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A LA MEMOIRE DES 1 500 000 VICTIMES ARMENIENNES 24 Avril 2013 : 98ème anniversaire du génocide arménien de 1915 perpétré par le gouvernement Jeune-Turc 98 ans de déni : ça suffit ! ------------------------------------------------------------------- VEILLE MEDIA Jeudi 21 février 2013 Retrouvez les informations sur notre site : http://www.collectifvan.org Rubrique Info Collectif VAN : http://www.collectifvan.org/rubrique.php?r=0&page=1 et Rubrique News (Revue de Presse) : http://www.collectifvan.org/rubrique.php?r=4&page=1 SOMMAIRE Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN [Vigilance Arménienne contre le Négationnisme] vous propose une revue de presse des informations parues dans la presse francophone, sur les thèmes concernant la Turquie, le génocide arménien, la Shoah, le génocide des Tutsi, le Darfour, le négationnisme, l'Union européenne, Chypre, etc... Nous vous suggérons également de prendre le temps de lire ou de relire les informations et traductions mises en ligne dans notre rubrique http://www.collectifvan.org/rubrique.php?r=0&page=1. Par ailleurs,

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A LA MEMOIRE DES 1 500 000 VICTIMES ARMENIENNES24 Avril 2013 : 98ème anniversaire du génocide arménien de 1915

perpétré par le gouvernement Jeune-Turc98 ans de déni : ça suffit !

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VEILLE MEDIA

Jeudi 21 février 2013

Retrouvez les informations sur notre site :http://www.collectifvan.org

Rubrique Info Collectif VAN : http://www.collectifvan.org/rubrique.php?r=0&page=1

et Rubrique News (Revue de Presse) :

http://www.collectifvan.org/rubrique.php?r=4&page=1

SOMMAIRE

Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN [Vigilance Arménienne contre le Négationnisme] vous propose une revue de presse des informations parues dans la presse francophone, sur les thèmes concernant la Turquie, le génocide arménien, la Shoah, le géno-cide des Tutsi, le Darfour, le négationnisme, l'Union européenne, Chypre, etc... Nous vous suggérons également de prendre le temps de lire ou de relire les informations et traductions mises en ligne dans notre rubrique http://www.collectifvan.org/rubrique.php?r=0&page=1. Par ailleurs, certains articles en anglais, allemand, turc, etc, ne sont disponibles que dans la newsletter Word que nous générons chaque jour. Pour la recevoir, abonnez-vous à la Veille-Média : c'est gratuit ! Vous recevrez le document du lundi au vendredi dans votre boîte email. Bonne lecture.

L’argent azéri n’achète pas tout

Info Collectif VAN - www.collectifvan.org – L’Azerbaïdjan est le parfait exemple d’un pays plein aux as qui utilise ses milliards de pétrodollars pour rallier des hommes politiques et des individus de tous les horizons, dans l’espoir d’amélio-rer sa piètre image dans le monde entier. De fait, le terme « diplomatie du ca-viar » a été spécialement inventé pour décrire les « petits cadeaux » que les res-ponsables azéris distribuent régulièrement et généreusement, dans le but d’at-teindre leurs objectifs sinistres. Le Collectif VAN vous propose la traduction de l’éditorial du journaliste arméno-américain Harut Sassounian, paru dans The Ca-lifornia Courier le 21 février 2013.

Khojaly : une exposition au musée de la Diaspora de Tel Aviv Info Collectif VAN - www.collectifvan.org – Les autorités azéries essaient de pré-senter les événements de Khodjalou lors du conflit du Karabagh comme un gé-nocide commis par les forces armées arméniennes. Elles entreprennent mainte-nant des actions diplomatiques au travers d’intenses initiatives internationales. "A partir du 25 février, le Musée de la Diaspora de Tel Aviv tiendra une exposi-tion “ Justice pour Khodjalou “ consacrée au massacre de masse de la population de cette ville d’Azerbaïdjan par des partisans arméniens." Le Collectif VAN vous présente une traduction de Gilbert Béguian d'un article en anglais de Pyotr Lu-kimson du site Vestnik Kavkaza mise en ligne sur le site de NAM (Nouvelles d'Ar-ménie Magazine) le 20 février 2013. Nous vous invitons à lire aussi l'article Kho-jaly : les terribles mensonges azéris. Il est de notre devoir à tous de connaître le point de vue des Arméniens et de le faire savoir dans l’opinion.

Presse arménienne : Revue du 19 février 2013 Info Collectif VAN - www.collectifvan.org – Le Collectif VAN vous présente cette Revue de Presse parue sur le site de l'Ambassade de France en Arménie le 19 février 2013. "Le 18 février, l’Arménie a tenu sa 6ème élection présidentielle / Participation Les 1988 bureaux de vote du pays étaient ouverts de 8h00 à 20h00. Plus de 600 observateurs internationaux et quelque 6000 observateurs locaux ont accompagné le processus électoral. Sur 2 529 016 électeurs inscrits sur les listes, 1 521 931 personnes - soit 61,18 % - ont pris part au vote. Deux des candidats, Andreas Goukassian, en grève de la faim depuis le début de la campagne électorale, et Arman Melikian, ancien « Ministre des AE » du HK ne se sont pas rendus aux urnes."

Cérémonie judéo-arménienne autour de l'Affiche Rouge Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - A l'initiative de l'Association nationale des Anciens Combattants et Résistants Arméniens (ANACRA) et de l'Aumônerie Israélite des Armées (AIA), s'est tenue ce mercredi 20 février 2013 à 17 h30, en la synagogue des Armées à Paris 15e, une cérémonie commémorative du 69ème anniversaire de l'exécution du groupe Manouchian. L'événement a eu lieu en présence du représentant du Prélat du Diocèse de l'Église apostolique ar-ménienne qui a dit une prière de Requiem, du Grand Rabbin Haïm Korsia, aumô-nier général israélite des Armées, de M. Antoine Bagdikian, président de l'ANA-CRA, du Général Gérard Delbauffe, Contrôleur général des Armées et président du Souvenir français, d'un représentant de M. Kader Arif, ministre délégué aux Anciens Combattants, de Mme Catherine Vieu-Charrier, adjointe au maire de Pa-ris chargée du monde combattant, de M. Philippe Allouche, Directeur général de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, de M. Jacques FREDJ, Directeur du Mé-

morial de la Shoah, de M. Paul Schafer, Président d'honneur du Comité français pour Yad Vashem. Cette très belle initiative est saluée par le Collectif VAN. En voici le compte-rendu signé Marie Chelemian et diffusé par l'Institut Arménien.

Collectif VAN : l'éphéméride du 21 février Info Collectif VAN - www.collectifvan.org – La rubrique Ephéméride est à retrou-ver quotidiennement sur le site du Collectif VAN. Elle recense la liste d’événe-ments survenus à une date donnée, à différentes époques de l’Histoire, sur les thématiques que l’association suit au quotidien. L’éphéméride du Collectif VAN repose sur des informations en ligne sur de nombreux sites (les sources sont spécifiées sous chaque entrée). "21 février 1944 -- Exécution de Missak Manou-chian (en arménien : Միսաք Մանուշյան, Missak Manouchian), avec 22 autres résistants étrangers, dont de nombreux Juifs. Né le 1er septembre 1906 à Adıya-man dans l'Empire ottoman, rescapé du génocide des Arméniens perpétré par le gouvernement Jeune-Turc en 1915, Manouchian est mort fusillé, aux côtés de ses camarades, à 37 ans au fort du Mont-Valérien le 21 février 1944. Intellectuel et poète français d'origine arménienne, militant communiste (responsable de la section arménienne de la MOI) et résistant (commissaire militaire des FTP-MOI de la région parisienne), il est principalement connu pour son rôle dans la Résis-tance, en particulier à cause de « l'Affiche rouge »".

Sevil Sevimli de retour à Lyon : "J'ai envie de retourner en Turquie" "Je suis contente d'être ici". Rentrée mercredi en France, l'étudiante franco-turque de 21 ans savoure la liberté retrouvée, après le levée de l'interdiction de sortie du territoire turc qui l'avait frappée. Invitée hier soir du journal télévisé de France 3, elle confie avoir eu peur de passer toute sa jeunesse en prison.

Dépêche de l'APA [ 21 Février 2013 11:22 ] - Agence de Presse d'Azer-baïdjan Le Collectif VAN vous propose un article de l'APA (Agence de presse azérie) daté du 21 février 2013. Les articles de ce site (écrits généralement dans un français rudimentaire) ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos négationnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve. "Un suivi à la ligne de contact est prévu le 22 février vendredi, par conformité du mandat du représentant personnel du président en exercice de l’OSCE, vers le district azerbaïdjanais de Khojavend".

L'info vue par la TRT (1) Le Collectif VAN vous propose cet article publié sur la TRT (Télévision & Radio de Turquie). Les articles de ce site ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos négationnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve. "La France attend de la Tur-quie qu’elle signe l’accord relatif au retour des immigrés clandestins".

Paris fait les yeux doux à la Turquie Nouveau pas dans le réchauffement entre les deux pays alors que la France de François Hollande est moins hostile à une éventuelle adhésion dans l’UE. La Tur-quie bientôt membre de l’Union européenne ? Ankara reprend espoir et se féli-cite du changement de ton de la France sur ce dossier, autrefois défendu par Jacques Chirac, depuis l’arrivée de François Hollande à l’Elysée.

Dépêche de l'APA [ 21 Février 2013 13:10 ] - Agence de Presse d'Azer-baïdjan Le Collectif VAN vous propose un article de l'APA (Agence de presse azérie) daté du 21 février 2013. Les articles de ce site (écrits généralement dans un français rudimentaire) ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos négationnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve. "Une manifestation sera déroulée dans la capitale russe Moscou relative à 21e anniversaire du génocide de Khojali, par l’organisa-tion de la communauté d’amitié judéo-azerbaïdjanaise".

« Je n’ai toujours pas compris l’Holocauste. C’est impossible » Même si c’est surtout son travail à la télévision qui est reconnu, « Lore » n’est pas le premier film de cette Australienne de 44 ans. Son atypique « Somersault » (l’éveil adolescent, un des thèmes de son nouveau film, d’ailleurs) avait eu les honneurs du Festival de Cannes et de la catégorie « Un certain regard » en 2004.

« Les chrétiens sont en danger mais ne sont pas des cibles » Les communautés chrétiennes sont en danger en Syrie, mais elles ne sont pas des cibles, a affirmé hier à Amman l’évêque chaldéen d’Alep. « Je ne pense pas que les chrétiens syriens soient visés, mais ils sont en danger comme leurs frères musulmans qui souffrent », a indiqué Mgr Antoine Audo qui participait à une conférence régionale de l’organisation humanitaire catholique Caritas.

Un soldat arménien a été tué Un soldat arménien a été abattu mercredi 20 février 2013 dans le Haut-Kara-bagh. Gor Ghazarian, âgé de 20 ans, a été tué par balle, provenant des positions de l’armée azerbaïdjanaise au nord-est de la région. « Une enquête est en cours afin de préciser les détails de l’incident », a indiqué un communiqué.

Signature du premier contrat sur la centrale nucléaire d'Akkuyu Le premier contrat relatif aux travaux de construction et de montage a été signé dans le cadre du projet de la centrale nucléaire d'Akkuyu (Turquie) dont la construction débutera en 2014.

Accords de collaboration franco-turque Les «accords Guéant» reconduits sous Hollande : la répression à l’égard de la communauté kurde de France s’intensifie. En octobre 2011, un vaste accord sé-curitaire a été signé entre la Turquie et la France permettant à la police turque et française de mener une lutte commune sur le terrain contre les militants du PKK (Parti des travailleurs du Kurdistan), qui mène depuis 1984 un mouvement de guérilla pour la reconnaissance des droits politiques et culturels des Kurdes en Turquie (pour l’autonomie du Kurdistan).

L'homme-clé de la nouvelle politique extérieure Ministre des affaires étrangères depuis 2009, après avoir été le conseiller de l'ombre du président Abdullah Gül puis du premier ministre Recep Tayyip Erdo-gan, Ahmet Davutoglu porte les ambitions d'Ankara sur la scène internationale.

Sevil Sevimli sur France3 : "J'ai beaucoup appris de la Turquie jusqu'à ses prisons" Sevil Sevimli ,de retour à Lyon aprés avoir été condamnée à 5 ans de prison en Turquie pour "propagande terroriste" a exprimé ce soir son intention d'obtenir justice en appel: "Ma voix sera celle de toutes les personnes emprisonnées " a t-elle déclaré dans une interview en direct sur France3.

Syrie – Chrétien arménien martyrisé alors que les violences et les enlè-vements se poursuivent Un fidèle de la communauté arménienne apostolique a été tué à bout portant par des terroristes en proie à la fureur religieuse. Yohannes A. (l’Agence Fides préfère ne pas diffuser le nom de la victime pour préserver la sécurité de sa fa-mille NDR), selon la communauté arménienne locale, est « un martyr du conflit syrien en ce que tué in odium fidei ».

Arménie : manifestation contre la réélection du président Sarkissian L’opposition arménienne s’est mobilisée mercredi contre la réélection du pré-sident Sarkissian. Près de 5.000 personnes ont manifesté au centre d’Erevan, la capitale, pour soutenir son principal adversaire, l’ex-ministre des Affaires étran-gères Raffi Hovannissian.

INFO COLLECTIF VAN

L’argent azéri n’achète pas tout

Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - L’Azerbaïdjan est le parfait exemple d’un pays plein aux as qui utilise ses milliards de pétrodollars pour rallier des hommes politiques et des individus de tous les hori-zons, dans l’espoir d’améliorer sa piètre image dans le monde entier. De fait, le terme « diplomatie du caviar » a été spécialement inventé pour décrire les « petits cadeaux » que les responsables azéris distri-buent régulièrement et généreusement, dans le but d’atteindre leurs objectifs sinistres. Le Collectif VAN vous propose la traduction de l’édi-torial du journaliste arméno-américain Harut Sassounian, paru dans The California Courier le 21 février 2013.

Découverte choquante pour l’Azerbaïdjan : l’argent ne peut pas acheter tout le monde !

De : Harut Sassounian Éditeur de : The California Courier Éditorial de Sassounian du 21 février 2013

L’argent peut aider à résoudre des problèmes, mais il ne les résout pas tous. Et parfois, c’est même contreproductif !

L’Azerbaïdjan est le parfait exemple d’un pays plein aux as qui utilise ses mil-liards de pétrodollars pour rallier des hommes politiques et des individus de tous

les horizons, dans l’espoir d’améliorer sa piètre image dans le monde entier. De fait, le terme « diplomatie du caviar » a été spécialement inventé pour décrire les « petits cadeaux » que les responsables azéris distribuent régulièrement et généreusement, dans le but d’atteindre leurs objectifs sinistres.

Par exemple, Baku a versé 5 millions de dollars à la ville de Mexico pour qu’elle rénove un parc, à condition que la statue de l’ancien président Heydar Aliyev soit exposée dans cet endroit important. Des activistes mexicains ayant pris conscience de ce projet déplacé, la statue du dictateur a été démontée, puis re-misée sans plus de cérémonie.

Les responsables azéris sont en train de découvrir que tout le monde ne peut pas être acheté et qu’il existe encore des personnes honorables que l’on ne peut corrompre sur cette terre ! Une personne possédant cette parfaite intégrité est Peter Savodnik du New York Times. Au début de ce mois-ci, le journaliste améri-cain a été invité à Bakou par le multimilliardaire azéri, Ibrahim Ibrahimov, dont l’objectif était d’obtenir que The New York Times écrive un article ronflant sur son projet de construction gargantuesque.

Peu impressionné par les excès des nouveaux riches de l’oligarchie azérie, Sa-vodnik a écrit un article très critique, ridiculisant la vision grotesque d’Ibrahi-mov. Voici quelques brefs extraits du long article du journaliste :

Ibrahimov prévoit de construire « un complexe tentaculaire en forme de ho-mard, appelé Khazar Islands -- un archipel de 55 îles artificielles dans la mer Caspienne, avec des milliers d’appartements, au moins huit hôtels, un circuit de Formule 1, un club nautique, un aéroport et le plus grand édifice du monde, la Tour Azerbaïdjan, qui s’élèvera à 1050 mètres. Lorsque le projet global sera achevé, 800°000 personnes vivront à Khazar Islands, et il y aura des chambres d’hôtels pouvant en accueillir 200°000 autres. Le coût total est d’environ 100 milliards de dollars. »

Savodnik relate que la veille de son arrivée en Azerbaïdjan, les représentants d’Ibrahimov se sont envolés pour Moscou pour lui remettre en main propre un livre et un DVD concernant le projet Khazar Islands. Une fois à Bakou, le journa-liste a été frappé par le style de vie somptueux de l’oligarchie – « assis sur le siège arrière d’une Rolls-Royce noire, tandis qu’elle traversait à toute allure l’île Nr. 1 de l’archipel d’Ibrahimov, sur le point d’être construit. Nigar Huseynli, son assistante de 23 ans, était assise sur le siège avant, vêtue d’une jupe noire et blanche à motifs floraux, de collants noirs et des lunettes de soleil rectangu-laires noires. Elle semblait être vaguement inquiète, toujours. Elle était abon-damment parfumée, et le parfum, a-t-elle dit, venait d’Italie. « Quand il est en Azerbaïdjan », a déclaré Huseynli, « M. Ibrahimov conduit toujours sa Rolls-Royce noire. À Dubaï, il a toujours la rouge. »

Portant « des chaussures bleues Stefano Ricci, en peau de crocodile, assorties à son jean bleu Stefano Ricci, une veste bleue Zilli et une chemise bleue bouton-née Zilli », Ibrahimov a déclaré à Savodnik que la Tour Azerbaïdjan serait im-manquablement dans le Livre Guinness des records. Si les Saoudiens ou les Émi-ratis, ou quiconque, tentaient de construire une tour plus haute, Ibrahimov a dit

qu’il en construirait une encore plus élevée !

Savodnik écrit que l’oligarchie azérie a décrit le président Ilham Aliyev, le Boss de tous les Boss, en termes de « grand partisan, un allié, le fils du sauveur du peuple de l’Azerbaïdjan. » Lorsque le journaliste du NY Times a pose des ques-tions à Ibrahimov « sur d’autres caractéristiques de son régime : le manque de transparence, le manque de libertés civiles, la détention des activistes de l’op-position », sa réponse a été la réponse typique de tous les oligarques : « Je n’y connais rien en politique. »

Le journaliste américain a hardiment descendu Ibrahimov et son pays : l’Azer-baïdjan « ne construit rien que ne veuille le reste du monde et il n’a pas d’uni-versités reconnues internationalement. Cependant, il a effectivement du pétrole. » Dans un article suivant, Savodnik a conclu : « Sous tout ce verre, cet acier et ces néons, il [l’Azerbaïdjan] est toujours un État autoritaire. »

Ce n’est pas la première fois que The New York Times publie un article exposant l’Azerbaïdjan. Dans son éditorial du 27 octobre 2003, le journal avait écrit : « Il-ham Aliyev, homme d’affaires, playboy et homme politique novice, a reçu un beau cadeau de son père – le pays d’Azerbaïdjan. Heydar Aliyev a gouverné l’Azerbaïdjan pratiquement sans interruption pendant 34 ans, premièrement en tant qu’agent du Politburo soviétique, puis en tant qu’autocrate de son propre droit. Lorsqu’il a été trop malade pour continuer, il a appointé son fils, afin qu’il soit candidat à la présidence à sa place. Ilham Aliyev a mené une campagne tru-quée, usant de tous les pouvoirs de l’État, puis il a célébré sa victoire en arrê-tant la majorité de l’opposition. »

The New York Times a conclu son éditorial très critique en exhortant les États-Unis à maintenir le président Aliyev « à distance et à éviter de reproduire la mal-heureuse histoire de leurs soutien aux autocrates assis sur des richesses pétro-lières. » Malheureusement, cet avertissement a été ignoré par les Administra-tions américaines successives.

©Traduction de l’anglais C.Gardon pour le Collectif VAN – 14 février 2013 – 06:00 - www.collectifvan.org

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Lire aussi:

L’assassin qui valait 3 milliards d'euros http://collectifvan.org/article.-php?r=0&id=67032

Azerbaïdjan: L'ESI dénonce le manque d'objectivité des deux rapporteurs de l'APCE http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=71080

L'UE et l'Azerbaïdjan, une relation aux forts relents de pétrole http://collectif-van.org/article.php?r=0&id=65269

La statue du dictateur Aliyev à Mexico pose problème http://collectifvan.org/ar-ticle.php?r=0&id=69019

URL originale :

http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=71525

Lire le texte original dans la Rubrique en anglais

Khodjalou : une exposition au musée de la Diaspora de Tel Aviv

Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Les autorités azéries es-saient de présenter les événements de Khodjalou lors du conflit du Ka-rabagh comme un génocide commis par les forces armées armé-niennes. Elles entreprennent maintenant des actions diplomatiques au travers d’intenses initiatives internationales. "A partir du 25 février, le Musée de la Diaspora de Tel Aviv tiendra une exposition “ Justice pour Khodjalou “ consacrée au massacre de masse de la population de cette ville d’Azerbaïdjan par des partisans arméniens." Le Collectif VAN vous présente une traduction de Gilbert Béguian d'un article en anglais de Pyotr Lukimson du site Vestnik Kavkaza mise en ligne sur le site de NAM (Nouvelles d'Arménie Magazine) le 20 février 2013. Nous vous in-vitons à lire aussi l'article Khojaly : les terribles mensonges azéris. Il est de notre devoir à tous de connaître le point de vue des Arméniens et de le faire savoir dans l’opinion.

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Voir la vidéo :

Pour accompagner cette lecture, il est bon de visionner un reportage sous-titré en anglais qui donne la parole aux acteurs présents sur le terrain en février 1992 (journalistes, hommes politiques, combattants). La vidéo, récemment pos-tée sur YouTube, retrace avec précision la prise de Khodjaly par les combattants arméniens et montre la responsabilité du Front Populaire d’Azerbaïdjan dans le massacre prémédité de la population civile azérie :

Between hunger and fire: power at the expense of lives (Nagorno Karabagh)

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Khodjalou : Le Musée de la diaspora de Tel Aviv se fourvoie

Pyotr Lukimson, Israël

Exclusivité de Vestnik Kavkaza

15 février 2013

A partir du 25 février, le Musée de la Diaspora de Tel Aviv tiendra une exposition “ Justice pour Khodjalou “ consacrée au massacre de masse de la population de cette ville d’Azerbaïdjan par des partisans arméniens le 26 février 1992. Le Mu-seum de la Diaspora est l’un des musées les plus grands et les plus renommés en Israël et, dans le même temps, le principal centre de recherche du pays pour l’étude de l’histoire juive dans la diaspora.

“ Nous nous sommes efforcés de dire au public israélien la vérité sur la tragédie de Khodjalou et sur le conflit du Karabagh dans l’ensemble, mais l’exposition du Musée de la Diaspora se situe, bien sûr, à un autre niveau “, dit le directeur gé-néral de l’Association Internationale “Azerbaïdjan-Israël “ ( “ AZIZ “) Lev Spivak. “ Il s’agit d’un musée et centre de recherche d’importance internationale, dont l’activité est largement suivie dans les media israéliens et qui reçoit une large attention. Je suis convaincu que cette exposition ne passera pas inaperçue par les israéliens. En tous cas, pour notre part, nous ferons tout notre possible “.

L’ exposition photographique sera accompagnée d’une soirée pour les victimes de la tragédie de Khodjalou, à laquelle, comme il se doit, assistera le président de “ Aziz “, l’ancien président de la Knesset Alex Miller , un ex sous-ministre de la défense et ami de longue date de l’Azerbaïdjan, Ephraïm Sneh, et un certain nombre de ministres en exercice et membres de la Knesset.

Une délégation azerbaïdjanaise, qui arrivera à l’ouverture de l’exposition, est en cours de constitution, mais nous avons déjà qu’en feront partie un certain nombre de députés du Mili Majlis, (le parlement azerbaïdjanais) et des per-sonnes en vue du pays. Selon des rumeurs circulant en Israël, la communauté arménienne du pays fera une manifestation près du musée. Il semble cependant que les organisateurs ne s’en soucient pas.

“ Nous sommes prêts pour une telle action, et nous pensons qu’à la fin, cela ne fera que profiter à nos affaires “, dit Lev Spivak. “ Nous sommes prêts à en dis-cuter et disons à nos opposants : vous protestez ? Vous soutenez que les affir-mations sur la tragédie de Khodjalou sont des “ mensonges de l’Azerbaïdjan “. Faisons donc une conférence à l’Université de Tel Aviv, invitons de historiens, des journalistes, des témoins de la tragédie et parlons. Cependant, je pense qu’un tel dialogue n’aura pas lieu parce qu’une telle conférence présentera des faits qui ne pourront pas être niés “.

Israël Charny et Yehuda Bauer apprécieront

La Vérité telle que le gouvernement de la République d’Arménie l’éta-blit devant l’ONU : voir ICI

Telle qu’on la vécue en République du Haut Karabagh : voir ICI

Et telle qu’elle a été étudiée par les Arméniens de Suède avec une ri-gueur scientifique : voir ICI

mercredi 20 février 2013, Jean Eckian ©armenews.com

Traduction Gilbert Béguian pour Armenews

Titre en anglais

Israel wants justice for Khojaly http://vestnikkavkaza.net/articles/culture/37084.html

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Lire aussi:

Khojaly : les terribles mensonges azéris http://collectifvan.org/article.-php?r=0&id=71507

Le Parlement tchèque décide de réécrire l'Histoire http://collectifvan.org/ar-ticle.php?r=0&id=71520

Azerbaïdjan : haro sur le héros http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=71038

Azerbaïdjan : un écrivain accusé de « sympathie pour les Arméniens » http://col-lectifvan.org/article.php?r=0&id=71040

Il y a 23 ans, les pogroms anti-Arméniens de Bakou http://collectifvan.org/ar-ticle.php?r=0&id=70612

Bévue au Louvre ? « L’insondable bêtise » de l’Azerbaïdjan http://www.collectif-van.org/article.php?r=0&id=67265

Le Khadafi nouveau est arrivé : il sera reçu aujourd’hui à l’Elysée http://www.col-lectifvan.org/article.php?r=0&id=67219

Le dictateur Aliev devrait être persona non grata en France http://www.collectif-van.org/article.php?r=0&id=67146

Breivik demande à être extradé en Azerbaïdjan http://collectifvan.org/article.-php?r=0&id=67103

ASALA : le faux grossier diffusé par l’Azerbaïdjan http://collectifvan.org/article.-

php?r=0&id=67104

Aliyev devrait être accueilli à Paris comme ‘l’homme à la hache en chef’ http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=67067

L’assassin qui valait 3 milliards d'euros http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=67032

Amnesty : le gouvernement d'Azerbaïdjan attise les violences ethniques http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=67050

L’axe Budapest-Bakou et la glorification d’un monstre http://www.collectif-van.org/article.php?r=4&id=67025

OTAN : Visite du secrétaire général en Arménie http://collectifvan.org/article.-php?r=0&id=66909

Affaire Safarov: confession d'un meurtrier raciste http://collectifvan.org/article.-php?r=0&id=66907

Indignation face à la remise en liberté du meurtrier azéri http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=66911

Azerbaïdjan : le tueur à la hache http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=66874

Affaire Safarov : le Président de l’APCE exprime son inquiétude http://collectif-van.org/article.php?r=0&id=66883

L'Azerbaïdjan menace la paix régionale en glorifiant un crime raciste http://col-lectifvan.org/article.php?r=0&id=66832

Azerbaidjan : grâce octroyée à M. Safarov http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=66835

Grâce de l’assassin Ramil Safarov : Obama préoccupé http://collectifvan.org/ar-ticle.php?r=0&id=66783

Le Collectif VAN s'inquiète d'un projet de loi pro-négationniste http://www.collec-tifvan.org/article.php?r=3&id=66007

L'Azerbaïdjan vote l'immunité à vie pour le clan Aliev http://collectifvan.org/ar-ticle.php?r=0&id=64724

Khojalu : 20 ans de mensonge d’Etat http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=61588

Communiqué du Collectif VAN/Khojalu : 20 ans de mensonge d’Etat http://collec-tifvan.org/article.php?r=0&id=71507

Khodjalou : Un fonds de commerce politicien spéculatif pour Bakou http://www.-collectifvan.org/article.php?r=0&id=61697

La lettre ouverte du Collectif VAN adressée à la directrice générale de l'UNESCO http://www.collectifvan.org/article.php?r=3&id=55289

Azerbaïdjan : le pogrom de Soumgaït http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=52156

1990/2010 – Il y a 20 ans, les pogroms génocidaires de Bakou http://www.collec-tifvan.org/article.php?r=0&id=50492

Stop au génocide blanc en Azerbaïdjan http://www.collectifvan.org/pdf/Collectif_VAN_article_id44.pdf

Il y a 5 ans : la destruction du cimetière arménien de Djoulfa http://www.collec-tifvan.org/article.php?r=0&id=50248

Le procès des crimes de Soumgaït (Février 1988) http://www.collectifvan.org/ar-ticle.php?r=0&id=40817

Les 20 ans du pogrom anti-arménien de Soumgaït http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=16343

Maragha : Avril, le mois des génocides… http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=42309

Maragha : Caroline Cox parle du Golgotha contemporain http://www.collectif-van.org/article.php?r=0&id=42310

"Maragha, 10 avril 1992. Génocide ordinaire” http://www.collectifvan.org/ar-ticle.php?r=0&id=47645

Lancement du site Maragha.org http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=47859

Article de Wapedia sur les pogromes et massacres d'Arméniens de Bakou en Janvier 1990 http://www.globalarmenianheritage-adic.fr/fr/6histoire/par_pays/ba-kouhistoire03wapedia.htm

Black January of 1990 in Baku. Anti-Armenian pogroms and massacre http://www.sumgait.info/baku/baku-eng/baku-1990-eng.htm

Incomplete list of innocent victims of Sumgait http://sumgait.info/sumgait/sum-gait-eng/sumgayit-victims-eng.htm

Des pirates informatiques qui ont des assassins pour héros http://www.collectif-van.org/article.php?r=0&id=41000

Khojaly: The chronicle of unseen forgery and falsification http://www.xocali.-

net/

Xocali.net : le site qui dénonce la contrefaçon azérie http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=40949

Azerbaïdjan : appel au piratage informatique http://www.collectifvan.org/article.-php?r=0&id=40948v

Janvier 1990, les pogroms anti-Arméniens de Bakou http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=51146

www.xocali.net http://www.xocali.net/

« Qui massacre-t-on ? Les Arméniens » (témoignage de l’écrivain Claude Anet, au cours d’un voyage au Nakhitchevan en avril 1905) http://collectifvan.org/ar-ticle.php?r=4&id=71286

URL originale :

http://www.armenews.com/article.php3?id_article=87166

http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=71524

Lire le texte original dans la Rubrique en anglais

Cérémonie judéo-arménienne autour de l'Affiche Rouge

Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - A l'initiative de l'Association nationale des Anciens Combattants et Résistants Arméniens (ANACRA) et de l'Aumônerie Israélite des Armées (AIA), s'est tenue ce mercredi 20 février 2013 à 17 h30, en la synagogue des Armées à Paris 15e, une cérémonie commémorative du 69ème anniversaire de l'exécution du groupe Manouchian. L'événement a eu lieu en présence du représen-tant du Prélat du Diocèse de l'Église apostolique arménienne qui a dit une prière de Requiem, du Grand Rabbin Haïm Korsia, aumônier géné-ral israélite des Armées, de M. Antoine Bagdikian, président de l'ANA-CRA, du Général Gérard Delbauffe, Contrôleur général des Armées et président du Souvenir français, d'un représentant de M. Kader Arif, mi-nistre délégué aux Anciens Combattants, de Mme Catherine Vieu-Char-rier, adjointe au maire de Paris chargée du monde combattant, de M. Philippe Allouche, Directeur général de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, de M. Jacques FREDJ, Directeur du Mémorial de la Shoah, de M. Paul Schafer, Président d'honneur du Comité français pour Yad

Vashem. Cette très belle initiative est saluée par le Collectif VAN. En voici le compte-rendu signé Marie Chelemian et diffusé par l'Institut Ar-ménien.

COMMUNIQUE DE PRESSE

Jeudi 21 février 2013

Cérémonie judéo-arménienne autour de l'Affiche Rouge

A l'initiative de l'Association nationale des Anciens Combattants et Résistants Ar-méniens (ANACRA) et de l'Aumônerie Israélite des Armées (AIA), s'est tenue ce mercredi 20 février 2013 à 17 h30, en la synagogue des Armées, une cérémonie commémorative du 69ème anniversaire de l'exécution du groupe Manouchian.

C'est dans une salle comble qu'après les chaleureux mots d'accueil du rabbin de la synagogue et de Haïm Korsia, aumônier général israélite des Armées, Antoine Bagdikian, président de l'ANACRA, a pris la parole. Il a rappelé que c'était sur le symbole de l'hommage rendu au groupe Manouchian, qu'avec le Grand rabbin Korsia, Juifs et Arméniens construisaient pierre après pierre la solidarité des cultures, la fraternité des peuples opprimés et génocidés.

Nous sommes dans la tradition de hautes personnalités qui nous ouvrent le che-min, a-t-il ajouté en les évoquant : Henry Morgenthau, ambassadeur des Etats-Unis, témoin oculaire du génocide qui a racheté la survie de villages entiers d'Arméniens. Ce Juif éminent rapportait dans ses mémoires les propos de Talaat, un des 3 ordonnateurs du génocide des Arméniens « Pourquoi perdre tout cet argent, de toute façon il ne restera plus aucun Arménien ».

Et bien d'autres personnalités juives profondément respectées. Fran Werfel, l'écrivain juif autrichien et son roman prémonitoire de la montée du nazisme « les 40 jours du Moussa Dagh. Elie Wiesel et son cri « Tolérer le négationnisme, c'est tuer une seconde fois les victimes ». MM. Israël Charny et Yaïr Auron de Jé-rusalem, Bernard Henry Lévy et Serge Klarsfeld de Paris, qui soutiennent, le combat des Arméniens pour la reconnaissance du génocide des Arméniens et la condamnation de sa négation.

Nous avons d'illustres prédécesseurs, a poursuivi Antoine Bagdikian, en rappe-lant les paroles du Président de la Knesset, Réouven Rivline qui déclarait devant la commission parlementaire le 26 décembre 2011 : "Le devoir moral nous in-combe de nous souvenir et de remémorer la tragédie qui touche le peuple armé-nien. Il ne s'agit point d'un sujet politique mais de l'expression d'une position éthique de la plus haute importance; il en va de notre devoir moral, comme Juifs et Hommes, de reconnaître les tragédies des autres peuples. Le peuple juif ne peut pas rester indifférent au génocide du peuple arménien. Des considérations diplomatiques aussi importantes soient-elles, ne nous permettent pas de nier la catastrophe d'une autre nation".

Il a adressé ses remerciements à M. Rivline qui soulignait la très haute fragilité

des relations dites diplomatiques et cela bien avant la crise qui s'est installée entre Israël et la Turquie. La commémoration de ce soir, a-t-il terminé, n'est pas seulement le rappel d'un passé, même proche et l'hommage aux morts Juifs et Arméniens, c'est aussi le rappel que leur héroïsme doit nous donner un élan pour la défense de grandes valeurs de l'humanité et c'est assurément aux deux peuples les plus martyrs qu'il appartient de mener ce combat.

Chaque Arménien doit se sentir touché lorsqu'un Juif est atteint par la haine, le racisme et l'antisémitisme. Chaque Juif doit se sentir concerné par la reconnais-sance du génocide des Arméniens et le combat contre le négationnisme.

Puis, Arsène Tchakarian, survivant du groupe Manouchian, âgé de 95 ans, a pré-senté son livre témoignage « les commandos de l'Affiche rouge » dans lequel il évoque l'épopée de ce réseau de résistants puis son infiltration par un traitre et l'exécution de 23 de ses camarades.

C'est en effet le 21 févier 1944, que la Gestapo fusillait au Mont Valérien, ce groupe de combattants étrangers et français organisé autour de Missak Manou-chian et Joseph Epstein. Devenue célèbre par le film de Frank Cassenti, l'Affiche rouge portant leurs visages était placardée sur les murs de Paris pour annoncer leur condamnation à mort.

De poignants chants religieux juifs et arméniens et une prière pour la Répu-blique prononcée par l'aumônier israélite des Armées ont clôturé cette cérémo-nie qui, avec celle dédiée aux Arméniens Justes parmi les nations, constitue un des deux volets du travail de mémoire partagée par l'ANACRA et l'AIA.

En présence: du représentant du Prélat du Diocèse de l'Église apostolique ar-ménienne qui a dit une prière de Requiem, du Grand Rabbin Haïm Korsia, aumô-nier général israélite des Armées, de M. Antoine Bagdikian, président de l'ANA-CRA, du Général Gérard Delbauffe, Contrôleur général des Armées et président du Souvenir français, d'un représentant de M. Kader Arif, ministre délégué aux Anciens Combattants, de Mme Catherine Vieu-Charrier, adjointe au maire de Pa-ris chargée du monde combattant, de M. Philippe Allouche, Directeur général de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, de M. Jacques FREDJ, Directeur du Mémorial de la Shoah, de M. Paul Schafer, Président d'honneur du Comité fran-çais pour Yad Vashem.

Marie Chelemian http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=71544

Presse arménienne : Revue du 19 février 2013

Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous pré-sente cette Revue de Presse parue sur le site de l'Ambassade de France en Arménie le 19 février 2013.

Ambassade de France en Arménie

Revue de la presse arménienne du 19 février 2013

I. Politique intérieure

Le 18 février, l’Arménie a tenu sa 6ème élection présidentielle /

1. Participation Les 1988 bureaux de vote du pays étaient ouverts de 8h00 à 20h00. Plus de 600 observateurs internationaux et quelque 6000 observateurs locaux ont accompagné le processus électoral. Sur 2 529 016 électeurs inscrits sur les listes, 1 521 931 personnes - soit 61,18 % - ont pris part au vote. Deux des candidats, Andreas Goukassian, en grève de la faim depuis le début de la campagne électorale, et Arman Melikian, ancien « Ministre des AE » du HK ne se sont pas rendus aux urnes.

2. Résultats D’après les résultats préliminaires annoncés par la Commission électorale cen-trale (CEC) le 19 février au matin, les voix des sept candidats en lice se répar-tissent ainsi : Serge Sarkissian - 861 378 voix soit 58,64 % Raffi Hovhannissian - 539 674 voix soit 36,74 % Hrant Bagratian - 31 643 voix soit 2,15% Parouyr Hayrikian - 18 093 voix soit 1,23% Andreas Ghoukassian - 8 328 voix soit 0,57% Vardan Sedrakian - 6 203 voix soit 0,42% Arman Melikian - 3 520 voix soit 0,24%

Dès la fermeture des bureaux de vote, « The Gallup Organization » avait annon-cé sur la chaîne ArmNews les résultats d’un sondage effectué à la sortie de 122 bureaux (exit poll), qui donnait la victoire à Serge Sarkissian (58% des voix), sui-vi de Raffi Hovhannissian (32%) puis loin derrière Hrant Bagratian et Parouyr Hayrikian (3% chacun).

3. L’opposition a, dès le début du scrutin, dénoncé des fraudes mas-sives et conteste ses résultats Selon les médias, tout au long de la journée du 18 février, l’état-major de Raffi Hovhannissian n’a cessé d’alerter les institutions civiles et les observateurs sur des fr audes à très grande échelle.

La page Facebook de Raffi Hovhanissian a été submergée de comptes rendus de violations. Ses partisans ont notamment rapporté l’effacement des tampons at-testant du vote dans les passeports et par conséquent la possibilité de votes multiples, la mobilisation massive de ressources administratives, l’intimidation des électeurs par les autorités locales, les « caravanes » de taxis transportant des électeurs vers les bure aux, la distribution de pots-de-vin, le bourrage d’urnes... Le porte-parole de Heritage, Hovsep Hourchoudian, a qualifié ce scru-tin de « honteux et marqué par une quantité énorme de fraudes ... un cauche-mar ... Je ne me rappelle pas que de telles violations aient eu lieu auparavant à

cette échelle et de cette nature ». Il a plus particulièrement dénoncé l’attitude de nombreux maires à travers le pays cherchant à s’assurer du vote en faveur du parti Républicain et faisant pression sur les électeurs jusque dans les isoloirs.

L’état-major de M. Hovhannissian a dressé à l’attention des médias un réquisi-toire des fraudes alléguées, assorties d’enregistrements vidéo via des liens you-tube. L’état-major de Hrant Bagratian a également dénoncé des « infractions massives ».

Dans la soirée de lundi, avant la proclamation des résultats par la CEC, Raffi Hovhannissian a prétendu être le véritable vainqueur et appelé Serge Sarkissian à reconnaître sa défaite. Lors d’une conférence de presse tenue à minuit, il ex-horté le Président sortant à reconnaître la victoire du peup le : « Notre peuple mérite d’avoir un Président élu de jure ». Raffi Hovhannissian appelle ses élec-teurs à manifester ce jour 19 février à 17h00 en les invitant au calme et à la ré-serve.

4. Le parti Républicain rejette ces accusations En réponse aux accusations de l’opposition, le porte-parole du parti Républicain, Edouard Charmazanov a jugé que le scrutin du 18 février était «la meilleure élection de l’histoire de l’Arménie indépendante...témoignant que les processus démocratiques sont irréversibles ». Suite à l’annonce des résultats préliminaires par la CEC, le Président Sarkissian, entouré de son équipe électorale, a félicité devant les médias, ses adversaires Raffi Hovhannissian, Hrant Bagratian et Pa-rouyr Hayrikian (gardant le silence quant aux trois autres) relevant que c’était un honneur pour lui d’avoir de tels adversaires. Il a remercié son équipe, qui a fait de son mieux, ainsi que les journalistes, qui ont couvert de manière équi-table la campagne électorale de l’ensemble des candidats. Il a conclu son allocu-tion en appelant tous les Arméniens à s’atteler aux tâches ambitieuses, requises par le service de la République.

5. La presse écrite (majoritairement d’opposition) défend la ligne de Raffi Hovhannissian La presse d’opposition constate la victoire de Raffi Hovhannissian dans les prin-cipales villes d’Arménie : cinq districts sur 10 que compte Erevan, 79 des 81 bu-reaux de vote de Gumri (69,46% face aux 27,05% de Serge Sarkissian), les villes de Vanadzor, Idjévan, Kapan (cette dernière étant traditionnellement « pro-gou-vernementale »). En outre il l’emporterait largement dans les régions du Lori et du Tavouch.

Dans son éditorial intitulé « Le peuple a élu Raffi Hovhannissian », Haykakan Ja-manak estime qu’une nouvelle fois, les électeurs se prononcent pour le candidat d’opposition et que « les autorités manipulent les résultats issus des urnes ... les belles promesses sur des élections libres et transparentes ne sont pas tenues ». Ce quotidien relève que pendant le décompte, alors que l’avantage de Raffi Hov-hannissian devenait évident, certains quartiers d’Erevan ont été privés d’électri-cité « afin de permettre aux commissions électorales locales de manipuler les chiffres ». Les quotidiens signalent également l’altercation entre deux députés du parti Héritage (Rouben Hakobian) et du parti Républicain (Soukias Avetissian)

à Gumri, qui s’est terminée au poste de Police. Hraparak estime que le score im-portant de Raffi Hovhannissian traduit « une défaite » de Serge Sarkissian, en dépit de sa victoire officielle.

La presse du jour consacre des pages entières aux allégations de fraudes et vio-lations (bourrages d’urnes, intimidations, agressions des partisans de Raffi Hov-hannissian, achats de voix y compris par l’oligarque Samvel Alexanian accusé d’avoir fait venir par bus entiers ses employés de l’usine de sucre de la région de Chirak afin de voter à Erevan, mauvais traitements contre les journalistes no-tamment une correspondante de Jamanak agressée par des jeunes du parti Ré-publicain, lacunes des listes électorales). Plusieurs quotidiens consacrent leur « une » à des bulletins nuls portant des insultes à l’adresse des autorités.

Selon Joxovurd, ce scrutin aurait été sans précédent par le nombre de bulletins annulés (dans certains bureaux un sur trois), un électeur à Erevan a ainsi mangé son bulletin en signe de protestation...

6. Les plaintes et recours Le jour du vote, le bureau de l’Ombudsman a reçu 129 alertes sur des violations électorales. La Police, quant à elle, fait état de 70 plaintes, dont 25 à Erevan, 22 concernant la distribution de pots-de-vin et 2 qui donneront lieu à poursuites.

Titres « Serge Sarkissian est en tête »- Hayots Achkhar « L’Arménie élit un président pour la sixième fois »- Azg « Les meilleures élections dans l’histoire de l’Arm énie indépendante : d’après les résultats de la CEC, Serge Sarkissian l’emporte », « Les autorités ont tenu leur promesse »- Hayastani Hanrapetoutioun « Le peuple a voté pour Raffi Hovhannissian »- Haykakan Jamanak « Le ballon des élections libres et transparentes a éclaté », « On voulait faire mieux mais On a fait comme toujours »- Joxovurd « Les fraudes relèvent d’un système organisé », écrit Aravot, en citant le direc-teur de l’Assemblée civique d’Helsinki de Vanadzor « Face à la réalité », « Agression contre une journaliste de Jamanak »- Jamanak « Une victoire qui sonne comme une défaite », « Cette fois encore les autorités ont eu peur d’élections libres »- Hraparak « On progresse vers une Arménie sûre »- 168 Jam (reprise ironique du slogan électoral de Serge Sarkissian) « Serge Sarkissian l’emporte »- Novoyé Vrémia

II. Questions régionales

Les coprésidents du Groupe de Minsk ont proposé aux Ministres des AE d’Armé-nie et d’Azerbaïdjan de se rencontrer à Paris la semaine prochaine/ Les médias arméniens font par ailleurs état d’une recrudescence de violations du cessez le-feu par l’Azerbaïdjan au cours des derniers jours.

Rédaction : Meri Hakobian

http://www.ambafrance-am.org/IMG/pdf/20130219.pdf

http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=71523

Collectif VAN : l'éphéméride du 21 février

Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - La rubrique Ephéméride est à retrouver quotidiennement sur le site du Collectif VAN. Elle recense la liste d’événements survenus à une date donnée, à différentes époques de l’Histoire, sur les thématiques que l’association suit au quotidien. L’éphéméride du Collectif VAN repose sur des informations en ligne sur de nombreux sites (les sources sont spécifiées sous chaque entrée).Vous pouvez retrouver tous les éphémérides du Collectif VAN dans la Rubrique Actions VAN, en cliquant sur ces liens:

Les éphémérides du Collectif VAN (1ère partie) http://www.collectifvan.org/article.php?r=3&id=51673

Les éphémérides du Collectif VAN (2ème partie) http://collectifvan.org/article.php?r=3&id=55304

Ça s’est passé un 21 février (les événements sont classés du plus ancien au plus récent) :

21 février 1897 -- France : publication du N°327 du périodique « Le Petit Jour-nal ». En couverture : Abdul-Hamid Khan, Souverain de l'Empire ottoman. « Des événements graves s'accomplissent en ce moment en Orient. La diplomatie s’efforce d'en atténuer la portée et d'arriver à une entente... » Archives Imprescriptible http://www.armenews.com/IMG/Le_petit_journal_21_fevrier_1897.pdf

21 février 1915 -- Empire ottoman : l'armée turque à Urmia a pris en otage 61 Assyriens impliqués dans la mission française, et dont ils exigeaient une rançon importante. La mission n'avait malheureusement pas les moyens de libérer plus de 20 personnes. Le 22 février, les 41 personnes restantes ont été exécutées et leur tête arrachée de leur corps. Parmi eux, se trouvait l'évêque Mar Denkha. Wikipédia : Génocide assyrien http://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9nocide_assyrien

21 février 1918 -- Port-Saïd, le 21 février 1918. (Reçu : 7 mars). Le témoignage d'un Arménien qui a erré une année et demi avec les émigrés : Le calvaire des exilés arméniens (1915-1917). [I.] Les Arméniens de la Thrace (Andrinople, Ro-dosto, Malgara), de la Bithynie (Baghtchédjik, Ada-Bazar, Tchenguiler, Ovadjik, etc.) et de Brousse (Banderma, Balikessir) sont exilés vers Alep par la ligne Is-mid, Esgui Chehir [sic], Konia, Bozanti. Les groupes d'Angora et de Kastamouni composés exclusivement d'hommes et de la population de Konia et de Césarée se joignent à cette caravane. La première expulsion a eu lieu en juillet 1915, quatre mois après les exils individuels. Archives centrales de la Marine, SS A 166. Beylérian, Arthur. Les Grandes Puissances, l'Empire ottoman et les Arméniens dans les archives françaises (1914-1918), recueil de documents, Paris, Publica-tions de la Sorbonne, 1983. Imprescriptible : Rapport du Service des Informations de la Marine dans le Levant au Ministère de la Marine http://www.imprescriptible.fr/documents/archives/francaises/531.htm

21 février 1920 -- Grande Bretagne : l’article du Times du 21 février 1920 criti-quant dans les termes les plus violents la décision du gouvernement anglais, le-quel, au dire du Times, par ses tergiversations, a déçu l’espoir de la nation bri-tannique de voir la fin de la domination turque en Europe. « Il n’y avait pas un homme dans les grandes armées que nous avions envoyées à Gallipoli et en Pa-lestine, ou dans la flotte de la Méditerranée, qui ne sût pas que notre double but était de mettre une fin pour toujours au mauvais gouvernement turc en Europe et de libérer les nationalités opprimées en Asie Mineure de l’influence flétris-sante du gouvernement impérial ottoman. » Mandelstam, André. La Société des Nations et les Puissances devant le problème arménien, Paris, Pédone, 1926 ; rééd. Imprimerie Hamaskaïne, 1970. Imprescriptible : Situation politique vis-à-vis de la Turquie des trois principales Puissances alliées depuis l'armistice et jusqu'au traité de Sèvres http://www.imprescriptible.fr/mandelstam/c8/p4

21 février 1921 -- La Conférence de Londres se réunit le 21 février 1921 pour s’occuper des affaires allemandes et du problème oriental. Et, dans cette Confé-rence, les représentants des gouvernements anglais, français, italien et japonais entendirent à plusieurs reprises les Délégations de la Grèce et de la Turquie ainsi que celle des Arméniens. Mandelstam, André. La Société des Nations et les Puissances devant le problème arménien, Paris, Pédone, 1926 ; rééd. Imprimerie Hamaskaïne, 1970. Imprescriptible : La conférence de Londres (21 février - 12 mars 1921) http://www.imprescriptible.fr/mandelstam/c9

21 février 1939 -- Allemagne : les nazis forcent les Juifs à se défaire de tous leurs biens en or et argent. Seconde guerre : Chronologie de 1939 http://www.seconde-guerre.com/chronologie/chronologie-avant-guerre-1939.html

21 février 1940 -- 21 février : Himmler décide la création à Auschwitz d'un camp de "quarantaine" destiné aux Polonais de Silésie et du Gouvernement gé-néral. Cliotexte : Chronologie du système concentrationnaire nazi (1933-1945) http://icp.ge.ch/po/cliotexte/la-seconde-guerre-mondiale/camps.de.concentra-tion.html

21 février 1941 -- Pologne : 4.000 Juifs sont envoyés au camp de concentration de Dzialdowo-Soldau. BS Encyclopédie : Les petits ghettos polonais (Nazisme - 2ième guerre mondiale) http://www.encyclopedie.bseditions.fr/article.php?pArticleId=64&pChapitreId=19714&pArticleLib=Plock+%5BLes+petits+ghettos+polonais+%28Nazisme+-+2i%E8me+guerre+mon-diale%29%5D

21 février 1941 -- 3 000 juifs de Warka (Pologne) sont déportés vers le ghetto de Varsovie. - Le représentant du Reich allemand écrit ce jour au secrétaire général du gou-vernement néerlandais à propos de l'exécution du décret du 11 novembre 1940 sur le renvoi des fonctionnaires juifs. - 430 Juifs d'Amsterdam sont déportés à Buchenwald en représailles au sabotage d'une usine d'ammoniac. Skynet : 21 février, ce jour-là, n’oubliez pas http://souvenez-vous6000000.skynetblogs.be/

21 février 1943 -- Une lettre pastorale condamnant la persécution des juifs est lue dans les églises protestantes et catholiques des Pays-Bas. Le 17 février, une copie de cette lettre a été envoyée au représentant du IIIe Reich. Skynet : 21 février, ce jour-là, n’oubliez pas http://souvenez-vous6000000.skynetblogs.be/

21 février 1944 -- Exécution de Missak Manouchian (en arménien : Միսաք Մանուշյան, Missak Manouchian), avec 21 autres résistants étrangers, dont de nombreux Juifs. Né le 1er septembre 1906 à Adıyaman dans l'Empire ottoman, rescapé du génocide des Arméniens perpétré par le gouvernement Jeune-Turc en 1915, Manouchian est mort fusillé à 37 ans au fort du Mont-Valérien le 21 février 1944. Intellectuel et poète français d'origine arménienne, militant communiste (responsable de la section arménienne de la MOI) et résistant (commissaire mili-taire des FTP-MOI de la région parisienne), il est principalement connu pour son rôle dans la Résistance, en particulier à cause de « l'Affiche rouge ». Neuf des resistants du Groupe Manouchian étaient juifs; tous étaient commu-nistes ou sympathisants:

. Celestino Alfonso (espagnol)

. Olga Bancic (roumaine)

. Joseph Boczov (roumain)

. Georges Cloarec (français)

. Roger Rouxel (français)

. Robert Witchitz (français)

. Rino Della Negra (italien)

. Spartaco Fontano (italien)

. Césare Luccarini (italien)

. Antoine Salvadori (italien)

. Amédéo Usséglio (italien)

. Thomas Elek (hongrois)

. Emeric Glasz (hongrois)

. Maurice Fingercwajg (polonais)

. Jonas Geduldig (polonais)

. Léon Goldberg (polonais)

. Szlama Grzywacz (polonais)

. Stanislas Kubacki (polonais)

. Marcel Rayman (polonais)

. Willy Szapiro (polonais)

. Wolf Wajsbrot (polonais)

. Arpen Tavitian (arménien)

. Missak Manouchian (arménien) Wikipédia : Missak Manouchian http://fr.wikipedia.org/wiki/Missak_Manou-chianLire aussi : les souvenirs de deux des derniers Résistants arméniens du Groupe Manouchian, encore en vie ce 21 février 2011, Arsène Tchakarian et Henry Karayan. Hommage à ces héros. Institut Arménien de France : Ces Arméniens qui ont dit « non » http://www.anciens-combattants-armeniens.org/manouchian.htm

21 février 1944 -- L'existence d'un camp de concentration pour hommes dans le village de Germering (Allemagne) est mentionnée pour la première fois. Il dé-pend du camp principal de Dachau. Skynet : 21 février, ce jour-là, n’oubliez pas http://souvenez-vous6000000.skynetblogs.be/

21 février 1945 -- Un camp pour femmes, rattaché au camp de concentration principal de Buchenwald, est créé à Plömnitz (Allemagne). - Un camp de concentration pour hommes, dépendant du camp principal de Flossenbürg, est ouvert à Ganacker Allemagne). Skynet : 21 février, ce jour-là, n’oubliez pas http://souvenez-vous6000000.skynetblogs.be/

21 février 2009 -- Paris : en présence d'anciens Résistants du Groupe Manou-chian, une plaque est posée par la mairie de la ville de Paris, le samedi 21 fé-vrier 2009 à 11 h, sur la façade de l’immeuble (un ancien hôtel), 11 rue de Plai-sance à Paris, 14e arrdt, où ont vécu Mélinée (née Assadourian) et Missak Ma-nouchian, juste avant l’arrestation de ce dernier.

Imprescriptible : Cérémonies en hommage à Missak Manouchian et au groupe de l’Affiche rouge http://www.imprescriptible.fr/archives/france/achkhar/462.pdf

21 Février 2010 -- Berlin : discours de Recep Maraşlı, personnage symbole de la résistance kurde. Son livre « Le mouvement national démocratique arménien et le génocide de 1915 » en a fait une voix crédible de la critique kurde sur l'his-toriographie officielle en Turquie. Collectif VAN : Recep Maraşlı : une voix kurde sur le génocide arménien

http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=41715

21 février 2011 -- Turquie: le maire AKP de Bayburt s’est livré à une mise en scène grotesque. Comme chaque année, la ville commémore sa libération le 21 février 1918, alors qu’elle était occupée par les Russes et « les irréguliers armé-niens » [Nota CVAN : les Komités, comme les nomme la propagande officielle turque]. Le Hürriyet Daily News, journal turc de langue anglaise, s’interroge : « selon quelle logique, des adultes, censés être responsables, ont organisé un exercice avec des enfants de 10 ans parés de costumes d'époque pour effectuer des simulations de crucifixion de Turcs par des Arméniens ? » Le Hürriyet Daily News et ses rédacteurs estiment, avec raison, que l’exercice « serait certaine-ment qualifié, dans de nombreux pays, de crime, d’incitation à la haine raciale ». Une manifestation qu’a sans doute appréciée avant de mourir le leader islamiste Necmettin Erbakan, auquel le Président turc Recep Tayyip Erdogan [AKP] a rendu hommage ce dimanche. Observatoire du Négationnisme du Collectif VAN - 2011 http://collectif-van.org/article.php?r=4&id=67982

Compilation réalisée par le site www.collectifvan.org

http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=52005

Les textes qui suivent constituent une Revue de Presse des articles pa-rus dans les médias sur les sujets que le Collectif VAN suit au quoti-

dien. A ce titre, s'ils ne représentent pas toujours (hélas) l'opinion de notre association, il est utile d'en prendre connaissance pour éventuel-

lement y réagir de manière appropriée.

CONFLIT DU HAUT-KARABAKH

Un soldat arménien a été tué

NAM

Un soldat arménien a été abattu mercredi 20 février 2013 dans le Haut-Kara-bagh. Gor Ghazarian, âgé de 20 ans, a été tué par balle, provenant des positions de l’armée azerbaïdjanaise au nord-est de la région. « Une enquête est en cours afin de préciser les détails de l’incident », a indiqué un communiqué.

L’armée arménienne du Karabagh a déclaré que plus de 1 500 coups de fusils de snipers ont été tirés durant trois jours qui ont coïncidé avec l’élection prési-dentielle en Arménie.

L’agence azérie 1news.az a déclaré que des tirs provenant des forces armé-niennes ont sérieusement endommagé des maisons situées dans un village azerbaïdjanais au nord du Karabagh.

jeudi 21 février 2013, Laetitia ©armenews.com

Reprinted with permission from RFE/RL Copyright(c)2007 Radio Free Europe / Radio Liberty, Inc.1201 Connecticut Ave, t N.W. Washington DC 200

http://www.armenews.com/article.php3?id_article=87198

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=71536

Dépêche de l'APA [ 21 Février 2013 13:10 ] - Agence de Presse d'Azerbaïdjan

Le Collectif VAN vous propose un article de l'APA (Agence de presse azérie) daté du 21 février 2013. Les articles de ce site (écrits générale-ment dans un français rudimentaire) ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos négationnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve.

APA

Manifestation relative à 21e anniversaire du génocide de Khojali orga-nise à Moscou

[ 21 Février 2013 13:10 ]

Organisateur de l’action - la communauté d’amitié azerbaïdjano-juive

Moscou. Farid Akbarov – APA. Une manifestation sera déroulée dans la capitale russe Moscou relative à 21e anniversaire du génocide de Khojali, par l’organisa-tion de la communauté d’amitié judéo-azerbaïdjanaise.

Selon l’envoyé spécial de l’APA à Moscou, la permission a été obtenue de la mai-rie de Moscou pour le rallye. Dans la lettre de réponse de la préfecture de l’ar-rondissement de Taganskiy de Moscou, a été indiqué qu’il est permis de tenir une manifestation dans le cadre de 21e anniversaire de la génocide de Khojali, le 24 février dans la place « Yauzskie vorota » qui est situé près de la gare « Ki-tay Qorod » du métro de Moscou.

La protestation sera commencée à 15.00.

http://fr.apa.az/nouvelles_manifestation_relative____21e_anniversair_19140.html

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=71543

Dépêche de l'APA [ 21 Février 2013 11:22 ] - Agence de Presse d'Azerbaïdjan

Le Collectif VAN vous propose un article de l'APA (Agence de presse azérie) daté du 21 février 2013. Les articles de ce site (écrits générale-ment dans un français rudimentaire) ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos négationnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve.

APA

L’OSCE organise le prochain suivi à la ligne de contact arméno-azer-baïdjanaise

[ 21 Février 2013 11:22 ]

Bakou – APA. Un suivi à la ligne de contact est prévu le 22 février vendredi, par conformité du mandat du représentant personnel du président en exercice de l’OSCE, vers le district azerbaïdjanais de Khojavend.

Selon un communiqué de presse du Ministère azerbaïdjanais de la défense posté à l’APA, l’adjoint personnel du Président de l'OSCE Jiri Aberleh et l’adjoint de champs William Prayor organisent le monitorage.

A l’autre coté de la ligne de contact – représentant personnel du Président en exercice de l’OSCE, Anjey Casprzik, les adjoints de champs Evguéni Charov et Christo Christov suivront le monitorage.

http://fr.apa.az/nouvelles_l___osce_organise_le_prochain_suivi____la_l_19137.html

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=71548

ARMENIE

Arménie : manifestation contre la réélection du président Sarkissian

Euronews

20/02 22:06 CET

L’opposition arménienne s’est mobilisée mercredi contre la réélection du pré-sident Sarkissian.

Près de 5.000 personnes ont manifesté au centre d’Erevan, la capitale, pour sou-tenir son principal adversaire, l’ex-ministre des Affaires étrangères Raffi Hovan-nissian. Ce dernier dénonce une fraude massive et affirme être le véritable vain-queur du scrutin de lundi.

“L’Arménie mérite un Etat de droit, la démocratie, une constitution qui s’ap-plique à tous, du Président à tous les citoyens. Et en ce jour, le peuple arménien s’est rassemblé pour reprendre en main notre destin, notre souveraineté, nos in-térêts nationaux et notre avenir en tant que citoyens d’Arménie,” a-t-il martelé.

Le 25 février, la commission électorale doit officialiser la victoire de Serge Sar-kissian avec près de 59% des suffrages contre 37% pour Raffi Hovanissian.

Copyright © 2013 euronews http://fr.euronews.com/2013/02/20/armenie-manifestation-contre-la-reelection-du-president-sarkissian/

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=71526

SYRIE/LES CHRETIENS

Syrie – Chrétien arménien martyrisé alors que les vio-lences et les enlèvements se poursuivent

Chretiente.info

Agenzia Fides , le 20 février 2013 à 14:14

Alep (Agence Fides) – Un fidèle de la communauté arménienne apostolique a été tué à bout portant par des terroristes en proie à la fureur religieuse. Yohannes A. (l’Agence Fides préfère ne pas diffuser le nom de la victime pour préserver la sé-curité de sa famille NDR), selon la communauté arménienne locale, est « un martyr du conflit syrien en ce que tué in odium fidei ». L’homme se trouvait

dans un convoi se dirigeant vers Alep. Le minibus à bord duquel il se trouvait a été arrêté sur le parcours par un groupe de miliciens islamistes qui a demandé leur carte d’identité aux voyageurs. Ayant remarqué que le nom de Yohannes s’achevait en « ian », ils l’ont identifié comme arménien. Il l’ont donc arrêté et fouillé, découvrant qu’il portait une grande croix autour du cou. A ce moment-là, l’un des terroristes a ouvert le feu sur la croix, déchiquetant la poitrine de l’homme. Selon une source de Fides au sein de la communauté arménienne, « les terroristes étaient exaltés, hors d’eux-mêmes, comme s’ils avaient fait usage de drogue ».

Les modalités mises en œuvres dans le cadre de ces barrages routiers dissémi-nés sur les routes de Syrie sont communes aux différentes bandes. Les autobus sont arrêtés aux barrages et les voyageurs dérobés ou sélectionnés en vue d’en-lèvements ciblés, comme cela a été le cas des deux prêtres Michel Kayyal (ar-ménien catholique) et Maher Mahfouz (grec orthodoxe) enlevés le 9 février et se trouvant encore entre les mains de leurs ravisseurs. Un autre épisode signalé à Fides concerne un groupe de chrétiens qui se rendait de Qamishli à Beyrouth afin de fuir la dramatique situation locale. Le bus sur lequel ils voyageaient a été frappé de plein fouet par une roquette qui a tué deux personnes : un homme dé-nommé Boutros et une femmes de 22 ans dénommée Naraya, qui aurait dû se marier prochainement. Les bandits ont tout volé. Le groupe a préféré revenir sur ses pas, à Qamishli, plutôt que d’affronter un voyage présentant un risque mor-tel. (PA) (Agence Fides 20/02/2013)

http://www.chretiente.info/201302201409/syrie-chretien-armenien-martyrise-alors-que-les-violences-et-les-enlevements-se-poursuivent/

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=71527

« Les chrétiens sont en danger mais ne sont pas des cibles »

L'Orient-Le Jour

21/02/2013

Les communautés chrétiennes sont en danger en Syrie, mais elles ne sont pas des cibles, a affirmé hier à Amman l’évêque chaldéen d’Alep. « Je ne pense pas que les chrétiens syriens soient visés, mais ils sont en danger comme leurs frères musulmans qui souffrent », a indiqué Mgr Antoine Audo qui participait à une conférence régionale de l’organisation humanitaire catholique Caritas. Pour Mgr Audo, président de Caritas-Syrie, « les chrétiens en Syrie n’ont pas été dé-placés.

Mais en raison des violences ils sont en train de chercher, comme d’autres per-sonnes, à se réfugier dans des endroits plus sûrs ». Forte de 1,8 million d’âmes, la communauté chrétienne syrienne est restée globalement à l’écart de la ré-volte populaire devenue conflit armé qui a fait 70 000 morts en majorité des ci-

vils depuis mars 2011. Sa hiérarchie et une grande partie de la communauté, par peur des islamistes, ont pris position en faveur du régime. http://www.lorientlejour.com/category/Moyen+Orient+et+Monde/article/801747/%3C%3C+Les_chretiens_sont_en_danger_mais__ne_sont_pas_des_cibles+%3E%3E.html

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=71539

FRANCE/TURQUIE

Sevil Sevimli sur France3 : "J'ai beaucoup appris de la Turquie jusqu'à ses prisons"

France 3

Sevil Sevimli ,de retour à Lyon aprés avoir été condamnée à 5 ans de prison en Turquie pour "propagande terroriste" a exprimé ce soir son intention d'obtenir justice en appel: "Ma voix sera celle de toutes les personnes emprisonnées " a t-elle déclaré dans une interview en direct sur France3

Par Philippe Bette

Publié le 20/02/2013 | 19:13, mis à jour le 20/02/2013 | 19:35

"Oui,je suis innocente (...) Oui,je veux retourner en Turquie", Sevil Sevimli a ma-nifesté son intention de faire appel de sa condamnation à 5 ans et 2 mois de pri-son par un tribunal turc,ce soir sur l'antenne de France 3 où elle était l'invitée du 19/20. Elle a dit vouloir ainsi être "la voix de toutes les personnes encore empri-sonnées". J'ai beaucoup changé, a- t- elle confié à Paul Satis, reconnaissant qu'"elle avait beaucoup appris de la Turquie, jusqu'à ses prisons" .Elle a enfin re-connu qu'elle s'était surprise elle -même à calculer l'âge de sa sortie de prison puisqu'elle risquait jusqu'à 32 ans de détention pour "entreprise terroriste" selon les charges retenues initialemement contre elles...

http://rhone-alpes.france3.fr/2013/02/20/sevil-sevimli-sur-france3-j-ai-beaucoup-appris-de-la-turquie-jusqu-ses-prisons-203699.html

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=71528

Sevil Sevimli de retour à Lyon : "J'ai envie de retourner en Turquie"

Lyon Capitale

Posté le 21/02/2013 à 11:24

"Je suis contente d'être ici". Rentrée mercredi en France, l'étudiante franco-turque de 21 ans savoure la liberté retrouvée, après le levée de l'interdiction de sortie du territoire turc qui l'avait frappée. Invitée hier soir du journal télévisé de France 3, elle confie avoir eu peur de passer toute sa jeunesse en prison. Elle es-time que la mobilisation a joué en sa faveur. "Ca nous a aidé à rester debout, ça nous a donné de la force", a-t-elle déclaré.

Souriante et détendue, elle n'en est pas moins apparue fortement déterminée, expliquant avoir fait appel de la décision la condamnant à des faits de propa-gande pour une organisation terroriste. "On va aller jusqu'au bout pour être ac-quittée". Pourquoi poursuivre cette procédure alors qu'elle a déjà retrouvé la li-berté, lui a demandé le journaliste. "Pour pouvoir aller et venir librement en Tur-quie", a-t-elle dit, confiant avoir "envie" de retourner dans ce pays dont elle pos-sède aussi la nationalité.

Voir son interview http://rhone-alpes.france3.fr/2013/02/20/sevil-sevimli-sur-france3-j-ai-beaucoup-appris-de-la-turquie-jusqu-ses-prisons-203699.html

F.F http://www.lyoncapitale.fr/Journal/Autre-contenu/Breves/Sevil-Sevimli-de-retour-a-Lyon-J-ai-envie-de-retourner-en-Turquie/%28language%29/fre-FR

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=71550

Accords de collaboration franco-turque

L'Humanité

le 18 Février 2013

Les «accords Guéant» reconduits sous Hollande : la répression à l’égard de la communauté kurde de France s’intensifie.

En octobre 2011, un vaste accord sécuritaire a été signé entre la Turquie et la France permettant à la police turque et française de mener une lutte commune sur le terrain contre les militants du PKK (Parti des travailleurs du Kurdistan), qui mène depuis 1984 un mouvement de guérilla pour la reconnaissance des droits politiques et culturels des Kurdes en Turquie (pour l’autonomie du Kurdistan). La police française a interpellé cette semaine une quinzaine de Kurdes à Bordeaux et à Toulouse. Ces arrestations sont survenues lors de la rencontre à Paris du ministre turc des affaires étrangères, Ahmed Davutoglu, et son homologue fran-

çais, Laurent Fabius. Ainsi, depuis 2007, ce sont près de 250 Kurdes qui ont été arrêtés en France. « Le Parlement français ne doit pas ratifier l’accord Guéant en ce domaine. Et il est grand temps de refuser la conception du terrorisme de la Turquie qui n’a qu’un objet : réprimer un nombre croissant de ses opposants », atteste Marie-Christine Vergiat, députée européenne. Le 9 janvier, ce sont les as-sassinats en plein cœur de Paris de trois militantes pacifiques kurdes qui avaient soulevé l’indignation. Le suspect numéro un, Omer Guney, qui est d’origine turque, a été mis en examen. Deux jours après les assassinats, le premier mi-nistre turc Erdogan avait, avant même qu’une enquête n’ait débutée, crié au conflit inter-PKK. Il ajouta, le 20 janvier, que ces assassinats ne seraient pas sur-venus si les pays européens avaient extradé les militants kurdes du PKK.

Roni Kocagol http://www.humanite.fr/monde/accords-de-collaboration-franco-turque-515478http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=71533

Paris fait les yeux doux à la Turquie

Le Républicain Lorrain

Publiée le 20/02/2013

Nouveau pas dans le réchauffement entre les deux pays alors que la France de François Hollande est moins hostile à une éventuelle adhésion dans l’UE.

La Turquie bientôt membre de l’Union européenne ? Ankara reprend espoir et se félicite du changement de ton de la France sur ce dossier, autrefois défendu par Jacques Chirac, depuis l’arrivée de François Hollande à l’Elysée. La semaine der-nière, Laurent Fabius a annoncé la levée du veto français sur le chapitre 22 des négociations relatif à la politique régionale. « C’était une chose logique à faire. Bloquer le processus d’adhésion n’a aucun sens », se félicite Egemen Bagis, mi-nistre turc des Affaires européennes qui doit rencontrer son homologue français Bernard Cazeneuve aujourd’hui à Paris.

Le chef de la diplomatie française va plus loin assurant que « la France va ren-forcer son soutien aux négociations d’adhésion de la Turquie ». De là à envisa-ger une entrée de la Turquie dans l’UE avant la fin du quinquennat…

La France frileuse

Le scénario reste improbable malgré des négociations ouvertes en 2005 comme pour la Croatie qui s’apprête, elle, à rejoindre l’UE le 1er juillet. Car les obstacles restent nombreux en France et en Europe mais aussi en Turquie.

Moins brutal que Nicolas Sarkozy, farouche opposant à la candidature turque, le Président socialiste ne semble pas y être davantage favorable malgré les gestes de bonne volonté. Pendant la campagne présidentielle, le candidat Hollande

avait été catégorique : « Aucune condition majeure n’est réunie, et donc, dans le prochain quin quennat, il n’y aura pas d’adhésion de la Turquie à l’Union euro-péenne ». En outre, l’entrée de la Turquie devra obtenir l’approbation des élec-teurs français lors d’un référendum obligatoire. Or, le contexte de crise et le chômage record en Europe ne sont pas de nature à favoriser un « oui ». Poids lourd de l’UE, l’Allemagne d’Angela Merkel est également hostile au projet.

La Turquie laborieuse

Depuis sept ans, les négociations patinent : 13 chapitres seulement sur un total de 35 ont été ouverts et un seul a abouti. En cause la lenteur des réformes adoptées par Ankara pour se mettre en conformité avec les normes euro-péennes. Parallèlement, la question de Chypre bloque toute avancée : Ankara refuse de reconnaître la partie grecque de l’île, membre de l’UE depuis 2004, et refuse d’appliquer à ce territoire l’union douanière avec l’UE dont elle bénéficie. Une opposition rédhibitoire pour Bruxelles. Ces lenteurs et la crise de la zone euro ont, de ce côté aussi, développé un certain euroscepticisme : désormais, seulement 40 % des Turcs ont envie de devenir Européens.

En 2006, José Manuel Barroso, déjà président de la Commission européenne, considérait que le processus d’adhésion pourrait durer jusqu’en 2021. Au moins.

Christine BERANGER. http://www.republicain-lorrain.fr/france-monde/2013/02/20/paris-fait-les-yeux-doux-a-la-turquiehttp://collectifvan.org/article.php?r=4&id=71542

L'info vue par la TRT (1)

Le Collectif VAN vous propose cet article publié sur la TRT (Télévision & Radio de Turquie). Les articles de ce site ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos négationnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute ré-serve.

TRT

La France attend un geste de la Turquie

La France attend de la Turquie qu’elle signe l’accord relatif au retour des immi-grés clandestins.

Le ministre délégué chargé des affaires européennes, Bernard Cazeneuve, s’est entretenu le 20 février 2013 avec Egemen Bağış, ministre des affaires euro-péennes de Turquie.

Après l’annonce faite le 12 février par Laurent Fabius, ministre français des af-faires étrangères à son homologue turc, de la décision de la France de déblo-quer, pour commencer, le chapitre 22 des négociations UE-Turquie, MM. Caze-neuve et Bağış ont décidé d’intensifier leur concertation.

Ils ont également évoqué le processus en cours de relance des relations bilaté-rales, dont la France souhaite qu’elles soient conformes à l’importance straté-gique que les deux pays représentent l’un pour l’autre.

Par ailleurs, M. Caseneuve a fait part à M. Bağış, que la France attend de la Tur-quie un geste : la signature de l’accord prévoyant le retour des immigrés clan-destins.

Date de l'information : 21 Février 2013 00:31

http://www.trtfrancais.com/fr/informations/detail/turquie/1/la-france-attend-un-geste-de-la-turquie/6936http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=71546

TURQUIE

L'homme-clé de la nouvelle politique extérieure

Le Monde

Article paru dans l'édition du 20.02.13

Ministre des affaires étrangères depuis 2009, après avoir été le conseiller de l'ombre du président Abdullah Gül puis du premier ministre Recep Tayyip Erdo-gan, Ahmet Davutoglu porte les ambitions d'Ankara sur la scène internationale. Parfait anglophone et arabophone, cet universitaire, professeur de sciences poli-tiques, a été l'artisan du retour de la Turquie dans son ancienne sphère d'in-fluence, diplomatie qualifiée de « néo-ottomane ».

http://www.lemonde.fr/web/recherche_breve/1,13-0,37-1224457,0.html?xtmc=turquie&xtcr=1

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=71532

Signature du premier contrat sur la centrale nucléaire d'Akkuyu

Voix de la Russie

20.02.2013, 17:21, heure de Moscou

Le premier contrat relatif aux travaux de construction et de montage a été signé dans le cadre du projet de la centrale nucléaire d'Akkuyu (Turquie) dont la construction débutera en 2014.

En 2010, la Fédération de Russie et la Turquie ont signé un accord intergouver-nemental portant sur la coopération dans la construction et l'exploitation d'une centrale nucléaire à Akkuyu. La première centrale nucléaire d'Akkuyu sera construite d'après un projet russe et comprendra quatre réacteurs de puissance à caloporteur et modérateur eau VVER-1200 d'une puissance de 1 200 MW.

La construction de la centrale nucléaire en Turquie permettra de produire quelque 35 000 milliards de kWh d'électricité par an.

http://french.ruvr.ru/2013_02_20/Signature-du-premier-contrat-sur-la-centrale-nucleaire-dAkkuyu/

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=71534

SHOAH

« Je n’ai toujours pas compris l’Holocauste. C’est impos-sible »

Le Soir.be

Philippe Manche Mis en ligne Mercredi 20 Février 2013, 14h32

L’Australienne Cate Shorland signe avec « Lore » un film âpre et bouleversant autour d’une fratrie dans l’Allemagne de 1945. Entretien. Voir la vidéo :

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=8v3rgP0Aqu8

Même si c’est surtout son travail à la télévision qui est reconnu, « Lore » n’est pas le premier film de cette Australienne de 44 ans. Son atypique « Somersault » (l’éveil adolescent, un des thèmes de son nouveau film, d’ailleurs) avait eu les honneurs du Festival de Cannes et de la catégorie « Un certain regard » en 2004. De passage à Bruxelles, Cate Shortland évoque avec cœur son deuxième long-métrage.

Quelle est la grande différence entre « Lore » et « La chambre noire », le livre qui sert de matériau à votre film ?

La fin est différente. Nous l’avons changée. Dans le livre, il y a 3 histoires. Celle de Laura est la deuxième. Il y a comme une espèce de fin inachevée. J’avais be-soin de quelque chose d’abstrait. Et en même temps de quelque chose de concret aussi. Et montrer qu’elle ne fait pas partie de cette société corrompue. Qu’elle peut rester muette par rapport à cela même si elle est brisée intérieure-ment.

Vous avez rencontré d’anciens membres des jeunesses hitlériennes. Que tentiez-vous de comprendre ?

Comme je suis australienne, j’ai fait deux fois plus de recherches que si j’avais été un réalisateur allemand. Je voulais me confronter au plus près de cette véri-té. Comprendre le regard qui est le leur aujourd’hui. Bien sûr, le sentiment de honte prédomine. Les entretiens étaient très honnêtes. Quelqu’un m’a raconté que lorsqu’il a appris la mort d’Hitler, il est tombé dans une phase dépressive de trois ans. Le monde s’écroulait sur ces gens-là. Ce n’est que quelques années plus tard, en fonction des personnalités bien sûr, que certains se sont rendu compte d’avoir été utilisés. Au début des entretiens, ils avaient un peu peur que je les juge, mais à la fin de la journée, ils ont intégré le fait que j’étais là pour comprendre.

Pourquoi cette fascination pour cette période sombre de notre histoire ?

J’ai commencé à étudier le fascisme à l’université mais je n’ai toujours pas com-pris l’Holocauste. Comme plein de gens, je sais. C’est tout simplement impos-sible à comprendre.

Une des grandes questions de « Lore », c’est comment, en tant qu’en-fant, accepter des comportements extrêmes de ses parents et com-ment les gérer. Vous avez des éléments de réponse ?

Qu’est-ce que vous ressentez lorsque vous êtes persuadé que votre père est un héros et que vous découvrez ensuite que c’est une ordure ? Est-ce que la culpa-bilité se transmet ? Comment gérer le mensonge ? Je n’ai pas d’éléments de ré-ponse. C’est tellement propre à chacun. Dans mon film, à un moment donné, la grand-mère s’énerve et dit : « Vos parents n’ont rien fait de mal. » C’est le déni absolu.

La caméra se tient au plus près des personnages. Il y a un véritable parti pris dans votre mise en scène. Pourquoi ?

Parce que ce n’est rien d’autre qu’un film subjectif. Il n’y a rien d’objectif. La ma-nière de filmer s’inscrit dans la même démarche. Mais on reste au plus près de Laura parce que c’est elle qui raconte l’histoire. Il fallait une approche tactile. Le livre, qui est basé sur une histoire vraie, a été écrit par une maman (Rachel Seiffert, NDLR). Rachel n’a jamais essayé d’être objective. Ce qu’elle a essayé de faire, c’est raconter ce que ça veut dire de grandir dans une famille comme celle-là. Au début, elle avait peur d’une adaptation filmée. Peur que l’angle n’al-lait pas être le bon. Peur qu’on fasse des Allemands des victimes.

http://www.lesoir.be/193854/article/culture/cinema/2013-02-20/%C2%AB-je-n%E2%80%99ai-toujours-pas-compris-l%E2%80%99holocauste-c%E2%80%99est-impossible-%C2%BBhttp://collectifvan.org/article.php?r=4&id=71541

RUBRIQUE EN ANGLAIS

Azerbaijan's Shocking Discovery: Money Can't Buy Every-one!  By Harut Sassounian Publisher, The California CourierSassounian's column of Feb 21, 2013 Money may help solve some problems, but does not solve them all. And some-times it backfires!  Azerbaijan is the perfect example of a filthy rich country using its billions of petrodollars to win over foreign politicians and individuals in all walks of life in an attempt to improve its shoddy image around the world. In fact, the term "caviar diplomacy" was specially coined to describe the "goodies" that Azeri offi-cials regularly and generously distribute to achieve their sinister purposes.  For example, Baku paid $5 million to Mexico City to renovate a park on condition that the statue of former President Heydar Aliyev be displayed in that prominent location. After Mexican activists became aware of this unseemly deal, the dicta-tor's statue was dismantled and unceremoniously dumped in storage.  Azeri officials are finding out that not everyone can be bought and there still are some honorable people in this world who cannot be bribed! One such person with impeccable integrity is Peter Savodnik of the New York Times. Earlier this month, the American journalist was invited to Baku by Ibrahim Ibrahimov, an Az-eri multi-billionaire, in order to get the New York Times to write a puff piece on his gargantuan construction project.  Unimpressed by the excesses of the nouveau riche Azeri oligarch, Savodnik wrote a scathing article ridiculing Ibrahimov's grotesque vision. Here are brief excerpts from the reporter's lengthy article:  Ibrahimov is planning to build "a sprawling, lobster-shaped development called Khazar Islands -- an archipelago of 55 artificial islands in the Caspian Sea with thousands of apartments, at least eight hotels, a Formula One racetrack, a yacht club, an airport and the tallest building on earth, Azerbaijan Tower, which will rise 3,445 feet. When the whole project is complete 800,000 people will live at Khazar Islands, and there will be hotel rooms for another 200,000. It will cost about $100 billion."  

Savodnik reports that the day before he arrived in Azerbaijan, Ibrahimov's repre-sentative flew to Moscow to hand-deliver a book and DVD on the Khazar Islands project. Once in Baku, the journalist was struck by the oligarch's lavish lifestyle -- "sitting in the back seat of a black Rolls-Royce as it tore across island No. 1 of his soon-to-be built archipelago. Nigar Huseynli, his 23-year-old assistant, was sitting up front in a black and white floral-print skirt, black tights and rectangular black sunglasses. She seemed to be vaguely worried, always. She wore a great deal of perfume that, she said, came from Italy. "When he's in Azerbaijan," Huseynli said, "Mr. Ibrahimov always drives in his black Rolls-Royce. In Dubai, he has a red one". Sporting "blue Stefano Ricci crocodile-skin shoes that matched his blue Stefano Ricci jeans, blue Zilli jacket and blue Zilli button-down shirt," Ibrahimov told Savodnik that the Azerbaijan Tower would definitely be in Guinness World Records. If the Saudis or Emiratis or anyone anywhere tried to build a bigger building, Ibrahimov said he would then build an even bigger one!  Savodnik writes that the Azeri oligarch described Pres. Ilham Aliyev, the Boss of All Bosses, as "a great supporter, an ally, the son of the savior of the people of Azerbaijan." When the NY Times reporter asked Ibrahimov "about other features of his regime: the lack of transparency, the lack of civil liberties, the detention of opposition activists," his response was typical of all oligarchs: "I don't know any-thing about politics."  The American journalist boldly slammed both Ibrahimov and his country: Azer-baijan "builds nothing that the rest of the world wants and has no internationally recognized universities. It does, however, have oil." In a follow up article, Savod-nik concluded: "Underneath all the glass and steel and neon lights, it [Azerbai-jan] is still an authoritarian state."  This is not the first time The New York Times has published an expose of Azer-baijan. In an October 27, 2003 editorial, the newspaper wrote: "Ilham Aliyev, businessman, playboy and novice politician, received a nice gift from his father -- the country of Azerbaijan. Heydar Aliyev had ruled Azerbaijan almost continu-ously for 34 years, first as an agent of the Soviet Politburo and then as an auto-crat in his own right. When he became too ill to continue, he anointed his son to run for president in his place. Ilham Aliyev ran a rigged campaign, using all the powers of the state, and then celebrated his victory by arresting most of the op-position."  The New York Times concluded its scathing editorial by urging the United States to keep Pres. Aliyev "at arm's length and avoid repeating the unfortunate history of supporting autocrats who sit atop oil riches." Regrettably, this warning went unheeded by successive US administrations.

Azerbaijan Is Rich. Now It Wants to Be Famous.Ibrahim Ibrahimov, left, with one of his deputies.

By PETER SAVODNIK

Published: February 8, 2013 146 Comments

In March 2010, Ibrahim Ibrahimov was on the three-hour Azerbaijan Airlines flight from Dubai to Baku when he had a vision. “I wanted to build a city, but I didn’t know how,” Ibrahimov recalled. “I closed my eyes, and I began to imagine this project.” Ibrahimov, one of the richest men in Azerbaijan, is 54 and has a round, leathery face with millions of tiny creases kneaded in his brow and the spaces beneath his eyes. He walks the way generals walk when they arrive in countries that they have recently occupied. In the middle of his reverie, Ibrahi-mov summoned the flight attendant. “I asked for some paper, but there wasn’t any. So I grabbed this shirt in my bag that I hadn’t tried on. I took the tissue pa-per out, and in 20 minutes I drew the whole thing.” Once he arrived in Baku, Ibrahimov went straight to his architects and said, “Draw this exactly the way I did.” Avesta Concern, the company that governs his various business interests, subsequently commissioned the blueprints for Ibrahi-mov’s vision. The result will be a sprawling, lobster-shaped development called Khazar Islands — an archipelago of 55 artificial islands in the Caspian Sea with thousands of apartments, at least eight hotels, a Formula One racetrack, a yacht club, an airport and the tallest building on earth, Azerbaijan Tower, which will rise 3,445 feet. When the whole project is complete, according to Avesta, 800,000 people will live at Khazar Islands, and there will be hotel rooms for another 200,000, total-ing nearly half the population of Baku. It will cost about $100 billion, which is more than the gross domestic product of most countries, including Azerbaijan. “It will cost $3 billion just to build Azerbaijan Tower,” Ibrahimov said. “Some people may object. I don’t care. I will build it alone. I work with my feelings.” It’s not surprising that Ibrahimov, who plans to live in the penthouse of Azerbai-jan Tower, had his epiphany on a flight from Dubai. The vision behind Khazar Is-lands, after all, is not a vision so much as a simulacrum of a vision. The fake is-lands, the thousands of palm trees and the glass and steel towers — many of which resemble Dubai’s sail-shaped Burj Al Arab hotel — are all emblems of the modern Persian Gulf petro-dictatorship. And two decades after the collapse of the Soviet Union — its final custodian during 23 centuries of near-constant occu-pation — Azerbaijan could be accused of having similar ambitions. The country, which is about the size of South Carolina, has 9.2 million people and is cut off from any oceans. It builds nothing that the rest of the world wants and has no in-ternationally recognized universities. It does, however, have oil. In 2006, Azerbaijan started pumping crude from its oil field under the Caspian Sea through the new Baku-Tbilisi-Ceyhan pipeline. Now, with the help of BP and other foreign energy companies, one million barrels of oil course through the pipeline daily, ending at a Turkish port on the northeastern corner of the Mediterranean Sea. This makes Azerbaijan a legitimate energy power (the world’s leading oil producer, Saudi Arabia, produces 11 million barrels every day) with a great deal of potential. If the proposed Nabucco pipeline, running from Turkey to Austria, is built, Azerbaijan would become a conduit for gas re-serves, linking Central Asia to Europe. This could strip Russia, which sells the Eu-

ropean Union more than a third of the gas it consumes, of one of its most potent foreign-policy levers. It could also generate billions of dollars every year for Azerbaijan, which between 2006 and 2008 had the world’s fastest-growing econ-omy, at an average pace of 28 percent annually. Sitting on a couch in the temporary headquarters at the construction site of his future city, Ibrahimov mulled the possibilities. The headquarters, which looks like a very modern log cabin, features a big conference table, flat-screen televi-sions, a bar, pretty assistants and a dining table that is always set. There is a gargantuan portrait of the president of Azerbaijan, Ilham Aliyev, hanging from a wall, next to the bar. Spread out on the conference table were blueprints for Khazar Islands, which looked like battle plans. Men in leather jackets picked from crystal bowls filled with nuts and dried fruit and caramels in shiny wrap-pers. Ibrahimov had slept five hours, he said, but was not tired. He started the day with an hourlong run, followed by a dip in the Caspian Sea, followed by a burst of phone calls over breakfast, followed by meetings with some people from the foreign ministry, then the Turks, then his engineers and architects. Now, while sipping tea, Ibrahimov’s attention was back on Khazar Islands, which he insisted was not modeled after Dubai. “Dubai is a desert,” he said. “The Arabs built an il-lusion of a country. The Palm” — a faux-island development in Dubai — “is not right. The water smells. Also, they built very deep in the sea. That’s dangerous. The Palm is beautiful to look at, but it’s not good to live in.” Ibrahimov paused and took a sip of tea. The tiny creases of his face bunched up under his eyes, which looked off into the distance, out the tiny window of the faux log cabin, toward the construction site. He said that he was put off by the inorganic feel of Dubai, the sense that it was so . . . ephemeral. “Everything,” he said dismissively, “is artificial.” Few countries have come as far in mastering the art of geopolitics as Azerbai-jan. After being occupied by Cyrus the Great, Alexander the Great, the Seljuks, the Mongols, the Persians, the Russians, the Ottomans and, finally, the Soviets, Azerbaijan, which achieved its independence in 1991, has cultivated relation-ships with the United States and many European countries and deepened rela-tions with Russia and key Central Asian “stans.” These days, Azerbaijan, which is overwhelmingly Muslim, buys advanced weapons systems from Israel in return for oil. A new member of the United Nations Security Council, the country sided with the United States against Russia last year on a resolution condemning Syria. “This is a very small country on a very significant piece of real estate,” says Matthew Bryza, the former U.S. ambassador to Azerbaijan. “Azerbaijan pur-sues a very realpolitik policy.” In the old days, they came for geography (Azerbaijan is perched on the Caspian). About a century ago, they started coming for oil. Then, after the Soviet Union collapsed, the energy sector became a source of enormous wealth. Now Azerbaijan is trying to take advantage of that wealth. As such, Avesta’s sales and marketing team recently produced a gleaming 101-page coffee-table book in a gilded box promoting Khazar Islands. It features photographs of men in Ital-ian suits and women with pouty faces; everyone drinks wine and is on a ciga-

rette boat or in a Mercedes convertible. There’s also a video that shows com-puter renderings of Khazar Islands in the not-too-distant future. The video lasts 5 minutes 6 seconds and includes an image of a make-believe skyline at night and another of Ibrahimov on a cellphone in front of a private jet, even though, he conceded, he doesn’t own one. Two things about the video are striking. First, there isn’t any information about asking prices, square footage, move-in dates or why anyone would want to live in Baku. And then there’s the soundtrack, which is a synthesized blast of violins, harps, horns and snare drums that makes you feel as if you’re riding a stallion in the desert in the 1980s. The day before my three-hour flight from Moscow to Baku last spring, Avesta’s sales and marketing director at the time, Kenan Guluzade, flew to the Russian capital to hand-deliver the book and DVD to me at a Starbucks. Guluzade said he had to be in Russia anyway, but he was also worried that, as a journalist, I might not get into Azerbaijan. Guluzade came with his assistant and his father, who sported an elegant, silk scarf and a tailored jacket. Guluzade spoke quickly, in English. “It’s really nice to feel attention to our construction project,” he said, and then he handed me a fancy shopping bag with the DVD and the book. His father sipped a latte. “The new Baku is stunning,” his father said. Then Guluzade said: “This is true. It’s amazing what is happening.” When I arrived in Baku, the first of the Khazar Islands had already been plunked down, and the first few apartment buildings were going up. The entrance fea-tured a menacing, falconlike archway. Boulevards and traffic circles had been paved, and there were long strips of palm trees — “Mr. Ibrahimov loves palm trees,” Nigar Huseynli, Ibrahimov’s assistant, said — and everywhere there seemed to be mounds of earth and retaining walls and the concrete outlines of future cineplexes and shopping malls. Amrahov Hasrat, who was the chief engi-neer at Khazar Islands, told me that 200 trucks brought in rocks every day from a bluff eight miles away. “We are destroying the mountain,” Hasrat said, point-ing off into the distance in the direction of a hill, “and taking the rocks back to the sea to build the artificial islands.” In some ways, though, reality is already taking shape. When Guluzade met me in Starbucks, 96 apartments had been sold. Two days later, that figure inched up to 102. Now, it’s 136. The asking prices run from about $280 to $460 per square foot, meaning a typical 1,076-sqare-foot apartment at Khazar Islands starts around $300,000. Ibrahimov expects geometric growth after 2015, when they’re scheduled to break ground on Azerbaijan Tower. Western financial analysts and real estate developers are understandably skep-tical. For one thing, there’s President Ilham Aliyev’s regime, which opposes polit-ical competition and other reforms that would diversify its economy and spur the long-term growth needed for this kind of mega-project. There’s the fact that no one has ever tried anything this ambitious in Azerbaijan. Finally, this is a rough neighborhood. The conflict in Nagorno-Karabakh, an autonomous region within the country, raged between Azerbaijan and Armenia from 1988 to 1994 and has never really been resolved. Russia could invade Georgia, as it did in 2008. There’s the chance of an American or Israeli strike on Iran, Azerbaijan’s southern

neighbor. Last month, riots raged for two days in Azerbaijan as people protested local corruption in Ismayilli. Yet Ibrahimov, sitting behind the blueprints in his log cabin, remained extremely optimistic. Azerbaijan, with its new money and undeveloped coastline, offers “biznessmen” from the former Soviet Union — a group that might be defined as importers, exporters, government officials who dabble in the private sector, peo-ple who aspire to be Ibrahim Ibrahimov — an affordable nearby playground. As of late 2011, according to WealthInsight, a market research provider, there were nearly 160,000 so-called high-net-worth individuals in Russia alone, with a com-bined worth of nearly $1 trillion. Even Turkmenistan, the North Korea of the for-mer Soviet Union, is building a luxury development, Avaza, which also has fake islands and reportedly will cost $5 billion and sit on the Caspian’s eastern flank. It was crucial, Ibrahimov told me, to visualize what everything will look like in 2022, when Khazar Islands is supposed to be finished. He pointed outside the small window, to the sea. “That is where it will be,” he said, referring to Azerbai-jan Tower. “In the water. Can you see it?” Some in Baku already can. Indeed, the most crucial factor underpinning the project is that President Aliyev’s regime seems to want Khazar Islands built. Ilgar Mammadov, chairman of the pro-democracy Republicanist Alternative Move-ment, characterized Khazar Islands as an inexorable beast. The country’s inter-national strategic monetary reserves are now more than $46 billion, Mammadov said, and in 10 years, as oil and gas revenue rise, they could be near $150 bil-lion. “Azerbaijan has the capacity to build the tallest building,” Mammadov said, a hint of lamentation in his voice. “That’s not in doubt. We will create this big building, and then it will, by itself, by the very mere fact of its existence, bring cash. How will that work? Nobody knows.” Ibrahimov was sitting in the back seat of a black Rolls-Royce as it tore across island No. 1 of his soon-to-be built archipelago. Nigar Huseynli, his 23-year-old assistant, was sitting up front in a black and white floral-print skirt, black tights and rectangular black sunglasses. She seemed to be vaguely worried, always. She wore a great deal of perfume that, she said, came from Italy. “When he’s in Azerbaijan,” Huseynli said, “Mr. Ibrahimov always drives in his black Rolls-Royce. In Dubai, he has a red one.” Before I arrived in Baku, Huseynli tried to convey just how much power Ibrahi-mov wields in his country. But it wasn’t obvious until I landed at Heydar Aliyev International Airport and showed the passport-control officers a letter from Huseynli stating that I would be meeting with Ibrahimov. The letter included Ibrahimov’s name and signature at the bottom, and it seemed to frighten, shock and amaze all at once. A crowd of guards and customs agents gathered around and stared in silence. Ibrahimov seems to be vaguely aware of the numinous glow that envelopes him. He is supremely concrete, focused on things like buildings, cars, hand-held de-vices, jeans or which country he’d like to be in right now, but in a manner that suggests he can have whichever of those things he desires most. As the Rolls sped past large knots of men in hard hats and jumpsuits, he sent text messages and juggled cellphones. His son called. Then the Qatari ambassador. Then some-

one who annoyed him. A television screen positioned three feet in front of the seat that Ibrahimov always sits in blared music videos, and some girl group was singing a two-minute riff called “Take Me Away.” Ibrahimov, who sported blue Stefano Ricci crocodile-skin shoes that matched his blue Stefano Ricci jeans, blue Zilli jacket and blue Zilli button-down shirt, tapped his foot arrhythmically. Every time I started to ask a question or he started to answer, there was a call or an incoming message. Occasionally Ibrahimov said something random that could be mistaken for something profound: “I live very simply,” or “My favorite places are France and Turkey.” When Ibrahimov talks about himself, he hews to platitudes about, say, family (“it is important”) or how to get ahead in ex-communist countries (“instinct”). They are lessons he seems to have internalized. Ibrahimov was born in a village in the Nakhichevan Autonomous Republic, a sliver of Azerbaijan wedged between Ar-menia and Iran. He has four brothers and two sisters. He called his father a “good Soviet” and a major influence in his life, but some suspect that Heydar Aliyev, Azerbaijan’s previous president, played a more important role. Aliyev, a former Politburo member, also came from Nakhichevan. In 1991, he be-came de facto leader of the autonomous republic, just as the Soviet Union was falling apart and Ibrahimov was starting his first business, a limited-liability cor-poration called Ilkan. It’s unclear what Ilkan made or sold — Ibrahimov said only that he made his first million, in 1992, in the furniture business — but in the early ’90s, according to Avesta company literature, Ibrahimov built a three-story headquarters for Ilkan in Nakhichevan, which would probably have been very hard without support from someone powerful. Then, in 1993, Aliyev became president of Azerbaijan, and in 1996, Ibrahimov began Avesta. “Mr. Ibrahimov has always had very good relations with the government,” Guluzade, Khazar Is-lands’ former marketing director, told me. Today Avesta oversees Ibrahimov’s many smaller companies. Some of these companies do things that seem to actually support Ibrahimov’s larger, develop-ment-related projects (building things, hauling equipment, clearing debris). Oth-ers, like the Azerbaijan-Iran Gunel Joint Enterprise, suggest more political inter-ests. Opposition figures say that Ibrahimov owes much of what he has to the Aliyev family, but when I asked Ibrahimov about this, he shrugged. He said Avesta is not only a corporation but also a philanthropy, building water pipelines and mosques for poor villagers. He called Heydar Aliyev, who died in 2003, his inspiration, and he made a point of saying, more than once, that he likes Aliyev’s son, the current president, very much and thinks that he is guiding his country toward a more glorious and profitable future. As Ibrahimov spoke, the Rolls trundled over an unpaved road. He maintained, al-ways, the outlines of a barely discernible grin, and every few seconds he would point at something that wasn’t there but he could already see perfectly, that had been part of his vision. The Azerbaijan Tower, he proclaimed, would defi-nitely be in Guinness World Records, and if the Saudis or Emiratis or anyone anywhere tried to build a bigger building, then he would build an even bigger one.

I asked him if there was anything Freudian about all these skyscrapers. He didn’t reply. Then suddenly, Ibrahimov blurted a series of unprompted factoids in his faux-profound style. First, “One hundred and fifty bridges are planned for Khazar Islands.” Then, in what seemed like a reference to his love of yachts: “Today the Caspian is only used for oil, but it’s not right.” Huseynli pointed at a cluster of re-cently planted palm trees. This seemed to cheer him up. On some level, there is an economic logic behind building the tallest, biggest, brashest building anywhere. The rise of superdevelopments in cities like Doha, Riyadh, Kuala Lumpur, Shanghai — and, of course, Abu Dhabi and Dubai — sent signals to investors that the state supported growth. Usually, these sorts of de-velopments attract the attention, first, of regional investors who know the local topography, which Khazar Islands has already done. “They’re coming from Rus-sia, Ukraine, Georgia, the Arabic countries and especially from Israel,” Guluzade told me. Next are the more skeptical international investors that Ibrahimov is hoping to impress. Hence the Azerbaijan Tower. “The investor is faced with this battery of choices,” explained Brian Connelly, a strategic-management professor at Auburn University’s College of Business. “But there are things they can’t see, so they’re looking for a signal that tells them this is good for them. If I can see that there’s the tallest building in the world, I know the host-country institutions are behind them.” Riding around in the Rolls, I couldn’t tell whether Ibrahimov was indeed a bril-liant strategist or someone who just had the capital to create a vision on a piece of tissue paper and turn it into a construction project. Or perhaps both. As we neared the site of what will be the ritziest restaurant at Khazar Islands, he be-came very excited. The concrete and aluminum skeleton of the restaurant re-sembles a Viking helmet, and when it’s done, it will include a microbrewery, which Ibrahimov mentioned two or three times. “We have a guy from Austria,” he said. Nearby, there were more men in hard hats and jumpsuits, and trucks carting rocks. “In my head,” he said, “this project is already done.” Ibrahimov is not the only developer in Baku, and Khazar Islands is not the only major development. Flame Towers, which features three flamelike towers, in-cludes a five-star hotel and, at night, will be lighted in red. The Heydar Aliyev Center, designed by Zaha Hadid, includes a museum and looks a little like the starship Enterprise. Baku White City will encompass 500-plus acres of new apartments and parking lots and is supposed to be the opposite of Black City, where the oil barons built their refineries a century ago. Finally, there’s Crystal Hall, a 23,000-seat arena overlooking the Caspian. Nearly three years after Ibrahimov’s initial vision on the Azerbaijan Airlines flight, Khazar Islands has grown to 4 fake islands, 1 bridge and 13 apartment buildings. All this development can feel a bit weird, or at least incongruous. As the Rolls careered through the outskirts of Baku, Ibrahimov became quiet. Unlike the United Arab Emirates, which was, until recently, a desert, Baku has a rich ar-chitectural history, with centuries-old mansions, mosques, palaces, squares and esplanades. (Some sites date to at least the seventh century.) Baku has a grace and cosmopolitanism; it feels like an amalgam of Paris and Istanbul, albeit dustier. It also feels like a gateway to the East, distant places, mythologies and many other things that the new Azerbaijan doesn’t have much appetite for. I in-

terpreted Ibrahimov’s silence as a sign of melancholy, but in the front seat, Huseynli, who was fielding calls on two or possibly three cellphones, each with its own hip-hop ring tone, turned around excitedly. Glancing at the beige fa-cades, the narrow streets, the old women selling apricots and nuts and pirated DVDs, she said: “All of this soon will be gone. Then we will have a new city. I like the old, of course, the historic. . . . But this will be gone, and then it will be a dif-ferent country.” When we pulled up to the Avesta Concern Tower, in central Baku, several men in tweed jackets were assembled on the curb and ready to escort us inside. After lunch in Ibrahimov’s private dining room, we decamped to the office and sat on a red silk divan with miniature Sphinx armrests. Ibrahimov pointed out his arti-facts: his desk, which, he said, is Spanish and the same kind used by Vladimir Putin; a chess set from Italy; a sculpture of his father. Ibrahimov segued back to Ilham Aliyev, the Boss of All Bosses, whom he called a great supporter, an ally, the son of the savior of the people of Azerbaijan. I asked him about other features of his regime: the lack of transparency, the lack of civil liberties, the detention of opposition activists. Ibrahimov said what oli-garchs have been saying since Mikhail Khodorkovsky, the Russian industrialist, was exiled to Siberia in 2003: “I don’t know anything about politics.” But “biz-nessmen” are much more intimately woven into the political fabric of Russia or Azerbaijan than C.E.O.’s in the West. They may wear crocodile-skin shoes, but they rely on the state for pipelines and extraction rights. Ibrahimov, like other successful men in this part of the world, knows his place, and he knows it is best to be philosophical about these things. “Don’t ask me about politics,” he said. “I’m afraid I’ll make a mistake. This is not what I’m good at. This is not what I do.” Then his semismile semiwidened, and he started talk-ing about his next big idea, which features more stratospheric buildings and su-perlong canals and eight-star hotel-palaces and heliports and yacht clubs. He was sure all these things could be done. He knew it. There were important peo-ple — “political people,” he said — who support him. Peter Savodnik is the author of “The Interloper,” a book about Lee Harvey Os-wald in the Soviet Union, to be published in October.Editor: Jon Kellyhttp://www.nytimes.com/2013/02/10/magazine/azerbaijan-is-rich-now-it-wants-to-be-famous.html?pagewanted=all

Israel wants justice for Khojaly

15 February 2013 - 8:47am  Pyotr Lukimson, Israel. Exclusively to Vestnik Kavkaza 

From February 25, the Diaspora Museum in Tel Aviv will hold an exhibition "Jus-tice for Khojaly" dedicated to the mass murder of the people of this town of Azerbaijan by Armenian militants on February 26, 1992. The Diaspora Museum is one of the largest and most famous museums in Israel and, at the same time, the country's leading research center for the study of Jewish history in the Dias-pora. "We have been trying to convey to the Israeli public the truth about the Khojaly tragedy and about the Karabakh conflict as a whole, but the exhibition at the Di-aspora Museum is, of course,  a new level," says CEO of the International Associ-ation "Azerbaijan-Israel "(" Aziz ") Lev Spivak. "It is a museum and research cen-ter of international importance, the activity of which always has wide coverage in the Israeli media and attracts wide attention. I am convinced that this exhibi-tion will not go unnoticed by Israelis. We, for our part, will do everything possi-ble." The photograph exhibition will be accompanied by an evening for the victims of the Khojaly tragedy, which, as expected, will be attended by the Chairman "Aziz", the former Knesset member Alex Miller, a former Israeli deputy defense minister and longtime friend of Azerbaijan, Ephraim Sneh, and a number of cur-rent ministers and Knesset members. An Azerbaijani delegation, which will arrive at the opening of the exhibition, is currently being formed, but we already know that it will include a number of deputies of the Milli Majlis (the Azerbaijani parliament) and prominent public fig-ures of the country. According to rumours circulating in Israel, the Armenian community in the coun-try will hold a protest near or at the museum. However, it seems the organizers are not worrying about this. "We are ready for such action, and we believe that in the end it will only benefit business," Lev Spivak says. "We are ready to discuss it and say to our oppo-nents: you protest? You insist that the claims about the Khojaly tragedy are "lies of Azerbaijan?" Well, let's hold a conference at Tel Aviv University, invite histori-ans, journalists, witnesses of the tragedy and talk. However, I believe there will be no dialogue because such a conference will present fact which cannot be de-nied."http://vestnikkavkaza.net/articles/culture/37084.html

Peacekeepers will intensify woes in Karabakh: Iran envoy

Thu Feb 21, 2013 6:12AM GMT

Iran’s Ambassador to Baku Mohsen Pak-Ayeen has warned against the possible deployment of peacekeeping forces to Karabakh, emphasizing that the move will cause new security problems in the region.

“The deployment of peacekeeping forces to the Karabakh region is not only an ineffective measure to resolve the region’s dispute, but will create new security problems in the region,” Pak-Ayeen told IRNA on Wednesday.

He said that regional countries can present logical resolutions to the conflict, adding states and organizations outside the region have no resolve to settle the Karabakh dispute.

The Iranian envoy said, however, that the presence of peacekeeping troops in Karabakh is unlikely at the current juncture, saying the move requires certain grounds which have not been prepared yet.

Pak-Ayeen expressed Iran’s readiness to help resolve the Karabakh dispute, say-ing we are willing to fulfill our duties to settle the problem if the grounds are pre-pared.

He added that maintaining ties with the disputed sides would be an appropriate strategy for Iran, as the rotating president of the Non-Aligned Movement, to help strengthen peace and security in the region.

Both Azerbaijan and Armenia claim the territory of Nagorno-Karabakh, which is largely populated by Armenians but located in Azerbaijan.

Ethnic Armenian forces took control of the enclave, which accounts for 16 per-cent of Azerbaijan, in the early 1990s during a six-year war from February 1988 to May 1994.

The conflict left an estimated 30,000 people dead and one million others dis-placed before the two sides agreed to a cease-fire in 1994. However, a peace accord has never been signed and the dispute still remains unsettled.

Iran has on several occasions offered to mediate in the dispute.

SF/HJL/MA

http://www.presstv.ir/detail/2013/02/21/290060/iran-opposed-to-karabakh-pea-cekeepers/

TWITTER – AU FIL DU BOSPHORE

Twitter – Au fil du Bosphore – VIVous n’êtes pas un pro des ressources du web ? Le Collectif VAN vous propose de suivre ici régulièrement certaines infos postées sur Twitter par Guillaume Perrier (correspondant du journal Le Monde à Istanbul) et ses abonnés.

http://twitter.com/#!/Aufildubosphore

Accès à Twitter – Au fil du Bosphore http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=62603

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=71503

DOSSIERS PERMANENTS

Observatoire du Négationnisme du Collectif VANRécapitulatif des principaux faits et articles négationnistes relevés depuis 2006.

http://www.collectifvan.org/article.php?id=21105

Les éphémérides du Collectif VAN (1ère partie)

Les éphémérides du Collectif VAN (2ème partie)

La rubrique "Ephéméride" du Collectif VAN a été lancée le 6 décembre 2010. Elle recense la liste d’événements survenus à une date donnée, à différentes époques de l’Histoire, sur les thématiques que l’association suit au quotidien. L’éphéméride du Collectif VAN repose sur des informations en ligne sur de nombreux sites (les sources sont spécifiées sous chaque entrée).

"Dossier Zarakolu" mis à jour sur le site du Collectif VANInfo Collectif VAN - www.collectifvan.org - Retrouvez sur le site du Collectif VAN toutes les informations sur le Dossier Ragip Zarakolu, éditeur, journaliste, militant des droits de l'homme en Turquie, arrêté à Istanbul le vendredi 28 octobre 2011 avec la sociologue Busra Ersanli, inculpé comme elle le mardi 1er novembre 2011 d'«appartenance à un groupe terroriste armé» et actuellement incarcéré dans la prison de haute sécurité de Metris. La Turquie détient le record du nombre de journalistes emprisonnés : près de 60. «Aucun pour leurs écrits, tous pour des dossiers de terrorisme», se justifie Egemen Bagis, le ministre des affaires européennes ! Le Collectif VAN vous invite expressément à signer les pétitions internationales de soutien aux intellectuels turcs et

kurdes détenus arbitrairement en Turquie.

Trouvez le Dossier Ragip Zarakolu en cliquant ici

http://www.collectifvan.org/article.php?r=9&id=58378

Revue de Presse des dépêches AFP

Le Collectif VAN répertorie sur cette page toutes les dépêches AFP en lien avec le génocide arménien et la Turquie.

http://www.collectifvan.org/article.php?r=3&id=60725

SITES INTERESSANTS

Visitez nos liens : http://www.collectifvan.org/liens.php?r=7

RASSEMBLEMENTSEXPOSITIONS-CONCERTS-SPECTACLES-PARUTIONS

Agenda - Peuple arménien, peuple juif : les défis com-muns à venir

Agenda - Peuple arménien, peuple juif : les défis communs à venir - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous an-nonce la conférence organisée par le Bureau Français de la Cause Ar-ménienne sur le thème " Peuple arménien, peuple juif : les défis com-muns à venir" avec Richard Prasquier, Président du Conseil Représen-tatif des Institutions Juives de France (CRIF), le jeudi 21 février à 20h à la Maison de la Culture Arménienne de Paris, 17 rue Bleue 75009 Paris

Publié le 18 février 2013

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BFCA

Conférence organisée par le Bureau Français de la Cause Arménienne

sur le thème " Peuple arménien, peuple juif : les défis communs à venir"

Jeudi 21 février à 20h

à la Maison de la Culture Arménienne de Paris

17 rue Bleue 75009 Paris

Invité: Richard Prasquier, Président du Conseil Représentatif des Institutions Juives de France (CRIF)

Conférence animée par Frédéric Encel, Maître de conférence à Sciences-Po Paris et Professeur de relations internationales à l'ESG Management School

Entrée libre

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Maison de la Culture Arménienne de Paris 17 rue Bleue 75009 Paris

metro Ligne7 Cadet < à 300 m metro Ligne7 Poissonniere < à 300 m metro Ligne7 Le Peletier < à 500 m metro Ligne12 Notre-Dame de Lorette < à 800 m metro Ligne12 Saint-Georges < à 800 m metro Ligne4 Chateau d'Eau > 800 m

http://collectifvan.org/article.php?r=5&id=71453

Agenda - Arsène Tchakarian, résistant du groupe Manou-chian, sur France2

Agenda - Arsène Tchakarian, résistant du groupe Manouchian, sur France2 -Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le jeudi 21 fé-vrier 2013 à 07h50 sur France 2 dans l’émission Télé Matin « Les quatre vérités », Roland Sicard reçoit Arsène Tchakarian et Hélène Kos-séian qui présenteront leur dernier livre Les Commandos de l’Affiche Rouge, sur la résistance et le groupe Manouchian.

Publié le 18 février 2013

France 2

21 février 2013 à 07h50

l’émission Télé Matin « Les quatre vérités »

Roland Sicard reçoit Arsène Tchakarian et Hélène Kosséian qui présenteront leur dernier livre

Arsène Tchakarian, Hélène Kosséian-Bairamian

Les Commandos de l'Affiche rouge

La vérité historique sur la première section de l'Armée secrète. Cet ouvrage fait découvrir de l'intérieur un réseau secret structuré et parfaitement organisé, pilo-té de Londres par l'Intelligence Service et le BCRA (Bureau Centrale de Rensei-gnements et d'Action) du général De Gaulle.

En résumé

Fin 1942. Dans Paris occupé par les Allemands, l'ouvrier poète Missak Manou-chian prend la tête d'un groupe de jeunes juifs, hongrois, polonais, roumains, es-pagnols, italiens, arméniens, déterminés à combattre pour libérer la France. Dans la clandestinité et au péril de leur vie, les membres de ce groupe vont monter une véritable armée secrète et devenir des héros.

Leurs actions vont harceler nazis et collaborateurs. La police française va se dé-chaîner : filatures, dénonciations, chantages, tortures... Et finir par les arrêter.

Écrit par Arsène Tchakarian, dernier survivant de cette formation et compagnon de la première heure de Missak Manouchian, en collaboration avec Hélène Kos-séian, Les Commandos de l’Affiche rouge est un témoignage vrai et sans détour.

Date de parution 07 Mai 2012

Collection Histoire

Nombre de pages 320

Format 15 x 24 cm

EAN 9782268074061

ISBN 978-2-268-07406-1

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Arsène Tchakarian

Arsène Tchakarian est un résistant français membre des FTP-MOI né en 1916 en Turquie d'une famille arménienne qui fuira le pays pour la Bulgarie, puis la France en 1930. Suite à sa participation aux manifestations du Front populaire, il adhère à la CGT, où il rencontre Missak Manouchian. Engagé dans l'armée française, il est démobilisé en 1940 et entre dans la Résistance. Il participe à des distributions de tracts, actions militaires ou de sabotage. Après l'arrestation de Missak Ma-nouchian, il rejoint le maquis du Loiret et participe à la libération de Montargis. À partir de 1950, il devient historien, membre de la Commission des Fusillés du Mont-Valérien et chargé de recherches auprès du ministère de la Défense.

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Hélène Kosséian-Bairamian

Hélène Kosséian-Bairamian est journaliste et écrivain. Elle a collaboré, entre autres, au magazine de l’Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, à France-Ar-ménie, puis aux Nouvelles d’Arménie Magazine. Coauteur du documentaire Ar-ménie, La Renaissance réalisé par Robert Kéchichian, elle publie aujourd’hui son premier livre aux côtés d’Arsène Tchakarian.

Ecoutez ou réécoutez également :

http://www.franceinter.fr/emission-le-grand-entretien-archives-2011-2012-ar-sene-tchakarian

http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=71427

Agenda - IFRI ce jeudi : Conférence de Egemen Bağış (MAE Turquie)

Agenda - IFRI ce jeudi : Conférence de Egemen Bağış (MAE Turquie) - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org - Dorothée Schmid, res-ponsable du progamme Turquie contemporaine, organise une confé-rence de Egemen Bağış, ministre des Affaires européennes de la Répu-blique de Turquie ce jeudi 21 février de 9H30 à 11H00 au siège de l'IFRI Paris sur le thème : "La Turquie pour une nouvelle Europe". Egemen Bağış, qui s'exprimera en anglais, est le ministre qui avait justifié le re-cord mondial de la Turquie concernant l'emprisonnement de journa-listes, en ces termes : « Aucun pour leurs écrits, tous pour des dossiers de terrorisme ». Retrouvez le dossier complet sur les arrestations et les procès de l'éditeur Ragip Zarakolu sur le site du Collectif VAN.

Publié le 19 février 2013

Ifri

21-02-2013

Conférence de Egemen Bağış, ministre des Affaires européennes de la République de Turquie - Jeudi 21 février de 9H30 à 11H00

La Turquie pour une nouvelle Europe

Conférence-débat avec Egemen Bağış, ministre des Affaires européennes de la République de Turquie.

Présidence : Dominique David, directeur exécutif, Ifri

Il s’exprimera en anglais.

La Turquie a entamé les négociations pour adhérer à l’Union européenne en oc-tobre 2005. La lenteur du processus, aujourd’hui presque au point mort, sou-ligne à la fois son importance et les blocages qu’il suscite du côté européen. La Turquie est surtout un grand pays, soucieux de sa souveraineté, et dont le dyna-misme démographique et les bonnes performances économiques contrastent avec la situation présente de l’UE. Quelle est aujourd’hui la motivation des Turcs à faire partie de l’Union ? Quel projet la Turquie défend-elle pour l’Europe de de-main ?

Egemen Bagis est ministre des Affaires européennes de la République de Tur-quie, négociateur en chef auprès de l’Union européenne.

Contact : [email protected]

Lieu : ifri, Paris Organisateurs : Dorothée Schmid, responsable du progamme Turquie contempo-raine

Inscription

Institut Français des Relations Internationales (Ifri)

27 rue de la Procession ♦ 75740 Paris Cedex 15 ♦ France [email protected]

Plan d'accès cliquez ici

Pour accéder au 27 rue de la Procession à Paris:

Métro : station Volontaires, ligne No 12 Autobus : lignes 39, 48, 70, 88, 89, 95 Train : Gare Montparnasse Voiture : depuis la Porte de Versailles, prendre la rue de Vaugirard

http://www.ifri.org/?page=detail-contribution&id=7557

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=71474

Agenda - 21 février/Nantes : le documentaire « Mémoires tsiganes, l’autre génocide »

Agenda - 21 février/Nantes : le documentaire « Mémoires tsiganes, l’autre génocide » - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org - Jeudi 21 février 20h 45 le documentaire « Mémoires tsiganes, l’autre géno-cide » au cinéma le Concorde, soirée spéciale en partenariat avec le Co-mité local du MRAP Nantes.

Publié le 21 février 2013

Ouest-France

jeudi 21 février 2013

Mémoires tsiganes, l’autre génocide est le premier documentaire qui retrace l’histoire oubliée de la persécution des Tsiganes par les nazis et leurs alliés, sur l’ensemble du continent européen.

Il combat l’idée raciste d’« un peuple nomade sans patrie » en montrant à la fois la diversité des enracinements sociaux et nationaux et les singularités des mondes romani.

Le destin de familles tsiganes européennes est raconté par des images d’ar-chives, un commentaire historique rigoureux et les témoignages des survivants..

Jeudi 21 février 20 h 45 au cinéma le Concorde, soirée spéciale en partenariat avec le Comité local du MRAP Nantes suivie d’un débat en présence d’Henriette Asséo, historienne et d’Idit Bloch, monteuse-réalisatrice, co-auteures du film.

Cinéma Concorde 79 Boulevard Egalité, 44100 Nantes http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_--Memoires-tsiganes-l-autre-genocide-ce-jeudi-soir-au-Concorde_40771-2166158-pere-pdl_filDMA.Htm

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=71538

Agenda - L'Institut du Phosphore critique la venue de Jean-Louis Debré à Issy-les-Moulineaux

Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org - L’association isséenne Collectif VAN relaye ici un Appel d’un « Institut du Phosphore », que nous avons reçu, accompagné d’une affiche explicite (insérée ici comme image et que nous joignons ci-dessous en pdf). Nous nous sommes permis de les faire suivre à M. André Santini, ancien ministre, député-maire d’Issy-les-Moulineaux, et ardent défenseur de la recon-naissance du génocide arménien et de la lutte contre sa négation. Il est en effet préoccupant qu’un homme politique comme Jean-Louis Debré - qui a œuvré ouvertement pour que le génocide arménien puisse être nié librement sur le territoire français - soit l’invité d’honneur de cette 1ère édition du Salon du Livre d'une ville comme Issy-les-Moulineaux, « ville à laquelle sont rattachées de nombreuses associations œuvrant pour la reconnaissance du génocide arménien », comme le signale le tract reçu.

Si néanmoins sa venue était maintenue, il est important que les éven-tuels candidats à une "dédicace", expriment leur désaccord avec res-pect et de manière argumentée.

Et rien n'empêche de faire dédicacer à Jean-Louis Debré, un livre "A la mémoire d'une grand-mère, rescapée du génocide arménien de 1915"...

A noter : on l'aura compris, cet Institut du Phosphore se gausse du très turcophile Think tank Institut du Bosphore, financé par la TUSIAD (le MEDEF turc).

Salon du Livre isséen : un événement à la page http://www.issy.com/index.php/culture/actualites/salon_du_livre_isseen_un_evenement_a_la_page

Appel de l’Institut du Phosphore :

Vendredi 15 février 2013

Les trois [sales] coups de Jean-Louis Debré

« Des Femen viendront-elles « réveiller » Jean-Louis Debré à la Médiathèque d’Issy-les-Moulineaux ? En effet, est-ce de la provocation, toujours est-il que nous apprenons que « l’éminent » personnage y dédicacera son nouvel ouvrage Ces femmes qui ont réveillé la France, le samedi 23 février 2013 de 15h à 18h.

Rappelons que le 4 mai 2012, en tant que Président du Conseil Constitutionnel,

Jean-Louis Debré avait déclaré non conforme la loi sur le harcèlement sexuel et l’avait immédiatement abrogée. Cette invalidation avait entraîné l’extinction im-médiate de toutes les procédures judiciaires en cours (fort heureusement, une nouvelle loi relative au harcèlement sexuel a été depuis votée puis publiée au Journal Officiel le 7 août 2012).

Les Femen, ces égéries féministes qui manifestent le torse nu, badigeonné de slogans, pourraient aussi en profiter pour manifester leur solidarité avec les femmes d’origine arménienne : ces dernières ont vu leurs droits bafoués à trois reprises au moins, par Jean-Louis Debré.

Leur mémoire, ainsi que celles de leurs mères, sœurs, grand-mères, cousines et tantes, violées, égorgées, éventrées en 1915 sur les routes d’Anatolie, durant la déportation qui aboutira à l’anéantissement du peuple arménien sur ses terres ancestrales, ont été balayées d’un revers de la main méprisant par le Président du Conseil Constitutionnel qui fait et défait les lois votées par les parlemen-taires.

Car Jean-Louis Debré a aussi invalidé, le 28 février 2012, la loi pénalisant la né-gation du génocide arménien, laissant désarmés toutes celles et ceux qui se battent pour que justice soit rendue et qui, depuis près de 100 ans, sont confrontés au négationnisme d’Etat que la puissante Turquie exporte en France.

Mais ce triste épisode de février 2012 était en fait le troisième des [sales] coups portés à la mémoire arménienne par l’homme politique.

Petit flash-back :

1] Alors Maire d’Evreux, Jean-Louis Debré est sollicité en 2006 par l’Association Normande de Solidarité avec l’Arménie (ANSA), pour inaugurer le 7 avril dans un parc de la ville, une plaque en mémoire du génocide arménien. Il accepte.

10 jours avant la cérémonie, coup de théâtre. Le responsable du service du pro-tocole de la municipalité d’Evreux annonce aux responsables de l’association ANSA : « Jamais Jean-Louis Debré n’acceptera ce texte avec une référence au génocide des Arméniens ».

Toutes les invitations officielles étant lancées et ne pouvant annuler l’événe-ment, le président de l’Association Normande de Solidarité avec l’Arménie se voit obligé de faire scier la plaque commémorative, pour faire disparaître la dé-dicace « subversive » suivante : « En hommage aux victimes du génocide de 1915 et » pour ne laisser que la seconde partie de la phrase : « A l’amitié sécu-laire entre la France et le peuple arménien ».

2] Un mois après, Jean-Louis Debré récidive : le 18 mai 2006, il lève à l’impro-viste la séance qu’il préside à l’Assemblée nationale, empêchant ainsi le vote de la loi PS réprimant la négation du génocide arménien. Un geste rarissime qui constitue ni plus ni moins un déni de démocratie.

3] Enfin, comme nous le disions plus-haut, Jean-Louis Debré invalide le 28 février 2012, en tant que Président du Conseil Constitutionnel, la loi portée par la dépu-tée UMP Valérie Boyer et visant à réprimer la contestation de l'existence des gé-nocides reconnus par la loi (et donc du génocide arménien de 1915).

Cette loi avait été votée tous partis confondus à l’Assemblée nationale le 19/12/2011 et au Sénat le 23/01/2012.

Au vu de ses précédentes prises de position, Jean-Louis Debré, Président du Conseil Constitutionnel, a-t-il pu respecter l’article 3 de l’ordonnance du 7 no-vembre 1958 qui définit les règles de fonctionnement de cette haute assemblée et exige de ses membres qu’ils « jurent » de « remplir leurs fonctions » en toute « impartialité », de « ne prendre aucune position publique » et de « ne donner aucune consultation sur les questions relevant de la compétence du Conseil » ?

Quoi qu’il en soit, M. Debré pourra s’enorgueillir d’avoir laissé le champ libre à un Etat fascisant qui - avec son allié azerbaïdjanais aux mains de la dictature du clan Aliyev - impose son négationnisme sur les territoires de la République fran-çaise. Rappelons que la loi que M. Debré a contribué à annuler avait valu des menaces de mort et de viol à la députée Valérie Boyer, preuves de la dangerosi-té des négationnistes.

Samedi 23 février 2013, de 15h à 18h, Jean-Louis Debré dédicacera son nouveau livre Ces femmes qui ont réveillé la France à la Médiathèque d’Issy-les-Mouli-neaux, ville à laquelle sont rattachées de nombreuses associations œuvrant pour la reconnaissance du génocide arménien.

Un moyen pour lui de vérifier qu’il n’est pas persona non grata dans cette muni-cipalité ? »

Institut du Phosphore - [email protected]

1er Salon du Livre isséen

Signature d’Issy de Jean-Louis Debré Samedi 23 février de 15h à 18h Médiathèque centre-ville - 33, rue du Gouverneur Général Éboué.

Métro : Mairie d’Issy.

Lire aussi :

Salon du Livre isséen : un événement à la page http://www.issy.com/index.php/culture/actualites/salon_du_livre_isseen_un_evenement_a_la_page

TÉLÉCHARGER :  Les trois [sales] coups de Jean-Louis Debré http://collec-

tifvan.org/pdf/11-50-58-18-02-13.pdf

http://institut-phosphore.blogspot.fr/2013/02/appel-de-linstitut-du-phos-phore.html

http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=71404

Agenda - Cinémathèque française : Cycle Robert Guédi-guian

Agenda - Cinémathèque française : Cycle Robert Guédiguian - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org - La Cinémathèque française vous propose les films de Robert Guédiguian du 6 au 24 février 2013. "Révé-lé par le succès de Marius et Jeannette en 1997, Robert Guédiguian est l'auteur d'une œuvre à la fois très personnelle mais aussi très particu-lière dans le cinéma français. Entouré d'une troupe d'acteurs et de col-laborateurs techniques fidèles, il enchaîne les films avec une régularité remarquable. La ville de Marseille constitue le décor de la plupart d'entre eux, théâtre d'un cinéma romanesque qui s'interroge sur les luttes de classes en France, la quête d'une émancipation collective, la fin des utopies." Robert Guédiguian à La Cinémathèque samedi 9 fé-vrier 14h30 : Film + Leçon de cinéma. « Guédiguian par Guédiguian » Leçon de cinéma animée par Serge Toubiana et Bernard Benoliel. À la suite de la projection du film Marius et Jeannette, rencontre avec le ci-néaste. 18h : Séance de signature en présence de Robert Guédiguian et des auteurs à La Librairie de La Cinémathèque française.

Publié le 05 février 2013

Cinémathèque française

Robert Guédiguian

Du 6 au 24 février 2013

LA CINÉMATHÈQUE FRANÇAISE - Musée du cinéma 51, rue de Bercy - Paris 12è Fermeture le mardi Tél. : 01 71 19 33 33 (de 12h à 19h, tous les jours sauf le mardi)

Métro Bercy - Lignes 14 et 6 Bus : n°24, n°64, n°87 En voiture : A4, sortie Pont de Bercy Parkings : 77, rue de Bercy (Hôtel All Seasons) ou 8, boulevard de Bercy.

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Calendrier des projections

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Jeudi 21 Février 2013

Dieu vomit les tièdes

France - 1989 - 100' - Avec Jean-Pierre Darroussin, Ariane Ascaride, Pierre Banderet, Gérard Meylan.

Dans une ville du sud de la France, trois garçons et une fille se jurent, à l'âge des serments, de ne jamais oublier qu'ils sont des fils de pauvres. On les re-trouve vingt ans...

Jeudi 21 Février 2013 - 19h00 - SALLE GEORGES FRANJU

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L'argent fait le bonheur

France - 1992 - 90' -

Avec Ariane Ascaride, Jean-Pierre Darroussin, Pierre Banderet, Danièle Lebrun.

Jeudi 21 Février 2013 - 21h15 - SALLE GEORGES FRANJU

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Vendredi 22 Février 2013

L'Armée du crime

France - 2008 - 125' - D'après une idée originale de Serge Le Péron. Avec Simon Abkarian, Virginie Ledoyen, Robinson Stévenin, Grégoire Leprince-Ringuet.

Dans Paris occupé par les allemands, l'ouvrier poète Missak Manouchian prend la tête d'un groupe de très jeunes juifs, Hongrois, Polonais, Roumains, Espa-gnols, Italiens,...

Vendredi 22 Février 2013 - 15h00 - SALLE JEAN EPSTEIN En présence de Jean-Pierre Darroussin

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Samedi 23 Février 2013

Mon père est ingénieur

France - 2003 - 108' - Avec Ariane Ascaride, Jean-Pierre Darroussin, Gérard Meylan.

Natacha s'imagine en Vierge Marie portant Jésus dans son ventre, sur les quais désaffectés de Marseille. Son Joseph, c'est Jérémie, son amour de jeunesse, qu'elle...

Samedi 23 Février 2013 - 14h00 - SALLE GEORGES FRANJU En présence de Christophe Kantcheff

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Dimanche 24 Février 2013

Les Neiges du Kilimandjaro

France - 2010 - 107' - Avec Ariane Ascaride, Jean-Pierre Darroussin, Gérard Meylan, Grégoire Leprince-Ringuet.

Bien qu'ayant perdu son travail, Michel vit heureux avec Marie-Claire. Ces deux-là s'aiment depuis trente ans. Ce bonheur va voler en éclats quand deux jeunes hommes armés et...

Dimanche 24 Février 2013 - 17h15 - SALLE GEORGES FRANJU

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Présentation du cycle

Robert Guédiguian, cinéaste de quartier

Ce jour-là, le 28 juillet 1980, règne une animation inhabituelle devant le café du Centre à l'Estaque, un quartier du nord de Marseille. Robert Guédiguian, 26 ans, commence le tournage de son premier film, Dernier été. Hormis Ariane Ascaride, actrice professionnelle, avec qui il s'est marié quelques années plus tôt, il a réuni devant sa caméra des comédiens amateurs. Tous sont du quartier où lui-même est né et a grandi, la plupart sont des amis. L'un d'eux, Gérard Meylan, rencontré à l'école primaire, tient le rôle principal. Le noyau de la troupe est constitué, l'Estaque forme le cadre du récit : le cinéma de Robert Guédiguian est déjà sur ses bases. On connaît la suite.

Mais, justement, la connaît-on vraiment ? Outre le fait que ses films les plus an-ciens ont été peu exposés (Ki lo sa ? ne bénéficiant même d'aucune sortie salles), les suivants ont-ils toujours été « bien vus » ? Autrement dit : l'auteur de Marius et Jeannette ne serait-il pas l'objet de représentations convenues, voire déformantes ? Robert Guédiguian cinéaste « populaire », « politique » ou « en-gagé », ces appellations, pour reprendre les plus fréquentes, même si elles ont leur part de vérité, sont aussi des clichés. Rassurant les a priori et les certitudes endurcies, elles circonscrivent un espace supposé connu que le cinéma de Gué-diguian outrepasse amplement.

Avec ses 17 films réalisés à ce jour, cette œuvre n'a en effet rien d'univoque ni d'uniforme. Que ce soit dans ses thématiques, ses partis pris formels, ou les genres dont elle s'inspire, elle prend des directions diverses. Le fait que tous ces films – exceptés Le Voyage en Arménie dans sa majeure partie, Le Promeneur du Champ-de-Mars et L'Armée du crime – aient été tournés dans un lieu unique, à Marseille, n'entre pas en contradiction avec cette richesse. Bien au contraire. Robert Guédiguian aime à se qualifier de cinéaste de quartier. De l'Estaque, donc. Mais cette désignation n'a rien d'une revendication fermée (cf. Le Voyage en Arménie sur l'identité qui se décline au pluriel). Pas de régionalisme ici, en-core moins de pittoresque. Le quartier, c'est là où l'on vit ensemble. On y tra-vaille, on y élève sa famille, on s'y entraide, on y est heureux ou malheureux. Bref, c'est un endroit particulier où se vivent des choses universelles. Du local au global. De l'intime au collectif. L'image emblématique est celle du générique de Marius et Jeannette quand le globe terrestre entre dans le port de l'Estaque.

Ainsi, le cinéma de Robert Guédiguian n'offre pas seulement plusieurs visages. Ses films portent en eux des dimensions différentes qui se complètent, d'appa-rentes oppositions qui se répondent. Leur composition même, leur logique in-terne se nourrissent de cette complexité, qui conduit à une cohérence, non à un hétéroclisme. Un exemple : si le cinéaste se fonde sur un socle documentaire so-lide, c'est-à-dire sur la connaissance intime d'un quartier et de sa population ou-vrière, il est gourmand de romanesque, prodigue en fiction, et n'hésite pas, quand il le juge utile, à s'écarter du réalisme. Le cinéma de Guédiguian est sans doute l'un des plus ouverts qui soient, l'un des moins dogmatiques, l'un des plus dialectiques.

Les héros du quotidien

Il s'organise cependant autour d'un axe permanent, incorruptible et singulier : son point de vue. C'est-à-dire le regard que pose le cinéaste sur ses person-nages : des ouvriers, des chômeurs, des employés, des femmes célibataires, des laissés-pour-compte, autrement dit, les dominés. Il y a dans le regard que Ro-bert Guédiguian pose sur ces gens du peuple une volonté de révélation. Il cherche en eux ce que peu d'artistes ont désiré mettre au jour. Pas seulement leur dignité. Mais leur grandeur. Leur magnificence. Ces personnages de la rue, ces figures du quotidien n'ont rien d'exceptionnel. Ce sont pourtant des héros aux actes conséquents et aux émotions intenses. Parfois jusqu'au sacrifice de soi pour le bonheur de ceux qu'on aime (À la vie, à la mort !) ou en proie à une double passion mortifère et sans issue (Marie-Jo et ses deux amours). Un ci-néaste avait ouvert la voie : Pier Paolo Pasolini. Celui-ci filmait, disait-il, la « sa-

cralité » des sous-prolétaires romains ou napolitains. Le terme convient parfaite-ment à Robert Guédiguian – sans bondieuseries ni faute originelle, l'amour chré-tien ne le rebute pas. Et c'est sous l'influence de l'auteur d'Accattone qu'il réa-lise Dernier été. Ses débuts s'articulent autour d'une fin : celle d'un quartier tel qu'il vivait depuis des décennies. Désormais la crise est là, le travail s'évanouit, les peurs et l'individualisme progressent.

On a fait le reproche au cinéma de Robert Guédiguian d'être nostalgique. Il se-rait justifié si celui-ci regardait dans le rétroviseur, mettait en scène un âge d'or, regrettait une époque kitsch et sépia. Les seuls films qui remontent dans le temps n'ont pas de visée passéiste. Rouge Midi, son deuxième opus, qui raconte les trois générations précédant celle du personnage principal de Dernier été, as-soit une généalogie, un héritage social et culturel. L'Armée du crime, chronique ensoleillée du groupe résistant de Manouchian, celui de l'Affiche rouge, rappelle en nos temps de racisme galopant que de jeunes juifs, étrangers et commu-nistes, ont défendu au prix de leur vie, sous la botte nazie et en plein Paris, les valeurs de notre République. Le film interroge aussi de manière voilée ce que fe-raient ces garçons et ces filles s'ils vivaient de nos jours, bien davantage que ce que serait notre attitude si nous avions été à leur place.

Bref, l'œuvre de Robert Guédiguian est résolument contemporaine. Mieux qu'un système politique, plus fort que des principes moraux, Guédiguian a retenu de sa jeunesse la perspective d'une existence collective harmonieuse : une « idée neuve », l'idée communiste. Un idéal de fraternité « où tout le monde sera riche, sans être capitaliste », comme le dit le serment que concluent les quatre per-sonnages, alors enfants, de Dieu vomit les tièdes. C'est à l'aune de cet idéal et de la possibilité ou non de son application dans la situation présente, que se dessine l'humeur des films de Robert Guédiguian.

Dans Ki lo sa ?, Dieu vomit les tièdes, La Ville est tranquille ou Lady Jane, l'espé-rance s'est muée en brûlantes désillusions, la classe ouvrière s'est morcelée en individus, la violence se propage, la noirceur est de mise. Dans À la place du cœur, Mon père est ingénieur ou dans Les Neiges du Kilimandjaro, les solidarités entre « pauvres gens » (Victor Hugo) sont en danger, mais il est encore temps de les sauvegarder en payant de sa personne, en prenant ses responsabilités même si ce n'est pas sans risque. Vient aussi le temps où l'utopie doit être réin-ventée, revivifiée. Guédiguian imagine des solutions « près-de-chez-soi » mais enthousiasmantes, parfois illégales toujours légitimes. Ce sont les « contes de l'Estaque » : L'Argent fait le bonheur, Marius et Jeannette et À l'attaque ! Ces films à la fantaisie subversive et à l'humour libre croisent l'idéalisme des grandes comédies hollywoodiennes de Frank Capra (Vous ne l'emporterez pas avec vous, La Vie est belle...) et le formalisme brechtien. Ils donnent du courage. Ce n'est pas rien. Les 3 millions de spectateurs de Marius et Jeannette ne s'y sont pas trompés, succès considérable qui, en 1997, a renforcé l'indépendance du cinéaste, également producteur de ses œuvres au sein d'Agat Films, maison qu'il a co-fondée, dont il reste le pivot, et au fonctionnement collégial.

Une histoire d'amitié et de fidélité

Car Guédiguian n'a pas d'activité – de même qu'il invente peu d'histoires – où le

groupe, en tant que force agissante, n'existe pas. Les autres l'enrichissent, le stimulent. Plus encore : si le cinéma est un art collectif, il est pour lui une véri-table aventure humaine – l'expression, pour une fois, n'est pas galvaudée. Les compagnons des premiers jours sont toujours à ses côtés : Ariane Ascaride, Gé-rard Meylan et un autre ami de jeunesse, Malek Hamzaoui, devenu son directeur de production. Comme nombre de ses techniciens, la plupart de ses comédiens l'accompagnent depuis ses premiers films. Ainsi, Jean-Pierre Darroussin n'était certainement pas la vedette qu'il est devenue quand il est apparu pour la pre-mière fois chez Guédiguian dans Ki lo sa ? Cela n'empêche pas le cinéaste d'in-tégrer dans sa troupe de nouveaux venus, de suivre le cycle de la vie et d'ac-cueillir de jeunes et brillants acteurs. Ou d'arpenter d'autres territoires pour mettre en scène l'un des plus grands comédiens français vivants, Michel Bou-quet (Le Promeneur du Champ-de-Mars).

Reste cependant une histoire d'amitié et de fidélité, inédite dans le cinéma fran-çais – et même au-delà. Elle signifie plus de trente ans d'un voyage en commun à travers les films ; l'évolution des visages et des corps des comédiens (et des aspects de la ville) captée par la caméra comme témoignage émouvant du temps qui passe ; l'épaisseur d'une expérience partagée qui ressemble à s'y mé-prendre à un puits d'humanité. Le cinéma de Guédiguian ? Il pourrait se résumer en une phrase : nous vieillirons ensemble !

Christophe Kantcheff

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Télécharger le Dossier de Presse ci-dessous:

  Dossier de Presse http://www.collectifvan.org/pdf/01-35-39-5-02-13.pdf

http://www.cinematheque.fr/fr/dans-salles/hommages-retrospectives/fiche-cycle/robert-diguian,488.html

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=71106

Agenda - 25e anniversaire du mouvement de libération du Karabakh

Agenda - 25e anniversaire du mouvement de libération du Karabakh - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org - L’Association de soutien aux mouvements civiques en Arménie organise à l’occasion du 25e an-niversaire du début du mouvement de libération du Karabakh une Conférence-Débat qui se tiendra le vendredi 22 février 2013 à 20h30.

Publié le 19 février 2013

Conférence-Débat

vendredi 22 février 2013 à 20h30 précises :

· Sur le début et l’évolution du mouvement du Karabagh

· La situation actuelle des combattants et de leur famille en particulier

· Et celle des citoyens d’Arménie en général

(le discours et le débat vont être traduits en français)

Précédée de la projection du film « Le testament éternel ».

Avec la présence exceptionnelle de M. Pavel Manougyan, dit Abarantsi Pavlig, venu spécialement d’Arménie, vice-président de « l’Association des anciens combattants du bataillon de Chouchi » qui a combattu sur presque tous les fronts du Karabagh et a participé à la libération de Mardakert, Karvadjar, Dje-brail, Fizouli, et Chouchi.

Adresse :

Locaux de l’Association franco-arménienne de Clamart

5, allée Charles Louis 92140 Clamart (à quelques pas de l’épicerie arménienne Eniz).

Métro : Mairie d’Issy, puis bus 190 et descendre à l’arrêt de l’Hôpital Percy. Au carrefour, prendre à droite la rue des Monts (qui se prolonge en rue de l’Ega-lité par la suite).

L’allée Charles Louis est à quelques mètres sur le trottoir de droite.

Il y a la possibilité de parking

http :// www . collectifvan . org / article . php ? r =5& id =71487

Agenda - Les 22 et 23 février : Commémorations du groupe ManouchianAgenda - Les 22 et 23 février : Commémorations du groupe Manouchian - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org - Dans le cadre des com-mémorations du groupe Manouchian, la Jeunesse Arménienne de France vous invite le samedi 23 février à 10 heures à la cérémonie offi-cielle au Square Manouchian, Bd Charles Livon. Ainsi que le vendredi 22 février à 20 heures à une exposition sur les résistants de la photo-graphe Sand Arty et la diffusion d’un film sur le groupe Manouchian de

Michel Ionascu au Centre Culturel de la JAF au 47 Avenue de Toulon.

Publié le 31 janvier 2013

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SAMEDI 23 FEVRIER

Cérémonie officielle : 69ème anniversaire de l’exécution des résistants de l’affiche rouge par les nazis

Le Comité de Marseille de l’Association Nationale des Anciens Combattants et Amis de la Résistance (ANACR) , l’Amicale des Anciens Combattants et Résis-tants Français d’Origine Arménienne (AACRFOA) et la Jeunesse Arménienne de France (JAF), vous invitent à l'occasion du 69ème anniversaire de l'exécution des résistants de l'Affiche Rouge par les nazis à la cérémonie officielle en hommage aux 22 résistants du groupe Missak Manouchian morts pour la France, le 21 fé-vrier 1944

Samedi 23 février 2013 à 10h,

Square Manouchian, Bd Charles Livon - 13007 Marseille

Un vin d'honneur offert par l'AACRFOA suivra à 11h au Centre Culturel de la JAF, 47 Avenue de Toulon - 13006 Marseille

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VENDREDI 22 FEVRIER

Exposition : Résistants, une génération oubliée

Mot de l’auteur

« C’est en janvier 2011, en regardant une émission sur la Légion d’honneur, qu’a émergé ce projet. Un sentiment d’injustice m’a envahi face à la mise en avant de certaines « personnalités », alors que d’autres, plus méritantes à mes yeux, avaient sombré dans l’oubli… Une résistante, brièvement filmée, a suscité en moi une émotion particulière. L’envie soudaine de réparer cette injustice m’a donné l’idée de mettre à profit mon art, la photographie, au service de ces héros anonymes laissés dans l’ombre… »

En savoir plus sur Sand Arty

Présentation

Sand Arty, photographe à la Tuilerie Bossy à Gardanne, nous propose une expo-sition de 16 portraits de résistants. Grâce à l’aide de l’ONAC (Office National des

Anciens Combattants de Marseille) et de l’AFMD (Amis de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation), l’artiste a pu retrouver quelques résistants qui ont contribué à libérer notre pays de l’occupation allemande dans les années 1940-1945. Ces premiers témoignages, photos et vidéos, ont été recueillis à Marseille et ses environs.

Ce travail a pour objectif d’immortaliser les visages des derniers témoins d’une histoire qui n’est pas toujours si éloignée que ça. Il reflète le courage, la ténaci-té, le patriotisme et l’humanisme des résistants. Rares sont les témoignages les représentant dans leur cadre de vie actuel et révélant des regards encore em-preints d’une grande intensité. Tel un message d’espoir, les mettre en lumière c’est éclairer les générations d’aujourd’hui et celles à venir, sur la capacité de chacun à changer le monde. Et rendre un dernier hommage à ces héros pendant qu’il est encore temps…

Elle-même petite-fille de déportés, Sand Arty dédie cette série photographique à sa grand-mère juive disparue le 25 avril 2010, ainsi qu’à l’ensemble des résis-tants, et en particulier Marie-Louise Jacob, Georgette Martin et Raymond Ton-neau, 3 résistants photographiés, qui depuis la première exposition, sont décé-dés.

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Projection : Missak Manouchian, une esquisse de portrait

Michel Ionascu - 2012 - Long métrage documentaire

Qui étaient ces étrangers «Morts pour la France» en 1944 au sein du groupe Ma-nouchian ?

Avec Arsène Tchakarian, Henri Karayan, Didier Daeninck

En savoir plus sur Michel Ionascu http://www.michelionascu.com/Michel_Ionascu_Realisateur.html

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=70981

Agenda - Montreuil: 69ème Anniversaire de la commémo-ration du Groupe Manouchian

Agenda - Montreuil: cérémonie du 69ème Anniversaire de la commémo-ration du Groupe Manouchian - Agenda Collectif VAN - www.collectif-van.org

Publié le 11 février 2013

L’Union Culturelle Arménienne de Montreuil

Le Foyer des Anciens Combattants et Victimes de Guerre de Montreuil et ses as-sociations

Vous invitent à participer à la cérémonie du

69ème Anniversaire de la Commémoration En Hommage au Groupe Manouchian (Fusillés par les nazis le 21 Février 1944 au Mont Valérien)

SAMEDI 23 FEVRIER 2013 À 11H00 précises

Esplanade Missak Manouchian Angle des rues Pépin et Marguerite Yourcenar Métro : Mairie de Montreuil

Allocutions et dépôts de gerbes.

Avec le soutien de la municipalité de Montreuil et des organisations attachées au devoir de mémoire.

http :// collectifvan . org / article . php ? r =5& id =71233

Agenda - "Kurdistan et diaspora kurde : 1983-2013"

Agenda - "Kurdistan et diaspora kurde : 1983-2013" - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org - Un Colloque International est organisé par l'Institut kurde de Paris pour célébrer le 30ème anniversaire de sa fon-dation. "Les années 1980 occupent une place sombre dans les annales historiques kurdes, tant elles sont déterminées par un phénomène massif de répression et de destruction exercées par les États à l’en-contre de toute résistance kurde, armée ou pacifique, mais aussi des populations kurdes : au Kurdistan d’Iran, les folles journées révolution-naires de 1978-1979 laissent place au jihad lancé par l’ayatollah Kho-meiny contre la société kurde dans son ensemble, au Kurdistan d’Irak la destruction des campagnes va crescendo pour déboucher sur une politique génocidaire vers la fin de la décennie, et dans la Turquie des généraux la kurdicité elle-même est criminalisée, ou alors associée à une pathologie à soigner par une dose accrue de kémalisme et la tor-ture. La fondation d’un Institut kurde à Paris, rendue possible à la suite d’une alternance politique en France, découle autant d’une urgence consistant à sauver la culture de ce peuple que tout semblait vouer à une destruction irréversible, que de la volonté de fédérer les intellec-tuels kurdes chassés par la répression politique, doublée d’une guerre atroce entre l’Iran et l’Irak qui fera près d’un millions de victimes". Ins-

cription en ligne. Samedi 23 février 2013, de 9h00 à 17h00, Salle Victor Hugo, 101 rue de l'Université, 75007 Paris

Publié le 19 février 2013

Fondation-Institut kurde de Paris

Kurdistan et diaspora kurde : 1983-2013

Colloque International

organisé par l'Institut kurde de Paris

Samedi 23 février 2013, de 9h00 à 17h00

Salle Victor Hugo

101 rue de l'Université, 75007 Paris

S'INSCRIRE EN LIGNE | PROGRAMME

Les années 1980 occupent une place sombre dans les annales historiques kurdes, tant elles sont déterminées par un phénomène massif de répression et de destruction exercées par les États à l’encontre de toute résistance kurde, ar-mée ou pacifique, mais aussi des populations kurdes : au Kurdistan d’Iran, les folles journées révolutionnaires de 1978-1979 laissent place au jihad lancé par l’ayatollah Khomeiny contre la société kurde dans son ensemble, au Kurdistan d’Irak la destruction des campagnes va crescendo pour déboucher sur une poli-tique génocidaire vers la fin de la décennie, et dans la Turquie des généraux la kurdicité elle-même est criminalisée, ou alors associée à une pathologie à soi-gner par une dose accrue de kémalisme et la torture. La fondation d’un Institut kurde à Paris, rendue possible à la suite d’une alternance politique en France, découle autant d’une urgence consistant à sauver la culture de ce peuple que tout semblait vouer à une destruction irréversible, que de la volonté de fédérer les intellectuels kurdes chassés par la répression politique, doublée d’une guerre atroce entre l’Iran et l’Irak qui fera près d’un millions de victimes.

Trente ans après, alors que le Moyen-Orient passe par une nouvelle période marquée par la violence dans de nombreux pays, l’heure est au bilan. Il va ce-pendant de soi que ce bilan ne saurait être exclusivement celui de l’Institut kurde ou de la diaspora qui a lourdement marqué l’évolution du Kurdistan de-puis des décennies. Il importe en effet de prendre la mesure des transformations politiques considérables, se traduisant, notamment, mais pas exclusivement, par l’émergence d’une région fédérée kurde en Irak, ou de réfléchir aux consé-quences socio-économiques de l’urbanisation rapide qu’a connue le Kurdistan dans sa totalité au cours des années 1980-2010, entraînant dans son sillage l’émergence d’une jeunesse désormais partiellement aux commandes, aux pro-fils sociologiques radicalement différents de l’intelligentsia nationaliste des dé-cennies 1950-1970. La prise en compte du fait générationnel dans l’histoire ré-

cente du Kurdistan est d’autant plus cruciale qu’une partie des figures qui avaient dominé les domaines politiques ou culturels, d’Abdul Rahman Ghassem-lou, dirigeant du PDK-Iran, au cinéaste Yilmaz Güney, des poètes Cegerxwîn ou Hejar aux savants Noureddine Zaza ou Ismet Chériff Vanly, appartiennent désor-mais au Panthéon national kurde. Si dans les années 1980 encore, la diaspora restait le seul espace où un brassage pacifique entre les Kurdes de divers pays était possible, l’intégration interne, économique, mais aussi culturelle voire poli-tique, du Kurdistan s’est largement accélérée dans les années 1990-2000 ; les frontières interétatiques, déjà fragilisées par les nouvelles technologies de com-munication, le sont désormais aussi par un mouvement des populations. Force est enfin de constater que les domaines linguistiques et culturels connaissent depuis une ou deux décennies un renouveau inédit dans l’histoire kurde ; en contraste avec la situation de 1983 où le mot « kurde » même faisait peur dans de nombreuses universités, les « études kurdes » en Europe et aux États-Unis connaissent également une véritable montée en puissance, des dizaines de thèses sur l’histoire et la société kurde étant soutenues chaque année.

Le « présent » constitue toujours cet espace-temps invitant les contemporains à évaluer le passé et de se projeter dans un avenir encore indéterminé. Ce col-loque, célébrant le 30ème anniversaire de la fondation de l’Institut kurde, se veut une réponse à cette double invitation.

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Programme du colloque

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9h00 : Accueil des invités 9h30 : Mot de bienvenue et présentation du colloque 9h35-11h30

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Kurdistan, 1983-2013

Présidence : M. Bernard DORIN, Ambassadeur de France

Intervenants :

M. Hamit BOZARSLAN, directeur de recherches à l'EHESS, Paris « Kurdistan de Turquie, du régime militaire à l'AKP »

M. Khaled SALEH, Université du Kurdistan « Kurdistan d'Irak entre Saddam Hussein et Nuri al-Maliki »

M. Chris KUTSCHERA, journaliste, France « Les Kurdes iraniens entre lutte armée et résistance civile »

Mme. Sève IZOULI-AYDIN, avocate à la Cour, Paris

« Le sort des Kurdes en Syrie »

M. Celilê CELIL, professeur émérite « Communautés kurdes de l'ex-URSS »

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11h30 - 12h45

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La société kurde au tournant du millénaire

Présidence : M. Kendal Nezan, Institut kurde de Paris

Intervenants :

Mme. Nazand BEGIKHANI, Université de Bristol « La question féminine au Kurdistan et dans la diaspora »

M. Khalid Khayati, Linköping University « La formation de la diaspora kurde en Europe »

M. Philip Kreyenbroek, Université de Göttingen « Évolution de l'espace religieux »

M. Ephrem-Isa YOUSIF, philosophe et écrivain « Les christianismes au Kurdistan »

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12h45-14h15 : Pause déjeuner

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14h30 - 16h

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Langue, littérature et création artistique au Kurdistan

Présidence : Mme. Joyce BLAU, INALCO

Intervenants :

M. Michiel Leezenberg, Université d'Amsterdam « Débats linguistiques au Kurdistan »

M. Reşo ZÎLAN, Institut kurde de Paris « Études linguistiques dans la diaspora »

Mme. Clémence SCALBERT, Université d'Exeter « Champ éditorial kurmandji »

M. Salih AKIN, Université de Rouen « Langue(s) et identité(s) dans la diaspora en Europe »

Mme. Khanna OMARKHALI, Université de Göttingen « Études kurdes en Europe »

M. Najat ABDULLA, Académie scientifique kurde « Études kurdes au Kurdistan »

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16h00 - 16h50 Discussion finale

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Présidence : M. Gérard Chaliand, écrivain et géopoliticien

Intervenants :

M. Bernard Dorin, Ambassadeur de France M. Kendal Nezan, Institut kurde de Paris M. Jonathan Randal, journaliste, ancien correspondant du Washington Post

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16h50 : Discours de clôture

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http://www.institutkurde.org/activites_culturelles/evenement_350.html

http://collectifvan.org/article.php?r=5&id=71459

Agenda - Issy-les-Moulineaux : Rencontre avec Annie et Jean-Pierre Mahé

Agenda - Issy-les-Moulineaux : Rencontre avec Annie et Jean-Pierre Mahé - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org - Rencontre avec Annie et Jean-Pierre Mahé. Vendredi 22 février 2013 à 18h30 à la librai-rie Chantelivre, Esplanade de la mairie à Issy-les-Moulineaux. A l’occa-sion de la parution de « Histoire de l’Arménie » aux éditions Perrin.

Publié le 20 février 2013

Chantelivre

Rencontre avec Annie et Jean-Pierre Mahé

Vendredi 22 février 2013 à 18h30

Comment faire l’histoire d’une nation dont le territoire a si régulièrement chan-gé et dont la population est dispersée aux quatre coins du monde ?

C’est à ce défi que nous convient, dans un style limpide, les deux grands spécia-listes de la culture arménienne que sont Jean-Pierre et Annie Mahé.

Jean-Pierre Mahé travaille depuis des années à l'écriture délicate de cette his-toire de l'Arménie qui n'avait jamais été réalisée dans cette ampleur.

Pays à la croisée de mondes et de cultures distincts, peuple habité d'un drame qu'on lui dénie encore, l'Arménie et les Arméniens auront désormais leur livre de référence.

Auteur de nombreux ouvrages, Jean-Pierre Mahé est membre de l'Institut de France, professeur d'arménien à l'Institut national des langues et des civilisa-tions orientales jusqu'en 1988, directeur de la Revue des études arméniennes jusqu'en 2010. Il est actuellement directeur d'études de philologie et historiogra-phie du Caucase chrétien à l'École pratique des hautes études.

Annie Mahé, qui partage la même passion pour l'Arménie, est diplômée d'études supérieures de langues classiques.

Librairie Chantelivre, Esplanade de la mairie à Issy-les-Moulineaux 32 Avenue de la République, 92130 Issy-les-Moulineaux

http://www.chantelivre.com/librairies.php?libId=issy&rubLib=rencontres&id=129

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=71521

Agenda - Exposition/Nantes : La danse de la pluie d'Ar-men Saakyan

Agenda - Exposition/Nantes : La danse de la pluie d'Armen Saakyan - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org

Publié lé 18 février 2013

Ouest-France

La danse de la pluie d'Armen Saakyan - Nantes

mercredi 06 février 2013

La pluie est le thème de l'exposition du peintre d'origine arménienne, installé à Nantes depuis 2005.

Les Nantais ne devraient pas trop être dépaysés en ce moment, avec l'exposi-tion d'Armen Saakyan. Lequel a pris pour thème la pluie, qu'il fait tomber à Paris à Nantes ou bien ailleurs. Pourtant ce n'est pas vraiment elle, la vedette, mais plutôt les personnages qui l'affrontent. Le peintre rend à merveille les gens dans leurs mouvements, ceux qui courent pour éviter les gouttes, ceux qui trottent tête baissée sous leurs parapluies... Il s'agit là de personnages plutôt élégants, que l'on voit évoluer dans des centres-villes. Ils sont représentés de manière as-sez stylisée, et on distingue à peine leurs visages délibérément estompés.

Une lumière discrètement bleutée

Mais l'intérêt de cette peinture, c'est surtout l'atmosphère qui s'en dégage, que le regardeur partage avec les acteurs. Le travail sur la lumière est intéressant, avec ses reflets sur les parapluies ou sur le sol des trottoirs. Elle se diffuse à tra-vers une multitude d'interstices. Les tableaux semblent monochromes, mais en fait c'est une lumière discrètement bleutée qui les habite.

Jusqu'au 22 février, à la galerie des glaces, 8, quai de Versailles, à Nantes.

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-La-danse-de-la-pluie-d-Armen-Saa-kyan-_44109-avd-20130206-64521074_actuLocale.Htm

http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=71428

Agenda - 27 février : 25ème anniversaire des massacres de Soumgaït

Agenda - 27 février : 25ème anniversaire des massacres de Soumgaït - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org - L'Eglise Apostolique Ar-ménienne en Belgique vous invite aux commémorations du 25ème anni-versaire des massacres de Soumgaït, perpétrés par les autorités de la République Soviétique d'Azerbaïdjan en 1988.

Publié le 21 février 2013

25 ans déjà

* Recueillement et dépôt de gerbes devant le Mémorial du Génocide

Mercredi, le 27 Fevrier à 16h30

Place Michaux - 1050 Ixelles BRUXELLES

* * Office de requiem à la mémoire de tous les victimes innocentes des villes de Soumgaït, Bakou, Kirovabad et ailleurs ...

Dimanche, le 3 Mars 2013 à 11h00

en l'Eglise Ste Marie-Madeleine 1-A, Rue Kindermans - 1050 Ixelles BRUXELLE

en présence des représentants diplomatiques de la République d'Arménie et du Haut Karabagh (Artzakh), ainsi que de la Communauté Arménienne de Belgique

TÉLÉCHARGER :  Affiche http://www.collectifvan.org/pdf/12-19-47-21-02-13.pdf

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=71545

Agenda - Hrair Sarkissian à l'Odyssée Marseille-Provence 2013

Agenda - Hrair Sarkissian à l'Odyssée Marseille-Provence 2013 - Agen-da Collectif VAN - www.collectifvan.org - Marseille-Provence 2013 Capi-tale européenne de la culture. Pour son projet «Unexposed», le photo-graphe arméno-syrien né à Damas, Hrair Sarkissian, a étudié les Armé-niens qui ont été convertis de force à l'islam durant le génocide, et dont les descendants restent dans la Turquie d'aujourd'hui, y vivent leur vie sous des noms modifiés et une nouvelle religion. Toutefois, cer-tains de ces Arméniens se reconvertissent secrètement au christia-nisme et réclament leurs noms arméniens. Après trois années de re-cherche, Sarkissian a trouvé neuf de ces personnes et les a fait poser pour des portraits, dans leurs maisons, avec leurs traits intentionnelle-ment occultés, afin de refléter la manière dont la société turque les oblige toujours à cacher leur identité, comme c'est aussi le cas pour les Arméniens qui ne se convertissaient pas à l'islam. Hrair Sarkissian de-vant sa série de photographies "Unexposed", dédiée aux descendants des Arméniens qui se convertirent à l'islam pour échapper au génocide de 1915.

(Traduction Collectif VAN d'après : http://www.art-it.asia/u/admin_ed_exrev_e/JYDKIh7fjQM8wT0zXHW1)

Publié le 17 janvier 2012

Du 12 janvier au 31 mars 2013

Friche la Belle de mai, Tour-Panorama, Marseille

39 artistes de renommée internationale 38 projets dont 28 produits spécialement (6 Ateliers de l’EuroMéditer-ranée) 2400 m2 d’exposition. Peinture, photographie, sculpture, installations vidéo Inauguration de la Tour-Panorama, un nouveau lieu de diffusion dédié à l’art contemporain

Biographie :

32. Hrair Sarkissian, né à Damas en 1973, vit et travaille à Londres • Expositions personnelles 2011 – SALT Beyoglu, Istanbul – Podbielski Contemporary, Berlin 2010 Kalfayan Galleries, Athènes 2007 The Museum of Photography of Thessaloniki, Thessalonique • Expositions collectives 2012 7th Asia Pacific Triennial (APT7), Queensland Art Gallery, Brisbane 2011 – 3rd Thessaloniki Biennial of Contemporary Art, Thessalonique – 10th Sharjah Biennial, Sharjah 2009 – Disorientation II, The Rise & Fall of Arab Cities, Abu Dhabi – 11th Istanbul Biennial, Istanbul www.kalfayangalleries.com

Infos pratiques : Ouvert du Mardi au dimanche de 13h à 19h Vendredi (nocturne) : de 13h à 22h Accès : Entrée 1, piétons uniquement : 41, rue Jobin – 13003 Marseille Entrée 2, piétons (parking restreint) : 12 rue François Simon – 13003 Marseille Pour aller jusqu’à la Tour-Panorama : De l’entrée 1 et de l’entrée 2 : dans la Cour Jobin, au rez-de-chausséede la Tour, suivre les indications Cours Jobin > Tour Panorama > Accueil Billetterie En bus : lignes n° 49 et n° 52, arrêt Belle de mai la Friche Bus de soirée : n°582 – départ station Canebière-Bourse toutes les 40 mn, à par-tir de 20h / Dernier départ de la Friche vers minuit En vélo : borne vélo 2321 (rue Jobin) – Parking à vélo dans la Friche

En tram : ligne 2, arrêt Longchamp (10 min. à pied) En métro : Lignes 1 et 2, arrêt Saint-Charles (10 min. à pied) ou Cinq Avenues (20 min. à pied) Friche la Belle de Mai 41 rue Jobin 13003 Marseille www.lafriche.org

Marseille, Aubagne, Aix-en-Provence 11.01.2013

http://www.saywho.fr/mondanites/2783/l-odyssee-marseille- provence-2013-preview/134024

http://www.mp2013.fr/ici-ailleurs/

http :// www . collectifvan . org / article . php ? r =5& id =70570

Agenda - Le DVD de "J'ai rêvé d'Arménie", de Jean-Pierre CarlonAgenda - Le DVD de "J'ai rêvé d'Arménie", de Jean-Pierre Carlon - Agen-da Collectif VAN - www.collectifvan.org

"J'ai rêvé d'Arménie" - EDITION COFFRET DOUBLE DVD

52’, réalisé par Jean-Pierre Carlon. Version française.

Coproduction © France Télévisions - Les Productions du Lagon - EJH Productions - 2012. DVD © Les Productions du Lagon - ClapOsud - 2012. Avec le soutien du CNC.

Ce coffret double DVD inclut le documentaire de 52 minutes et 2h54 de bonus inédits.

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DVD 1 - J’ai rêvé d’Arménie - Documentaire - 52 minutes

« J’ai rêvé d’Arménie » oscille entre le souvenir et le devenir des Français d'ori-gine arménienne qui tentent de trouver un équilibre entre leur histoire doulou-reuse et le besoin impérieux de se projeter vers le futur.

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DVD 2 - Paroles d’Arméniens - Compléments en 12 thématiques - 2h54

Réalisé par Jean-Pierre Carlon. Version française.

Prix : 24,95 €

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Pour commander le DVD cliquez Ici http://www.productionsdulagon.com/Boutique.html

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Agenda - Génocide arménien : "L'Agonie d'un peuple"

Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org - Les Editions Garnier an-noncent la parution de "L'Agonie d'un peuple. Les Arméniens déportés en Mésopotamie" publié dans la Collection "Littérature, histoire, poli-tique" sous la direction de Catherine Coquio, Lucie Campos et Emma-nuel Bouju. Ce texte, paru à Bakou en 1917, est issu du témoignage majeur de Haig Toroyan, témoin des camps de concentration du bord de l'Euphrate, transcrit par la romancière, journaliste et essayiste Za-bel Essayan. Il s'agit du tout premier grand récit arménien sur l'exter-mination alors en cours, traduit de l’arménien par Marc Nichanian. Ce dernier a enseigné la littérature arménienne à l’université Columbia de New York. Il enseigne aujourd’hui la philosophie à l’université Sabanci d’Istanbul, comme professeur invité. Il est l’auteur de La Perversion historiographique (Paris, 2006) et d’une trilogie sur les rapports entre la littérature et la Catastrophe intitulée Entre l’art et le témoignage (Genève, 2006).

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Zabel Essayan – Hayg Toroyan

L’Agonie d’un peuple

suivi de « La voix et la plume », postface du traducteur

Témoignage traduit de l’arménien par Marc Nichanian

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L’Agonie d’un peuple (1917) est le premier témoignage arménien à faire exister l’événement au-delà du simple document. C’est là qu’est né ce que nous appe-lons aujourd’hui « témoignage ». La postface du traducteur propose une ré-flexion contextuelle sur les apories du témoignage catastrophique.

Marc Nichanian a enseigné la littérature arménienne à l’université Columbia de New York. Il enseigne aujourd’hui la philosophie à l’université Sabanci d’Istanbul, comme professeur invité. Il est l’auteur de La Perversion historiographique (Pa-ris, 2006) et d’une trilogie sur les rapports entre la littérature et la Catastrophe intitulée Entre l’art et le témoignage (Genève, 2006).

Littérature, histoire, politique

sous la direction de Catherine Coquio, Lucie Campos et Emmanuel Bouju

Une collection interdisciplinaire attentive aux relations de l’écriture littéraire avec le fait politique, l’histoire et l’historiographie, à travers les siècles et dans l’espace mondial.

Commandez en ligne : www.classiques-garnier.com 24€ + Frais de port - France : 7 € pour un volume ; 1 € par volume supplémen-taire. Étranger : 11 € pour un volume ; 2 € par volume supplémentaire.

Classiques Garnier – 6 rue de la Sorbonne – F-75005 Paris – Tél. : + 33 9 61 34 43 02 Fax : + 33 1 46 33 28 90

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Agenda - Parution : "Guide de la Mémoire arménienne en France" par NorsenAgenda - Parution : "Guide de la Mémoire arménienne en France" par Norsen - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Guide de la Mémoire arménienne en France se propose de faire l’inventaire de tout ce qui, en France, constitue une trace signifiante de l’identité armé-nienne. Son auteur, Hrant Norsen, a sillonné le pays pendant des an-nées, pris des milliers de photographies, questionné nombre de collec-tivités locales et territoriales et de responsables d’associations armé-niennes, ainsi que les descendants des personnalités d’origine armé-nienne dont la mémoire a été honorée dans plus de 150 villes et vil-

lages de France. Ce Guide de la Mémoire arménienne en France de 192 pages illustrées par plus de 700 photographies avec textes explicatifs associés, est le résultat de 10 années de recherche et de collecte d’in-formations.

Publié le 14 janvier 2013

Guide de la Mémoire arménienne en France par Hrant Norsen

COMMUNIQUé DE PRESSE

Le Guide de la Mémoire arménienne en France se propose de faire l’inventaire de tout ce qui, en France, constitue une trace signifiante de l’identité armé-nienne. Son auteur, Hrant Norsen, a sillonné le pays pendant des années, pris des milliers de photographies, questionné nombre de collectivités locales et ter-ritoriales et de responsables d’associations arméniennes, ainsi que les descen-dants des personnalités d’origine arménienne dont la mémoire a été honorée dans plus de 150 villes et villages de France.

Ce Guide de la Mémoire arménienne en France de 192 pages illustrées par plus de 700 photographies avec textes explicatifs associés, est le résultat de 10 an-nées de recherche et de collecte d’informations.

La première partie comprend 150 pages de fiches monographiques placées dans l’ordre strictement alphabétique des communes, avec plus de 700 photogra-phies. Si la présence des villes à forte densité de population d’origine armé-nienne comme Marseille, Paris, Lyon, Nice, Valence, Alfortville, Arnouville, Dé-cines ou Issyles- Moulineaux ne saurait surprendre, ce Guide révèle des com-munes excentrées et où existent des marques insoupçonnées de l’identité armé-nienne.

La seconde partie s’articule en trois annexes.

- La première donne une sélection de 33 brèves biographies. - La deuxième, intitulée Le Carnet, liste les associations, institutions et collectivi-tés ayant activement contribué au choix final des municipalités de quelques 150 villes et villages de France.

La troisième et dernière annexe est un index folioté des lieux et des personnes répertoriés dans l’ouvrage.

* * * Le Guide de la Mémoire arménienne en France n’a pas de précédent connu dans l’arsenal bibliographique arménien. Il invite au voyage, à la promenade, parfois à la flânerie et, souhaitons-le, à la visite de ces lieux de mémoire devenus désor-mais une part immuable et vivante, indissociable désormais du patrimoine natio-nal de la France, «Terre des arts, des armes et des lois». Et d’accueil.

Puisse ce livre-guide contribuer à instruire tout un chacun sur l'important apport des Arméniens à la France.

Guide de la Mémoire arménienne en France par Hrant Norsen Vient de paraître ISBN 9 782 013 444 03 4 Format : 13x25 cm 192 pages Prix public : 18 €

Société éditrice : EDIPOL, 37, rue Georges Médéric 94700 Maisons-Al-fort (FRANCE) Tél : 01 45 17 23 22 - Site Internet : www.editionsedipol.com - Adresses E Mail : [email protected] et [email protected]

TÉLÉCHARGER :  Guide de la Mémoire arménienne en France par Hrant Norsen

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Agenda - Parution du livre "Histoire de l'Arménie des ori-gines à nos jours"

Agenda - Parution du livre "Histoire de l'Arménie des origines à nos jours" - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org - Histoire de l'Ar-ménie des origines à nos jours par Annie Mahé et Jean-Pierre Mahé - Un livre clair et facile à lire, une oeuvre monumentale. Jean-Pierre Mahé travaille depuis des années à l'écriture délicate de cette histoire de l'Arménie qui n'avait jamais été réalisée dans cette ampleur. Pays à la croisée de mondes et de cultures distincts, peuple habité d'un drame qu'on leur dénie encore, l'Arménie et les Arméniens auront désormais leur livre de référence.

Publié le 21 janvier 2013

Diasporamag

L'Arménie est une nation «à la lisière des mondes », sur la ligne de partage entre les grandes civilisations de l'Orient méditerranéen et de l'océan Indien. Ap-préhender la réalité d'un pays dont les frontières ont été si variables, montrer la continuité de sa culture nourrie par tant d'influences étrangères, la personnalité d'une nation dispersée aux quatre coins du monde au cours des âges, tel est le défi de cette histoire de l'Arménie.

Quinze chapitres, depuis les premières monarchies jusqu'à l'actuelle république, en passant par les invasions, le génocide et l'époque soviétique, composent ce récit enrichi au fil des pages d'émouvants témoignages qui croisent des archives toujours passionnantes. Mais le pays d'Ararat a connu, depuis Noé, plusieurs dé-luges et plusieurs renaissances successives. Loin d'engloutir le passé, ces cata-clysmes l'ont gravé dans les couches les plus profondes de la conscience d'un peuple à l'identité singulière, resté fidèle à lui-même malgré les vicissitudes des siècles.

Auteur de nombreux ouvrages, Jean-Pierre Mahé est membre de l'Institut de France, professeur d'arménien à l'Institut national des langues et des civilisa-tions orientales jusqu'en 1988, directeur de la Revue des études arméniennes jusqu'en 2010. Il est actuellement directeur d'études de philologie et historiogra-phie du Caucase chrétien à l'École pratique des hautes études. Annie Mahé, qui partage la même passion pour l'Arménie, est diplômée d'études supérieures de langues classiques.

Histoire de l'Arménie des origines à nos jours par Annie MAHÉ et Jean-Pierre MA-HÉ

Parution : novembre 2012 Editions Perrin ISBN : 978-2-262-02675-2 Pages : 752 Prix : 29,50€ http://www.diasporamag.com/magazine/livresalaune/histoire-de-l-armenie--an-nie-mahe-et-jean-pierre.html

http://collectifvan.org/article.php?r=5&id=70684

Agenda - Les éditions brumerge: "Les Amoureux de l'Ar-ménie"Agenda - Les éditions brumerge: "Les Amoureux de l'Arménie" - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous annonce la parution du recueil "Les Amoureux de l'Arménie" des éditions bru-merge. Vingt-cinq passionnés racontent dans ce recueil leur rencontre avec l’Arménie. Ils ou elles sont d’origine arménienne ou pas, géo-graphes, photographes, enseignants, écrivains, notaires, commerçants, techniciens… ou encore simples voyageurs, cyclotouristes… et parfois même des personnes qui ne se sont encore jamais rendues dans ce pays. C’est dire si l’Arménie suscite l’intérêt notamment par son his-toire, sa culture et plus particulièrement sa musique.

Publié le 28 décembre 2012

Les éditions brumerge

Les Amoureux de l'Arménie

Ouvrage collectif Grand Format (A5) (port gratuit pour la France, réduit pour le reste du monde) 17,00 € / 188 pages ISBN: 978-2-917745-43-4 Photos © Sossé Oumedian

Vingt-cinq passionnés racontent dans ce recueil leur rencontre avec l’Arménie. Ils ou elles sont d’origine arménienne ou pas, géographes, photographes, ensei-gnants, écrivains, notaires, commerçants, techniciens… ou encore simples voya-geurs, cyclotouristes… et parfois même des personnes qui ne se sont encore ja-mais rendues dans ce pays. C’est dire si l’Arménie suscite l’intérêt notamment par son histoire, sa culture et plus particulièrement sa musique.

Avec la participation de :

Hélène Adjemian Gorizian – Claude Anouchian Françoise Ardillier-Carras – Jacqueline Assassian – Diane Babayan Jean Bedrossian – Sophie Bénédite – Jean-Paul Ceccaldi Pascal De Graer – Ida Der-Haroutunian – Levon Djolakian Benjamin Donekoglu – Philippe Fenouillet – Carine Geerts Vincent Goumont – Karin Hadchadourian – Mounir Hammouda Anne Lemoine-Adam – Jacqueline-Siranouche Markarian Alexandre Mignon – Marie-Thérèse Moens – Sossé Oumedian François-Marie Périer – Rodolphe Stembert – Sandra Zatloukal

Photos de couverture © Sossé Oumedian Avec deux illustrations intérieures © Thierry Cardinet

Les droits de tous les auteurs et une marge humanitaire Brumerge seront rever-sés à l’association « Caucase-Arménie-Plus » pour le financement d’un micropro-jet de développement.

Acheter ce livre : Boutique Brumerge / FNAC / Decitre / Amazon / Chapitre / Gallix /Dialogues / Le Furet / ou à commander chez votre libraire

Lire un extrait

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Becdanlo's blues

Le blog de Bernard Fauren

mardi 25 décembre 2012

Le Kharabagh m’a changée

Nous sommes partis le matin de bonne heure car nous voulions faire une halte à Noravank et la route est longue pour arriver à Stepanakert : 330 km.

À peine sortis de la capitale, la réalité nous a rattrapés de plein fouet.

Cette réalité s’appelle Pauvreté et Misère.

Nous avons croisé de petits villages de paysans, les hommes étaient habillés comme sur les vieilles photos du début du XXe siècle et accompagnaient leurs vaches aux champs, les femmes étaient vêtues de grandes jupes longues noires avec des fichus sur la tête, les enfants couraient au bord de la route surpris de voir un convoi de quatre grosses voitures noires, des chiens courraient derrière eux.

C’est à ce moment là que j’ai compris que j’étais en Arménie, la vraie, la mienne, du moins celle de ma grand-mère. Toutes les images que j’avais dans la tête, après les récits qu’elle me contait le soir quand j’étais seule avec elle, se trouvaient devant moi. Le paysage très aride, une végétation très maigre, des petits arbustes brulés par le soleil, des champs jaunis par le soleil à perte de vue entourés de montagnes ocre, ro-cailleuses mais le summum pour moi a été de retrouver la tenue vestimentaire de mon arrière-grand-mère toujours de noir vêtue.

Un grand sentiment de tristesse, de mélancolie, de vide, m’a envahie. Nous ne nous parlions plus dans la voiture, nous venions de faire, en fait, un bond dans le passé, et pourtant ce passé que nous avions vécu enfants qui s’était éteint avec nos grands-parents, avait ressuscité et se dressait là devant nos yeux.

C’est cette Arménie là que j’ai le plus aimée.

"Le Kharabagh m’a changée" de Hélène Adjemian Gorizian, recueil collectif "Les Amoureux de l'Arménie"

http://www.babelio.com/livres/Geerts-Les-Amoureux-de-lArmenie/439134

URL originale :

http :// les - editions - brumerge . wifeo . com / amoureux - de - larmenie . php

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Agenda - Francine Mayran: Témoigner de ces vies - Peindre la mémoire »

Agenda - Editions du Signe: «Témoigner de ces vies - Peindre la mé-moire » de Francine Mayran - Agenda Collectif VAN - www.collectif-

van.org - Le nouveau livre de Francine Mayran intitulé "Témoigner de ces vies-Peindre la mémoire". Edité par les Editions du Signe il sera dis-ponible en librairie en décembre 2012. Il présente les oeuvres créées (peintures et céramiques ) depuis 2008 jusqu'à aujoud'hui. De plus on y retrouve le lien entre les oeuvres et les lieux de mémoire où l'exposi-tion est passée avec photos et textes d'historiens, car son souhait est de renforcer la mémoire des lieux par les toiles pour faire revivre ces lieux de mémoire, qu'ils soient inscrit aussi dans un présent.

Parution du nouveau livre

« Témoigner de ces vies - Peindre la mémoire »

de Francine MAYRAN

edité par les Editions du Signe

sera en librairie dès décembre 2012

Entrelaçant créations artistiques, mémoire individuelle et Histoire, Francine May-ran, peintre et psychiatre, nous livre une réflexion sur la transmission et sur les traces.

Vous découvrirez le parcours européen de ses expositions avec des photos des lieux de mémoire pleines de sensibilité, des textes d'historiens. Vous ressentirez une mémoire renforcée par le lien entre les lieux du passé et les oeuvres.

La mémoire de la Shoah s'incarne dans ses textes, ses toiles et ses céramiques, pour interroger la position de témoin et la responsabilité des hommes. Ses créa-tions se font l'écho de toutes les mémoires, celles des Juifs, des Tsiganes, des résistants…pour rappeler à chacun la valeur inestimable de toute vie, la valeur si précieuse de la Vie.

Face à la disparition des derniers témoins, l’art représente un nouveau moyen de transmission pour sensibiliser au drame des génocides, au danger de répéter l'histoire, pour éveiller les consciences et transmettre un espoir en l'avenir.

Des projets pédagogiques sont en cours avec enseignants et lycéens, avec le Conseil de l'Europe et des éditeurs de livres scolaires.

Ses oeuvres construisent depuis 2008, un chemin européen de mémoire en pas-sant dans des lieux publics et des lieux de mémoire en France, en Allemagne, en Belgique, au Luxembourg, en Albanie, à Thessalonique…

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Psychiatre et peintre-céramiste, née après la deuxième guerre mondiale, Fran-cine Mayran expose son travail artistique de mémoire de l'Holocauste depuis 2008, dans un parcours européen de mémoire.

Un premier livre La Shoah et son ombre fut publié en 2009.

Ses œuvres font partie de collections publiques de lieux de mémoire et illustrent des fiches pédagogiques sur les victimes du nazisme réalisées par le Conseil de l’Europe dans le cadre du programme "Transmission de la mémoire de l'Holo-causte et prévention des crimes contre l'humanité".

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Pour toute information :

EDITIONS DU SIGNE E-mail: [email protected] www.editionsdusigne.fr

Francine MAYRAN E-mail:[email protected] www.fmayran.com

http://collectifvan.org/article.php?r=5&id=69423

Agenda - Pinar Selek : Loin de chez moi… mais jusqu’où ?

Agenda - Pinar Selek : Loin de chez moi… mais jusqu’où ? - Agenda Col-lectif VAN - www.collectifvan.org - Alors qu'une énième audience du procès Pinar Selek va se tenir ce jeudi 22 novembre 2012 à Istanbul, rappelons à cette occasion que la sociologue turque, exilée à Stras-bourg, a publié il y a quelques mois un petit fascicule intitulé Loin de chez moi… mais jusqu’où ? aux éditions iXe. Se le procurer est une ma-nière de rendre hommage au courage de cette militante des droits de l'homme qui ne se laisse pas intimider par les menaces de mort et les condamnations de prison à vie. Le texte a été traduit du turc par Esther Grandjean (éditions iXe, Donnemarie-Dontilly 2012, 60 pages, 5 euros).

Publié le 21 novembre 2012

Editions iXe

Pinar Selek Loin de chez moi… mais jusqu’où ?

Editions iXe, Donnemarie-Dontilly 2012, 60 pages, 5 euros

D'origine turque, l'écrivaine et sociologue P. Selek a dû fuir son pays après que la cour de cassation de son pays a pour la quatrième fois fait appel de l'acquitte-ment prononcé par le tribunal et réclame contre elle une peine de prison à vie. Aujourd'hui réfugiée en France, elle dit dans ce bref récit la souffrance et l'espoir qui s'attachent à l'exil, et la nécessité vitale de l'exercice de la liberté.

Mars 2012 - 5.00 € - 64 p. - ISBN : 979-10-90062-11-5

« Si on me demande où j’en suis, je réponds que je tiens bon la barre, que j’ai appris à jouer avec ces vents qui m’ont d’abord déroutée. Mais que je ne peux pas mettre le cap sur le lieu dont je parle, le pays qui me manque. »

Loin de chez moi… mais jusqu’où ? dit la douleur de l’exil non choisi et, au-delà, l’espérance et le courage d’une femme libre qui a fait siens ces mots de Virginia Woolf : « Mon pays à moi, femme, c’est le monde entier. »

Pinar Selek s’est entraînée dès l’enfance à repousser les murs des espaces, réels et imaginaires, qu’elle habitait. Tout en nuances poétiques, son récit ex-plore les tensions entre la nostalgie pour là-bas et l’attirance pour l’ailleurs. Il évoque la familiarité rassurante de la langue et des choses avec lesquelles on a grandi, l’audace qui pousse à se risquer toujours plus loin sur les chemins, et le désarroi devant l’inconnu, après l’arrachement brutal aux êtres et aux lieux. La beauté des rencontres, aussi, et le plaisir pris à tisser des liens dans les marges immenses qui se jouent des frontières.

Pinar Selek est écrivain et sociologue. Féministe engagée, antimilitariste, mobili-sée dans les actions pour la paix, elle travaille sur les thématiques de la margi-nalisation et de l’exclusion. Persécutée par le pouvoir judiciaire, elle a dû quitter son pays, la Turquie, et vit en exil depuis 2009.

Acquittée à trois reprises des charges dont elle était inculpée, Pinar Selek est à nouveau assignée en justice le 22 novembre 2012, car la Cour de cassation a pour la quatrième fois fait appel du dernier juge-ment prononcé.

Lire aussi :

« Exilée, je glisse entre des émotions multiples, des mondes innombrables » http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=69103

Loin de chez moi...mais jusqu'ou? (2010) http://www.pinarselek.fr/?page=showPub&&id=5

TÉLÉCHARGER :  Présentation de Pinar Selek, par Etienne Copeaux

http://www.editions-ixe.fr/content/loin-de-chez-moi%E2%80%A6-mais-jusquo%C3%B9%C2%A0

http://www.editions-ixe.fr/content/loin-de-chez-moi%E2%80%A6-mais-jusquo%C3%B9%C2%A0

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=69106

Agenda - Editons Parenthèses: Mémoires culinaires du Bosphore de Takuhi TovmasyanAgenda - Mémoires culinaires du Bosphore de Takuhi Tovmasyan - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org - Mémoires culinaires du Bosphore de Takuhi Tovmasyan - Editons Parenthèses - Collection dia-sporales - Traduit du turc par Haldun Bayri. Croisant recettes de cuisine et souvenirs familiaux, cette promenade gourmande nous mène des ré-gions de Thrace orientale aux rives du Bosphore, à Istanbul. Mezzés, grandes tablées, «repas de pauvre», ou délicates bouchées dignes des palais se retrouvent dans des plats simples ou très élaborés...

Publié le 15 novembre 2012

Diasporamag

Mémoires culinaires du Bosphore

Riches de diverses influences gastronomiques, ces recettes composent le ta-bleau d’un amour pour la table et le partage. Des voix résonnent qui nous font partager les souvenirs de ces êtres authentiques, moments heureux, fêtes cha-leureuses, exils et douleurs. Depuis les bords de mer aux eaux claires et pois-sonneuses, Takuhi Tovmasyan nous dévoile sa maison en bois d’enfance puis l’atelier de son père au Bazar des bijoutiers. Par le charme infini des «feuilles de vigne» et autres plats mythiques, on découvrira les portraits et les photogra-phies des artisans de cette transmission culinaire, notamment deux grand-mères lumineuses à qui le livre est dédié. Empreint d’émotion et de pudeur, ce monde de saveurs est une mémoire vivante.

16,5 x 23 cm, 144 pages, nombreuses illustrations en bichromie, 2012. isbn 978-2-86364-270-2 / 22 €

Takuhi Tovmasyan

Éditrice, Takuhi Tovmasyan est née un lundi de Pâques, à Istanbul, dans le quar-tier de Yédikulé, à l’ombre des remparts antiques. D’une jeunesse stambouliote entourée de parents, d’amis et de voisins, elle garde les fortes sensations de «la

ville» immortalisée par le photographe Ara Guler.

Elle est parmi les fondateurs, en 1993, de la maison d’édition Aras, projet mené par l’écrivain Meguerditch Margossian et un groupe d’intellectuels. Elle consacre toute sa passion et sa générosité pour ouvrir une «fenêtre» sur la littérature et la culture arméniennes, notamment en langue turque. En tant qu’auteur, c’est dans cette volonté de transmission qu’elle prend la plume, pour mêler cuisine et histoire familiale. Son livre publié en turc, a connu un vif succès et a fait l’objet de nombreuses rééditions et de plusieurs traductions

Editons Parenthèses

72, cours Julien — 13006 Marseille — France courriel : [email protected]

http://www.diasporamag.com/magazine/livresalaune/874503a0fb0e5570232/index.html

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=68956

Agenda - Opposition turque : une maison d'édition pour la liberté d'expression

Agenda - Opposition turque : une maison d'édition pour la liberté d'ex-pression - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org - Idea Politics Publications (IPY) vient d'être fondée en mai 2012. Les trois premières publications de IPY sont parues ce 1er octobre 2012. Il s'agit de deux livres en turc du journaliste, analyste politique, consultant et éditeur, Erol Özkoray, "Ordu ne işe yarar?" et "Cumhuriyet". Le troisième ou-vrage, quant à lui, est celui en anglais de Nurten Özkoray "Individua-lism & democracy in Turkey".

La ligne directrice des éditions IPY est celle de l’anti-totalitarisme. Idea Politics Publications traite de tous les types de totalitarisme, d'autori-tarisme, de fascisme, et d’autocratie et œuvre pour la défense des li-bertés, de l'égalité et de la justice. En ligne de mire : l'Armée turque, les généraux, les réseaux Ergenekon, l'Etat-profond turc. L'étude en anglais de Nurten Özkoray se penche sur le phénomène de l'individua-lisme en Turquie, et les liens avec la démocratie. Entre valeurs tradi-tionnelles et modernisation, la société turque se trouve dans une phase de transition fascinante. Commencé comme thèse de maîtrise à l'Uni-versité de Boğaziçi, le livre "Individualism & democracy in Turkey" offre un instantané de la société turque vis-à-vis de certaines valeurs et concernant sa relation avec la démocratie. Les principales conclusions de l'étude indiquent une forte emprise du nationalisme et de la religion en Turquie et montre la nécessité du pluralisme afin de stimuler une véritable démocratie. Selon Erol Özkoray, l'absence de "liberté d'ex-

pression va être la principale faille politique de ce pays au 21ème siècle".

DISTRIBUTION: ALFA [email protected]

TÉLÉCHARGER :  Idea Politics Publications (IPY)

http://www.collectifvan.org/pdf/10-05-40-3-10-12.pdf

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=67649

Agenda - Jacky Nercessian salué dans « Les Derniers jours de Stefan Zweig »

Agenda - Jacky Nercessian salué dans « Les Derniers jours de Stefan Zweig » - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org

Publié le 23 octobre 2012

Théâtres Parisiens Associés

Les derniers jours de Stefan Zweig, la pièce de Laurent Seksik, mise en scène Gérard Gelas avec Patrick Timsit, Elsa Zylberstein, Jacky Nercessian, Bernadette Rollin, joue au Théâtre Antoine. La critique est unanime à saluer la performance de Jacky Nercessian : "Saluons Jacky Nercessian, impressionnant sous les traits d'Ernst Feder, ancien rédacteur en chef du Berliner Tageblatt et grand ami de Zweig." (Nathalie Simon, Le Figaro). "La découverte c’est Jacky Nercessian qui apporte toute son ironie à ce chemin vers la mort. C’est à la fois brillant, mélan-colique et inquiétant." (Catherine Schwaab, Paris-Match). "Jacky Nercessian fait une composition bouleversante d'Ernest Feder, l'ami. Scène magnifique que celle où il raconte à Zweig les arrestations des Juifs dans toutes les villes d'Alle-magne, terminant par Berlin, ville où réside sa fille. La voix se brise alors révé-lant toute la douleur d'un homme par ailleurs assez froid et cynique." (Nicole Bourbon, Reg'ards).

"Les Derniers Jours de Stefan Zweig" est l’adaptation théâtrale du best-seller de Laurent Seksik, vendu à 100.000 exemplaires et traduit dans plus de dix langues. La pièce nous transporte dans le tourbillon de deux vies, l’ultime voyage de Zweig et de son épouse, Lotte. Ayant fui le nazisme, l’écrivain huma-niste et sa femme, éprise d’absolu, croient trouver à Pétropolis, au Brésil, des ri-vages paradisiaques. Rattrapés par la tourmente, cherchant partout la vie, Ste-fan et Lotte deviennent un couple de légende. Entre la nostalgie des fastes de Vienne, et la folie du carnaval de Rio, la pièce nous livre le spectacle boulever-sant d’une aventure unique. L’histoire du dernier amour de Stefan Zweig.

Les derniers Jours de Stefan Zweig de Laurent Seksik

Mise en scène : Gérard Gelas

Avec :

Stefan Zweig : Patrick Timsit Lotte : Elsa Zylberstein Ernest Feder : Jacky Nercessian Madame Ban Fiels : Bernadette Rollin Rosaria : Gyselle Soares

Décors : Jean-Michel Adam Costumes : Pascale Bordet Lumières : Gérard Gelas Assistant à la mise en scène : Arny Berry

Première : 27/09/12 Mardi, Mercredi, Jeudi, Vendredi, Samedi à 21h Samedi à 16h

Théâtre Antoine - Simone Berriau 14 boulevard de Strasbourg 75010 Paris http://www.theatresparisiensassocies.com/pieces-theatre-paris/les-derniers-jours-de-stefan-zweig-1203.html

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=68281

QUELQUES INFORMATIONS SUR LE SITE DU COLLECTIF VAN

Rubrique Info Collectif VAN

Retrouvez toutes les traductions de la presse anglophone ou turcophone dans notre rubrique Info Collectif VAN http://www.collectifvan.org/rubrique.php?r=0&page=1

Le Collectif VAN met en ligne régulièrement des traductions de la presse anglophone et turcophone. Oeuvres de militants, de sympathisants du Collectif VAN et de prestataires, ou émanant de sites externes (tel celui de la FEAJD), ces traductions visent à mettre à la disposition du plus grand nombre, les informations essentielles à la bonne compréhension de l'actualité.

Vous retrouverez également dans la Rubrique Info Collectif VAN : http://www.collectifvan.org/rubrique.php?r=0&page=1

- nos informations ou communiqués de presse, ainsi que ceux de certaines

organisations externes.

- le sommaire bi-quotidien de notre Revue de Presse du jour.

- la Revue de la presse turque en français (ni traduite ni commentée de notre part).

- la Revue de la presse arménienne préparée par l'Ambassade de France en Arménie.

Rappel : Vous avez en haut de page, un module Recherche pour retrouver un article. Attention, le champ de saisie ne doit comporter qu'un seul mot. Essayer de cibler en choisissant plutôt des noms propres, pour éviter un trop grand nombre d'occurrences.

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Rubrique News Tous les articles de la presse française sont mis en ligne dans la Rubrique News (bandeau clignotant : "Toutes les News : cliquez ici pour accéder à la Revue de Presse". http://www.collectifvan.org/rubrique.php?page=1&r=4

Info Collectif VAN Toutes les traductions, résumés, informations propres au Collectif VAN sont en ligne à l'accueil dans la Rubrique Info Collectif VAN http://www.collectifvan.org/rubrique.php?r=0&page=1

Tout sur VAN Mieux connaître le Collectif VAN : rendez vous à la rubrique Tout sur VAN.

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Tout sur VAN : vous y trouverez également les courriers des lecteurs Les courriers des sympathisants du Collectif VAN nous font chaud au coeur et nous confortent dans la certitude que notre approche du combat que nous menons, est juste. Et comme ça fait toujours du bien de relire de temps en temps leurs encouragements et dans la mesure du possible, nous mettons en ligne les mails reçus, du plus récent au plus ancien (en ne gardant que les initiales des sympathisants) :

http://www.collectifvan.org/article.php?r=1&id=6137

http://www.collectifvan.org/article.php?r=1&id=2203

http://www.collectifvan.org/article.php?r=1&id=538

Salle de Presse Tous les articles de la presse française rendant compte des actions réalisées par le Collectif VAN sont en ligne dans la rubrique Salle de presse. http://collectifvan.org/rubrique.php?r=2&page=1

Communiqués Les Communiqués du Collectif VAN se trouvent dans la rubrique Communiqués. http://collectifvan.org/rubrique.php?page=1&r=9

Actions VAN Tous les articles présentant les actions organisées et réalisées par le Collectif VAN sont mis en ligne dans la rubrique Actions VAN. http://collectifvan.org/rubrique.php?r=3&page=1

Agenda Les annonces parlant des événements culturels à venir (réunions publiques, manifestations, conférences, concerts, projections de films, expositions, parution d'ouvrages, etc.), sont mises en ligne dans la rubrique Agenda. http://collectifvan.org/rubrique.php?r=5&page=1

Photothèque De nombreux photos-reportages sont disponibles en ligne dans la rubrique Photothèque http://collectifvan.org/rubrique_photo.php?r=6

Veille-Media Toutes les Veilles-Media à télécharger sur : http://www.collectifvan.org/rubrique_veille.php?r=9&page=1

MEDIAS

N’oubliez pas qu’en tant que téléspectateurs vous pouvez témoigner de votre satisfaction (et de votre mécontentement lorsque c’est le cas) auprès des media qui traitent l’information.Quelques adresses et tél.:

TF1 - 1, quai du point-du-jour 92656 Boulogne cedexTel : 01 41 41 12 34 / 0803 809 810 — Fax : 01 41 41 28 40Internet : www.tf1.fr

France 2 - 7, esplanade Henri-de-France 75907 Paris cedex 15Tel : 0825 033 333 Fax : 01 56 22 98 74Internet : www.france2.frEmail : [email protected]

France 3 - 7, esplanade Henri-de-France 75907 Paris cedex 15Tel : 0825 033 333 Fax : 01 56 22 75 02Internet : www.france3.frEmail : [email protected]@france3.fr

Canal + - 85-89 quai André Citroën 75711 Paris cedex 15Tel : 01 44 25 10 00 Fax : 01 44 25 12 34Internet : www.cplus.fr

France 5 - 8, rue Marceau 92785 Issy-les-Moulineaux cedex 9Tel : 01 55 00 74 74 — Fax : 01 55 00 77 00Internet : http://www.france5.fr/Email : http://www.france5.fr/contact/Ecrivez à Alain Le Garrec, médiateur des programmes sur :http://www.france5.fr/contact/W00069/2/71909.cfm

Arte - 2a rue de la Fonderie 67080 Strasbourg cedexTel : 03 88 14 22 55 — Fax : 03 88 14 22 00Internet : www.arte-tv.comEmail : [email protected]

M6 - 89, av. Charles de Gaulle 92575 Neuilly/Seine cedexTel : 0825 06 66 66 - Fax : 01 41 92 66 10Internet : www.m6.fr

I-Télévision - 6 allée de la Deuxième DB 75015 ParisTel : 01 53 91 50 00— Fax : 01 53 91 50 01Internet : www.itelevision.fr

LCI - 54 av. de la Voie Lactée 92656 Boulogne cedexTel : 01 41 41 23 45— Fax : 01 41 41 38 50Internet : www.lci.frQuelques émissions radiosoù les auditeurs peuvent intervenir

Europe 1 www.europe1.frSemaine de 18h55 à 20h00Michel FieldChaque jour, du lundi au vendredi, de 18h55 à 20h00, Michel Field “accouche” en direct les auditeurs, sur un thème d’actualité. Sans se contenter du pour et du contre, il les fait dialoguer à plusieurs sur un même sujet. Ils se forgent ainsi eux-mêmes leur opinion comme lors d’un travail journalistique : croiser des sources puis se rendre compte que la vérité est souvent de l’ordre du compromis entre des idées tranchées. C’est aussi une façon de prendre chaque jour le pouls de l’opinion publique sur des sujets lourds et graves mais aussi légers et futiles comme en distille, chaque jour, l’actualité. Pour discuter avec Michel Field, il suffit d’appeler le 01 42 32 14 14 ou d’envoyer un courrier électronique sur www.Europe1.fr.Semaine de 10h30 à 12h00Jean-Marc MorandiniCoup de pied dans le PAF chaque matin : Jean-Marc Morandini nous dit tout sur le monde du petit écran au travers de reportages et d’enquêtes dans les coulisses de la télé. Egalement en studio chaque matin, une star du petit écran ou un patron de chaîne répondra aux questions de Jean-Marc Morandini et des auditeurs. A découvrir aussi, le zapping de la Télé de la veille et les commentaires des auditeurs qui donnent leurs coups de cœur et leurs coups de gueule sur le répondeur de l’émission au 01 42 32 42 32 ou en direct au 01 42 32 15 15.

RTL www.rtl.frSemaine de 13h00 à 14h00Pierre-Marie Christin Les auditeurs ont la paroleRendez-vous phare de l’information, le 12h30 accueille un nouveau présentateur. C’est en effet Pierre-Marie Christin qui succède à Christophe Hondelatte et Jérôme Godefroy aux commandes du journal de la mi-journée. Pierre-Marie Christin présente ensuite, de 13h00 à 14h00, “Les Auditeurs ont la Parole”. Réagissez à l'actualité par téléphone (32 10) ou sur internet. Entre 10H et 14H, une standardiste prend votre témoignage. Avant 10H et après14H, vous pouvez laisser vos message sur le répondeur, sans oublier de laisser vos coordonnées téléphoniques si vous voulez participer à l'émission. Chaque vendredi, cette heure d’expression prend une coloration week-end. Les loisirs sont à l’honneur avec la participation des journalistes spécialisés de la rédaction, ou d’intervenants extérieurs. Et, à la veille du week-end, Louis Bodin dialogue avec les auditeurs sur les phénomènes météo de la semaine écoulée ou des deux jours de repos à venir.

France Inter www.radiofrance.frSemaine de 19h20 à 20h00Le téléphone sonneSi vous voulez poser une question, témoigner et/ou intervenir à l'antenne...- le téléphone 01.45.24.70.00 dès 17h- Internet, en utilisant le formulaire de la page "Pour intervenir".- le SMS+ pour réagir pendant l'émission, de 19h20 à 20h : sur votre téléphone mobile, saisir le code " TEL " suivi d'un espace, votre question puis valider et

envoyer au 6 20 30. (0.35€ par message plus le prix du sms)Le lundi, mardi, jeudi et vendredi à 19h20, nous vous invitons à réagir sur un thème de l'actualité, à poser vos questions aux invités du téléphone sonne. Vous pouvez également, après la diffusion, réécouter l'émission dans son intégralitéLe répondeur « Là-bas si j’y suis » : 01 56 40 37 37 soit sur notre mail : [email protected] et nous donnerons suite !

RMC www.rmcinfo.frBOURDIN & Co Le 1er show radio d'infoDu lundi au vendredi de 6h à 10h.Découvrez une nouvelle façon de traiter l'info du matin avec "Bourdin & Co" ! Finis les journaux austères et redondants. Voilà enfin un espace de liberté où auditeurs, politiques et journalistes sont logés à la même enseigne. Jean-Jacques Bourdin agite, provoque, polémique, et vos réactions ne se font jamais attendre! Un ton débridé et sincère pour des échanges parfois musclés mais toujours respectueux. Pour intervenir : Appelez le 3216 (0,34€/min).

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L'association des auditeurs de France Culture

L'association des Auditeurs de France Culture (aafc), créée en 1984, rassemble les personnes qui veulent manifester leur intérêt pour cette chaîne de radio dont les émissions sont écoutées et appréciées au delà de nos frontières.

L'objet de l'association est de regrouper les auditeurs de France Culture pour favoriser des rencontres et coordonner les actions visant à :

- l'évolution de la chaîne dans le maintien de sa qualité ;

- la préservation de son identité et de sa spécificité ;

- l'amélioration de sa technique et de son confort d'écoute ;

- son ouverture aux différents aspects de la culture ;

- son rayonnement et développement de son influence ;

- sa pérennité.

L'Association se déclare attachée au caractère de service public de France Culture et ne saurait en aucun cas se substituer à lui. Elle se veut pluraliste et indépendante de tout engagement politique, confessionnel, syndical et philosophique.

Association des auditeurs de France Culture 83 boulevard Beaumarchais

75003 Paris Téléphone : 01 42 09 03 67 Courriel : [email protected]

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Collectif VAN[Vigilance Arménienne contre le Négationnisme]

Boîte vocale : 09 50 72 33 46 [email protected] - www.collectifvan.org

Collectif VAN - BP 2008392133 Issy-les-Moulineaux Cedex

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