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LES APARTÉS GRAND ENTRETIEN Avec Éric Lacascade VE 06 OCT - 18:30 LE GRAND T - LA YOURTE RENCONTRE DE SCÉNOGRAPHIE Avec Emmanuel Clolus et François Corbal MA 10 OCT - 14:00 > 16:30 ENSA NANTES Avec l’aide de toute l’équipe du Théâtre national de Bretagne Rennes Production déléguée Théâtre National de Bretagne Rennes Coproduction Compagnie Lacascade, Les Gémeaux Scène nationale de Sceaux, Théâtre de la Ville Paris, MC2 : Grenoble, Le Grand T théâtre de Loire-Atlantique, Théâtre national de Strasbourg, Le Printemps de Comédiens Soutien École Nationale Supérieure d’Art Dramatique de Montpellier Languedoc-Roussillon Les Bas-fonds de Maxime Gorki traduit par André Markowicz, est publié aux éditions Les Solitaires Intempestifs Avec Pénélope Avril Leslie Bernard Jérôme Bidaux Mohamed Bouadla Laure Catherin Arnaud Chéron Arnaud Churin Murielle Colvez Christophe Grégoire Alain d’Haeyer Stéphane E. Jais Éric Lacascade Christelle Legroux Georges Slowick Gaëtan Vettier Traduction André Markowicz Collaboration artistique Arnaud Churin Scénographie Emmanuel Clolus Lumières Stéphane Babi Aubert Costumes Axel Aust assisté d’ Augustin Rolland Son Marc Bretonnière Accessoires Angéline Croissant Maquillages Catherine Saint-Sever Assistanat à la mise en scène Vanessa Bonnet Construction du décor Atelier du Grand T Régie générale Joël L’Hopitalier Régie lumières Julia Riggs Régie son Marc Bretonnière Régie plateau Marie Bonnier Habillage Charlotte Gillard LES BAS-FONDS MAXIME GORKI I ÉRIC LACASCADE DURÉE DU SPECTACLE 2h30 sans entracte audio-description vendredi 13 octobre « Satine – C’est pour le mieux que les hommes vivent, mon petit. Chacun croit vivre pour soi-même. Et bien, pas du tout. C’est pour le mieux. » - extrait LES BAS-FONDS Un matin, dans le bar d’une obscure pension tenue par Kostilev et sa femme Vassilisa, un couple de marchands de sommeil. Si tôt, ça boit déjà, ça fricote et ça bataille. Un seul travaille, Klevtch le serrurier. À quoi bon ? Il y a là Le Baron déchu, L’Acteur sans mémoire, Aliochka un punk speed, Nastia qui lit, Anna qui dépérit et Pepel qui aime Natacha, la sœur de la patronne. Qui peuple ces bas-fonds ? Déclassés, exclus et marginaux y noient dans l’alcool leur rébellion et leurs désillusions. « D’un monde ancien en train de disparaître à un monde nouveau qui n’a pas encore vu le jour, la communauté des Bas-fonds, parcelle d’humanité abandonnée, est à la dérive. […] Comment vivre quand l’abîme de la précarité, de la misère et du malheur s’ouvre chaque jour un peu plus sous nos pieds ? » (Éric Lacascade) Mais voilà qu’un vieux vagabond arrive, Louka, un sage errant, un messager trimballant avec lui le goût du vivant, de l’amour, de la dignité, accordant patience et charité. Satine, l’ivrogne invétéré, deviendra bientôt le plus fervent disciple du philosophe. « En totale rupture avec la loi, sociale et morale, les personnages de Gorki tentent de rester debout et, même, de s’envisager un avenir. De la soumission à la révolte, de la nostalgie d’un passé révolu à la fièvre de l’instant présent, ils mènent une bataille sauvage contre eux-mêmes et les autres, pour rester des hommes. Ou pourquoi pas, faire advenir des hommes nouveaux. » (Éric Lacascade) Chaque figure, à travers l’alcool, le crime ou la débauche, cherche - et parfois trouve - une poésie, une sagesse, une vérité. Il faut croire qu’avec la ruine, pourrait advenir la lucidité… D’HIER Humaniste, l’auteur russe Maxime Gorki (1868 - 1936) dépose dans la parole de Louka ses propres réflexions philosophiques et poli- tiques. Écrite en 1902, créée la même année par Constantin Stanislavski au Théâtre d’Art de Moscou, la pièce dépeint avec un réalisme amer la Russie pré-révolutionnaire. Au moment de la publication par Lénine de son traité Que faire ? - structurant une organisation ouvrière révolutionnaire et trois années avant la première révolution russe de 1905 - Gorki dessine un portrait naturaliste de la condition humaine et de la brutalité du drame social qui l’a lui-même frappé. Né Alexis Maximovitch Pechkov, dans une famille pauvre de la Volga, orphelin à 10 ans, il part à 20 ans pour une longue errance dans le sud de l’Empire russe et les régions du Caucase. Il apprend à lire, exerce de nombreux métiers pour survivre et devient journaliste sous le nom de Gorki (qui signifie amer). Dès son premier ouvrage en 1898, il obtient le succès et devient « le peintre des mutations sociales pour l’amélioration des conditions humaines. » Opposé au régime tsariste, grand ami d’Anton Tchekhov, il rejoint Lénine en 1902 puis s’en éloigne en 1913 lorsqu’après un long exil, il critique ouvertement l’autoritarisme de Lénine et la corruption du bolchévisme. De nouveau contraint à l’exil en 1921, Staline le rappelle en 1932 : il accepte les honneurs et on lui prête une position ambivalente de « poète du peuple ». De la contestation du tsarisme à la célébration du communisme stalinien, Gorki retrouve en 1936, à la fin de sa vie, l’instinct de la rébellion. À AUJOURD’HUI Pour Éric Lacascade, « Maxime Gorki est l’un des plus grands auteurs russes qui a suivi, puis critiqué les plus importants révolution- naires de son temps. Ainsi a-t-il côtoyé Staline et ses proches jusqu’aux limites du possible. » Après avoir mis en scène Les Barbares dans la Cour d’Honneur du Festival d’Avignon 2006 et Les Estivants en 2010 au Théâtre National de Bretagne, le metteur en scène souhaite « faire entendre les désirs, les utopies et les contra- dictions politiques » du poète et nous plonge avec lui dans l’obscurité des Bas-fonds. Avec pour enjeu de « rendre compte de toute la puis- sance politique, sociale et humaine de la pièce en évitant les clichés réalistes qu’une telle problématique peut provoquer. » Et ainsi, à travers le temps et la fable, à travers cette bouleversante littérature dramatique russe du début du XX e siècle, mieux comprendre notre société actuelle, en l’observant d’un regard dis- tancié. Alors, de quelle manière le théâtre peut nous parler de notre état, de ce bas monde ? AU CŒUR DU RÉEL ? Cette pension pourrait être un refuge pour SDF, un camp de réfugiés, aujourd’hui. Ici, dans un décor simple, rudimentaire fait de mé- tal, de quelques tables et d’un dortoir caché derrière un rideau de lames en plastique – ins- piré par la salle des pendus, nom donné au vestiaire des mines du nord, d’où est originaire Éric Lacascade – nous sommes au cœur d’un univers où tout est précaire. Éric Lacascade rassemble sa troupe et les jeunes acteurs sortis de l’école du Théâtre National de Bre- tagne – dont il est responsable pédagogique depuis 2012. Auteur du récent Au cœur du réel (2017, Actes Sud) il travaille à un théâtre qui repose sur le récit et le rituel, à un théâtre d’art engagé, qui œuvre par l’expérimentation corporelle et collective. Pédagogue, il milite pour le besoin d’école, la nécessité de la trans- mission, de l’apprentissage et de l’expérimen- tation, dénuée des exigences de production. ÉRIC LACASCADE Metteur en scène, Éric Lacascade étudie le droit et le théâtre à Lille où il rencontre Guy Alloucherie. Ils fondent ensemble le Ballatum Théâtre, compagnie inventive des années 1980, internationalement reconnue. En 1997, ils sont nommés à la direction du CDN de Nor- mandie. Au Festival d’Avignon, Éric Lacascade crée trois pièces d’Anton Tchekhov : Ivanov, La Mouette et Cercle de famille pour trois sœurs 2000 puis dans la Cour d’Honneur : Platonov 2002 et Les Barbares de Maxime Gorki – 2006. À l’Odéon-Théâtre de l’Europe il signe les créa- tions de Ivanov d’Anton Tchekhov – 1999 et Hedda Gabler de Henrik Ibsen, avec Isabelle Huppert. Au Centre Dramatique National de Normandie, il expérimente, pendant six ans, une école d’apprentis pour une vingtaine de jeunes artistes, immergés dans le théâtre, au contact de maîtres successifs. Cette phase intensive est complétée par un dispo- sitif d’insertion original, appelé Laboratoire d’Imaginaire Social. Depuis janvier 2012, il est artiste associé au Théâtre National de Bretagne à Rennes, responsable pédagogique de l’École supérieure d’Art Dramatique. Après y avoir mis en scène Les Estivants de Gorki – 2010, il met en scène Oncle Vania, d’après Oncle Vania et l’Homme des bois d’Anton Tchekhov – 2014 et dirige les jeunes comé- diens issus de la Promotion VIII de l’École du TNB dans le spectacle Constellations, créé in situ à l’Institut Pasteur à Rennes dans le cadre du Festival Mettre en Scène. En mars 2017, il crée à Rennes Les Bas-fonds.

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LES APARTÉSGRAND ENTRETIEN Avec Éric LacascadeVE 06 OCT - 18:30LE GRAND T - LA YOURTE

RENCONTRE DE SCÉNOGRAPHIEAvec Emmanuel Clolus et François CorbalMA 10 OCT - 14:00 > 16:30ENSA NANTES

Avec l’aide de toute l’équipe du Théâtre national de Bretagne RennesProduction déléguée Théâtre National de Bretagne RennesCoproduction Compagnie Lacascade, Les Gémeaux Scène nationale de Sceaux, Théâtre de la Ville Paris, MC2 : Grenoble, Le Grand T théâtre de Loire-Atlantique, Théâtre national de Strasbourg, Le Printemps de ComédiensSoutien École Nationale Supérieure d’Art Dramatique de Montpellier Languedoc-Roussillon

Les Bas-fonds de Maxime Gorki traduit par André Markowicz, est publié aux éditions Les Solitaires Intempestifs

AvecPénélope AvrilLeslie BernardJérôme BidauxMohamed BouadlaLaure CatherinArnaud ChéronArnaud ChurinMurielle ColvezChristophe GrégoireAlain d’HaeyerStéphane E. JaisÉric LacascadeChristelle LegrouxGeorges SlowickGaëtan Vettier

TraductionAndré Markowicz

Collaboration artistiqueArnaud Churin

ScénographieEmmanuel Clolus

LumièresStéphane Babi Aubert

CostumesAxel Austassisté d’Augustin Rolland

SonMarc Bretonnière

AccessoiresAngéline Croissant

Maquillages Catherine Saint-Sever

Assistanat à la mise en scèneVanessa Bonnet

Construction du décor Atelier du Grand T

Régie générale Joël L’Hopitalier

Régie lumièresJulia Riggs

Régie son Marc Bretonnière

Régie plateau Marie Bonnier

Habillage Charlotte Gillard

LES BAS-FONDSMAXIME GORKI I ÉRIC LACASCADE

DURÉE DU SPECTACLE 2h30 sans entracte

audio-description vendredi 13 octobre

« Satine – C’est pour le mieux que les hommes vivent, mon petit. Chacun croit vivre pour soi-même. Et bien, pas du tout. C’est pour le mieux. »- extrait

LES BAS-FONDS

Un matin, dans le bar d’une obscure pension tenue par Kostilev et sa femme Vassilisa, un couple de marchands de sommeil. Si tôt, ça boit déjà, ça fricote et ça bataille. Un seul travaille, Klevtch le serrurier. À quoi bon ? Il y a là Le Baron déchu, L’Acteur sans mémoire, Aliochka un punk speed, Nastia qui lit, Anna qui dépérit et Pepel qui aime Natacha, la sœur de la patronne. Qui peuple ces bas-fonds ? Déclassés, exclus et marginaux y noient dans l’alcool leur rébellion et leurs désillusions. « D’un monde ancien en train de disparaître à un monde nouveau qui n’a pas encore vu le jour, la communauté des Bas-fonds, parcelle d’humanité abandonnée, est à la dérive. […] Comment vivre quand l’abîme de la précarité, de la misère et du malheur s’ouvre chaque jour un peu plus sous nos pieds ? » (Éric Lacascade) Mais voilà qu’un vieux vagabond arrive, Louka, un sage errant, un messager trimballant avec lui le goût du vivant, de l’amour, de la dignité, accordant patience et charité. Satine, l’ivrogne invétéré, deviendra bientôt le plus fervent disciple du philosophe. « En totale rupture avec la loi, sociale et morale, les personnages de Gorki tentent de rester debout et, même, de s’envisager un avenir. De la soumission à la révolte, de la nostalgie d’un passé révolu à la fi èvre de l’instant présent, ils mènent une bataille sauvage contre eux-mêmes et les autres, pour rester des hommes. Ou pourquoi pas, faire advenir des hommes nouveaux. » (Éric Lacascade) Chaque fi gure, à travers l’alcool, le crime ou la débauche, cherche - et parfois trouve - une poésie, une sagesse, une vérité. Il faut croire qu’avec la ruine, pourrait advenir la lucidité…

D’HIER

Humaniste, l’auteur russe Maxime Gorki (1868 - 1936) dépose dans la parole de Louka ses propres réfl exions philosophiques et poli-tiques. Écrite en 1902, créée la même année par Constantin Stanislavski au Théâtre d’Art de Moscou, la pièce dépeint avec un réalisme amer la Russie pré-révolutionnaire. Au moment de la publication par Lénine de son traité Que faire ? - structurant une organisation ouvrière révolutionnaire et trois années avant la première révolution russe de 1905 - Gorki dessine un portrait naturaliste de la condition humaine et de la brutalité du drame social qui l’a lui-même frappé. Né Alexis Maximovitch Pechkov, dans une famille pauvre de la Volga, orphelin à 10 ans, il part à 20 ans pour une longue errance dans le sud de l’Empire russe et les régions du Caucase. Il apprend à lire, exerce de nombreux métiers pour survivre et devient journaliste sous le nom de Gorki (qui signifi e amer). Dès son premier ouvrage en 1898, il obtient le succès et devient « le peintre des mutations sociales pour l’amélioration des conditions humaines. » Opposé au régime tsariste, grand ami d’Anton Tchekhov, il rejoint Lénine en 1902 puis s’en éloigne en 1913 lorsqu’après un long exil, il critique ouvertement l’autoritarisme de Lénine et la corruption du bolchévisme. De nouveau contraint à l’exil en 1921, Staline le rappelle en 1932 : il accepte les honneurs et on lui prête une position ambivalente de « poète du peuple ». De la contestation du tsarisme à la célébration du communisme stalinien, Gorki retrouve en 1936, à la fi n de sa vie, l’instinct de la rébellion.

À AUJOURD’HUI

Pour Éric Lacascade, « Maxime Gorki est l’un des plus grands auteurs russes qui a suivi, puis critiqué les plus importants révolution-naires de son temps. Ainsi a-t-il côtoyé Staline et ses proches jusqu’aux limites du possible. » Après avoir mis en scène Les Barbares dans la

Cour d’Honneur du Festival d’Avignon 2006 et Les Estivants en 2010 au Théâtre National de Bretagne, le metteur en scène souhaite « faire entendre les désirs, les utopies et les contra-dictions politiques » du poète et nous plonge avec lui dans l’obscurité des Bas-fonds. Avec pour enjeu de « rendre compte de toute la puis-sance politique, sociale et humaine de la pièce en évitant les clichés réalistes qu’une telle problématique peut provoquer. » Et ainsi, à travers le temps et la fable, à travers cette bouleversante littérature dramatique russe du début du XXe siècle, mieux comprendre notre société actuelle, en l’observant d’un regard dis-tancié. Alors, de quelle manière le théâtre peut nous parler de notre état, de ce bas monde ?

AU CŒUR DU RÉEL ?

Cette pension pourrait être un refuge pour SDF, un camp de réfugiés, aujourd’hui. Ici, dans un décor simple, rudimentaire fait de mé-tal, de quelques tables et d’un dortoir caché derrière un rideau de lames en plastique – ins-piré par la salle des pendus, nom donné au vestiaire des mines du nord, d’où est originaire Éric Lacascade – nous sommes au cœur d’un univers où tout est précaire. Éric Lacascade rassemble sa troupe et les jeunes acteurs sortis de l’école du Théâtre National de Bre-tagne – dont il est responsable pédagogique depuis 2012. Auteur du récent Au cœur du réel (2017, Actes Sud) il travaille à un théâtre qui repose sur le récit et le rituel, à un théâtre d’art engagé, qui œuvre par l’expérimentation corporelle et collective. Pédagogue, il milite pour le besoin d’école, la nécessité de la trans-mission, de l’apprentissage et de l’expérimen-tation, dénuée des exigences de production.

ÉRIC LACASCADE

Metteur en scène, Éric Lacascade étudie le droit et le théâtre à Lille où il rencontre Guy Alloucherie. Ils fondent ensemble le BallatumThéâtre, compagnie inventive des années 1980, internationalement reconnue. En 1997, ils sont nommés à la direction du CDN de Nor-mandie. Au Festival d’Avignon, Éric Lacascade crée trois pièces d’Anton Tchekhov : Ivanov, La Mouette et Cercle de famille pour trois sœurs – 2000 puis dans la Cour d’Honneur : Platonov – 2002 et Les Barbares de Maxime Gorki – 2006. À l’Odéon-Théâtre de l’Europe il signe les créa-tions de Ivanov d’Anton Tchekhov – 1999 et Hedda Gabler de Henrik Ibsen, avec IsabelleHuppert. Au Centre Dramatique Nationalde Normandie, il expérimente, pendant six ans, une école d’apprentis pour une vingtaine de jeunes artistes, immergés dans le théâtre, au contact de maîtres successifs. Cette phase intensive est complétée par un dispo-sitif d’insertion original, appelé Laboratoired’Imaginaire Social. Depuis janvier 2012, il est artiste associé au Théâtre National de Bretagne à Rennes, responsable pédagogique de l’École supérieure d’Art Dramatique. Après y avoir mis en scène Les Estivants de Gorki – 2010, il met en scène Oncle Vania, d’après Oncle Vania et l’Homme des bois d’Anton Tchekhov – 2014 et dirige les jeunes comé-diens issus de la Promotion VIII de l’École du TNB dans le spectacle Constellations, créé in situ à l’Institut Pasteur à Rennes dans le cadre du Festival Mettre en Scène. En mars 2017, il crée à Rennes Les Bas-fonds.

LES BAS-FONDSMAXIME GORKI I ÉRIC LACASCADE

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2017

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84, rue du Général BuatBP 30111 44001 Nantes Cedex 1Le Grand T, théâtre de Loire-Atlantique, est un EPCC subventionné par le

Département de Loire-Atlantique

en coopération avec la Ville de

Nantes et la Région des Pays

de la Loire. Il reçoit le soutien de

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de la Loire - Direction régionale

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JE 05 > VE 13 OCT – LE GRAND T

LES PROCHAINS RENDEZ-VOUS DU GRAND T

ANARCHIE D’après Anarchie en Bavière de Rainer Werner FassbinderMise en scène Vanessa BonnetDu lundi 16 au vendredi 20 octobre – Studio Théâtre

SUR LA ROUTE DE POUCET +10 ans D’après Charles PerraultTexte et mise en scène Mathieu LétuvéDu mardi 17 au dimanche 22 octobre – Le Grand TDu jeudi 16 au jeudi 30 novembre – En tournée en Loire-Atlantique

HENRI TEXIER NONET « HANDS AND VOICE » CRÉATION Première partie : YumaMardi 24 octobreLa Cité, le Centre des Congrès de Nantes – Grand Auditorium

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Rédaction : Mélanie JouenLicences d’entrepreneur de spectacles 1-1075853 / 1-1075850 / 2-1075851 / 3-1075852