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DIALOG Dialoguer pour mieux se comprendre - N°13 - Automne / Hiver 2012 Le magazine externe de Dow en France et du Rhine Center 5 DÉVELOPPEMENT DURABLE Perfectionnez votre conduite ! CULTURE Dow prend la mesure NOS PRODUITS ET VOUS Les isolants STYROFOAM TM comme au premier jour 6 11

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  • DIALOGDialoguer pour mieux se comprendre - N°13 - Automne / Hiver 2012Le magazine externe de Dow en France et du Rhine Center

    5

    DÉVELOPPEMENT DURABLEPerfectionnez votre conduite !

    CULTUREDow prend la mesure

    NOS PRODUITS ET VOUSLes isolants STYROFOAM TM comme au premier jour

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    ActuEdito

    Un investissement de taille dont les travaux de construction auront duré exactement 472 jours, soit 40 000 heures de main d’œuvre, sans aucun incident. Le choix de Drusenheim n’a pas été fait au hasard. Il a été motivé par trois facteurs : l’excellente réputation du site en matière d’exécution de projets, son riche vivier de compétences et ses succès antérieurs. Autres atouts décisifs de Drusenheim : sa localisation à l’épicentre du marché européen et sa capacité d’assurer à la fois formulation, mise en bouteille et emballage. La nouvelle unité de formulation, installée dans un bâtiment existant, comprend une salle de contrôle, des cuves de formulation/agitation des ingrédients actifs, des broyeurs à billes, des pompes et une aire de stockage.

    Trente nouveaux produits

    L'extension des laboratoires représente une superficie totale de 600 m² pour les services de R&D et de Contrôle qualité. Les laboratoires de R&D permettront de développer de nouvelles formulations et d’optimiser leurs applications sur les cultures notamment pour couvrir la demande du marché européen. R&D et contrôle qualité de Drusenheim devraient soutenir le développement de plus de 30 nouveaux produits dans les quatre années à venir. Ainsi Dow AgroSciences poursuit sa politique d’innovation permanente. La nouvelle unité de Drusenheim est là pour le prouver : elle fabrique des herbicides sélectifs dont la contenance de solvants organiques est nettement réduite. Le développement durable dans sa réalité concrète… n

    Dow AgroSciencesjoue la carte de DrusenheimAvec la construction d’une nouvelle unité de formulation et l’extension de ses laboratoires, Dow AgroSciences conforte le site de Drusenheim. Au total, l’investissement s’élève à 10 millions d’euros. Objectif : mieux protéger les cultures tout en limitant l’empreinte écologique.

    Ramon Melgarejo Président de Dow France

    Heiko Dahms Directeur du site franco- allemand du Rhine Center

    Faire face aux vents contraires

    L’Europe est confrontée à une tourmente économique qu’elle n’a pas connue depuis 30 ans. Les perspectives pour 2013 demeurent incertaines et les marchés restent frileux. Cette constatation nous ne sommes pas les seuls à la faire, elle touche de la même manière, tous les grands groupes de la chimie contraints de revoir leur organisation pour réduire leurs coûts et retrouver ainsi plus de compétitivité et de réactivité.

    Le groupe Dow que ce soit en France ou au Rhine Center n’y échappe pas. Tout au long de 2012, dans un contexte difficile, nous avons réussi à influencer de manière positive ce qui était sous notre contrôle et maintenir nos positions.

    En 2013, les perspectives économiques européennes demeurent moroses, mais nous pouvons compter sur quelques éléments positifs. L’adaptation de certaines unités à des produits nouveaux à plus grande valeur ajoutée y sera pour quelque chose. Cela dit, nos unités de production tirent bien leur épingle du jeu, avec des taux de capacité élevés et une grande flexibilité d’adaptation.

    En ce début d’année, nous vous présentons à vous tous et à vos proches nos meilleurs vœux pour 2013. n

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    Jean-Philippe Meyer, nouveau directeur du site de LauterbourgPlus de 20 ans d'expérience au sein de Rohm and Haas, puis de Dow : Jean-Philippe Meyer (47 ans), qui vient de prendre les commandes du site de Lauterbourg, en connaît parfaitement les enjeux. Et cela d'autant plus qu'il est natif de cette région.

    Diplômé de l'Ecole des Mines de Douai et titulaire d'un doctorat des Mines de Paris, Jean-Philippe Meyer maîtrise bien les rouages du groupe si l'on en juge par son parcours : Recherche-développement et marketing à Valbonne, ingénieur de production à Lauterbourg, transfert de technologies à Chauny, responsable technique des usines Coatings d'Europe. « Puis une opportunité s'est présentée au Rhine Center début 2012 où j’ai pris la responsabilité de l’exploitation des unités Latex », précise Jean-Philippe Meyer. A suivi un intérim à la tête du site

    de Lauterbourg, pour remplacer Bertrand Heidmann, appelé à d'autres fonctions. Intérim désormais consolidé.

    L'ambition de Jean-Philippe Meyer ? « Poursuivre l'effort entrepris avant mon arrivée, à savoir renforcer l'intégration du site au sein de Dow, le rendre attractif au niveau des résultats et mettre Lauterbourg en conformité avec les standards de Dow », répond-il.

    Originaire de la région de Lauterbourg, le nouveau directeur du site est parfaitement conscient des

    attentes des riverains. « Je pérenniserai la politique de transparence qui est la nôtre, explique-t-il. Cela vaut aussi bien pour l'information concernant notre métier que pour les questions relatives à la sécurité ».

    Autant de défis internes et externes que Jean-Philippe Meyer entend relever avec l'esprit de performance qu'il cultive dans son sport favori : la voile sportive. n

    Reporters sans frontières

    Accompagnés par une équipe de journalistes d’investigation, ils ont vécu une expérience professionnalisante exceptionnelle ! Entre enquêtes de terrain, rencontres avec des scientifiques, et découverte d’un site industriel. « Ce que je retiens de cette expérience ? nous glisse Mickaël, c'est surtout la taille de l'usine Dow. Je ne connaissais pas du tout cet environnement et c'était assez impressionnant ! Il y a plein de règles à respecter et une façon de se vêtir pour être en conformité avec la sécurité ! ».

    A la rentrée, leur sujet est celui qui a remporté le plus de suffrages des internautes face aux 4 autres équipes en

    lice. Pas étonnant lorsqu’on perçoit le plaisir et la bonne humeur que Perrine et Mickaël ont mis dans leur travail. Mais la recette du succès, notre étudiante en chimie la trouve ailleurs : « Ce qui a différencié notre reportage, c’est vraiment d’avoir pu expliquer tout le processus de fabrication du DOWLExTM, de l’arrivée du « dérivé » de pétrole jusqu’au gazon synthétique qui recouvre le stade de Tarragone ».

    L’équipe de jeunes tient également à saluer l’implication de Dow dans cette aventure : « L’entreprise était totalement investie dans le projet et cela a favorisé notre travail puis notre victoire ! A notre retour en France, nous avons même été invités à rencontrer

    le Président de Dow en France, Ramon Melgarejo » relate Mickaël. Un dernier mot ? « Un énorme merci à toutes les équipes Dow pour leur soutien ! ». n

    Elle est doctorante en chimie, lui étudie le journalisme. Perrine et Mickaël ont formé LE duo gagnant de la deuxième édition du Chemical World Tour*. Sponsorisée par Dow France, cette équipe avait pour mission de réaliser un reportage sur une innovation chimique durable liée au sport. Nos deux jeunes se sont envolés vers l’usine Dow de Tarragone, en Espagne, à la découverte du DOWLExTM. L’un des composants des gazons artificiels nouvelle génération. Rencontre.

    * Organisé par l’Union des Industries Chimiques et la Fondation Internationale de la Maison de la Chimie.

    Pour découvrir le reportage

    de Perrine et Mickaël et en

    savoir plus, rendez-vous sur

    www.chemicalworldtour.fr

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    Parlez-nous du programme Nourish…

    Dr. Burgmeier : Ce programme s’inscrit dans une démarche de promotion de la santé pour les collaborateurs Dow du monde entier. L’idée est partie des Etats-Unis, où les problèmes en matière d’alimentation sont bien plus alarmants qu’en Europe. La démarche consiste, sur 8 semaines, à encourager les collaborateurs à avoir une alimentation plus saine et notamment plus riche en fruits et légumes. Mais pas seulement. Nous travaillons également sur le cholestérol, la consommation de sel…

    Concrètement, comment faites-vous ?

    Dr. B. : Avec toute l’équipe médicale, nous avons mis en place plusieurs actions. Chaque semaine, tous les collaborateurs reçoivent un message avec de l’information, des conseils, des idées de recettes. Nous mettons également à la disposition des personnes inscrites au programme un calendrier ludique permettant d’y noter leur consommation en fruits et légumes et de suivre leur poids. Cela permet parfois une prise de conscience.

    Et des actions de groupe ?

    Dr. B. : Oui, nous animons des « réunions » de partage d’expérience sur ce thème. Nous avons ainsi organisé un cours de cuisine végétarienne pour lequel un restaurateur de Beinheim en Alsace nous a gracieusement mis à disposition ses cuisines. D’autres actions consistent à organiser des dégustations, à mettre en place des fruits plutôt que des

    viennoiseries lors des réunions, ou en libre service, et à proposer des menus végétariens sur les sites ayant un restaurant d’entreprise…

    Ces actions peuvent paraître plus difficiles à appliquer pour les travailleurs postés dont les horaires ne favorisent pas toujours une alimentation variée et équilibrée…

    Dr. B. : En effet. Nous avons d’ailleurs mis l’accent plus particulièrement sur les travailleurs postés cette année. Nous leur avons mis à disposition à Lauterbourg des paniers de fruits les week-ends, durant leur pause goûter, et nous les avons invités s’ils le désiraient, à des réunions sur leur temps de travail.

    Pour vous médecin, quelle(s) implication(s) peut avoir ce type de programmes ?

    Dr. B. : Une implication santé tout d’abord, évidemment ! Mais pas uniquement. Pour moi, c’est aussi et surtout l’occasion de retisser un lien social entre les collaborateurs. Prendre le temps de faire des choses ensemble, c’est aussi très important pour la cohésion et la santé d’un Groupe comme le nôtre.

    D’autres idées pour l’avenir ?

    Dr. B. : Je ne sais pas encore ce que nous ferons l’année prochaine, mais j’ai la ferme volonté de continuer dans cette voie. L’année dernière, nous avions organisé une opération sur la gestion individuelle du stress. L’idée était que les collaborateurs se prennent en main, qu’ils fassent aussi deux actions qui leur

    faisaient plaisir par jour. Il faut arriver à faire en sorte que les gens se sentent mieux. Et pour 90 % des participants, les retours étaient excellents !

    Pour finir, auriez-vous quelques conseils à donner à nos riverains en matière d’alimentation santé ?

    Dr. B. : Je ne vous surprendrai pas en vous disant qu’il faut manger 5 fruits et légumes par jour. Mais aussi réapprendre à consommer des produits de saison. Et essayer au maximum de s’approvisionner localement. Mon deuxième fer de lance sur le sujet ? La viande ! Nous consommons beaucoup trop de viande par rapport à nos besoins. Il faudrait manger moins de viande et plus de poisson ! n

    Il est des initiatives qu’il faut savoir mettre en avant. Le programme Nourish en fait partie. Dans la lignée des démarches « Santé - Sport » (voir édition Automne-Hiver 2011), ce programme s’attaque à notre

    alimentation. Rencontre avec le Docteur Burgmeier, médecin du travail sur les sites de Drusenheim et Lauterbourg et coordinateur

    médical de l’ensemble des sites de Dow en France.

    Nourish, un programme aux petits oignons !

    ▷ Sa

    nté

    Développement durable

    Bien connaître vos besoinsManger régulièrementNe pas sauter de repasChoisir des fruits et des légumes d’abord !Ni trop ni trop peuBien s’hydrater au quotidienProfiter des glucides santéChoisir des gras plus sainsChoisir les protéines végétales plus souventConsommer moins de sodium

    10 astuces pour une alimentation saine

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    10.

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    Bien connaître vos besoinsManger régulièrementNe pas sauter de repasChoisir des fruits et des légumes d’abord !Ni trop ni trop peuBien s’hydrater au quotidienProfiter des glucides santéChoisir des gras plus sainsChoisir les protéines végétales plus souventConsommer moins de sodium

    Rouler en toute sécurité en hiver, économiser du carburant. Ces thèmes sont au cœur des formations à la sécurité routière. Dow propose ces formations aux salariés en étroite collaboration, entre autres, avec l’Automobile Club en France ou l'ADAC en Allemagne. « La grande majorité de nos salariés se rend tous les jours au travail en voiture », explique Alasdair Hunter, responsable sécurité, environnement et santé. « Avec cette formation, nous donnons les moyens à nos salariés de perfectionner leur conduite pour des déplacements plus sûrs et plus économiques. Notre priorité est qu’ils arrivent au travail et rentrent chez eux sains et saufs ».

    Perfectionnez votre conduite !

    Quel est l’apport de ces formations ?

    Au-delà de développer les compétences, on y apprend qu’il faut toujours compter avec les erreurs des autres. Cette formation revêt deux aspects : premièrement, comment éviter les situations dangereuses par son propre comportement au volant et deuxièmement, comment maîtriser son véhicule si on est soudainement confronté à une situation dangereuse.

    Quel est le déroulé type ?

    Les participants sont conviés sur une journée pour une partie théorique en salle qui permet une révision des connaissances du code de la route, des aspects techniques des véhicules et des conseils de comportement de conduite à adopter. La mise en pratique avec son propre véhicule, ou un véhicule de l’organisme, permet de tester ses reflexes sur une chaussée verglacée. Les premières expériences sont souvent spectaculaires. Mais en appliquant les conseils dispensés, les participants gagnent en assurance et deviennent des professionnels de la conduite !

    En cette saison, quels sont les points de vigilances ?

    Quand vient l’automne, les automobilistes sont régulièrement bombardés de messages les incitant à monter leurs pneus d’hiver. Mais qui leur dit - qu’en roulant « lentement » à 35 km/h sur une couche de neige - ils roulent déjà trop vite ?

    Il est impératif que les conducteurs se rendent rapidement compte du changement des conditions météorologiques et réagissent par une conduite adaptée et mesurée.   n

    BoNNe Route !

    ▷ Sécurité

    Adoptez l’éco-conduite !

    Le prix du carburant ne cesse d’augmenter à la pompe.

    Quelques règles simples pour réaliser des économies :• Privilégiez une conduite souple, • Pensez à passer les rapports de

    vitesse,• Diminuez votre vitesse sur

    autoroute, 10 km/h en moins peut faire économiser 7 euros sur un trajet de 500 kms,

    • Entretenez votre véhicule et notamment le filtre à air par exemple,

    • Utilisez des pneus "basse consommation" ils peuvent engendrer jusqu’à 5 % d’économie de carburant,

    • Pensez à gonfler correctement les pneus,

    • N'abusez pas de la climatisation.

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    Zoom surZoom sur

    Depuis longtemps maintenant, le groupe Dow a lancé un programme international visant à intégrer toutes les caractéristiques de la mosaïque des 52 000 salariés qui le composent. Il revient à chaque entité de décliner ce programme en fonction des cultures et des codes de son pays. Aux Etats-Unis, il s'agira de favoriser l'intégration des gens de couleur. En France, priorité sera donnée à une meilleure égalité homme-femme.

    Sensibiliser, sensibiliser...

    Le système n'est pas figé. Des initiatives sont régulièrement lancées pour couvrir tout le spectre de ce que l'on appelle aujourd'hui la diversité. C'est ainsi que Dow en France vient de créer une équipe spécialement en charge des questions relatives au handicap, le DEN (Disability Employee Network).

    « Notre action est focalisée sur tout ce qui est sensibilisation, explique Christophe Gay-Bellile qui pilote le groupe. Nous voulons faire tomber les barrières. Trop souvent le handicap est perçu

    d'abord comme une personne se déplaçant en fauteuil roulant. Or il y a toutes sortes de handicaps à prendre en compte, et pas seulement les handicaps physiques d'ailleurs ».

    Autres volets de la mission que s'est assignée le DEN : faciliter le recrutement des personnes ayant un handicap et développer une politique de communication interne et externe.

    De nombreuses réalisations

    Malgré son jeune âge – il n'a qu'un an d'existence - le DEN a déjà des réalisations à son actif. « Nous avons participé à des compétitions dans le cadre des Special Olympics, des courses organisées au profit des personnes souffrant de handicap mental, précise Christophe. Il y avait plusieurs équipes de Dow. Certaines étaient composées de salariés valides. D'autres étaient mixtes. »

    Autre réalisation : la participation au jeu concours sur les Jeux Paralympiques. « Nous avons apporté

    Il y a deux manières d'apprécier les différences : les rejeter ou les accepter. Chez Dow, il y a un parti pris : intégrer les différences et les faire accepter par tous. Dow en France s'est donné pour mission de s'intéresser plus particulièrement au handicap.

    Ces différences qui nous enrichissent

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    L'enveloppe textile qui entourait le stade olympique de Londres va connaître une deuxième vie. Dow qui en avait fabriqué les 306 panneaux va les recycler à des fins humanitaires. Une solution qui participe aussi à la protection de l'environnement.

    Qui ne se souvient pas de cet écrin magnifique qui alliait élégance et efficacité ? Il aurait été dommage que cette enveloppe réalisée à partir de matériaux Dow termine sa vie avec la fin des JO. C'est pourquoi Dow a passé un double partenariat, avec Article 25, un organisme caritatif spécialisé dans le logement et Axion Recycling, entreprise de recyclage. Objectif : réutilisation des panneaux pour des projets au Royaume-Uni, en Ouganda et à Rio.

    Dès leur conception, les matériaux conçus pour l'enveloppe olympique étaient prévus pour une réutilisation ultérieure. La technologie de Dow Elastomers offre en effet un triple avantage : durabilité, flexibilité et résistance au feu.

    Pour la bonne cause

    Autre caractéristique remarquable : le système complet de l'enveloppe, c'est-à-dire filins en acier et garnitures compris, représente moins d'un demi pour cent de l'empreinte carbone du stade.

    D'ici à quelques mois la célèbre enveloppe olympique se sera métamorphosée. Au Brésil, elle sera utilisée à Rio pour la construction d'un espace ombragé destiné à l'institut Bola Pra Frente, créé en 2000 pour venir en aide aux enfants et adolescents issus des milieux défavorisés. En Ouganda, la même reconversion sera assurée pour un centre de formation et d'orientation professionnelle pour d'anciens enfants soldats. Dans les deux cas, les panneaux garderont le plus possible l'aspect des Jeux. Une manière de maintenir physiquement en place le message olympique : plus vite, plus haut, plus fort. n

    notre contribution à la vente de billets de tombola », précise Christophe. On peut ajouter l'organisation de petits déjeuners DEN, avec la présence d'intervenants extérieurs, comme par exemple le secrétaire du conseil d’administration de l'Association des Paralysés de France.

    La vocation du DEN est aussi d'être au diapason de ce qui se fait dans la société. C'est pourquoi, le groupe de travail a participé pleinement à la Journée mondiale du handicap le 3 décembre dernier.

    Fédérer les énergies

    « Nous voulons organiser quelque chose qui fédère les énergies des sites que compte Dow en France », souligne Christophe. Cette volonté d'unir les efforts des différentes entités de Dow en France s'inscrit dans une démarche plus large. Au début, le DEN développait ses actions essentiellement à partir du site parisien. Maintenant, chaque site a un ou deux représentants, ce qui démultiplie les idées et les moyens d'action... Autre atout du DEN : sa structure fait plus appel à des compétences transdisciplinaires.

    L'intégration des différences dans les rouages de la société est une chose. Le recrutement en est une autre, une tâche plus difficile lorsque les nuages de l'économie s'assombrissent. Mais le DEN reste relativement confiant, malgré tout. « Nous avons bâti des profils et nous sommes allés voir les associations, confirme Christophe. Assez étonnamment il y a une demande, mais nous ne trouvons pas toujours le profil correspondant. » Ainsi, mois après mois, la toute jeune structure du DEN prend ses marques et commence à prendre de l'ampleur. L'union fait la force : des réseaux DEN voient le jour dans d'autres pays en Allemagne et en Suisse en particulier. Le réseau Europe se réunit tous les trimestres, grâce au système des conférences téléphoniques. D'une certaine manière, tous ceux qui se sont lancés dans le challenge du DEN cultivent eux aussi leur différence : aller vers l'autre, surtout quand il est différent. Une formule qui marche : ils font des émules. n

    Une réutilisation...

    olympique

  • Présent en grande quantité dans les peintures et revêtements, le dioxyde de titane se retrouve également dans une multitude de produits de grande consommation*. Pas étonnant donc que la demande mondiale soit forte, le stock peu abondant et le prix élevé.

    Utilisé comme pigment blanc dans la peinture, il est ajouté à celle-ci pour intensifier son pouvoir couvrant et sa couleur. En effet, ce minéral possède d’excellentes propriétés couvrantes, très utiles lorsqu’on souhaite masquer tâches, auréoles ou encore anciennes traces de peintures. Le hic ? Sa tendance à s’agglomérer au lieu de se disperser de manière uniforme. Une caractéristique qui poussait les formulateurs à en augmenter les quantités. Difficile alors de trouver le bon équilibre entre prix et performance du produit.

    Des molécules intelligentes

    Dow répond à cette difficulté avec EVOQUETM, une technologie qui aide les particules de TiO2 à agir de manière plus intelligente. Comment ? Elle entoure les particules et adhère à leur surface formant ainsi un composite permettant une meilleure dispersion du minéral et donc une tendance à l’agglomération moins forte. Les fabricants consomment jusqu’à

    20 % de TiO2 en moins et augmentent la qualité de leurs produits. Par ailleurs, EVOQUETM va plus loin en permettant d’adapter les performances des peintures à des marchés et applications spécifiques.

    Dow répond ainsi à une préoccupation de l’industrie et crée de meilleures peintures pour les consommateurs du monde entier. n

    Dans son souci permanent d’apporter des solutions pointues et durables pour tous, Dow vient de mettre au point une innovation technologique. EVOQUETM , fabriquée sur le site de Lauterbourg, permet aux formulateurs de tirer le maximum de bénéfices du dioxyde de titane (TiO2). Un enjeu majeur sur ce marché. Découverte.

    Dow étoffe sa palette pour les peintures et revêtements

    Un nuancier dans ma poche ! Les différentes couleurs de peintures sont légions, pour notre plus grand bonheur. Mais difficile parfois de choisir entre un vert canard et un vert émeraude. Désormais, vous pouvez à tout moment obtenir l’avis d’un expert en téléchargeant l’application mobile ColorDéco (disponible sur itunes). Développée par Dow, elle conseille sur le choix des teintes et permet d’obtenir des échantillons, utiles pour vos projets déco.

    *  Le dioxyde de titane est notamment présent dans la crème solaire, le dentifrice ou encore le fromage blanc.

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    Nos produits et vous

  • Les isolants STYROFOAMTM : comme au premier jour...Jusqu'à présent, deux contraintes s'imposaient : des réglementations de plus en plus sévères et le coût croissant de l'énergie, explique Gérard Curtenat, responsable technique France-Belgique du département "Dow Building Solution"/DBS. Aujourd'hui, un autre impératif devient déterminant : la durabilité de l'isolant. Quelles seraient en effet les économies réalisées si ce dernier perdait rapidement ses qualités d'origine ? »

    D'une certaine manière, les applications STYROFOAMTM

    ont anticipé. Le produit a été conçu il y a plus de 40 ans. Il a subi tous les tests réalisés par des laboratoires indépendants, d'ailleurs souvent plus sévères en France qu'à l'étranger. « Malgré tout, Dow s'est imposé des exigences plus sévères encore que la réglementation, poursuit Gérard. Ce n'est pas un hasard si la marque de nos isolants est citée spontanément. »

    Concrètement, cela veut dire que les produits de la gamme STYROFOAMTM doivent conserver tout au long de leur vie leur pouvoir isolant.

    Bref, avoir la durée de vie des bâtiments qu'ils isolent. Pour cela, ils ne doivent pas perdre leur épaisseur, ni absorber l'humidité ambiante.

    Tests à l'appui

    « Tous les tests que nous avons fait effectuer ont confirmé la pérennité des caractéristiques d'origine, souligne Gérard. Il y a eu des prélèvements par huissier sur des produits de plus de 20 ans d'âge. Les analyses ont été faites par le CSTB (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment) et le LNE (Laboratoire

    National de Métrologie et d'Essais). » Ces tests n'ont rien d'anecdotique. Il y en a eu une centaine...

    STYROFOAMTM va donc plus loin qu'une simple réponse technique. Il initialise une logique de durabilité. Un argument particulièrement apprécié par les constructeurs-loueurs : la pérennisation des qualités de l'isolant leur évite le surcoût d'un renouvellement du produit. En clair, pas de mauvaise surprise. Une forme de garantie à vie... n

    Le temps ne semble pas avoir de prise sur les isolants STYROFOAMTM. Toutes les expériences le prouvent. Ce n'est pas seulement une prouesse technologique, ni la démonstration du savoir-faire de Dow. C'est aussi un atout incomparable pour les utilisateurs dans une période où les économies d'énergie sont devenues une exigence incontournable.

    • Fin 2011, un prélèvement est opéré chez un particulier, à sa demande, sur un panneau WALLMATE™ CW posé en...1984. Le particulier voulait retrouver le même isolant. Le panneau prélevé a été envoyé au Laboratoire National de Métrologie et d'Essais (LNE) de Trappes. La conductivité thermique relevée était de 0,0284, soit quasiment la même que la valeur déclarée (0,029) 27 ans plus tôt...

    • Autre exemple : Le Passivhaus Institut de Darmstadt, en Allemagne, une autorité reconnue en matière de construction passive (très faible consommation d'énergie) a décerné en septembre dernier une certification à deux produits Dow, xENERGY™ et FLOORMATE™ 500-A et 700-A. Une certification qui vaut référence.

    Preuves irréfutables

    http://building.dow.com/eu/fre/fr/

    Pour en savoir plus :

  • Le 16 octobre dernier, la CAP du site de Drusenheim a eu la chance de visiter la nouvelle unité Dow AgroSciences et ses laboratoires, en avant-première. Récit en images.

    Dialog

    Autour de nous

    Dialog - N°13 - Automne/Hiver 2012

    Directeur de la publication : Heiko Dahms – Comité de rédaction : Fabien Florence, Véronique Heller-Clauss, Maeva Grün, Alexander Hoffmann, Laurence Kolmer, Nico Krespach, Nicole Vetter – Conception graphique : Latitude – Crédit photos : Dow, Rohm and Haas, Shutterstock Imprimeur : Kehler Druck GmbH & Co. KG I Weststr. 26 I D-77694 Kehl – Le texte de ce magazine est disponible en version intégrale sur notre site internet : www.dow.fr sous la rubrique Dow en France – Nos sites – Drusenheim

    Dow France S.A.S. Société par actions simplifiée au capital de 6.949.904 €RCS 462.006.613 BobignyCS 10820 - 8, Rte de Herrlisheim - 67410 Drusenheim, FranceAdressez toute demande ou suggestion à : Nicole Vetter - Tél : 03 88 53 53 53 / mail : [email protected] en savoir plus, visitez notre site internet : www.dow.fr

    ® TM Marque de The Dow Chemical Company (“Dow“) ou d'une société affiliée.

    imprimé sur du papier 100 %

    recyclé

    Retrouvailles et derniers briefing avant d'entamer la visite.

    Une nouvelle recrue dans l'équipe ! Cette réunion a également été l'occasion d'accueillir un nouveau membre, Sandrine Krafft, habitante de Rohrwiller. Laborantine chez Roquette, c'est tout naturellement que cette jeune femme s'intéresse au site industriel voisin. Nous la remercions de venir étoffer notre groupe et lui souhaitons la bienvenue.

    Le comité consultatif visite la nouvelle unité DAS en avant-première !

    Revêtement obligatoire des EPI (casques, blouses, sur-chaussures, gants et lunettes de protection) pour entrer dans l'unité de production.

    Les habitants ont salué l'investissement sur le site (10 millions d'euros).