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La lettre oubliée deSigmund Freud

- Collection Humour -

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Table des matièresLa lettre oubliée de Sigmund Freud.........................................................1

Chère madame Fliess...........................................................................2Les oiseaux du paradis.........................................................................5Sont plus sacrés que le Savoir Humain...............................................7Ces civilisation arriérés et pré-historiques...........................................9Je n'en suis pas le seul imposteur, madame.......................................12Enfin, tout ça pour dire que...............................................................14L'éternel retour du Fils de l'Homme..................................................15Est encore d'actualité aujourd'hui......................................................16S'il faut choisir entre être athée et dépressif......................................17Je choisis de croire en Dieu et d'être heureux....................................18

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La lettre oubliée de Sigmund Freud

Auteur : syhemalikCatégorie : Humour

Les lettres les plus timbrées n'ont pas besoin d'être affranchies...

Licence : Art libre (lal)

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Chère madame Fliess

Chère madame Fliess,

je vous écris parce que j'ai longtemps écris à votre fils.

Je sais, vous êtes morte. Lui aussi. Moi aussi. Mais pourquoi se priverd'un peu de plaisir d'après-vie, après tout ?

Vous me direz sûrement : "Pourquoi m'écrire à moi ?"

Je vous répondrai simplement : "Parce que j'ai mal aimé votre fils et qued'où je suis je ne peux correspondre avec lui étant donné l'endroit où ilest : au paradis. De plus, j'aimais ma mère énormément et je ne peux luiparler, elle non plus."

Alors, je vous écris car je n'ai le goût de parler à personne... et que j'aiinfiniement le goût de parler de lui : de votre fils.

Cher Wilhem... notre correspondance si intense et si significative pour mavie personnelle et professionnelle me manque tant.

J'ai pourtant écris à bien des intellectuels dans ma vie, madame Fliess. Mais ce n'est que votre fils que je regrette aujourd'hui.

Tout comme je songe amèrement à cette grogne si malsaine qui nous afait interrompre aussi brutalement notre lien d'amitié.

En fait, Wilhem était pour moi - au moment où lui était déjà un hommeaccompli dans son domaine comme oto-rhino-larygologiste et que moij'errais à la recherche d'une quelconque porte d'entrée qui ne soit pas enmême temps une porte de sortie de la psyché humaine - il aura été pour

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moi, dis-je, un être essentiel dans la découverte et la percée scientifique demoi-même.

À vrai dire, il aura été plus que ça pour ma phase anale, chère madame,sinon je n'adresserais pas cette missive à votre bienheureuse consciencematernelle.

Je me dois, au passage, de vous dire qu'il vous aimait d'un amour trèscharnel, madame Fliess, et qu'il m'en parlait dans cette correspondanceentre lui et moi dont il ne reste rien de lui-même... et tout de ce que je luiai confié et écris.

Curieusement, de tous mes disciples, je crois qu'il n'y avait que WilhemReich pour comprendre ce lien particulier qui nous unissait, moi et votrefi ls . Pour comprendre que notre relation était beaucoup plusque platonique ou - plus vulgairement formulée - une simple relation"transférentielle".

Il était plus qu'un simple confident... et lorsque l'on se voyait en vitesse, encachette, nous nous enfilions par le cul comme deux superbes tapettes.

Nous nous défonçions le fion à grands coups de queue bien dure et bienferme. Nous nous éclations la rosette, la rondelle et, je me souviens qu'ilavait baptisé mon anneau rétractile du majestueux nom d'Anicette...

Voilà, vous savez tout, madame, nous étions à la fois scientifiques, bonspères de familles et bi-sexuels.

Aaaaaaaaaah, quel soulagement madame de m'ouvrir à vous ainsi et devous éjaculer cela en pleine gueule. Votre belle petite gueule de refouléevictorienne ! Car s'il vous a aimé, ce cher Wilhem, ce cher enfant "vilain",selon vous, et que vous avez élevé si mal en refoulant ses plus intimes etlégitimes pulsions envers les garçons et les hommes...

Ah, pour l'amour du Ciel, j'espère qu'il se repose bien de toutes vos

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remontrances, bien assis sur un petit nuage, comme on dit, bien entouré etbien gay en ce cher paradis... À l'ombre des anges et sous le regard deDieu.

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Les oiseaux du paradis

Parlant de Dieu, madame Fliess, que disait le petits Jésus des oiseaux,jadis ?

"Les oiseaux chantent sur une branche dénudéeô croyant, ne le peux-tu pas aussi ? "

Oups ! pardon madame , mi l l e f o i s pardon ! Ce la n ' e s t pasparoles de Yeshoua, c'est de Blaise Pascal, le philosophe artisan dumétier à tisser, lui-même métier à tisser étant arrière grand-père del'ordinateur ENIAC.

Et quoi dire de Ernest Renan et sa préface à "sa" version de la Vie deJésus ?

"Il y a eu des vols d'oiseaux, des courants d'air, des migraines qui ontdécidé du sort du monde. (Vie de Jésus, Préface)"

Mais ma citation préférée, madame Fliess, pour en revenir à l'homme del'an zéro, à celui qui détermine le calendrier encore aujourd'hui, 2000après sa naissance, l 'homme qui a mis à genoux en 500 ans derésurrection perpétuelle l'empire Romain éternel et qui a détourné tous leschemins menant à Rome vers la tombe et l'Éternel, qu'a-t-il dit de plusfondamental sur les oiseaux, ces psychopompes étranges véhiculant nosâmes depuis la nuit des temps vers le septième Ciel ?

Ceci : "Regardez les oiseaux du ciel: ils ne sèment ni ne moissonnent, etils n'amassent rien dans des greniers; et votre Père céleste les nourrit. Nevalez-vous pas beaucoup plus qu'eux?"

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Mais l'a-t-il simplement dit lui-même ou l'a-t-il simplement inspiré àMatthieu, qui écrira son Évangile en araméen, langue parlée par Yeshouaen Galilée ?

Et ces mêmes oiseaux dont il parle, qu'en ferons-nous, ma très chère dame,lorsqu'il dit aussi :

"Les renards ont des tanières, et les oiseaux du ciel ont des nids; mais leFils de l'homme n'a pas où reposer sa tête."

"Le Royaume des Cieux est semblable à un grain de sénevé qu'un hommea pris et semé dans son champ. C'est bien la plus petite de toutes lesgraines, mais, quand il a poussé, c'est la plus grande des plantes potagères,qui devient même un arbre, au point que les oiseaux du ciel viennents'abriter dans ses branches."

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Sont plus sacrés que le Savoir Humain

Comme vous le voyez, madame, ce bon Matthieu qui fait parler ainsi lepetit Jésus à propos des oiseaux, est-ce vraiment un hasard s'il étaitpercepteur d'impôts au moment de devenir apôtre du voyageur Nazaréen ?

Vous savez, madame Fliess, je vous taquine, car il est très aisé de croireen Dieu lorsque vous vous adressez aux Hommes du paradis, comme je lefais avec vous aujourd'hui, vous qui êtes tout aussi "morte" que moi aujour d'aujourd'hui...

D'ailleurs, lorsque Zeus lui-même décochait des éclairs du haut du Ciel, ilavait beau jeu de dire qu'il atteignait toujours sa cible. Sa cible premièreétait la terre, cet imbécile ! Un autre connard d'hypocrite dans mon genreengendrant sa progéniture comme un putain de puritain puéril ets'enfuyant ou niant son forfait comme un vulgaire gredin. Oui, le grandZeus, le beau Jupiter si fier, rien qu'un petit pervers polymorphe lui aussiincapable de bander droit avec sa propre déesse de femme ! Tous lesdieux de l'Olympe, qu'étaient-ils avant Dieu lui-même ? Une bande debandits de grands chemins incapables d'agir sur terre à leur guise ! Toujours en train de faire la cour à ceux qu'ils enviaient : les simplesmortels. Si "simples" que le mystère de leur mort, de leur héroïsme et dumystère de leur chair éphémère n'a jamais été surpassé par la prétendueéternité mensongère de cette ribambelle de dieux disponibles en brocante !

Quelle connerie monumentale que l'Olympe des Grecs, madame Fleiss ! Quelle gigantesque stupidité que celle des Égyptiens même ! Eux, et leurpetits crétins mi-hommes mi-animaux, quelle risée intersidérale, c'est moiqui vous le dit du haut des Cieux, madame Fliess !!!

Vous souvenez-vous avec quelle aisance Moïse a investi leur palais,travesti leurs coutumes ridicules, déchiré leurs costumes ridicules et mis

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fin dans la plus grande douleur qui soit à leur outrecuidance du Nil ?!

Avez-vous vu comment un juif seul à mis en déroute un pharaon, unsupposé dieu vivant déposé sur terre ? L'avez-vous vu libérer tout unpeuple de l'esclavage ancestral de tous ces bâtards centenaires ayant bâtileur suprématie sur les tombeaux de tous leurs précédents rois ?

La Vallée des Rois, quelle bonne blague comparée aux incroyablesvestiges du Roi Salomon !

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Ces civilisation arriérés et pré-historiques

Je vais leur en foutre du sacré dans le domaine agnostique et athée, moi,madame Fliess !

Vous savez, madame Fliess, aux dernières nouvelles, je suis mort en niantl'existence de Dieu.

J'aurais aussi pour complice un petit botaniste anglais du nom de Darwinainsi qu'un moustachu Allemand dont le père était pasteur et qui écrivaitdans ses petits cahiers de Pförta des poèmes élégiaques à la gloire duCréteur du Ciel et de la Terre.

J'aurais aussi pour allié un gros con de Juif ayant fait de l'anti-juiverie unsport international avant même que les allemands de Hitler ne s'emparentdu pouvoir : Karl Marx. Marx, le "prophète", tellement bon en matière deprophétie qu'il prédisait la naissance de son fameux communisme en terred'Allemagne alors que son remède-miracle a pris racine en Russie ! Unpays qu'il méprisait lui-même parce que trop rempli de paysans remplisd'opium spiritiel.

Quel gros énorme connard, madame ! Quelle belle bande de minables !

Oui, madame, même moi, avec mon "ça", mon "surmoi" et mon "moi" toutneuf, à peine sorti du début du XXe siècle, je n'ai RIEN inventé oudécouvert du tout.

C'est triste à dire, mais je ne suis qu'un misérable imposteur cherchantfortune et gloire en copiant la trinité, madame.

J'ai copié la bible en la traduisant en charabia allemand bizarre ne faisant

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que reprendre le Père, le Fils et l'Esprit Saint du petit Jésus, madameFliess.

Car qu'est-ce que le "ça", les pulsions subconscientes d'originesupposément infra-humaine, intra-terrestre ou supra-individuelle, sinon ceque l'on qualifie d'Esprit Saint et qui vous tombe dessus en languesenflammées au moment d'aller faire votre marché à travers le mondepropager la Parole divine au lendemain de l'Épiphanie ? Mais faireréférence à la Bible aujourd'hui... c'est faire preuve d'anachronisme,n'est-ce pas ? On voit bien à quel point la religion a quitté la sphèrepublique avec des hommes d'État supposément laïc comme Georges W.Bush, Nicolas Sarkozy et Vladimir Poutine...

Et qu'est-ce que le "surmoi", sinon une version désacralisée du Pèrespirituel de la chrétienté ? La trinité qui ne forme qu'UN. Le Père quicrée l'Homme à son image et à sa ressemblance, qu'est-ce, dans le fond ? Sinon ce vestige d'autorité ancestrale que chaque être humain traîne aufond de lui-même de toute éternité ? Si Dieu est triplement unique,comment l'homme dans son exploration interne ne pourrait-il pas êtreautrement triplement unique lui-même ? Comment, s'il est l'imageréflexive de ce qui L'a créé autre chose qu'une reproduction finie del'infiniement Bonté divine ? La Bonté divine, on y croit guère en temps deguerre et de famine, je sais. Mais si Cette Chose qui nous avait crééeavait raison comme nous avons toujours raison jusqu'ici de toute cetteintelligence artificielle que nous créons, les lois de l'informatique et de lacybernétique ne sont-elles pas elles aussi des règles empruntantcurieusement aux commandements divins ?

Si le "moi" n'est rien d'autre qu'une pâle copie du Fils énuméré par latrilogie du Père, du Fils et du Saint-Esprit, est-ce que cela ne remet pas enquestion la supposée débâcle de l'Orgueil humain ?

Car où est-il écrit que le centre de l'Univers est le meilleur endroit pournaître et vivre ?

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Où est-il écrit que le Haut de la pyramide est toujours le meilleur point devue à prendre afin de percevoir le monde tel qu'il est en Réalité ?

Et qui a dit ce qui a été écrit sur les origines mythologiques de l'êtrehumain exactement ?

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Je n'en suis pas le seul imposteur, madame

De plus, n'est-il pas un peu facile de remettre en question un Savoirspirituel qui a permis à la Race humaine de survivre pendant des sièclessous prétexte que quelques curés en sarau blanc peuvent mettre enveilleuse Dieu et exposer aux yeux du monde leur Science sans conscienceet tout à fait relative, madame Fliess ?

Et tous ces supposés philosophes et tous ces philologues patentés quidisent se remettre en question constamment et qui fuiraient devant vous sijamais vous leur brandissiez une croix en leur posant la question àlaquelle leur petite enflure athéiste ne pourra jamais répondre : d'oùvenons-nous exactement ?

Tous ces beaux parleurs qui font commerce avec l'Homme en lui vendantau prix fort des idées supposément savantes alors qu'elles ne sont que defumeuses théories élaborées pendant des décennies de stupiditésuniversitaires bien encadrées sur le mur du petit salon de thé où ils s'envont discourir du Destin d'une humanité qu'ils n'arriveront jamais àmodifier autant que Celui qui a parti le bal du calendrier chrétien, quisont-ils exactement ses frustrés de l'Obscurité infantile ? Qui sont tous cesgens qui nous font prendre des vessies pour des lanternes en nousbanlançant par la tête sottises et balivernes ? Eh oui, madame Fliess : desimposteurs, tout comme moi.

Et je ne suis pas le seul intellectuel borné, boursoufflé d'égoïsme etparcouru de vanité insondable ayant vécu sur cette planète hasardeuse,madame.

Non, nous sommes des milliers à avoir entraîné l'humanité dans un"progrès" lamentable.

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Honnêtement, madame, le summum du progrès, pour les bâtards de Dieuque nous sommes, nous les athées, c'est la bombe à neutron : une arme dedestruction massive qui s'abat sur la Création divine et qui ne laisse aprèscoup que des ruines en équilibre fragile sur ses fondations.

Les fondations de la Civilisation actuelle, vous voulez les connaître,madame Fliess ?

De la merde à peine séchée. Voilà sur quoi est bâtie toute la pneumasophia, toute la pneumosophie humaine.

Tout le Savoir et toute la Sagesse accumulée depuis le fond du fond desâges de pierre, bien profondément enfoncés dans la parabole de la cavernechère à Platon, c'est ça : de la cendre qui se prend pour du papierinaltérable, ininflammable, inconsummable à travers le temps et à traversles Âges...

Mais qu'est-ce qu'une "pneumosophie" sinon une science humaine(imparfaite de par ses origines humaines, justement) et qui déblatère à tortet à travers sur le Mystère de la Vie.

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Enfin, tout ça pour dire que...

Vous savez madame Fliess, le Savoir n'arrivera jamais à vous nourrirconvenablement si nous ne comprenons pas une fois pour toute une chose :la Croyance en Dieu ne devrait pas être si vulgairement, si stupidement etsi grossièrement remise en question par quelques siècles de supposéesLumières.

Tout cela n'est que vanité, délire de persécution puéril de la part d'enfantsgâtés par leur famille, le temps ou la soif de gloire et de reconnaissance.

Était-ce vraiment nécessaire d'accoucher du Léviathan si Hobbes construitson État tentaculaire et totalitaire autour d'un récit biblique ancien pourfinalement aboutir à une ligne : l'Homme est un loup pour l'Homme ?!

Quelle connerie ! N'importe qui ayant des bases très sommaires enbiologie animale vous dira que le chien - le meilleur ami de l'Homme,comme chacun le sait lorsque celui-ci est bien nourri et bien dressé - est ledescendant du loup domestiqué. N'importe qui sachant chasser cet animalsacré chez les amérindiens vous dira que le loup est un animal social -comme Aristote l'enseignait déjà à Alexandre le Grand avant que cedernier conquiert l'un des empires les plus vastes de l'Antiquité.

Enfin, tout ça pour dire que... 14

L'éternel retour du Fils de l'Homme

À quoi rime cette citation de Nietzsche lui-même ("Dieu est mort..."), celuiqui se qualifiait lui-même d'anté-christ, si nous ne complétons pas laphrase écrite de sa main (... car nous l'avons tué.") ?

Vous allez vraiment me dire, madame Fliess, que j'ai tort ? Que votre filserrait avec la numérologie ? Pourquoi la bible, le premier livre imprimésur les presses de Gutenberg était-il numéroté de la première à la dernièreligne ?

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Est encore d'actualité aujourd'hui

Ah, oui, nous devrions dire versets. Je sais, madame...

Au commencement était le Verbe.

Si vous voulez savoir comment se poursuit l'Histoire humaine, vous n'avezq u ' à v o u s d e m a n d e z q u ' e s t - c e q u ' u n " v e r s e t " v e r s é s a n sarrière-pensée dans le coeur d'une femme...

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S'il faut choisir entre être athée et dépressif

Et si "amen" veut dire "oui" en latin, il s'agit d'un "oui" envers quoi,madame ?

Envers ces choses merveilleuses qui constituent la Vie même : l'uni-vers-sel. Le seul et unique sel de la Vie.

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Je choisis de croire en Dieu et d'êtreheureux

Le seul sel de la Vie possible, madame Fliess ! Celui préservant l'âmehumaine de la putréfaction pestilentielle spirituelle toujours possible.

Je choisis de croire en Dieu et d'êtr... 18

PDF version Ebook ILV 1.4 (décembre 2009)