1701 0730 BULLETIN JANVIER 2017 - conseil72.ordre.medecin.fr · méconnue ! À quoi ça sert, en...

8
Conseil de l’Ordre - JANVIER 2017 - p1 Lettre interne du “Conseil Départemental de l’Ordre des Médecins de la Sarthe” Depuis un an, quoi qu’en dise notre ministre de tutelle, nos conditions d’exercice ne se sont pas améliorées. La démographie sur le département de la Sarthe s’est aggravée tant en médecine de premier recours que de second recours. 2017 va être dans notre vie citoyenne une année charnière. Le Conseil de l’Ordre représente l’ensemble des médecins ; Il n’a pas à prendre parti, néanmoins nous sommes les garants d’un bon exercice de la médecine dans de bonnes conditions et cela dans l’intérêt de nos patients. Le Président BOUET nous a demandé de nous mobiliser pour imposer la santé dans le débat de 2017. J’y souscris volontiers. L’Ordre des Médecins s’est fortement mobilisé dans le débat sur l’avenir de notre système de santé. La grande consultation menée en 2015 a donné la parole aux médecins. Des propositions ont été formulées dans un livre blanc « l’avenir de la santé ». Cette dynamique doit se mainte- nir, c’est la vôtre, des propositions ont été faites, faites-nous remonter vos attentes. La parité à travers la loi du 4 Août 2014 s’appli- quera dans les élections professionnelles. Lors des prochaines élections ordinales en 2018, une répartition à 50 % entre les hommes et les femmes sera requise. Les candidatures aux élec- tions départementales se feront en binôme : un homme - une femme. Je vous invite à réfléchir tout de suite à consti- tuer des binômes. L’activité du conseil est trop méconnue ! À quoi ça sert, en dehors de payer une cotisation ? Elle n’est plus l’institution poussiéreuse qu’elle a été ! Représentant l’ensemble des médecins, ces activités sont variées. Nous nous efforçons de répondre à vos attentes, vos interrogations. Sans doute bien des choses restent à faire, par exemple rendre notre site Internet plus attractif, plus créateur de liens; plus réactifs. Le 2 Mars 2017 nous organisons une rencontre avec le Procureur de la République sur le thème du secret médical et des signalements au pro- cureur. Le décret numéro 2016-994 publié le 20 Juillet 2016 a confirmé les conditions du par- tage d’informations à caractère médical entre les professions du champ social et médico-social et les professionnels de santé. Venez nombreux. Le Conseil s’associe à moi pour souhaiter à vous et vos familles nos meilleurs vœux. Docteur Frédéric JOLY Président Bulletin N°38 JANV. 2017 Conseil Départemental de la Sarthe de l’Ordre des Médecins 74, avenue du G al de Gaulle LE MANS Tél. : 02 43 23 25 80 Fax : 02 43 28 48 87 [email protected] www.conseil72.ordre.medecin.fr Directeur de la Rédaction : Dr F. Joly Comité de Rédaction : Dr J. COLLET Dr A. SOURISSEAU Dr J.-M. VERRET de la Sarthe Conseil départemental de l’Ordre des Médecins SOMMAIRE Page................................................................... 1 Édito Page................................................................... 2 - Facteurs incitatifs à une installation de jeunes médecins en Sarthe - Le médecin collaborateur Page................................................................... 3 - Devenir Conseiller Ordinal : Pourquoi pas ? Page................................................................... 4 - Le dépistage organisé dans le département de la Sarthe - Les certificats d’arrêt de travail Page................................................................... 5 - Être soigné à domicile, c’est possible ! - Méfiez-vous des propos inadaptés dans des lieux publics - Chiffres - Pensez à vos proches et a vous, la santé n’est pas pérenne - nouvelle appellation des conseils de l’ordre : Page................................................................... 6 - Question-réponse - Déclarer les incivilités - Handicap, consultations et soins bucco dentaires - Annonces - In memoriam Pages ............................................................ 7-8 - Relevé d’activité 2016 - Culture - Mouvements Jeudi 2 Mars à 20h30 au CCI CONFÉRENCE DÉBAT avec Monsieur le Procureur de la Republique, Monsieur Fabrice Belargent (secret médical) et le Docteur Jacques-Lucas vice-président du CNOM. (avenir de la médecine) ÉDITO

Transcript of 1701 0730 BULLETIN JANVIER 2017 - conseil72.ordre.medecin.fr · méconnue ! À quoi ça sert, en...

Page 1: 1701 0730 BULLETIN JANVIER 2017 - conseil72.ordre.medecin.fr · méconnue ! À quoi ça sert, en dehors de payer une cotisation ? Elle n’est plus l’institution poussiéreuse qu’elle

Conseil de l’Ordre - JANVIER 2017 - p1

Lettre interne du “Conseil Départemental de l’Ordre des Médecins de la Sarthe”

Depuis un an, quoi qu’en dise notre ministre de tutelle, nos conditions d’exercice ne se sont pas améliorées.La démographie sur le département de la Sarthe s’est aggravée tant en

médecine de premier recours que de second recours. 2017 va être dans notre vie citoyenne une année charnière.Le Conseil de l’Ordre représente l’ensemble des médecins ; Il n’a pas à prendre parti, néanmoins nous sommes les garants d’un bon exercice de la médecine dans de bonnes conditions et cela dans l’intérêt de nos patients.Le Président BOUET nous a demandé de nous mobiliser pour imposer la santé dans le débat de 2017. J’y souscris volontiers.L’Ordre des Médecins s’est fortement mobilisé dans le débat sur l’avenir de notre système de santé. La grande consultation menée en 2015 a donné la parole aux médecins. Des propositions ont été formulées dans un livre blanc « l’avenir de la santé ». Cette dynamique doit se mainte-nir, c’est la vôtre, des propositions ont été faites, faites-nous remonter vos attentes.La parité à travers la loi du 4 Août 2014 s’appli-quera dans les élections professionnelles.

Lors des prochaines élections ordinales en 2018, une répartition à 50 % entre les hommes et les femmes sera requise. Les candidatures aux élec-tions départementales se feront en binôme : un homme - une femme.Je vous invite à réfl échir tout de suite à consti-tuer des binômes. L’activité du conseil est trop méconnue ! À quoi ça sert, en dehors de payer une cotisation ?Elle n’est plus l’institution poussiéreuse qu’elle a été ! Représentant l’ensemble des médecins, ces activités sont variées. Nous nous efforçons de répondre à vos attentes, vos interrogations. Sans doute bien des choses restent à faire, par exemple rendre notre site Internet plus attractif, plus créateur de liens; plus réactifs.Le 2 Mars 2017 nous organisons une rencontre avec le Procureur de la République sur le thème du secret médical et des signalements au pro-cureur. Le décret numéro 2016-994 publié le 20 Juillet 2016 a confi rmé les conditions du par-tage d’informations à caractère médical entre les professions du champ social et médico-social et les professionnels de santé.Venez nombreux.Le Conseil s’associe à moi pour souhaiter à vous et vos familles nos meilleurs vœux.

Docteur Frédéric JOLYPrésident

Bulletin N°38JANV. 2017

Conseil Départemental de la Sarthe de l’Ordre

des Médecins

74, avenue du Gal de GaulleLE MANS

Tél. : 02 43 23 25 80Fax : 02 43 28 48 87

[email protected]

Directeur de la Rédaction :Dr F. Joly Comité de Rédaction :Dr J. COLLET Dr A. SOURISSEAUDr J.-M. VERRET

de la

SartheConseildépartemental de l’Ordre des Médecins

SOMMAIREPage ...................................................................1Édito

Page ...................................................................2- Facteurs incitatifs à une installation de jeunes

médecins en Sarthe- Le médecin collaborateur

Page ...................................................................3- Devenir Conseiller Ordinal : Pourquoi pas ?

Page ...................................................................4- Le dépistage organisé dans le département de

la Sarthe- Les certifi cats d’arrêt de travail

Page ...................................................................5- Être soigné à domicile, c’est possible !- Méfi ez-vous des propos inadaptés dans des lieux

publics- Chiffres- Pensez à vos proches et a vous,

la santé n’est pas pérenne- nouvelle appellation des conseils de l’ordre :

Page ...................................................................6- Question-réponse- Déclarer les incivilités- Handicap, consultations et soins bucco dentaires- Annonces- In memoriam

Pages ............................................................ 7-8- Relevé d’activité 2016- Culture- Mouvements

Jeudi 2 Mars à 20h30 au CCI CONFÉRENCE DÉBAT

avec Monsieur le Procureur de la Republique, Monsieur Fabrice Belargent (secret médical)et le Docteur Jacques-Lucas vice-président du CNOM. (avenir de la médecine)

ÉDITO

Page 2: 1701 0730 BULLETIN JANVIER 2017 - conseil72.ordre.medecin.fr · méconnue ! À quoi ça sert, en dehors de payer une cotisation ? Elle n’est plus l’institution poussiéreuse qu’elle

Conseil de l’Ordre - JANVIER 2017 - p2

DOSSIER Facteurs incitatifs à une installation de jeunes médecins en Sarthe :

Nous avons interrogé des internes de médecine générale en dernier semestre pour savoir ce qui les inciterait à s’installer dans la Sarthe .Marine Rafik a bien voulu synthétiser les réflexions de ses collègues.

L’exercice en maison de santé multidiscipli-naire où travaillent médecins (y compris de spé-cialité différente), infirmiers, sage-femme, mas-seurs kinésithérapeutes, podologue, diététicien, psychologue. Cette proximité facilite la prise en charge de patients en commun et la communica-tion interprofessionnelle.L’organisation de réunions formalisées, est un élé-ment attractif de ces structures avec la possibilité d’optimaliser la prise en charge de situations ou cas difficiles comme le maintien à domicile ou le suivi de pathologies chroniques. Une compensa-tion financière permettrait de formaliser la réunion et d’inciter chaque professionnel à s’y investir. Avoir la possibilité de partager, de mettre en commun des connaissances, de demander des conseils aux confrères et consœurs est essentiel.

Le salariat est recherché par les jeunes médecins que les lourdeurs administratives effraient. Ils pré-

fèrent consacrer leur temps à l’activité médicale qu’à la paperasse tout en sachant qu’ils peuvent prétendre à une rémunération moindre.Pouvoir favoriser une qualité de vie en préven-tion du risque du burn out :La plupart des jeunes médecins s’attendent à tra-vailler beaucoup afin de répondre à la demande des patients et à leur mission de service public mais pas au détriment de leur vie de famille ou vie personnelle (les filles comme les garçons) Ils préfèrent assurer de longues journées, mais trois à quatre jours par semaine, que les jours ne se finissent pas après 19 heures et préfèrent gagner moins d’argent au profit d’une meilleure qualité de vie.

Autres facteurs incitatifs d’une installation :- La présence d’une permanence des soins ambu-latoires qui permet de fermer plus facilement plus tôt le cabinet le soir, et le week-end.- Des facilités d’installation. - Des avantages fiscaux avec non-imposition de certains revenus.- La présence de commerce, d’école « nous n’avons pas forcément envie de s’installer à un

endroit où après avoir fait une longue journée de travail il faut 20 minutes de voiture pour acheter sa baguette de pain (si la boulangerie est encore ouverte). Ou ne jamais pouvoir déposer son enfant à l’école.

Trois propositions ont été émises :1) des postes salariés en ambulatoire, dans les cabinets de médecine générale (dans les zones de désertification médicale) qui seraient proposés aux internes venant de terminer leur internat, pour une durée de six mois. En effet, « nous sommes assez souvent prêts à changer de ville ou de région » pour une courte période comme celle des stages d’internat. C’est une période charnière et « nous avons rarement envie de nous engager pour une durée de deux ans par exemple car il est important de rester encore mobile, notamment en raison de la profession du conjoint; ce type de proposition de poste pourrait être incitatif à l’installation, car on s’installe dans des lieux ou une région que l’on connaît.

2) Pour faciliter une intégration des jeunes méde-cins dans le département de la Sarthe, la parti-cipation à la permanence des soins, dès le début de leur installation pourrait être un argu-ment de poids. En effet, réserver systématiquement des places sur le tableau de garde aux nouveaux arrivants permettrait- de faire connaissance avec les collègues ;- d’avoir un apport financier non négligeable dès

l’installation ;- de se faire connaître.

3) Pouvoir se faire aider à la gestion adminis-trative du cabinet libéral afin de consacrer plus de temps au patient et à la clinique.Nous souhaitons que ces quelques réflexions, avec des propositions concrètes soient entendues et que certaines soient mises en application dans un délai raisonnable afin de nous inciter à nous instal-ler en SARTHE.

Marine RAFIK, interne en MG,

propos recueillis par le DR Jackie COLLET

Mais cela peut être utilisé aussi pour continuer à exercer une activité libérale sans plus avoir à s’oc-cuper de la partie inhérente à cette activité.

On peut devenir collaborateur de praticiens à qui on a éventuellement cédé son cabinet. La sou-plesse de ce statut doit donc être envisagée soit pour entrer dans le mode libéral soit pour pour-suivre son activité après avoir pris sa retraite.Une SELARL ne peut avoir qu’un associé collabo-rateur et ce quel que soit le nombre d’associés.Un collaborateur est un médecin à part entière, donc obligatoirement thèsé.

Un collaborateur peut se faire remplacer mais même si cela ne figure pas explicitement, il faut que le remplaçant soit agréé par le titulaire.

I - Collaboration libéralePossible depuis la loi du 2 août 2005, le statut de médecin collaborateur est un moyen de commen-cer une activité libérale sans avoir d’engagements financiers, et donc de tester ce mode de fonction-nement et sa capacité personnelle à attirer et gar-der une patientèle. Bien différent du rapport à des patients non contraints comme cela est la règle dans le secteur public, où le patient n’a générale-ment pas le choix.

Cette inquiétude naturelle peut disparaître après quelques mois de collaboration. Pendant cette phase, pas d’engagements financiers, pas de sou-cis de gestion, ni de secrétariat, ni de charges, ni du matériel, sources de craintes fantasmées pour ceux qui ont vécu pendant de nombreuses années sans avoir à s’occuper de l’intendance.

Le médecin collaborateurSi ce statut vous intéresse, allez sur le site du CDOM pour les détails.

II - Collaboration salariéeDepuis 2006, le médecin a la possibilité de recru-ter un collaborateur salarié. La situation des méde-cins salariés est évoquée à l’article 95 du code de déontologie.

Les principes suivants doivent être rappelés :

• IndépendanceLe médecin salarié intervient pour le compte et au nom de son employeur.

Le lien de subordination qui encadre la relation du médecin salarié et du médecin employeur pour tout ce qui relève de l’organisation du travail et de

Page 3: 1701 0730 BULLETIN JANVIER 2017 - conseil72.ordre.medecin.fr · méconnue ! À quoi ça sert, en dehors de payer une cotisation ? Elle n’est plus l’institution poussiéreuse qu’elle

Conseil de l’Ordre - JANVIER 2017 - p3

Le médecin collaborateur (suite)

la gestion du cabinet n’interfère cependant en rien sur la relation du médecin salarié avec le patient.

Le médecin salarié garde sa totale indépendance dans le cadre de sa relation directe avec le patient et des décisions médicales qu’il doit prendre. Cette indépendance implique qu’il puisse, pour des rai-sons sérieuses et motivées et notamment lorsque toute relation de confiance est rompue, refuser ses soins à un patient. Cette indépendance implique qu’il dispose également de son entière liberté de prescription.

• ContratC’est pour que soit assurée cette indépendance mais aussi pour garantir les confrères recourant au salariat contre les conséquences d’une mé-

DES AVANCÉES POUR LES COLLABORATEURS MÉDECINS DANS LES SERVICES DE SANTÉ AU TRAVAIL

Le 11 octobre 2016 est paru le décret 2016-1358 relatif aux conditions d’exercice de collaborateurs médecins dans les services de santé au travail. Pris en application de l’article 36 de la loi de moder-nisation de notre système de santé, qui a consacré l’existence du statut de collaborateur médecin en santé au travail, il permet au collaborateur médecin qui examine le salarié de signer lui-même l’avis le concernant. Désormais, les seules restrictions à son activité sont celles que la loi et la réglementation prévoient : « Le collaborateur médecin remplit les missions que lui confie le médecin du travail dans le cadre d’un protocole écrit. » Le Conseil national qui avait œuvré en ce sens auprès du ministère du Travail se félicite de cette avancée pour le statut de collaborateur médecin.

Dans un peu plus d’un an, le Conseil Départemental de l’Ordre des Médecins sera renouvelé. Une règle de respect de la parité a été instaurée. Elle permettra de pallier le déséquilibre majeur de la composition de notre conseil actuel, puisqu’il n’y a que trois femmes élues et aucune au bureau.

Chaque postulant devra former un binôme femme-homme. Pour cela, il faut que vous y réfléchissiez longtemps à l’avance. Et non dans les dernières semaines de 2017.

Nombre des membres actuels ne se représenteront pas, Il est bon que l’âge moyen du Conseil diminue. Cela ne doit pas être un club de retraités, certes dignes et respectables mais de plus en plus éloignés de la pratique quotidienne.

L’une des fonctions les plus gratifiantes à l’Ordre est certainement celle des conciliations. Permettre à chacun d’exprimer son point de vue, de façon objec-tive, en expliquant le pourquoi des décisions médi-cales et la cause des ressentis ; permettre ce temps essentiel de la relation médecin-malade, (car nous n’avons pas toujours le temps lors d’une consul-tation ou d’un entretien de développer la raison de

tel ou tel comportement), mais aussi, donner à celui qui porte plainte le senti-ment d’être enfin écouté et compris.Certes, lors de ces conci-liations, nous ne réus-sissons pas toujours à rapprocher les points de vue, puisqu’un nombre significatifs de plaintes sont transmises à la chambre disciplinaire pour un jugement en première instance, avec parfois des sanctions lourdes, comme une interdiction d’exercice

de plusieurs mois. Mais, il est toujours agréable de pouvoir signer avec les parties un procès-verbal de conciliation.

Par ailleurs, nous proposons une remise à niveau pour des exercices professionnels par trop déviants. Bien entendu, il y a une foule de tâches adminis-tratives, mais aussi d’avis sur les contrats, sur les dossiers, sur les permanences des soins. Tout cela s’apprend et est très intéressant. Les réunions pour les membres du Conseil -hors bureau -sont mensuelles et durent deux heures. Elles commencent par les inscriptions et toutes les activités légales d’enregistrements. Puis sont présentés les plaintes ou signalements. Elles sont exposées et discutées, chacun pouvant apporter son point de vue. En fonction de l’avancement du dossier, sont proposées des conciliations ou négociations, leur résultat est exposé au Conseil .Si la conciliation a réussi, la plainte est classée mais demeurera dans le dossier. En cas d’échec, la plainte est transmise systématiquement à la chambre disciplinaire de première instance des Pays de la Loire. La décision de s’associer, ou pas, à la plainte est votée à bulletins secrets et sera argumentée.

Puis sont rappelées les affaires en cours, ainsi que les offres de participer aux nombreuses commissions que notre administration a le goût de cultiver. Mais, seuls les volontaires sont désignés.

La charge du Conseil est lourde pour le président, le secrétaire général, le trésorier et bien sûr nos secrétaires La vérification des contrats et les liens avec l’industrie pharmaceutique est contraignante mais indispensable.

Cela peut être pour certains(e) une raison de se porter candidat(e).Le Conseil de l’Ordre est représenté dans de nombreuses commissions et instances départe-mentales : Représentants : à l’ARS Pays de Loire (Conseil Territorial), à la Commission Départe-mentale des Impôts Directs et des Taxes sur les chiffre d’affaires, à l’ADOPS, au CRCI, au CATS (Le Comité d’Accompagnement Territorial des Soins)au CODERST (Conseil Départemental de l’Environne-ment, des risques Sanitaires et Technologiques) à la CLI (Commission locale d’information) au Conseil Départemental de la Sarthe, à la Commission Paritaire Locale des Médecins, au GEMS.

Cela peut-être pour certain(e) une raison de se por-ter candidat(e).

Pour les autres, c’est une plongée au cœur des affaires médicales, qui peut être utile à chacun et est indispensable à la communauté ; pour d’autres encore donner l’aval aux demandes de formations organisées par l’industrie pharmaceutique.

Nous souhaitons en dehors de la parité obligatoire, que plus d’hospitaliers nous épaulent. Le Conseil n’est pas réservé aux libéraux, même s’il est difficile à ceux qui sont déjà victimes de la réunionite, voire, de réunionose, car c’est une affection chronique, d’en rajouter une autre.

Dr J.M VERRET

connaissance des obligations propres à ce statut que le Conseil national a procédé à la rédaction de contrats-types de collaboration salariée :

en conclusion, un statut à développer pour faciliter certains types d’installations.

Dr J.M VERRET

Devenir Conseiller Ordinal : Pourquoi pas ?

Page 4: 1701 0730 BULLETIN JANVIER 2017 - conseil72.ordre.medecin.fr · méconnue ! À quoi ça sert, en dehors de payer une cotisation ? Elle n’est plus l’institution poussiéreuse qu’elle

Conseil de l’Ordre - JANVIER 2017 - p4

Concernant la notion de dépistage organisé (D.O.), le GEMS a été pionnier en France puisqu’il a institué ce concept dès 1989 pour le dépistage du cancer du sein. Les 2 dépistages organisés (sein et colon) concernent les personnes âgées de 50 à 74 ans, et sont proposés tous les 2 ans.

Pour le dépistage du cancer du sein (DOCS), les mammographies sont lues par 2 radiologues différents, ayant reçu une formation spécifique. Le matériel d’imagerie est vérifié tous les 6 mois par des organismes agréés.En 2015, dans la Sarthe, 42 800 invitations ont été envoyées. 25 400 mammographies ont été réalisées, soit une participation de 59.90% : c’est encore insuffisant vu l’enjeu !194 cancers ont été décelés grâce au D.O. en 2015 (dont 6 cancers en 2ème lecture).Ce dépistage doit être plus précoce et plus fréquent en cas de prédisposition génétique et/ou familiale.En 2015, en France, 12 000 femmes ont succombé à ce cancer : c’est le 1er cancer chez la femme dans les pays développés : 21 000 cas en 1980 / 53 000 en 2015 en France.

Dépistage du cancer colo rectalLe cancer colorectal est le 3ème cancer en termes de fréquence et le 2ème en termes de mortalité.95% des cancers colorectaux surviennent après 50 ans. En 2015, un changement de test est intervenu avec utilisation d’un test immunologique basé sur la détection de la présence d’hémoglobine humaine dans les selles. Ce test est à la fois plus

À SAVOIR

simple à réaliser (un seul prélèvement), la lecture est automatisée et surtout, sa performance est supérieure au test au gaïac.Ainsi en 2015, en Sarthe, 16099 tests immuno-logiques ont été effectués dont 715 tests positifs soit un taux de tests positifs de 4,4% (versus 2,8 avec le test au gaïac).Sur les 651 coloscopies réalisées : 68 cancers soit dans 10,4% (versus 6,7% avec le test au gaïac) et 233 polypes à risque (taille >10mm, contingent villeux ou dysplasie de haut grade) soit dans 36% (versus 18% avec le test au gaïac).Ces résultats ne doivent pas faire oublier qu’un des enjeux de ce programme de dépistage reste la participation du public cible.On sait que 90% des personnes concernées réalisent le test lorsqu’il est remis par le médecin.Donc merci aux professionnels de santé de rester mobilisés pour inciter au dépistage.

À partir du 2018 le dépistage du cancer du col de l’utérus sera effectif au niveau régional.

Pour plus d’informations : GEMS : www.gems-72.friNCa : www.e-cancer.frDr HONORÉ Dominique

Médecin coordinateur du dépistage du cancer du sein

[email protected]

Dr MOUTARDE NicoleMédecin coordinateur du dépistage

du cancer [email protected]

Le Centre « Soins-Études » Pierre Daguet de Sablé sur Sarthe

Le dépistage organisé dans le département de la Sarthe

Le centre « Soins-Etudes » de Sablé sur Sarthe a ouvert ses portes en octobre 2012. C’est l’un des 12 établissements sanitaires de la Fondation Santé des Etudiants de France. Il a été créé dans le cadre d’une reconversion de l’ancien hôpital de Sablé sur Sarthe. C’est un établissement de post-cure psychia-trique qui accueille et prend en charge des adolescents et jeunes adultes, lycéens, qui présentent d’une part des troubles psychia-triques en phase post aigue et d’autre part un niveau de déscolarisation parfois important.Selon le concept « soins-études », le Centre intègre dans ses murs, dans son organisation et dans son fonctionnement une annexe au-tonome du lycée polyvalent sabolien Raphaël Élizé.Les jeunes de 15 à 23 ans, bénéficient ainsi d’une prise en charge thérapeutique assurée par une équipe pluridisciplinaire (psychiatres, pédopsychiatres, pédiatre, médecin généra-liste, psychologues, infirmiers, éducateurs, assistants sociaux, animateurs socio-cultu-rels et sportifs…) et d’une prise en charge pédagogique assurée par des enseignants de l’Education Nationale qui dispensent des cours pour baccalauréats généralistes et bac pro (Gestion Administration, Sciences et Technologie du Management et de la Ges-tion) de la seconde à la terminale. Conformément à l’autorisation d’activité accordée à l’établissement, il accueille des patients provenant de l’inter-région sanitaire ouest (Bretagne, Pays de la Loire, Centre et ex Poitou-Charentes), soit 19 départements. Le centre dispose de 15 lits d’hosp talisa-tion post-aigue, de 45 lits d’hospitalisation conventionnelle, de 35 lits d’hospitalisation de semaine, de 10 places d’hospitalisation de jour et de 5 studios de préparation à la sortie.la durée moyenne de ce séjour est d’un an, en sachant que certains font leur scola-rité entière de la seconde à la terminale et d’autres repartent après un trimestre pour inadéquation d’indication, notamment une symptomatologie pas suffisamment stabi-lisée pour suivre un cursus scolaire même aménagé. 60% des patients viennent de l’académie de Nantes.Les demandes d’admission sont à adresser au secré-tariat du Centre. Véronique LACCOURREYE

Psychiatre - Coordinatrice MédicaleCourriel : [email protected] web : www.fsef.net/centre-pierre-daguet

Nous avons reçu plusieurs signalements, voir des plaintes, venant d’employeurs privés ou institutionnels concernant des certificats d’arrêt de travail (AT).Il peut s’agir de certificats antidatés, de certificat établis après coup par un praticien à la demande d’un salarié, qui, en retard, ou absent, n’hésite pas à prévenir l’employeur qu’il va se procurer l’arrêt de travail sans problème.

Il peut s’agir d’AT itératifs dont la justification est de permettre de tenir jusqu’à un licenciement ou une reprise d’activité dans une autre structure.

Les employeurs ne contestent jamais, du moins dans leurs plaintes, le bien-fondé médical de l’AT mais en relèvent les incohérences de date ou soulèvent la possibilité d’une complaisance dans leur attribution.Nous rappelons qu’il est interdit et punissable par l’Ordre, de pré-dater ou de postdater un certificat. Vous devez impérativement indiquer la date où l’examen est réalisé et ne pas ajuster celle-ci aux desiderata du patient.

Le faire peut entraîner une interdiction d’exercice ou une interdiction de donner des soins aux assurés sociaux. Par ailleurs, c’est entraîner une déconsidération de la profession et de la relation médecin malade.

Les certificats d’arrêt de travail

Un certificat d’AT ne doit être établi que pour une raison médicale avérée, pour une durée adaptée à l’état médical du patient et non à son état social et en mettant la date du jour où il est établi.

Vous pouvez éventuellement préciser que vous n’avez pas pu voir le patient le jour de l’arrêt pour des raisons indépendantes de celui-là (cabinet surchargé, week-end, fermeture du cabinet, etc.). Mais le point de départ de l’arrêt sera celui de la réalisation de l’examen.

Nous sommes bien conscients de la difficulté morale d’appliquer la loi dans certaines circonstances. Mais la loi est la loi, même si elle est dure. Ne vous mettez en faute. Le risque est élevé. Jean-Michel VERRET

Page 5: 1701 0730 BULLETIN JANVIER 2017 - conseil72.ordre.medecin.fr · méconnue ! À quoi ça sert, en dehors de payer une cotisation ? Elle n’est plus l’institution poussiéreuse qu’elle

Conseil de l’Ordre - JANVIER 2017 - p5

Bénéficier des mêmes soins qu’à l’hôpital et rester à son domicile, c’est le souhait de nombreux malades ou de leurs proches. L’HAD - Hospitalisation à domicile, en sa qualité d’alternative à l’hospitalisa-tion permet d’assurer au domicile du malade des soins médicaux et paramédicaux continus et coordonnés en associant le médecin hos-pitalier, le médecin traitant et tous les professionnels paramédicaux et sociaux. Qualité de l’hôpital et confort du domicile, tel est l’objectif des professionnels qui interviennent chaque jour auprès de nos patients.

Contact : Tél. 02 43 50 32 57mail. [email protected]édecin coordonnateur : Drs Benoit Chagneau, Bertrand Devaud et Jérôme Dupont.

Être soigné à domicile, c’est possible !

A SAVOIR

Que cela soit dans un établissement hospitalier ou ailleurs, des propos désobli-geants ou qui auraient dû rester confidentiels peuvent être entendus sans avoir besoin de tendre l’oreille par des patients des proches, ou des étrangers. Il est bien évident que cela doit être impérativement évité. Il peut s’agir d’un manquement grave au secret professionnel ; mais, il peut s’agir de propos a priori plus anodins, qui peuvent choquer celui qui les entend qu’il soit concerné ou pas

Cela s’applique non seulement dans les étages, les couloirs, les services, les chambres de malades, mais aussi dans les salles de soins ou de réunions, a fortiori quand les portes ne sont pas fermées et les conversations audibles.

Cela doit être respecté, dans les salles de bloc. En effet, il est traumatisant pour un patient non endormi, pas complètement réveillé, mais dans une certaine tor-peur, d’entendre dire du mal de quelqu’un, que cela le concerne directement ou pas.

Mais cela s’applique aussi aux patients dont la conscience paraît altérée que ce soit par son manque de discernement ou un état confus ou démentiel.

Nous ne sommes pas dans l’atmosphère décrite par George Orwell dans le roman « 1984 », mais il faut se surveiller. Il est donc indispensable que chacun s’astreigne à éviter les propos inadaptés.

Dans les services, la frontière entre la sympathie, l’ambiance chaleureuse d’une activité en commun et la trivialité pour ceux qui entendent est parfois ténue. Jean-Michel VERRET

Méfiez-vous des propos inadaptés dans des lieux publics

Pensez à vos proches et a vous, la santé n’est pas pérenneLa maladie peut frapper tout le monde. Nul n’est protégé. Même si notre espérance de vie moyenne est supérieure à celle de beaucoup, nombre d’entre nous sont frappés pendant leur exercice professionnel. La survenue d’un arrêt de travail, d’une maladie prolongée, voire d’un décès en-traîne au delà du choc affectif des conséquences dramatiques sur le plan écono-mique pour le praticien et/ou sa famille. Sous certaines conditions, les médecins hospitaliers vont continuer à toucher leur salaire pendant une période maximale de 3 ans, puis deux ans à mi-salaire. Mais au-delà, pas de revenus, et pas de prise en charge du conjoint ni des enfants.Pour les médecins libéraux, la CARMF ne commence à verser des indemnités jour-nalières qu’à partir du 91° jour et verse de 64.67E à 129.3E.Il est donc indispensable de couvrir sa famille par des assurances décès, des rentes de conjoint et des rentes d’éducation avec des prestations couvrant la scolarité des enfants. Si vous l’avez déjà fait, bravo, mais révisez régulièrement vos contrats ; dans tous les cas, renseignez-vous et comparez les propositions. Vous pouvez accéder au texte complet sur le site Par ailleurs, je voudrais rappeler l’existence de l’association Aide aux Familles et Entraide Médicale (AFEM) qui apporte un complément financier et moral important.

Pour renseignements : voir le site [email protected] Jean-Michel VERRET

NOUVELLE APPELLATION DES CONSEILS DE L’ORDRE : Suite à une demande du Conseil d’Etat , il convient d’indiquer lorsqu’il s’agit d’un conseil départemental : conseil départemental de la Sarthe de l’Ordre des médecins ( et non conseil départemental de l’ordre des médecins de la Sarthe ) de même pour le conseil régional des Pays de la Loire de l’Ordre des médecins .

CHIFFRES1701 médecins inscrits au 31/12/2016

Nouvelles Inscriptions55 médecins hospitaliers18 médecins salariés16 médecins libéraux

Page 6: 1701 0730 BULLETIN JANVIER 2017 - conseil72.ordre.medecin.fr · méconnue ! À quoi ça sert, en dehors de payer une cotisation ? Elle n’est plus l’institution poussiéreuse qu’elle

Conseil de l’Ordre - JANVIER 2017 - p6

Question-réponse :Quel est l’intérêt d’une ordonnance avec duplicata ?En vue de mon installation en janvier 2017, je me pose une question au sujet des ordonnanciers quel est l’intérêt d’une ordonnance avec duplicata par rapport à une ordonnance feuillet simple?( notamment pour les ordonnances sécurisées)

Réponse : L’avenant n°3 de la convention portant sur la dématérialisation des documents papiers paru au journal offi ciel du 9 février 2012, la délivrance d’un duplicata n’est plus obligatoire cependant il paraît opportun de conserver dans son dossier le double d’une ordonnance sécurisée.

Déclarer les incivilitésPour déclarer les incivilités dont vous, votre personnel ou vos patients ont été victimes, il suffi t de télécharger le formulaire que l’on obtient facilement en tapant « déclarer des incivilités au Conseil de l’Ordre ». Puis il faudra remplir le formulaire et l’envoyer à votre Conseil Départemental. Faites-le pour vous et pour les autres car nous pourrons le signaler aux autorités compétentes en matière de sécurité.

Handicap, consultations et soins bucco dentaires Pour les personnes en situation de handicap du département de la Sarthe, enfants et adultes, des solutions adaptées pour le suivi et les soins bucco dentaires.Actuellement le dispositif est composé de 3 Etablissements :Pour les consultations et les soins jusqu’au « MEOPA » :Le Centre Hospitalier du LudeL’EPSM (ex CHS) à AllonnesLe Centre Hospitalier de La Ferté BernardLes coordonnées d’accès à ces dispositifs, vous pouvez nous contacter par Email ou téléphone : COSIA72 : 02 44 02 19 34 - 06 76 05 79 54 - secré[email protected]

M. Daniel LESSCHAEVE - Président

AnnoncesAssurance Maladie 72Des postes de médecin conseil sont actuellement vacants à l’échelon local du Service Médical de de la Sarthe. Ces postes peuvent être pourvus sous diverses formes (CDD, vacations...). Si vous êtes intéressés, nous vous invitons à nous contac-ter pour de plus amples renseignements.Contact : Dr Patricia DE NAPOLI COCCIMédecin conseil chef du Service Médical de l’Assurance Maladie de la Sarthe Tél. : 02 43 50 76 87

Remplacement dans les Pays de la LoireSite de Mise en Relation des Médecins Installés et des Médecins Non Exerçantswww.rempla-paysdelaloire.org

DATES À RETENIR

Le jeudi 2 mars à 20h 30conférence - débat au CCI place de la République Le Mans.

Organisée par le Conseil départemental de la Sarthe de l’Ordre des médecins et les MMA

Le secret médical obligations et pièges : Monsieur le Procureur de le République de la Sarthe Monsieur Fabrice BELARGENT.

L’avenir de la santé par le Docteur Jacques LUCAS vice-président du Conseil de l’Ordre national de médecins.

Mardi 25 avril à 19 heuresRéunion avec les internes arrivant et sortant en Sarthe - Siège URLM - GARE SUD

EN BREF

In memoriamLe Bulletin de l’ordre rappelle le souvenir des confrères dont nous avons appris le décès depuis le dernier numéro. Cette rubrique est ouverte à tout médecin qui pour des raisons personnelles affectives ou professionnelles souhaite évoquer le souvenir ou rendre un dernier hommage à un confrère disparu (rubrique à retrouver sur le site).

Dr NGUYEN Patrick né le 20/07/1944 - Décédé le 12/03/2016. Il a fait ses études à REIMS. En tant que Radiologue, Il s’est installé en libéral à la FERTE BERNARD en 2014.

Dr BARCAT Emmanuel né le 16/12/1940 - Décédé le 14/04/2016. Il a fait ses études à PARIS. Il a exercé en tant que Chirurgien Orthopédiste. Il a euune carrière hospitalière - Chef de Service dans l’OISE de 1973 à 1985 et exer-cice en libéral au MANS de Février 1985 à la Clinique STE CROIX. En retraite depuis 2006 pendant laquelle il a effectué de nombreuses missions humani-taires en Afrique

Dr PELLE Philippe né le 14/03/1956 - Décédé le 10/07/2016. Il a fait ses études à ANGERS. Il a exercé en tant Médecin Généraliste Remplaçantdans le MAINE ET LOIRE de 1998 à 1990. Il s’est installé en libéral en 1990 à AUVERS LE HAMON.

Docteur Alain Blanchi nous a quittés brutalement le 13 Juillet 2016. Après des études de médecine à PARIS et un passage de 4 ans au CH d’ANTIBES d’où il était originaire, il poursuit sa carrière au C.H du MANS (de Novembre 1988 à Juin 2016) comme praticien hospitalier et un temps chef de service en Gastro-Enté-rologie. Cet homme à la personnalité discrète et consensuelle n’a jamais voulu attirer la lumière sur lui ; pour autant, il fut un gastro-entérologue complet dont les compétences et les qualités humaines étaient reconnues de tous ses confrères. Il a su parfaitement concilier son temps professionnel et une vie familiale riche qui le comblait. Nous adressons toutes nos condoléances et notre tristesse à son épouse Véronique et à ses enfants. Dr Marc CHAILLOU

Dr SCHIFFER Claude né le 22/04/1929 - Décédé le 17/09/2016 Il a fait ses à TOURS. Il a exercé en tant que Biologiste dans un laboratoire à TOURS de 1958 à 1961. De 1961 à 1995 il a exercé au C.H du MANS. En retraite depuis 1995.

Dr LEGER Jean-Bernard né le 20/09/1933 - Décédé le 26/09/2016 Il a fait ses études à PARIS. Il a exercé toute sa carrière en tant que Médecine Généraliste au MANS. En retraite à ST MALO depuis 1997.

Dr JOFFROY Alix né le 03/06/1938 - Décédé le 11/09/2016. Il a fait ses études à PARIS. Issu d’une famille de médecins Alix JOFFROY était Cancérologue Radio-thérapeute. À partir de 1985 il a été un des membres fondateurs de la Clinique Victor Hugo- Centre Jean, BERNARD. Il était très apprécié de ses confrères, du personnel de la clinique et de ses patients. Très proche de ses patients, ses qua-lités humaines étaient unanimement reconnues. Nous partageons le chagrin de Christine son épouse et lui adressons nos sincères condoléances. Dr Eric VOOG

Dr BAILLARGEAU Danielle née le 23/05/1945 - Décédée le 05/10/2016. Elle a fait ses études à POITIERS. Elle a exercé toute sa carrière au service médical de la RNUR au MANS en tant que Médecin du Travail. En retraite depuis 2005.

Dr JOUVIN Anne née le 19/07/1952 - Décédée le 16/11/2016. Elle a fait ses études à CAEN. Elle a exercé toute sa carrière au MANS en tant que Médecin Généraliste

En association de 1990 à 1997 avec les Docteur PERU et JOLY E. au Centre Médical de Gazonfi er et ensuite elle s’est installée seule en Libéral.

Le Dr ALLAMAND Pierre, né le 07/05/1937 est décédé au Mans le 20/11/2016. Il entreprit des études de médecine au CHU d’Angers puis d’Anesthésie-Réani-mation au CHU de la Pitié-Salpêtrière à Paris. Il effectua ensuite toute sa car-rière en tant que médecin Anesthésiste-Réanimateur au Centre Hospitalier du Mans. Chef de service il n’eut de cesse de développer l’Anesthésie-Réanimation au sein du Centre Hospitalier et de former autour de lui une équipe soudée de médecins, d’Infi rmiers Anesthésistes et d’aide soignants. Nombreux sont ceux qui lui doivent leur choix professionnel. Toutes celles et ceux qui l’ont côtoyé ont apprécié ses compétences professionnelles, sa grande disponibilité, son sens de l’éthique et du devoir, sa sagesse, son humilité. Nous adressons toute notre sympathie à Maryvonne, son épouse et à toute sa famille qui l’ont beaucoup aidé tout au long de sa carrière. Dr JP Vigué et J Collet.

Dr DE LA POEZE D’HARAMBURE Ségolène née le 27/02/1958 Pédiatre. Décé-dée le 24/12/2016. Elle a fait ses études à PARIS. Elle a exercé à la DSD- Service PMI de 1998 à 2016.

Page 7: 1701 0730 BULLETIN JANVIER 2017 - conseil72.ordre.medecin.fr · méconnue ! À quoi ça sert, en dehors de payer une cotisation ? Elle n’est plus l’institution poussiéreuse qu’elle

Conseil de l’Ordre - JANVIER 2017 - p7

MOUVEMENTS

CultureLa culture, c’est ce qui reste quand on a tout oublié.

Mais pour faire de la méde-cine on en est pas moins homme et on doit s’inté-resser à d’autres choses en somme. Nous vous présen-tons une œuvre de Dominique Plat et un recueil de poésie de Jean-François Forestier. Nul doute que cela pourra agré-menter la lecture forcément attentive et profonde de notre bulletin. Amitiés de la rédaction.

DÉCISIONS ADMINISTRATIVESInscriptions 2016Nombre de médecins 103dont 1ère inscription 40Nombre des sociétés 3Total 106Transferts 2016Nombre de médecins entrants 89Nombre de médecins sortants 72Total 161Qualifi cations 2016En médecine générale (commission départementale) 0Par les commissions de qualifi cation 3Au vu d’un diplôme européen 11Au vu du DES/DESC 31Par la Procédure d’Autorisation d’Exercice 3Total 48Sites multiples 2016Nombre de demandes 4Total 4Contrats étudiés 2016De remplacement 1269Autres types de contrat 78Total 1347RPPS 2016Nombre de fi ches médecins corrigées 87Total 87RMI 2016Etudes - conventions 49Congrès nationaux et internationaux 25Autres… 86Total 160PDS 2016Nombre de tableaux de gardes reçus 96Total 96AFFAIRES DISCIPLINAIRESTotal des plaintes et Doléances reçues 2016Entre médecins 4Entre particuliers et médecins 34Entre médecins et établissements de soins 7Problèmes d’accès aux soins 0dont Couverture Maladie Universelle Complémentaire (CMU-C) 0dont Aide Médicale de l’Etat (AME) 0Total 45Conciliations 2016Entre médecins (art. L4123-2 CSP) 1Entre particuliers et médecins (art. L4123-2 CSP) 10Autres conciliations (dans le cadre de l’art.56 CDM) 0Problèmes d’accès aux soins 0dont Couverture Maladie Universelle Complémentaire (CMU-C) 0dont Aide Médicale de l’Etat (AME) 0Total 11Plaintes transmises 2016Entre médecins 0Entre particuliers et médecins 4D’une administration 0Du conseil départemental (art L4 124-2 CSP) 1Autres plaintes directes du CD 0Problèmes d’accès aux soins 0dont Couverture Maladie Universelle Complémentaire (CMU-C) 0dont Aide Médicale de l’Etat (AME) 0Total 5JUSTICEDéplacements des élus 2016Nombre de liquidations - redressements judiciaires 0Nombre de saisies de dossiers - perquisitions 37Total 37REUNIONS EXTERIEURESRéunions 2016Caisse Primaire d’Assurance Maladie 1Facultés 0CODAMUPS 2Conseils régionaux 7Réunion de formation au CNOM 5Autres 24Total 39SECURITE DES MEDECINSAgressions 2016Nombre de signalements 4dont agression physiques 1dont agressions vérbales 6Total 4Plaintes 2016Mains courantes 0Plaintes déposées 2Total 2

INSCRIPTIONSSéance du 18 Janvier 2016 :Dr ANGHEL Andreea Hématologie Opt. Maladies du Sang-C.H-LE MANSDr ANGHEL Dan Anesthésie-Réanimation -C.H - LE MANSDr DI ROLLO Mario Médecine Générale- C.H-SAMU - LE MANSDr DUGLEUX Elise Médecine Générale - Non InstalléeDr VINCHON -PETIT Sandrine Oncologie Opt. Radiothérapie - C.H - LE MANS et Exercice Libéral - LE MANSDr HELFER Bénédicte Médecine Générale - Exercice Salarié-POLE SANTE SUDDr TOQUE Jean-Marc Médecine Générale - C.H - LE MANSDr GUILLON Pauline Gynéco-Obstétrique -CL.TERTRE ROUGE-PSSDr PAMBOUKDJIAN Marc Anesthésie-Réanimation-SELARLANESPRE-LE MANSDr RAKOTOVOKATRA Maison de Santé Pluridisciplinaire - LE LUDE Solofoson Hasina et Hôpital F DAILLON - LE LUDE Dr PIOT-GLORIA Violaine Psychiatre- EPSM -ALLONNESDr VOLELLI Françoise Médecine Générale - mi-temps EHPAD Les Fresnes - FRESNAY et mi-temps Centre Intercommunal des Alpes Mancelles-FRESNAY

Séance du 22 Février 2016Dr OSMAEVA Karina Médecine Générale - C.H - LE MANSDr GARANGO Ankombo dit Djibril Chirurgie Orthopédique et Traumatologie - C.H - LA FERTE-BERNARDDr NAIEF Majid Médecine Générale - temps partiel- LE MANS et mi-temps Clinique KORIAN ROUGEMONT Dr CALOTESCU Armand Médecine Générale - C.H - LA FERTE BERNARDDr GAUTIER André Médecine Générale -temps partiel Centre Intercom. des Alpes Mancelles-FRESNAY- et site SOUGE LE GANELONDr CIOATA Ioana Médecine du Travail -temps partiel -C.H - LE MANS et temps partiel C.HI.C ALENCON-MAMERSDr JOLLIVET Virginie Médecine Générale - PSSL - LE BAILLEUL

Séance du 21Mars 2016Dr AL HOMSI Mahmoud Médecine Générale - Centre Médical G.COULON - LE GRAND LUCEDr BARRIER Cyril Médecine Générale - SDIS - COULAINESDr MERINE Julie Anesthésie-Réanimation-Activité Salariée de Remplacements

Séance du 18 Avril 2016Dr CINQUANTINI Francesco Radiodiagnostic et Imagerie Médicale -C.H-LE MANSDr WEBER Yolande Psychiatre - Médecin Retraité

Séance du 23 Mai 2016Dr BOMBERA Fleur Psychiatrie - EPSM - ALLONNESDr DENIS Daphné Dermatologie et Vénéréologie - C.H - LE MANSDr LABALLE Arnaud Ophtalmologie - C.H - LE MANSDr PICCOLI Giorgina Néphrologie -C.H - LE MANSDr JULIEN Anne-Charlotte Médecine Générale - Centre Municipal - CONNERREDr BLAIS Raphaëlle Pédiatrie - C.H - LE MANS Dr POTIER-KARNOS Micheline Anesthésie-Réanimation - Activité Salariée de Remplacements Dr CAILLIEZ Elisabeth Médecine Générale - IRSA - LE MANSDr LIBERGE Claire Médecine Générale - C.H - LE MANSDr FONSEGRIVE Caroline Oncologie Médicale - C.H - LE MANSDr JAUMOUILLE Simon Ophtalmologie - C.H - LE MANSSELARL Dr Jean-Louis Chirurgie Plastique Reconstructrice et Esthétique -DURAND LE MANS

Séance du 27 Juin 2016 Dr MOCANU Andréa Médecine Générale - LAIGNE EN BELINDr DICESARE Valeria Radiodiagnostic et Imagerie Médicale - C.H - LE MANSDr SUHAIL Zina Médecine Générale - LE MANSDr COUNALI Max Médecine Générale - EHPAD La Martinère - SABLE

Relevé d’activité | Synthèse : 72 - Sarthe

Il s’agit du troisième recueil de poèmes de Jean François Forestier , il décrit l’instant avec toute son émotion, l’opus

est disponible à « l’herbe entre les dalles » au Mans .Bleu matinJuin la merTemps d’attenteTeint d’été

Devant au loinBal feutré des éoliennesEffets de mancheDon Quichotte à la manœuvreQui tente en vainD’enlacerSa dulciné de vent

« Les remparts, rue Saint Hilaire » Dominique Plat

Page 8: 1701 0730 BULLETIN JANVIER 2017 - conseil72.ordre.medecin.fr · méconnue ! À quoi ça sert, en dehors de payer une cotisation ? Elle n’est plus l’institution poussiéreuse qu’elle

Conseil de l’Ordre - JANVIER 2017 - p8

MOUVEMENTS

1603

007

7 IT

F IM

PR

IMEU

RS

Séance du 18 Juillet 2016Dr NITU Lidia Elena Médecine Générale - LA SUZEDr FLOREA Alina Gabriela Médecine du Travail - Santé au Travail 72

Séance du 19 Septembre 2016Dr NISTOR Marina Gabriela Médecine Générale - NOYEN SUR SARTHEDr GEORGESCU Ana Consuela Médecine Générale-Centre Municipal- FERTE BERNARDDr LANGA Madalina Médecine Générale -C.H - LE MANS Dr MECHEHOUD Abdesslam Chirurgie Orthopédique et Traumatologie - CH -LE MANSDr TOZE Tatianna Carolle Gériatrie -C.H - LE MANSDr LACCOURREYE Véronique Psychiatre - Centre Soins Etudes - SABLE SUR SARTHEDr TRIBERT François Médecine Générale - SABLE SUR SARTHE Médecin Collaborateur Libéral du Dr BAUDUSSEAUDr STUIT Luc Néphrologie - EFS - LE MANS Dr PLE Catherine Médecine Générale- Médecin Conseil CPAM LE MANSDr DEVAUX-LANDRAGIN Pierre Médecine Générale - Médecin Retraité Dr AISSAT Ammar Médecine Générale - Activité Salariée de Remplacements Dr HERY Ludovic Médecine Générale -C.H - LE MANSDr DEFAUX Hélène Médecine Générale - Non InstalléeDr SCHOTTE Thibault Médecine Générale --C.H - SAMU - LE MANSDr FOUCHER-LEZLA Anne-Lise Anesthésie-Réanimation - PSSL - LE BAILLEULDr BELFIHADJ Keltoum Gériatrie - PSSL LE BAILLEUL - SELARL ANEXI Dr XIBERRAS Anesthésie-Réanimation Jean-François CMCM- POLE SANTE SUD -LE MANS

Séance du 17 Octobre 2016Dr LAURENS Amélie Médecine Générale -temps partiel Centre Intercom. des Alpes Mancelles-FRESNAY- et site SOUGE LE GANELONDr GAUTHIER Emeline Chirurgie Générale - CH - LE MANSDr SAIDI Karim Médecine Générale - LA FLECHE Collaborateur des Drs LAMARRE, GRUMETZ, LE ROY et GUINHUTDr BARCATALI Marie-Grâce Ophtalmologie - C.H - LE MANS Dr SORIN Grégoire Chirurgie Générale - C.H - LE MANSDr THEZE Alexis Médecine Générale -Centre Méd. F. GALLOUEDEC PARIGNE L’EVEQUEDr EDY Patrick Médecine Générale - SANTE AU TRAVAIL 72 Médecin Collaborateur SalariéDr MOROIU Florentina Radiologie et Imagerie Médicale - C.H - LE MANSDr JAMMART Stephan Médecine Générale -C.H - LE MANSDr GUITTON Christophe Réanimation Médicale -C.H - LE MANSDr DUPUIS Violaine Médecine Générale -C.H - LE MANSDr MURARIU Ana Maria Médecine Générale -MAYETDr LOISEAU Elise Médecine Générale- Centre Soins Etudes - SABLE Dr ONEA Florin Chirurgie Thoracique et Cardio-Vasculaire C.H -LE MANS

Séance du 2 Novembre 2016Dr BIGUEUR Quentin Médecine Nucléaire - C.H - LE MANSDr CHATELAIS Jérémy Rhumatologie - C.H - LE MANSDr MUGNIER Gabriele Psychiatrie - EPSM temps partiel - ALLONNES Centre Départemental de Soins d’Accompagnement et d’Educ. du Val de Loire temps partiel 41 HERBAULT Dr HADDARA Sami Gastro-Entérologie et Hépatologie - C.H - LE MANSDr GROS Matthieu Psychiatrie - EPSM - ALLONNESDr MARTINS-HERICHER Joana Dermatologie et Vénéréologie - CH - LE MANS Dr VITTAZ Marie Pédiatrie - CH - LE MANSDr LAURENT Elodie Psychiatrie - EPSM - ALLONNESDr KACET Gabriela-Monica Anesthésie-Réanimation - Cl. TERTRE ROUGE-PSS

Séance du 21 Novembre 2016Dr WULLENS Alexandre Médecine Générale -Non InstalléDr CHERIF Mehdi Ophtalmologie - C.H - LE MANS Dr QUEANT Noémie Médecine Générale -Non InstalléeDr FAUTHOUX Sarah Médecine Générale - C.H - SAMU - LE MANSDr RAMAMBASON Achille Psychiatrie - EPSM - CMP PRADIER - LE MANSDr GUEGUEN Claire Médecine Générale - C.H - LE MANSDr PICHON Thomas Chirurgie Générale - C.H - LE MANSDr DESSERTENE Grégory Chirurgie Vasculaire -C.H - LE MANSDr PATARIN Lucie Médecine Générale -C.H - LE MANSDr AUDAT Gaëlle Médecine Physique et Réadaptation Centre de l’Arche - ST SATURNINDr RIFFLET Hervé Gastro-Entérologie et Hépatologie - C.H - LE MANSDr CROCHETTE Romain Néphrologie -C.H - LE MANSDr CHALON Alexis Médecine Générale - Homéopathie - Non Installé Dr BLANCHARD-TROUVE Laure Chirurgie Générale - PSSL - LE BAILLEULSELARL Dr ARNAUD Daniel Chirurgie Plastique Reconstructrice et Esthétique POLE SANTE SUD - LE MANS

Séance du 19 Décembre 2016Dr MABIT Lise Médecine Générale -C.H - LE MANSDr LEGROS Clara Psychiatre - Centre Soins Etudes - SABLE SUR SARTHEDr VULTUR Elena Gastro-Entérologie et Hépatologie - C.H - LE MANSDr LES Madalina Médecine Générale - Non InstalléeDr LASSEGUE Claude Gynécologie Médicale Obstétrique - RetraitéDr CHEVALIER Luc Médecine Générale -Centre Municipal- LA FERTE BERNARDDr CLAIR Emeline Gastro-Entérologie et Hépatologie Médecin Collaborateur Dr CHAILLOU -LE MANSDr GODFROID Henri-Brice Anesthésie-Réanimation - CMCM-POLE SANTE SUDDr CORBIERE Nicolas Anesthésiste-Réanimation- SELARL ANESPRE-LE MANS

Qualification : Médecine Générale : Dr DI ROLLO Mario, Dr DUGLUEUX Elise, Dr OSMAEVA Karine, Dr POUGET Yaël, Dr AL HOMSI Mahmoud, Dr JULIEN Anne-Charlotte, Dr MOCANU Andréea, Dr NITU Lidia Elena, Dr NISTOR Marian Gabriela, Dr GEORGESCU Ana Consuela, Dr LAURENS Amélie, Dr SAIDI Karim, Dr WULLENS Alexandre, Dr QUEANT Noémie, Dr MABIT Lise, Dr LES MadalinaAnesthésie-Réanimation : Dr ANGHEL Dan Chirurgie Générale, Dr GAUTHIER Emeline, Dr SORIN GeorgesChirurgie Orthopédique et Traumatologie : Dr GARANGO Ankombo dit Djibril Dermatologie et Vénéréologie : Dr DENIS Daphné, Dr MARTINS-HERICHER JoanaGastro-Entérologie et Hépatologie : Dr HADDARA Sami, Dr VULTUR ElenaHématologie Option Maladies du Sang : Dr ANGHEL Andreea, Médecine Nucléaire, Dr BIGUEUR QuentinMédecine du Travail : Dr DUBOIS-MACE Marie-Pierre, Dr FLOREA Alina Gabriela, Dr POIRIER-GARCIA Marie-Hélène, Dr BOUVELOT FlorenceNéphrologie : Dr PICCOLI GiorginaOphtalmologie : Dr LABALLE Eric , Dr BARCATALI Marie-Grâce, Dr CHERIF MehdiPédiatrie : Dr BLAIS Raphaëlle, Dr VITTAZ MariePsychiatrie : Dr BOMBERA Fleur, Dr MUGNIER Gabriele, Dr GROS Matthieu, Dr LAURENT Elodie, Dr LEGROS ClaraRadiodiagnostic et Imagerie Médicale : Dr CINQUANTINI Francesco, Dr DICESARE ValeriaRhumatologie : Dr CHATELAIS Jérémy. Qualification VAE non qualifiante : Dr MENARD Johann en Cancéro Option Traitements Médicaux des Cancers

RADIATIONS : Transfert : Dr SURUGUE Georges / Dr MACAHON Corina / Dr BOUZIDI Kamel / Dr LANDAIS Marie-Cécile / Dr DREYFUS Jean-François / Dr SENTUCQ-RIGAL Jean / Dr JACQUES-NATALI Lise / Dr GUERINEAU Antoine / Dr CARIOU Paul / Dr VAN GOETHEM Alice / Dr CHABOT Dimitry / Dr BACQUELIN Pierre / Dr JACQUOT Adrien / Dr TAHRAOUI Lhassan / Dr L’HOPITAULT Christian / Dr GRIMBERT Pierre / Dr TARDIF Antoine / Dr TAHI Dalila / Dr JBANCA Florina-Cristina / Dr PANTALEON Mathilde / Dr KELMA Eric / Dr BASSIEN-CAPSA Raymond / Dr GOURA A MOUGNOL Ernest / Dr BERNEMANN Alexander / Dr BERNEMANN Thi Mai / Dr BUTSCH-BOULOS Christa / Dr ROQUIN Guillaume / Dr RAMOND-ROQUIN Aline / Dr CANOURGUES Florence / Dr LE CARBONNIER DE LA MORSANGLIERE Eric / Dr BLANCHI Véronique / Dr PARCELIER Anne / Dr LEFETZ Jonathan / Dr LUTIER Benoit / Dr ALAMINE Yasmine / Dr RANDRIANARIVONY Raymonde / Dr FEGHOUL Hassen / Dr DESBENE Cédric / Dr HAVET Bénédicte / Dr LEFEUVRE Roselyne / Dr BOURDEL Marie-Charlotte / Dr NITU Elena Lidia / Dr STEFFEN Lucy / Dr TODOROVA Violeta / Dr GARDET Emmanuel / Dr RABIN Magalie / Dr BENOIST Raphael / Dr M’BOKO Guy / Dr BOUVET Marie-Andrée / Dr TRASSARD Hervé / Dr GUERIN Jean-Pascal / Dr DESCHAMPS-LOUVET / Dr BOURRIER Lydie / Dr URO Matthieu / Dr DESSART Panteha / Dr TISSOT Bertrand / Dr URSACHE Paul / Dr MOREAU Annie / Dr LEJOYEUX Philippe / Dr GOURD Vincent / Dr BARAULT Didier / Dr DANILA Lidia / Dr LEBRETON Clément / Dr LEJEUNE Anne-Lucie / Dr PRIPON Sorin / Dr SOUIDI Abdelkrim / Dr VIGNARD-ROSEZ Patricia / Dr LANOE Caroline / Dr AUBIN Pierre / Dr MONTAGNE Pierre-André

NPAI -Radiation dans le carde Article L 4112-1 Code de la Santé Publique Dr ARNAUD Claude / Dr MBELE ABANDA Philippe

Radiation Volontaire : Dr MAZY BenjaminCessation d’Activité Salariée : Dr EMERIT Patrice à compter du 01/06/2016Cessation d’Activité Libérale Dr BARBIER Eric à compter du 06/06/2016Cessation d’Activité Intermittente Libérale Dr SCHMUTZ Maria à compter du 27/08/2015

Enregistrement de Diplôme :Dr LOISEAU Elise Capacité d’Addictologie CliniqueDr JAMMART Stephen Capacité de Médecine de Pratiques Médico-JudiciairesDr TOUIL Mohammed Capacité d’Aide Médicale UrgenteDr VINCHON-PETIT Sandrine D.E.S.C de CancérologieDr DESSERTENNE Grégory D.E.S.C de Chirurgie VasculaireDr CIOATA Ioana D.E.S.C d’AddictologieDr DUGENET Joëlle D.E.S.C d‘Addictologie CliniqueDr DUBOIS-GOSNET Christine D.E.S.C d’Allergologie et Immunologie CliniqueDr JESTIN-DEPOND Marie-Annick D.E.S.C de NutritionDr CLOTTEAU-SINAMAL Gwénaëlle D.E.S.C de NutritionDr ZINGER Marie D.E.S.C de Médecine de la Douleur et Médecine PalliativeDr GUEGUEN CLAIRE D.E.S.C de Médecine de la Douleur et Médecine PalliativeDr MOURTADA Youssef D.E.S.C de Psychiatrie de l’Enfant et de l’Adolescent

Retraité : Dr JOUANNEAU Jean-Paul, Retraité à compter du 01/04/2015 / Dr POSTIC Catherine, Retraité à compter du 31/10/2015 / Dr TROCHERIE Bertrand / Dr JOUSSEAUME Jean-François, Retraité à compter du 31/12/2015 / Dr RAHAL Jean, Dr CHARROY Margaret, Retraité à compter du 01/12/2015 / Dr LUCAS-CHAUVELON Annick, Retraité à compter du 01/02/2016 / Dr ISAMBERT Catherine, Retraité à compter du 01/03/2016 / Dr MEYER Jean-Charles, Retraité à compter du 26/03/2016 / Dr DADOURIAN Garabed - Retraité à compter du 13/04/2016 / Dr DEBOFFLE Gérard / Dr FREGER Véronique / Dr ESCOURROU Marie-Thérèse / Dr HERSON Corinne - Retraité à compter du 01/04/2016 / Dr GOMMEZ Marie-Edith / Dr TERRAL Michel / Dr GANDAR Philippe / Dr MINY Daniel / Dr GELEBART Yves / Dr GOMMEZ Edith / Dr COUTE-RUDELLE Anny / Dr BAUDRY Gérard / Dr DUMONT Patrick / Dr CAPIAUX Colette Retraité à compter du 01/07/2016 / Dr BOISDON Jean-Pierre, Retraité à compter du 30/06/2016 / Dr BAZILLON Alain, Retraité à compter du 30/09/2016 / Dr DEMOLLIENS-DREUX Gisèle, Retraité à compter du 01/01/2017 / Dr LACOMERE Jean-Luc / Dr MANCEAU Alain / Dr PALMAS Sylvette / Dr MIRAULT Caroline / Dr MONY Luc, Retraité à compter du 01/01/2017

Retraité Actif Libéral : Dr AUBIN Pierre, Dr ACHKAR Michel, Dr LABARTHE Jean-Christophe, Dr COLOM Xavier, Retraité Actif Libéral à compter du 01/04/2016 / Dr LEGRAND Serge, Dr CLOITRE Patrick, Dr TARDIF François, Dr BOUDIN Michel, Retraité Actif Libéral à compter du 01/07/2016 / Dr MOUILLEAU Dominique, Retraité Actif Libéral à compter du 22/11/2016 / Dr LETURMY Sylvie, Dr GAGNA Gilles, Dr BARES Bernard, Retraité Actif Libéral à compter du 01/01/2016 / Dr RITZ Michel, Retraité Actif Libéral à compter du 01/07/2016 / Dr LECOMTE Marie-Ange, DR DEMONCHY Patrick, Retraité Actif Libéral à compter du 01/01/2017

Retraité Actif Hospitalier :Dr DIB Antoine, Retraité Actif Hospitalier à compter du 01/07/2016

Retraité Actif Salarié :Dr JEHAN Michel Retraité Actif Salarié à compter du 31/03/2016Dr BOUR Bruno / Dr BODEREAU Xavier Retraité Actif Salarié à compter du 01/12/2016Dr CHARRIER Dominique Retraité Actif Salarié à compter du 31/12/2016