-re plaisir, et de ne surtout pas me prendre au sérieux", ajoute-t-elle. A 27 ans, cette -habitante du quartier des Prés, fan de Flo­rence Foresti et élève au cours Florent de-puis deux ans, se lance sur les planches. Quatre dates sont prévues à Montigny. "J'essaie de me consacrer à ma passion en jonglant avec les petits boulots. C'est une étape obligée avant d'espérer vivre de ce métier". Déjà, elle pense à de nouveaux dé- _., fis, le concours "Paris fait sa comédie" qui aura lieu au début de l'année 2008 entre autres. Pour l'instant, le rideau s'est levé sur Victoria le 19 décembre dernier à la MQ Malraux, devant un public qui connaît la Victoria du quartier. Cette première presta-tion en a précédé deux autres dans les pro­chaines semaines. Ne la manquez pas. Prochains spectacles : dès 19h30 à la MQ Jouvet le 25 janvier et le 8 mars, à la MQ Matisse le 27 février.

Jouvet Disco ! Malgré un petit nombre de participants, une quinzaine au total, l'ambiance était au rende·z-vous pour la soirée disco de la maison de quartiers Louis Jouvet à la Sourderie-Sud, le 14 décembre dernier. Quizz en tous genres, blind tests, musique rythmée, la soirée s'est déroulée dans la bonne humeur, entre jeux et piste de dan-se. Sa plus grande réussite aura été de ré-

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unir des habitants de différentes généra­tions, notamment des mamans et des jeunes du quartier. Même si les goûts mu- ~

sicaux différaient, tout le monde danse sur du disco !

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Culture L'i

En Bref Les tV'vstnA.~eV'vts se ~écotA. vreV'vt Rtto~A-r IÀes corv_fére~es ~'eth~tt~tA.L.sttq~A-t , ' ' eV'v serLe ~tA. CoV'vserv~toLre Le centre d'ethnolinguistique organise

le vendredi 18 janvier 2008 à 2oh au conservatoire des arts une conférence sur le thème : "Les sioux et les indiéns des plaines d'hier ét d'aujourd'hui". Les indiens sioux, et plus généralement, les indiens des plaines d'Amérique du nord appartiennent à notre imaginaire. Il suf­fit de prononcer leur nom pour évoquer aussitôt des cavaliers nomades, vivant sous les tipis et chassant le bison ... Mais qui étaient-ils vraiment ? Sait-on qu'ils n'ont acquis des chev aux que tardive­ment ? Que certains étaient, en 1800, agriculteurs et sédentaires ? Que connaît-on de leurs guerres, de leur vi­sion du monde ? Tarif adhérents : 5 € , non adhérents : 7€

'SrcuAert.e mt.t.steate te 1~ mat 200~

Musiciens, musiciennes, vous voulez vendre, échanger, acheter du matériel musical dans le cadre du Vide-greniers du 18 mai prochain, contactez dès à pré­sent Sylvain ou Adrien du secteur Mu­sique amplifiée, qui recensent les candi­dats pour mettre en place un projet. Rens. : au 01 30 64- 54 47 musique.amp/ifiee@montignY78.fr

A six ou sept ans, les enfants inscrits en pre­mière année de formation musicale au Conservatoire de musique à rayonnement communal, suivent en parallèle un atelier découverte des instruments. Ludique, et forcément diversifié, cet atelier, très appré­cié des enfants en général, connaît chaque année un franc succès, car il éveille non seu­lement leur intérêt, mais leur permet égale­ment de fa ire un véritable choix quant à leur futur instrument de prédilection (une bénédiction pour les parents aussi qui n'au­ront pas à investir sans certitude dans l'achat souvent coûteux d'un instrument). Tout au long de l'année, durant six sessions d'un mois exactement, les jeunes, répartis en petits groupes de quatre maximum, ef­fleurent un large panel d'instruments. Toutes les familles d'instruments sont au programme. Cuivres, bois, percussions, ins­truments à cordes pincées ou frottées, une première approche permet d'aborder les so­norités différentes de chaque instrument, les particularités techniques aussi.

Vaste choix ! A si x ans, les enfants peuvent exprimer un goût prononcé pour la musique, une sensi­bi lité particulière même, ma is le choix d'un instrument reste aléatoire parmi plusieurs

Le groupe était en première partie d'Elodie Frégé

.ZttR.tl'S "B.~""'~ prépttre so""' preV~A.I-er tt tb uV~A.

Repéré par le Secteur Musiques Ampli ­fiées, le groupe Zaka 's Band travaille à la préparation de son premier album. Entre les répétitions nocturnes qui s'enchaî­nent, les trois membres du groupe igny­montain ont débuté l'enregistrement d'une maquette, les 7 et 8 décembre der­niers au studio du Conservatoire des Arts. La moitié des 14 morceaux qui devraient composer l'album sont déjà prêts, de quoi permettre aux artistes de se tester sur scène comme ils ont pu le faire en assu­rant la première partie du concert d'Elo­die Frégé à la salle Jacques Brel le 20 dé­cembre dernier. L'objectif est ambitieux mais l'aventure reste avant tout une his­toire de passion. Formé il y a tout juste six mois sur un coup de foudre artistique, le groupe partage une complicité révéla­trice, "un véritable échange musical" comme le souligne Pauline, guitariste et deuxième voix, "une rencontre sincère" selon Julien Lefèvre, violoncelliste récem­ment intégré au groupe. Mélange de so­norités d'inspirations multiples, les titres, écrits et composés par Rachid Zakaria, le

chanteur et guitariste du groupe, évo­quent pêle-mêle l'influence de Jimi Hen­drix, Ben Harper ou encore Keziah Jones.

Blues, folk, rock, un melting pot acoustique Dans la tradition acoustique, les textes interprétés en anglais par les deux voix du groupe et l'alliance des guitares folk et du violoncelle créent une musique cha­leureuse, aux sonorités rondes. Les trois musiciens, qui espèrent avant tout aller à la rencontre du public, conçoivent leur musique comme un moyen d'expression, l'occasion de transmettre un peu de dou­ceur, des messages positifs porteurs d'amour et d'espoir. Pour Pauline et Za­karia, musiciens autodidactes habitants du quartier du Manet, le rêve est à portée de main. Julien, musicien de métier ap­porte sa touche professionnelle à l'am­biance de travail décontractée, une né­cessité qui préfigure sans doute de nou­velles échéances importantes pour le groupe.

tu, AxeL, '~""tt Am~l'lt déoo~oe.wtl'l.t lA teeh~Wl d~oe. so101. • d~oe.~~~.C~C.SÛ-qWl ~ po~oe.r stM~r dai'I.S u trP~ "'"" ~10\.S­tm~~~tl'l.t: a etMI.tsst q~ u~oe.r a ~li trts Lw.I~Wl vi.sUlu~.

dizaines de possibilités, d'autant que cer­tains instruments sont peu connus. Pour permettre aux enfants de prendre une déci­sion alliant le cœur à la raison, les décou­vertes s'enchaînent, entre démonst rations et essa is de son. "Les ateliers découverte constituent 1,1ne su ite logique à l'éveil musi­cal , l'un des objectifs majeurs étant d'éviter l'orientation systématique vers les instru­ments les plus connus, piano ou batterie par exemple, alors que d'autres instruments sont tout auss i intéressants », explique Pa­trice Pinero, directeur du Conservatoire de musique. Les ateliers s'avèrent donc d'au-

tant plus utiles pour les familles d'instru­ments les moins connues, et le parc instru­mental disponible au conservatoi re permet aux enfants de s'in itier concrètement à la pratique de chaque instrument. Dernier achat en date, un tuba, qu i pourra it bien préfigurer la création d'une section à part entière. Au cours d'une septième et derniè­re session, en juin, les enfants chois issent alors de faire un essai plus poussé sur l'i ns­trument qui les a le plus séduits, dernière confirmation avant l'heure du choix qui sonnera à la rentrée de la deuxième année de formation musicale.

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L&t "Belle et l&t "Bête le :2.0 ~ l&t FerV~A.e ~lA. M&t ll\let

L'histoire est célèbre et a été mise en scène au cinéma par Jean Cocteau. Des généra­tions entières ont rêvé devant ce conte de­venu l'un des plus gros succès du cinéma pour enfants. Dans des décors et costumes fastueux, redécouvrez la Belle et la Bête comme vous ne les avez jamais vus, le di­manche 20 janvier prochain, à 16h à la Fer­me du Manet. La version théâtrale, adap­tée pour les petits à partir de six ans, vous

promet un moment de grand spectacle aux allures de comédie musicale. Des chansons, des danses, du cirque aussi, les jeunes spec­tateurs se laisseront envoûtés, surprendre même par une adaptation plus réelle et plus intense qu'au cinéma. Un peu de féé­rie pour prolonger les fêtes de Noël et fai­re plaisir à un public familial. Réservez vos places sans tarder au 01 39 30 31 70.

christophe Mtt_é :, b~el'\tVel'\tt..te dal'\tS SOl'\t paradi-S ·.

Pour le premier concert debout de la saison, le 26 novembre dernier à la Ferme du Manet, la Direction de la Culture s'était préparée à l'affluence des grands soirs. Une nécessité face à des fans postés dès 10 heures du matin dans la file d'attente pour approcher au plus près Christophe Maé. L'ambiance du soir l'a confirmé, avant même la venue du chanteur sur scène, la cha­leur et le rythme ont commencé à monter chez les 1500 specta­teurs. Avec le mélange particulier de son pop rock acidulé reg­gae qui l'a révélé, Christophe Maé a enflammé la scène, affichant son plaisir de partager ce moment avec le public et ses musiciens. Le concert était d'ailleurs particulier pour le chanteur qui clôtura it à Montigny la première partie de sa tournée. Sur scène, le show­man a donc fait durer le plaisir, avec l'art et la manière d'emporter le public avec lui. " Les concerts où l'on danse vraiment deviennent ra res", confirmait Mélanie âgée de 17 ans. Avec la simplicité qui le caractérise, Christophe Maé a laissé son empreinte rythmée dans la saison cu lturelle, et conquis des fans qui sont restés portables à la main pour immorta­liser le moment. Nul doute qu'ils soient définitivement attachés à l'artiste !

Culture

o Clc:ttr ~e Ut UA.V\!e, c:t~~t tlttéatre de Ut dtfférell'vCe

titude, un personnage. Trouver le jeu juste, travailler l'art de la paro­le et de l'expression constitue un art durant le cours, et un moyen de mieux communiquer, de progres­ser au quotid ien . "J'ai choisi ce cours par amour du· théâtre d'abord, pour apprendre à discuter et à aller vers les autres aussi ", souligne Sébastien. Au fil des se­maines, les échanges se créent et les comédiens profitent de l'émula­tion de groupe, avec une première participation au spectacle de fin d'année de l'école municipale de théâtre en ligne de mire. Seule re­

Anne-Sophie, Virginie, Gabriel, Ro­·bert et Sébastien sont les pionniers de la compagnie 0 Clair de la Lune, nouvelle venue à Montigny. Chaque mercredi soir, dans l'en­ceinte de l'ancien Collège Bergson où l'école municipale a pris ses quartiers dès cette rentrée, la trou­pe de cinq comédiens, valides ou en situation de handicap, se retrouve pour partager la passion du théâtre et cultiver la différence. C'est là le côté innovant de cette école de théâtre ouverte à tous, aux per­sonnes valides commè aux per­sonnes atteintes de handicaps phy­siques et mentaux, où le théâtre devient une scène privilég iée pour la différence, · un vecteur de parta­ge, capable de faire évoluer les re­gards sur le handicap.

oot.ircltlal..luo.e.wo.ctrw.peold•~IAKWAtl'ectluKtwuleladtffbe ... ouo...t présentante de la "mixité", Virgi­cltllllu. nie, anciennement adhérente à

Le geste outil des mots Pour Vincent Vernerie, le professeur, rien, hors mis la durée du cours, ne le différencie d'un cours de théâtre classique. "On re­trouve dans ce cours tous les éléments qui constituent le théâtre. Le cours est seule­ment plus long, trois heures au total, pour nous permettre de nous adapter aux be-

l'école municipale de théâtre, a

soins de chacun et de nous consacrer aux choisi de soutenir cette démarche, comédiens de façon individuelle", explique- de participer activement à l'évolution des t-il. Dans ce cours de théâtre adapté, cha- regards. "C'est un cours d'une qualité et cun trouve son compte donc. Diction, d'une richesse tant humaines que théâ-gestes et attitudes, les apprentis corné- traies", conclut-elle. A ce jour, seul le cours diens se familiarisent avec les réflexes ouvert aux adultes a pu être ouvert, les ins-propres au théâtre, le positionnement sur criptions ayant été insuffisantes pour ou-scène et l'art des entrées notamment. En vrir un créneau consacré aux jeunes. Avis

aux amateurs donc. deux temps, les comédiens apprennent à allier le sens des mots, le jeu des pauses et des mouvements à une expression, une at-

'Rens. au 01 42 74 17 87, www.oclairdelalune.com

Us ~~YD!1QbLes tQLefl\,ts àe Xetvter MortLVlAtr

~ Colleettf Froep-p,et t"'­see~ -pow.r lis -ptt.<.S jt~~

De nouveau en scène après le succès du conte musical "Les étranges bagages de M. Alto" en 2005, le Collectif Froeppel a joué sa nouvelle création à guichets fermés malgré la concurrence des événements du week­end, le dimanche 9 décembre dernier à la sal­le Gauguin. Avec ce second opus, la compa­gnie, composée d'artistes d'horizons variés, prend de la hauteur. Du rire, des quiproquos, des intrigues et des rebondissements, on en attendait pas moins de ce nouveau spectacle inspiré de la Commedia dell'arte. Cette fois encore, la troupe a su mêler avec talent tous les ingrédients qui font sa réussite auprès des jeunes spectateurs. Les huit personnages hauts en couleur, les costumes et les masques travaillés dans la tradition de la Commedia dell'arte les ont émerveillés. En­traînés dans cet univers vén it ien flam­boyant, les enfants âgés de 5 à 10 ans se sont laissés captiver par le jeu interactif et l'uni­vers musical qui caractérisent la troupe. Sur fond d'histoires d'amour et de personnages bien connus comme Arlequin et Colombine, c'est l'un des ressorts de cette pièce basée sur les improvisations des comédiens. Vivant, chaleureux et drôle, "Il regala" aura nécessi­té un an de travail mis en scène par Matthieu Cessac, une préparation intensive pour un franc succès.

Ce n'est pas un lapin de son chapeau, mais un balai de son tuba que Xavier Mortimer a sorti, le 11 décembre dernier à la salle Jacques Brel. "Son tuba c'est le sac à main de Mary Poppins", soulignait Catherine ! On le disait incroyable, irréel même. Les spectateurs, petits et grands, en sont restés bouches bée. Les deux séances program­mées pour ce spectacle jeune public ont àf­fiché complet, et les commentaires à la sor­tie de la salle saluaient, scandaient plus exactement, les multiples talents du jeune magicien. "Bluffant", "très doué", "ma­gique", aucun commentaire n'aurait néan­moins pu remplacer les yeux écarquillés et le sourire des spectateurs. Dans un mo­ment de rêve, son personnage muet ajon­glé avec les tours de magie, la comédie, les jeux d'ombre, et les instruments, clarinet­te, accordéon, tuba, dont il joue successi­vement. On pourrait attribuer de nom­breux qualificatifs à ce spectacle, diversifié,

XAIVicr ~ lUit -perit dai'& la l"'U9~JIOICI' le~~ ctwt socJ.s les~ Rlolllltlt ~

d'une grande qualité aussi, mais c'est avant tout sa poésie qui a marqué les specta­teurs. Assurément l'un des temps fort de la saison jeune public, la soirée était un beau cadeau de Noël avant l'heure, un émer­veillement à point nommé pour les en­fants, et leurs parents.

111A.L!1sst,, de retour de rroit" t:e ~ a ta salle J. '&rel ·

La saison culturelle jeune public a déjà connu de grands moments cette année. Elle se poursuit avec « Ulysse, le retour de Troie »1 une épopée musicale à voir le mardi '2.9 janvier,dès 2.oh à fa salle Jacques Brel. Huit comédiens de qualité, à la fois danseurs et chanteurs, dis décors dignes des grands péplums et des jeux de lumière sauront captiver le public. Et si les parents connaissent par cœur l'histoire tirée de l'Odyssée d'Homère, du jeune Ulysse reve­nant de Troie pour affronter Poséidon, les plus jeunes découvriront l'aventure à tra­vers cet incroyable spectacle, rythmé, féé­rique, mystérieux et émouvant à la fois. Une plongée unique et di'vertissante au

cœur de l'Antiquité grecque, à voir à par­tir de 6 ans. Rens. au 01 39 30 31 70.

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www.collectif-froeppel.com

ge Rsttvat dw. û~~ ~~Le"'- à tL{t::;C

dw. 21. aw. 2Jja""'vttr L'UGC Ciné Cité de SQY Ouest et l'association internationale "Tagore Sangam" proposent la 3' édition du Festival du Cinéma Indien du 21 au 27 janvier 2.008. Durant une semaine, un programme de films made in Bollywood sera diffusé (la programmation sera commu­niquée prochainement), dont deux inédits. Les visiteurs pourront assister à chaque fin de projection à des échanges d'idées pour dé­couvrir quelques aspects sur la culture et la civilisation indienne. Deux expositions d'af­fiches se t iendront également dans le hall du cinéma et dans le hall de l'Hôtel de ville. Rens.: M. Azarie au o6 79 72 41 51

jet~ t>tQM, aot.de et déLtra~, Lt 1.7 févri.tr à ta salLe <:;ttt.tglo<.t"'-

Bien que .son nom ressemble étrange­ment à celui de l'acteur américain, il n'est pas encore connu. Pourtant, vous l'avez écouté tout au long de l'été 2007 avec "Les blancs ne savent pas danser", un tube que vous pourrez bientôt re­trouver sur l'album "Le fils du commis­saire", dont la sortie est prévue pour le 21 janvier prochain, juste à temps pour sa venue ·à Montigny. De passage à la salle Gauguin, le dimanche 17 février à 18h, au tout début de sa tournée promotionnel­le, le rappeur belge apportera sa touche hip hop à la saison: Né dans les quartiers populaires de Bruxelles, fils de commis­saire, vous découvrirez son style, entre introspection, ironie et fiction délirante. On le dit initiateur du "rap de classe moyenne", d'un style hors normes et sans concession. Un concert remède contre les stéréotypes en somme, intro­duit par les aventuriers d'lrulia qui pré­senteront quelques-uns des extraits de la comédie musicale made in Montigny. Tarif : 7,5€. La billetterie sera ouverte débutjarwier. Rens. au 01 39 30 31 70.

, , , , 4S ex-posr.t1.0~ t"'-JA"'-Vr.tr Au Conservatoire des Arts Un nouveau trio s'exposera au Conser­vatoire, du 17 janvier au 2 février. Dé­marches artistiques variées et abouties, le regard se fera pluriel sur la mosaïque contemporaine de Patricia Leroy, artiste sensible et créative, tandis que vous ad- · mirerez le fruit dans son essence la plus pure avec Jean Max Pairault, avant d'emprunter le chemin de Compostelle, sur les pas de Benoît Wiscart. L'art se laissera également appréhender en conférence, les mardis de 20h à uh, à commencer par l'œuvre de Calder, le 15 janvier (en écho à l'exposition prévue au centre Georges Pompidou), avant d'aborder l'Allemagne des années noires, le 2.9 janvier (en rapport avec l'exposi­tion qui se tiel'}dra au musée Maillol du 31 janvier au 4 février).

A la Maison Félix Du 12. au 2.0 janvier, c'est le thème de la transparence qui sera mis à l'honneur à la Maison Félix avec l'exposition des peintures à l'huile de Laurence Pichot, · avant de mutiplier les regards et les ap­proches de l'eau, de la terre et des cou­leurs, du 2.6 janvier au 3 février, avec l'exposition collective de Françoise Re­nou, Dominique Boittin, Maïté Bonis, Annick et Gérard Limeuil.

6~re qw.etqw.es ptaees pow.r Robt"" Me Kttlt

L'artiste jazz à la voix chaude et envoû­tante sera sur la scène de la salle Jacques Brel le mardi 5 février à 20h30. Vous pourrez alors découvrir son premier al­bum solo où elle revisite des classiques, auxquels elle-ajoute un brin de modernis­me et de romantisme qui lui est propre. Avec son énergie folle et son timbre de voix unique, elle vous fera plonger dans l'Amérique des année 40 à l'époque des plus grands artistes de jazz et de blues. Par ailleurs, la première partie sera assu­rée par le groupe de jazz et blues Elec­tricdiva. Rens. : 0139 30 31 70.

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En Bref

Une trentaine de poussines des groupes de gym loisir était réunie sur le praticable, le 9 décembre dernier au matin à Coubertin, pour le Challenge des poussines, un événe­ment festif, et une occasion de se confron­ter en douceur à l'ambiance de la compéti­tion lors d~ ce tournoi interne. Massés au­tour du praticable, les parents ont tout au­tant savouré le moment en constatant les progrès de leurs enfants. "Le challenge est un moment important pour la vie du club, un moment convivial pour les enfants qui sont fiers de pratiquer devant leurs parents et apprécient particulièrement la remise de récompens~, pour les parents aussi qui pro­fitent de ce temps de rencontre autour d'un verre de l'a.mitié", souligne René Sa­mie, pré~ident de l'association. Tradition­nellement, le challenge se 'coordonne avec le Téléthon, un moyen original pour l'asso­ciation de récolter quelques dons avec une entrée à 2€, pour un résultat cette année d'environ 13o€ récoltés.

Le rwtrtt""0 bato"" -pre""~ ses V\lt&t rq tA.es èi CotA.bertt""

'Sttslut : ~ttVtVvtw.re coVvtt- . Vvw.t tVv Cow.pe de rra Vvet ·

Les seniors de I'ASMB Basket restent en course en Coupe de France, après le~r vic­toire à Tourcoing (66 à 4S) le 15 décembre dernier. Les voilà en 1/64"' de finale de la Coupe de France qui se disputeront le 6 janvier (tirage au sort à venir).

Douze adhérentes se sont laissées · tenter par l'activité twirling bâton au dernier fo­rum des associations. L'activité, inaugurée cette année sur la ville, prend tout juste ses marques au centre sportif Pierre de Couber­tin, à raison de deux cours par semaine, les lundi et vendredi pour les plus jeunes. Mé­lange de gymnastique, de danse et de majo­rette, il faut dire que cette discipline com­plète et variée a de quoi rassembler, comme l'illustre l'âge des participantes âgées de 5 à 20 ans. " Le twirling bâton associe de mul­tiples disciplines ce qui rend sa pratique à la fois ludique, sportive et artistique", confir­me Marine, la doyenne de l'association. Les nouvelles recrues s'efforcent pour l'instant d'appréhender les bases de la discipline,

. mais déjà, leur motivation préfigure un bel avenir à l'association qui espère bien se dé­velopper.

Un entraînement varié qui répond à une discipline complète En musique toujours, et rythmée de préfé­rence, en solo ou en groupe, les cours de twirling bâton se déroulent en quatre phases. Hormis l'échauffement indispen­sable à toute discipline sportive, les prati­quantes du twirling bâton travaillent leurs acrobaties, des figures de gymnastiques comme la roue, des figures de danse tel que le grand jeté, le bâton et les mouvements obligatoires, qui donnent lieu à des stages départementaux dont le dernier s'est dérou­lé à Maurepas à la mi-décembre. Outre l'adresse et la précision nécessaires au lan­cer de bâton, elles doivent également ac­quérir de la souplesse et n'échappent pas à

1 Foot : ta FrttV\Ice et ~rrLttV\I~e se V\,e~A.trtt L~seV\,t èi Ltt ColA. LiA re

L'équipe de France de football, c'est une grande famille qui offre son maillot à toutes les générations. Ainsi y a-t-il aussi

l' une équipe de France en bonne et due for­

me pour les moins de 16 ans. Sur le terrain, les jeunes garçons ont déjà tout des grands, et sur leur CV, ils viennent sou­vent des plus grands clubs français. Le 6 décembre dernier, les Tricolores, sélec­tionnés et entraînés par Philippe Berge-

roo, affrontaient l'équipe d'Irlande en amical devant une tribune pleine au parc de la Couldre. Un temps typiquement ir­landais, un manque de réussite, notam­ment côté français, ont fait que les adver­saires se sont neutralisés (o-o), malgré un beau spectacle. Les spectateurs ignymon­tains se sont satisfaits d'accueillir à domi­cile un match international, et de pronos­tiquer les futurs vedettes de demain.

W twtrU~ btlto .... , e'est Lt S)lOrt des 111.11jorettts, e'est s~.trto~.tt ~.tio\ot dlsei:pliio\ot do.....t •tA prat~w.e ~ Ul fols l~.td~~.te, spcr­t~ve tt Artls~w.e·, pc~.tr so .... pro{tsst~.tr (tt prés~tl'l.tt) va li~ MorAlts.

la séance d'étirements. Tête et corps bien droits, le sourire aux lèvres malgré l'effort, la synthèse de tout ce travail se retrouve dans la répétition des chorégraphies. En grande préparation actuellement, les adhé­rentes se préparent d'ailleurs pour la dé­monstration et l'atelier qu'elles proposeront le 12 janvier prochain à Coubertin, à l'occa­sion des Défis Sport Famille organisés par l'école municipale des sportsc Valérie Mora­lès, fondatrice et professeur de l'association, réfléchit déjà sur ses projets futurs. En pre­mier lieu, elle souhaite assurer l'avenir de l'association et accompagnera Marine, an­cienne gymnaste, dans la préparation des

degrés qui lui permettront d'enseigner au club ignymontain. Elle aimerait également développer prochainement l'activité pom­pon affiliée à la même fédération que le twirling bâton.

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Let reLetxetttroll'v etvec PV\etre,

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U.V\, VlltOVlA-eV\,t pou.y SOL Être à l'écoute de soi, retrouver son unité et son calme intérieur constitue une quête du Graal façon 21• siècle qui a une résonnance particulière pour nombre d'entre vous. Pionnière dans la mouvance des méthodes de recherche de l'harmonie et du bien-être, l'association Phare Relaxation Active prône cette démarche à Montigny depuis 20 ans. Pour la majorité des 8o adhérents de l'asso­ciation, la pratique est d'ailleurs devenue essentielle à leur bien-être. "Soulagement des migraines, des troubles du sommeil, des maux de dos, je reste toujours étonnée des effets dont les adhérents me parlent", sou­ligne Catherine Beddok, l'un des trois pro­fesseurs de l'association. ''C'est un bien-être, un temps pour moi où je n'ai à m'occuper de rieA d'autre", confirme Arlette, pratiquan­te depuis 18 ans. "La pratique m'apporte une hygiène de vie en général. J'ai com­mencé à la fin de ma vie professionnelle pour m'aider à aller jusqu'à la retraite sans trop de tensions", ajoute Marie-Thérèse. Pas de méthode miracle, la relaxation active propose un temps d'écoute de soi, un travail de mouvements simples et accessibles à tous pour retrouver une détente corporelle et acquérir au fur et à mesure des années de pratique un meilleur équilibre au quotidien.

"Petites choses pour grands effet~' Si le corps est l'express ion de l'être, autant faire en sorte que celui-ci soit détendu ! La méthode Martenot enseignée par l'associa­tion Phare est accessible à tous. Sa pratique

doit vous permettre de vivre le moment présent, à l'écoute de votre corps. Ainsi, en prenant conscience de votre état musculai­re et nerveux, en observant votre respira­tion, vous retrouvez la détente. A travers la variété de mouvements, la pratique appor­te un relâchement immédiat durant les cours, mais permet rapidement de trouver une application concrète dans la vie quoti­dienne. "Le corps mémorise les positions et l'état de bien-être", remarque Pascale Goris­se, professeur. La gestion des situations stressantes s'améliore . car vous prenez .de plus en plus conscience de vos tensions. Epaules relâchées, dos. libéré, nuque souple, tonus juste, fatigue oubliée, ces bienfaits peuvent être rapidement expérimentés.

Faire taire son mental Debout, assis ou allongé, les positions va­rient mais l'objectif reste le même. Durant la relaxation active, la détente du corps pas­se par l'extinction du mental. Point de sou­ci, point de projet, point de question, la re­laxation est un moment accordé au corps.

· On y apprend à re~sentir, à se respecter. La relaxation n'est une discipline codifiée, à chacun ses sensations, ses besoins. Si l'expé­rience du relâchement vous tente, l'associa­tion propose deux cours d'essai gratuits, et ouvre un cours d'une heure accessible aux salariés, le mardi à 12h30, dès le mois de jan­vier. Rens. au 01 30 43 40 18. Lieux de pratique dans les MQ L. Jouvet et A Malraux.

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TéLétVtoV\, • •

A défaut du chiffre national, le record de collecte est battu pour la 21' édition du Té­léthon qui s'est caractérisée par une mobili­sation ignymontaine sans précédent, les 7 et 8 décembre à Coubertin. "La barre des 6ooo€ récoltés est franchie pour la premiè­re fois à Montigny. Nous en sommes à 6556,98€ pour l'instant, en attente des der­niers résultats", confirme Daniel Gazuit, trésorier de I'ASMB. Cette réussite, la mani­festation la doit d'abord à une forte partici­pation des associations culturelles et spor­tives, ainsi qu'à un agglomérat d'initiatives diverses, des conseils de quartiers notam­ment, du lycée Descartes aussi, dont la pre­mière participation a permis de récolter 928€ . Cette année, l'union a donc fait la force et les· petites rivières de grands ruis­seaux !

Une multitude d1nitiatives Chaque année, les associations sportives constituent le pilier de la mobilisation à Coubertin. Pour créer l'événement, on re­trouvait les fidèles de la manifestation, Cho­respace Danse et son public, le Viet Vo Dao et son show, Ciel et ses défis vertigineux. Dans les gradins ou sur le terrain pour les multiples ateliers proposés, les habitants ont répondu à l'appel, comptabilisant 2424€ ·d'entrées. La nouvelle formule. du Téléthon a donc séduit. Inaugurée par les défis de l'école des sports et le tournoi de Hlts-al';-demc-nouveautés-de fla nnée-, li!!"man1-festation se voulait plus dynamique et parti­

ive. Dès le vendredi soir, les

All\.tho~!:l• ~~~~ étèvt dt ~éeoltj~lts Vtmt Qttt~ll\.t dt 1.&1 ~!:IOJlllth~ dt t>~hts~, tt Ll.(eQs oll\.t do~~ lt OO~Jl d't~Vo~ d~ to~rM~ dt ruts11llt Vt~rtd~ so~r.

pants étaient au rendez-vous. Une réussite qui s'est coordonnée avec une participation plus importante des associations culturelles qui ont mis leur savoir-faire au service d'une bonne cause, comme I'ADAL (376€), les ate­liers vitrail, déco et broderie de la maison de quartiers Louis Jouvet (265€), ainsi que les crêpiers d'Ar Bernie, fidèles au poste qui ont transpiré pour la modique somme de 747,8o€ . Arrondie par les initiatives de quartier, la récolte a profité de la cuisine du Conseil du quartier du Village, dont les nems et gâteaux ont rapporté 542€, et du dyna­misme du Manet, sur scène pour 1290 €.

Un grand merci à tous

présentées qu'à l'accoutumée, le week-end a constitué un temps d'information et une note d'espoir en somme, illustrée par An­thony. "Ici pour faire avancer la recherche, récolter l'argent qui permettra de vaincre la maladie", affirmait-il. Un grand merci à tous les participants et collecteurs parmi lesquels Palladium (1oo€), le Conseil de la Sourderie Sud (41,86€), I'ASMB pétanque (14o€), I'ASMB volley (1oo€), I'ASMB (2oo€), la Gym d'entretien (1oo€), le Bridge club (405€), Montigny Gym (environ 13o€), le CCAS (56,42€), sans compter les recettes du Montylive Metal qui vont contribuer à grossir la cagnotte.

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En Bref tASM"B 6scrl.~ e"" rou.te -pow.r La séleet~oll\, Frtt V\..Ct •

Un titre national pour couronner la sai­son 2008 de I'ASMB Escrime ? L'objectif est ambit ieux mais pas impossible. Les premières compétitions ont eu lieu et quelques tireUrs sont déjà en bonne voie pour la sélection au Championnat de France, car le club récolte aujourd'hui les efforts qu'il a dédiés à la formation des jeunes.

Prochaine étape : la région LigÙe, région, interzones, les quatre ti- "" treurs qui se sont sélectionnés lors de la première épreuve de la ligue de Ver­sailles, le 25 novembre dernier, ont enco-re un long chemin à parcourir pour at­teindre le championnat de France Mi­nimes 2008. Mais les résultats sont pro­metteurs, notamment du côté des fémi­nines qui se sont très bien classées, Fanny Pineau ayant remporté l'épreuve, suivie de près par Valentine Herry (S'). Les gar­çons n'ont pas démérité, avec une 16' pla-ce sur 130 participants pour Antoni Pietri, une u.• place pour Mickael Beneteau. fiC

Prochaine étape donc, la qualification ré­gionale qui aura lieu en février à Paris. "Les résultats sont encourageants, pour Fanny entre autres, qui remporte la ligue pour sa première année dans la catégorie, et Antoni qui évolue en benjamin avec un an d'avance et se révèle être ·la surprise de ce début de saison", souligne Jérémy Rousseau, président du club. En' parallèle, et pour la premièrè fois de son histoire, le club était représenté par sept jeunes lors du s• Challenge cadet intèrnational les 1 ... et 2 décembre à Cabriès. soo tireurs, 30

" ncit:rorrallfés~ lé" cflàiiE!nge comptait pour~ · la sélection au Championnat de France N1. Une expéri~nce unique pour les ti­reurs du club qui ont pu se frotter au ni­veau international, avec une certaine réussite tout de même pour Mickael Be­neteau classé 109' sur 342, et Solène Chauvier, classée 132.' sur 22.6.

Au-delà des dons récoltés, le Téléthon sym­bolise la manifestation du cœur, "une jour­née de grande écoute où l'on se préoccupe des maladies rares, où les malades se sen­tent pris en compte", soulignait Annie Bor­deau, maman concernée. Pour beaucoup de parents, et de familles concernées plus re-

ASM'B C{olf: A 11\,0t..<.VeLLe ~ 1 ' w.t ~~prtssi.o!Mo\Q~ démo...strttti.o~ dt easst dt jllllil\r­

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Le CVSQ.. el1&tl'lA--p~oll\, ~e Fr&Jifl,ee 2007- sur ~ér~veur

Le moment est historique pour le Club de Voile de Saint-Quentin qui n'était pas mon­té sur la première marche du podium de­puis 20 ans, malgré la volonté de ses com­pétiteurs qui enchaînaient les perfor­mances depuis quelques années, toujours classés dans le top cinq des clubs, mais ja­mais champions. Après une saison excep­tionnelle, la performance, cette fois, est couronnée du titre de Champion de France des Clubs sur dériveur. Une grande fierté pour les régatiers qui se paient l'audace de terminer devant les clubs les plus réputés de bord de mer.

La consécration d'un travail d'équipe "On courrait après ce titre depuis plu­sieurs années. Cette saison, les régatiers ont réussi à mainte­nir leurs résultats tout au long de la saison, une constan-

solution mot fléché p.16 ce qui nous avait fait

régulièrement perdre le titre les années précédentes. C'est la conséquence de la mobilisation de tous, coureurs, entraîneurs et familles", explique Philippe Guesney, président du club. Dès la fin du mois d'oc­tobre, le titre était assuré, bien que les trois premiers clubs se tiennent à 200 points près sur un classement total d'environ 3000 points. Un suspens et une perfor­mance qui ne font qu'ajouter à la valeur du titre de champion qu'aucun club d'entraî­nement situé à l'intérieur des terres n'avait jamais remporté. La remise du précieux trophée, moment de consécration, s'est dé­roulé le 8 décembre dernier au siège de la Fédération Française de Voile à Paris, où Philippe Guesney, Régis Viateur, champion du monde sur tempest, et Bernard Cho­quier, président de la Base de Loisirs, ont fait le déplacement. Un titre chèrement conquis qui laisse augurer de nouveaux ex­ploits en 2008, d'autant que le club en a le potentiel à la fois technique et humain, puisqu'il a également reçu le trophée du premier club d'lie de France en nombre de licenciés. Retrouvez toute l'actualité du club http:jjasso. ffv. frjcvsq

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equ1--pe, 11\,0uVet~ux -projets Jacques Morny est le nouveau président de I'ASMB golf, élu à la majorité lors de la dernière assemblée générale de l'associa­tion en date du s octobre. Retraité dyna­mique et habitant du quap:ie_Ldu1'{illage, if se consacre depuis à~ l~tg~nisation de la · saï son 2oo8/2009 avec l'appui du ·comité directeur, une fonction qu'il connaît bien en tant qu'ancien organisateur des sorties du club. Gestion, administration, sens de la négociation, le nouveau président a pris ses nouvelles prérogatives avec cœur et entrain . "Avant tout, j'aimerais casser l'image trop élitiste du golf. C'est un sport convivial, et plus accessible que l'on se l'imagine, surtout au sein d'une associa­tion qui dispose de matériel de prêt", rap­pelle-t-il. Démocratiser la pratique, dyna­miser la vie du club et créer un véritable , esprit de groupe, les objeètifs sont ambi­tieux pour l'année à venir.

Faire vivre l'association En tout juste deux mois, l'association a dé­jà mené à bien quelques-uns de ses pro­jets. Pour développer la vie du club, la nouvelle équipe de direction vient de créer un site internet, en lien avec ies pages sport du site internet de la ville, où chacun des adhérents peut retrouver les comptes-rendus des réunions mensuelles du Comité Directeur, les diaporamas des sorties et une multitude d'informations utiles. Côté pratique, les dirigeants ont mis en place une méthode de suivi person­nalisé des joueurs et une méthode d'ensei-

gnement commune pour les initiateurs. "Nous souhaitons améliorer l'encadre­ment des pratiquants pour leur permettre de mieux aborder ce sport individuel et de progresser avec plaisir". Dès 2008, ces ef­forts d'accompagnement s'illustreront lors des sorties compétition du club qui permettront non seulement aux débu­tants de se confronter à la compétition, mais également d'obtenir un classement, rendant l'obtention coûteuse de la carte verte facultative. Pour le moins actif, et pratiquant assidu depuis 20 ans, Jacques Morny a ficelé son programme pour 2008, ~ entre week-ends golfiques, sorties, com­pétitions et animations conviviales. Avant la pause hivernale qui laisse place aux cours théoriques sur l'étiquette ou l'utili­sation des greens, 25 inscrits ont eu un avant goût des réjouissances lors d'une sortie très appréciée à Clécy, près de Caen, .,. le week-end du 11 novembre.

-Sudoku RECAU- 'T TISSU -y BERGE '-y FACLE ~ IL RELIE ~ FAITS CONJONC- DONNE MEDECIN

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