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A PROPOS DES F() [I LLES 1)E NA PLOUSE M. Enla."t, ancicii meln/jre (le l'École fi'aneai ' e (le Jl(iflU, flOUS (Z fait l'/lljnndu, (le flOUS adresse,' la flûte stuLaI1te Monsieur le Directeur, C'est avec un vif' intétèl jue j'ai fil le dernier fascicule (le la flerue biblique (1). à Iii ('/irwiiquc (le Je 'rusafm, le compte retl(lu (les fouilles operées ft Naplouse dans l'église du Puits de la Samaritaine. Les archéologues (le Frituce ne sauraient, ce 111e semble, être assez re- conuaissants à vos collaborateurs de les tenir au courant de tout ce qui peut se découvrir dans ces édifices tics Croisés qui sont polit' nous de véritables reliques de fitnille; aussi, pour vous dire toute ma pensée, je souhaiterais que ces iiioiiuiiicnts inspirassent encore plus d'intérêt à vos collaborateurs. M. le marquis de Vogûé et M. Re' les ont, sans doute, niagistialciitent étudiés mais, outre qu ' ils ii'oiit lin épuiser la Série (les (lélliis à relever et des observations à faire, le hasard (les fouilles cl la patience (les chercheurs fixés dans le pays niên)e peu- vent nous fournit' bien de nouveaux détails. Pour (les édifices déjà connus, comme celui de Naplouse, il ii'cst pas impossible d'ajouter quelques remarques à celles qui ouI été faites. A iiusi, lou'squ'eti j uillet deinier le R. P. Séjourné a donné à la Soei1ïes .1 flh!qUa//'l'S une mtéressan te comimmication ait de cette église, j'ai fait part à nos confrères d'un rapprochement qui m'avait frappé (le prime abord. Le °ioupe des deux chapiteaux exhumés dans les récentes fouilles (le l'église (le la Samaritaine et indiqués au pl'emier pIn ii (laits le dessin que Volts avcz l u t1 l ) l1 ( ( iiiéiite (l'être confronté avec le purin il (1) l'octobre (2 Bevne biblique, nilul iii I O. p. 621. Cette gIise avait été signalée et sommai reme ni ii eiite par Ni. le marquis de Vagiié dans son bel nuvrage les Éqli.ses de la T'rreSaoifr. p. 37. II vit u fuit binit;ti;Ii la date d'après divers textes. Document '. llI ll l lu Hl 111110 lOI 0000005628070 '" "

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A PROPOS

DES F() [I LLES 1)E NA PLOUSE

M. Enla."t, ancicii meln/jre (le l'École fi'aneai ' e (le Jl(iflU, flOUS (Z faitl'/lljnndu, (le flOUS adresse,' la flûte stuLaI1te

Monsieur le Directeur,

C'est avec un vif' intétèl jue j'ai fil le dernier fascicule (le laflerue biblique (1). à Iii ('/irwiiquc (le Je'rusafm, le compte retl(lu (lesfouilles operées ft Naplouse dans l'église du Puits de la Samaritaine.Les archéologues (le Frituce ne sauraient, ce 111e semble, être assez re-conuaissants à vos collaborateurs de les tenir au courant de tout ce quipeut se découvrir dans ces édifices tics Croisés qui sont polit' nous devéritables reliques de fitnille; aussi, pour vous dire toute ma pensée,je souhaiterais que ces iiioiiuiiicnts inspirassent encore plus d'intérêt àvos collaborateurs. M. le marquis de Vogûé et M. Re' les ont, sansdoute, niagistialciitent étudiés mais, outre qu ' ils ii'oiit lin épuiserla Série (les (lélliis à relever et des observations à faire, le hasard(les fouilles cl la patience (les chercheurs fixés dans le pays niên)e peu-vent nous fournit' bien de nouveaux détails.

Pour (les édifices déjà connus, comme celui de Naplouse, il ii'cst pasimpossible d'ajouter quelques remarques à celles qui ouI été faites.A iiusi, lou'squ'eti j uillet deinier le R. P. Séjourné a donné à la Soei1ïes.1 flh!qUa//'l'S une mtéressan te comimmication ait de cette église,j'ai fait part à nos confrères d'un rapprochement qui m'avait frappé(le prime abord.

Le °ioupe des deux chapiteaux exhumés dans les récentes fouilles(le l'église (le la Samaritaine et indiqués au pl'emier pIn ii (laits ledessin que Volts avcz l u t1 l ) l1 ( (iiiéiite (l'être confronté avec le purin il

(1) l'octobre(2 Bevne biblique, nilul iii I O. p. 621. Cette gIise avait été signalée et sommai reme ni ii

eiite par Ni. le marquis de Vagiié dans son bel nuvrage les Éqli.ses de la T'rreSaoifr.p. 37. II vit u fuit binit;ti;Ii la date d'après divers textes.

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de l'église (lite de la Passion et de la Résurrection, située dans la mêmeville et dont un heureux hasard m'a procuré la photographie (1).

liii effet, les chapiteaux tic l'église (le la Samaritaine, qui dériventdu style corinthien, ont sur le méplat, de leurs volutes et sur le rebordtic leurs corbeilles des lignes (le petits Lions carrés; quant au portail(le la Résurrection, il possède aussi tille ligne (le petits Irons sur lefilet saillant qui couronne son archivolte, et les six colonnettes in-

dépendantes qui jetoivent sesVOUSSUICS en arC brisé reposent5(11' des stylobates ornés de ba-guettes verticales arl-ondies

• 'leurs extrémités. Ces deux motifs• d'ornement, suite tic trous cariés

I et stylobates cannelés, lie sontpas des plus fréquents dans

'r époque 1)ieIl deliinitees ou ils

- tI seiiul.ileut avoir été I1SuLe1S.

•—: Eu 'fiel, le chou, de la cathé-drale de Noyon préseuiLe autourde

ap loi se. Llis, du la Sarilarilaifle.Son tlé;i inbulaloire et de ses absi-dioles un cordon extérieur dont le

bandeau est orné d'une suite continue tic trous carrés tout f fut sembla-hIes fi. ceux du chapiteau de Naplouse. Mèuuie décoration sur le bandeau (lela corniche du déambulatoire de Suiuul-Martin d'Étampes, sur le C4)P4[OiI

intérieur et sur un pilastre de Sai ni-Laurner de Mois; un bandeau delii rcliivolte du poilai1 (le Falvy prs Péiouinc- (fort analogue en cela auportail tic Naplouse), il iuisi que les tores des voussures du même portailont encore cette ornementation, et on in retrouve sur un tore duportail roivan en tiers-point tic Saint-Pierre de Roye. An porta il deBeaufort en Santerre c'est dans la scoLie des bases que s'alignentles petits trous carrés. Quant aux stylobates ornés i.ie courtes canne-titres arrondies i leurs extrémités, on les trouve en Espagne au portailsud de la cathédrale tic Zaniora. et en Pouille au portail (le Saint-André de Barletta, édifices qui ont subi l'un et l'autre une influencefuaiieaise très marquée. Eu France même eest aux portail s, (le Sai ut-Ceimuiaiii des Prés. de Noti'c-i)auuic dEliimpes ( porte sud"). de NoLre-I ;t une de Mantes et tic la cathédraleraie de Roucu (1UC cette ornementation

I) Lix ileiuee de Ce portail avait été Signalée dans 147 1nmC ouvrage.la même Pa5'

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se rencontre i 1 A Chartres et à Rouen, le st y lobate est couronné (l'IlIlbandeau orné d'une suite de trous carrés; les deux ornementations sont.(JOnC réunies comme au porta il (le Naplouse. On petit en utitc tolar-quel' que tous ces exemples appartenaient à la rciolt du itord lie-de-

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Naplouse. Portail de l&tie de la Resurreetion,

i'ranee, Picardie ., Normandie. Mais cette dernière province ne fournitque les portails lalèratix de la faeade de la cathédrale (le Roneit , et,si l'on considère les autres iiiol j fs de leur belle sculpture, on seraimmédiatement convaincu qu'ils , i ' ont rien de commun avec l'écolenoi'iiiaiide, mais sont Fu-uvre (l'uu artiste de 111e-de-Fiance. Quant

A Cliartie.s et â Mantes la cannelure creuse est remplie dune baguette très saillantecCst le [ pe qui a été imité plus spécialement à Naplouse.

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aux dates (le ces (IIVCN portails, elles sont é'a1emeiil liés rapprochées.Le déambulatoire de La cathédrale de Noyoii a é rebâti api-ès Fin-

(tlJ!IIIes. EgIi:otre-Danie, detati i'uiIi jambage (III pol tait iut.

ccn(lie (le 1131 et, M. Gonse (t) a étaI)li (IUC cc fut peu après 11 'i.8.

Fahv. Détail du portail.

(1) L'Ai t gothique.

A PROPOS DES FOUILLES DE NAPICtUSE.

31. Antli yme Saint-Paul ( 1) croit ail contraire quil y eut reconstructiontic I H.-) à 11 'itt, mais que le déambulatoire fut totalement remaniéde 1150 à 1155 (.

Le chu'tir de Saint-Martin (l'Elainpes (laie (le II 15 à 11 75 suivant leinèttie auteur 3'1. La construction de Saint-La u mer de Riots, commencéeeu 1136 par labsitie, lut intei't'oni1itie vers 1-22 10, peu après les travéesoù se remarqueUC 1 0111(1 iicntation 9111 11( (115 occupe.

Les fa ades (le Saint-Pierre de Rue, de l'alvy et de Beaufort en Sait-terre n ' un t pas de dates certaines, niais tics comparaisons avec lesautres édifices (le Picardie permettent d'établir que lit première dateenviron (le 1150, la deuxième (le 11110 (i 11 70, la ti-i)isii , nie, de 1170 à

1180 iY.Le portail royal de Chartres tl;itc, on le sut, de Il ; celui (le Saint-

t; cmi ail (les Prés a été rebâti lors de la reconstruction (lii chœur, etle comte Robert (le Lustevrie ii établi que celui-ci avait ('té consacréen 1163 (5).

Le poi'iii dc Nutre-I)a 111e d ' Et.ltlflpCs est manifestement une euvredu milieu liii du troisième quart du douzièmedouzième siècle.

Celui de Notre-Dame tIc Mantes est une tsuvi'e (lu règne de Louis VII;quant à celui de la cathédrale de Rouen, il ne (laie (IUC (le Philippe-Auguste.

La cathédrale de '/.amul'a ii été consacrée eu 1 17 ', et le portail de Bar-letta ne date que du treizième siècle, mais les dates (les édifices étraii-'er's peuvent être fort en retard sur leurs modèles (6). Ce n'est guère

le cas des deux églises (le Naplouse Ni. (le Vogué a établi que celletic la Samaritaine date du milieu dit siècle cl que celle tic laRésurrection était achevée en 11 87, et nous VCIIOHS de voir (lUC leiti'sculpture procède (le modèles français exécutés entre 11 0 et 11 90environ,

(I) La Transition (Iterue (le 1.1 rI c/'s'é(jeu. 1$91-l895.2) Monographie de Notre-Daine d'1tarnpe.s. (Gazelle archéologique, 188-i, p. 'M .'l

(3) Voir Cli. Vasseur, IJe Normandie en Nivernais (Bulletin monumental, 1867, r 190).Voir mou Architecture romane et de transition dans ta région picarde. Ainhus,

189. gr. 10.10, (Mém. de lu Soc, des Antiquaires de Picardie.)(5) Bibliothèque (le l'École des Chartes, 1881.(6) En France, les provinces du Centre et du Midi qui suivaient la mode du nord ne la

suivaient qu'à nu certain intervalle, Pour prendre quelques exemples le cl non' du' Saint-Denisu'st achevé en 1140; en 1150 oità Saint-Maurice d'Angers les prerniires voùtes gothiquesde l'Anjou, et dans l'Agenais. le même style ne pénètre que cent ans plus tard. En Bonir-gugne comme en Anjou le style gothique est adopté de bonne heure, et les moines de Bour-gogne le portent en Italie, mais Fossanovnu, premier édilice de ce style dans la Péninsule, a étéélevé de 1197 à 1208 et suri style est celui (lui avait cours aux environs de Dijon ouvallon vers 1170. Les mêmes observations peuvent être étendues à l'Espagne, à l'Allemagne,à la Scandinavie.

S A lIl(ili)S DES FOUILLES DE _\Al'LOUSE.

L'architecture est moins caractérisée, le portail est le seul (lé li pis ('on-servé de l'église tic la Résurrection; quant ii celle de la Samaritaine, ilen reste le plan c'est celui de beaucoup d'églises tic Palestimie et aussid'autres contrées. La plus grande picrireulami le consiste peut-être dansles groupes de deux colonnes adossées qui soutenaient les ii m; i Ire largesdoubleaux du transept, sur lesquels devait s'élever une tour centrale.Cette ordonnance t'appelle celle du l'église romane tic Nvivs en Picai'-die. qui date des dei'nièi'es années tIn onzième siècle, triais on peut lai'eiicoiitr'et' ailleti i's (I

Cette iiitliieiir'e du nord (le la Framne ne semble pas dominer en'l'eire Sainte; oit la ti'ouve bien combinée avec ci le du l'oitoim et d'atm-Ires éléments (laits J église (lu Saint-Sépulcre, rirais ailleurs les cons-ti'Ii('tions tics ci'oisés al)lsu'tienneut cii général ii un style roman meil-leur nue celui de lile-de-France ; la compi isition arcli iteetut'ale y estmieux entendue, les formes y sont plus putts, les voi'ites plus uiorti-tueuses et mieuxienx construites. C'est au midi de la Fran ce que cet artr éLéeniprunIA. Ainsi, pour prend te comme exemple une église dont la/frrm' éifiliqci' ii parlé aussi , Sainte-Aune de ,lérusa]eimr est, coutumele remarque l'es bien M. de Vogué, un type parlât de I 'architecturereligieuse des Croisés au milieu du douzième siècle.

Cette église est cul ièr'enient couverte tic voit tes d'arètes : ce que nemontre pas le plan (l1mt \'OtiS avez publié. Ces voitcs d'arètes et l'eiim-ptoi (le laie ('Il ticm's-poirrl rappellent un certain nombre (lé(lItjci's duLanguedoc et (lit Vclav (Cliamalièi'es, le Moiiiustiei' ,u''s Le Pu y , eLc, plu-tôt que ceux (le la Piovenre, client nette église se i'appi'uchc paraitieurs.La nudité de l'extérieur et le tracé des absides ro1yg'oitales au dehors,circulaires n u dedans, sont des isu il ieulat'ités fréquentes dans ces deuxprovinces. On peut citer pour la région lairgiiedocicir ire les absidesde J annuéjouls, P iliginac, Pommiers, Moingt, etc. les bords de

la Loire, celles de Nairteuil et d'A ig Lies- Vives; pour la Provence, Saur t-Pa ril-Trois-Clitileaux, Stri nl-Restitut , Cavaillon, Montniajour, la chapelle

Par mmnoe dans les su bs t ru eti on s romanes de Saint-Oum Ii Rouen, â Louj,iac, à lali',irale d'Angoulême et à celle du Pu 'n 'elay. L'inilnince ile l'art du milieu du dotiziinie

siicl (lu nut',J (te la France serait, mieux ,'tahhe si l'on trouvait dans l''glise de Nap]ouse lesrestes de groupes isolés de deux colonnes tels 'l ue ceux qui existent dans le transept et l'ab-side ouest du Saint - Sipu cri', Parcelle ordonnance s,' rencontre i la fois à Reluis, dans ladi'i'iti're I ravc de la nef de Saint-Rem et dans la pml&nk la net' de Saint-Jacques, â la ca-I h,ili'ale de Sens id (luis la i'athdi'ale iii' Can1erbur 'lui Cfl Si la copie, à l'église de Deuil,à Saint- Pierre de I)oullens ci dans ii' cln,'ui' de Saint-Moulin (lEtauilpeS, tin la trouvait égaie-lutent dans le client' de l'ancienne cathédrale ,FAu'ras,

() flerue biblique, 1893. p :1, notice du B. P. Lutt Cr,', ('r, \'ogiié, l'qlises ,lr la TerreSainte, ), 233 et PI. XIV,

. t'ltflOS DES l'(Il lll.1'S fil' NA1'l(ttSI:.

du château de Villcneuve-lcs-Aignon, Saint-Gihrii'l près rlaI,asconSaint-RuF près Avignoti, les Saintes-Marie de la Mer et l'église duThor 1.

Les [)iIiCl'S barlongs, un peu massif,, et formant de multiples tes-sauts, rappellent aussi twa nCOuI1) la Provence et vil particulier Le 'I'lio-rouet, Vaison, Saint-Gabriel, le Thor. ek.

La lanterne centrale octogone très basse, avec sa coupole, rappellel'église dii Tiior, N.-L). des I)oriis d'Avignon, Bourg-Saintuidéol. Notre-Dame des Aliscamps, saint Paul de Lv on, Cavaillon, Saiiit-lartiii deLondres (lié rau it)

Quant aux consoles avec leurs tailloirs reliés à l'imposte des voûteset leur encorbellement en lar-e cavet orné d'un motif sculpté, ellesont leurs pareilles dans les ruines de Saint-Gilles, 't Montinajout, ûSaint-i'rophi tue d'Arles, aux Saintes-Maries de la Mer. Telles sont lesremarques que peuvent suggérer les deux monuments latins sur les-quels la /s'i'w' fii/i/iijue a donné quelques renseignements; j ' ai ruubon (le vous en faire part dans le but d'insister sur l'intérêt qu'il peuty avoir ii relever les moindres détails des édifices des croisés, et jetermine cri formant le souhait que vos collaborateurs s'y attachent deplus en Plus

'Veuillez agréer...C. Exrit-r.

Paris, 27 noveiabri 189.

Pos'r-scitIPTuM. M. Max ViU Bercliem, de GeaVve, le savant explorateur de laSyrie, a la grande amabilité de me eontniuiiiiquicr la photographie du portail d'uneéglise de transition (le Gaza. Ce morceau d'architecture, d'un st y le plis put' que leportail de Naplouse, a aussi des plinthes cannelées; elles reproduisent sans aucune al-tération les t y pes français cités plus haut.

C. E.

(ii M. de Vogùé attribue ce tracé des absides fi une influence byi.aiitine p. 241) il existe, eneffet, aussi dans i'itrchitect ure chrétienne de l'Orient, (nais les exemplespies jiideit és montrent queles croisés oui pu tout aussi bien slnspirer dis éd ilic.is de leur poupie ta s. Lis autresixeriples publiés i'ai' M. de \'uii'té sont Saint-t uorge.s i,la, lis cal luiulrahi's il Sébaste iliiblos, Saint-Piitri ii Saiuile.-Maiii-la-Ci'andc fi Jirusali,ui