Les mortiers1ère partie : Les mortiers et coulis2ème partie : Les mortiers pour chape3ème partie : Les mortiers et coulis de réparation4ème partie : les mortiers de scellement et calage

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Qu’est-ce que le mortier ? (1) Liant+sable + (éventuellement) adjuvant et/ou

charges + eau Liant : ciment, chaux, plâtre ou bâtard Mortiers bâtard :

Ciment : résistance mécanique et durcissement Chaux : apporte la plasticité

Préparation : Sur chantier, prédosés ou en centrale

Conditionnement : 5 à 25 kg

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Les mortiers fabriqués sur chantier (1) Sables siliceux, silico-calcaires Granulométrie de préférence continue Dosage en poids (risque de foisonnement)

Sable humide Adjuvants : toutes catégories

Plastifiants, hydrofuges, retardateurs,etc.… Dosage de 300 à 400 kg/m3 200 litres d’eau maximum (courant avec ciment)

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Les mortiers fabriqués sur chantier Exemple avec mélangeur

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Les mortiers industriels ses prémélangés Contrôle à tous les stades de leur élaboration Avantages :

Prédosage de composition constante Pas de stockage sur place Perte de temps limitée Chantiers plus propres Adjuvantation contrôlée Conditionnement : sacs de 10 à 50 kg

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Les mortiers frais retardés stabilisés, prêts à l’emploi Genre « Delvocrète » Stockage, utilisation jusqu’à 36 h Simplification, amélioration des conditions de

travail Conditionnement : bacs de 250 à 500litres Mortiers de fibres (verre ou polypropylène)

Cohésion supérieure, moins fissurable) Application : chapes, ragréages

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Les emplois des mortiers Les joints de maçonnerie

Norme XP P 10-202 (DTU 20) Les enduits : principale application

Norme P 15-201 (DTU 26.1) Beaucoup de procédures d’Avis Technique

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Les chapes Mise à niveau et finition des dallages Adhérente ou flottante Incorporation de produits spécifiques

Durcissement de surface… Eventuellement :

Fonction thermique ou acoustique Norme P 14-201 (DTU 26.2) Cas particulier des chapes anhydriques

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Applications Exemples

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Les coulis Mélanges fluides

Charges fines < 0,3mm + liants hydrauliques + adjuvants

Coulis d’injection : liants spéciaux Suspensions d’argile, bentonite

Domaines d’application Remplissage de cavités, fissures dans les roche Sols, ouvrages bétons ou maçonneries

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Techniques particulières de mise en œuvre Projection

Enduits monocouches, enduits isolants Revêtements de voûtes, de galeries, consolidation de

talus Travaux de réparation, etc.

Injection de mortiers ou coulis Principal problème à résoudre : l’injectabilité

Composition, pression, Fluidité, etc.

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Application Pot de projection et machine à projeter

équipée de lance

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Les mortiers pour chapes (2ème partie) Rôle de la chape :

mise à niveau de la dalle et régularité de la surface

Support de revêtement, ou isolation incorporée Réglementation : DTU 26.2

Pour les bâtiments industriels, agricoles, sportifs : Font l’objet de prescriptions particulières

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Différents types de chapes Les chapes adhérentes

Incorporées : mortier incorporé avant la prise du béton (support encore humide)

Rapportées (le plus fréquent) Problème d’adhérence à assurer (adjuvant)

Les chapes flottantes Ouvrages totalement désolidarisés (Ex : couche

isolante résiliente) Règlement des bruits d’impact (jusqu’à 25 dBa)

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La réalisation des chapes (1) Les chapes adhérentes

Les chapes incorporées Béton pas encore frais, surface rugueuse, griffage Sable 0/3, ciment Portland classe 32,5 , 350kg/m3 Consistance ferme, épaisseur de 15 à 25mm Mortier étalé, réglé, taloché et éventuellement lissé

Les chapes rapportées Souvent en deux passes avec incorporation de

produits adjuvantés Epaisseur 3 cm, dosage 350 kg/m3

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Exemples de réalisations de chapes (1) Cas d’un chantier

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Exemples de réalisations de chapes (2) Finition, lissage

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Cas des chapes flottantes Interposition entre la dalle support et la chape

d’une couche de désolidarisation Horizontale et verticale Film, sable, isolant, etc.

Mortier ciment (classe 32,5), 350 kg/m3 Armée ou non d’un treillis (à cœur)

Mailles 50x50 mm Au moins 5 à 7 cm par expérience

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Les enduits de lissage pour sols intérieurs Enduits autolissants

A base de résine, adjuvantés, avec charges, etc. De 3 à 10 mm d’épaisseur Destinés à recevoir les revêtements de sols

habituels : textiles, plastiques, carrelage, etc. Conditionnés ils ne nécessitent que de l’eau

Les finitions spéciales ( carborandum ) Résistance à l’abrasion, aux chocs, etc.

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Cas particuliers pour les chapes Les joints de fractionnement

25 m2, tous les 8m en diagonale La cure du mortier

Films plastiques, produits de cure, etc. Les chapes pour sols industriels

Exigences multiples, au cas par cas Problèmes de résistance, de température (chambres

froides), voire chimiques, etc.

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Les mortiers et coulis de réparation ( 3ème partie ) Quand répare-t-on ?

Reprofilage du béton, reconstitution de la protection des armatures, rétablir l’étanchéité, etc.

Les causes des dégradations Phénomènes purement chimiques : carbonatation Phénomènes physiques : dilatation, gel, etc. Phénomènes physico-chimiques : retrait, sels, etc.

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La reconstitution du béton de surface Les domaines d’application Les mortiers utilisés Mortiers à base de liants hydrauliques Mortiers à base de liants de synthèse L’exécution des réparations

Préparation des supports Mise en œuvre du mortier

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Les traitements des fissures Domaines d’application et matériaux utilisés

(a)

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Les traitements des fissures Domaines d’application et matériaux utilisés

(b)

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Mise en œuvre des mortiers et coulis Suivant les recommandations du STRRES

Suivant les normes en vigueur Série de NF P 95-101 à 95-107

Les recommandations du Laboratoire LCPC

Sans oublier les Avis Techniques, etc.www.jexpoz.com

Exemple de réparations (a) Rejointoiement

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Exemple de réparations (b) Réparation classique

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Les scellements et les calages (4ème partie) Les domaines d’emploi Les exigences

Absence de retrait Caractère expansif du mortier Résistance au jeune âge Autres caractéristiques

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La composition Ciment forte résistance classe R (52.5) Ciment prompt ou alumineux Sable propre, roulé (0/3) Expansif Dosage 600 à 700kg/m3 de sable E/C entre 0,4 et 0,5 Adjuvants divers + fibres d’acier

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Les scellements Scellement de tiges Scellement de regards Assemblage d’éléments préfabriqués

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Le calage (1) Utilisation de mortiers spéciaux souvent à

base de résines Fluidité sans retrait ultérieur Opération longue, coûteuse et délicate Mortiers mises en place par injection ou

gravité Travail de professionnel

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Le calage (2) Exemple

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