4 M$ DU MSSS POUR UN PROJET D'EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE

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PROCHAINE PARUTION Semaine du 5 décembre 2011 Date de tombée : 25 novembre 2011 Numéro du 7 novembre 2011 AU MENU BILAN DES RENCONTRES AVEC LA DG Pour ceux qui n’y étaient pas PAGES 4-5 PRIX DORIS-DION 2011 Deux exemples à suivre PAGE 7 LE GALA D’EXCELLENCE DE LA RECHERCHE MÉDICALE Une soirée haute en émotions! PAGES 14-15 NOS PARTENAIRES TECHNIQUES Portrait de Gilles Gervais, du Centre de distribution PAGE 23 4 M$ DU MSSS POUR UN PROJET D’EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE V oici quelques-unes des solutions qui seront implantées : deux nouvelles thermopompes viendront récupérer la chaleur interne du bâtiment et un récupérateur sera ajouté à la cheminée. Trois nouvelles chaudières à haut rendement remplaceront une des chaudières à vapeur actuelle. Un mur solaire sera érigé et 30 puits géothermiques seront forés à 140 m de profondeur pour récupérer l’énergie du sol. Ces solutions seront implantées en 2011-2012. De plus, de nouveaux systèmes de ventilation seront installés progressivement jusqu’en 2014. Ce projet constitue un investissement total d’environ 20 M$. Près du quart du financement provient de la subvention du MSSS, combinée à celles d’Hydro- Québec et de Gaz Métro. Le CHUS finance un autre quart du projet avec ses budgets de maintien des actifs. La différence sera assumée par les économies d’énergie. Le projet total sera rentabilisé en 7 ans. Les économies d’énergie atteindront plus de 1,4 M$ annuellement, soit 37 % de la facture d’énergie actuelle. Le CHUS réduira aussi ses émissions de gaz à effet de serre de 9 000 tonnes de CO 2 par an. Suite en page 3. SUR LA PHOTO, dans l’ordre habituel : Patricia Gauthier, directrice générale, Jacques Fortier, président du C. A., Monique Gagnon-Tremblay, ministre responsable de la région de l’Estrie et Carole Larose, directrice adjointe des services techniques LA MINISTRE RESPONSABLE DE LA RÉGION DE L’ESTRIE, MONIQUE GAGNON–TREMBLAY, A RÉCEMMENT ANNONCÉ UNE CONTRIBUTION FINANCIÈRE DE 4 M$ DU MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX POUR LA RÉALISA- TION D’UN IMPORTANT PROJET D’ÉCONOMIE D’ÉNERGIE AU CHUS – HÔPITAL FLEURIMONT.

Transcript of 4 M$ DU MSSS POUR UN PROJET D'EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE

PROCHAINE PARUTION

Semaine du 5 décembre 2011Date de tombée : 25 novembre 2011

Numéro du 7 novembre 2011

AU MENUBILAN DES RENCONTRES AVEC LA DGPour ceux qui n’y étaient pasPAGES 4-5

PRIX DORIS-DION 2011Deux exemples à suivre PAGE 7

LE GALA D’EXCELLENCE DE LA RECHERCHE MÉDICALEUne soirée haute en émotions! PAGES 14-15

NOS PARTENAIRES TECHNIQUESPortrait de Gilles Gervais, du Centre de distribution PAGE 23

4 M$ DU MSSS POUR UN PROJET D’EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE

Voici quelques-unes des solutions qui seront implantées : deux nouvelles thermopompes viendront récupérer la chaleur interne du bâtiment et

un récupérateur sera ajouté à la cheminée. Trois nouvelles chaudières à haut rendement remplaceront une des chaudières à vapeur actuelle. Un mur solaire sera érigé et 30 puits géothermiques seront forés à 140 m de profondeur pour récupérer l’énergie du sol. Ces solutions seront implantées en 2011-2012. De plus, de nouveaux systèmes de ventilation seront installés progressivement jusqu’en 2014.

Ce projet constitue un investissement total d’environ 20 M$. Près du quart du fi nancement provient de la subvention du MSSS, combinée à celles d’Hydro-Québec et de Gaz Métro. Le CHUS fi nance un autre quart du projet avec ses budgets de maintien des actifs. La différence sera assumée par les économies d’énergie. Le projet total sera rentabilisé en 7 ans. Les économies d’énergie atteindront plus de 1,4 M$ annuellement, soit 37 % de la facture d’énergie actuelle. Le CHUS réduira aussi ses émissions de gaz à effet de serre de 9 000 tonnes de CO2 par an. Suite en page 3.

SUR LA PHOTO, dans l’ordre habituel : Patricia Gauthier, directrice générale, Jacques Fortier, président du C. A., Monique Gagnon-Tremblay, ministre responsable de la région de l’Estrie et Carole Larose, directrice adjointe des services techniques

LA MINISTRE RESPONSABLE

DE LA RÉGION DE L’ESTRIE,

MONIQUE GAGNON–TREMBLAY,

A RÉCEMMENT ANNONCÉ UNE

CONTRIBUTION FINANCIÈRE

DE 4 M$ DU MINISTÈRE DE

LA SANTÉ ET DES SERVICES

SOCIAUX POUR LA RÉALISA-

TION D’UN IMPORTANT PROJET

D’ÉCONOMIE D’ÉNERGIE AU

CHUS – HÔPITAL FLEURIMONT.

ENTRE NOUSEntre NOUS est publié par la Direction des communications et des affaires publiques du CHUS et de sa Fondation

Publicité : 346-1110, poste 29035

Rédaction et coordinationColette Pellerin, poste 29035

Mise en pageQuatorze Juillet design graphique

Tirage : 3000 copies / ImpressionMulticopie Estrie

PhotographiesRobert Dumont, Fondation du CHUS, Karine Lacharité, Jocelyn Riendeau

CollaborationFondation du CHUS, Pierre-Luc Trudel, Julie Chouinard-Blais, Jean-Yves Cloutier, Isabelle Lapointe, Hélène Robert, Caroline Quirion

Chaque collaborateur ou rédacteur a la pleine responsabilité du contenu de ses articles. Les opinions émises dans Entre NOUS n’engagent en rien la direction du CHUS. La forme masculine est employée pour alléger le texte.

[email protected] ligne, section actualités : chus.qc.ca

Papier recyclable

LE TEMPS DES T-4, ÇA S’EN VIENT! Avons-nous votre bonne adresse?

NOMINATIONS CHEZ LES MÉDECINSLa Dre Marie-Laure Collinge a été nommée chef intérimaire du Département d’urgence. Elle pratique au département depuis déjà treize ans.

Le Dr Patrice Perron a été nommé chef du Dépar-tement d’hématologie et chef du Service d’hémato-oncologie. Il assume ces deux fonctions de façon intérimaire. Le Dr Perron est déjà chef du Département de médecine et chef du Programme-clientèle en soins médicaux spécialisés.

Félicitations à nos deux médecins!

Avez-vous déménagé en 2011 ou déménagerez-vous d’ici la fi n de l’année? Voulez-vous recevoir vos T-4 (feuillets pour impôts) de 2011 à la maison? Oui, n’est-ce-pas! Alors, hâtez-vous de faire les modifi ca-tions! Vous devez vous assurer que l’adresse postale inscrite à votre dossier soit la bonne, car c’est l’adresse où seront envoyés vos T-4.

Il y a plusieurs façons de modifi er vos renseignements personnels :

• Par le biais du RELEVÉ DE PRÉSENCE :

- Cliquez sur la section DOSSIER - RENSEIGNEMENTS PERSONNELS - et sur NOUVEAU; vous pouvez aussi changer le numéro de téléphone - Cliquez sur SAUVEGARDER

• Téléphonez au 18000

• Vous rendre en personne au bureau des RESSOURCES HUMAINES au CHUS – Hôpital Fleurimont.

Service de la paieDirection des ressources fi nancières et des services techniques (DRFST)

Respect des heures de visite : le service de sécurité peut vous aiderLes nouvelles heures de visite au CHUS sont en vigueur

depuis le 4 janvier dernier. Malgré les communi-cations répétées qui ont été faites à la population, la documentation remise à chaque nouveau patient lors de son admission et l’affi chage à l’entrée des unités de soins, il semble qu’il soit parfois diffi cile de faire respecter ces heures.

Bien que chaque service soit responsable de faire obser-ver les politiques du CHUS dans son secteur, le service de sécurité tient à rappeler qu’il peut intervenir au besoin dans les cas diffi ciles. N’hésitez pas à les appeler.

Les habitudes sont diffi ciles à changer. Sachez que d’autres moyens seront pris et que des communications publi-ques seront faites auprès de la population au cours des prochaines semaines pour lui rappeler l’importance de respecter les heures de visite.

2 ENTRE NOUS 7 novembre 2011

PROJET D’EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE SUITE

La clinique d’anticoagulothérapie du CHUS parmi les meilleures au monde!La clinique d’anticoagulothérapie du CHUS, soutenue

par l’équipe de médecine interne, est composée d’une équipe de secrétaires, d’infi rmières et de pharmaciens. Ils assurent quotidiennement le suivi de près de 1 300 patients anticoagulés en Estrie. Bonne nouvelle, la cli-nique a récemment été classée 5e au monde quant à la qualité du contrôle des RNI.

Il y a un an, la clinique s’est modernisée en se procurant un nouveau logiciel (DAWN AC) pour aider au suivi de ses patients. Le fournisseur – la compagnie 4S – effectue à chaque année une étude de comparaison du contrôle des RNI d’une partie de ses clients qui se retrouvent partout dans le monde (Europe, États-Unis, Australie, etc.).

C’est ainsi qu’une évaluation comparant plus de 99 clini-ques d’anticoagulothérapie – qui suivent le contrôle des RNI chez plus de 288 000 patients avec plus de 2 millions de RNI par année – a placé la clinique d’anticoagulothé-

rapie du CHUS en tête de liste en termes de la qualité du contrôle des RNI.

De fait, notre clinique d’anticoagulothérapie a obtenu la 5e position, avec un résultat de plus de 76 % quant au temps à l’intérieur de l’intervalle thérapeutique visé pour ses patients (Time in range). Ces résultats exceptionnels sont le fruit d’un travail d’équipe soutenu et de très haute qualité.

FÉLICITATIONS À TOUS LES MEMBRES DE NOTRE ÉQUIPE!

Janick Bélanger, chef de soins et services,secteur ambulatoire de médecine spécialisée

Dr Donald Echenberg, directeur médical de la clinique d’anticoagulothérapie du CHUS

Patrice Lamarre, adjoint aux soins pharmaceutiques

LA CONFÉRENCE DE PRESSE A DONNÉ LIEU À DES VISITES GUIDÉES DE LA CENTRALE THERMIQUE DU CHUS – HÔPITAL FLEURIMONT.

Vue de la centrale de réfrigération où d’importants travaux seront réalisés : installation de thermopompes, reconfi guration du système de climatisation.

Vieux refroidisseur qui sera démantelé pour faire place aux nouvelles thermopompes.

Vue de la salle de contrôle des opéra-teurs secteur centrale thermique. Dans ce secteur, une des trois chaudières à vapeur existantes sera remplacée par deux chaudières à l’eau chaude à haut rendement. Une chaudière électrique produisant de la vapeur en période hors pointe de consommation électrique sera également installée.

Chaudière à vapeur installée en2009 qui sera conservée et équipée

d’un récupérateur de chaleur à condensation (très haut rendement).

7 novembre 2011 ENTRE NOUS 3

Rencontres automnales avec la DGCOMME CHAQUE AUTOMNE, PATRICIA GAUTHIER A RENCONTRÉ LES EMPLOYÉS POUR ÉCHANGER

AVEC EUX SUR LES DOSSIERS D’ACTUALITÉ. UNE NOUVELLE FORMULE « PLUS PRÈS DU TERRAIN » PERMETTAIT MÊME D’ORGANISER DES RENDEZ-VOUS, PLUS PERSONNALISÉS, EN PETITS GROUPES. EN TOUT, 458 PERSONNES SE SONT PRÉSENTÉES À UNE DES MULTIPLES SÉANCES D’INFORMATION TENUES ENTRE LE 4 ET LE 7 OCTOBRE (8 RENCONTRES POUR TOUS ET 10 RENCONTRES SUR RENDEZ-VOUS). VOICI LE BILAN DES DOSSIERS ABORDÉS.

BONS COUPS DES DERNIERS MOIS SOULIGNÉS PAR MME GAUTHIER

• Le travail des équipes des deux hôpitaux, qui ont traité les 59 blessés lors de l’accident de Bromptonville cet été

• L’ouverture des nouveaux soins palliatifs au CHUS – Hôtel-Dieu

• La fête en mai des 150 retraités et des 79 employés ayant 25 ans de service

• Le BBQ en juin

• La première Semaine des partenaires techniques du 24 au 27 mai 2011

• La refonte des sites web du CHUS, du CRCELB et de la Fondation du CHUS

• Le gala des Prix d’excellence 2011, qui a honoré 27 personnes du CHUS

• La disponibilité du personnel infi rmier qui a consenti à de nombreuses heures de travail supplémentaire au cours des derniers mois

STABILISATION DU PERSONNEL DE SOINS

Une série d’actions a été prévue pour mieux retenir et stabiliser le personnel clinique.

1. Transférer le personnel sur les postes obtenus : 114 infi rmières, dont 17 vers les blocs opératoires + 37 infi rmières auxiliaires.

Les transferts seront concentrés sur une courte période, en respectant une séquence rapide et planifi ée avec tous les programmes-clientèles. L’objectif est d’effectuer l’ensemble des transferts cet automne.

2. Effectuer le bilan et suivi du projet des horaires 12 heures hydrides à l’urgence du CHUS – Hôpital Fleurimont.

3. Poursuivre les projets d’organisation du travail au CHUS – Hôtel-Dieu et au CHUS – Hôpital Fleurimont.

La reprise progressive des activités cliniques (fermeture de 26 lits au CHUS – Hôpital Fleurimont jusqu’au 4 janvier 2012) donnera de la latitude pour implanter ces changements.

QUALITÉ ET SÉCURITÉ

L’important projet aux laboratoires, l’implantation de l’approche aux personnes âgées et les projets Kaizen en route (secteur ambulatoire au CHUS – Hôpital Fleurimont, pharmacie, imagerie, services alimentaires, etc.) sont autant d’actions en cours visant l’amélioration de la qualité et de la sécurité.

S’assurer de la qualité et de la sécurité des soins et services est une responsabilité individuelle et collective, pour tout le personnel et tous les services.

PLAN RÉGIONAL D’INFORMATISATION EN ESTRIE (PRIE)

Le projet PRIE a pour objectif de relier informatiquement le CHUS et les CSSS de l’Estrie afi n de partager certaines informations du dossier patient ARIANE (médicaments, résultats de laboratoire et de radiologie, etc.). Voici ce qui est en cours actuellement :

• optimisation et consolidation progressive des technologies partageables

• déploiement du continuum Ariane Estrie (services de labo-ratoire dans 5 CSSS + services de pharmacie dans 1 CSSS)

• architecture détaillée du déploiement du Plan d’intervention clinique (PIC)

• arrimage avec les dossiers médicaux électroniques des cliniques de 1re ligne et le Dossier de santé du Québec (DSQ)

• analyse de l’opportunité d’une numérisation régionale des dossiers patients

4 ENTRE NOUS 7 novembre 2011

PROJETS DE RÉGIONALISATION D’ACTIVITÉS DE SOUTIEN

Trois projets régionaux sont étudiés pour regrouper différentes activités de soutien des CSSS et du CHUS, dans le but notamment de réaliser des économies d’échelle par la réduction de frais administratifs (une exigence de la loi 100). Voici les secteurs concernés :

• activités de paie, rémunération et avantages sociaux

• contrats de service des équipements médicaux

• entreposage des fournitures médicales des établissements de la région au Centre de distribution du CHUS

Nous vous tiendrons au courant via Entre NOUS des développements dans ce dossier.

STATIONNEMENT ET TRANSPORT DURABLE : LE CHUS EN OFFRE ENCORE PLUS

Le nombre de cases de stationnement a augmenté près du CHUS – Hôtel-Dieu et de l’Édifi ce Murray : 40 cases pour tous sur la 10e Avenue + 20 cases SP-G à l’angle Chalifoux et Murray.

Un nouveau stationnement alternatif et 2 navettes pour le CHUS – Hôtel-Dieu et le CHUS – Hôpital Fleurimont ont été instaurés au IGA Extra situé à l’angle King Ouest et Comtois.

Par ailleurs, la Société de transport de Sherbrooke a amélioré son offre de service dans l’est : secteur Chalumeau-Galvin (ligne 4) et secteur Brûlotte-Montellier (ligne 8). Plus de détails au www.sts.qc.ca.

CHUS – HÔTEL-DIEU

Aile 6 : les travaux seront parachevés en janvier 2012.

Pavillon Émile-Noël : les travaux seront terminés en décembre 2011.

Tout le projet de l’agrandissement et du réaménagement sera complété.

CHUS – HÔPITAL FLEURIMONT (CRCELB ET RADIO-ONCOLOGIE)

Travaux en cours à l’automne 2011.

CHUS – HÔPITAL FLEURIMONT (VOLET 1, 2E ET 3E ÉTAGES)

• Imagerie médicale et chirurgie d’un jour (ancienne cafétéria) : fi n des travaux avril 2012

• Nouvelle entrée du bloc opératoire : travaux d’avril à décembre 2012

• Réaménagement des vestiaires du bloc opératoire : travaux de janvier à mai 2013

• Unité de convalescence en néonatologie au 5e étage de l’aile 5 : travaux octobre et novembre 2011

• Nouvel ascenseur entre l’urgence et l’entrée du blocopératoire : travaux d’avril à octobre 2012

• Unité ambulatoire d’échographie et d’obstétrique spécialisée : travaux d’avril à octobre 2012

AUTRES PROJETS D’AMÉNAGEMENT PLANIFIÉS AU CHUS – HÔPITAL FLEURIMONT

• Projet éconergétique : objectif de È de la consommation d’énergie de 48 % après que toutes les mesures soient mises en place (3 ans)

• Volets 2 et 3 du projet d’aménagement (construction du Centre femme-jeunesse-famille)

• Aménagement de la chimiothérapie pédiatrique (7e étage, aile 4)

• Aménagement de la procréation médicalement assistée (2e étage, aile 5)

• Déménagement du casse-croûte privé dans l’ancien comptoir postal

• Sentiers de la santé : deux boucles, total environ 1 km

Le CHUS, le CRCELB et la FMSS ont convenu d’un outil de communication conjoint – Le Transit – pour informer toute la communauté des travaux et déména-gements au CHUS – Hôpital Fleurimont. À surveiller!

PROJETS D’AMÉNAGEMENT AU CHUS

7 novembre 2011 ENTRE NOUS 5

DES NOUVELLES DU C. A.

LE PRÉSIDENT DU C. A., MÉRITE ESTRIEN

Jacques Fortier, président du conseil d’administration du CHUS, a reçu le prestigieux titre de Mérite estrien, catégorie Personnalité, dans l’édition du 26 septembre du journal La Tribune.

Bénévole engagé depuis plusieurs années dans le monde de la santé, et président du C. A. depuis 2007, M. Fortier est aussi membre du conseil d’administration de la Fondation du CHUS. Il s’investit sans compter dans la gestion et le développement de notre centre hospitalier, et veille à ce que la population soit en mesure de recevoir les meilleurs soins possibles.

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QUATRE NOUVEAUX ADMINISTRATEURS

Bienvenue à ces nouveaux administrateurs, dont le mandat de quatre ans débute le 1er février 2012 :

Dr Charles Orfali, plasticien (représentant le CMDP)

Brigitte Pinsonneault, infi rmière clinicienne en santé mentale (représentant le CII)

Julie Bélanger, nutritionniste (représentant le CM incluant le CIIA)

Jocelyne Frenette, cadre-conseil en gestion de la qualité (représentant le personnel non clinique)

ASSEMBLÉE ANNUELLE PUBLIQUE D’INFORMATION LE 14 OCTOBRE

L’assemblée annuelle publique d’information du conseil d’administration a eu lieu le vendredi 14 octobre à l’am-phithéâtre de la FMSS. Elle a accueilli 104 personnes.

Le C. A. et la direction ont présenté les principales réalisa-tions et les états fi nanciers 2010-2011 du CHUS, de même que ceux du Centre de recherche clinique Étienne-Le Bel (CRCELB). Vous pouvez consulter le rapport annuel du CHUS sur l’intranet (Espace publications) ou sur le www.chus.qc.ca. Le rapport annuel du CRCELB est disponible au www.crc.chus.qc.ca. Le rapport annuel de la Fondation du CHUS se trouve au www.fondationchus.org.

6 ENTRE NOUS 7 novembre 2011

PRIX DORIS-DION 2011LORS DE LA SEMAINE MONDIALE DE L’ALLAITEMENT, CHAQUE ANNÉE, LES ÉQUIPES DE SOINS DE L’UNITÉ DE MATERNITÉ ET DE L’UNITÉ DE NÉONATOLOGIE SOULIGNENT LA CONTRIBUTION EXCEP-TIONNELLE D’UNE INFIRMIÈRE OU D’UNE INFIRMIÈRE AUXILIAIRE DANS L’ACCOMPAGNEMENT ET LE SOUTIEN DES MÈRES QUI ALLAITENT ET DE LEUR FAMILLE. CETTE ANNÉE, LES ÉQUIPES ONT SOULIGNÉ LE TRAVAIL EXCEPTIONNEL DE STÉPHANIE DION ET VICKY LEFEBVRE.

Toutes nos félicitations à vous deux et grand merci de votre contribution à l’amélioration continue de la qualité des soins à notre clientèle.

Francine RoyerPour les équipes de la maternité et de la néonatologie

Stéphanie, infi rmière de l’unité de néonatologie, est toujours prête à soutenir les familles et sait se rendre très disponible auprès de la clientèle. Sa grande aptitude à écouter ainsi que son besoin de bien comprendre les besoins des familles font d’elle une ressource hors pair. Réaliste dans son approche et ses interventions, elle exerce un leadership naturel auprès de ses collègues. Empathique, douce et discrète, Stéphanie fera tout pour que la mère soit confi ante en sa capacité d’allaiter son bébé.

Vicky, infi rmière de l’unité de maternité, s’investit depuis plusieurs années dans l’amélioration des pratiques reliées à l’allaitement. Son engagement auprès des familles, son désir de donner le meilleur d’elle-même et son souci constant de poursuivre le développement de ses com-pétences cliniques ne se sont jamais démentis au fi l des années. En plus de contribuer à l’orientation et à la forma-tion des équipes de soins, elle s’engage à titre personnel dans un programme de formation en vue de devenir une consultante en lactation IBCLC certifi ée.

Stéphanie Dion à l’unité de néonatologie Vicky Lefebvre, de l’unité de maternité

Les activités de la Semaine mondiale de l’allaitement maternel, début octobre, ont permis à quelque 75 per-

sonnes de participer aux conférences et aux rencontres spécialement organisées. Encore cette année, le CHUS a poursuivi sa collaboration avec le CSSS-IUGS et a innové en s’associant à quatre autres partenaires communau-taires afi n de leur permettre de présenter leurs services dans un kiosque aménagé près des unités de maternité et de néonatologie.

Les participants ont pu entendre le témoignage d’une mère ayant relevé le défi d’allaiter des jumeaux, et ont participé à des sessions de formation sur des sujets reliés aux pratiques entourant l’allaitement. Les formations ont été fi lmées afi n de les rendre disponibles au plus grand nombre d’intervenants possibles.

Merci particulièrement à nos présentatrices : Liette Boucher, Danielle Fontaine et Diane Labrecque, infi r-mières et consultantes en lactation IBCL, ainsi qu’au Dre Laura Pascual, également consultante IBCLC et chargée de projet IAB au CHUS.

Merci aux chefs de service, aux bénévoles, à Amélie Léveillée pour la coordination de cette activité et à toutes les personnes qui y ont participé de près ou de loin. À l’an prochain!

Francine Royer Coordonnatrice-gestionnaire du dossier IAB-Allaitement au CHUS

Succès pour la Semaine mondiale de l’allaitement maternel

7 novembre 2011 ENTRE NOUS 7

CAMPAGNE DE VACCINATION

C’EST LE TEMPS DE PRÉSENTER VOTRE BRAS!LA CAMPAGNE INTERNE DE VACCINATION CONTRE L’INFLUENZA SE TIENDRA DU 8 NOVEMBRE AU

20 DÉCEMBRE*. EN 2010, À PEINE 30 % DE LA COMMUNAUTÉ HOSPITALO-FACULTAIRE AVAIT OPTÉ POUR LE VACCIN ET, PAR CONSÉQUENT, DES ÉCLOSIONS D’INFLUENZA ONT EU COURS. UNE UNITÉ A MÊME ÉTÉ FERMÉE POUR ÉVITER LA CONTAMINATION CHEZ LES PATIENTS ET AILLEURS DANS L’HÔPI-TAL. CETTE ANNÉE, L’OBJECTIF EST DE RETROUVER LE TAUX HABITUEL D’AVANT PANDÉMIE (45 %).

LE DR LOUIS VALIQUETTE, PORTE-PAROLE

Pour une 2e année, le Dr Louis Valiquette, microbiologiste-infectiologue, sera le porte-parole de cette campagne. Il se joint à l’infi rmière-clinicienne Isabelle Gagnon du Service de santé et à l’équipe de vaccinateurs pour promouvoir la vaccination et vacciner le personnel, les bénévoles, les médecins, les résidents et les étudiants du CHUS et de la FMSS.

LA VACCINATION : FACILE ET À PORTÉE... DE BRAS

L’équipe de vaccinateurs, composée d’infi rmières et d’infi rmières auxiliaires d’expérience, veillera à rendre les séances de vaccination intensives accessibles, agréa-bles et effi caces. Par ailleurs, l’auto-vaccination sera déployée dans les unités de soins et services. La vaccina-tion est le meilleur moyen pour se protéger, protéger sa famille, ses proches et les patients.

*Les détails apparaissent sur le couvert arrière de votre Entre NOUS.

Le Dr Valiquette poursuit cette année son étude qui permettra d’évaluer les effets secondaires du vaccin chez les travailleurs de la santé. N’hésitez pas à y participer. Vous avez des questions? Joignez l’équipe au poste 12468.

PLUS LE PERSONNEL SERA INFORMÉ SUR LE VACCIN, SES PROPRIÉTÉS ET SES EFFETS, PLUS IL LUI SERA FACILE DE PRENDRE LA BONNE DÉCISION ET DE PASSER À L’ACTE. SE FAIRE VACCINER, C’EST UN GESTE DE PROTECTION. CETTE DÉCISION TRÈS PERSONNELLE AURA UN IMPACT POSITIF SUR NOS FAMILLES, NOS ENFANTS ET NOS PATIENTS. ILS SERONT UN PEU PLUS PROTÉGÉS CONTRE LE VIRUS D’INFLUENZA.

Parlons-en pour éliminer les fausses croyances et les préjugés. Infl uençons positivement tout en respec-tant le choix personnel de nos collègues. Nous sommes choyés dans le réseau de la santé : nous avons accès au vaccin gratuitement... sans faire la fi le et nous avons à portée de main des experts (infi rmière, médecin et pharmacien) qui peuvent venir nous rencontrer dans nos unités.

Se faire vacciner? Oui, mais faisons-le pour les bonnes raisons : on en a envie, on y croit, on veut se protéger. C’est encore plus vrai pour nous, les pro-fessionnels de la santé. En général, nous prenons tous les moyens nécessaires pour protéger la clien-tèle dans nos unités. Par contre, nous prenons moins de précautions entre nous. Nous travaillons à proximité les uns des autres, nous partageons le même téléphone, les mêmes dossiers ou tout autre matériel plus d’une fois par jour. Notre indice de contagiosité est très élevé.

Emboîtons le pas au Dr Valiquette et faisons-nous vacciner.

Flore BélandChef de soins, unité des soins intensifs (3e)CHUS – Hôpital Fleurimont

SE FAIRE VACCINER POUR LES BONNES RAISONS

8 ENTRE NOUS 7 novembre 2011

Laissons parler cet exemple (en anglais) tiré du site web de l’Institut pour l’utilisation sécuritaire des médicaments (ISMP) :

On peut lire : « if AM Vancomycin level is < 10, give 1 gram IV x 1 dose », ce qui correspond à l’intention

qu’avait le prescripteur, mais ce qui nous saute aux yeux est l’impression du nombre « 40 » qui se forme à partir du symbole « < » juxtaposé au nombre « 10 ».

Le symbole « < » peut autrement être confondu pour la lettre « L », le symbole « > » pour le chiffre 7 ou les 2 symboles peuvent être confondus l’un pour l’autre, soit « < » est compris comme voulant dire « > » et vice versa.

CE QU’IL FAUT ÉCRIREPour se faire comprendre sans ambiguïté, écrivez : « plus grand que » ou « plus petit que » ou « moins que » au complet selon le cas sur tous les documents en rapport avec les médicaments. Ce qui se lit sans ambiguïté se comprend fi dèlement, et les patients reçoivent sans faute leur médicament...

Serge Maltais, M.Sc., CAPM, chargé de projetUtilisation sécuritaire des médicamentsDépartement de pharmacie

Pourquoi il faut se débarrasser des symboles « < » et « > »

ABRÉVIATIONS DANGEREUSES ET INTERDITES

Le CHUS poursuit ses efforts pour améliorer les services en anglais

Un sondage réalisé en 2010 par le réseau communautai-re de santé et de services sociaux souligne que l’Estrie

compte une proportion moyenne de personnes d’expres-sion anglaise estimée à 8 %. Cette même étude démon-tre que notre région se positionne plutôt bien en ce qui concerne l’accessibilité des services en anglais autant en milieu hospitalier qu’en cabinet privé. Certaines améliora-tions demeurent souhaitables, d’où le bien-fondé du plan d’action du comité d’accessibilité des services en anglais.

UNE OCCASION D’AMÉLIORER LA SÉCURITÉTout le monde préfère communiquer dans sa langue maternelle, d’autant plus dans les situations stressantes. Une étude réalisée dans certains hôpitaux américains a démontré que les accidents qui surviennent chez les patients ayant à communiquer dans une autre langue que leur langue maternelle entraînent des conséquences plus

graves que pour les patients s’exprimant dans leur langue maternelle (Divi et al, 2007). Les services à la communauté d’expression anglaise doivent donc être vus comme une belle occasion de renforcer la sécurité des soins.

Les patients d’expression anglaise sont d’ailleurs conscients des efforts que font les employés du CHUS à leur égard chaque jour. Selon nos sondages internes, ils apprécient qu’on essaie de communiquer avec eux dans leur langue, même si notre maîtrise n’est pas parfaite. Il faut donc oser!

FONDS DISPONIBLES POUR LA TRADUCTIOND’autres gestes sont faits pour bien servir la communauté d’expression anglaise, dont la possibilité de leur offrir de la documentation dans leur langue. D’ici le 20 novem-bre, profi tez de l’appel d’offre annuel de l’Agence pour faire traduire gratuitement vos documents destinés aux patients. Il s’agit de suivre la procédure diffusée dans la section outils de travail de l’intranet. Pour toute question, contactez Brenda Couture au poste 13802.

Jean-Guillaume MarquisAgent de planifi cation, programmation et rechercheDirection de la qualité, de la planifi cation, de l’évaluation et de la performance (DQPEP)

7 novembre 2011 ENTRE NOUS 9

Nouvelle image pour la documentation remise aux patients

AFIN D’UNIFORMISER LA DOCUMENTATION REMISE AUX PATIENTS, LA DIRECTION DES

COMMUNICATIONS ET DES AFFAIRES PUBLIQUES (DCAP) A CONÇU DES GABARITS POUR DIVERS FORMATS DE DÉPLIANTS OU FEUILLETS :

• Format une page recto verso, noir et blanc. Ce gaba-rit est parfait pour la préparation à des examens tels gastroscopie, coloscopie ou à des examens d’imagerie médicale tels angiographie, IRM, etc.

• Dépliant deux volets, trois volets ou quatre volets, 4 couleurs. Ces gabarits sont offerts avec des photos déjà choisies pour l’entête ou sans photo, pour permettre de mettre la photo de votre choix.

Disponibles dans l’intranet, Espace outils de travail, cha-que gabarit est accompagné de normes graphiques à suivre et d’un exemple qui a été réalisé. Mais attention! Ces gabarits sont utiles en autant que votre projet fi nal puisse être envoyé à la reprographie du CHUS pour photocopies en petites quantités. Si votre dépliant fi nal nécessite une impression en grande quan-tité sur des presses professionnelles (imprimeur), contac-tez la DCAP, car une mise en pages graphique faite par des professionnels est alors nécessaire.

VOUS AVEZ UN PROJET DE DOCUMENTATION AUX PATIENTS?

Avant de vous lancer dans tout projet de documentation aux patients :

• lisez le Guide de conception de documentation aux patients, qui est aussi disponible dans l’intranet, même section. Vous y trouverez des principes importants à suivre pour produire de la documen-tation effi cace;

• consultez la DCAP, qui vous aidera à orienter votre projet. Selon les ressources disponibles, la DCAP peut aussi fournir de l’aide pour la mise en pages de projets « maison ».

Pour tout conseil et soutien, référez-vous à la conseillère en communication attitrée à votre secteur.

Exemple de dépliant 3 volets

Exemple de format une page recto verso

Le syndrome d’immobilisation est réversible si la mobilisation débute rapidement. Selon votre degré de tolérance et après vérification auprès de votre infirmière ou de votre thérapeute, reprenez vos activités habituelles.

Apportez à l’hôpital les effets personnels suivants et identifiez-les, s’il y a lieu :

Nous vous encourageons à accompagner votre proche à se mobiliser selon les consignes du personnel. Il en va de sa santé. Auteurs :

Références :

Une semaine d’immobilisation peut nécessiter trois semaines de récupération, particulièrement chez la personne âgée.

GOÛTER NOCTURNE DU 29 SEPTEMBREÇa y est! C’est l’automne, les nuits s’allongent et rafraîchissent... Dans les unités, l’ambiance est feutrée. On protège le sommeil fragile de nos patients, mais les sourires chaleureux accueillent le délicieux goûter distribué par 12 « bénévoles », directrices et membres du personnel d’encadrement.

En cette occasion, nous tenons à remercier tout particulièrement les 287 personnes, résidents et membres du personnel, qui assurent les soins et les services sur le quart de nuit tout au long de l’année.

Merci aussi à l’équipe des services alimentaires pour cette activité réconfortante, au cœur de la nuit.

Direction des ressources humaines et de l’enseignement

VOTRE EXAMEN

Votre médecin vous a prescrit un examen appelé gastroscopie. Cet examen consiste à insérer un tube flexible par la bouche jusqu’au petit intestin. Le tube est muni d’une caméra et d’une lumière en son bout qui permet d’examiner l’intérieur de l’œsophage, de l’estomac et d’une partie du petit intestin pour détecter la présence d’ulcères ou de lésions.

Il est possible que le médecin fasse une biopsie[1] durant l’examen ou enlève des polypes.

[1] Il s’agit de prélever un très petit morceau de tissu (quelques millimètres) dans le but de l’analyser pour connaître sa nature.

QUOI FAIRE AVANT VOTRE EXAMEN

Il est important de respecter toutes les consignes de préparation qui suivent, car la qualité et la sécurité de votre examen en dépend.

• Si vous prenez du Coumadin, du Plavix,de l’Aspirine ou de l’héparine, dites-le au personnel de la clinique lors de la planification de votre rendez-vous.

• Avisez le personnel si vous portez un « pacemaker ».

• Si vous êtes diabétique, parlez-en avecvotre médecin qui vous donnera les directives à suivre pour votre médication avant votre examen.

• Apportez la liste à jour et la plus complète possible des médicaments que vous prenez et indiquez-y vos allergies.

• Évitez de manger, boire ou fumer au moins cinq heures avant l’examen.

• Ne portez pas de bijoux ni de vernis à ongles le jour de l’examen.

• Arrivez 30 minutes avant l’heure prévue de votre examen.

GASTROSCOPIE

Vous devez être accompagné pour l’examen, car vous ne pourrez pas conduire par la suite.IMPORTANT

DURANT L’EXAMEN

• L’examen peut durer entre 5 et 20 minutes.

• Vous serez d’abord installé sur une civière.

• Vous serez tourné sur le côté gauche.

• Pour votre confort, l’infirmière vous donnera un sédatif ou un calmant.

• L’infirmière ou le médecin gèlera votre gorge avec un vaporisateur.

• Lorsque vous serez prêt, le médecin introduira le tube dans votre bouche. Si vous ressentez de la douleur, mentionnez-le.

APRÈS L’EXAMEN

• Vous serez gardé en observation environ30 minutes.

• Le personnel contrôlera votre pression artérielle et d’autres paramètres comme votre fréquence cardiaque régulièrement.

• Il est normal de vous sentir gonflé ou d’avoir des gaz.

• Il est normal de vous sentir fatigué et d’avoir des nausées.

• Il est normal de ressentir un inconfort dans la gorge ou dans la bouche.

• Puisque votre gorge est gelée, vous devrez rester à jeun pendant plus de 60 minutes ou selon les directives médicales.

UNE FOIS À LA MAISON

L’examen comporte de faibles risques de complications :

• saignements;

• perforation de la paroi digestive.

Si vous avez des douleurs sévères au ventre, des frissons, des selles noires ou des vomissements avec du sang :

Consultez votre médecin de famille ou allez dans une clinique sans rendez-vous.

Si la clinique est fermée : appelez Info-Santé 8-1-1.

Présentez-vous à l’urgence du centre hospitalier le plus proche.

Auteurs : Frédéric Grondin, inf., M.Sc.; Dr Charles Ménard, gastroentérologue © Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke (CHUS) / www.chus.qc.ca Mai 2011

Ce document d’information est disponible grâce au soutien financier du Fonds Brigitte-Perreault destiné à la qualité et à la sécurité des soins.

AIDE-MÉMOIRE

Date de mon examen : ________________

Si vous devez annuler votre examen, veuillez aviser le personnel au 819 346-1110, poste 24400.

Endroit : CHUS Hôtel-Dieu

585, rue Murray, 5e étage, aile D.

Entrée porte 25, située sur la rue Murray, près de la rue Woodward

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10 ENTRE NOUS 7 novembre 2011

En février 2011, les équipes du centre de chimiothéra-pie (personnel soignant, pharmaciens et médecins)

procédaient à la mise en place d’un nouveau système de gestion des rendez-vous. Du rendez-vous médical et traitement le même jour, on passait au mode du rendez-vous en deux temps. Il s’agit de séparer les rendez-vous médicaux (temps 1) des rendez-vous pour les traitements (temps 2) afi n d’optimiser les étapes du processus de soins, soit de l’émission de l’ordonnance à l’administration du traitement.

Même si cette nouvelle façon de faire exige des pa-tients deux déplacements plutôt qu’un, un des béné-fi ces attendus du projet visait une augmentation de leur satisfaction par une réduction du temps d’attente. Maintenant que nous sommes rendus en phase d’évalua-tion du projet, nous pouvons dire que cet objectif est atteint. Les résultats du sondage post-implantation révèlent une diminution signifi cative du temps d’attente pour les traitements.

Le sondage clientèle nous a permis également de recueillir les commentaires des patients :

• Mieux que l’an passé, le service et l’attente.

• Depuis les nouveaux changements, le service est très satisfaisant.

• Long temps d’attente aux prises de sang.

Actuellement, nous poursuivons toujours nos efforts d’amélioration dont un des objectifs est de diminuer le temps d’attente au centre de prélèvements de la chimiothérapie.

Encore bravo à toutes les équipes impliquées dans ce changement!

Josée Dion, chef clinico-administrative du Programme-clientèle en soins oncologiques

TEMPS AVANT APRÈS D’ATTENTE rendez-vous rendez-vous 2 temps 2 temps

Temps 1Voir médecin < 60 min. 66,1 % 65,4 %

Temps 2Traitements < 30 min. 23,7 % 61,8 %Traitements < 60 min. 59,6 % 84,2 %

Satisfaction globale 92 % 92 %

RENDEZ-VOUS EN DEUX TEMPS EN CHIMIOTHÉRAPIE LA CLIENTÈLE SATISFAITE

Un nouvel exécutif au CIILE 28 SEPTEMBRE DERNIER, LES MEMBRES DU

CONSEIL DES INFIRMIERS ET INFIRMIÈRES (CII) ÉTAIENT APPELÉS À ALLER VOTER POUR CHOISIR LEURS REPRÉSENTANTS AU COMITÉ EXÉCUTIF DU CONSEIL DES INFIRMIERS ET INFIRMIÈRES (CECII). VOICI LES NOMS ET RÔLES DE VOS REPRÉSEN-TANTS AU SEIN DU CECII :

• Frédéric Grondin, président• Francesca Nadeau, vice-présidente• Adrianna Elias, agente de communication• Raymonde Bouchard, secrétaire

Rappelons que le CII joue un rôle majeur dans notre éta-blissement. Il peut faire des recommandations au conseil d’administration sur des sujets liés à la pratique des soins infi rmiers, ou il peut donner des avis à la directrice générale sur l’évaluation, le maintien des compétences et l’organisation du travail.

Parmi les objectifs 2011-2012, soulignons notamment :

• la participation au processus d’inspection profession-nelle de l’OIIQ;

• l’élaboration et le suivi du plan d’action à la suite de l’inspection professionnelle de l’OIIQ en lien avec les situations cliniques ciblées;

• la participation aux audits de qualité et au plan d’action qui en découleront (prévalence et incidence des plaies de pression et l’évaluation de la qualité des processus de soins – soulagement de la douleur et surveillance des opiacés);

• la hausse de la visibilité du CECII lors de l’accueil des nouvelles infi rmières embauchées.

Si vous avez des suggestions ou des préoccupations à nous partager, n’hésitez pas à communiquer avec votre CECII!

Direction adjointe des soins infi rmiers

Le tableau ci-dessous illustre très bien les impacts du projet, puisque les actions d’amélioration visaient exclusivement le temps deux, soit le rendez-vous pour les traitements.

7 novembre 2011 ENTRE NOUS 11

LES BACTÉRIES, VIRUS, CHAMPIGNONS, MICROBES ET AUTRES PATHOGÈNES : ON S’EN LAVE LES MAINS!La Semaine régionale de prévention des infections avait

lieu du 17 au 21 octobre. Ce fut l’occasion de sensibi-liser des centaines d’infi rmières, de médecins, de profes-sionnels, de préposés et de bénévoles à une saine hygiène des mains. Une centaine d’intervenants ont même assisté à des témoignages troublants de patients victimes d’une infection nosocomiale.

C’est clair, il faut protéger le patient des germes nuisibles en se nettoyant les mains comme il faut. Car, eh oui, ces petites bêtes empruntent allègrement nos mains pour se déplacer. Le Clostridium diffi cile est un adepte du trans-port en « commain », tout comme ses copains Eschericia Coli. auréus (SARM) et entérocoque (ERV) résistant aux antibiotiques. Ne vous y trompez pas, ces germes-là ne volent pas et ne se propagent ni par les airs ni par la toux. Et que pourrait-on dire de l’infl uenza!

Le risque de contact avec les liquides organiques est une autre occasion en or de faire l’hygiène des mains alors... Lavez, lavez, savez-vous savonner! Le grand ménage de nos mains comme de notre environnement est essentiel. Le négliger ou ne pas observer la règle des 4 moments

de l’hygiène des mains (voir ci-dessous) peut affecter non seulement nos patients, mais aussi nous-mêmes, nos en-fants et nos proches à la maison.

Alors, utiliser un gel antimicrobien hydro-alcoolique avant toute intervention aseptique, c’est génial. Si vous portez des gants, changez-les et lavez vos mains après un contact avec le patient ou son environnement immédiat, avant votre prochaine prestation. L’hygiène des mains aux moments appropriés fait partie des pratiques universelles cruciales dans la lutte contre les infections nosocomiales. La vigilance est de mise en tout temps et sans relâche.

Jour, soir, nuit, la fi n de semaine et les jours de congé, il faut mettre KO ces envahisseurs redoutables. C’est une question de qualité de vie et de respect pour tous. C’est une question de sécurité pour nos patients.

Les germes sont dans le box des accusés, il faut garder les yeux dessus et tous les zigouiller.

Jocelyne Frenette, conseillère cadre en gestion de la qualitéet l’équipe de prévention des infections

www.santeestrie.qc.cawww.santeestrie.q

12 ENTRE NOUS 7 novembre 2011

Les termes et /ou logos, MORNINGSTAR et CANADIAN INVESTMENT AWARDS, sont la propriété de Morningstar, Inc., et sont utilisés avec leur consentement.

Planifiez votre retraite pour une routine captivante

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Me Ménard à l’AGA du comité des usagersLe 18 octobre se tenait l’assemblée générale annuelle

(AGA) du comité des usagers du CHUS. C’est en pré-sence d’une quarantaine de participants provenant de la population ainsi que de divers organismes que le prési-dent, Denis Marceau, a présenté le rapport annuel et fi nancier 2010-2011 ainsi que les perspectives d’actions pour 2011-2012. Parmi celles-ci : dans les deux hôpitaux du CHUS, renseigner davantage les usagers sur les droits et les accompagner dans les démarches qu’ils entreprennent.

Cette assemblée fut suivie d’une conférence de 85 minu-tes de Me Jean-Pierre Ménard, avocat spécialisé dans les droits de la santé depuis 31 ans. Il a, entre autres, fait un rappel des droits des usagers en mentionnant que le système de santé appartient à la population et doit répondre aux besoins de la clientèle, et qu’il incombe au médecin de s’assurer que le patient a bien compris l’information donnée. Selon lui, la transparence réduit le risque de poursuites. Il a rappelé qu’au CHUS la déclaration des incidents et accidents est prise au sérieux et que le patient doit se sentir respecté et avoir confi ance en l’équipe soignante.

En terminant, Me Ménard a affi rmé que le patient doit garder le contrôle de ses soins. C’est à lui de décider si les soins sont acceptables ou non et ne pas hésiter à faire connaître son insatisfaction, soit auprès du comité des usagers qui joue un rôle majeur, ou bien en portant plainte auprès de la commissaire.

SEMAINE DE PROMOTION DES DROITS DES USAGERS

En plus de l’AGA et de la conférence de Me Ménard, d’autres activités se sont tenues en lien avec la Semaine de promotion des droits des usagers, du 23 au 29 octobre 2011. Parmi celles-ci :

• sur le site Internet du CHUS, on a fait la promotion de la Semaine des droits des usagers avec un hyperlien sur la page du comité des usagers rappelant, entre autres, la mission du comité et certains droits;

• des affi ches ont été apposées sur les babillards au CHUS—Hôtel-Dieu et au CHUS—Hôpital Fleurimont pour informer la population de la tenue de la Semaine et inviter les gens à consulter le cahier spécial dans La Tribune;

• un cahier spécial dans le journal La Tribune faisant mention du comité des usagers du CHUS et de ses coordonnées;

• un article dans le journal Info-DSP (journal dédié aux médecins) portant sur la conférence de Me Ménard et invitant les médecins à poursuivre le dialogue avec le comité des usagers.

Line Gilbert, personne-ressourcepour Denis Marceau, présidentComité des usagers du CHUS

Me Jean-Pierre Ménard et Denis Marceau

7 novembre 2011 ENTRE NOUS 13

Dans l’ordre habituel : Charles Auger DG de la Fondation du CHUS, le Dr Raymund J. Wellinger lauréat du Grand prix d’excellence, le Dr Daniel Lafontaine récipiendaire du prix Relève, Jean-Luc Mongrain parrain d’honneur de l’activité, Me Dany Lachance présidente du C. A. de la Fondation du CHUS, Hubert Reeves invité d’honneur, le Dr Gérard Plante lauréat du prix Carrière, le Dr Pedro D’Orléans-Juste récipiendaire du prix Rayonnement, Patricia Gauthier DG du CHUS ainsi que Jacques Fortier président du C. A. du CHUS

À VOTRE FONDATION

9E ÉDITION DU GALA D’EXCELLENCE DE LA RECHERCHE MÉDICALEC’était soir de fête au Manège militaire de Sherbrooke le 22 octobre alors que la Fondation du CHUS rendait hom-

mage à quatre chercheurs du CRC Étienne-Le Bel. La prestigieuse soirée-bénéfi ce qui réunissait plus de 300 invités a permis d’amasser 55 000 $ versés au Fonds Jean-Luc Mongrain de la Fondation du CHUS.

Les chercheurs s’étant distingués sont le Dr Daniel Lafontaine, récipiendaire du prix Relève; le Dr Gérard Plante, récipien-daire du prix Carrière; le Dr Pedro D’Orléans-Juste, récipiendaire du prix Rayonnement et le Dr Raymund J. Wellinger, récipiendaire du Grand prix d’excellence.

Afi n de donner le ton à la soirée qui les attendait, les invités étaient accueillis par une haie d’honneur de militaires à l’extérieur et par des chercheurs en pleine action à l’intérieur! Merci à Brigitte Dumas et Nathalie Carrier, comédiennes de la Troupe de théâtre des employés du CHUS, de s’être prêtées au jeu.

Le manège militaire Colonel Gaétan J. Côté des Fusiliers de Sherbrooke était méconnaissable grâce au talent

de Conception architecturale Jean Bissonnette.

La Fondation du CHUS pouvait compter sur un invité

d’honneur de marque en la personne d’Hubert Reeves.

La présidente de la Fondation, Me Dany Lachance, ainsi que le directeur général

Charles Auger lui ont remis une sculpture de l’artiste

sherbrookois Clôde Beaupré pour le remercier de sa présence.

14 ENTRE NOUS 7 novembre 2011

À VOTRE FONDATION

TIRAGE-VOYAGE DES EMPLOYÉS ET DES MÉDECINS DU CHUS

Forte du succès de l’an dernier, la Fondation revient avec la même formule. Il y aura donc 36 prix tirés entre

les mois de janvier et de juin. Vous avez jusqu’au 4 janvier 2012 pour vous procurer votre billet au coût de 104 $. Le tirage est aussi ouvert à vos parents et amis.

À nouveau cette année, tous les bénéfi ces du tirage-voyage serviront à fi nancer des projets proposés par le personnel et les médecins du CHUS. Un rappel des prix offerts mensuellement :

• 2 crédits-voyages d’une valeur de 2 500 $ chacun

• 1 000 $ en argent comptant

• 750 $ en argent comptant

• 500 $ en argent comptant

De plus, lors du premier tirage, en janvier, cinq prix sup-plémentaires de 1 000 $ seront gagnés. Finalement, en juin, un crédit-croisière de 5 000 $ s’ajoutera aussi aux cinq prix du mois. En tout, 53 500 $ offerts en prix cette année!

Bonne chance!

PIÈCE DE THÉÂTRE GROUPE INVESTORS DES EMPLOYÉS DU CHUS

Venez rire un bon coup et applaudir vos amis et col-lègues de travail le 6 décembre prochain au centre

culturel de l’Université de Sherbrooke, lors de la pièce de théâtre « Avec vous, pour la P’tite Vie ». Déjà, nous pouvons vous confi rmer que Marc-André Rodrigue incarnera « pôpa » alors que Luc Fontaine interprétera « môman ».

Ne ratez pas cette formidable soirée en achetant dès maintenant vos billets en vente au coût de 25 $ chacun auprès de vos collègues-comédiens ou directement à la Fondation au 819 820-6450. Tous les profi ts seront versés à la Fondation du CHUS.

Pour une 32e année, le Téléthon de la Fondation du CHUS sera présenté le dernier ven-dredi de novembre, soit le 25 novembre prochain, sur les ondes de TVA Sherbrooke.

L’objectif de cette année a été fi xé à 4 millions de dollars. Josée Cloutier accueillera un nouveau coanimateur en la personne d’Éric Salvail. Demeurez à l’affût afi n de connaître quels artistes ont accepté l’invitation à se joindre à la fête cette année!

TÉLÉTHON 2011 : LE DÉCOMPTE EST AMORCÉ!

7 novembre 2011 ENTRE NOUS 15

LA RADIOLOGIE À L’ÈRE NUMÉRIQUELE PACS PARTAGÉ FAIT PARTIE DE NOTRE QUO-

TIDIEN DEPUIS DÉJÀ LONGTEMPS. LE PORTAIL CHUS, LUI, A FAIT SON APPARITION AFIN DE RÉ-PONDRE AUX BESOINS DES UTILISATEURS. MÊME SI BEAUCOUP DE PROFESSIONNELS DE LA SANTÉ MAÎTRISENT CES OUTILS DEVENUS INDISPEN-SABLES, CERTAINES FACETTES RESTENT ENCORE MÉCONNUES POUR D’AUTRES.

PACS PARTAGÉ

Notre PACS est une base de données où l’on retrouve tous les examens d’imagerie médicale. Le PACS partagé, de son côté, comprend les images de plusieurs établis-sements situés en Estrie :

• CHUS Hôpital Fleurimont et Hôtel-Dieu

• CSSS Memphrémagog (Magog)

• CSSS des Sources (Asbestos)

• CSSS Val-St-François (Windsor)

• CSSS Coaticook (Coaticook)

• CSSS-IUGS

• CSSS du Granit (Lac Mégantic)

Les images réalisées dans ces centres seront visibles dans le dossier patient du CHUS si le patient a déjà un dossier radiologique chez nous. Sinon, il faut aller directement dans l’onglet du centre hospitalier avec le numéro de dossier de ce centre.

PORTAIL CHUS

Le Portail CHUS est également une base de données d’images, mais temporaire. Il sert de transit pour les images de l’extérieur (centres ne faisant pas partie du PACS partagé). Seulement deux centres ont un lien direct avec notre Portail CHUS :

• CSSS Haute-Yamaska (Granby)

• CSSS La Pommeraie (Brome-Missisquoi-Perkins, Cowansville)

L’INTÉGRATION AU PORTAIL CHUS

Voici la procédure à suivre afi n d’obtenir les images de ces deux derniers centres. Si le patient est hospitalisé ou à l’urgence, il suffi t de contacter le centre hospitalier concerné et de demander le transfert des examens. Si le patient est externe ou référé, il faut remplir le formulaire AH-216 (Autorisation de communiquer des renseigne-ments contenus au dossier), faire signer le patient et le joindre à la demande.

Pour tous les autres centres non mentionnés ci-haut, le transfert des images doit se faire obligatoirement par CD/DVD. Ce dernier doit être acheminé à la fi lmothèque

(HD, FL) durant les heures ouvrables. Autrement, il doit être envoyé à la radiologie de l’urgence (HD, FL). L’inté-gration au portail sera complétée dans un délai de 20 minutes, alors que l’intégration au PACS partagé suivra dans les 48 heures.

LES AVANTAGES

Le PACS partagé élimine les doublons d’examens, qui coûtent si chers, et diminue la dose de radiation au patient. Il évite également aux usagers de se rendre dans l’un des centres du PACS partagé afi n de récupérer leurs images et, ainsi, réduit les pertes de fi lms comme autrefois. De plus, il en résulte un dossier radiologique unique qui est accessible partout dans l’hôpital.

Quant à lui, le Portail CHUS permet un accès rapide aux images de l’extérieur, via l’intégration ou via le transfert direct de données (Granby et Cowansville).

En espérant que ces informations supplémentaires vous seront utiles et vous feront apprécier les nombreux avantages reliés à cette technologie.

BESOIN D’EN SAVOIR PLUS?

L’équipe PACS vous suggère des rencontres dans vos services, des outils d’utilisation tels que des procédures imagées et/ou de la documentation expliquant les propos de cet article.

Alexandra Morency, t.i.m.Dominique Guérin, t.i.m.Pour l’équipe PACS

16 ENTRE NOUS 7 novembre 2011

LA COMMUNAUTÉ STRATÉGIQUE

Le travail en réseau : faire autrement pour simplifi er la vie des patients!

La logistique hospitalière : en collaboration avec les équipes cliniques

C’est connu, le réseau de la santé relève des défi s de taille au quotidien. Nous sommes confrontés

aux besoins de santé croissants de la population, aux réductions annoncées des dépenses publiques et aux diffi cultés à recruter le personnel requis. Il faut donc « faire autrement ». L’une des pistes est d’améliorer la collaboration entre les établissements de santé et les organismes du milieu.

Une des stratégies utilisées pour améliorer cette collabo-ration est la communauté stratégique. C’est un groupe de professionnels, de médecins et de gestionnaires pro-venant des établissements partenaires et des organismes communautaires. Ce groupe prend connaissance de la situation actuelle et convient de ce qu’il faut changer pour améliorer les services. Des expérimentations s’amor-cent et sont évaluées pour réajuster « le tir ». Bref, il s’agit d’une démarche structurée dont l’effi cacité a été démontrée par des chercheurs relevant directement des directeurs généraux des établissements.

La communauté stratégique permet d’implanter des façons de faire qui ont un impact direct sur les patients. Par exemple, les personnes aux prises avec un cancer bénéfi cient de soins plus continus et mieux coordonnés entre le CHUS et les CSSS. La circulation de l’information sur des personnes vivant avec un problème de santé men-tale s’est améliorée entre les médecins de famille et le CSSS, et entre le CHUS et les CSSS.

La communauté stratégique est considérée par le CHUS et les CSSS de l’Estrie comme une stratégie pertinente de soutien au changement. Cependant, elle est perti-nente lorsque les enjeux sont complexes et nécessitent une collaboration étroite entre plusieurs établissements et organismes.

La collaboration, c’est la clé pour améliorer les services à la population!

Chantal Boucher, directrice de l’organisation des soins et du travail, CHUS

Johanne Archambault, directrice de la coordination et des affaires académiques, CSSS-IUGS

Marie-Ève Nadeau, agente d’information, CSSS-IUGS de Sherbrooke

LA COMMUNAUTÉ STRATÉGIQUE, C’EST CE QU’ON APPELAIT AVANT LE « PROJET TOT ».

NE MANQUEZ PAS LE PROCHAIN ARTICLE QUI EXPLIQUERA COMMENT UNE COM-MUNAUTÉ STRATÉGIQUE A PERMIS D’AMÉ-LIORER LES SERVICES AUX PERSONNES SOUFFRANT DE CANCER.

Dans un établissement de santé, l’équipe de la logisti-que hospitalière est responsable des fl ux physiques, des fl ux d’informations qui y sont associés, des fl ux fi nanciers résultant des améliorations de la performance logistique et des fl ux humains. Au CHUS, l’équipe est responsable de la réception, de l’entreposage, de la distribution et du transport intersites des marchandises.

Depuis plusieurs années déjà, l’équipe de la logistique hospitalière s’est inscrite dans une démarche de collabo-ration qui créée une valeur ajoutée auprès des équipes de soins. Pour y arriver, il a fallu appliquer l’expertise de la logistique existant dans le milieu industriel et commercial et l’adapter aux besoins et à la réalité du milieu hospi-talier, et ce, au bénéfi ce du patient.

Depuis mai 2011, l’outil de gestion d’inventaire Copilote est déployé à l’entrepôt de médicaments du CHUS. Cela

nous aide non seulement à mieux gérer notre inventaire, mais nous donne une traçabilité sur les déplacements de marchandises à l’intérieur de notre établissement, en plus d’assurer un meilleur service.

Ce 7 novembre, Copilote a été déployé au Centre de distri-bution et dans les mois qui viennent, tous les autres outils offerts par ce logiciel seront déployés pour mieux soute-nir les équipes de soins.

Au cours des prochaines publications, nous vous présente-rons les membres de l’équipe de la logistique hospitalière et nous vous informerons des différents projets en cours et à venir.

François LaRueCoordonnateur de la logistique hospitalièreDirection des ressources fi nancières et des services techniques (DRFST)

7 novembre 2011 ENTRE NOUS 17

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18 ENTRE NOUS 7 novembre 2011

COCKTAILSla nouvelle collection dessinée par Marie-Sophie Dion exclusivement pour le Bar à lunettes

www.baralunettes.com

L’INFOCENTRE : DES DONNÉES À L’INFORMATIONDES DONNÉES, AU CHUS, ON EN COLLIGE, ON EN COMPLÈTE, ON EN DOCUMENTE, ON EN REÇOIT,

… BREF, ON EN A! MAIS APRÈS, QU’EN FAIT-ON? L’INFOCENTRE, VIA DES OUTILS INFORMATIQUES,

TRANSFORME CERTAINES DE CES DONNÉES EN INFORMATION AFIN DE LES RENDRE INTELLIGIBLES

POUR QU’ENSUITE IL VOUS SOIT POSSIBLE DE LES ANALYSER, DE LES COMPRENDRE, D’AGIR, D’INNO-

VER, DE DÉCIDER, D’AMÉLIORER, DE SUSCITER DE L’INTÉRÊT.

Aussi utiles aux gestionnaires qu’aux chercheurs, qu’aux cliniciens et qu’aux étudiants, les données du CHUS ne dorment pas après leur documentation, elles ont une nouvelle vie pleine d’avenir devant elles. Mais parce que nos données ne sont pas toutes en santé (peut-être parce que l’on est dans un hôpital...), l’Info-Centre doit en remettre d’aplomb afi n qu’elles puissent livrer leur plein potentiel. Très fréquemment, une fois regroupées, recoupées et retaillées, elles livrent un nouveau message. C’est justement le rôle de l’Info-Centre de vous aider à trouver ces nouveaux mes-sages, mais c’est à nous tous de prendre soins de ces

précieuses données à chaque étape de leur vie, de la collecte à l’information!

VOUS POUVEZ JOINDRE L’INFOCENTRE AU POSTE 14777.

Amélie JourdainCoordination de l’InfoCentreDirection de la qualité, de la planifi cation, de l’évaluation et de la performance (DQPEP)

7 novembre 2011 ENTRE NOUS 19

NOMINATIONS PERSONNEL CADREJean-Sébastien Beaulieu, chef de soins et services au programme psychotique et sous-programme de soins complexes, Programme-clientèle en santé mentale

Nathalie Desmarais, chef de soins et services de l’unité de néonatologie (intérim), Programme-clientèle femme-jeunesse-famille

Johanne Dussault, chef de service pour les secteurs de pathologie, centre de prélèvements et cytogéné-tique, Programme-clientèle en biologie médicale

Robert Gagné, chef de service des installations matérielles, volet architecture et aménagement CHUS – Hôpital Fleurimont

Yves Gingras, conseiller en mesures d’urgence

Diane Girard, cadre-conseil en assurance qualité et biosécurité, Programme-clientèle en biologie médicale

Nicolas Lareau-Trudel, chef de soins et services en soins critiques et traumatologie, Programme-clientèle en soins critiques et traumatologie

Manon Larivière, experte clinique pour le projet d’agrandissement et de réaménagement du CHUS – Hôpital Fleurimont, la procréation médicalement assistée et le projet du Centre femme-jeunesse-famille (mandat temporaire)

Stéphane Mercure, responsable de la radioprotection

Jean-Sébastien Quirion, chef de service des installa-tions matérielles, volet entretien préventif et correctif pour le CHUS – Hôpital Fleurimont

Au Centre de recherche clinique Étienne-Le Bel

2E ÉDITION DE L’ENCAN DES VINS DE SHERBROOKE DE LA FONDATION DES ÉTOILES

Le 6 octobre a eu lieu la 2e édition de l’Encan des vins de Sherbrooke de la Fondation des étoiles. Sous la

présidence d’honneur de Jacinthe Dubé, ce rendez-vous incontournable pour les amateurs de vin a réuni toute une variété de membres de notre communauté, tant ceux du milieu de la santé que de la recherche et du monde des affaires, afi n de soutenir avec une extraordinaire généro-sité la recherche pédiatrique au CHUS.

Merci aux 240 participants qui ont permis d’amasser près de 80 000$, somme qui sera versée aux chercheurs du CHUS travaillant dans le domaine mère-enfant, et ce, en étroite collaboration avec la Fondation du CHUS.

UN INVITÉ DE RENOM À SHERBROOKE Sur l’invitation du CRCELB, en collaboration avec la FMSS, le célèbre astrophysicien Hubert Reeves était des nôtres ce vendredi 21 octobre alors qu’il donnait sur l’heure du lunch une conférence intitulée Cosmos et Créativité. Plus de 400 chercheurs, employés du CHUS et étudiants sont venus rencontrer cette sommité scientifi que.

Michel Lanteigne, président de la Fondation des Étoiles, Patricia Gauthier, DG du CHUS, Luc Paquet, vice-doyen au développement et partenariats de la FMSS, Charles Auger, DG de la Fondation du CHUS, Me Dany Lachance, présidente de la Fondation du CHUS, Diane Blais, vice-présidente de la Fondation des Etoiles ainsi que Jean-Sylvain Labbé, directeur de la Fondation des Étoiles

Le Dr Guillaume Sébire, clinicien chercheur neurologue et pédiatre, directeur de l’axe de recherche mère-enfant, le Dr Jean-Paul Praud, clinicien chercheur pneumopédiatre, Patricia Gauthier, Jacinthe Dubé de Royal Lepage Jacinthe Dubé, présidente d’honneur, ainsi que Jean-Sylvain Labbé, directeur de la Fondation des Étoiles

20 ENTRE NOUS 7 novembre 2011

ladouceurpaysagiste.com

Mammouth Spirit, Vincent Champion-Ercoli

Implantation d’oeuvres d’art

« Délivrez-nous du délirium »Optimiser les compétences professionnelles des infi rmières pour le dépistage du délirium en soins aigus

Problématique : lors de l’admission à l’hôpital, 10 à 20 % des aînés souffrent de délirium et 25 à 60 % d’en-

tre eux en souffriront en cours d’hospitalisation. Moins de 50 % des infi rmières le décèlent, bien qu’il s’agisse d’une urgence médicale et que l’évaluation de l’état mental constitue l’une de leurs responsabilités professionnelles. Objectif : évaluer l’effet d’une formation sur le sentiment de compétence des infi rmières à dépister le délirium.

Méthodologie : devis quasi-expérimental comparant un groupe expérimental d’infi rmières en médecine (GE, N=48) à un groupe contrôle (GC, N=21) sur un autre site. La variable indépendante, une formation, compre-nait entre autres l’outil de dépistage Confusion Asses-sment Method (CAM) et différents outils. La variable dépendante, le sentiment de compétence (connaissances, attitudes, comportements), a été mesurée au temps 0 et au temps 1, à 6 mois d’intervalle en 2010 avec un questionnaire auto-administré validé.

AUTEURS DE L’ÉTUDE

Résultats : il n’existe aucune différence dans le sentiment de compétence entre les groupes préformation. Le GE a vu ses résultats s’améliorer de façon signifi cative (46,58 (11,8 SD) vs 60,28 (8,4 SD) t=6,29 p<0.0001) alors qu’il n’y a pas de changement dans le GC (47,7 (10,9 SD) vs 47,0 (8,7 SD) t=0,23 p= 0,82). Le taux de réponse aux ques-tionnaires est supérieur à 90 % aux 2 temps.

Conclusion : cette étude suggère une amélioration signifi cative du sentiment de compétence grâce à une formation active en tenant compte de l’expérience et des connaissances des infi rmières, s’inscrivant dans une démarche d’amélioration continue de la qualité concer-nant l’évaluation clinique des infi rmières.

Résumé de la conférence clinico-académique présentée le 12 octobre par Maryse Grégoire.

Pre Maryse Grégoire, inf. M.A., conseillère cadre clinicienne, Programme-clientèle médecine générale et urgence du CHUS, professeure associée, École des sciences infi rmières, Université de Sherbrooke

Patrice Laplante, MD, M. Sc. Cl.,

membre du Départe-ment de médecine

générale, CHUS

Martine Proulx, inf. M. Sc., conseillère cadre clinicienne, Direction adjointe des soins infi rmiers, CHUS

Pre Cécile Michaud, inf. Ph.D., professeure

titulaire, École des sciences infi rmières,

Université de Sherbrooke

7 novembre 2011 ENTRE NOUS 21

Pour le résidant d’un CHSLD, pour la personne hospitalisée ou en attente d’une opération, pour le nouveau-né, pour le personnel

médical, bref pour des MILLIERS de personnes, chaque jour les employés de la buanderie du CHUS joignent leurs efforts et leur souci constant d’offrir une literie des plus propres, de qualité et sécuritaire à toute une population.

Notre équipe, petite mais effi cace, contribue de façon signifi cative au bien-être quotidien du patient. Elle se compose de 45 personnes : des buandiers qui opèrent le tunnel de lavage ainsi que les séchoirs, les préposés à la buanderie qui trient pas moins d’une cinquantaine de composantes de literie, les plient, les ensachent puis les distribuent en quantité suffi sante aux clients. Sans oublier nos deux électromécaniciens qui prennent soin de toutes nos machines afi n de les garder en santé.

Tous font preuve d’une grande polyvalence et forment une équipe dynamique et novatrice sous plusieurs aspects. Par exemple, au plan santé et sécurité au travail, de nouvelles procédures de « cadenassage » des machines de la buanderie seront développées puis copiées ensuite pour l’ensemble des machineries du CHUS.

La buanderie dessert plus de 20 hôpitaux, CLSC et CHSLD différents aux quatre coins de l’Estrie. Nous traitons chaque année plus de 4,5 millions de kg de literie souillée qui, une fois lavée et impeccable, est réacheminée à bon port. Nous contribuons donc, avec beaucoup de fi erté, à maintenir de hauts standards de confort et de prévention des infections dans tous ces établissements de notre région.

Jean-François Rouleau, chef de la buanderie

NOS PARTENAIRES TECHNIQUES

La buanderie du CHUS, un service impeccable

LES MOTS DE NOS PATIENTS

Bonjour,

Les matins du 7 et 8 juillet, j’ai eu à me faire tester à l’Hôtel-Dieu, départements de médecine nucléaire et cardiologie.

Ce fut une des meilleures expériences de ma vie... un personnel jeune et professionnel m’a mis bien à l’aise avec des explications sur mes actions prépa-ratoires pour obtenir de bons résultats. Je sais que les explications de routine peuvent être en abrégé, mais votre personnel fut patient, sans broncher.

Ma visite pour un ECG fut si rapide que je n’ai eu à attendre que cinq minutes avant d’entendre mon nom.

Pardonnez mon français. J’espère que vous allez capter mon admiration de vos bons services sans distraction pour mon écriture française... je suis d’instruction anglaise.

Respectueusement,

G.L. Brown72 ans

22 ENTRE NOUS 7 novembre 2011

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Employés des magasins :APPROVISIONNER POUR MIEUX SOIGNER

Gilles Gervais est chef d’équipe au magasin du CHUS – Hôpital Fleurimont. Sa tâche : approvisionner tous les secteurs de l’hôpital en fournitures matérielles essen-tielles à l’octroi de soins et services de qualité.

« Tout ce qui entre au CHUS transite par nous », déclare fi èrement Gilles. Des appareils aux médicaments en pas-sant par la nourriture et les fournitures de bureau, les magasins des deux établissements sont en effet le point d’entrée de toutes les ressources matérielles nécessaires au bon fonctionnement du centre hospitalier.

« Dès 6 h 30 le matin, des employés du magasin font le tour de tous les départements médicaux afi n de recueillir l’inventaire de leurs produits et d’effectuer des comman-des si cela s’avère nécessaire. À 8 h, les portes de l’en-trepôt ouvrent et les camions commencent à décharger le matériel, qui doit ensuite être trié avant d’être correc-tement distribué aux quatre coins de l’établissement », explique Gilles.

Une grande partie du matériel que reçoivent les maga-sins du CHUS – Hôpital Fleurimont et du CHUS – Hôtel-Dieu provient du Centre de distribution. Situé à proximité de l’Hôpital Fleurimont, il conserve en inventaire plus de 10 000 produits et prépare jour après jour les commandes

qui sont ensuite acheminées vers les magasins des deux hôpitaux. La superfi cie totale de ces trois lieux réunis représente 1,5 fois la glace du Centre Bell!

Ces surfaces accueillent chaque année plus de 90 M$ de marchandises qui doivent être traitées selon les demandes des clients, mais aussi selon les différentes priorités. Le calme et l’écoute sont donc des qualités essentielles pour les employés des magasins.

En tant que chef d’équipe, Gilles doit aussi assurer le lien avec les différents secteurs du centre hospitalier, les achats et la comptabilité. Il doit en outre gérer les éventuels problèmes et les retours de matériel.

« En résumé, notre tra-vail consiste à donner au personnel du CHUS toutes les outils dont il a besoin pour offrir un service de qualité aux patients. Une res-ponsabilité cruciale », conclut-il.

DANS UN CENTRE HOSPITALIER DE LA TAILLE DU CHUS, LES BESOINS MATÉRIELS SONT

IMMENSES ET C’EST À LA TRENTAINE D’EMPLOYÉS QUE COMPTENT LES DEUX MAGASINS ET LE CENTRE DE DISTRIBUTION DE L’ÉTABLISSEMENT QUE REVIENT LA LOURDE TÂCHE DE S’ASSURER QUE PERSONNE NE MANQUE JAMAIS DE RIEN. Gilles Gervais

7 novembre 2011 ENTRE NOUS 23

Programme de santé globale « par et pour » tous les membres du personnel du CHUS, visant l’acquisition

et la promotion de saines habitudes de vie tant au travail que dans les autres sphères de la vie.

DES CALORIES QUI BRÛLENT TOUTES SEULES!La NEAT, vous connaissez? C’est l’acronyme de Non-

Exercice Activity Thermogenesis, On le défi nit comme un effort physique insuffi sant pour entretenir la forme physique, mais capable de brûler des calories addition-nelles. Bref, c’est l’énergie dépensée pour tout ce que nous faisons, sauf dormir, manger et faire du sport ou de l’activité physique. La NEAT est donc liée à n’importe quel mouvement du corps comme marcher, parler, taper des pieds, jouer de la guitare, danser, magasiner, etc.

Il est donc possible de brûler davantage de calories seulement en étant plus actif dans les activités couran-tes qui ne demandent pas beaucoup d’énergie. On peut défi nir deux modes de vie : « sédentaire - » VS « sédentaire + ». Toutes les petites actions que vous pouvez additionner fi nissent par faire la différence dans la balance énergéti-que et font partie des activités que l’on appelle NEAT.

Les gens qui peuvent enclencher le processus baptisé NEAT sont moins enclins à prendre du poids lorsqu’ils se suralimentent. Par contre, ceux qui n’allument pas leur NEAT accumulent jusqu’à 10 fois plus de gras que les autres. Évidemment, vous êtes encouragés à pratiquer une activité physique qui soit effi cace pour maintenir ou améliorer votre forme physique et prévenir les prin-cipales maladies chroniques. Mais si cela vous est impos-sible, le mode sédentaire « + » serait une option, car cela peut jouer un rôle intéressant dans la perte de poids. On a découvert que la différence calorique pour deux per-sonnes de même gabarit, une sédentaire « + » et l’autre sédentaire « - », peut aller jusqu’à plusieurs centaines de calories par jour!

Pour quelqu’un qui occupe un emploi plutôt inactif, le simple fait de se déplacer vers l’imprimante, d’aller marcher sur l’heure du dîner ou encore de prendre les escaliers plutôt que l’ascenseur sont des choses faci-les à faire pour ne pas tomber dans le vice du mode

sédentaire « - », mais plutôt dépenser de l’énergie reliée aux NEAT.

Se prendre en main et adopter des activités NEAT – comme stationner son automobile plus loin, aller faire les courses à pied ou faire le repassage tout en regardant la télévi-sion – pourrait vraiment aider à augmenter les dépenses énergétiques et assurer un meilleur maintien du poids corporel.

Justine Bernier,Stagiaire en kinésiologie pour le CHUS-ÉnergiqueTexte revu par Pierre Gauthier, professeur titulaire à la Faculté d’éducation physique et sportive de l’UdeS.

Source : http://passeportsante.net/https://www.fi tness2live.com.au/energyexpenditure, http://nfs.uvm.edu/nfsnew/activities/act_major.cfm

Levine, J.A. (2007). Nonexerciceactivitythermogenesis – liberating the life-force, Journal of internal medicine, 262 : 273-287.

SÉDENTAIRE « – » SÉDENTAIRE « + »

Stationner son automobile à moins Se stationner plus loin et marcher de 20 secondes de marche 3 kcal plus de deux minutes 15 kcal

Prendre l’ascenseur sur trois étages 0 kcal Monter les escaliers sur trois étages 20 kcal

Engager quelqu’un pour tondre son gazon 0 kcal Tondre son gazon et jardiner 1 heure 360 kcal

Engager quelqu’un pour faire son ménage 4 kcal Faire son ménage 30 minutes 152 kcal

Utiliser la télécommande pour changer Se lever et changer de chaîne de télévision 1 kcal de chaîne de télévision 3 kcal

Magasiner en ligne Magasiner une heure dans un une heure 30 kcal centre commercial 200 kcal

TOTAL 38 kcal 750 kcal

24 ENTRE NOUS 7 novembre 2011

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CHUS Hôtel-Dieu et 500 Murray, b. voc. 18890www.nathalie-cote.com

Mariette FournierReprésentante autonomeConseillère en sécurité fi nancièreReprésentante en épargne collective*

CHUS Fleurimont, b. voc. 18891www.mariettefournier.com

* Pour le compte de La Capitale services conseils inc., cabinet de services fi nanciers.

Partenaires de

QUIZNUTRITION

Bien lire les étiquettes des aliments permet d’identifi er les nutriments qu’on souhaite privilégier ou éviter. Vérifi ez vos connaissances.

1. Au comptoir des produits laitiers, vous hésitez : yogourt ou yogourt glacé faible en gras? Le yogourt glacé semble un meilleur choix puisqu’il contient moins de calories. VRAI ou FAUX?

YOGOURT AUX FRAISESVALEUR NUTRITIVE POUR 170 G (1 CONTENANT)

TENEUR % DE LA VALEUR QUOTIDIENNEcalories 165 lipides 1,5 g 2 % saturés 1 g 5 % trans 0 g 0 % cholestérol 10 mg 3 % sodium 80 mg 3 % glucides 33 g 11 % sucres 27 g fi bres 0 g 0 % protéines 5 g 10 % calcium 20 %

YOGOURT GLACÉ AUX FRAISES FAIBLE EN GRASVALEUR NUTRITIVE POUR 85 G (125 ML)

TENEUR % DE LA VALEUR QUOTIDIENNEcalories 120 lipides 1 g 2 % saturés 0 g 0 % trans 0 g 0 %cholestérol 10 mg 3 % sodium 75 mg 3 % glucides 25 g 8 % sucres 3 g fi bres 0 g 0 % protéines 3 g 6 % calcium 10 %

2. La pizza hawaïenne (jambon, ananas) est un meilleur choix pour la santé de votre coeur que la pizza aux trois fromages. VRAI ou FAUX?

PIZZA AUX TROIS FROMAGESVALEUR NUTRITIVE POUR 2 POINTES (200 G)

TENEUR % DE LA VALEUR QUOTIDIENNEcalories 450 lipides 14 g 21 % saturés 10 g 55 % trans 1 g 0 % cholestérol 40 mg 14 % sodium 1100 mg 46 % glucides 58 g 19 % sucres 7,2 g 13 % fi bres 3 g protéines 21,2 g 42 %

PIZZA HAWAÏENNEVALEUR NUTRITIVE POUR 2 POINTES (200 G)

TENEUR % DE LA VALEUR QUOTIDIENNEcalories 450 lipides 15,6 g 24 % saturés 7,2 g 41 % trans 1 g 0 %cholestérol 40 mg 14 %sodium 1100 mg 46 %glucides 58g 19 % sucres 7,2 g 13 % fi bres 3,3 g protéines 21,2 g 42 %

RÉPONSES1. FAUXPour une même portion, le yogourt aux fraises contient moins de calories que le yogourt glacé faible en gras. Assurez-vous de toujours comparer les ali-ments pour une même quantité.

2. VRAIBien que la pizza aux trois fromages contienne moins de lipides (matières grasses) que la pizza hawaïenne, cette dernière fournit moins de gras saturés et trans, gras dommageables pour la santé du coeur.

PETIT TRUC!Utilisez la valeur quotidienne pour vous indiquer s’il y a beaucoup ou peu d’un élément nutritif dans une portion donnée de l’aliment.

10 % et moins = faible teneur en gras saturés25 % et plus = haute teneur en gras saturés

Brigitte Bédard, nutritionnisteComité nutrition CHUSénergique

Tiré de PasseportSanté

7 novembre 2011 ENTRE NOUS 25

GRÂCE À LA CAMPAGNE CENTRAIDE AU CHUS, PLUSIEURS PERSONNES REPRENNENT LE CONTRÔLE DE LEUR VIE...

Une partie des dons amassés lors de la campagne de Centraide au CHUS a été remise à l’Autre Rive

qui vient en aide aux personnes souffrant de troubles anxieux ainsi qu’à leurs proches. L’association offre plu-sieurs services : évaluation, référence au besoin, suivi individuel, groupes d’entraide, aide téléphonique, etc. Voici ce qu’en disent les usagers :

- Imaginez que vous ne puissiez plus sortir de chez vous... L’Autre Rive m’a accompagné et soutenu. Je suis enfi n libre!

- L’Autre Rive m’a aidée à combattre mes peurs, je peux enfi n participer à la vie scolaire et sportive de mes enfants.

Merci de nous à aider à faire une différence dans la vie de ces personnes et de leurs proches.

L’Autre RiveCentraide EstrieComité Centraide au CHUSSite Internet : www.autre-rive.ca

Octobre : mois de l’ERGOTHÉRAPIE

L’essence de l’ergothérapie réside en l’occupation humaine, celle-ci guidant chaque personne dans

son pouvoir d’agir sur les activités qui lui tiennent à cœur. L’ergothérapie permet aux personnes de tout âge, présentant des problèmes de santé physique ou mentale, d’organiser et d’accomplir des tâches, telles que prendre soin de soi, se réaliser sur le plan scolaire ou professionnel, se divertir, etc. La réalisation de ces activités est d’autant plus importante, car elle défi nit l’identité de la personne ainsi que ses rôles sociaux.

En utilisant les tâches reliées aux routines quotidien-nes comme modalités d’évaluation et d’intervention, l’ergothérapeute réussit de façon distincte à apprécier l’interaction des notions biopsychosociales et environ-nementales ainsi que leurs impacts sur l’accomplis-sement des habitudes de vie de la personne. Un plan centré sur le client peut ensuite être établi dans le but de rehausser son autonomie et sa qualité de vie dans les sphères concernées.

Au CHUS, de par sa vision holistique, l’ergothérapeute est de plus en plus interpellé au-delà de ses fonctions cliniques. Avec la complexité des besoins engendrés par le vieillissement de la population, il joue un rôle important dans l’adaptation des pratiques en établis-sement (ex. : création d’un environnement favorable à la personne âgée) afi n d’éviter que des complications se développent et se répercutent sur les plans fonc-tionnel et cognitif à court et long termes.

L’ergothérapeute contribue également, à titre de for-mateur ou de consultant, à la formation du personnel à plusieurs points de vue (dépistage de la dysphagie, dénouage rapide des nœuds de contention, troubles cognitifs, plaies de pression, etc.).

Tout compte fait, l’ergothérapeute est une ressource à compter dans son équipe professionnelle.

Evelyn Lalancette-Jutras, ergMarie-Claude Pagé, ergSarah Sweet-Fortin, erg

VOILÀ UNE OCCASION DE FAIRE LA PROMOTION D’UNE PROFESSION EN PLEIN ESSOR AU SEIN DES ÉQUIPES PROFESSIONNELLES DU CHUS...

26 ENTRE NOUS 7 novembre 2011

Les assurances Réal Latulippe inc.CABINET DE SERVICES FINANCIERS

3000, rue King Ouest, bureau 200, Sherbrooke (Québec) J1L 1Y7Bureau : 819.566.7070, poste 107 . Cellulaire : 819.823.6303 . Sans frais : 1.888.207.6666Télécopieur : 819.821.0117 . Courriel : [email protected] . Site Internet : www.groupexcel.com

PARTENAIRE DE FORCE FINANCIÈRE EXCEL Sherbrooke . Gatineau . Montréal . Québec

90% des Canadiens âgés de 65 à 85 ans ont rédigé leur testament ;

50% d’entre eux ont déjà acheté une concession dans un cimetière ;

44% possèdent un arrangement funéraire.

Toutefois, bien peu ont pris des dispositions pour pouvoir vivrede façon autonome aussi longtemps que possible…

Nous vous offrons des solutions pour atteindre cet objectif.Informez-vous sur nos assurances invalidité, de maladies graveset de soins de longue durée.

Communiquez avec nous dès aujourd’hui.

8 NOVEMBREClassique de hockey Conway Jacques – Axa, Centre Bell de Montréal, au profi t de la Fondation du CHUS

9 NOVEMBREConférence clinico-académique. Démystifi ons la recherche clinique : êtes-vous un cobaye? Par le Dr Serge Marchand, directeur scientifi que du CRC Étienne-Le Bel et chercheur de l’axe douleur. À l’Hôpital Fleurimont, local 6214 (amphithéâtre) et en visioconférence à l’Hôtel-Dieu (local 6314, nou-velle aile). De 11 h 15 à 11 h 55 et de 12 h 10 à 12 h 50.

25 NOVEMBRE32e Téléthon de la Fondation du CHUS, 19 h

6 DÉCEMBREPièce de théâtre Investors des employés du CHUS, Avec vous, pour la P’tite Vie, Centre culturel de l’UdeS, 20 h

9 DÉCEMBREParty de Noël des employés, organisé par le Club social, Hôtel Delta de Sherbrooke, 17 h

15 DÉCEMBREAssemblée régulière du C. A. du CHUS, Club de golf Longchamps, 17 h

À L’AGENDA

7 novembre 2011 ENTRE NOUS 27

du 9 novembre au 20 décembre 2011, dans toutes les unités de soins et services. Pour le personnel clinique, les médecins et les résidents.

Pour qui? Pour la communauté hospitalo-facultaire

les 8, 9 et 10 novembre 2011de 7 h 30 à 16 h 30, au local (près de la porte # 7)

les 14,15, 16 et 17 novembre 2011de 7 h 30 à 16 h 30, au local (près de la cafétéria)

le 10 novembre 2011, de 13 h à 16 h, au local 0241

Pour renseignements : Service de santé des personnes et des groupes, postes 18059 ou

À toute la communauté hospitalière, de recherche et facultaire

Des chantiers majeurs sont en cours ou seront réalisés prochainement au CHUS – Hôpital Fleurimont, au Centre de recherche clinique Étienne-Le Bel et à la Faculté de médecine et des sciences de la santé de l’Université de Sherbrooke. Ce cahier spécial vous donne un survol des grands projets des cinq pro chaines années sur les terrains que nous partageons.

Les projets d’agrandissement et de réaménagement visent à s’adapter à la croissance à nos trois organi­sations et de mieux accomplir nos missions respectives. La réalisa­tion de ces projets nous permettra certainement d’améliorer les soins, la recherche et l’enseignement, d’accueillir de nouvelles techno­logies et d’adopter de nouveaux modes d’intervention en santé. Tout ceci pour le mieux­être des patients, du personnel, des médecins, des chercheurs et des étudiants en santé.

BULLETIN D’INFORMATION SUR LES TRAVAUX EN COURS AU CHUS – HÔPITAL FLEURIMONT, AU CRCELB ET À LA FMSS

construire pour l’avenir

Patricia Gauthier directrice générale du chus

SerGe Marchand

directeur scientifique du crc étienne-le bel

dr Pierre coSSette

doyen de la fmss de l’udes

Ce sont donc de bonnes nouvelles, mais bien sûr, des travaux de construction de cette envergure entraînent nécessairement des désa­gréments. Nous vous remercions d’avance de votre compréhension et demandons votre collaboration.

Pour que vous soyez bien informés des travaux en cours, des démé nagements de services ou d’unités et des changements apportés, un outil commun a été créé, le bulletin Le Transit. Il sera publié au besoin et disponible dans l’intranet du CHUS et de la FMSS.

En terminant, nous tenons à remercier toutes les personnes qui contribuent à concrétiser ces projets. Nous espérons que les résultats seront à la hauteur de vos attentes et surtout fidèles à l’engagement que vous démontrez au quotidien. ■

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aile 52e étageunité ambulatoire d’échographie et d’obstétrique spécialisée (uaeos)

3e étageservice de l’échographie générale et bureaux administratifs de l’imagerie médicale

service de chirurgie d’un jour

Puisque l’échographie générale et les bureaux adminis­tratifs de l’imagerie médicale déménageront au 3e étage, les locaux actuels situés au 2e étage accueilleront des salles d’échographie obstétricale. L’unité de la clinique de grossesses à risque (GARE) disposait avant de deux salles et pourra maintenant utiliser jusqu’à six salles d’écho graphie pour sa clientèle. La confidentialité sera accrue.

Afin d’améliorer l’accessibilité, les échographies géné­rales seront maintenant effectuées au 3e étage, dans l’ancienne salle à manger de la cafétéria. Le service disposait de trois salles d’échographie générale et en comptera maintenant huit. Le regroupement de la majorité des bureaux administratifs et de médecins assurera une meilleure fonctionnalité.

Le Service de chirurgie d’un jour quittera ses locaux exigus près du bloc opératoire pour occuper ceux de l’ancienne aire de service de la cafétéria. Il y aura le même nombre de civières, soit dix­huit, mais l’envi­ronnement sera plus grand, vitré et ergonomique. De plus, le poste d’accueil agrandi sera désormais central.

Début avril 2012

Fin décembre 2012

Début octobre 2011

Fin mars 2012

Début octobre 2011

Fin mars 2012

Le PARHF réunit tous les travaux d’agrandissement et de réaménage-ment prévus au CHUS - Hôpital Fleurimont (volets 1 à 5). Ce vaste projet est sous la supervision d’Yvon Paris, directeur des ressources financières et des services techniques (DRFST). De plus, le CRCELB et la FMSS entreprennent des travaux d’envergure qui auront un impact pour le centre hospitalier. Tous ces projets sont décrits dans les pages suivantes.

parhf volet 1

projet d’agrandissement et de réaménagement du chus - hôpital fleurimont (parhf)

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travaux dans les ailes 3, 4, 5 et 6

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Réduire Récupérer Améliorerles besoins énergétiques

le maximum d’énergie disponible

le système dechauffage

Ventilationmodernisée

Trois nouvelles chaudièresplus ef�cacesNouveau réseau dechauffage à l’eau chaudeEau chauffée par les thermopompes

Avec deux nouvelles thermopompes, on récupère :

Éclairage ef�cace

Mur solairePuitsgéothermiques

la chaleur internela chaleur de la cheminée

Consommationd’énergie

48 %

Économies annuelles :

1,4 M $

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RÉSULTATS

en moins sur la route

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1200maisons

280030 puits géothermiquesd’une profondeur de 500 pieds

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Émissions de GES réduites de 9000 tonnes de CO2

par année

CHUS - HÔPITAL FLEURIMONTL’EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE : UN CHOIX VERT POUR L’AVENIR

4e étagenouvelle aire des familles pour l’unité de néonatologie

5e étagechambre de convales cence en pédiatrie

aile 63e étageaires péri-opératoires du bloc opératoire

Le local 4501 sera transformé en aire des familles, afin de rendre le séjour des parents de poupons hospitalisés en néonatologie un peu plus agréable. Une cuisinette, un salon, cinq lits, une salle de bain et une douche seront à leur disposition.

La réserve de la pédiatrie sera déplacée afin de trans­former ce local en chambre accueillant les poupons hospitalisés en néonatologie, mais qui ne nécessitent plus ou pas de soins intensifs intermédiaires actifs. Avec ces transferts, l’unité de néonatologie s’assurera de demeurer accessible en tout temps pour des patients nécessitant des soins intensifs et intermédiaires. La nouvelle chambre comptera cinq bassinettes.

Grâce au déménagement de la chirurgie d’un jour au 3e étage de l’aile 5, l’entrée du bloc opératoire pourra être réaménagée pour améliorer sa fonctionnalité, entre autres par l’ajout de vestiaires pour le personnel.

Début octobre 2011

Fin mars 2012

Début octobre 2011

Fin décembre 2011

Début avril 2012

Fin décembre 2012

construction du centre femme-jeunesse-famille et réaménagement des espaces laissés vacants

parhf volets 2 et 3

Le projet de construction du Centre femme­jeunesse­famille (CFJF) suit son cours. Nous avons reçu un avis de pertinence du MSSS et il reste différentes étapes à passer avant la première pelletée de terre. Nous en sommes maintenant à la préparation du document de planification stratégique pour approbation du ministre de la Santé et des Services sociaux. Il y a ensuite l’étape de préparation d’un dossier d’affaires initial, puis celle d’un dossier d’affaires final. Enfin, ce sera la réalisation des travaux de construction du CFJF (volet 2). Le réaménagement des espaces laissés vacants par l’occupation du CFJF (surtout le 5e étage des ailes 5 et 6) fera partie du PARHF volet 3. Vous serez informés des développements au fur et à mesure.

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réaménagement de certaines unités de soins et services pour la mise aux normes

Les projets des volets 1, 2, 3 et 5 comprennent des déménagements d’unités et de services. Ces déménagements auront un effet domino sur d’autres unités et services qui pourront être déplacés ou agrandis afin d’améliorer les soins offerts aux patients, selon des normes d’excellence. Ces projets seront précisés au cours de la prochaine année.

parhf volet 4

parhf volet 5

aile 4 7e étage unité d’oncologie pédiatrique

aile 55e étagesecteur pour la procréation médicalement assistée

Grâce en grande partie au don de 1 M $ de la Fondation Centre de cancérologie Charles­Bruneau (juin 2011), il sera possible de moderniser l’environnement de traitement du centre de chimiothérapie pédiatrique. Les espaces de traitement pour les enfants passeront de 76 à 398 m2 et seront davantage adaptés aux besoins et aux soins de la clientèle pédiatrique (fauteuils­civières, aire pour la famille, etc.). En outre, l’agrandissement permettra au CHUS de répondre à un éventuel accroissement de la clientèle, de limiter les transferts vers les autres CH et contribuera à la spécialisation du CHUS en oncologie pédiatrique.

Le CHUS offrira l’ensemble des services grâce à un nouveau laboratoire de procréation assistée. Ce projet découle de la loi 26 adoptée en 2009 par le gouvernement du Québec. Le CHUS offre déjà plusieurs services, mais pas les étapes ultimes comme le prélèvement d’ovules et le transfert d’embryon. Un laboratoire d’embryologie sera donc aménagé et du personnel spécialisé sera embauché. Le projet inclut aussi l’aménagement d’une partie du 4e étage de l’aile 4 pour y relocaliser, notamment, les bureaux administratifs du 2e étage de l’aile 5.

Le volet 5 comprend aussi une série de projets pour les cinq prochaines années. Ces projets ont déjà été identifiés et comprennent entre autres la construction d’un agran­dissement pour les archives médicales et la réalisation d’un laboratoire de simulation clinique.

Le futur casse-croûte, qui sera ouvert 24 h sur 24 et 7 jours sur 7, se trouvera au 2e étage de l’aile 3, au carrefour des ailes 2, 4 et 5 et de la passerelle se rendant au CRC Étienne-Le Bel. Les travaux devraient se terminer à l’hiver 2012. La formule café-bistro santé proposera des déjeuners, des repas chauds, des soupes, des sandwichs et paninis, des salades, des jus, du café et des viennoiseries. Tout comme pour la cafétéria du CHUS, en raison de la nouvelle politique alimentaire, la malbouffe (frites, boissons gazeuses, menus très salés ou desserts très sucrés, etc.), sera bannie. La salle à manger d’environ 100 places sera vitrée et des portes donneront sur l’extérieur. En attendant, le casse-croûte est relocalisé de façon tempo raire dans le local des distributrices (1652-1), à l’intérieur de la cafétéria du CHUS.

casser la croûte

Début octobre 2011 (conception)

Fin 2013 (travaux)

Début printemps 2012

Fin hiver 2012

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lot no 2 – construction de la voûte

projet d’agrandissement et réaménagement du centre de recherche clinique étienne-le Bel (crcelB) du chus

Ce projet majeur de plus de 34 M $ ajoutera des espaces de recherche au sein du CRCELB et libérera des espaces dans l’aile 4 qui seront récupérés pour des activités cliniques du CHUS. Le projet du CRCELB est séparé en trois lots de construction.

Le déplacement de la route qui longe le devant du Centre de recherche a été effectué à l’automne 2010. Ceci a permis, dès le dégel, d’amorcer les travaux pour la construction d’une voûte servant à accueillir le cyclotron. Le trajet de la nouvelle route a été réfléchi en fonction des projets futurs qui entoureront le CHUS et le CRCELB, notamment la construction de la Maison Aube­Lumière. ■

Depuis mai 2011, le projet de construction de la voûte et des laboratoires attenants se poursuit. La construction de la structure du bâtiment est presque terminée et il reste à compléter l’intérieur de la voûte et des laboratoires. Le cyclotron sera descendu dans la voûte vers le début novembre grâce à une grue par un bouchon accessible par le toit.

La voûte compte trois sections : celle du centre accueillera le cyclotron, et les deux aux extrémités abriteront des cibles qui seront bombardées par le faisceau accéléré de particules, pour la production d’isotopes radioactifs utilisés pour les examens médicaux. ■

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travaux dans les ailes 4, 8 et construction

d’un nouveau Bâtiment

lot no 1 – déplacement de la route

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lot no 3 – construction d’un nouveau Bâtiment

de nouveaux équipements de haute technologie

Il est important de rappeler que deux scénarios avaient été analysés : la construction de deux étages supplémentaires au CRCELB actuel et d’un étage entre le CRCELB et l’aile 4 du CHUS; et la construction d’un nouveau bâtiment. La seconde alternative minimisait les risques techniques, financiers et de délais de réalisation, et correspond à la stratégie adoptée. Les profes­sionnels responsables de la préparation des plans et devis ont travaillé de pairs avec les équipes du Centre de recherche et du Centre hospitalier afin de remettre un concept au mois d’août 2011.

Le nouveau bâtiment comptera trois étages et sera relié au CRCELB existant par un corridor sur les trois niveaux. Ce nouveau bâtiment de 6866 m2 permettra de doubler les espaces du Centre de recherche. Le 1er étage sera entièrement dédié à la recherche en imagerie préclinique. Le 2e étage accueillera l’administration du CRCELB, le comité d’éthique à la recherche du CHUS et une aire de travail pour le personnel de recherche clinique. Le 3e étage accueillera l’équipe de l’axe de recherche sur les maladies endocriniennes et métaboliques. La construction devrait débuter au mois de juin 2012 et se terminer à la fin 2013, moment où les occupants prendront possession des nouveaux locaux. À la suite de ces déménagements, les espaces libérés seront réaménagés, entre autres pour la clinique et la recherche en imagerie (ajout d’un IRM 3T et d’un scanneur TEP additionnels), au 1er étage, puis, au 2e étage, pour l’aménagement de salles de rencontres cliniques répondant à des besoins précis pour les axes de recherche mère­enfant et douleur, notamment. ■

Surveillez quotidiennement l’évolution du projet à cette adresse : www.facebook.com/crcelb

En imagerie médicale et médecine nucléaireDes travaux de construction ont été entrepris pour accueillir de nouveaux équipements à la fine pointe de la technologie dans les services d’imagerie médicale clinique et en médecine nucléaire. L’imagerie par résonance magnétique (IRM) a ainsi été rehaussée tandis que deux nouvelles caméras gamma ont pris place en médecine nucléaire. Ces équipements permettent d’offrir des examens de plus grande précision, d’augmenter leur qualité, de diminuer la durée des examens et de réduire sensiblement les listes d’attente dans ces secteurs.

En radio-oncologieLe Service de radio-oncologie procède actuellement à la construction d’une salle (suite d’accélérateur) pour accueillir le nouvel accélérateur linéaire Infinity. Cet appareil de haute technologie permettra d’avoir une gamme plus étendue de traitements. Il permettra aussi de suivre les nouvelles tendances de traitement en radiothérapie. La réalisation des travaux respecte l’échéancier et ce nouvel appareil sera en fonction au mois de janvier 2012.

Appareil d’imagerie par résonance magnétique (IRM Symphony) qui a été acquis récemment.

AILE 8

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travaux d’agrandissement et de réaménagement de la faculté de médecine et des sciences de la santé (fmss) de l’université de sherBrooke

aile 23e et 4e étagebureaux et salles de réunion

pracpavillon de recherche appliquée sur le cancer

Les travaux qui ont été effectués ou qui le seront dans les ailes 1 et 2 servent à rendre plus fonctionnels des bureaux de départements et des salles de réunion. Le CHUS récupérera des locaux de l’aile 4 présentement utilisés par la FMSS et le CRCELB pour des activités cliniques et administratives.

Des bureaux pour les professeurs et des salles de réunion seront aménagés à ces étages pour les départements de pédiatrie et de médecine.

L’Université de Sherbrooke a acquis l’édifice près de l’entrée des employés pour y aménager le Pavillon de recherche appliquée sur le cancer (PRAC). L’édifice a été agrandi : sa superficie a passé de 8000 m2 à quelque 11 700 m2. Ce projet permettra le regroupement fonctionnel de 31 équipes travaillant dans les domaines de la recherche fondamentale et préclinique ainsi que l’optimisation du potentiel des infrastructures. Jusqu’alors répartis dans plusieurs édifices, ce regroupement facilitera l’interaction entre les chercheurs de ces différentes disciplines afin de développer de nouvelles stratégies de prévention et de nouveaux outils diagnostiques et thérapeutiques. Ces déménagements libéreront des espaces dans l’aile 4 du CHUS pour des activités cliniques et administratives.

Début début novembreFin fin janvier 2012

Les travaux sont complétés et l’occupation devrait se faire au cours des prochains mois.

Pavillon de recherche appliquée sur le cancer (PRAC).

travaux dans les ailes 1, 2, 4 et dans le prac

Tout projet de construction entraîne des désagréments tels que le bruit, les vibrations, de la poussière, etc., et peut faire en sorte de dévier la circulation. Le plus possible, les entrepreneurs essaieront de minimiser les désagréments, en concentrant les travaux bruyants tôt le matin, le midi, en fin de journée ou en soirée, et en isolant les zones de chantier. Des affiches seront installées aux abords des travaux pour donner les trajets alternatifs lorsqu’il y a lieu. Enfin, le bulletin Le Transit vous informera des projets à venir. Si ceux-ci affectent directement votre équipe, vous serez avisé.

Il pourrait être nécessaire d’informer vos patients des change-ments qui les concernent, par exemple la nouvelle localisation du casse-croûte. Nous vous remercions de votre collaboration, et surtout, de votre compréhension et tolérance pendant les travaux. Ils ont tous pour but de vous offrir un meilleur environnement de travail et de mieux desservir la clientèle.

impact des travaux sur le personnel et les patients

la maison auBe-lumière

Cet organisme accueillant des personnes adultes atteintes du cancer en phase palliative déménagera sous peu dans une nouvelle bâtisse qui sera construite sur les terrains adjacents au CHUS – Hôpital-Fleurimont. Les travaux devraient débuter en 2012. La Maison Aube-Lumière sera située tout près des résidences étudiantes de la FMSS et de l’entrée des futurs Sentiers de la santé.

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Des sentiers pédestres totalisant près d’un km seront aménagés dans les boisés au nord-est du CHUS – Hôpital- Fleurimont. Les membres de la communauté hospitalière, de recherche et facultaire, de même que les patients du CHUS et leurs proches, pourront ainsi bénéficier d’un endroit agréable pour marcher. De plus, les sentiers se trouvant à proximité de la future Maison Aube-Lumière, les résidents, leurs proches et le personnel pourront aussi y accéder. Le projet comprend l’installation d’îlots éducatifs sur les saines habitudes de vie. Beaucoup plus plaisant et sécuritaire que de marcher autour du Centre hospitalier! Les travaux préparatoires ont débuté à l’automne 2011 et les sentiers devraient être ouverts au printemps 2012.

sentiers de la santé