• Au 9 de la rue Amiel Un cadre de vie d’exception...journal intime que tient pendant presque...

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TOUT L’IMMOBILIER • N O 573 • 31 JANVIER 2011 D’ abord, il y a la situation idéale à proximité du centre-ville de Genève et de la gare; ensuite, la qualité et l’originalité du projet développé par Michel Cona SA et piloté par Cima Stratégies. Le projet débute il y a un an avec l’achat du terrain, «une vraie perle rare», dit Dario Cona, CEO de Cima Stratégies. Auparavant le terrain était occupé par une maison que sa propriétaire avait légué à sa mort à une fondation. Mais celle-ci ne souhaitant pas la conserver, la maison et le terrain ont été mis en vente. Dès le début du projet, les promoteurs du projet se sont fixé comme objectif de pro- poser des objets à vendre de grande qua- lité, mais à un prix parfaitement adapté au marché, allant jusqu’à le faire estimer par le Crédit Suisse. «Cette démarche s’inscrit tout à fait dans notre philosophie. Nous voulons établir des liens sur le long terme avec nos clients. La justesse des prix et la transpa- rence participent de ce climat de confiance». Pour l’architecte genevois Jacques Bugna, qui a notamment réalisé le siège du World Economic Forum, à Cologny, l’objectif consis- tait à intégrer une construction moderne de huit étages à un environnement urbain dominé par des immeubles anciens. «Le challenge consistait à respecter l’esprit du quartier, tout en innovant», explique Dario Cona. Le résultat est un immeuble à l’architec- ture contemporaine, épurée et lumineuse, comprenant 22 appartements, vendus en PPE, de trois à six pièces et un sous-sol avec sept boxes et 15 parkings. Les sixième et septième étages abritent chacun deux appartements ayant respectivement des ter- rasses de 61 m 2 à 86 m 2 . Les terrasses du dernier étage comprennent une cuisine d’été/jardin d’hiver avec une magnifique vue panoramique sur Genève. Partant d’un principe très simple, c’est-à-dire «construire des logements où nous aurions envie de vivre» comme le résume Dario Cona, la résidence «9 Amiel» se distingue par ses volumes généreux et ses finitions soignées. «Pour répondre à la demande des futurs propriétaires, nous avons préféré privilégier les grands espaces, même s’il fallait pour cela supprimer une pièce». Les chambres, situées du côté d’une petite rue, bénéficient d’une grande tranquillité et les balcons, qui donnent tous sur une cour intérieure, n’ont pas de vis-à-vis. Enfin, le terrain étant orienté sud-est et offrant ainsi un important • Au 9 de la rue Amiel Un cadre de vie d’exception C’est au cœur du quartier de Saint-Jean, sur une belle parcelle de 1200 m 2 , située dans la rue Henri-Frédéric Amiel, que la résidence «9 Amiel» verra bientôt le jour. L’originalité: une œuvre d’art est intégrée à chaque étage de l’immeuble. Les travaux débuteront en juillet. LE PROJET DE LA SEMAINE 10 Henri-Frédéric Amiel: le journal d’une vie 17 000 pages et 12 volumes! Des chiffres qui donnent le vertige. C’est pourtant l’ampleur du journal intime que tient pendant presque toute sa vie le professeur Henri- Frédéric Amiel, né en 1821 à Genève. Même si son adolescence est marquée par la mort de sa mère, puis par le suicide son père, Henri-Frédéric Amiel fait de solides études à Genève et à Berlin, puis voyage à travers toute l’Europe. Tout semble le prédestiner à une brillante carrière. Et pourtant, il n’en sera rien. S’il obtient la chaire de philosophie en 1848 à Genève, elle lui aliénera les milieux patriciens. Toute sa vie, Henri-Frédéric Amiel rêvera d’une recon- naissance qu’il n’aura pas. C’est seulement après sa mort en 1881 que l’on découvrira l’imposante œuvre littéraire que constitue son journal intime. Chaque page révèle au lecteur la personnalité éton- nante de l’auteur, tout en lui apportant une vision de la société de cette époque. Henri-Frédéric Amiel aborde tous les sujets avec perspicacité et huma- nisme. J.R. COMMENTAIRE Chic et urbain; la «patte» du bureau Bugna-Barro. TIM TIM TIM

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    D’ abord, il y a la situation idéale à proximité du centre-ville de Genève et de la gare; ensuite, la qualité et l’originalité du projet développé par Michel Cona SA et piloté par Cima Stratégies. Le projet débute il y a un an avec l’achat du terrain, «une vraie perle rare», dit Dario Cona, CEO de Cima Stratégies. Auparavant le terrain était occupé par une maison que sa propriétaire avait légué à sa mort à une fondation. Mais celle-ci ne souhaitant pas la conserver, la maison et le terrain ont été mis en vente. Dès le début du projet, les promoteurs du projet se sont fixé comme objectif de pro-poser des objets à vendre de grande qua-lité, mais à un prix parfaitement adapté au

    marché, allant jusqu’à le faire estimer par le Crédit Suisse. «Cette démarche s’inscrit tout à fait dans notre philosophie. Nous voulons établir des liens sur le long terme avec nos clients. La justesse des prix et la transpa-rence participent de ce climat de confiance». Pour l’architecte genevois Jacques Bugna, qui a notamment réalisé le siège du World Economic Forum, à Cologny, l’objectif consis-tait à intégrer une construction moderne de huit étages à un environnement urbain dominé par des immeubles anciens. «Le challenge consistait à respecter l’esprit du quartier, tout en innovant», explique Dario Cona.Le résultat est un immeuble à l’architec-ture contemporaine, épurée et lumineuse,

    comprenant 22 appartements, vendus en PPE, de trois à six pièces et un sous-sol avec sept boxes et 15 parkings. Les sixième et septième étages abritent chacun deux appartements ayant respectivement des ter-rasses de 61 m2 à 86 m2. Les terrasses du dernier étage comprennent une cuisine d’été/jardin d’hiver avec une magnifique vue panoramique sur Genève. Partant d’un principe très simple, c’est-à-dire «construire des logements où nous aurions envie de vivre» comme le résume Dario Cona, la résidence «9 Amiel» se distingue par ses volumes généreux et ses finitions soignées. «Pour répondre à la demande des futurs propriétaires, nous avons préféré privilégier les grands espaces, même s’il fallait pour cela supprimer une pièce». Les chambres, situées du côté d’une petite rue, bénéficient d’une grande tranquillité et les balcons, qui donnent tous sur une cour intérieure, n’ont pas de vis-à-vis. Enfin, le terrain étant orienté sud-est et offrant ainsi un important

    • Au 9 de la rue Amiel

    Un cadre de vie d’exception C’est au cœur du quartier de Saint-Jean, sur une belle parcelle de 1200 m2, située dans la rue Henri-Frédéric Amiel, que la résidence «9 Amiel» verra bientôt le jour. L’originalité: une œuvre d’art est intégrée à chaque étage de l’immeuble. Les travaux débuteront en juillet.

    le projet de la semaine10

    Henri-Frédéric Amiel: le journal d’une vie 17 000 pages et 12 volumes! Des chiffres qui donnent le vertige. C’est pourtant l’ampleur du journal intime que tient pendant presque toute sa vie le professeur Henri-Frédéric Amiel, né en 1821 à Genève. Même si son adolescence est marquée par la mort de sa mère, puis par le suicide son père, Henri-Frédéric Amiel fait de solides études à Genève et à Berlin, puis voyage à travers toute l’Europe. Tout semble le prédestiner à une brillante carrière. Et pourtant, il n’en sera rien. S’il obtient la chaire de philosophie en 1848 à Genève, elle lui aliénera les milieux patriciens.Toute sa vie, Henri-Frédéric Amiel rêvera d’une recon-naissance qu’il n’aura pas. C’est seulement après sa mort en 1881 que l’on découvrira l’imposante œuvre littéraire que constitue son journal intime.Chaque page révèle au lecteur la personnalité éton-nante de l’auteur, tout en lui apportant une vision de la société de cette époque. Henri-Frédéric Amiel aborde tous les sujets avec perspicacité et huma-nisme.

    J.R.

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    Chiceturbain;la«patte»dubureauBugna-Barro.

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  • ensoleillement, l’architecte a choisi de travailler sur la pureté et la luminosité. L’accent a également été mis sur le respect de l’envi-ronnement, avec une parfaite conformité aux normes énergétiques et l’utilisation de nombreux panneaux solaires. Afin de rendre hommage à l’ancienne propriétaire de la maison, «une artiste genevoise nous a convaincus d’intégrer une œuvre d’art à chaque niveau de la résidence. Pour cela, le promoteur a fait appel à différents artistes suisses qui auront pour seule obligation de s'inspirer soit du quartier, soit de la vieille maison existante, ou encore d'Henri-Frédéric Amiel». Les travaux commenceront en juin, pour une livraison des apparte-ments prévue fin 2012. n

    Julia Rossi

    Renseignements: Cima Stratégies –Tél.: 022 321 98 43 e-maIL: [email protected]

    le projet de la semaine 11

    t o u t l ’ i m m o b i l i e r • n o 5 7 3 • 3 1 j a n v i e r 2 0 1 1

    Le restaurant «La Cité Fleurie» marque nos papilles de ses saveursEn franchissant le seuil du restaurant la Cité Fleurie, toutes nos papilles s'éveillent. La recette? Une pincée de soleil et de saveurs parfumées, un zeste de passion, une touche de couleurs que l'on doit aux bouquets de fleurs fraîches sur chaque table, le tout saupoudré de bonne humeur. A consommer sans modération!

    D epuis son ouverture le 19 décembre 2008, le restaurant «La Cité Fleurie» ne désemplit pas. «Pour le 31 décembre, nous sommes toujours com-plets», explique le responsable, à l'écoute de ses clients. Ces derniers sont devenus des amis, fidèles de surcroît, tout comme l'équipe fortement soudée.

    Nouvelles saveurs

    Même si les fêtes sont passées, pas ques-tion de sombrer dans la morosité! «L'année a bien commencé», relève le direction. Et pour cause! La carte révèle plusieurs nouveautés dont «Les spécialités ardoises». Qu'il est agréable de déguster les tour-nedos présentés sur des plats anthracites mettant en valeur la couleur des mets! N'est-il pas prouvé que l'on mange aussi avec les yeux?Autre surprise que l'on doit au chef cui-sinier: le Café gourmand entouré d'une farandole de mignardises: framboises sur un lit de chantilly, tiramisu, mousse au cho-colat et mini-profiterole... Juste ce qu'il faut après un délicieux repas.

    Tradition culinaire

    Le succès de la Cité Fleurie s'explique aussi par les bons petits plats que l'on

    retrouve tout au long de l'année. Ces der-niers s'inspirent de la cuisine traditionnelle française et italienne. Aussi, les gourmets ne peuvent résister aux pizzas savoureuses et à la grande variété de pâtes proposées par le restaurant. Notre coup de cœur? Les tortellinis farcis aux légumes. Les amateurs de filets de perche, quant à eux, se ren-dent au restaurant chaque vendredi midi où les poissons sont cuisinés «façon Cité Fleurie». C'est-à-dire? Chut, c'est un secret! «Nos clients raffolent de cette spécialité et ne rateraient ce rendez-vous pour rien au monde!», confie M. Idrizi. A noter: le menu du jour est suffisamment varié pour que les végétariens s'y retrou-

    vent! Un grand choix de boissons et de vins blancs, rosés et rouges pourront accompagner votre repas.

    Service traiteur de haut de gamme

    Le restaurant «La Cité Fleurie» est ouvert sept jours sur sept, midi et soir jusqu'à minuit. Le week-end, place aux musiques latinos chaleu-reuses que vous pourrez écouter tout en mangeant ou en sirotant un verre dans le coin-bar. Et ce n'est pas tout. Si vous prévoyez de fêter un événement particulier

    (réceptions, anniversaires, mariages, ban-quets), la Cité Fleurie s'occupe de tout, mettant à votre disposition sa salle pouvant contenir jusqu'à 110 couverts ainsi que sa grande terrasse sur laquelle vos invités pourront prendre l'apéritif. Des menus gas-tronomiques leur seront servis. Pour des saveurs inoubliables... n

    Esther Ackermann

    Restaurant «La Cité Fleurie» 3, Chemin de l'Echo – 1213 Onex Tél. 022 793 03 50 – [email protected]

    saveurs PUbLI-réDACtIoNNEL

    Espace et lumière.

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