N° 34 • Janvier 2011

““BBIIMM--IIFFCC--llee--rreettoouurr……ssuurr iinnvveessttiisssseemmeenntt !!””Avantages, gains, économies,qualité et profits sont les véritablesfinalités de la généralisation du BIM-IFC dans la filière BTP.

Ces colonnes permettent depuisplus de trois ans de présenter demultiples témoignages concretsde projets, de développements,de mises en pratique de cettenouvelle technologie, de ces nouvelles méthodes.L’accompagnement des utilisateurs, des éditeurs de logiciels, des industriels decomposants et des enseignantsreste et restera encore longtempsun axe de travail indispensablepour Mediaconstruct et ses membres.

Abordons cette nouvelle annéesous un angle différent, celui qui constitue l’objectif final en quelque sorte du passage à la maquette numérique : son “retour sur investissement”,au sens large du terme. Les expériences abouties commencent à se multiplier sur des projets prestigieux, voireemblématiques et assurémentmagnifiques, telle la “Canopéedes Halles” à Paris. Nous continuerons à rendrecompte de ces “success-stories”,sans oublier de présenter lestémoignages de remarquablesinitiatives privées et publiques, à l’image de l’enseignement du BIM en Bac Technologiqueen région Alsace.

Alain MauryDélégué Général de MediaconstructBuildingSmart ExCom member

Un serveur BIM qui rendservice…

Architecte DPLG depuis six ans et trèsintéressé par l’informatique appliquée àl’architecture, Jean-Baptiste Boulangera d’abord pensé faire carrière dansl’enseignement et la recherche.Aujourd’hui, il s’est finalement installé àson compte en montant l’agence d'ar-chitecture Archicube, à Limoges.

LLee pprroojjeett ddee SSaaiinntt--PPaarrddoouuxx L’été dernier, l’Office Public del’Habitat de Haute-Vienne (ODHAC) aconfié à Archicube la réalisation de six pavillons destinés aux personnesâgées, ainsi qu’une maison des services(salle polyvalente) à Saint-Pardoux (87),

tout cela selon les exigences BBC. “Jetravaille avec deux autres concepteurssur ce projet de 720 m2 : Jean-CharlesDelage (architecte DPLG) et BenoîtReinhard (maître d’œuvre), indiqueJean-Baptiste Boulanger. Nous avonslivré la phase APS en décembre der-nier et prévoyons six mois de travauxdès le printemps”.

UUnn ttrraavvaaiill àà ttrrooiiss Pour travailler à trois en conception surce projet, les architectes ont mis enplace un serveur BIM sur Archicad 14dès la phase esquisse. Accessible vial’intranet de l’agence ainsi qu’inter-net, la maquette numérique est tra-vaillée par les architectes en tempsréel. “Chacun dispose de tous lesdroits sur le projet, reprend l’archi-tecte. Cepen dant, afin que nos modi-fications soient coordonnées, il est

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Pratiquant le BIM au quotidien, l’agence Archicube a franchit un nouveau pas en mettant en place un serveur BIM pour la réalisationd’un de ses plus gros projets. Selon les architectes, l’outil permet de réaliser, dans les temps, un travail collaboratif de qualité.

édito

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BONNE ANNÉE !

impossible de modifier en même tempsles mêmes objets. Pour chaque famille(murs, planchers…), les droits s’attri-buent à une seule personne à la fois.Dans l’urgence, procéder de la sortepermet d’éviter les écueils. La concep-tion à trois devient un jeu d’enfant et iln’y a aucun risque de perte d’informa-tion.”

IInnssttaallllaattiioonn ddee ll’’oouuttiill BBIIMMLe passage d’Archicad du mode localau serveur n’a pas de mandé de tempssupplémentaire aux architectes. “Il est

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Comme nombre de collectivités terri-toriales, le Conseil Général du Haut-Rhin, confronté à l’élargissement deses compétences, ainsi qu’aux exi-gences énergétiques des bâtiments, abesoin de mieux connaître son patri-moine. À l’initiative de Vincent Bildstein,architecte DPLG à la Direction de l’ar-chitecture de la Région, une vasteopération de numérisation de 800 000 m2

de plans a débuté il y a trois ans.“Aujourd’hui, nous avons intégré lesplans d’architectes de plus de la moi-tié de notre patrimoine sur Archicad,précise l’architecte. L’avantage est

que nous possédons désormais unfichier référent unique pour chaquebâtiment, ce qui permet une mise àjour simultanée de tous les plans etcoupes par ouvrage.”

UUssaaggeess eett éécchhaannggeess ddee ddoonnnnééeessN’ayant pas trouvé de logiciel de ges-tion de patrimoine répondant à leursbesoins en IFC, le Conseil Général adéveloppé en interne une applicationen “mode web”, afin de rendre l’infor-mation disponible pour les chargésd’opérations. Respon sables de lamaintenance des sites, ces derniersont besoin de données à jour afin deréaliser des comparatifs, de détecterles bâtiments énergivores… “Les informations sont extraites d’Ar -chicad en IFC et intégrées à la base,reprend Vincent Bildstein. Il s’agitnotamment des plans, des surfaces,des volumes, des réfé rences cadas-trales et administratives… Nous pré-voyons même d’exporter des viewers3D d’Archicad vers la plateforme pour

Soucieux de mieux gérer sonpatrimoine, le Conseil Général duHaut-Rhin a entamé il y a trois ansla numérisation de ses bâtiments.Ce travail l’a conduit à développerune base de données en “modeweb”, afin de faciliter des échangesde type IFC entre logiciels.

permettre auxutilisateurs dese promenervirtuel lementdans les édi-fices !” À l’au-tre bout de lachaîne, des lo -giciels mé tiersen “full web” seront reliés à la base dedonnées afin d’importer les donnéessouhaitées et ce, par des requêtes enmode local ou à distance. “Dé sor -mais, nous effectuons les plans desécurité en interne, ce qui est un réelretour sur investissement”, conclutl’architecte.

Impatient de récupérer directe-ment les données IFC auprès de lamaîtrise d’œuvre, Vincent Bildsteinprévoit d’ores et déjà de réclamerun DOE en IFC, conformément àson cahier des charges, lors desprochains gros projets de construc-tion ou de rénovation. �

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DDuu tteemmppss ggaaggnnéé àà ttoouutteess lleess ééttaappeessEn cours de projet, les architectes sesont vite rendu compte qu’ils avaientfait le bon choix. “Nous n’imaginionspas que le serveur BIM nous offriraitautant d’avantages, avoue l’archi-tecte. Et en premier, celui de simplifierla validation de la maîtrise d’ouvrage.La visualisation du projet en 3D permetà cette dernière de comprendreimmédiatement l’avancée du projetet de nous faire part de ses commen-taires de manière beaucoup pluséclairée qu’avec les habituels plans

en 2D”. Le serveur BIM faci-lite également le travail col-laboratif entre les trois ar chi -tectes et permet de gagnerun temps précieux lors de laréalisation des dossiers deplan. “Il nous reste à espérerque les bureaux d'étude s’ymettent aussi car pour lemoment, nous n’a vons pasde passerelle directe entreleurs logiciels et notre ser-veur, conclut Jean-BaptisteBoulanger. Enfin, nous vou-lons essayer d’utiliser le ser-veur BIM jusqu’à la remisedu DOE (dossier des ou -vrages exécutés)”. Affaire à suivre ! �

tout de mê me né cessaire d’avoir unebonne maîtrise de l’informatique pourinstaller le BIM serveur, détaille Jean-Baptiste Boulanger. Les probléma-tiques réseau sont en effet les plus dif-ficiles à régler d’une ma nière gé né -rale. Les architectes ont donc intérêt àse former là-dessus s’ils veulent profiterde la technologie BIM !” Une fois lesupport informatique en place, lesarchitectes ont modélisé au maximumles bâtiments : surfaces, murs, équipe-ments, cloisons, portes, fenêtres, cou-verture...

Conseil Général du Haut-Rhin

Des échanges IFC en mode web

e pression

Le Bac Technologique s’ouvre au BIM Professeur certifié, ALAIN JUNG enseigne le Génie Civil en lycée technique. Actuellement en poste au Lycée Le Corbusier près de Strasbourg (67), il s’est intéressé au BIM il y a plus de cinq ans au point de s’en servir comme outil pédagogique. Aujourd’hui, la réforme du Bac Technologique va lui permettre d’aller plus loin dans l’appropriation de l’outil collaboratif.

>> EEnn qquuooii ccoonnssiissttee llaa rrééffoorrmmee dduu BBaacc TTeecchhnnoollooggiiqquuee ??Attendue depuis longtemps, la réformede ce Bac Sciences et Technologies del’Industrie et du Développement Durable(STI2D) met en place un enseignementtechnologique transversal commun àtous les élèves. Elle permet à ces der-niers d’approfondir leurs compétencesen choisissant un des quatre enseigne-ments d’approfondissement suivant :Architecture et Construction (AC),Innovation Technologique et Éco-conception (ITEC), Système d’Infor -mation et Numérique (SIN) ainsi queEnergies et Environnement (EE).

>> QQuueellss ssoonntt lleess oobbjjeeccttiiffss ddee cceettttee éévvoolluuttiioonn ??Il s’agit tout d’abord de retrouver lacohérence entre la filière de formationprofessionnelle (Bac Pro) entièrementrénovée et les séries Technologiquesdont les programmes datent de 1992.Le second objectif est de proposer auxélèves une voie de formation qui lesprépare à la poursuite des études,

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grâce à un enseignement inductif (parl’exemple) et par une démarche deprojet. Dans le cadre de la réforme dulycée en cours, le baccalauréat Tech -nologique STI2D propose, au mêmetitre que la série générale, un accom-pagnement personnalisé des élèves.Une particularité remarquable est àrelever ; l’enseignement de la languevivante étrangère est assuré conjointe-ment par un professeur de langue etde technologie.

>> CCoommmmeenntt vvoouuss--êêtteess vvoouuss iinnttéérreesssséé aauu BBIIMM ??Ayant fait des études à l’étranger, j’aivoulu, avec une autre enseignante,com mencer à donner des cours en alle-mand et en anglais. Nous avons cherchéquelle matière pouvait être enseignéedans une autre langue et avons pensé àla maquette numérique objet. En faisantmanipuler des maquettes 3D aux élèves,nous leur apprenions ainsi le vocabulairetechnique d’une maison en anglais ouen allemand. Le BIM était ainsi pour nousun instrument pédagogique… J’ai en -suite découvert Mediaconstruct, leséchanges IFC, et je participe aujourd’huiau Club des usages.

>> VVooss ééllèèvveess ssoonntt--iillss lleess ““BBiimmeeuurrss”” ddee ddeemmaaiinn ??Depuis 2008, nous faisons travailler lesjeunes sur la maquette objet d’unpavillon pendant une semaine. Nousavons développé des séquencespédagogiques autour de ce modèlede bâtiment dans les différentes ma -

tières enseignées en cours magistral(mathématiques, étude de prix…). Cequi est sûr, c’est qu’ils s’approprientsans difficulté le BIM et le travail colla-boratif. Une fois sur le marché, ils aurontdéjà le bon comportement qui con -siste à voir les choses de manière glo-bale et à faciliter les échanges d’infor-mations entre les acteurs. Espérons queleurs futurs employeurs sauront tirerprofit de ces compétences ! �

J’ai 8 hectares, 7 niveaux, 800 000 visiteurs et 150 000clients par jour, 4 km de voirie souterraine, 8 lignes de transport public… Qui suis-je ?Le forum des Halles ! Ce complexe niché au cœur de la capitale va bénéficier d’une véritable remise à neuf, viaun chantier titanesque. Parmi les 7 projets de réhabilitationprévus, la réalisation d’un gigantesque toit de verre, “la Canopée”, qui sera réalisée par l'agence d'architectureBerger et Anziutti. Pour la phase de consultation des

entreprises, la société DeCoDe, en partenariat avec le CSTB, a réalisé une maquette numérique du projet sur un environnement BIM-IFC. �> Rendez-vous au salon Imagina, le 2 février, pour découvrir les résultats de ce travail qui représente une première en France !> www.imagina.mc

EN BREF

Une future vitrine de verre pour le BIM

La parole à … JEAN-JACQUESOSTERMEIER, Inspecteur d’académie,Inspecteur pédagogique régional dessciences et technologies industrielles(Académie de Strasbourg).

>> EEnn qquuooii llaa rrééffoorrmmee rreejjooiinntt--eellllee llaa pprraattiiqquuee dduu BBIIMM ??La nouvelle voie Technologique ren-force l’usage des TICE, invite au déve-loppement de compétences collabo-ratives et s’ouvre aux démarches lesplus innovantes. Dans ce cadre, lesconstructions et ouvrages d’art serontà considérer dans leur cycle de viepar une approche de “ConceptionGlobale Numérique” (CGN) déployéepar des jeux de rôles “métiers”. Cettenouvelle didactique incite aux travauxcollaboratifs à distance, déployés autravers de projets interdisciplinaires,dans des réseaux d’établissements,dans des échanges internationaux etavec le monde professionnel. Cetobjectif pédagogique pourra êtrepleinement atteint grâce à la mise enœuvre du concept BIM-IFC. �

À l’initiative du Collège“Etablissementd’Enseignement et de Recherche” de Médiaconstruct, trois partenaires principaux(l’Université de Valenciennes,l’école des Ponts ParisTech et Mediaconstruct)ont été lauréats d’uncontrat présenté àl’Université NumériqueIngénierie et Technologie(UNIT) (voir aussi eXpertisen°28, p3). Ce dernier officialise la mise à jour et l’étendue d’un coursinteractif à distance,existant depuis 5 ans, sur le thème de l’interopérabilité et de la maquette numérique.“Ce cours pourra être utilisé dans le cadre d’une-Master, via des ateliersprojets collaboratifs ausein de plusieurs écolesd’architecture, d’ingénierieet d’économie de laconstruction”, indiqueRoland Billon, vice-présidentde Mediaconstruct.D’autres partenairescomme le CSTB, des chercheurs d’écoles d’architecture de Versailleset de Marseille ainsi que des experts deMédiaconstruct sont associés à ce projet. �

> Accéder au cours actuel :http://tourl.fr/aicy

EN BREF

L’e-coursd’UNITbientôt à jour

La newsletter du BIM est éditée par : Alain Maury,

Jean-Baptiste Boulanger, RolandBillon, Laurent Ortas, Patrick Garcia,Eric Lebègue, Alain Jung, VincentBildstein, Jean-Jacques Ostermeier. Conception et réalisation : Janvier 2011.

AGENDA

La Commission “Structuration des données” del’AIMCC témoigne de l’intérêt prioritaire que portentles industriels de la construction à la dématérialisationet aux échanges d’informations électroniques issuesdes e-catalogues des fabricants. PATRICK PONTHIER,délégué Général de l’Association, dresse un bilande l’année 2010.

Le bilan 2010 de l’AIMCC

L’année 2010 a marqué un véritable tour-nant dans la sensibilisation des industriels àla mise en place des échanges de don-nées électroniques de leurs produits dansle domaine de la prescription. Nous misonsbeaucoup sur les actions initiées en 2010afin d’accélérer l’appropriation deséchanges de données électroniques parles industriels. Voici les actions menées :

LLaa mmiissee eenn ppllaaccee dd’’uunn bbllooggUn nouveau blog d’informations (www.codebtp.com) sur la structuration des données, déve-loppé dans le cadre de notre participationau programme TIC PME 2010 avec Media -construct, permet aux industriels d’y retrou-ver des informations et de faire part de leursbesoins ou interrogations (cf. eXpert n°29).

UUnn mmooddèèllee ddee ddeessccrriippttiioonn pplluuss uunniivveerrsseell :: llee DDTTHHHistoriquement développé avec Edibatecet GS1, le standard de description (SDC) aété repris par l'AIMCC sous le vocable deDTH (Dictionnaire Technique Harmonisé)pour y introduire une approche horizontaledes informations produit par domaine etnon plus une approche verticale par métier.L’AIMCC cherche à normaliser la structura-tion des données techniques (le standardde description), en s’appuyant sur des infor-mations communes à tous les industriels,notamment celles contenues dans lesnormes produit européennes harmoniséesconduisant au marquage CE, ainsi que lesFDES (fiches de données environnementaleset sanitaires des produits). Ce dictionnaireest aujourd'hui en accès libre et gratuit. Il

est ouvert aux industriels qui peuvent endemander l'enrichissement en permanencedepuis le blog codebtp.com, rubrique DTH.

DDeess iinntteerrvveennttiioonnss ppoouurr pprréésseenntteerr llaa ppoossiittiioonn ddeess iinndduussttrriieellssL'AIMCC souhaite porter l’expérience ac -quise auprès des syndicats d’industrielsvers la collectivité. Plusieurs réunions ontainsi eu lieu avec des syndicats profession-nels (Sycabel, Profluid, Filmm...). L’AIMCCveut également renforcer la coopérationavec tous les acteurs de la construction etest intervenue sur plusieurs salons.

LLaa nneewwsslleetttteerr eeXXppeerrttDans l’espace réservé aux industriels, lesacteurs sont informés de l’actualité et duretour d’expériences des industriels ou deleurs partenaires sur les besoins liés auxéchanges d’informations produit.

LLeess aaccttiioonnss eennvviissaaggééeess eenn 22001111Cette année, nous allons poursuivre nos tra-vaux engagés dans 5 grandes directions : • le DTH ainsi que son portage au niveaueuropéen (partenariats avec AFNOR, AFO-CERT...) ;• l'approfondissement de la définition dessystèmes dans les outils informatiques et enparticulier la maquette numérique ;• les échanges avec les différents acteurs telsqu’Edibatec, le CSTB et l’Inies, Atita, Pluristop... ;• les formations, indispensables pour maîtriserla structuration des données ;• les communications et expérimentations. �

> Lire l’article complet ici : http://tourl.fr/ahyl.

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Connectez-vous sur www.mediaconstruct.fr, onglet accueil/lettres électroniques ou :www.mediaconstruct.fr/index.php?q=node/200"

e pertiseLA NEWSLETTER DU BIM

> Recevez > 3 février FFoorrmmaattiioonn BBIIMM eett DDTTHHInterbat Formations, 4 av. du Recteur Poincaré, Paris 16Cette journée, menée par Pluristop et Interbat formations, portera sur “L'essentiel des donnéesProduit pour la maquette numérique”. Elle aidera les industriels à se positionner sur un standard bientôt incontournable.

Informations et contact : 01 55 74 62 50 http://tourl.fr/aicw

> 9 février FFoorrmmaattiioonn ppoouurrqquuooii eett ccoommmmeenntt ppaasssseerr aauu BBIIMM ??Interbat Formations, 4 av. du Recteur Poincaré, Paris 16Dispensée par l’agence Laurenti, la formation permettra aux maîtres d’ouvrage de découvrirles atouts du BIM pour sa gestion de patrimoine et de le mettre en œuvre dans son organisation.

Contact : ferries@laurenti.com http://tourl.fr/aicx

Échanges de données électroniques

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