20 mars 2018

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Les lots qui ne sont pas illustrés dans ce catalogue sont visibles sur notre site www.daguerre.fr

Experts

Antoine Tarantino38, rue Saint-Georges75009 ParisT. 01 40 16 42 38 Pour l’archéologie : lots 1 à 12.

Cabinet de Bayser69, rue Sainte-Anne75002 ParisT. 01 47 03 49 87Pour les dessins : 16 à 24, 26, 29 à 36, 41, 46 à 50, 52 et 53.

Cabinet Turquin69, rue Sainte-Anne75002 ParisT. 01 47 03 48 78Pour les tableaux anciens : 28,55 à 73, 75 à 82, 84, 86 à 104, 125, 138 à 140.Le lot 81 est présenté conjointement avecM. Pierre Grignon Dumoulin.

Pierre Grignon Dumoulin, expert près la cour d’appel d’Amiens6, rue Ancel60200 CompiègneT. 06 09 83 33 29Pour les objets d’art et mobilier : 111, 206, 214, 224, 229, 230, 256 à 258.

M. Cyrille Froissart9, rue Frédéric-Bastiat75008 ParisT. 01 42 25 29 80Pour la céramique : 119 à 120, 126, 127, 166 à 176, 181 à 184, 190, 191, 194, 203.

M. Benoît Derouineau27, rue Danielle-Casanova75001 ParisT. 01 45 63 02 60Pour le mobilier, les objets d’art et l’argenterie : 106 à 110, 112 à 116, 118, 121 à 125, 128 à 137, 141 à 158, 161 à 165, 177 à 180, 185 à 189, 192, 193, 195 à 202, 204, 205, 207 à 213, 215 à 222, 226 à 228, 231, 233 à 239, 241 à 253, 259 à 281, 286 à 288.

M. Serge Plantureux80, rue Taitbout75009 ParisT. 06 50 85 60 74 Pour les photographies : 159 et 160

Sculpture et Collection69, rue Sainte-Anne75002 ParisT. 01 83 97 02 06Pour les lots : 223, 225 et 232.

M. Jean-Jacques Rampal11bis, rue Portalis75008 Paris T. 01.45.22.17.25Pour les violons : 294 à 306

M. Jean-François Raffin10, rue de Constantinople75008 Paris T. 01 55 30 01 47Pour les archets : 307 à 311.

Vente aux enchères publiques

mardi 20 mars 2018 à 13 h 30

Hôtel Drouot salle 14 et 15Téléphone pendant l’exposition et la vente : 33 (0)1 48 00 20 14

Dessins, Tableaux,

Céramique, Argenterie,

Objets d’art, Mobilier

provenant notamment d’un château du Maine

www.daguerre.fr

Commissaire-priseur habilité : Romain Nouel

Exposition partielle sur rendez-vous chez Daguerre, 5 bis, rue du Cirque Paris 8e

Exposition publique à l’Hôtel Drouot samedi 17 mars de 11 h à 18 h

lundi 19 mars de 11 h à 18 h et le matin de la vente de 11 h à 12 h

d a g u e r r e5 bis, rue du Cirque 75008 Paris info@daguerre.fr T. +33 (0)1 45 63 02 60 F. +33 (0)1 45 63 02 61 Agr. 2005-536

Les lots 33, 35, 64, 116, 166, 210, 211, 242, 244, 254 seront inscrits au procès verbal de l’OVV Desbenoit et associés.

Conformément à l’article L 321-5 du code de commerce, il est précisé que les lots 110, 191 et 261 appartiennent

à un associé de Daguerre.

4 5

1 - Vase anthropomorphe, Égype, Basse Époque Argile.H. 9,6 cm 50/80

2 - Buste d’Isis, Égype, Basse Époque Argile. H. 4,5 cm 100/150

3 - Lot composé de douze amulettes en faïence, Égype, Basse Époque Comprenant le Dieu Bes, Pilier Died, Œil Oudjat, Horus… 200/300

4 - Statuette, Égype, Basse Époque La déesse chatte Bastet assise sur une base.Bronze. H. 4,9 cm 100/200

5 - Oushebti momiforme en faïence verte, Égype, Basse Époque Le corps est orné d’une inscription en caractères hiéroglyphiques sur deux colonnes. H. 10 cm 100/200

6 - Statuette, Égype, Basse Époque à époque PtolémaïquePersonnage momiforme coiffé d’une perruque et d’une barbe postiche.Bois. H. 25 cm 200/400

7 - Deux sujets momiformes, Égype, Basse Époque Un Oushebti momiforme dont le pilier dorsal est gravé d’un texte hiéroglyphique sur une colonne, faïence verte; cassure. Un sujet représentant le dieu Osiris momiforme, bronze; forte oxydation. H. 10 cm 600/800Provenance : ancienne collection de M. D-S.

8 - Lot de trois vases, Égype, Moyen Empire ou Basse Époque Un petit vase globulaire en pierre mouchetée en granit garni de deux petites anses; lacunes visibles. Porte une étiquette du XIXe siècle avec le n° 51. H. 4 cm Un vase en albâtre, H. 6,4 cm Un vase en terre cuite vernissée verte, Art islamique H. 11,5 cm 100/150

9 - Lot comprenant trois vases en albâtre e, Égype, Basse Époque et un flacon en verre à panse varénée, époque romaine, repoli. H. de 4,2 à 12 cm 200/300

10 - Plaque fragmentaire au nom d’Antonia inscrite de caractères romains. Marbre blanc ; dépôt calcaire. H. 10 L. 20,2 P. 2,6 cm 300/500 Provenance : Comtesse de G.

11 - Amphorisque, art héllénistiqueLa panse ornée d’un décor en zigzag bleu, jaune et blanc. Verre multicolore. H. 6,3 cm 200/300Provenance : Prince P.

12 - Poids de balance, art romain, IIe siècle Représentant un personnage lauré en buste, vêtu d’une cuirasse (Empereur ?).Bronze. H. 11,4 cm 300/500

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2, 4, 5, 7 à 11

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16 - Domenico PIOLA (Gênes 1627-1703)Projet de lustre ou d’appliquePlume et encre brune, lavis brun.Petites taches, pliures, petit trou restauré.28 x 31,5 cm 4 000/6 000

17 - Michel II CORNEILLE dit “le Jeune” (Paris 1642-1708) Le Christ enfant bénissant saint Jean-BaptisteSanguine, rehauts de craie blanche et de sanguine plus claire.Petites taches, pliures et collé en plein.28 x 21,9 cm 3 000/4 000Annotation au dos Appartenu à Mr Lafreince ?.

18 - École FRANçAISE du XVIIe siècle Tête d’homme de profil droitContre-épreuve de crayon noir.Reprise du menton à la plume et encre brune. Petites taches et pliures.16,5 x 12,5 cm 200/300

13 - D’après PELLEGRINI, gravé par JANINETLes trois GrâcesÉpreuve en couleurs.36 x 27,5 cm 400/600

14 - D’après J. F. J. ROLAND, gravé par VIELPortrait d’hommeGravure.Tondo.12,5 x 11 cm 60/80

15 - D’après Guillaumme MoitteScènes antiquesPaire de gravures.25 x 53 cm 500/600

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24 - École FRANçAISE du XVIIIe siècleHommage à Cérès, d’après VienSanguine.Importante déchirure en bas à gauche.Annotée Vien en bas à droite à la plume et encre brune et dans la marge en bas à gauche. 35,5 x 40 cm 400/600

25 - École FRANçAISE du XVIIIe siècleVillage animé au pied d’une montagneAquarelle.18 x 12,5 cm 200/300

26 - Pierre Antoine MONGIN (Paris 1761 - Versailles 1827)Le bain des nymphes Gouache. Signée à droite. 27 x 32 cm 1 500/2 000

27 - François DUTAILLy (actif à Lyon et à Paris à la fin du XVIIIe siècle)Deux scènes galantes dans un parc Aquarelle et gouache dans un ovale.20,3 x 15,8 cm 1 000/1 200Cadre en bois mouluré peint et doré de la fin du XVIIIe s.

19 - Jean-Robert ANGO ( ? - Rome 1773) La Circoncision, d’après Antonio Gherardi Sanguine.Quelques rousseurs.Annotation au dos 27 Marzo 1762 .38,6 x 26 cm 800/1 200Notre dessin est une copie d’après La Circoncision peinte

par Antonio Gherardi dans l’église Santa-Maria in Trivio à

Rome. Il est à rapprocher d’un autre dessin de l’artiste plus

fini passé en vente chez Millon le 31 mars 2016.

20 - École FRANçAISE du XVIIIe siècleAssomption de la ViergeLavis brun, plume et encre brune sur traits de crayon noir. Petites taches, collé en plein.Annoté en bas à droite Tiepolo. 58,6 x 45,8 cm 2 500/3 000

21 - École FRANçAISE du XVIIIe siècleCaravane des bergersCraie blanche sur papier préparé gris, rehauts de plume et encre noire. Annotation au dos. 22 x 32,5 cm (angles arrondis) 400/600

22 - Attribué à Nicolas-Marie OZANNE (Brest 1728 - Paris 1811)Cinq vignettes sur un même montage : trois Vues de port et deux Marines Plume et encre noire, lavis gris.Rousseurs. Annoté Ozanne en bas à droite du montage. 32 x 24 cm (montage) 800/1 000

23 - École de Pietro Antonio NOVELLI III (Venise 1729-1804)Allégorie de la Poésie (?) Plume et encre noire sur traits de crayon noir.Petites pliures, coin inférieur gauche restauré.15,6 x 13,2 cm 200/300

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30 - Benjamin DUVIVIER (Paris 1730 - 1819) Portrait du comte de Provence, projet de médailleCrayon noir. Signé en bas au centre et daté en bas à droite 1777.Mise aux carreaux au crayon noir. Taches, petit manque sur le bord droit.Annoté dans la marge Portrait de Mr le Comte de Provence frère de Louis XVI fait en 1777.Ancienne étiquette de catalogue au dos.20,7 x 16,3 cm 1 500/1 800Notre dessin a servi de modèle pour une médaille de Duvivier

conservée au musée Carnavalet.

28 - École FRANCAISE vers 1880, d’après Jean-Marc NATTIERMadame VictoirePastel.78 x 61 cm 3 000/4 000Reprise de la composition sur toile et de mêmes dimen-

sions conservée au musée national du Château de Versailles.

29 - Vincenzo MARCHI (Rome 1818 - 1894)Vue animée de l’intérieur de Saint-Pierre de RomeAquarelle gouachée sur traits de crayon noir.Quelques écaillures sur le bord gauche.Signée et datée en bas à droite vicentis Marchi, marchi del, anno Domini MDCCCXXXIII (1833).37,5 x 48,7 cm 1 200/1 500 Trace de cachet sous la marie-louise en bas à droite.

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33 - Pierre-Paul PRUD’HON (Cluny 1758 - Paris 1823) Le premier baiser de l’AmourPlume et encre noire, rehauts de craie blanche sur papier anciennement bleu.Annotée Prud’hon sur le cartouche central du montage. Petites taches. 11,2 x 8 cm 4 000/6 000Étude préparatoire pour le dessin très abouti conservé au

Musée du Louvre (Voir S. Laveissière, Prud’hon ou le rêve

du Bonheur, catalogue d’exposition, RMN, Paris, 23 sep-

tembre 1997 - 12 janvier 1998 et New york, Metropolitan

Museum of Art, 2 mars - 7 juin 1998, p. 127, fig. 75, repr.).

Prud’hon exécute cette illustration pour le recueil Julie

ou la nouvelle Héloïse (première partie, livre XIV) de

Rousseau, écrit en 1761. Prud’hon choisit le moment où

“ Julie vient de donner un baiser cosi saporito à son ami

Saint-Preux, qu’elle en tombe dans une espèce de défail-

lance ; sa cousine vient à son secours…”

On joint une gouache du même motif en sens inverse

(école française du XIXe siècle) exécutée d’après une

gravure.

Bibliographie : Jean Guiffrey, L’œuvre de P. P. Prudh’on,

collection de la Société de l’Histoire de l’Art français,

librairie Armand Colin, Paris, 1924, p. 411, n° 1069.

31 - École FRANçAISE du XVIIIe siècleAcadémie d’homme tenant une cordePierre noire et estompe, rehauts de craie blanche sur papier chamois.Petites taches.Cachet d’un collectionneur anonyme, en bas à gauche (L.3038).49 x 30 cm 600/ 800

32 - Attribué à Augustin PAJOU (Paris 1730 -1809)BacchanalesPaire de dessins.Crayon noir. 9 x 33 cm chacun 1 500/2 000Provenance : anc. collection de la princesse Elisabeth

Marguerite Berthier (1885-1960), épouse de Marie Henri

de la Tour d’Auvergne, prince de Lauraguais (1876-1914).

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37 - Pierre Alexandre PARISOT (1750-1820)L’arrivée dans une cour de châteauPlume, encre et lavis gris, signé en bas à droite.24 x 41 cm 600/ 800

38 - DUPATy (actif à la fin du XVIIIe siècle)Plan des environs de la Barrière de Clichy levé au Graphomètre ce 15 germinal an 3èmeAquarelle signée et datée en bas à gauche .38 x 52 cm 300/400

39 - Robert BATTy (1789-1848) La colonne du ChâteletDessin au crayon. 19 x 13,5 cm 600/ 800

34 - Attribué à Augustin de SAINT-AUBIN(Paris 1736-1807)Festivités villageoisesProjet d’éventail.Plume et encre noire, lavis brun.Insolé, petites taches. 8 x 35 cm 800/1 200Doublé sur un montage ancien dans un cadre ancien en

demi-cercle.

35 - École FRANçAISE du XVIIIe siècleFeuille d’étude de personnages en pied et assis.Plume et encre noire sur papier calque doublé.Manques, déchirures et pliures.18 x 31 cm 200/300

36 - Giuseppe CANELLA (Vérone 1788 - Florence 1847)Vue animée d’une place en Italie ou Les préparatifs de la fête au palaisPlume et encre noire, aquarelle sur traits de crayon noir. Signée en bas à droite. (dessin lavé).25,5 x 34 cm 1 000/1 200Provenance : vente Palais des Congrès, Versailles, 2 juin

1971. J.P. Chapelle, commissaire-priseur, Heim-Gairac

expert, n° 38, repr. (selon une ancienne étiquette au verso).

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44 - Attribué à Pierre CIETTI (1752-1794)Offrandes de VestalesPlume gouache et aquarelle.13 x 24,5 cm 2 000/3 000Provenance : Michel Victor Cruchet (1815- 1899)

sculpteur et ornemaniste.

Pour Christian Baulez (conférence musée des Arts déco-

ratifs, juin 2014), cette aquarelle provient de deux albums

dont l’un est entré au Louvre récement. Ces derniers

proviendraient des fonds Réveillon puis Jacquemard et

Bénard, chez qui Cietti était chef des peintres. Ils ont

ensuite appartenu à la Maison Cruchet. Cietti fut aussi

un collaborateur de Belanger à qui ces aqurelles ont été

attribuées.

45 - École ITALIENNE, fin du XVIIIe-début du XIXe siècleFemme ailée dans des rinceauxPlume et encre grise.21,5 x 21,5 cm 200/300

40 - D’après PIRANèSEFrise de griffons affrontésPlume et encre grise.16,3 x 49,3 cm 400/600

41 - École FRANçAISE néoclassiqueProjet de plafond Plume et encre noire, lavis gris et aquarelle sur traits de crayon noir. Petites taches. 35 x 38,7 cm 1 000/1 200

42 - Attribué à Giacomo Quarenghi (1744-1817)Projet de monument funéraire pour le pape Pie VIIPlume aquarelle et lavis. Au dos plan à l’encre.32,5 x 48,5 cm 800/1 200

43 - École FRANçAISE vers 1900Elévation de style Louis XVIHuile sur panneau.H. 32 L. 40.5 cm 100/150

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50 - Carle VERNET (Bordeaux 1758 - Paris 1836)La chasse au renardPlume et encre noire, aquarelle sur traits de crayon noir et rehauts de gouache blanche postérieurs.Signée en bas à droite. Insolée, petites taches. 28,5 x 38 cm 4 000/6 000Provenance : chez Didier Aaron, New york, novembre 1980,

n°53, repr.

Fils de Joseph Vernet, Carle Vernet, après avoir étudié à Rome,

se spécialise dans les scènes militaires et les scènes de chasse.

Ses œuvres sont essentiellement conservées au château de

Versailles et au musée Condé à Chantilly.

46 - Attribué à Horace VERNET (Paris 1789-1863)Caricature de Louis XVIII de dosAquarelle.Porte un monogramme en bas à droite et datée en bas à gauche 1814.10 x 7 cm 600/ 800On joint la lithographie d’après Horace Vernet proche de

notre aquarelle, légendée Mes chers enfants, je vous porte

tous dans mon cœur.

47 - École ALLEMANDE du début du XIXe siècle Le violoniste au pichetPlume et encre noire, lavis gris et brun et lavis de sanguine.Petites piqûres.Porte un monogramme en bas à gauche.14 x 11,3 cm 300/400

48 - École ROMANTIQUE Paysage fantastiqueCrayon noir, craie blanche et grattage sur papier préparé.Signé indistinctement en bas à droite.Petites taches.14,3 x 16 cm angles arrondis 300/400

49 - École FRANçAISE du XIXe siècle Harpiste accordant son instrument dans un salon Aquarelle, rehauts de gouache blanche et dorée.Légèrement insolée, quelques épidermures.44 x 33,5 cm 400/600

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55 - École FLAMANDE vers 1520, suiveur de Pieter Coeck d’AlostSainte FamillePanneau de bois.Restauration, fente. 40 x 28 cm 1 500/2 000Reprise de la composition de Pieter Coecke d’Alost connue par

plusieurs versions en collection particulière (Georges Marlier,

1966, p. 227 et 231).

51 - Charlotte Julie BONAPARTE (1802-1839) Jeune paysanne avec ses deux enfantsAquarelle.Signée et datée 1819 en bas à droite.12,5 x 10,5 cm à vue 400/ 500

52 - Léon BONVIN (Vaugirard 1834 - Meudon 1866)Femme à l’ouvrage près d’une fenêtrePierre noire et estompe.Signée et datée en bas à gauche de 1855.12,2 x 11 cm 3 000/4 000 €Notre dessin est similaire en technique à plusieurs

dessins des années 1850 de Léon Bonvin conservés au

musée du Louvre (RF 15266 ; RF 15258).

53 - James Dufield HARDING (1798-1863) L’église de Polignac, septembre 1832Aquarelle, gouache et pierre noire sur papier, annotée, signée et datée en bas.Cadre d’époque.42,5 x 33,5 cm 400/600Étude préparatoire à la gravure illustrant Les Voyages

historiques dans l’ancienne France du baron Taylor.

54 - Bernard PÉGOT (c. 1830 - c. 1900)Portrait de jeune femme dans un paysage.Pastel sur papier.Signé en bas à droite et daté 1851.97 x 71 cm 800/1 200

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57 - École NAPOLITAINE vers 1630, atelier de Giovanni Battista CARACCIOLOVierge à l’Enfant Toile.Restaurations anciennes. 110 x 86 cm 3 000/4 000On rapprochera La Vierge à l’Enfant de ces figures dans

la Fuite en Égypte au musée de Capodimonte à Naples.

Nous remercions le professeur Nicola Spinosa de nous

avoir indiqué cette attribution.

58 - École VÉNITIENNE du XVIIe siècle, suiveur des BASSANOAutour du feuToile.Restaurations anciennes. 42 x 37 cm 1 000/1 200

56 - École FLAMANDE vers 1620Descente de croixHuile sur panneau de chêne.Petits accidents.53 x 38 cm 1 500/2 000

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61 - Andrea SCACCIATI (Florence 1642-1710)Vase de fleurs Toile d’origine. Au revers une inscription d’époque Originale dello Scacciati.95 x 116 cm 5 000/7 000

62 - Jan MORTEL (Leide 1652-1719)Raisins, prunes, pêches et noixToile. Restaurations anciennes.46 x 35 cm 3 000/4 000

59 - École ALLEMANDE du XVIIIe siècle, suiveur de Christian BERENTZNature morte à la coupe de vermeil, fruits et verrerie sur un entablement Toile (transposée ?).Restaurations anciennes. 42 x 55 cm 2 000/3 000

60 - Attribué à Giovanni STANCHI (1608-1675)Nature morte aux figues et melons, grenades et raisins Paire de toiles. 41 x 52 cm 6 000/8 000

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67 - Philippe Peter ROOS dit ROSA DA TIVOLI (Francfort-sur-le-Main 1657 - Rome 1706)Trophée de cerf, oiseaux et deux chiensToile.Restaurations anciennes et petites griffures, sans cadre.98 x 134,5 cm 4 000/6 000

63 - Attribué à Antonio Maria VASSALLO (né vers 1620 - entre 1664 et 1673)Nature morte aux cuivres, chat, hérisson et chien Toile. Restaurations anciennes. 35 x 57 cm 4 000/6 000

64 - École FLAMANDE du XVIIe siècle suiveur de Ferdinand van Kessel Le concert des chats Cuivre. 7 x 9,5 cm 1 000/1 500

65 - École ALLEMANDE du XVIIIe sièclePersonnages dans une tavernePanneau de noyer. Petits manques.9,5 x 7,6 cm 200/300

66 - Dans le goût de BERCHEMTroupeau dans un paysage de rivière Toile. Restaurations anciennes. 46,5 x 56,5 cm 300/400

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68 - Attribué à Henri MAUPERCHÉ (1602-1686)Paysage de vache et taureau franchissant un guéPanneau.Restaurations anciennes.105 x 79 cm 6 000/8 000Provenance : Sotheby’s New york, 16 mai 1996, n° 44

(attribué à Laurent de la Hyre). Sotheby’s New york,

28 mai 1999, n° 164 (attribué à Laurent de la Hyre).

69 - École BOLONAISE vers 1 800Saint JérômeToile.Petites restaurations anciennes.60 x 48 cm 1 500/2 000

70 - Attribué à Louis Jean Jacques DURAMEAU (1733-1796)Homme au turban blancToile. Restaurations anciennes.68,5 x 51,5 cm 800/1 200

71 - École ALLEMANDE vers 1780, entourage de MENGS Vierge et Imago ChristiPanneaux de chêne circulaires. Manques, sans cadre.9 x 8 cm 1 200/1 500

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76* - École FRANCAISE, vers 1730La grande cascade dans le parc de Saint-CloudCuivre.47,5 x 66 cm 12 000/15 000Une gravure de Jacques Rigaud, conservée à Versailles

et datée 1730, présente la même perspective de la grande

cascade de Saint-ClouD. En contrebas de l’ancien château,

celle-ci a été réalisée en deux temps. La première cascade,

construite sur les dessins d’Antoine Lepautre entre 1660

et 1665 est séparée de la cascade basse aménagée par

Hardouin-Mansart en 1698-99 par l’allée du Tillet.

Les personnages du premier plan, certains vêtus à

l’orientale, rappellent les fêtes que le duc d’Orléans or-

ganisait dans le parc. Celui qui étend le bras s’inspire

d’une illustration des Différents habillements de Turcs

Dédiez à Monseigneur le Duc de Bourgogne par son trés

humble et très obéissant serviteur C.F Silvestre, publié en

1700. Charles-François Silvestre (Paris, 1667-1738), fils

aîné d’Israël Silvestre, fut maître à dessiner des Enfants

de France et du jeune Louis XV. Admis à l’Académie de

Peinture en 1737, il meurt quelques mois plus tard.

72 - École ITALIENNE du début du XVIIIe siècle Portrait d’homme en robe de chambre et jabot de dentelle Toile. Restaurations anciennes. 72 x 58 cm 800/1 200

73 - Joseph VIVIEN (1657-1734)Portrait d’homme en perruquePastel entoilé.82 x 65 cm 4 000/6 000Nous remercions Monsieur Neil Jeffares qui a bien voulu

nous confirmer le caractère autographe de ce pastel.

74 - École FRANçAISE de la fin du XVIIIe sièclePortrait d’hommeHuile sur toile. 46 x 38 cm 300/400

75 - Hubert DROUAIS (Pont Audemer 1699 - Paris 1767) Portrait de Madame de la Roquette Buisson DupaireToile ovale. Signée et datée en bas à droite : Peint par / …Drouais / 1731.Restaurations anciennes. 67 x 76 cm 1 500/2 000Provenance : vente anonyme, 10 déc. 2013, Me Thierry

de Maigret, n° 19 (toile, 76 x 67 cm).

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* Ce lot est vendu sur folle enchère.

32 33

77 - François EISEN (Bruxelles 1685 - après 1778)Le marchand d’orviétan Comédiens sur une place de village Paire de toiles. 55 x 91 cm 40 000/50 000Ancienne attribution à Jeaurat.

Provenance : ancienne collection Philippe Wiener ;

collection Jacques Seligmann et fils en 1930, qui les

vendent en 1943.

Exposition de la Société nationale des Beaux-Arts, Paris,

Grand Palais, mai-juin1930, n° 51 et 52 (comme Etienne

Jeaurat, 60 x 94 cm).

Né à Bruxelles, François Eisen se marie à Valenciennes

en 1716 où il séjourne un certain temps, puis est reçu

à l’académie de Rouen en 1745. Il se fixe à Paris vers

1762. À cette époque, son fils Charles Eisen, proche

de la marquise de Pompadour, est devenu un graveur

célèbre qui a ses entrées à la cour. François,lui, a touché

à plusieurs genres. On connaît quelques portraits et

des scènes religieuses de sa main, mais c’est surtout

des scènes de genre ou d’enfants qui lui ont assuré

la notoriété. Ces deux pendants ont longtemps été

attribués à Etienne Jeaurat au cours du XXe siècle, par

assimilation aux scènes de rue de ce peintre conservées

au musée Carnavalet et à son Intérieur avec un marchand

d’orviétan (Paris, musée Cognacq-Jay). Les sujets de

foire sont relativement courants au XVIIIe siècle, chez

Giandomenico Tiepolo, chez Jean-Baptiste Lallemand

par exemple, et il convient de les rendre à François Eisen.

On rapprochera notre paire de la Favorite du sultan

(vente anonyme, Thierry de Maigret, Paris, 7 décembre

2012, n° 54), signée et datée de 1772, la Sultane favorite

(vente Sotheby’s, New-york, 22 janvier 2003, lot 101) qui

présentent la même touche vibrante et colorée.

Au centre du premier tableau, un charlatan, vêtu en

Oriental, harangue la foule en montrant une fiole

d’orviétan, un antidote à base d’opium paré de toutes les

vertus à cette époque. À ses côtés, son assistante fait un

tour de magie ou de bonneteau avec des lapins dans des

timbales en argent. Des forains ont installé leurs stands

pour une fête de village : à droite, on donne un spectacle

de marionnettes, et on danse au son de la cornemuse au

second plan à gauche. De part et d’autre, une paysanne

vend ses volailles et une marchande de vaisselle propose

sa marchandise. La seconde toile montre une estrade de

théâtre entourée par les badauds. Un jeune Pierrot appelle

les passants à regarder une scène de la Commedia dell’arte,

où la jeune première dans sa robe corsetée rose tient son

barbon par le menton, alors qu’Arlequin derrière elle

dévoile son prétendant derrière un rideau. Plus à gauche,

on découvre un concert de violon et une famille participant

à une loterie, avec un effet luministe. Les deux scènes sont

animées par des enfants qui jouent, deux d’entre eux avec

un singe habillé en costume de fantaisie. La description

montre la complexité des scènes entremêlées, avec ici tout

ce qui fait le charme raffiné du XVIIIe siècle français, dans

une palette suave, typique de leur auteur.

77

34 35

80 - Marcello BACCIARELLI (Rome 1731 - Varsovie 1818)Portrait présumé de Stanislas Lubomirski (1722-1782), Grand Maréchal de la couronne polonaise et mari de la célèbre princesse Isabella Czartoryska (1736-1816)Toile ovale. 65 x 49,5 cm 5 000/7 000Un autre tableau de Bacciarelli le représente un peu plus âgé

(vers 1780, toile ovale, 86 x 63,5 cm, conservé au Musée royal

du Palais du roi Jan III à Wilanow).

78 - École FRANçAISE vers 1740, entourage d’Oudry Chasseur à l’affût sur une balustrade Toile. 40 x 31 cm 800/1 000

79 - École FRANçAISE vers 1 800Le vieux chênePanneau de noyer. 31 x 37 cm 800/1 200

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81 - Claude Joseph VERNET (Avignon 1714 - Paris 1789)Pêcheurs près du rivage, dit La source abondanteToile ovale. Signée et datée sur le rocher : J. Vernet / f. 1766.46 x 37,5 cm 40 000/60 000

Provenance :

– Peut-être vente Mme la présidente de Bandeville, Paris,

3 décembre 1787, n° 65 (avec un pendant 3501 livres à

Desmanes).

– Les deux tableaux réapparaissent le 11 janvier 1793,

vente Lebrun, sous le n° 6 (hauteur 17 pouces, largeur 13

et demi, exprimés en toise du Châtelet) : “L’autre offre,

sur le devant, une femme, vêtue de rouge, tenant un

panier, tandis qu’un homme retire ses filets d’un torrent.

À droite, et sur une élévation, on voit deux pêcheurs,

l’un à la ligne, l’autre tenant un échiquier. Dans le fond

et sur un chemin, on aperçoit une voiture couverte. Sur

la gauche sont des rochers élevés, des arbres et une ville

au bord de la mer, qui termine le fond du tableau. Ces

deux tableaux, du faire le plus ferme et le plus piquant, ne

laissant rien à désirer. Ils sont de forme ovale.”

– Collection du baron van de Werve et de Schilde (1867-

1923), gouverneur de la province d’Anvers, vers 1930.

– Mentionné dans l’inventaire de succession de sa femme

en 1952, puis par descendance dans la même collection à

Nantes depuis cette date.

Exposition :

Probablement Salon de 1767, n°39 ; Le goût de Diderot,

Montpellier, musée Fabre, octobre 2013 - janvier 2014, et

Lausanne, Fondation de l’Hermitage, février - juin 2014,

catalogue p. 349, reproduit p. 353.

Bibliographie :

Florence Ingersoll-Smouse, Joseph Vernet peintre de

marine, étude critique et catalogue raisonné, vol. II, Paris

1926, Etienne Bignou, p. 10 n° 818, reproduction de la

gravure de Le Bas, pl. LXXXXIV n°208.

Catalogue de l’exposition Diderot et l’art de Boucher à

David, Paris, hôtel de la Monnaie, 1984-1985, p. 405-406

(tableau perdu, connu par la gravure de Le Bas).

Au dix-huitième siècle, ce tableau était en pendant avec

un autre titré Les occupations du rivage, gravé lui aussi par

Le Bas en 1777 et montrant une groupe de blanchisseuses.

Le livret du Salon de 1767 est très laconique concernant

Vernet, puisqu’il indique seulement “plusieurs tableaux

sous le même numero”. On doit donc se référer aux

descriptions de Diderot pour les identifier. Tiré de son

texte sur le Salon de 1767, le passage La Promenade

Vernet est considéré comme une des œuvres majeures de

l’écrivain. Il y décrit un voyage dans sept sites différents

avec un ami abbé, qui sont autant de rêveries que lui

inspirent les toiles du paysagiste.

A propos de notre tableau, Diderot écrit : “Le bas de cette

montagne nous etoit dérobé par la masse interposée d’un

rocher. Le pié de ce rocher s’etendoit en s’abaissant et en se

relevant et separoit en deux la profondeur de la scène. Tout

a fait vers la droite sur une saillie de ce rocher, j’observai

deux figures que l’art n’auroit pas mieux placées pour

l’effet. C’etoient deux pescheurs. L’un assis et les jambes

pendantes vers le bas du rocher tenoit sa ligne qu’il avoit

jettée dans des eaux qui baignoient cet endroit. L’autre,

les épaules chargées de son filet, et courbé vers le premier

s’entretenoit avec lui. Sur l’espèce de chaussée rocailleuse

que le pié du rocher formoit en se prolongeant; dans un

lieu ou cette chaussée s’inclinoit vers le fond, une voiture

couverte et conduite par un paysan descendoit vers un

village situé au dessous de cette chaussée. C’etoit encore

un incident que l’art auroit suggéré. Mes regards rasant la

crête de cette langue de rocaille, rencontroient le sommet

des maisons du village, et alloient s’enfoncer et se perdre

dans une campagne qui confinoit avec le ciel. Quel est celui

de vos artistes, me disoit mon Cicerone, qui eut imaginé

de rompre la continuité de cette chaussée rocailleuse par

cette touffe d’arbres? Vernet, peut être ... Eh bien, dis je

a mon cicérone, allez vous en au Sallon, et vous verrez

qu’une imagination féconde, aidée d’une étude profonde

de la nature a inspiré a un de nos artistes précisément ces

rochers, cette cascade et ce coin de paysage... Et peut être

avec ce gros quartier de roche brute, et le pescheur assis

qui relevé son filet, et les instruments de son métier épars

a terre autour de lui, et sa femme debout, et cette femme

vue par le dos…”

On connaît d’autres versions de cette composition

(marché de l’art parisien en 1988 et 2008, une copie dans

l’ancienne collection youssoupoff à Saint-Pétersbourg

puis en collection privée suisse).

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84 - Thomas Germain DUVIVIER (Paris 1735-1814)La table de l’architecte Toile ovale mise au rectangle.Signée et datée 1772. Restaurations anciennes.80 x 76 cm 8 000/12 000Reprise de la composition conservée à la Norton Simon

Fondation de Los Angeles (102,6 x 78,7 cm).

Ayant reçu le prénom de son parrain, l’orfèvre Thomas

Germain, et seul élève de Chardin, Duvivier a été étudiée

et réhabilité par Michel et Fabrice Faré (La vie silencieuse

en France au XVIIIe siècle, Fribourg, 1976, p. 175 à 181).

Généralement une sculpture ou un plâtre blanc figurent

au centre de ses natures mortes, entourés d’outils d’artistes

à l’exemple des allégories des arts de Chardin. Ici, c’est un

chapiteau ionique qui tient cette place, devant un dessin de

l’élévation d’une porte, et posé sur le plan d’un bâtiment.

Ils sont entourés d’un compas, d’une plume et de livres.

La sobriété de la composition et le rappel de l’Antiquité

sont caractéristiques du courant néoclassique, ancré dans

l’esprit encyclopédique, où l’art se mêle à la science dans

une même inspiration vers le progrès. Cette nature morte

délaisse la représentation naturaliste à la hollandaise et

évolue vers une étude abstraite de formes assemblées qui

deviendra un des principes de la modernité.

82 - École FRANCAISE du XIXe siècleNature morte aux livresToile. Inscriptions sur trois feuillets en bas à droite de la composition : 1er feuillet : … n’y va da… puis 14 30 1752 ; 2e feuillet : à Marly … signé : Louis ; 3e feuillet : de la grâce qui lui esté accordé par (?) l’Académie. Porte une signature sur l’entablement : S. Chardin (…) 46 (?). 28 x 36,5 cm 800/1 200

83 - École FRANçAISE vers 1820Armes de France et ordre du Saint-EspritHuile sur toile. Accidents.65 x 82 cm 500/600

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85 - Louise-Joséphine SARAZIN DE BELMONT (1790-1871)Vue de La Cava Toile. Monogrammée et datée en bas à gauche : SB (?) La cava 1829.42,5 x 59,5 cm 2 000/3 000

86 - Attribué à Horace VERNET (1789-1863)Étude de geaisCarton 28,5 x 36 cm 2 000/2 500Au revers, sur le carton, une étiquette manuscrite : Horace

Vernet. / Grand Officier de la Légion d’Honneur. / Peintre

de l’Empereur, / Napoléon III. ; un fragment d’étiquette de

vente : Vernet (Horace) / esquisse collé sur une étiquette

manuscrite: Cette peinture (Esquisse) sur carte parcheminée

vient d’un / lot acheté à la vente faite au bénéfice de Bénédict

Masson / devenu aveugle, dont on admire encore les fresques à

/ L’Hôtel des invalides, en(1895). Ces lots étaient offerts par les

peintres / célèbres de l’époque. cette peinture est le témoin de

la / recherche de la perfection qu’apportait le maître / dans les

détails de ces œuvres. Nous n’avons pu retrouver ce tableau

dans la vente au bénéfice de Benedict Masson ( Lügt 49600).

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87 - Jean Victor BERTIN (Paris 1767-1842)Paysage d’ItalieToilePetits manques.62 x 97 cm 25 000/30 000

Elève de Doyen, Bertin trouve sa vocation auprès de

Pierre-Henri de Valenciennes. Il se spécialise dans le pay-

sage composé à la manière de Poussin et Claude Lorrain

et s’inspire de sites italiens réels. Ses œuvres présentent

une facture émaillée et claire, caractéristique du néoclas-

sicisme. L’intensité de la tonalité diminue progressive-

ment depuis le premier plan pour créer de la profondeur.

Une atmosphère transparente et limpide est rendue par

de légers glacis.

On sait depuis peu que Bertin se rendit en Italie en 1806,

séjournant essentiellement autour de Rome. Douze ans

plus tard, il commence à publier son Recueil d’études de

paysages à destination de ses élèves, Corot, Michallon,

Coignet, Fleury, Rémond ou Roqueplan qui sont passés

par son atelier.

Notre toile est la réplique d’une œuvre peinte antérieure-

ment, vers 1808-1810 (Boulogne-Billancourt, Bibliothèque

Marmottan), presque de mêmes dimensions (60 x 96 cm,

Suzanne Gurwirth, “Jean-Victor Bertin : un paysagiste

néoclassique”, Gazette des Beaux-arts, mai-juin 1974,

p. 347, n° 58). Comme à son habitude, et devant le succès de

cette composition, Bertin en peint d’autres versions. Selon

l’usage de l’époque, son atelier y collabore, en particulier

pour les personnages ou des détails de l’architecture. Une

version, associée en paire au Paysage de l’ancienne Grèce

(75 x 109 cm) et entrée au musée d’art occidental de Tokyo

en 2007, est nommée de façon erronée Vue de Valdomonte

alors qu’il s’agit d’un site imaginaire constitué d’éléments

épars vus et notés dans ses carnets lors de son séjour dans la

campagne romaine.

Notre tableau sera inclus au catalogue raisonné de Jean-

Victor Bertin en cours de préparation par Messieurs

Damien Dumarquez et Jean-Louis Litron.

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44 45

92 - Attribué à Pierre-Narcisse GUÉRIN (1774-1833) Le retour de Belisaire Papier marouflé sur toile. 39,5 x 45,8 cm 4 000/6 000Provenance : collections du peintre Girodet et Becquerel-

Despréaux, par descendance.

Bibliographie : Mehdi Korchane, catalogue de l’expo-

sition Entres Lumières et Romantisme, musée des beaux-

arts d’Orléans, Somogy, 2006, repr. p. 66, fig. 13 (atelier

de Regnault).

Notre tableau peut être daté de la fin du XVIIIe siècle

et montre l’influence des compositions de David, les

Horaces et le Brutus (Paris, musée du Louvre), avec un

second plan bouché par une draperie et surmonté d’un

élément architectural rythmé et géométrique. La figure

d’Eudoxe est inspirée par celle au centre du Brutus.

On connait un grand dessin directement préparatoire

à cette Femme assise et de profil, au musée des beaux-

arts d’Orléans (Inv . 575-456) provenant du fonds Léon

Cogniet, ce dernier ayant hérité des portefeuilles de son

maître Guérin. On sait que Guérin avait envisagé de

peindre un Retour de Bélisaire pour lequel on connait

une esquisse de composition différente de la nôtre, sujet

qu’il abandonna au profit du Retour de Marcus-Sextus.

Cette belle esquisse néoclassique illustre un passage du

roman historique Bélisaire de Marmontel publié en 1767.

Ce récit de la vie du célèbre général byzantin connaît un

immense succès auprès de l’intelligentsia de l’époque,

puisqu’il fait écho à l’ingratitude d’un pays et de son

souverain, l’empereur Justinien, envers l’un de ses héros.

Notre tableau reprend un épisode du chapitre VI : à l’issue

d’un long périple, Bélisaire, appuyé sur l’épaule de son jeune

guide Tibère, retrouve son foyer et sa famille. Sa femme,

Antonine, alitée et aidée par une servante, trouve la force

de se lever pour accueillir son mari avant de mourir. Les cris

alertent son fil qui accourt, alors que sa fille, Eudoxe, défaille

d’émotion. Ce sujet a été représenté par de nombreux

peintres à l’époque néoclassique : Durameau, Kinson…

88 - École FRANCAISE vers 1820, suiveur de Johann Heinrich Füsli Caïn et AbelPanneau de noyer, une planche, non parqueté.Restaurations anciennes. 800/1 200

89 - École FRANçAISE du XIXe siècleApollonToile.64 x 53 cm 600/ 800

90 - École FRANçAISE vers 1820, atelier de Théodore GéricaultLe radeau de la MéduseToile.38,5 x 54,5 cm 2 000/3 000

91 - Théodule RIBOT (1823-1891)Profil de femme âgée Toile marouflée sur panneau parqueté. Signée en bas à droite: t. Ribot. Griffure en haut à gauche. 55 x 45,5 cm 1 500/2 000

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95 - École FRANCAISE vers 1 800, entourage de GRANET La tentation de saint Antoine. Toile.59 x 72,5 cm 2 000/3 000

96 - École FRANCAISE vers 1880Ange dans les nuées Toile circulaire marouflée sur panneau. D. 20 cm 600/ 800Dans un cadre d’époque Restauration, à décor de fleurs

de lys.

93 - Prosper DEBIA (Montauban 1791-1876)Vue de Montauban, au fond l’évêchéToile d’origine.Signée en bas à gauche et datée 1827.88 x 127 cm 12 000/15 000Cadre d’origine.

Probablement Salon de 1827. Acquis à la Galerie Bailly le

10 novembre 1986 par le propriétaire actuel.

94 - École FRANçAISE vers 1840, entourage d’Edouard Dubuffe Jeune garçon au bilboquet Toile46 x 38 cm 1 000/1 500

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101 - Attribué à Jules DUPRÉ (1811-1889)Paysage aux grands chênes Toile d’origine. Manques et restaurations anciennes. 92 x 73 cm 2 000/3 000

102 - Bernard Edouard SWEEBACH (Paris 1800 - Versailles 1870)Personnages à l’entrée d’une fermePanneau. Signé et daté.27 x 35,5 cm 1 500/2 000

103 - Félix BRISSOT de WARVILLE (1824-1898)Berger et ses moutonsHuile sur panneau.38 x 46 cm 1 000/1 200

104 - Pierre OUTIN (1840-1899)Scène galante sur des rempartsHuile sur panneau signée en bas à droite.24 x 34,5 cm 1 200/1 500

97 - Frans KRUGER (1797-1857)Chevaux en libertéHuile sur toile.Restaurations anciennes.Signée en bas à gauche.47 x 54 cm 3 000/4 000Cadre en bois sculpté et doré d’époque Louis XVI.

98 - École FRANçAISE du XIXe siècle Personnages près d’une cascade Toile d’origine. 66 x 80 cm 800/1 200

99 - École FRANçAISE vers 1850Biche dans un sous-bois Panneau de chêne, une planche, non parqueté. Au dos une longue annotation au crayon, très difficilement lisible Richemon… (?) sous-bois…25 x 19 cm 800/1 000

100 - École FRANçAISE vers 1850La ClairièrePanneau de noyer renforcé. 39 x 52 cm 800/1 200

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105* - Félix ZIEM (1821-1911)Les jardins français à VeniseHuile sur panneau signé en bas à droite.50 x 82 cm 25 000/30 000Au dos, tampon de l’exposition du Rubens Club, Bruxelles et

n° 639.

Provenance : collection De Kuipper, directeur du Rubens Club.

On y joint une lettre manuscrite de Félix Ziem datée du 12 avril

1893, attestant de la provenance De Kuipper et de l’authenticité

de l’œuvre.

L’association Félix Ziem représentée par Mathias Ary Jan, David

Pluskwa et Gérard Fabre a confirmé l’authenticité de cette œuvre.

Un certificat pourra être délivré sur demande.

* Ce lot est vendu sur folle enchère.

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111 - Bureau plat d’époque Régence, estampillé LSP pour Louis-Simon PainsunEn placage de palissandre et encadrements de filets de bois de rose, il ouvre à un tiroir central et deux tiroirs dans des caissons. Plateau rectangulaire à lingotière gainé de cuir rouge doré au petit fer. Garniture de bronze ciselé et patiné à décor de mascarons. Il repose sur quatre pieds galbés ; accidents et restaurations.H. 76 P. 70 L. 130 cm 7 000/8 000Louis-Simon Painsun, reçu maître avant 1730.

106 - Châtelaine en or dans un écrin Poids 44 g 150/ 200On y joint une montre en or d’époque Louis XVI, mouvement postérieur.

107 - Montre gousset en or par E. RaulinSonnerie à répétition, chronomètre, cadran émaillé.Poids 97 g 500/700Dans un écrin.

108 - Montre gousset en or par Lépine, horloger de l’ImpératriceCuvette en métal, manques d’émail.Poids 108,9 g 600/ 800

109 - Montre gousset en orCadran émaillé, chiffré sur la cuvette.Poids 74,7 g 400/ 500

110 - Écritoire, début de l’époque Louis XVEn placage de bois noirci et bois noirci de forme rectangulaire, il ouvre à un tiroir latéral, sur ledessus. Il présente quatre éléments en métal argenté et deux repose-plume ; petits accidents.H. 6 L. 30 P. 22,5 cm 400/500

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115 - Papier gaufré et doré d’époque Louis XV À décor d’une scène chinoise dans le goût de Boucher. 10 x 12,5 cm 100/150

116 - Couvercle de râpe à tabac, fin XVIIe s.En ivoire à décor d’un couple de pélerins de Saint-Jacques de Compostelle. H. 16 cm 200/300

117 - Moufle brodée, époque Louis XIVItalie du Nord (?), moufle en agneau crème à crispin brodé soie polychrome d’une guirlande de fleurs et feuillage et bordé d’une bande de maroquin rouge ; frange rapportée, accident. 200/300

118 - Bergère à dossier plat estampillée C. Chevigny d’époque Louis XVIEn bois naturel mouluré et sculpté, elle repose sur des pieds cannelés et rudentés; restauration à un pied.H. 97 L. 67 P. 53 cm 800 / 1200 Claude Chevigny, reçu maître en 1768.

112 - Coffre à couvercle bombé recouvert d’une tapisserie aux petits points d’époque Louis XIV.Entrée de serrure ornée d’une couronne royale.H. 30 L. 60 P. 41,5 cm 500/ 800

113 - Écran, début de l’époque Louis XVEn bois naturel mouluré et sculpté, à décor de coquilles et feuillage, à tablette rabattable. Il repose sur des pieds en chapelet terminés par un enroulement réunis par une large entretoise ; pieds rapportés.Garniture aux petits points à décor feuillagé poly-chrome.H. 94 L. 58 P. 40 cm 400/600

114 - Colonne, atelier des Cosmates, Latium, Italie, XIIIe siècleEn marbre sculpté à décor de mosaïque de tesselles d’or et de verres de couleur. Fût aux torsades nervurées, chapiteau à feuilles d’acanthe et tiges fleuries, piédestal cubique; cassée et recollée, quel-ques manques, piédestal d’époque postérieure.H. 114,5 cm 3 500/5 000

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124 - Paire de chaises d’époque Louis XV En bois mouluré et sculpté, à dossier plat, elles reposent sur des pieds cambrés réunis par une entretoise.H. 93 L.52 P. 45 cm 400/600

125 - École FRANçAISE du XVIIe sièclePortrait d’homme en armure Gouache. 5,6 x 4,5 cm 600/ 800Cadre en bronze.

126 - DELFT, XVIIIe siècleDeux assiettes en faience à décor en camaïeu bleu de paysages lacustres avec pagodes ; fèles et éclats.D. 22 cm 100/150

127 - DELFT, XVIIIe siècleAssiette en faïence à décor en camaïeu bleu d’un voilier sur les flots au centre ; éclats. D. 23 cm 50/80

119 - Paire de cache-pots carrés en porcelaine de la Chine, XVIIIe siècle Enchâssés dans une monture en bronze ciselé et doré du XIXe siècle H. 13. L. 15 cm 300/400

120 - Gobelet, Paris 1722-1726Porcelaine Imari à décor polychrome et cartouche, monture en argent à décor de godrons.H. 12 cm 1 000/1 200

121 - École FRANçAISE du XVIIe sièclePortrait de femmeCuivre ovale11 x 9 cm 200/300

122 - École FRANçAISE du début du XVIIIe s.Portrait d’hommeHuile sur cuivre. Dans un cadre en bois mouluré et doré. 8,5 x 6,8 cm 400/ 500

123 - Putto en bronze, travail flamand, début XVIIIe siècle Le contre-socle en marbre jaune de Sienne.H. 12, 5 cm 300/400

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133 - Graphomètre à pinules, d’époque Louis XIV signé Butterfield à Paris, On joint un instrument signé L’Ingénieur Chevalier opticien, début du XIXe siècle, contenu dans un coffretH. 11 L. 25 cm 600/ 800

134 - Deux médaillons ovales, XVIIe siècle.En bronze, représentant le Christ et la Vierge.H. 19,5 cm 200/250

135 - Boîte ovale en écaille et or, Paris 1782L’intérieur en or uni marqué Le Comte d’Artois à Picoron de La Violiere président du siège royal de St Maixent 1783.Fentes petits accidents. H. 4 L. 9 P. 7 cm 1 500/2 000Provenance : Jacques Bonnaventure Picoron, seigneur de

la Violière (1724-1808), chevalier de Saint Louis, capitaine

adjudent major au régiment royal de Berry Infanterie.

Saint-Maixent dépendait du duché d’Angoulême donné

au comte d’Artois en 1773 par Louis XV.

136 - Étui à couverts en cuir doré au petit fer, d’époque Louis XVL. 22,4 cm 150/ 200

137 - Petite boîte en vernis Martin d’époque Louis XVIÀ décor de fleurs sur fond de losanges.H. 4 D. 8,5 cm 200/300

138 - Dans le goût de MIGNARDPortrait de dame Miniature sur carton. 7,5 x 6,8 cm 150/ 200

139 - Attribué à Martin DROLLING (Oberhergheim, 1752 - Paris, 1817)Portrait d’homme au gilet vert Gouache circulaire. D. 6,5 cm 800/1 200Cadre en bronze doré.

140 - Jean-Urbain GUÉRIN (1761-1836)Portait de dame Miniature. Signé à droite ; soulèvements. 8,9 x 6,5 cm 500/700

141 - HIPOLITE (c. 1740 - c. 1822)Portrait de jeune homme au foulardMiniature. D. 6,8 cm 200/300

128 - Petite boîte à mouches en satiné, d’époque Louis XVIH. 2 D. 7 cm 60/80

129 - Petite boîte en loupe d’amboine et écaille, fin du XVIIIe- début du XIXe siècleOrnée d’un fixé sous verre à décor d’un paysage italien ; petits accidents.H. 2 L.10 P. 7 cm 400/ 500

130 - École ITALIENNE du XIXe siècleProfil d’empereur romain en ivoire.H. 8 cm 300/400

131 - École ITALIENNE de première moitié du XIXe s.Deux petits coffrets en bois contenant des intailles en plâtre.17 x 12 cm 200/300

132 - Boussole en laiton gravé signé Baradelle à Paris, début du XVIIIe siècle, dans son écrin en chagrin noir. 8,5 x 7,5 cm 600/ 800

128, 131, 130, 129

132, 133

60 61

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142 - Petite vitrine basse estampillée N. Petit Et Jme, d’époque Louis XVEn placage de satiné et amarante, elle ouvre à deux portes vitrées et repose sur des pieds cambrés. Dessus de marbre Sarrancolin.H. 106 L. 92 P. 39 cm 2 000/3 000Nicolas Petit reçu maître en 1761.

143 - Paire de bougeoirs d’époque Louis XVI En bronze ciselé et doré à décor d’une femme age-nouillée soutenant sur sa nuque un vase retenu par la main. Elle repose sur une base circulaire ornée de feuilles d’eau ; usure de dorure, choc à l’un. H. 15,5 cm 800/1 000Les pendants masculins de nos bougeoirs sont conservés

au musée Nissim de Camondo dans l’alcôve du grand

bureau sur le bureau cylindre de Claude Charles Saunier.

Bougeoirs, musée Nissim de Camondo

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147 - Fauteuil à dossier cabriolet estampillé L. Delanois, d’époque TransitionEn bois mouluré, sculpté et laqué, l’assise et le dossier cannés, les accotoirs en coup de fouet. Il repose sur des pieds cambrés. H. 91 L. 58 P. 48 cm 1 500/2 000Louis Delanois, reçu maître le 27 juillet 1761.

148 - Coffret écritoire de voyage, Paris 1750-1756En chagrin noir, les garnitures par Thomas-Etienne Collart, à décor de coquilles et enrou-lements. 1 800/2 000On joint un encrier et une boîte à sable, Paris 1779.Thomas-Etienne Collart, reçu maître le 25 mai 1748.

144 - Bureau à cylindre de la fin de l’époque Louis XVIEn acajou et placage d’acajou, ouvrant à trois tiroirs, un abattant découvrant quatre tiroirs et un vantail et quatre tiroirs dont l’un simulant un double. Il repose sur des pieds gaine cannelés, dessus de marbre blanc enchâssé dans une galerie ajourée.H. 125 L. 142,5 P. 74 cm 1 000/1 500

145 - Fauteuil de bureau estampillé J.B Boulard, d’époque Transition En bois mouluré, sculpté et laqué à dossier vio-lonné canné, il repose sur des pieds fuselés, can-nelés et rudentés.H. 85 L. 52 P. 47cm 1 000/1 200Jean Baptiste Boulard reçu maître en 1754.

146 - Canapé en bois naturel mouluré et sculpté, travail provincial d’époque Louis XVÀ décor de fleurettes, il repose sur des pieds cambrés ; accidents et manques.H. 102 L. 187 P. 69 cm 200/300

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152 - Paire de flambeaux d’époque Restauration.En bronze ciselé, doré et patiné, à décor de feuilles d’acanthes, fleurs et corbeilles de fruits. H. 30 cm 300/400

153 - École FRANçAISE de la fin du XVIIIe siècle Allégorie couronnant un amourBronze ciselé et doré.H. 28 cm 1 500/2 000

154 - Jean-Baptiste GLORIEUX (actif à Nancy au début du XXe siècle)Double portrait d’Hypolithe et Adolf KastnerAlbâtre reposant sur un piédouche en bois tourné, contresocle en bronze doré. Signé au dos I. B. Glorieux sculp…H. 26 cm 1 500/2 000

155 - Paire de flambeaux d’époque Louis XVIEn bronze doré à décor de double moulures de rang de perles feuillagées et cannelures rudentées.H. 28 cm 500/600

156 - Paire de fauteuils estampillés Saint-Georges d’époque Louis XVEn bois mouluré, redoré et sculpté, à dossier cabriolet, accotoirs en coup de fouet, ils reposent sur des pieds cambrés.H. 85 L. 60 P. 53 cm 500/600Jean Etienne Saint-Georges reçu maître en 1747.

149 - Bergère estampillée IB Lelarge, d’époque Louis XVIEn bois mouluré et laqué, à dossier plat, elle repose sur des pieds fuselés et cannelés.H. 93 L. 65 P. 64 cm 1 000/1 200Jean-Baptiste Lelarge, recu maître en 1775.

150 - Pendule d’époque Restauration En bronze ciselé et doré, le cadran signé Barré à Paris inséré dans une borne surmontée d’un buste de Pierre le Grand. La base et la borne ornées d’aigles bicéphales. Elle repose sur des pieds griffes; petits accidents. H. 49 L. 25 P. 18 cm 1 500/2 000

151 - Lampe bouillotte, premier quart du XIXe s.En bronze, à trois feux et abat-jour en tôle.Manque une bobêche.H. 70 cm 500/600

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157 160

159 159159

157 - Portrait en pied de Napoléon, fin XIXe siècleLithographie rehaussée d’aquarelle, découpée et gaufrée.37 x 23,5 cm 400/ 500Provenance : anc. collection yves Jean-Pierre.

158 - Napoléon, statuette, fin du XIXe siècleRégule patiné. Base en marbre ; restauration.H. 40 L. 13 P. 13 cm 300/400

159 - ZERMAT, Lac de Brienz, Lugano…Photographies diverses des premiers lieux de villégiature en Suisse. Album de 50 épreuves albuminés vers 1880, la plupart en bon état. 600/800

160 - Daguerréotype 1/2 plaque, vers 1852(?) Emmanuel de Rougé en compagnie de son épouse Marie Valentine de Ganay, deux de leurs fils et leur cuisinière.Dos renforcé avec des extraits du faire-part de décès d’Emmanuel de Rougé. 300/400L’inscription au verso indique une possible provenance :

Emmanuel de Rougé (1811-1872), conservateur du dépar-

tement des Antiquités égyptiennes) dont on n’a pas retrou-

ver de portrait photographique.

Curieux portrait au daguerréotype où figurent les

maîtres de maison en compagnie de leur servante.

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165

166, 167

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166 - MENNECyDeux pots à crème courts en porcelaine tendre à côtes torses en léger relief, décor polychrome de bouquets de fleurs. L’un marqué DV en creux. H. 7 cm 200/300

167 - SAINT-CLOUD, vers 1720-130Paire de gobelets et leur soucoupe en porce-laine tendre à décor en relief de godrons et décor en camaïeu bleu de lambrequins feuillagés.Marqués STCT en bleu ; petit éclat.H. 6 D. 13 cm 500/ 800

168 - SèVRES, XVIIIe siècle, 1761Gobelet litron et sa soucoupe en porcelaine tendre à décor polychrome d’oiseaux sur terrasses dans des réserves sur fond bleu lapis caillouté d’or.Marqué : LL entrelacés, lettre-date H pour 1761.H. 6 D. 12 cm 1 500/2 000

169 - PARIS, époque Louis XVIPaire de seaux à bouteille en porcelaine, manu-facture du duc d’Angoulême. Décor de guirlande et semi de fleurettes et frises or.Marqués LSX entrelacé en rouge.H. 17,6 L. 24,5 cm 400/600

170 - SèVRES, fin du XVIIIe siècle, vers 1795-1 800Deux assiettes à potage en porcelaine tendre à décor au centre d’un bouquet de roses dans un médaillon cerné d’un galon bleu et rinceaux feuillagés or sur fond de semi de pensées.Marquées Sèvres, marques des peintres Hyrel de Choisy et Laroche.D. 24 cm 400/ 500

161 - Timbale en métal plaqué au nom de Joseph Duplessis, milieu du XVIIIe siècle.H. 9,5 cm 100/150Il peut s’agir de la timbale du peintre Joseph-Siffrède

Duplessis (1725-1802).

162 - Sucrier en argent XVIIIe sièclePrise en forme de fraise, pieds et anses feuillagés. Poids 420 g 400/ 500

163 - Aiguière en métal plaqué, milieu du XVIIIe s.Décorée de moulures, prise à enroulements.H. 20 cm 250/300

164 - Cuiller à saupoudrer en argent uniplat par J. Anthiaume, Paris, 1772Poids 94 g 150/200Jacques Anthiaume reçu maître le 21 janvier 1758.

165 - Cafetière en argent par Thibault, Salins, 1782Tripode, le corps à décor de guirlandes de laurier et cartouches monogrammés, bec verseur en forme de tête de canard. La prise du couvercle feuillagée.H. 21,5 cm Poids brut 502 g 2 500/3 000

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168 à 175

176 - SèVRES, XVIIIe siècle, vers 1792Assiette en porcelaine dure à décor polychrome au centre de fleurs chinoises, l’aile à fond noire décorée en or et patine de Chinois sur trois terrasses dans le style de Pillement ; éclat. Sans marque.D. 24 cm 3 000/5 000

171 - SèVRES, XVIIIe siècleGobelet Bouillard et sa soucoupe en porce-laine tendre à décor polychrome de bouquets de fleurs et filets bleu et or. Marqués LL entrecroisés, marque du peintre Bouillat. H. 6 cm, D. 13,5 cm 200/300

172 - SèVRES, période révolutionnaire,Jatte ronde à fond bleu céleste. Décor de bou-quets de fleurs. Marque du peintre Cornaille et du doreur Vincent.H. 8.5 D. 17,3 cm 600/800

174 - SèVRES, période révolutionnaire, fin du XVIIIe siècle, année 1793.Gobelet litron et sa soucoupe à décor révolu-tionnaire au centre de la soucoupe d’un triangle de maçon et sur le gobelet d’un bonnet phry-gien (effacé) dans un entourage de coquelicots et bleuets ; éclats à la base du gobelet, le bonnet phrygien délibérément effacé.Marqués : Sèvres R.F. QQ pour 1793.H. 6,5 D. 13,5 cm 500/600

175 - SèVRES, époque Louis XVIII, vers 1820Assiette en porcelaine dure décor polychrome au centre de fraises et sur l’aile d’une frise de postes en or et filets.Marquée : LL entrelacés, fleur de lis et Sèvres.D. 24 cm 1 500/2 000

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179 - Buffet en acajou et placage d’acajou d’époque Louis XVI Il ouvre à un plateau découvrant un buffet et un rafraîchissoir. Deux tirettes latérales. Deux vantaux dans la partie inferieure découvrant trois tiroirs et un plateau. Il repose sur des pieds fuselés.H. 103 L. 128 P. 61 cm 800/1 200

177 - Aiguière et son bassin en argent, poinçon VieillardL’anse en forme de bacchante ailée tenant une grappe de raisins, prise du couvercle en forme de cygne ; décor de frises de feuilles et de rinceaux feuillagés, la panse gravée de fleurs et palmettes dans des arcatures ; petit manque au couvercle, petite restauration au piédouche.L. 39 P. 25 cm (bassin) H. 34 cm (aiguière)Poids total 1614 g 2 500/3 500

178 - Suite de six salières en argent par Marc Etienne Janety, Paris 1782À décor de guirlandes, frises de perles et reposant sur des petits pieds, intérieur en verre bleu (manque un).Poids 238 g 300/400Marc Etienne Janety, reçu maître le 2 août 1777.

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180 - Guéridon estampillé J. Stöckel et JME, d’époque Louis XVIEn acajou et placage d’acajou à deux plateaux en marbre blanc, le fût cannelé terminé par une base tripode à enroulement. Ornementation de bronzes ciselés et dorés tels que grattoirs, moulures et frises de perles; petits manques et accidents.Porte une marque au feu répétée deux fois : PC séparé par une croix de Lorraine dans un écu surmonté d’une couronne ducale.H. 75,5 D. 67,5 cm 2 000/3 000Joseph Stöckel reçu maître en 1775.

Cette marque au feu surmontée d’une couronne ducale est

parfois associée à une autre marque similaire entremêlant

le P et le C surmontée d’une couronne princière. Ces deux

marques sont associées sur une paire de fauteuils d’époque

Louis XVI (vente Couturier-Nicolaÿ, 30 juin 1989, n° 182).

Un fauteuil en suite conservé au palais Rohan à Strasbourg

ainsi qu’une paire de fauteuils cabriolet d’époque

Louis XVI (également au palais Rohan) ne portent que

la marque surmontée d’une couronne princière. On

retrouve cette dernière marque sur un ensemble conservé

à la Résidence de Munich (reproduit dans Die Möbel der

Residenz München, Prestel 1995 p. 180 et suiv., n° 42).

Surmontées de la couronne princière, les initiales P et C

pourraient correspondre au prince Camille de Lorraine

(1725-1780), prince de Marsan, cousin de Marie Antoinette,

gouverneur de Provence en 1770. L’usage de marquer les

meubles des initiales des souverains ou princes-électeurs

est fréquent en Allemagne à la différence de la France où

l’on marque plutôt les initiales des châteaux (voir op. cit.

nos 44, 47 et 48).

181 - Paire de plateaux ou salves d’époque Kangxi En porcelaine de la Chine, bleu et blanc à décor de personnages. Marqués. Monture en cuivre doré godronné, travail proba-blement allemand du XVIIIe siècleH. 6 D. 19,4 cm 2 500/3 000Pour une suite de quatre appliques à montures identiques

conservées à la Favorite à Rastatt, voir catalogue porce-

laines Schloss Favorite bei Rastatt, cat n° 45B p. 65.

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186 - Soupière en argent par Jean Francois Caron, Paris 1777Prise en forme de laitue, anses feuillagées, elle repose sur un piedouche mouluré.Décorée d’armoiries double surmontées d’une couronne de marquis.Poids 2067 g 3 000/5 000Jean Francois Caron reçu maître en 1775.

187 - Suite de 18 couverts à entremets en vermeil, poincon MinerveÀ décor de coquilles et feuillages.Poids 1767 g 400/ 800

188 - Soupière ovale, de style Empire, début du XXe siècleEn métal argenté, le piédouche à base rectangu-laire, les anses en forme de cygne. Prise du cou-vercle en forme de pomme de pin sur une terrasse feuillagée.L. 44 H. 30 cm 200/300

189 - Petite console d’applique en bois sculpté et doré, à décor de triglyphes, frises et feuillages ; accidents et manques à la dorure.H. 24 L. 17 P. 13,5 cm 200/300

182 - Allemagne, premier tiers du XIXe siècleDeux tasses et une soucoupe en porcelaine à décor d’une vue de Sansouci à Potsdam, et l’autre d’une vue de Bohême. H. 10 D. 13 cm 200/300

183 - Berlin, fin du XVIIIe siècleGobelet couvert à deux anses et sa soucoupe en porcelaine à décor polychrome de bouquet de fleurs, marqué sceptre en bleu ; petits éclats à la prise du couvercle et à la soucoupe.H. 10 D. 15,5 cm 200/300

184 - Berlin, premier tiers du XIXe siècle. Tasse litron et sa soucoupe en porcelaine à décor polychrome de bouquet de fleurs sur des ré-serves de fond bleu et or. Marquées sceptre en bleu. H. 6 D. 11 cm 300/ 500

185 - Console d’époque Louis XVIEn chêne sculpté et laqué faux bois, elle repose sur des pieds cannelés et rudentés réunis par une entretoise, dessus de marbre blanc veiné ; accidents et manques.H. 82 L.108 P. 49,5 cm 2 000/3 000

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191 - SèVRES, fin du XVIIIe siècle Suite de douze assiettes en porcelaine tendre à décor polychrome au centre d’un bouquet de bleuets dans un médaillon cerné d’un semis de volubilis, l’aile décorée d’une guirlande de volubilis entre deux galons à fond violet ornés de rang de perles or ; une égrenure.Marquées LL entrelacés, lettre date ii et jj pour 1786 sur dix assiettes, une assiette marquée oo pour 1791. Marques des peintres Lebel, Bouillat et madame ...D. 24,3 cm 8 000/10 000Ces assiettes proviennent d’un service dont la décoration

est décrite Zone violette et Volubilis, dans les registres de la

manufacture de Sèvres. Ce service est livré le 8 novembre

1787 à Hans Konrad Hottinger, banquier parisien, associé

en 1786 à Denis de Rougemont. Le service comprenait 48

assiettes à 18 livres chaque, ainsi que 9 autres assiettes au

même prix sans qu’il soit certain qu’elles aient le même

décor. Quinze assiettes supplémentaires décrites volubilis

sont achetées le 5 avril 1971 par Monsieur de Rougemont.

Dix-huit assiettes de ce service sont passées en vente chez

Christie’s à Londres (7 juillet 2003, lot 26) et dix autres à

New york (25 octobre 2005, lot 141), deux assiettes ont

été vendues chez PIASA (5 décembre 2005, lot 436).

Pour une étude de ce service, voir David Peters, Sèvres

Plates and Services of the 18th Century, 2015, vol. IV n° 87-

12, p. 845-846.

190 - CHANTILLy, XVIIIe siècleSuite de douze assiettes à bord contourné en porcelaine tendre à décor en camaïeu bleu de brindilles fleuries. Marquées : trompe de chasse en bleu. D. 24 cm 2 000/2 500

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192 - Paire de chaises d’époque DirectoireEn acajou et placage d’acajou, dossier en forme de bouclier romain. Elles reposent sur des pieds avant balustre à bagues ; petits accidents.H. 87,5 L. 45 P. 40 cm 800/1 200Un modèle à dossier identique est conservé au Mobilier

national, reproduit dans Guillaume Janneau, Le mobilier

français, les sièges, Editions de l’Amateur 1993, n° 318 p. 168.

Au château de Fontainebleau une suite de 24 chaises pro-

venant de l’ameublement du Gal Moreau, reproduit dans

Mobilier Consulat et Empire, J.P. Samoyaut, 2009 p. 68. Voir

également vente Daguerre, Drouot 9 décembre 2015 n° 259.

193 - Table à volets du début du XIXe siècleEn acajou et placage d’acajou, elle repose sur six pieds balustre à bagues, terminés par des roulettes. Avec trois allonges en placage d’acajou.H. 70 L 113 P. 110 cm Allonges 34 x 113 cm 1 000/1 500

194 - MOUSTIERS, Ferrat, XVIIIe siècleSuite de douze assiettes en faïence à décor en camaïeu vert d’œillets. D. 25 cm 2 000/3 000

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199 - Surtout de table en métal plaqué de forme chantournée, XIXe siècleEn deux parties, il repose sur des pieds cambrés, fond de glace.H. 3,2 L. 78,5 P. 36,5 cm 300/400

200 - Ménagère de couverts en argent, poinçon MinerveModèle filet, chiffrée FR, elle comprend douze grands couverts, onze cuillers à moka, une cuiller à ragoût, une pince à sucre et une cuiller à saupoudrer. On y joint une louche d’un modèle différent. Dans son coffret. Poids 2680 g 800/1 200

201 - Nécessaire d’enfant en argent, orfèvre Veyrat, poinçon Minerve.Il comprend quatre assiettes et deux petites assiettes, deux couverts et un petit couvert, une cuiller à bouillie, un coquetier et une casserole. Gravé d’armoiries surmonté d’un heaume. Coffre en chêne.Poids brut 1840 g 600/ 800

202 - Fauteuil d’enfant d’époque Louis XVIEn bois mouluré, sculpté et relaqué blanc, le dossier en fer à cheval à décor de frises de feuillesd’eau, piastres et frises de laurier. Il repose sur des pieds fuselés, cannelés et rudentés à asperges ; restaurations, piqûres.H. 77 L. 44 P. 37 cm 400/600

195 - Terrine avec présentoir en argent par Boulanger, poinçon MinerveDécor à moulures de filets, prise feuillagée, chiffrée. Poids 2636 g 700/ 800

196 - Légumier en argent et sa doublure par Odiot à ParisPrise du couvercle en forme de chou.Poids 1957 g 600/700

197 - Verseuse tripode en argent, Paris 1793De forme balustre, manche latéral en bois noirci tourné. Poinçon de l’association des orfèvres de 1793, poinçon d’orfèvrePoids 1005 g H. 28,5 cm 600/700

198 - Suite de six couverts en argent d’époque Louis Philippe, poinçon Minerve À décor néogothique, chiffrés dans un cartouche.Poids 1118 g 400/ 500

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203 - SèVRES, époque Napoléon III, 1867Service à thé en porcelaine à décor en or, de rinceaux, rocailles, réserves à treillage et tiges feuillagées. Comprenant une théière couverte, un pot à sucre couvert, un pot à lait, six tasses et six soucoupes. Marqué S 59, 61 et 62 en vert et N couronné doré à Sèvres 67 en rouge. Les porcelaines portent encore l’étiquette de la manufacture avec mention du prix. Dans un large coffret en toile enduite et portant l’inscription en or Donné par L. L. M. M. Impériales et monogramme de l’Empereur sous couronne fer-mée. 2 000/3 000

204 - Importante aiguière balustre et sa vasque en argent, États-Unis, XIXe siècleÀ décor gravé d’un cartouche feuillagé.Poids 4389 g H. 40 cm 1 000/1 200

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209 - Large fauteuil cabriolet attribué à Michel Cresson, d’époque Louis XVEn bois sculpté laqué et doré, à décor de fleurs et feuillages dans des cartouches. Il repose sur des pieds cambrés.Trace d’estampille.H. 83 L. 63 P. 54 cm 700/ 800

205 - Fauteuil bas estampillé I. Pothier, d’époque Louis XVEn bois mouluré à dossier violonné, il repose sur des pieds cambrés.H. 90 L. 64 P. 54 cm 600/ 800Jean Jacques Pothier reçu maître en 1750.

206 - Table cabaret, travail nantais d’époque Louis XVEn acajou et placage d’acajou, à plateau cuvette, ouvrant par un tiroir en ceinture et reposant sur quatre pieds cambrés. H. 71 L. 88 P. 57 cm 1 000/1 200

207 - Fauteuil à dossier cabriolet estampillé I. Gourdin d’époque Louis XVEn bois naturel mouluré et sculpté de fleurettes et feuilles d’acanthe, il repose sur des pieds cambrés.H. 86 L. 64 P. 54 cm 500/ 800Jean-Baptiste Gourdin reçu maître le 26 mars 1746.

208 - Écran d’époque Louis XVEn bois mouluré, sculpté, laqué et doré à décor de fleurs, nœuds et feuillages, il repose sur des pieds terminés par des enroulements.H. 102 L. 60 cm 200/300

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211 - Commode estampillée C Wolff et JME, d’époque Louis XVOuvrant à deux tiroirs sans traverse, façade et côtés galbés. À décor en laque rouge et or de bateaux dans le goût chinois, encadrements de filets dorés, montants pincés, pieds cambrés. Dessus de marbre brèche. P. 69 L. 121 H. 88 cm 5 000/6 000Christophe Wolff reçu maître en 1765.

210 - Paire d’encoignures estampillées J. Dubois d’époque Louis XVEn bois laqué noir, ouvrant à une porte bombée à décor japonais d’un vase fleuri, rehauts d’or sur fond sang de bœuf. Petits pieds cambrés, ornementation de bronzes dorés. Dessus de marbre brèche.P. 49,5 L. 68 H. 81 cm 6 000/7 000Jacques Dubois reçu maître en 1742.

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214 - Paire de flambeaux d’époque Louis XV En bronze doré à décor de coquilles et agrafes.H. 26,5 cm 400/ 500

215 - Paire de flambeaux d’époque Louis XV En bronze argenté, le fût balustre à décor de cannelures torsadées.H. 26 cm 400/600

216 - Paire de flambeaux, vers 1800En bronze ciselé, doré et patiné à décor d’un chat reposant sur une base circulaire. 400/ 500

217 - Paire de chaises et un fauteuil estam-pillés N. Poirie d’époque Louis XVEn bois mouluré et sculpté à dossier plat, décorés de fleurettes, ils reposent sur des pieds cambrés ; accidents. Fauteuil H. 94 L.68 P.51,5 cm Chaise H. 92 L. 55 P. 45 cm 800/1 200Adrien Noël Poirié reçu maître en 1735.

212 - Paire de larges fauteuils estampillés I.B. Meunier, d’époque Louis XVA dossier plat en bois mouluré, sculpté et redoré. Décor de cartouches rayonnants et feuillage, pieds cambrés.H. 97 L. 70 P. 58 4 000/6 000Jean-Baptiste Meunier reçu Maître 1739.

213 - Coupe en faïence sang de bœuf Monture en bronze doré, marqué au C couronné. H. 12 L. 20 P. 11 cm 500/600

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218 - Bergère estampillée IB SENE, d’époque Louis XVI, provenant du chateau de VersaillesEn bois mouluré et sculpté, elle repose sur des pieds cannelés, fuselés et rudentés, étiquette manuscrite Aprovisionement au Magasin De Paris N° 4 et sangles marquées W.H. 97 L. 70 P. 58 cm 1 200/1 500Jean-Baptise Claude Sené (1747-1803) reçu maître en 1769.

Cette bergère fait partie d’un ensemble important livré

au Garde-Meuble par Boulard (voir Condamy, Jean

Baptiste Boulard, Faton 2008 p. 362 et 363) et Sené sur

l’ordre 4 du 22 novembre 1786 (A.N. O1 3641). Un fauteuil

conservé dans une collection privée, est passé en vente

le 15 décembre 2010 (Artcurial Paris, lot 27, adjugé 7 000

euros). Estampillé de IB Sené, il comporte, outre une

mention manuscrite Bibliothèque, une étiquette identique.

219 - Table de salon estampillée A Hericourt et JME, d’époque TransitionLe plateau décoré d’une marqueterie rayonnante. La table ouvre en ceinture à un tiroir latéral et repose sur des pieds cambrés réunis par une entretoise marquetée de quatrefeuilles. Riche ornementation de bronzes ciselés et dorés à décor de rosaces, galeries ajourées et sabots; restaurations au placage. H. 71 L. 41 P. 31 cm 6 000/8 000Antoine Héricourt reçu maître en 1773.

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223 - N. F. J. HOLAIN (né en 1761 à Valenciennes)Portrait de Joseph FournierBuste petite nature en terre cuite. Signé et daté Holain 1785 au dos. Porte l’inscription Joseph Fournier, fait à Paris 1785 par Holain natif de Valenciennes.Accidents et restaurations au nez et dans les plis du manteau, accidents au piédouche rapporté.H. 40 cm 2 000/3 000Bibliographie : Dictionnaire général des artistes de l’École

française depuis l’origine des arts du dessin jusqu’à nos jours :

architectes, peintres, sculpteurs, graveurs et lithographes. T. 1.

Ouvrage commencé par Émile Bellier de La Chavignerie

et continué par Louis Auvray, Librairie Renouard, Paris,

1882-1885, p. 774.

Né à Valenciennes en 1761, l’artiste N. F. J. Holain est

davantage connu pour ses peintures que pour ses

sculptures. Il expose régulièrement au Salon pendant la

période révolutionnaire et le Directoire. Au Salon de 1791,

il présente deux bustes en terre cuite, sans que leur identité

soit mentionnée. Notre buste, daté de 1785, correspond

à une œuvre plus précoce de cet artiste qui a assimilé

l’iconographie et les codes du portrait sculpté de la période

pré-révolutionnaire : il représente ici, un dénommé Charles

Fournier, jeune homme à la mâchoire puissante, offrant à

voir une attitude triomphante et assurée et un port altier.

220 - FONTAINE (actif vers 1770)Jean Baptiste Vaquette de Gribeauval (1715-1789)Médaillon en bronze patiné.D. 16 cm 300/ 500Notre médaillon est datable de 1776, c’est en effet à cette

date que Gribeauval devient inspecteur de l’artillerie,

ce que mentionne la légende. On suppose que Fontaine

était actif à la manufacture de La Charité-sur-Loire et

qu’il etait ancien élève de Jean Baptiste Nini. Voir Jean

Baptiste Nini 1717-1786, Motta 2011, p. 233 et suiv.

221 - Paire de jattes en porcelaine à décor ImariMonture par Samson en bronze ciselé de style Louis XVI de la fin du XIXe siècle. Les prises en forme de lion, elles reposent sur un pied ajouré à quatre consoles. H. 20 L. 24 cm 300/400

222 - Fauteuil cabriolet estampillé A.P. DUPAIN et VF, d’époque Louis XVIEn bois mouluré et sculpté, à dossier médaillon orné de frises de perles, il repose sur des pieds gaine can-nelés et rudentés; petits accidents et restaurations.H. 90 L. 58,5 P. 52 cm 800/1 000Adrien Pierre Dupain reçu Maître en 1772.

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224 - Salon estampillé C. Leclerc d’époque Louis XVIComprenant six fauteuils, six chaises et un canapé en bois laqué mouluré et sculpté à décor de plumets, enroulements, les supports d’accotoirs cannelés rudentés, piètement à cannelures hélicoïdales ; légers manques.Canapé H. 101 L. 192 P. 66 cm - Chaises H. 87 L. 48 P. 46 cm Fauteuils H. 89 L. 60 P. 51 cm 10 000/15 000Claude Leclerc, reçu maître en 1785.

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225 - Attribuée à Félix LECOMTE (1737-1817) Allégorie de l’Égalité Esquisse préparatoire en terre cuite.Vers 1770.Petits accidents et restaurationsH. 26,6 cm 3 000/4 000Bibliographie : Stanislas Lami, Dictionnaire des sculp-

teurs de l’Ecole française au XVIIIe siècle, H. Champion,

Paris 1910-1911, T. II p. 44.

Bibliographie : Virginie Bar et Dominique Brême,

Dictionnaire iconologique, les allégories et les symboles de

César Ripa et Jean Baudoin, édition Faton, Paris 1999, T.

I p. 58 et T. II p. 39.

L’Égalité sous les traits d’une jeune femme, porte un

nid d’hirondelle de sa main droite et une balance

dans la gauche. Une corne d’abondance est renversée

à ses pieds. La balance, symbole de la justice pesant

équitablement les actions de chacun, apparaît comme

une évidence pour représenter cette allégorie. Dans

leur ouvrage l’Iconologie… paru en 1644, Cesare Ripa

et Jean Baudoin renseignent aussi sur la signification du

nid d’hirondelle : “…cet oiseau charitable, qui fait égale

portion de ses petits, et qui n’ôte jamais rien à l’un, pour

le donner à l’autre.”

Encore imprégnée d’un XVIIIe siècle finissant, cette

statuette au traitement déjà néo-classique s’apparente

au style de l’artiste Felix Lecomte. Élève de Falconet et

de Louis-Claude Vassé, il remporte le premier prix de

sculpture en 1758 et entre la même année, à l’École royale

des élèves protégés. Il reçoit son brevet de pensionnaire

de l’Académie de France à Rome en 1761. De retour

à Paris il est agréé à l’Académie royale de peinture et

de sculpture, il est élu académicien en 1771. Il expose

régulièrement aux Salons du Louvre de 1769 à 1793.

Une esquisse représentant une figure de l’Égalité est

présentée par l’artiste au Salon de 1773.

226 - École FRANçAISE de la fin du XVIIIe siècleProfil du marquis de LafayetteMédaillon en bronze dans un cadre retenu par un nœud.D. 6,7 cm 100/150On y joint une silhouette, caricature du marquis de Lafayette, fin du XVIIIe-début du XIXe siècle. H. 12,5 L. 10 cm

227 - Console demi-lune d’époque Louis XVI En bois finement sculpté et laqué. Elle repose sur quatre pieds fuselés, cannelés et rudentés à asperges réunis par une entretoise ornée de piastres et rosaces. Ceinture ornée d’une frise de postes rythmée de rosaces. Dessus de marbre gris de Sainte-Anne; restaura-tions et petits manques.H. 79,5 L. 98,5 P. 48 cm 1 000/1 200

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230 - Console de forme rectangulaire d’époque Louis XVI En bois sculpté et doré à quatre pieds fuselés, cannelés réunis par une entretoise ornée d’un vase fleuri, ceinture cannelée rythmée de guirlandes tenues par un nœud de ruban. Dessus de marbre Turquin. Travail méridional.H. 87 L. 123 P. 63 cm 3 000/4 000

228 - Paire de fauteuils d’époque Louis XVIL’un estampillé G. Iacob. En bois mouluré, sculpté et laqué, à dossier incurvé, assise ronde à décor de rubans, feuilles d’acanthe et feuillages, ceinture “éligie”, reposant sur des pieds fuselés, cannelés et rudentés.H. 88 L. 62 P. 53 cm 1 500/2 000Georges Jacob reçu maître en 1765.

Pour un fauteuil estampillé G. Iacob en bois doré et de

structure identique et livré par Jacob pour le Comte

d’Artois à Bagatelle voir Ulrich Leben, “An armchair

and a folding screen for le Comte d’Artois à Bagatelle”,

in Furniture History, vol. 43, 2007, p. 127-141.

229 - Deux appliques d’époque Transition En bronze ciselé et doré à trois bras de lumière. Le fût fuselé et cannelé surmonté d’un vase fleuri. H. 57 et H. 55 L. 47 cm 3 500/4 000

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232 - Friedrich Elias MEyER (1723- 1785)Scène galanteVers 1750-60.Groupe en terre cuite.H. 25 L. 17 P. 10 cm 3 000/5 000Bras droit cassé et recollé. Petit manque dans la coiffure de la femmeŒuvre en rapport : Friedrich Elias Meyer (1723-1785),

Scène amoureuse, terre cuite en argile à engobe brun, restes

de polychromie, H. 46 L. 40,3 P. 22,5 cm, Nüremberg,

Germanisches Nationalmuseum, n° inv. Pl.O.3350.

Ce charmant groupe en terre cuite, figurant un couple

introduisant une colombe dans une cage, allie admira-

blement deux thèmes en vogue dans l’Europe rococo.

La scène galante et pastorale, dans laquelle la cage et

la colombe revêtent une symbolique érotique, est ainsi

transposée dans un univers exotique. L’ensemble évoque

une Chine fantaisiste par l’intermédiaire des costumes

et du décor, tout en préservant des codes de représen-

tation et d’agencement occidentaux. Cette œuvre est

un travail préparatoire pour un modèle de statuette en

porcelaine réalisé pour la manufacture de Meissen en

Allemagne. L’auteur, Friedrich Elias Meyer, modeleur

pour la manufacture à partir de 1748, est connu pour

s’être inspiré des dessins de François Boucher, l’un des

principaux contributeurs à la diffusion de “chinoiseries”

dans les arts décoratifs du XVIIIe siècle. La manufacture

de Meissen, précurseur dans l’imitation de la technique

de la porcelaine chinoise à partir de 1715, y associe dès

les années 1740 une iconographie évoquant cet exotisme

oriental.

231 - Bergère en bois naturel mouluré et sculpté estampillée E. Meunier d’époque TransitionLe dossier surmonté d’un nœud, elle repose sur des pieds cannelés, fuselés et rudentés.H. 96 L. 62 P. 58 cm 1 000/1 200Etienne Meunier, menuisier installé rue de Cléry, actif

jusqu’en 1770-75.231

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235 - Table à la Bourgogne attribuée à J.-F. Oeben, d’époque TransitionEn marqueterie à fond de sycomore, à riche décor de grecques encadrant des panneaux de marqueterie de vases fleuris. Elle ouvre à un plateau coulissant, découvrant un gradin escamotable à six tiroirs; trois tiroirs sur un côté, deux tiroirs sur l’autre ; pieds cambrés.H. 72 L. 65 P. 43 cm 20 000/30 000

Jean-François Oeben (1721-1763), reçu maître en 1761.

Provenance : acquise chez Lion & Fils, 44 et 46, rue

Laffite, le 18 mars 1918 (42 000 francs or).

233 - Paire de chenets en bronze ciselé et doré, époque Louis XVIÀ décor de vases sur piédouche reposant sur des montants cannelés. H. 34 L. 33,8 P. 51 cm 800/1 000

234 - Glace en bois sculpté et doré d’époque Louis XVIÀ décor d’un vase fleuri, montants à chutes de feuilles de laurier, pieds en console ornés d’une corne d’abondance.H. 136 L. 89 cm 800/1 200

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236 - Paire de flambeaux en bronze doré d’époque Directoire.Fût à pans coupés, décor de rais de cœur.Petites bosses.H. 24 cm 300/ 500

237 - Pendule en bronze doré et ciselé, vers 1820Allégorie du Jardin.H. 37 L. 28 P. 12 cm 400/ 500

238 - Pendule en bronze doré d’époque Restau-rationCadran signé Anne Noseda neveu à Marseille.À décor d’une allégorie de la Musique, reposant sur des pieds boule.H. 32 L. 22 P. 8 cm 400/600

239 - Pendule par Thomas STRONG, Londres, seconde partie du XVIIIe siècleEn chêne plaqué d’ébène. Elle est ornée de bronzes ciselés et dorés à décor de fleurs et de feuilles flanquant un trophée d’instruments de musique, de grilles et de boutons de fleurs sur les cotés.Le centre en émail blanc avec les heures en chiffre romain et les minutes en chiffre arabe. écoinçon en cuivre doré et arche avec signature gravée, décor de feuilles et de fleurs. Trois engrenages plaqués avec de fines gravures symétriques d’où découlent des branches feuillagées.Comportant douze mélodies, la musique est produite par un carillon de 14 cloches montées horizontalement. Parmi les douze mélodies jouées par la pendule, on compte Rule Britania, God save the King, Lord Cathcart et la Symphonie n° 100 de Haydn.H. 170 L. 56 cm 15 000/2 0000

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240 - Paire de profils de forme ovale en bronze ciselé et doré sur fond patiné représentant Henri IV et Sully.Travail du début du XIXe siècle.26 x 22 cm 3 000/3 500Pour un modèle proche mais sur fond de marbre blanc,

voir lot 82 de la vente Damien Libert du 30 septembre 2005.

241 - École ITALIENNE du XVIIIe siècleLe martyre de sainte PolonieFixé sous verre monogrammé.H. 24,5 L. 19 cm 300/400

242 - AUBUSSON, début du XVIîIe siècle Danse villageoiseTapisserie en laine et soie représentant des paysans dans une perspective animée ; restaurations, manquent les bordures. 235 x 225 cm 1 500/1 800

243 - Pendule en bronze ciselé, doré et patiné, vers 1830.Au décor allégorique de la République.Manque une aiguille.H. 62 L. 37 P. 15 cm 2 000/3 000

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244 - BRUXELLES ou ANVERS, fin du XVIIe s. Histoire d’Ulysse et Circé Tapisserie en laine et soie représentant Circé et les compagnons d’Ulysse changés en pourceaux. Cet épisode est extrait de L’Odyssée, chant X ; manques et restaurations.265 x 215 cm 4 000/6 000

245 - Elément en fonte de fer représentant un bouclier et un glaive, début du XIXe siècleOrné en son centre d’une chouette.H. 72 L.44 cm 200/300Il s’agit probablement d’un élément de balcon.

246 - Coffret à âme en bois recouvert de cuir doré au petit fer, XVIIe siècleCouvercle légèrement bombé, poignée sommi-tale, crochets et platine de serrure en laiton avec restes de dorure ; petits accidents et taches.H. 24,3 L. 43,5 P. 29,3 cm 400/600

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247 - Paire de candélabres d’époque Empire.En bronze ciselé, doré, patiné et en verre taillé, le fût à décor de jeunes Nubiens, vêtus d’un pagne, reposant sur un socle en marbre blanc, tenant une torche d’où s’échappent des pampilles ; égrenures et fêles.H. 41,5 cm 4 000/6 000

248 - Ensemble de trois fauteuils et une bergère d’époque ConsulatEn acajou et placage d’acajou, les montants avant à décor d’Égyptiennes terminés par des pieds griffes. Le dossier à enroulement, les pieds arrière sabre.Fauteuils H. 90 L. 58 P. 50 cmBergère H. 92 L. 62,5 P. 53 cm 2 000/3 000

249 - Console d’époque Consulat En acajou et placage d’acajou, les montants en forme de patte de lion laqué et doré. Elle repose sur une base pleine, fond de glace. Ornements de bronze ciselé et doré à décor de tête de Méduse, masques et plamettes. Dessus de marbre gris Turquin; petits accidents et manques. H.92 L. 90 P.4 1 cm 800/1 200

250 - Écran de cheminée en acajou et placage d’acajou, époque EmpireIl repose sur des pieds griffes. H. 90 L. 56,7 P. 43 cm 200/300

251 - École ITALIENNE du XVIIIe siècleLe martyre de sainte PolonieFixé sous verre monogrammé.H. 24,5 L. 19 cm 300/400

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252 - Paire de grands candélabres à sept lumières, d’époque Louis PhilippeEn bronze doré, le fût cannelé orné de feuilles d’acanthe reposant sur une base rectangulaire.H. 72 cm 600/800

253 - Canapé à confidents de style Louis XV, milieu du XIXe siècleEn bois mouluré, doré, richement sculpté de fleurs, cartouches feuillagés et rinceaux. Accotoirs à enroulement ; il repose sur huit pieds à enrou-lement.H. 99 L. 315 P. 80 cm 1 000/2 000

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254 - Éventail, XVIIIe siècle Orné à la gouache d’une scène figurant Apollon et les Muses. Monture en ivoire et nacre. 500/800

255 - Cadre en bois sculpté et doré à décor Bérain, début du XVIIIe sièclePetits manques.29 x 21 cm 300/500

256 - Deux balustres en marbre (Sicile ?) ornées de cabochons de marbre noir ; transformées en bout de canapé.H. 61 L. 38 cm 600/800

257 - Paravent en bois naturel mouluré et sculpté à trois feuilles, XVIIIe siècle Garniture en soie de Chine peinte de ramages et papillons ; accidents. 1 000/1 200

258 - Fauteuil en bois mouluré et sculpté d’époque Louis XVAssise et dossier plat à châssis, il repose sur des pieds cambrés.H. 98 L. 68 P. 57 cm 600/800

259 - Un plateau en argent, Paris 1729 et une paire de mouchettes en argent, probablement Dinan milieu du XVIIIe siècle

Le plateau et la paire de mouchettes sont ornés d’armoiries double, surmontées d’une couronne de marquis. Le plateau, probablement par Antoine Bertin, est à décor d’une frise godronnée ; prise à la Saint-Jacques et quatre pieds griffes.H. 5 L. 21 P. 11 cm et L. 18.5 cmPoids 476 g 2 000/2 500Antoine Bertin reçu Maître le 22 mai 1700.

260 - Trois boîtes en argent de forme ovale à décor géométrique ou fleuri. L’une Paris, 1779, une autre sans poinçon, la dernière Augsbourg. On y joint un bénitier d’applique en argent, travail provincial du XVIIIe siècle ; accidents. Poids 409 g 400/600

261 - Chaise voyeuse en bois mouluré et laqué faux bois, estampillée LC Carpentier, époque Louis XVElle repose sur des pieds cambrés terminés par un enroulement. H. 90 L. 50 P. 43 cm 600/800Louis Charles Carpentier reçu maître en 1752.

Provenance : Boni de Castellane, le Palais Rose.

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262 - Commode estampillée Delaitre d’époque Louis XV En marqueterie de bois de rose, elle ouvre à quatre tiroirs sur trois rangs. Dessus de marbre rouge des Flandres.H. 84 L. 108 P. 58 cm 2 000/3 000Louis Delaitre, reçu maître en 1738.

263 - Deux fauteuils à dossier médaillon d’époque Louis XVIL’un estampillé Julienne porte la marque WFR, certainement la faisanderie royale de Versailles, l’autre porte une trace d’estampille, d’époque Louis XVI. En bois mouluré et laqué, ils reposent sur des pieds fuselés et cannelés. H. 86 L. 59 P. 48 cm pour l’un et H. 88 L. 58 P. 48 cm pour l’autre 800/1 200Denis Julienne reçu maître en 1775.

264 - Paire de flambeaux en argent plaqué à côtes torses du XVIIIe siècleModèle dit du Roi ; manquent les bobèches.H. 26,5 cm 500/600Pour un modèle comparable, voir vente Daguerre du

20 juin 2014, lot 159, adjugé 1950 euros.

265 - Paire de bougeoirs en métal plaqué, époque Louis XVILe fût et la base cannelés, frises de perles et feuillage.H. 27 cm 400/ 500

266 - Paire de flambeaux en bronze argenté d’époque Louis XVIÀ décor de godrons et frises de perles, base à doucine.H. 25 cm 300/ 500

267 - SèVRES, époque RestaurationMédaillon en biscuit à décor en bas relief d’un portrait du roi Louis XVIII en buste de profil sur fond bleu. Signé sur l’épaule Brachard F.D. 8 cm 100/120

268 - Grand lustre en bronze doré à six bras de lumières à pendeloques de cristal, fin XIXe siècle Accidents et manques. H. 114 cm 600/800

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275 - Paire de consoles d’applique en bois laqué gris, dessus de marbre incarnat TurquinProbablement d’après un dessin de Paul Rodocanachi. 600/800Provenance : collection Arturo Lopez Willshaw, Hôtel

Rodocanachi, 12 rue du Centre, Neuilly.

276 - L. DESBORDS actif dans la seconde moitié du XIXe siècleLa Chasteté de JosephGroupe en terre cuite ; petits manques.H. 13 L. 16 cm 500/700

277 - Bergère à dossier plat par Dupain d’époque Louis XVI En bois mouluré et sculpté, elle repose sur des pieds gaine, cannelés et rudentés. H. 91 L. 60 P. 51 cm 1 000/1 200Pour une suite de quatre fauteuils estampillés Dupain de

la même série, voir vente Daguerre 4 mars 2015, lot 300.

Adrien Pierre Dupain reçu maître en 1772.

278 - Petit miroir en bois dit de Sainte-Lucie, début du XVIIIe siècle.À décor de rinceaux, feuillages et enroulements. H. 59 L. 40 cm 800/1 200

269 - Fauteuil à dossier cabriolet, estampillé L. Delanois, d’époque Louis XVEn bois mouluré et sculpté à décor de cartouches et feuillages, accotoirs en coup de fouet, il repose sur des pieds cambrés.H. 88 L. 65 P. 50 cm 500/600Louis Delanois reçu maître le 27 juillet 1761.

270 - Glace rectangulaire d’époque Louis XVI En bois doré à décor de frises de perles et rais de cœur.67 x 71 cm 120/150

271 - Fauteuil à dossier cabriolet estampillé I. Avisse d’époque Louis XVEn bois naturel mouluré et sculpté de fleurettes et feuilles d’acanthes. Il repose sur des pieds cambrés; manque à l’un des pieds arrières.H. 87 L. 64 P. 54 cm 200/400Jean Avisse reçu maître le 10 novembre 1745.

272 - Élément de trumeau d’époque Empire En bois et stuc peint et doré à décor d’un couple entouré de quatre rosaces.H. 60 L. 75 cm 150/200

273 - Table de toilette estampillée L. Moreau d’époque Louis XVIEn acajou et placage d’acajou à plateau découvrant une tablette en marbre et foncé d’un miroir, elle repose sur des pieds fuselés à bagues terminés par des roulettes ; accidents.H. 73 L. 80,5 P. 52, 5 cm 800/1 000Louis Moreau reçu maître en 1764.

274 - Tabouret d’époque Louis XVIEn bois mouluré et laqué. Porte une marque T. B.H. 19 L. 37.5 P. 31 cm 500/600

La marque TB pourrait correspondre

à une marque utilisée au Trianon-

sous-bois à l’époque Louis XVI.

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279 - Cartel, Autriche, vers 1810En bois sculpté et doré, il est orné d’un vase fleuri, rosaces, volutes et feuilles d’acanthe. Le cadranémaillé avec indication des heures et des minutes, le mouvement signé Anton KHrtIFtell in Insbruck est flanqué de griffons stylisés, perles et de feuilles d’acanthe. À l’amortissement, une pomme de pin.(restaurations).H. 84 L. 44 cm 1 000/2 000Provenance : vente Pierre Bergé, Drouot, 13 juin 2014,

n° 238.

280 - Petite méridienne d’époque Restauration En en acajou et placage d’acajou, montant à décor de volutes et enroulements ; renforts. H. 86 L. 136 P. 69 cm 200/300

281 - Paire de fauteuils estampillés Jeanselme, d’époque Restauration. En acajou et placage d’acajou, accotoirs ornés d’une corne d’abondance, les pieds arrières sabre. H. 93 L. 59 P. 49 cm 300/400Joseph-Pierre-François Jeanselme ( ?-1860)

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288 - Paravent à six feuilles, premier quart du XIXe siècleÀ décor d’une scène napolitaine ; accidents et manques.Pour une feuille : 168 x 48 cm 600/800

289 - Dalmatique, début du XVIIIe siècleTaillée dans deux brocarts soie et fil métal de type persienne ; l’un au bouquet entre des volants de dentelle figurée, le second aux fleurs imaginaires et grenades. Galon système, accident. 100/150

290 - Châle cachemire double pointe, milieu du XIXe siècleChamp uni noir dans un encadrement de frises florales brodées et bandes espolinées. Pointe ornée d’une palme fleurie; quelques accidents. Conservé dans sa boite 163 x 162 cm 100/150

291 - Châle cachemire long, Inde, milieu du XIXe siècleRosace centrale polylobée noire cernée par les extrémités de bulbes fleuris ; galerie de palmettes et fleurons, bordures transversales aux pinacles fleuris encadrés de palmes recourbées sur fond mille-fleurs. Tissage cachemire espoliné en 10 couleurs environ, lisières brodées frangées. Conservé dans sa boite Cachemire des Indes. 315 x 142 cm 800/1 000

292 - Parure de lit, Inde, vers 1930Toile de coton crème brodée ton sur ton au point de chaînette. Large revers à décor de boteh fleuris sur le centre et écoinçons ornés. Taies assorties. L. 230 cm. 80/130

293 - Deux chapiteaux corinthiens en bois sculpté, doré et patiné.Manques.H. 29 L. 35 cm et H. 28 L. 32 cm 100/150

282 - Écran à main, début du XIXe siècleFeuille en carton découpée en pelta ; les deux faces ornées de médaillons en lithographie rehaussée, surmontées d’un vase antique encadré de cygnes. Manche en bois tourné; usures.H. 36,5 cm 50/80

283 - Bordure de papier peint, époque EmpireImpression à la planche en grisaille et camaïeu à l’imitation du bronze ; demi-figure ailée au corps terminé par un culot d’acanthe tenant une corne d’abondance et un caducée. Marouflé sur toile et tendu sur châssis; mouillure29 x 52 cm 50/80

284 - Document d’un papier peint, XIXe siècleDécor néo-classique avec rosace en aile de chauve- souris et médaillon représentant Diane. Panneau de bois.29 x 52 cm 40/60

285 - Panneau d’un bas-lambris de papier peint, époque EmpireImpression à la planche en grisaille et camaïeu à l’imitation du bronze représentant Poséidon retenant Cerbère enchaîné; usures. Cadre à palmettes en bois et stuc doré. 53 x 39 cm 200/300

286 - École FRANçAISE vers 1900Trois projets de décors muraux, l’un titré Château de Blois, Chapelle.Huile sur panneau.35 x 26,5 cm 200/300

287 - Élément de frise en plâtre patiné à décor d’un bucrâne flanqué de cannelures, style antique, vers 1900.41 x 41,5 cm 100/150

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304 - Violon de François PILLEMENT fait à Mirecourt vers 1830-1840Quelques restauration et traces de vers sur le fond. Avec son archet.L. 363 mm 300/400

305 - Violon allemand, fin XVIIIe siècleFait à Mittenwald, de l’école de Kloz, étiquette apocryphe de Carlo Fratelli.Tête française du début du XIXe siècle ; quelques restaurations et trous de vers.L. 348 mm 1 000/1 500

306 - Violon de Charles Jean Baptiste COLLIN-MEZIN fils fait à Mirecourt en 1922 portant étiquette et signature de Collin-Mezin.Assez bon étatL. 359 mm 1 000/1 500

307 - Archet de violon par l’école de BazinMontage : maillechort.Bon état, non signé.Poids 54,9 g 150/180

308 - Archet de violon par l’atelier de Charles Nicolas BazinMontage : maillechort.Bon état, non signé.Poids 58,7 g 300/350

309 - Archet de violon par Prosper COLASMontage : maillechort.Signé. Bon état mais bloqué.Poids 60,4 g 100/120

310 - Archet de violon par François LOTTEMontage : maillechort.Bon état, non signé.Poids 48,4 g 150/180

311 - Archet de violon par MORIZET Père avec hausse et bouton de Charles Nicolas BazinMontage : maillechort.Enture sous garniture, non signé.Poids 50,5 g 300/350On y joint un archet de violon par Jéröme Thibouville-Lamy. Poids 48,6 g

294 - Violon Mirecourt XXe siècle étiquette apocryphe AmatusAssez bon état.L. 360 mm 100/150

295 - Violon XIXe siècle fait à Mirecourt en modèle BretonManque au fer Breton à l’intérieur sur le fond Quelques restaurations et piqures de vers sur la table.L. 358 mm 500/600

296 - Violon Mirecourt XXe siècle étiquette LorenziAssez bon état. Sans sa touche.L. 359 mm 400/500

297 - Violon allemand XXe siècleEtiquette apocryphe de Stradivarius.Assez bon état. L. 360 mm 200/300

298 - Violon français province XIXe siècleCassure d’âme sur la table.L. 360 mm 800/1 000

299 - Violon Georges APPARUT fait à Mirecourt en 1944 numéroté 406 portant étiquette de Georges Apparut et étiquette apocryphe de Guadagnini. Quelques restaurations sur la table.L. 356 mm 800/1 000

300 - Violon 3/4 Mirecourt XXe siècle étiquette apocryphe de Stradivarius Assez bon état. 80/100

301 - Violon Mirecourt XXe siècle étiquette apocryphe StradivariusEn partie déverni. Assez bon état.L. 358 mm 50/60

302 - Violon allemand XXe siècleEtiquette apocryphe Rugger. Manche décollé.L. 362 mm 30/50

303 - Violon Mirecourt XXe siècle fait dans les ateliers J.T.L. Assez bon état, sans sa touche.L. 357 mm 150/200

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Jeudi 5 avril 2018Hôtel Drouot salle 9

Un château normand décoré par

Émile Gallé (1846-1904)

émile Gallé (1846-1904). Lampe Perce-Neige. H. 71,5 cm

Souvenirs d’une grande famille européenne

Jeudi 17 mai 2018Hôtel Drouot salle 9

à 18 h

Jeudi 17 mai 2018Hôtel Drouot salle 9

à 14 h

20 chefs-d’œuvre des arts décoratifs des XVIIe, XVIIIe, XIXe et XXe siècles

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La vente se fera au comptant. Les acquéreurs paieront en sus de l’adjudication 26 % TTC.En cas de paiement par chèque par l’adjudicataire, le transfert de propriété n’aura lieu qu’après encaissementdu chèque. Tous les frais bancaires sont à la charge de l’acheteur. Des frais de magasinage et de manutention seront facturés en cas de retard de paiement.L’adjudicataire le plus offrant et dernier enchérisseur, aura l’obligation de payer comptant et de remettre ses nom et adresse.La société de vente étant par son statut un mandataire agissant pour le compte du vendeur, c’est le vendeur del’objet taxé à la T.V.A. qui est seul responsable de la déclaration du paiement de la T.V.A. auprès des Autoritésfiscales compétentes.Dès l’adjudication prononcée, les objets sont sous l’entière responsabilité de l’adjudicataire.L’ordre du catalogue est suivi ; toutefois, la société de vente et l’expert se réservent le droit de réunir ou de diviser les lots.Les renseignements concernant les lots sont donnés à titre indicatif.Des rapports de condition des lots sont disponibles sur demande.Aucune réclamation ne sera admise une fois l’adjudication prononcée.La société de vente et l’expert se chargent d’exécuter gracieusement les ordres d’achat qui leur seront confiés.L’opérateur de vente volontaire est adhérent au Registre central de prévention des impayés des Commissairespriseurs auprès duquel les incidents de paiement sont susceptibles d’inscription. Les droits d’accès, de recti-fication et d’opposition pour motif légitime sont à exercer par le débiteur concerné auprès du Symev 15 rue Freycinet 75016 Paris.