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10/06/2018
0.10 €
N°6
Bonjour tout le monde !
Nous avons commencé des ateliers de jardinage dans l’école, à côté du labyrinthe où nous avons 6 carrés de pota-
gers qui nous ont été gentiment offerts. Nous avons pu planter des fraises, de la menthe au chocolat, de la ciboulet-
te… Nous ne sommes tellement pas patients, que nous avons déjà envie de les dévorer ! Mais il va falloir attendre
que ça pousse et que ce soit mûr !
Virginie, qui vient nous aider pour notre projet, nous a offert un tablier chacun avec des gants pour ne pas se salir.
Ça nous protège contre les microbes et ça permet d’éviter que les parents râlent !
Nous avons pu avoir un pot chacun, avec du terreau. Nous y avons fait un trou pour y mettre une graine de haricot.
Nous avons pu le ramener chez nous et nous devons maintenant nous en occuper en l’arrosant un peu tous les jours.
Dans quinze jours, nous allons les ramener à l’école pour les comparer : nous verrons ceux qui ont poussé et ceux
qui n’ont pas poussé…
Nous aimons bien le jardinage : ça nous permet d’apprendre de nouvelles choses que nous ne connais-
sions pas ! Les CE1/CE2
Les classe de Cm1 et de Cm2 ont assisté au spectacle Alice à la salle André Malraux. C’est une version
d’Alice au pays des merveilles interprétée par un danseur et trois danseuses des Pays-Bas.
Tout le spectacle se fait en danse et en musique. Il n’y a pas de dialogue entre les personnages. Au niveau
du décor on trouve plusieurs portes battantes de différentes tailles.
Le danseur joue plusieurs personnages tout au long du spectacle : le lapin, la souris, la chenille et le chat.
Il utilise différents costumes et masques.
Les danseuses jouent également le rôle de la reine et des soldats.
Les trois danseuses jouent le personnage d’Alice. Elles font des figures avec leur corps.
Le danseur essaie d’échapper aux trois « Alice », il se transforme en différents per-
sonnages et joue à se cacher pour ne pas se faire attraper.
Ils utilisent les portes battantes (petites et grandes) du décor pour s’enfuir pendant que
les Alice le cherchent. Elles arrivent à l’emprisonner dans le décor. Finalement, il est
attrapé et perd à la fin tous ses masques.
Au début de l’année nous avons travaillé sur la Première Guerre Mondiale avec le Collectif Fusion.
On a peint avec des bombes de peinture des soldats de différents pays ayant participé à cette guerre (Algérie, Sénégal, Etats-
Unis, France…).
Nous avons utilisé une technique particulière : après avoir choisi une couleur, nous devions secouer la bombe, casser le poignet,
faire un « pschit » d’essai, puis peindre sur les pochoirs.
Nous avons bien aimé participer à ce projet parce que c’était amusant d’apprendre à se servir des bombes de peinture, ça nous a
permis de travailler en groupe tous ensemble, de tenir compte des avis de ses camarades. Nous avons appris également plein de
choses en histoire comme par exemple le fait que plusieurs soldats de différents
pays ont participé à la guerre. Nous devions être concentrés, appliqués et délicats.
Au mois de mars, nous avons été à une exposition à la salle Berrier de toutes nos
peintures et de celles d’autres écoles qui ont aussi participé au projet, on a fait un
jeu de piste par groupe avec des questions pour connaitre davantage de détails sur
la guerre.
Pour conclure, c’était génial, ça nous a aidés à travailler en équipe et nous
avons plus de connaissances sur le passé d’anciens soldats.
Vendredi 9 mars, nous avons assisté à une compétition à la piscine
de Sarcelles. Nous avons été accueillis par toute une équipe et on nous a donné des drapeaux
français pour encourager les nageurs depuis les gradins. Il y avait beaucoup de monde : les na-
geurs, les entraineurs, les juges et le public. On s’est installé dans les gradins devant le bassin de
50 mètres.
Les nageurs étaient en train de s’échauffer. Et puis la compétition a commencé. Les nageurs sont appelés par huit,
ils se placent derrière les plots et attendent le signal du départ. Les juges portaient tous des tee-shirts roses et des
pantalons blancs, c’était facile de les reconnaître. Les nageurs vont très vite, c’est impressionnant : pas du tout
comme nous quand on nage ! Ils sont aussi très musclés, les filles comme les garçons. Quand on les regarde, ça a
l’air facile de nager.
Nous avons été contents d’assister à cette compétition car c’est une occasion qui ne se présente pas souvent, et par-
ce qu’on a croisé de grands champions comme Jérémy Stravius qui a obtenu une médaille d’argent aux Jeux Olym-
piques de Rio en 2016.
Nous sommes allés au cinéma de Sarcelles.
Le film s’appelait Cro-Man. Il y avait des hommes des cavernes qui jouaient au foot contre des hommes
de l’âge de bronze. C’était rigolo car ces deux peuples n’ont jamais vécu à la même époque. Comme les
hommes de l’âge de bronze ont vécu beaucoup plus tard, ils sont plus évolués dans le film. Pour savoir
qui gagne le match, il va falloir le voir…car nous ne vous diront rien !
LE GROUPE DES POMMES
« Anaëlle a épluché les pommes avec un économe puis Eva a retiré les trognons au
couteau. Eléa a utilisé le « découpe pomme » pour les couper en quartiers et c’est
Lehna qui en a fait des petits morceaux et qui a tout rincé . »
LE GROUPE DES FRAISES
« Les fraises c’est très fragile ! Avec un couteau on a coupé on a retiré la queue et
tout ce qui était abimé. On a coupé toutes les fraises en quatre puis on a tout rin-
cé. On avait les gants tout rouge !»
LE GOUPE DE L’ANANAS
« La maitresse a découpé « le chapeau » et le bas de l’ananas avec un gros couteau. Elle nous a
fait comme des « bûches». On a découpé des petits cubes d’ananas dans la chaire en faisant un
quadrillage. Attention, il ne faut pas laisser d’écorce, il parait que ça donne des aphtes. Les ana-
nas poussent au sol sur des sortes de minis palmiers.
LE GROUPE DES RAISINS « D’abord on a retiré les raisins des grappes. Il y avait des raisins verts et des rouges. On a
rincé nos raisins et avec le couteau on les a coupés en deux. On a aussi retiré les pépins. »
Les raisins poussent sur des vignes
LE GROUPE DES AGRUMES « On avait des oranges et des pomelos.
On a coupé tous les fruits en 2avec un couteau puis avec l’orange on a fait du jus d’oran-
ges en utilisant une fourchette et en pressant.
Par contre pour le pomelo il a fallu faire le tour de chaque quartier avec le couteau. »
LE GROUPE DES KIWIS ET DES BANANES « On a épluché les kiwis avec un économe car la peau ne se mange pas , elle a des poils ! On
a ensuite retiré avec le couteau ce qui ne se mange pas . On a rincé nos kiwis et on les a cou-
pés en petits morceaux pour les mettre dans la salade de fruits.
C’est Nélia qui a retiré la peau de la banane et puis elle l’a coupée en morceaux. »
Nous avons appris que les kiwis poussent sur un arbre et les bananes aussi .
Et voilà tout est prêt . Il ne reste plus qu’à la réserver au frais et
de la servir au goûter !
Hum ,
Il est délicieux de déguster
« le FRUIT de son travail !»
Cette année , pour fêter les anniversaires , les élèves réalisent à chaque fin de période une recette .
Le printemps pointant son nez , les enfants ont souhaité faire une salade de fruits frais .
Merci aux parents de la classe qui ont gentillement apporté les fruits de leur choix .
En classe cet atelier cuisine aura été l’occasion d’aborder avec les élèves la façon de manger, d’ éplucher, et couper les fruits,
mais surtout de se documenter sur comment et où pousse chaque fruit .
Les enfants ont choisi le groupe dans lequel ils voulaient être et chacun à participer à la salade de fruits .Dans un premier temps ,
tout le monde s’est lavé les mains , a mis des gants et chaque groupe a pris les ustensiles et récipients adéquats afin de se mettre
au travail .
Nous
Nous avons vu vos portraits dans le dojo Marcel Testard à Sarcelles. Dessus, il est écrit que vous êtes des « champions » ! Nous
nous sommes donc posés des questions à votre sujet…
Quel âge avez-vous?
[Nafissatou, Nisrine, Mariella, Gaëlle]
- Franck : J’ai 37 ans. Mon anniversaire est le 22 juin.
- Marvin : J’ai 24 ans. Moi, c’est le 25 mars.
Dans quelle école étiez-vous petits ?
[Alain]
- Franck : J’étais à Pauline Kergomard, à Sarcelles.
Où habitez-vous ?
[Célyna]
- Franck : J’habite à Sarcelles, à 300m de l’école (derrière l’école). Je vous invite !
- Marvin : J’habite à Sarcelles aussi, à 300m du club de karaté.
Comment avez-vous découvert le karaté ?
[Divine]
- Franck : Quand j’étais petit, j’ai regardé beaucoup de films avec notamment Bruce Lee (une grande figure des arts martiaux),
Jean-Claude Van Damme (même si c’est moins glorifique !) Un jour, mon père m’a emmené faire du karaté dans un club, j’y suis
allé, pensant faire du kung-fu, et ça m’a plu. Je préfère le basket, mais le karaté est le sport où je me suis le plus épanoui.
- Marvin : J’ai commencé à l’âge de 5 ans. J’étais agité et bagarreur. J’aime le foot et le karaté. Vers 14 ans, j’ai été repéré en foot
mais je n’avais pas compris l’importance d’un centre de formation. Du coup, je suis resté dans le karaté.
Où avez-vous appris le karaté ?
[Léna]
- Franck : J’allais à la salle Kergomard. C’est un gymnase multisports sauf pour le karaté mais on s’y entrainait quand même. Puis,
à force de résultats, on a eu une 2ème salle qu’on partageait avec le judo.
Pourquoi vous avez fait du karaté ?
[Adam]
- Franck : J’étais très introverti, je ne parlais pas beaucoup. Il me fallait quelque chose pour m’exprimer et m’épanouir.
Dans les classes, on peut souvent entendre « je n’y arriverai pas », « mais je suis nul/nulle »… C’est pourquoi, de temps en temps, nous
prenons le temps de discuter de l’importance de « rater pour pouvoir réussir », et ce, dans tous les aspects de la vie de tout le monde !
Nous avons notamment organisé un débat à partir des paroles suivantes de Michael Jordan, un ancien grand basketteur aux États-Unis :
« Ça veut dire qu’à chaque fois qu’on fait des erreurs, ça nous permet de nous corriger, de mieux avancer » [Aaron B.C., Adam]
« Même quand on perd, on s’entraîne, on s’entraîne, on s’entraîne beaucoup pour réussir ! » [Ryan]
Et vous, comment réagissez-vous face à l’échec ?
Après un échec, on a envie d’abandonner… Mais si on le fait, on ne réussira « jamais dans la vie » ! Alors, il faut réessayer ! En fait, dans
la vie, on peut vivre des échecs et on peut réussir !
Nous avons, ensuite, eu la chance d’interviewer deux sportifs et animateurs sportifs de la ville de Sarcelles. Voici notre interview exclusi-
ve !
Quand avez-vous commencé le karaté ? Et quand avez-vous commencé les compétitions ? Quand avez-vous
commencé votre carrière ?
[Divine, Nafissatou, Cléa, Léna, Célyna, Léo]
- Franck : J’ai commencé le karaté à 6 ans. J’ai commencé ma carrière en compétition à 15 ans, lors d’un champion-
nat de France. En gagnant les compétitions, je suis entré en équipe de France à 16 ans. Mon objectif était de devenir
champion du monde : j’ai réussi en 2004 !
- Marvin : J’ai commencé à l’âge de 5 ans. Les compétitions ont démarré vers 14 ans. Je suis entré en équipe de
France vers 15 ans : 1er championnat d’Europe en 2009. Je suis toujours en carrière : je prépare les JO à Tokyo au
Japon qui auront lieu en 2020.
Qui vous a encouragés à faire du sport ?
[Nafissatou]
- Franck : J’ai été poussé par mes parents. Mais comme j’aimais beaucoup, ils n’ont pas eu besoin de m’encourager.
- Marvin : J’ai été encouragé par mes parents.
Comment avez-vous fait pour devenir champions ? Est-ce que vous vous êtes beaucoup entraînés ?
[Chainys, Yanice, Malik, Ryan, Nafissatou, Manel, Cléa, Gaëlle]
- Franck : Pour être champion du monde, il y a plusieurs étapes. Au début, je m’entraînais trois fois par semaine, puis une fois par
jour. On apprend beaucoup de techniques : il faut faire de la répétition, encore et encore pour que ça devienne de l’automatisme. Et
on se confronte à d’autres aussi. Pr gagner, il faut aussi beaucoup perdre : c’est en perdant qu’on apprend. On se pose la question du
« pourquoi ». C’est ce qu’on appelle la persévérance : l’échec fait partie de la victoire. Quand on perd, il faut continuer jusqu’à réus-
sir ! Il faut aussi savoir demander de l’aide pour finir par réussir.
- Marvin : Ça prend beaucoup de temps pour devenir champion du monde. C’est dur car on ne prend que les meilleurs de chaque
pays. Ça demande beaucoup de travail : pour maitriser une technique, il faut beaucoup, beaucoup travailler.
Est-ce que vous êtes déjà tombés sur des adversaires plus forts ?
[Aaron B.C.]
- Franck : Bien évidemment : ça permet d’apprendre et d’évoluer. Quand on tombe sur plus fort, il faut se donner les moyens pour
réussir à combattre. Ça dépend de chacun, il faut tt donner ! Mais il ne faut jamais considérer qu’on ne va jamais le battre : mon ad-
versaire est comme moi, donc tout est possible !
Est-ce que vous avez déjà vécu des échecs dans votre carrière ?
[Aïcha, Malik, Chainys, Brad, Adonis, Cléa, Alain, Aaron P.M.]
- Franck : Oui, j’en ai vécu plusieurs car cela fait partie du sport. L’échec, ça ne fait pas plaisir : on se remet en question. Mais c’est
ce qui m’a permis de performer après, d’être meilleur.
-Marvin : Un échec, c’est dur ! Quand on travaille plusieurs mois et qu’on perd dès le premier tour (un tour c’est 3 minutes de com-
bat), on est déboussolé, triste…
Et quand vous avez vécu des échecs, est-ce que vous aviez envie d’abandonner ? Est-ce que vous aviez
envie de réessayer directement ? [Aaron B.C., Divine]
- Franck : Dans ces moments, on se dit : « oh je suis nul ! » et on a envie d’arrêter ! Alors qu’en vérité, il faut
se demander : « pourquoi j’ai perdu ? Pourquoi je n’ai pas réussi ? ». Il faut trouver un moyen de s’améliorer,
trouver des solutions pour réussir à réaliser une performance (comme par exemple ici : réaliser un champion-
nat). Il faut se fixer des objectifs et les atteindre : c’est en travaillant qu’on arrive à réussir. C’est valable pour
la vie et pour tout le monde, pas que dans le sport !
- Marvin : On se demande : « est-ce que je suis nul ? », « à quoi ça sert de continuer ? ». Alors, après un échec,
je me repose un peu, je prends un peu de temps pour moi, je sors avec des amis, j’oublie un peu le karaté...
Grace aux amis et à la famille, après je suis capable de me fixer de nouveaux objectifs.
Mais s’ils n’étaient pas là ?! Il faut du monde autour de soi, il faut être bien entouré, avoir une bonne hygiène
de vie (bien dormir, bien manger, pas trop faire la fête, ou juste au bon moment !) Il faut une bonne alimenta-
tion même si on a le droit de craquer.
- Franck : C’est pareil pour vous avant un contrôle. Votre hygiène de vie est importante. C’est comme cela
qu’on se responsabilise et qu’on grandit dans sa tête ! Il faut se préparer pour l’objectif du jour !
A quelle heure vous vous couchiez petits ? [Malhone, Aaron B.C.]
-Franck : Je me couchais à 21h au plus tard ! Il faut dormir entre 10/12h ! À votre âge c’est
vraiment très important !
Avez-vous rencontré d’autres champions de karaté ?
[Alain]
- Franck : Oui, car tous les champions se côtoient, notamment au moment des compétitions.
Avez-vous déjà rencontré des fans ?
[Mariella]
- Franck : Oui, surtout dans les années de gloire : on fait des autographes, des photos… Marvin en fait lui, il est en pleine gloire !!
Est-ce que vous avez déjà fait d’autres sports (du foot, du basket…) ?
[Chainys]
- Franck : J’adore le basket, c’est vraiment le sport que le préfère. J’ai été repéré aussi. Mais j’ai eu des problèmes de genoux alors
j’ai dû choisir…
Nous sommes allés à la maison du patrimoine. Nous
avons vu des choses anciennes et une salle de classe qui
a un siècle. Autrefois, il n’y avait pas d’électricité, donc
les habitudes n’étaient pas les mêmes. Aujourd’hui, la
vie est plus facile !
Quel est le sport le plus silencieux ?
Le parachute
Où est Mozart ?
Dans mon frigo, parce que mozzarella !
Quel est l’animal le plus bricoleur ?
Le requin marteau
Notre classe a fait un travail avec les 6 ième du collège V. Hugo en
E.M.C. (Education Civique et Morale). Le thème était: "Qu'est-ce
que c'est que d'être citoyen français ?".
Nous avons d'abord posé cette question à des adultes ainsi qu’à des
enfants pendant deux semaines. A la fin, nous avons tous réfléchi sur
ces interviews.
Voilà ce que nous avons appris grâce à ce travail:
- Il ne faut pas confondre l’origine que l’on a avec nos parents et la religion. Par exemple, nous pouvons
être français ET protestant mais pas français OU protestant. Etre protestant n’est pas un pays d’origine, c’est
une religion.
-Nous pouvons avoir plusieurs nationalités. Etre citoyen français en plus d’avoir une autre nationalité ne
veut pas dire qu'on abandonne l'autre nationalité. On peut être portugais et français en même temps par exem-
ple .Nous ne sommes pas obligés d’aimer de force notre deuxième nationalité mais par contre nous sommes
obligés de respecter les coutumes et les règles du pays dans lequel nous vivons car c’est lui que nous avons
choisi pour vivre et c’est lui qui nous accueille.
-Quand on choisit d’avoir la nationalité française cela veut dire qu’on a des droits comme celui de bénéficier
d’une école gratuite, d’être bien soigné par exemple mais on aussi des devoirs : de respecter les gens, les lois
du pays comme on respecterait les lois voulues par un autre pays.
-Nous pouvons ne pas avoir la nationalité française mais nous pouvons nous sentir français c’est-à-dire être
en accord avec les valeurs ou la culture de la France et donc avoir une place comme ceux qui ont la natio-
nalité française à condition encore une fois de respecter les lois qui nous permettent de vivre tous ensemble.
- Etre français ne veut pas dire que tout le monde doit avoir les mêmes caractéristiques physiques.
Nous pouvons avoir des caractéristiques africaines ou asiatiques mais être français ou se sentir français.
Nous avons remarqué que toutes les personnes interrogées ont été bien embarrassées de répondre à ce ques-
tionnaire car nous vivons dans un pays sans vraiment se questionner sur ce pays. Bien des fois, les personnes
disaient que c’était lorsqu’elles étaient à l’étranger qu’elles se sentaient françaises.
Tout le monde a cité la devise républicaine : « liberté, égalité, fraternité » mais comment fait-on pour res-
pecter ces valeurs choisies par la république française dans la vie de tous les jours ?
PAR LES CE2/CM1
Le jeudi 12 avril, nous sommes allés avec la classe de CE2/CM1 de Mme Louvet au château de Chantilly. Nous avons
attendu 20 minutes devant les portes du château car nous sommes arrivés trop tôt.
Le matin, nous avons visité le château. Nous avons vu une exposition d’armes utilisées au 18ème siècle par l’armée du
prince Louis XV. La deuxième pièce où nous sommes allés, était le cabinet du prince. Le cabinet était richement déco-
ré avec beaucoup d’or et avec une tapisserie représentant des animaux exerçant divers métiers. Nous avons également
visité le bureau du prince. Puis, nous avons vu la salle de jour dans laquelle nous avons vu deux grandes horloges en
bois. Nous avons également aperçut dans un couloir une tenue de Napoléon. Il y avait
aussi une salle avec des tableaux. Dans la salle à manger, où 40 personnes pouvaient
se tenir, il y avait une grande table en bois datant du 18ème siècle. La bibliothèque était
composée de deux étages un étages où il y avait une table en verre contenant des pho-
tos et au deuxième étage un fauteuil pour lire. Avant d’aller manger, nous sommes
allés aux écuries où nous avons vu des chevaux.
L’après midi, nous avons visité les jardins du château. Ils étaient composés de jardins
à la français, à l’anglaise et anglo-chinois. Il y avait également plusieurs statues, Mo-
lière, Hermès, Louis XV, Léonard de Vinci.
AVEC LES
CE2/CM1
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