A FM NOUVELLES ETRAK Vente...

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A \ FM / NOUVELLES ETRAK U»J 10 Février i ;2o PARIS Le paquebot Russe imper. tor Pierre lt Lu and «mêlé par 1. 1-raoce toucha une mine et coula eL sortant du port de Varna. On ne signal aucune vrcume. fAKlS Monsieur et Madame Pc in cire oitrnent un dîner en l'honneui de DeschaLtl y assistaient, Milltranu ainsi que Mme iVnlieiaua, tous Iti minntres Je la République ainsi qui les sous secittaires d'Etal. MADRID. Le gênerai Wtilltr est nomme capruiue général de 1. Catalogue. Livre sierlirg |8,6S i/j Dollar; M.4I 1/2. La Havre Café Haiu Cip 283 Peu to Cabello 300, Guadeloupe jo$. Du 11 l'évuer 1920 PARIS. Mtjrci cha.gé d'.iïaitfli d'Allemagne rentrera uunhin malin a Pans. PARIS. La délégation llnngio.se arriva dans la maunee et leutcuia iien ..ia uu Secrétariat de la conté' jeace ses observations sur les êcntfi- lijnsde paix. PARIS La délég tiôn L bi. as : vant a *a lete Ardatlty Koury arri- va à Paris. PARIS Les agriculteurs se mon- teat enchantés de la de ru ère dtwl- ,».on gouvernementale tendant libit le commerce des bits puur 1620 11? estiment que celle suppiesnon va équilibrer le prix de l'avoine ci du hit. Les semailles prochaines repicn diont la place a peu pics égaie a celle qu\ lies tenaum avant la guene Un iiaui toucuonnairs eu miuis- tère de l'Agncu.ture expliqua ta Pe- lit lournal* que la recoiic de 1 -1 v jeste soumise a ia taxe fief de 73 irancs. Il serait injuste que les possesseurs de s\ocks pu-ssem vendre leurs blés i un tours plus élevé. 1 ous ici rue» encore en possession des pioducieur» seront réquisitionne*, *e qui aidera a passer le mois de la »ouuuie, l'aug- menta lion du, prix du pain aiminue ta la consommation par dts résine- siens volontaires ainsi que l'apport 4tt blés d'Australie des laaes ci ae l'Arg«fct»oe qui aideioui ctealemcut- ROrVK Le Bulletin #lriciel du ttmimndement de F.ume dément . interview de 1) Annutzio paruedan» an journal allemand de Vienne LE CA1KB Clémtr.ceau au couss d >es promenadeseit 1 objet de f'éque» tes mrnttesLlions de svmp. thie PARIS Deschanel teçtl la déléga- ;ion du comité de l'union laine r:o- umment Alfred ». roisit,Gfo r ges L:- vy, Charles Richet, Cantaguzene venue lui cifin la picsidence dhon oeur de leur associât en. Dts.hanel iccepta assurant aux membres du jomité son bienveillant concours pour un rapprochement par l'amitié ;t les intérêts de ioir.es les nations .atines d Europe et d'Améiique. PARIS— Le produit des impôts lirects et des monopoles s'élève jour Janvier à ££5 4.^,600 de fanes qui est le chilfre le p.us élevé £>tte:n, jusqu'ici et qui secuse une augmen- tation de j31.e11.1co sur janvier 101» 1 AR1S— Au sujet de la déclara- lion envisageant la possibilité dune tévision du tra'té, 1 La Liberté 1 in- terview.! lafdieu qui déclara qu'on ne peut améliorer ce qui existe ei que le traité existe.il faut l'appliquer lel quel PARIS— L'artiste Gaby Des'ys de céda a ia suite d'une opération né* cessitée par une mahdie de fabdo* meo. PARIS— Poincarè reçat dans la malinée en audience (jhika. m.mstrr de Roumanie. V1LNN1-- Un radiotélégramrne de Moscou renouvelle que la Polo gue lit des oltres de paix au comi'é central des Soviets, lequel maintient la reconnaissance de l'indépendance Je la Pologne et la renonciation de toute politique de violence et les promesses d'importantes concessions aux capitalistes anglais, lraoeiis, ainsi qu'aux petits états li.r.itiophes.; liRFXbLlIiS-- Au comité interna-1 tional des mineurs, les orateurs pré-: conisèrent la nécessité de. uconstiiueri lalédération internationale et dedon-j ner une solution aux problèmes im- portants, notamment de supposer le retour des guerres. Les délégués al- lemands et autrichiens ne sont pas la France encore arrivés. PAJXMS— iMayer, chargé d'tffiircs allemand, UlWa à 21 heures. PARIS - Commer.l.nt les déclara- lions de L'.oyd George, les journaux du soir relèvent unanimement la 4iffertr.ee de langage tenue i Lon Jres d celui tenu a P#ns par Clé- merceau et plus lard par Millerand sur U question russe et turque et ih insistent s.ur la nécessité d'une col laborstion pour uoe conduite iuti ne il ttauctie entre la France |ti I Angleterre sur ces questions fonda- mentales Us expriment l'espoir que la conférence Je Londres fera dispi- raitre les divergences de vues qui nr I peuvent d'uil eurs afla ter profonde j Nom sommes m «vnt la co dul et l'amitié lian» co : , ^ sdoc '" inc ! om ., les deux nations. DUlLAR : 48.09; Faits Divers rtENSEIQNEMENï.i MhTi.ORÛLOGIQUEf obSbHVAÏUlKK DU PETIT SlîVll^AlRf ( OLLEGH ST MARTI Al 5 Jeudi 12 F.vri-T 1920 Buomiut 762.; | minimum 20,5 I\ra érature maximum 32,; Moyenne fiutae 2t>,j Ciel IMI ch r j >ur el_nuil Bitorr.cut en hiuss(. |. SCHERER f* 1 Du sucre 1 Du sucre ! mesure «l'ai m mer que Ie> commence en plsloc et \> Û|Ogine«l qtw bientôt la SufV hvera du sucie I in > uiiu-iui'.ialion. Il taut etpëfcf que cette reprise Je la i roductioi f e ra baisser le r rl * J C cet article indisyenv.l'le Cinéma populaire Ce soir, c'est un 1 rjgraouM spécial qui sera Bérut4 -m Cinéma UJ u rue LUntè* DttMOUCbei nous invitons le pubuc à aller en loule. Les l'.L'iis ont etc choisis de f*(On a p.aire ;• tous les goûts. On lera bien de conserver le: ic«. t'. pour le lirage de la loterie de dimanche. Four ia chapelle de Bizoton Faute de lonJa, les travaux di constru.:. a -. a chapelle de Ui/oton ont Otc suspendus. .Nou: ."rovons HVOil qu une tête sera oiletie bientoi J«.i! les bcneiices seront alfcctcs 1 cef.c OMVR \ i le< nombreuS'S a lires dis Joit '' ut '" l e a ** gci.eraleuient reconnue. A pari les nomoreus.s autres aib u Ul0UiJe ^.«u-wnee»wt,«won rrac'ionsqui serant olt;rtes au public, j UM . J OISI ammer des preuvw de générosité. Les Arcnives Générales de la République HA:. Comptoirs excellemment pou. , Lc5 , UHm dcu( , arjll0ll du MaKllC . du foa% vus.r Ir.iC.'î S ; .e:ne. 6 dciuicax,00jet ' Marehand iteôina, comme on le san, » WVII dt ioapptéciftb e», otuauis. tian p.rfaue lacnl «m Archives béoCrain 4s w KtputUi,*:, ' . ° * i .nar.hent aciivemeût. rien u y manquera. i L'édujce dont ie» ù s a-i.s seront enpuni* k vjce tout le moud: se prépire a tonnéçsou'rin toutes suites de garMitw» uutfo- j aller a l'rlôttl-iiellevue qui, ce jour wmenu qui. do.t fâtdet. "111. sera resplendissant ! Contre les terrains vagues Convocation Le bal de la M 1 Renaissance Dépêchez-vous de prendre vos c?i tes pour la e de «La RenaissaïC;»: elles B'ta'.èVf.ot rapidement. Tous in p.èp..iitits sout achevés qui kroni de ttlU tt e la plus réussit de la saison. il liut s jjialer p;<rticul èremeui la iv-rmesse qui sera simplement ép Bo vue de prendre les dernier» & décisions couccriittiu lu hal iravcbt. du It» tfcvi.tr couiaut, les in u.i.ie. de ia ileuaiiiéiiucu ëuut cuiiVuquus d t) lieutcs ptecmts uu soir citez ISoiiiJtle Luii les. **• '} rsx&ioestrxu WaS. - ._• NOUVEAUX ALAMBICS «nr.r D'JTI'J.rr. » HECTCXS ] ;f Lo« c.VJX-OC-VIt, [.* RMUV.i, ALCOOLS, etc. ÛEROYFILSAlNÉj 75, rui iu :ti4iftrt, 75 PARIS ftUlQc FRAT:CUF t* munjtnc d-iAixnB- V '. FS9CSCES Ht. MANUEL U Ftnricin'. % ' >: «t TARIF IILU5ME llroMI fcuicu. \ 13 FEUILLETON UU «UAT1N») M—W—I ' -' « '"" Judex GRAND ROUAN Par A m II I H B E H S l: D £ ( Filmé par L. Feuillade ) DtUXli'.MB Kt'ISODK 3L*£XP1ATI0N (!** M&dMilfl trailletMH Noos attuons i'atteiition sur Ici toirains nui JÔUUtl qui ont etc le tlicatrc du dernier inceii- uie de U iut dCI Mincie** ( Cl terrains servcli, je dépotoirs et sout dcvcoui le plu» Dulodoranti que j'ossifln. Pour ia sauté pub.ique, des mesures tevirti s'imposent contre cet état ii CPCXC1. L,à. Comuiission tinanciére La Commiwion nunciire dont nous annon- cion> OeruiercineiH le dopart ci qu'on .-.itenda:' ju]i..ird'aui aruveia prus.iu.ciin.ui u semaine pru- cnaiiie par un Mttni uc la li^iic 1'an.una. Fiançâmes Nous lYOOl tcçtl MB awtCl »le fiançailles de Meiic Uarthe .\loi»e avec UouinJ Unwneaa. l'ou» nos compliment». A'-ciaent de train Ce matin, le premier train de tiizoton effee- njnt son voyage de retour quand, parvenu ae niveau du bois vYitty, u loco.nouve eut uu ac cident a la ehaudietc, Le train a etc remotqué vers 8 heures et de mie, heure a li niche devait avoir lieu sou deu ... me vayage. e Vente pâDiciiatloi En vertu i 8 d'un jugemm* ,iar le ïribuml de première / ft ,le Fort au l'ru.ce tu unie du <ix jai'viti mil m M/ <r*/ t - 4 ,,«j iicint le yarlëije des lointuu^^J maetsiou d* ftu ttrnand 'ia "' i a d'un rappoit d experts entérhnê pur juyemint au n.fmi hunul en data Au dix h. irur \u£\ Iliera protide te vtndredi ovei :ump era vingt xrpt téuritr courml itx heures du matin, en liturtc ij le mintitrre de Sle Lion C/iurfa , mire à Purt-au l'rince, à /u ie»û plut offrant tt dtrnter iucl,ir t une j.roprtéti (tondu et balmeti M iet,e iule, tue du Llminp a «, Mo àiàil. Celte propriété t««j ' •me maison basse donna m sur / a •.•* deux autres chambras dant /< ,. :11e est desservie par toi pui/i' mesure vingt quatre pied» s t pt de façade sur vent vmyt et un ni orvfondinr et est bornée au JSoroîl «t lia» du Champ de .\iart, auà« 11 Ouest par l » mptQ&m ut d K /(j L Amil'C et u I tel par (ei /eu benjamin Vtuu, telle que ($[ propriété :e poursuit cvviporle $, tend sans amune exceplnm m r(ti Aux nquete, pouisuite et U la dame Lon te bunsen h" d'emand 'Joussautt, propriétaire meurant et (tomicihée a Mirai» igtssunl tant en son nom comme i niune en biens de feu son épi comme tutrice de son e niant, int llortensius 'Joussainl, cn/«ju poiif( eut constitué Me Jules JUevhvx: Contre les époux Mucicn tut.\ foume née Celui Toasuutnl^eme i l'ort-au l'rince, Uyant poui Mes J. l£. haiifant el C. I. /.èftlif La vente aura lisu en preeemi tubrogetuteur du dit mineur dite ippi'td, sur la mif a prix de, jouidts, fixée par le» exptrls: If,! l'oit au i'rince, Il fevrter Iules DfcYltliN, | h. rANFANT,] L. I ZtPHli lières. Je suis en ca rao-nent dame da compagnie chez, de riclies Américains qui viennent de se fixer i fans Uha'géo par eux de recharcher pour leurs eutdtus. un proteaseur de pia uo, sacliant parler l'anglais»... mon alle.tiu.in a été a.luéa par 'nue des annonces t{U8 vous ave/, fait insérer Jans uu journal' et |Q me suis em piessre il-) me rtndre cliez cett .madame Jeanne Berlin, alin de mte 'ieudia avec elle. Vous nie/, du voir Grove/., chère mademoiselle Ma plus qu'une pauvre petite chose rie, que je u'oublierai jamais la preu inerte., que tnomphalemeut. sauva ve iia'ï-i: i>o que vous venez de melgomeut, Diana et SOJ aman 1 . eui t o donner. !taieat. N'est-ce pas tout naturel? .S*is-lu quelle est cette femme'; piésentere/.-vous? les Hop kiugs Noua \ set on s i Ouand me Toui de suit-î, dtiueurecn à Auteuil daua quelques muni es et dans une'la rille du ban demi lieure\ toat sera réglé-.. VenezI Mais ella U » peu ôo rdie p>r ces paioles que l'aventurieie expritnau avec une (t.* combien vwes ont été ma sui prise et volubilité cordiate et persuasive, oio j oie en me trouvant en lace de .Jacqueline hésitait. roui. viaux, braves après Le banquier iaviaui e.. (OUitOyt nnstûieu .•euici.: pour n'avoir pu Bl H MM ordres de ludev, qui l'a somme 1 de douuir la moitié de Sa biens aux pausres. JacquclUN, (Mie de- H abandonne sa lortune et travaille pou. avoir contié son lils Je.m à de lille repouiSt: le> proposai'.. ga- uiucs dûmaraiiii Je Hirarguci et reçoit Je; JUKI mu maçons, -ii'clle derra lâcha si elle est en dansa.-- DÎfOa c<-.té, Judex, aidé de son irére Houer. enlève Fil«nt» ^ »"" toml-eiu. le raaiK-lle à ta vie et Viontraim i demande» pardon a sa fille, lasrau.v tv mourra pet, rnyil il est condamno i l.i pfb»a CfpétuelK. D8 .oncer: avec Uiana Monti, I ancacun» institutrice <iu peut-fils de Pavrain, et i amani de epiie a, .«-rq-^ de Binifues prépare renUtemsW jatauetine. VI (Suite) Di-na Monli una bietiveii du ban |ui«i tendues veis L averituriiire, plus décidée que latnais à mtuer jusqu'au bout sa 'jefcogne inlàma conbau.*, nuiietuen desannée par laut de noble eouragp et de touchante infortune ; Vous ne pouvez vous tatsglnpf combien je bénis lu Provideuce qui tu a cotiduite jusqu'à vous. Ki mettant te comble à 100 Uypo- Criait, la maîtresse de Moi aléa doul .e rtgaid venajt ûà se poser sur It è >iiuiogi8priie ou petit Jean, s écria : (Je cher ange adoie'.. Ifccusi? moi, inaaame, UUDB IUOU truubi», /dVNia oublie de vou» demander ue aes uouve.ie .' - Il va lies b'eo, je vous retirer cie, lepouauit Jacqueline, entière Loeot dupe des menée» de l'ex- instituttice. Colle ci însis'ait, jouant avec un art iuliui tv>u i*"»le abominable : Uue jo i.uia J;*-uieuae de pou voir tÊVQuto*&lft eiilfi» toutes les i.julés «IUO vous uvt/ eues poui moi!. Ea tilet, les Uopsliiii^s aonl Aloue, chère petite madame, s'écria la Uonti, décidez-vous, ou oien je vous enlève de force. l-.n ce cas, je vous suis, cou sentait Jacqueline, pleine de gratitu- de envers la perfide créature qui avait imaginé h lâche guet-apens a force de fou b.'ne et de r-so, eli« avait si bien réussi a entraiuer U pauvre jeune femme. Mcralè8>en costume de sportstnau de la plus correcte élégance, faisait les cent pas sur le tro oir Aussi o qu 1 ap içutDiaia et Jacqueline i aiili 1a .tfouti a sou amaut. Non. Eh bien, c'est JacquelineAub y, quier b'a ! a te revOai. i rev Variétés Cl ..SOIR MISERICORDE JUDEX " 8e épisode 201 l.UC l'n'r.'c générale ti Enfants Tout de 8ui'e, tfNC l uice «sxquiaf. la tille rSSSSi m-tiSmce SHS peùtiëile.Mvem, «J**- £**!& Jean . a-upefaite d* s* retrouver en.rez leur dumandei vmg Traocs ineu présence de madame Aubry. Jre... Mais wwr ï-fOlif, J9 reipec Mademoiselle Marie., nprenait'lerai votre U.COV» 1 ° ' ils ue wur ?" celle-ci. . que je suis heureuse delnen.. je vous le promet-... pas piiu voir revoir! . Mais., comineni avez tux que personne. Lea enfants so TOUS pu découvu mon edie*s-*7 fort bien élevés .. tréa gentus., Seuls, M- Valhérea tt les Booteaya sarout lavis da vousconnm la conua ssent. . et je m'étonne qu'il» Leu.z, Chère madame, je soient permis... lueiu co UuUi que J se lu suis telle veu< demauJt l us emorati ; - Uinn- vau. sotrtil d.ja i«»»Mt«< I* peffittieal repieuait sur un ton ^uypodiai. liée yo 'OO.i«r«, te ; i ;^^; t 1 ^ «ilUtueuse et d.lereu e : clnmeui Jaequ, Lue., qui tout en Uièie oeauaiiie, je vous en mmant a la imeeiau»» su» P*"»*' prn. u incriminez personne.-. Je n'ai de iiaiinse, lit aussuot JM'fM tfsu pj tiout iiy*v U »' v »'- sjyouuue de tou c^ur j>eut fujt ils avança vers elle sa catqueiw a la main. Madame Jeanne Bénin, prise t ta aussitôt 1 aventurière, monsieui James Mopslviugs qui a bieu voulu m'accompaguer. Très empressé, Morales aida la jeune professeur à monter dans II ;u\ueuse limousine qui stationnai devant lauortede (a pensionGhapuis. Du a s'assit i.ro.. de Jacqutl u.. Moral s siuttlana eu face délie... .. auio gBgna rapidement le bois d. ttoUiOCOe, traversa 1 ull.-o du bon, champ, s en^ea dans la route de* Lacs. Mais presque aussitôt, au lieu le continuer sa route, le waltmae, bifurqua à droite, dans une allée détecte, ilsI Alors, Diana bondit fur Jacque- Aii! lino et appuya fortement contre ses tevros et ses •.•armes un tampon du uate culoiof'jrmée. La m*iheuieudèj-unefem ne n'» a pas le temps de poi s««-r uu >t.. t.^ t i eu valu qu lie voulut se déoet r., •i JI .. es i tIXJ ujii.iisai ii-.i o il» s ses orces, tandis que le carcolijue fai- sait sou eeurr»! et tj^ntéi et oo (ui EUe in a reconnue'. lit lu as osé? Tais to.! Maintenant que nou» iorames embarqués, ricana l'aven- turière, il taul que nous allions jus- quau boul du voyage/ VII Les deux pigeons Dites, papa Juli?ri, quand esi.ct dimanche? Daus quatre jours, m JII enfant. Ei avan - . je ue v irai pu. maman?. Ueî non... mon petit Jeannot Pourquoi nu vieui elle pas plus lôtr*.. l'ai ce qu'elle travaille, la pau- vre chère dame ! Oui., imita vous pourquoi ne m'emmenez veus pa a la voir? Et le bra?e père ttonlemps qui était eu train de remplir de chou* uue voiture de maraîcher, expliquait avec un accent de bonhomie allée tueuse : .— iNous aussi mon mignon, nous tvons beaucoup d'ouvrages., Mais ne vous lour.ueu ez pas, quatre jours, cesl vite passe : Quatre Joursl quatre jouis! répétait le) bambm, en comntaut sur aea doigts Kt il Bjouta, tandis que deux gros- ses larmes, voilaient ses beaux veux si doax . i/auv' petite maman chérie/ Tout le restant de 1 après.midi maigre les étions viarian ne se retira chez élit, Il j ^ard de Jeannot ae remplit expression de satisfaction mi se et presque provocante, petit, tei m an t lus yeux, parât mir pie-que' aussitôt, au lai d une vtilltuse qui répandait i d'elle une discrète et n clarté. Or, M, Jeannot était parfait! éveillé... L'oreille aux agufti, tendit claque bruit «le la s'éteindre [>au à peu- et Ion lour de lui tout devint silène se dressa sur son séant, démenti instant immobile, puis se glu hors de son lit, marchant i pointe des pieds, il s'en fut «on oreille à la porte qui communique sa chambre avilt de Un'unue. Hassuié sans doute, il il eutiètement, évitant avecf déranger iiiuilemeut i s o de heuiter imprudemment lui blés: puis, marchant à pas dfl il descendit au rezde-chaui '' nétra daut la cuisine dont il la Isnétre avec les. précaution] plus minutieuses, sauta cour, se dirigea tout droit vo.lure du matai lier qu'il non sans peiue, disparut au* milieu des énormes choux quil lui procurer la plus sûre i chettes, s'y installa, s'y cals, calme et le sang froid de qui sait très bien ce qu il fart il va i et lorsque vers uoa du matin, le père Mathieu, oaj valeur du pays qui tondu' tmarette aux iial'es, partit chaque nuit pour la capitali- se douta pas un seul i..- âDl ' emmenait avec lui, enfoui to»J| laa de fégumes, ua garçoi»! cinq ans paisiblement endorsj levant à sa maman. La maraicher arriva ver» s -x portes de la ville. Api* 1 franchi les fortilicitions, >', v lép tes de Don emys si de sa lltlu poui* l'eguyer,'a proximtô duu man-haodi uiuot d uiBU»a us'*. Cv f t il pénétra aussi ôt pour f piau moment d abei a CJUCII«I un coup eu cassant la ci ouïe. jae si physionomie- rep i s u ex piessi.u de joie eufen m , « i.,,, qusprôs l'avoir o^rd^ luaternehe- uitjiH, puii tenUiomei, tm.iutbe, \ p-jne eut-il di»paiu a. u '1 ccaijpt» de gamins d'rjl chant ou ae sa t ou e! vi»i»j sai- uu q io-, nau 1 oota on uU *

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    NOUVELLES ETRAK UJ 10 Fvrier i ;2o

    PARIS Le paquebot Russe imper. tor Pierre lt Lu and ml par 1. 1-raoce toucha une mine et coula eL sortant du port de Varna. On ne signal aucune vrcume.

    fAKlS Monsieur et Madame Pc in cire oitrnent un dner en l'honneui de DeschaLtl y assistaient, Milltranu ainsi que Mme iVnlieiaua, tous Iti minntres Je la Rpublique ainsi qui les sous secittaires d'Etal.

    MADRID. Le gnerai Wtilltr est nomme capruiue gnral de 1. Catalogue.

    Livre sierlirg |8,6S i/j Dollar; M.4I 1/2.

    La Havre Caf Haiu Cip 283 Peu to Cabello 300, Guadeloupe jo$.

    Du 11 l'vuer 1920 PARIS. Mtjrci cha.g d'.iaitfli

    d'Allemagne rentrera uunhin malin a Pans.

    PARIS. La dlgation llnngio.se arriva dans la maunee et leutcuia iien ..ia uu Secrtariat de la cont' jeace ses observations sur les cntfi- lijnsde paix.

    PARIS La dlg tin L bi. as : vant a *a lete Ardatlty Koury arri- va Paris.

    PARIS Les agriculteurs se mon- teat enchants de la de ru re dtwl- ,.on gouvernementale tendant libit le commerce des bits puur 1620 11? estiment que celle suppiesnon va quilibrer le prix de l'avoine ci du hit. Les semailles prochaines repicn diont la place a peu pics gaie a celle qu\ lies tenaum avant la guene

    Un iiaui toucuonnairs eu miuis- tre de l'Agncu.ture expliqua ta Pe- lit lournal* que la recoiic de 1 -1 v jeste soumise a ia taxe fief de 73 irancs.

    Il serait injuste que les possesseurs de s\ocks pu-ssem vendre leurs bls i un tours plus lev. 1 ous ici rue encore en possession des pioducieur seront rquisitionne*, *e qui aidera a passer le mois de la ouuuie, l'aug- menta lion du, prix du pain aiminue ta la consommation par dts rsine- siens volontaires ainsi que l'apport 4tt bls d'Australie des laaes ci ae l'Argfctoe qui aideioui ctealemcut-

    ROrVK Le Bulletin #lriciel du

    ttmimndement de F.ume dment . interview de 1) Annutzio paruedan an journal allemand de Vienne LE CA1KB Clmtr.ceau au couss d

    >es promenadeseit 1 objet de f'que tes mrnttesLlions de svmp. thie

    PARIS Deschanel tetl la dlga- ;ion du comit de l'union laine r:o- umment Alfred . roisit,Gforges L:- vy, Charles Richet, Cantaguzene venue lui cifin la picsidence dhon oeur de leur associt en. Dts.hanel iccepta assurant aux membres du jomit son bienveillant concours pour un rapprochement par l'amiti ;t les intrts de ioir.es les nations .atines d Europe et d'Amiique.

    PARIS Le produit des impts lirects et des monopoles s'lve jour Janvier 5 4.^,600 de fanes qui est le chilfre le p.us lev >tte:n, jusqu'ici et qui secuse une augmen- tation de j31.e11.1co sur janvier 101

    1 AR1S Au sujet de la dclara- lion envisageant la possibilit dune tvision du tra't, 1 La Libert 1 in- terview.! lafdieu qui dclara qu'on ne peut amliorer ce qui existe ei que le trait existe.il faut l'appliquer lel quel

    PARIS L'artiste Gaby Des'ys de cda a ia suite d'une opration n* cessite par une mahdie de fabdo* meo.

    PARIS Poincar reat dans la maline en audience (jhika. m.mstrr de Roumanie.

    V1LNN1--Un radiotlgramrne de Moscou renouvelle que la Polo gue lit des oltres de paix au comi' central des Soviets, lequel maintient la reconnaissance de l'indpendance Je la Pologne et la renonciation de toute politique de violence et les promesses d'importantes concessions aux capitalistes anglais, lraoeiis, ainsi qu'aux petits tats li.r.itiophes.;

    liRFXbLlIiS-- Au comit interna-1 tional des mineurs, les orateurs pr-: conisrent la ncessit de. uconstiiueri laldration internationale et dedon-j ner une solution aux problmes im- portants, notamment de supposer le retour des guerres. Les dlgus al- lemands et autrichiens ne sont pas

    la France encore arrivs. PAJXMS iMayer, charg d'tffiircs

    allemand, UlWa 21 heures.

    PARIS - Commer.l.nt les dclara- lions de L'.oyd George, les journaux du soir relvent unanimement la 4iffertr.ee de langage tenue i Lon Jres d celui tenu a P#ns par Cl- merceau et plus lard par Millerand sur U question russe et turque et ih insistent s.ur la ncessit d'une col laborstion pour uoe conduite iuti ne il ttauctie entre la France |ti I Angleterre sur ces questions fonda- mentales Us expriment l'espoir que la confrence Je Londres fera dispi- raitre les divergences de vues qui nr I peuvent d'uil eurs afla ter profonde j Nom sommes m vnt la co dul t et l'amiti lian co:,^sdoc'"inc!om., les deux nations.

    DUlLAR : 48.09;

    Faits Divers rtENSEIQNEMEN.i

    MhTi.ORLOGIQUEf obSbHVAUlKK

    DU PETIT SlVll^AlRf ( OLLEGH ST MARTI Al

    5 Jeudi 12 F.vri-T 1920 Buomiut 762.;

    | minimum 20,5 I\ra rature

    maximum 32,; Moyenne fiutae 2t>,j

    Ciel IMI ch r j >ur el_nuil Bitorr.cut en hiuss(.

    |. SCHERER

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    Du sucre 1 Du sucre ! mesure l'ai m mer que Ie>

    commence en plsloc et \> |Oginel qtw bientt la SufV hvera du sucie I in > uiiu-iui'.ialion.

    Il taut etpfcf que cette reprise Je la i roductioi fe ra baisser le r

    rl* JC cet article indisyenv.l'le Cinma populaire

    Ce soir, c'est un 1 rjgraouM spcial qui sera Brut4 -m Cinma UJ u rue LUnt* DttMOUCbei o nous invitons le pubuc aller en loule.

    Les l'.L'iis ont etc choisis de f*(On a p.aire ; tous les gots. On lera bien de conserver le: ic.t'. pour le lirage de la loterie de dimanche. Four ia chapelle de Bizoton Faute de lonJa, les travaux di constru.:. a -.

    a chapelle de Ui/oton ont Otc suspendus. .Nou: ."rovons HVOil qu une tte sera oiletie bientoi J.i! les bcneiices seront alfcctcs 1 cef.c OMVR

    \ i le< nombreuS'S a lires dis Joit ''ut'"le a ** gci.eraleuient reconnue. A pari les nomoreus.s autres aib u Ul0UiJe ^.u-wneewt,won rrac'ionsqui serant olt;rtes au public, jUM. JOISI ammer des preuvw de s gnrosit.

    Les Arcnives Gnrales de la Rpublique

    HA:. Comptoirs excellemment pou. , Lc5 , UHm dcu(,arjll0ll du MaKllC. du foa% vus.r Ir.iC.' S;.e:ne. 6 dciuicax,00jet ' Marehand iteina, comme on le san, WVII dt ioapptciftb e, otuauis. tian p.rfaue lacnl m Archives boCrain 4s w KtputUi,*:,

    ' . * i .nar.hent aciivemet. rien u y manquera. i L'dujce dont ie sa-i.s seront enpuni* k

    vjce tout le moud: se prpire a tonnsou'rin toutes suites de garMitw uutfo- j aller a l'rlttl-iiellevue qui, ce jour wmenu qui. do.t ftdet.

    "111. sera resplendissant ! Contre les terrains vagues

    Convocation

    Le bal de la M1 Renaissance

    Dpchez-vous de prendre vos c?i tes pour la l e de La RenaissaC;: elles B'ta'.Vf.ot rapidement.

    Tous in p.p..iitits sout achevs qui kroni de ttlU tt e la plus russit de la saison.

    il liut s jjialer p;: t TARIF IILU5ME llroMI fcuicu.

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    13 FEUILLETON UU UAT1N)

    MWI ' -' '" " "

    Judex GRAND ROUAN

    Par

    A m II I H B E H S l: D

    ( Film par L. Feuillade )

    DtUXli'.MB Kt'ISODK

    3L*XP1ATI0N

    (!**M&dMilfl trailletMH

    Noos attuons i'atteiition sur Ici toirains nui JUUtl qui ont etc le tlicatrc du dernier inceii- uie de U iut dCI Mincie** ( Cl terrains servcli, je dpotoirs et sout dcvcoui le plu Dulodoranti que j'ossifln.

    Pour ia saut pub.ique, des mesures tevirti s'imposent contre cet tat ii CPCXC1.

    L,. Comuiission tinancire La Commiwion nunciire dont nous annon-

    cion> OeruiercineiH le dopart ci qu'on .-.itenda:' ju]i..ird'aui aruveia prus.iu.ciin.ui u semaine pru- cnaiiie par un Mttni uc la li^iic 1'an.una.

    Fianmes Nous lYOOl tctl MB awtCl le fianailles de

    Meiic Uarthe .\loie avec UouinJ Unwneaa. l'ou nos compliment.

    A'-ciaent de train Ce matin, le premier train de tiizoton effee-

    njnt son voyage de retour quand, parvenu ae niveau du bois vYitty, u loco.nouve eut uu ac cident a la ehaudietc,

    Le train a etc remotqu vers 8 heures et de mie, heure a li niche devait avoir lieu sou deu ...me vayage.

    e

    Vente pDiciiatloi En vertu i 8 d'un jugemm*

    ,iar le ribuml de premire /ft ,le Fort au l'ru.ce tu unie du o que vous venez de melgomeut, Diana et SOJ aman1. euito donner. !taieat.

    N'est-ce pas tout naturel? .S*is-lu quelle est cette femme'; pisentere/.-vous?

    les Hop kiugs Noua \ set on s i

    Ouand me Toui de suit-,

    dtiueurecn Auteuil daua quelques muni es et dans une'la rille du ban demi lieure\ toat sera rgl-.. VenezI Mais ella

    U peu o rdie p>r ces paioles que l'aventurieie expritnau avec une

    (t.*

    combien vwes ont t ma sui prise et volubilit cordiate et persuasive, oio j oie en me trouvant en lace de .Jacqueline hsitait. roui.

    viaux,

    braves aprs

    Le banquier iaviaui e.. (OUitOyt nnstieu .euici.: pour n'avoir pu Bl H MM ordres de ludev, qui l'a somme1 de douuir la moiti de Sa biens aux pausres. JacquclUN, (Mie de- H

    abandonne sa lortune et travaille pou. avoir conti son lils Je.m de lille repouiSt: le> proposai'.. ga-

    uiucs dmaraiiii Je Hirarguci et reoit Je; JUKI mu maons, -ii'clle derra lcha si elle est en dansa.-- DfOa ciiuiogi8priie ou petit Jean, s cria :

    (Je cher ange adoie'.. Ifccusi? moi, inaaame, UUDB IUOU truubi, /dVNia oublie de vou demander ue aes uouve.ie .'

    - Il va lies b'eo, je vous retirer cie, lepouauit Jacqueline, entire Loeot dupe des mene de l'ex- instituttice.

    Colle ci nsis'ait, jouant avec un art iuliui tv>u i*"le abominable :

    Uue jo i.uia J;*-uieuae de pou voir tVQuto*&lft eiilfi toutes les i.juls IUO vous uvt/ eues poui moi!. Ea tilet, les Uopsliiii^s aonl

    Aloue, chre petite madame, s'cria la Uonti, dcidez-vous, ou oien je vous enlve de force.

    l-.n ce cas, je vous suis, cou sentait Jacqueline, pleine de gratitu- de envers la perfide crature qui avait imagin h lche guet-apens o a force de fou b.'ne et de r-so, eli avait si bien russi a entraiuer U pauvre jeune femme.

    Mcral8>en costume de sportstnau de la plus correcte lgance, faisait les cent pas sur le tro oir Aussi o qu 1 ap iutDiaia et Jacqueline

    i aiili 1a .tfouti a sou amaut. Non. Eh bien, c'est JacquelineAub y,

    quier b'a m ! a d te revOai. i rev

    Varits Cl ..SOIR

    MISERICORDE JUDEX

    " 8e pisode

    201 l.UC

    l'n'r.'c gnrale ti Enfants

    Tout de 8ui'e, tfNC l uice sxquiaf. la tille

    rSSSSi m-tiSmce SHS petiile.Mvem, J**- **!& Jean . a-upefaite d* s* retrouver en.rez leur dumandei vmg Traocs ineu prsence de madame Aubry. Jre... Mais wwr -fOlif, J9 reipec

    Mademoiselle Marie., nprenait'lerai votre U.COV1 ' ils ue wur?" celle-ci. . que je suis heureuse delnen.. je vous le promet-... pas piiu voir revoir! . Mais., comineni avez tux que personne. Lea enfants so TOUS pu dcouvu mon edie*s-*7 fort bien levs .. tra gentus., Seuls, M- Valhrea tt les Booteaya sarout lavis da vousconnm la conua ssent. . et je m'tonne qu'il Leu.z, Chre madame, je

    soient permis... lueiu co UuUi que J se lu

    suis telle veu< demauJt

    l us emorati ;- Uinn- vau. sotrtil d.ja iMt< I* peffittieal repieuait sur un ton ^uypodiai. lie yo 'OO.ir, te;i;^^;t

    1^ ilUtueuse et d.lereu e : clnmeui Jaequ, Lue., qui tout en

    Uiie auaiiie, je vous en mmant a la imeeiau su P*"*' prn. u incriminez personne.-. Je n'ai de iiaiinse, lit aussuot JM'fM tfsu pj u tiout iiy*v U ' v'- sjyouuue de tou c^ur j>eut fujt

    ils avana vers elle sa catqueiw a la main.

    Madame Jeanne Bnin, prise t ta aussitt 1 aventurire, monsieui James Mopslviugs qui a bieu voulu m'accompaguer.

    Trs empress, Morales aida la jeune professeur monter dans II ;u\ueuse limousine qui stationnai devant lauortede (a pensionGhapuis.

    Du a s'assit i.ro.. de Jacqutl u.. Moral s siuttlana eu face dlie... .. auio gBgna rapidement le bois d. ttoUiOCOe, traversa 1 ull.-o du bon, champ, s en^ea dans la route de* Lacs. Mais presque aussitt, au lieu le continuer sa route, le waltmae, bifurqua droite, dans une alle dtecte,

    ilsI Alors, Diana bondit fur Jacque- Aii! lino et appuya fortement contre ses

    tevros et ses .armes un tampon du uate culoiof'jrme.

    La m*iheuieudj-unefem ne n' a pas le temps de poi s-r uu >t.. t.^ t i eu valu qu lie voulut se doet r., i JI .. es i tIXJ ujii.iisai ii-.i o il s ses orces, tandis que le carcolijue fai-

    sait sou eeurr! et tj^nti et oo (ui

    EUe in a reconnue'. lit lu as os? Tais to.! Maintenant que nou

    iorames embarqus, ricana l'aven- turire, il taul que nous allions jus- quau boul du voyage/

    VII

    Les deux pigeons

    Dites, papa Juli?ri, quand esi.ct dimanche?

    Daus quatre jours, m JII enfant. Ei avan-. je ue v irai pu.

    maman?. Ue non... mon petit Jeannot Pourquoi nu vieui elle pas

    plus ltr*.. l'ai ce qu'elle travaille, la pau-

    vre chre dame ! Oui., imita vous pourquoi ne

    m'emmenez veus paa la voir? Et le bra?e pre ttonlemps qui

    tait eu train de remplir de chou* uue voiture de maracher, expliquait avec un accent de bonhomie alle tueuse :

    . iNous aussi mon mignon, nous tvons beaucoup d'ouvrages., Mais ne vous lour.ueu ez pas, quatre jours, cesl vite passe:

    Quatre Joursl quatre jouis! rptait le) bambm, en comntaut sur aea doigts

    Kt il Bjouta, tandis que deux gros- ses larmes, voilaient ses beaux veux si doax .

    i/auv' petite maman chrie/ Tout le restant de 1 aprs.midi

    maigre les tions

    viarian ne se retira chez lit, Il j ^ard de Jeannot ae remplit expression de satisfaction mi se et presque provocante, petit, tei m an t lus yeux, part mir pie-que' aussitt, au lai d une vtilltuse qui rpandait i d'elle une discrte et n clart.

    Or, M, Jeannot tait parfait! veill... L'oreille aux agufti, tendit claque bruit le la s'teindre [>au peu- et Ion lour de lui tout devint silne se dressa sur son sant, dmenti instant immobile, puis se glu hors de son lit, marchant i pointe des pieds, il s'en fut on oreille la porte qui communique sa chambre avilt de Un'unue.

    Hassui sans doute, il il eutitement, vitant avecf dranger iiiuilemeut i s o de heuiter imprudemment lui bls: puis, marchant pas dfl il descendit au rezde-chaui '' ntra daut la cuisine dont il la Isntre avec les. prcaution] plus minutieuses, sauta cour, se dirigea tout droit vo.lure du matai lier qu'il non sans peiue, disparut au* milieu des normes choux quil lui procurer la plus sre i chettes, s'y installa, s'y cals, calme et le sang froid de qui sait trs bien ce qu il fart il va i et lorsque vers uoa du matin, le pre Mathieu, oaj valeur du pays qui tondu' tmarette aux iial'es, partit chaque nuit pour la capitali- se douta pas un seul i..-Dl ' emmenait avec lui, enfoui toJ| laa de fgumes, ua garoi! cinq ans paisiblement endorsj levant sa maman.

    La maraicher arriva ver s -x portes de la ville. Api*1

    franchi les fortilicitions, >',v lp tes de Don emys si de sa lltlu poui* l'eguyer,'a proximt duu man-haodi

    uiuot d uiBUa us'*. Cv u f t o il pntra aussi t pour f piau moment d abei a CJUCIII un coup eu cassant la ci oue. jae si physionomie- rep i s u ex piessi.u de joie eufen m , i.,,, qusprs l'avoir o^rd^ luaternehe- uitjiH, puii tenUiomei, tm.iutbe,

    \ p-jne eut-il dipaiu a.u'1 ccaijpt de gamins d'rjl chant ou ae sa t ou e! viij sai- uu q io-, nau1 oota on uU*