« DE L’EXPÉRIMENTATION DES EXPÉRIENCES … · n grandissant « Cabotine l’apprentie fée »...

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Transcript of « DE L’EXPÉRIMENTATION DES EXPÉRIENCES … · n grandissant « Cabotine l’apprentie fée »...

Avec Anissa Benchelah

Mise en scène par Bérénice Fervaques et Fabrice Etifier

conseil scientifique : Richard-Emmanuel Eastes

Les Atomes Crochus présentent :

Spectacle De Clowns et de Sciences

Tout public à partir de 5 ans

Contact Les Atomes Crochus23 rue des Balkans

75020 Paris + 33 (0)1 43 48 36 96

mail : [email protected]

De L’EXPÉRImentation des expériENCES

EXPÉRImentales

Mlle Renoncule est l’assistante stagiaire de Professeur Spatule. C’est imminent, l’éminent professeur doit donner une conférence intitulée :

« DE L’EXPÉRIMENTATION DES EXPÉRIENCES EXPÉRIMENTALES ».

Le problème, c’est qu’il n’arrive pas. Pas d’alternative : elle doit prendre les choses en main, mais c’est plutôt l’inverse qui se produit.Elle expérimente avec zèle le précepte du Professeur Spatule selon lequel

« C’est en faisant des erreurs qu’on fait avancer la science ».

Elle se débat entre une fumée sans feu, un cornichon dépressif, une boisson récalcitrante, et de l’urine de Schtroumpfs... mais rien ne décourage Mlle Renoncule. N’ayant pour tout bagage que sa passion pour le professeur Spatule, son incompétence et sa maladresse, elle tentera tout, vraiment tout, pour sauver la face.

Qaund Mlle Renoncule étale sa science... Attention aux éclaboussures !

La couche-culotte

Les molécules d’acide polyacétique présententde grandes affinités pour les molécules d’eau, qui pénètrent dans leur enchevêtrement et le fontgonfler. En présence de sel, toutefois, la préférence des molécules d’eau pour les ions sodium et chlorure entraîne leur extraction du polymère.

La lampe-billet *

Dans un mélange d’eau et d’isopropanol, une substance chimique de la famille des alcools, le billet semble brûler. En réalité, seul l’isopropanol brûle et l’eau protège le papier de la combustion. Celle-ci s’achève avant que la chaleur dégagée par la flamme n’ait eu le temps de faire évaporer l’eau et fi nalement, le papier reste intact.

Acido-basicité

L’acido basicité est un phénomène chimique mettant en jeu des espèces que l’on nomme acides et bases. La force de ces dernières est évaluée à l’aide d’une notion que l’on nomme le pH. Son évolution peut être visualisée à l’aide d’indicateurs colorés qui changent de couleur avec lui Les acides (par exemple le jus de citron) et les bases (par exemple le déboucheur chimique pour toilettes) réagissent ensemble, parfois violemment.

Mlle Renoncule défie les lois de la physique !

Sous l’influence du champ électrique produit par la « boule plasma », le gaz du tube fluorescent estexcité comme si le tube était branché. Il émet des ultraviolets qui sont absorbés par la paroi du tube.L’énergie, communiquée à ce dernier, l’illumine.Attention : le verre de la boule plasma et des tubes fluorescents est fragile.

La lampe-cornichon *

Planté sur deux clous connectés au secteur, le cornichon est traversé par un fort courant électrique qui se propage sous forme d’arcs électriques :le cornichon s’illumine. Grâce à la présence d’acide acétique dans le vinaigre qui imprègne le cornichon, l’électricité peut le traverser. Il s’en suit des réactions chimiques aux électrodes, connues sous le nom d’électrolyse.

Carboglace *

La carboglace est en réalité du CO2 sous forme solide. Nous connaissons habituellement le CO2 à température ambiante et sous forme gazeuse. Afin de le solidifier, il faut faire baisser la température ; le CO2 devenant solide dès -78.5°C.La fumée qui semble se dégager de ces « glaçons » n’est pas du CO2 (celui-ci étant invisible sous forme gazeuse), mais de l’eau (contenue dans l’air) qui s’est condensée à cause de la baisse de température provoquée par le CO2.

Fiche explicativeToutes les expériences qui vont suivre sont sans danger pour les spectateurs. Mais si vousdeviez avoir envie de les reproduire chez vous, les enfants, ne les faites jamais seuls ! Soyez

toujours encadrés par un adulte lorsque vous manipulez le feu ou l’électricité.

* Attention : expériences potentiellement dangereuses, à ne pas tenter chez soi !

Clown... de science ?

« Le jeu du clown révèle des vérités mais ce n’est pas lui qui les détient. Il a un rôle de catalyseur, et non de donneur de leçon. » Jean-Bernard Bonnange

La particularité du clown de science est d’emmener ses spectateurs vers des questionnements insoupçonnés, de détourner les formules et les objets afin de nourrir son avidité pour l’expérimentation, le raisonnement et la connaissance. Il dédramatise les mathématiques, la physique, la chimie, la biologie moléculaire…

Le clown est naïf. Naïf veut dire « capacité à naître ». Le clown naît au monde chaque jour, il va de moment en moment, il vit exclusivement au présent tout est prétexte au jeu, au questionnement et à l’amusement. Il vit en empathie avec les objets du monde qui l’entourent : ce n’est pas le clown qui enfile sa blouse, c’est la blouse qui enfile le clown. Ce n’est pas le clown qui fait tomber le balai, c’est le balai qui fait tomber le clown.

Il joue des surprises, des imprévus. De ce fait chaque représentation est unique : un spectateur qui a oublié d’éteindre son téléphone où qui tousse, un régisseur qui se loupe… le bogue, un cadeau pour le clown !

Agissant sur le rapport des spectateurs à leur propre apprentissage, mais également sur leur confiance en eux, le clown endosse alors un véritable rôle de médiateur scientifique.

« Le travail du clown est aussi sérieux qu’un jeu d’enfant »Philippe Gaulier

Historique

2013 15 Représentations déjà prévues :

Festival «Nous n’irons pas à Avignon» édition 2013 - Vitry/Seine (94)La Nuit des Chercheurs - à l’Ecole Polytechnique (91)

2012 20 Représentations :

Paris et IdF (75)Nogent sur Seine (10)

Fête de la Science en Guyane (973)

2011 46 Représentations :

île de France (91-78) Fête de la sciences dans le (91): Evry, Arpajon, Saint Ouen (94) (92) Tournées : Tlemcen et Oran (Algérie) Dakar (Sénégal) Ile de la Réunion

2010 53 Représentations :

Paris (75) La Norville (91) Morcenx, Roquefort, Villeneuve-de-Marsan Tournées à l’étranger : Belgrade (Serbie)

Jérusalem, Ramallah, Naplouse (Palestine)

2009 25 Représentations :

Vélizy (78) Cité des Sciences (Paris)

De l’expérimentation des expériences expérimentales

Née à Paris, Anissa entre à l’école Montessori la même année que Mitterand à l’Elysée. Ayant instinctivement senti l’effet galvanisant du rire sur ses alter ego, elle développe rapidement sa faculté à imiter les tics de langages et attitudes de tous les tenants de l’autorité.

Tels des voyants extralucides, les adultes qui l’entourent lui assènent régulièrement, « cesse donc ce cirque », « quelle clown » ou encore « arrête tes pitreries », lui suggérant déjà un avenir prometteur dans ce domaine. Seulement, à cette époque elle n’envisage pas de devenir artiste-alcooliques-droguée-déprimée-suicidaire comme le sont tous les grands qu’elle admire.

En 1985, Anissa part faire son collège en Algérie, elle y découvre l’humour noir et la dérision.En effet, l’idyllique période s’achève rapidement : à mesure que poussent ses attributs féminins, voiles et barbus se multiplient autour d’elle ! Constatant qu’elle a vraiment trop chaud sous le hijab et qu’elle n’est définitivement pas une femme à barbe, elle revient passer son bac à Paris.

S’ensuit une intenable envie de bouger autour de notre planète. Là encore l’humour la sauve de bien des situations. Curieuse, elle teste tout un tas de projets de vies : trapèziste au Cirque Romanès, étudiante de langue arabe aux langues’O, vendeuse de journaux à la criée, apprentie sage femme au Togo, monitrice de plongée aux Antilles, écosseuse de petits pois pour Bonduelle, attachée de presse chez Euro RSCG, co-organisatrice de la venue de Sa sainteté le Dalai Lama à Paris.

Anissa Benchelah Comédienne et Clown

En grandissant « Cabotine l’apprentie fée » accouche elle même d’un spectacle mis en scène par Fabrice Etifier, qu’Anissa séduira contre tout attente et qui deviendra le père de ses nombreux enfants.

Clown aux 4 roues motrices , elle s’adapte par tous les temps à tous les terrains : un jour à Neuilly, le lendemain à la Maisons d’arrêt de Fleury Mérogis.

En 2008, à l’issue de sa cinquième 1ère année de médecine, le Docteur Céleste fait son entrée à l’hôpital pour L’Association Théodora. Depuis, elle consulte une fois par semaine, spécialiste spéciale, bisouthérapeuthe et trouillologue.

Grâce à ses Atomes Crochus avec l’association du même nom, Mlle Renoncule éclot au printemps 2009. Elle est depuis stagiaire précaire en CDD auprès de l’éminent professeur Spatule et entend bien garder cette précieuse place ( par les temps qui courent..). Le spectacle de ses « Expérimentations des Expériences Expérimentales » , à été un succès inter-régional et même international.

Toutes ces expériences lui confirment l’adage « le ridicule ne tue pas » . Forte de cette conviction, Anissa se jette à l’eau en Martinique, où elle interprète « Krik Krak » de l’écrivain Haïtienne Edwige Danticat pour la compagnie « Les enfants de la mer ».

Puis, à la faveur d’un désistement de dernière minute, elle file avec la compagnie de cirque « Poussière d’Etoiles » en tournée aux Antilles. Elle met alors au monde sur un trapèze, « Cabotine l’apprentie fée... » clown malgré elle.

Mais sa maman lui manque. 2001, l’odyssée vers le bercail parisienmalgré le froid de l’hiver quasi permanent, elle se lève courageusement tous les matins pour parfaire sa formation à l’ Atelier International Blanche Salant et Paul Weaver. Puis elle enchaîne les stages de clown dans toute les régions où l’on trouve du soleil- en France.

Richard-Emmanuel EastesConseil scientifique

Professeur agrégé de chimie à l’Ecole normale supérieure (ENS, Paris)

Directeur de l’Espace des Sciences Pierre-Gilles de Gennes (ESPCI ParisTech)

Chercheur associé à l’Institut d’Histoire et de Philosophie des Sciences et Techniques (Université Paris I)Chercheur associé au Laboratoire de Didactique et d’Epistémologie des Sciences (Université de Genève)

Président du Groupe Traces (Ecole normale supérieure)Président de l’association Les Atomes Crochus (Paris)

En tant qu’élève de l’Ecole normale supérieure de Lyon (1992-1995), mes recherches ont tout d’abord porté sur des sujets de chimie supramoléculaire au Collège de France, dans le laboratoire Chimie des Interactions Moléculaires du Prix Nobel de Chimie Jean-Marie Lehn, avant de s’orienter vers la biochimie dans les laboratoires américains de la société Rohm & Haas puis la chimie de l’atmosphère au Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement avec le Prix Nobel de la Paix Jean Jouzel.

J’ai ensuite collaboré avec le laboratoire Activation Moléculaire et Réactivités Electrochimiques de Christian Amatore, au Département de Chimie de l’Ecole normale supérieure, alors que j’y avais été recruté comme professeur agrégé. Cinq années durant (1995-2000), j’y ai formé les futurs agrégés de sciences physiques, avant de créer et de diriger pendant cinq autres années le service des concours scientifiques des trois écoles normales supérieures (2000-2005).Au sein du Département d’Etudes Cognitives de l’ENS, j’ai ensuite exercé les fonctions de Responsable Education-Valorisation-Ethique (2005-2010). Au sein du projet Communication et Culture Scientifiques, Cognition, Société du Groupe Traces, j’avais la charge de la formation continue en vulgarisation et communication scientifiques, destinée aux chercheurs et aux étudiants en lettres et en sciences, au sein de deux cours intitulés respectivement Médiation et Communication Scientifiques et Savoirs-Apprentissages-Cognition-Société. J’assurais parallèlement la direction pédagogique du festival des sciences Paris Montagne de l’ENS. J’ai également co-fondé les associations Les Electrons Libres, centrée sur la dialectique entre arts et sciences, et Les Attracteurs Etranges, compagnie théâtrale développant des projets artistiques, dont j’assure les directions scientifiques.

Rattaché en 2008 à l’Institut d’Histoire et de Philosophie des Sciences et des Techniques de l’Université Paris I, j’ai alors entrepris une recherche sur les notions de «compréhension et explication en sciences», en lien avec les travaux sur l’approche phénoménologique des sciences que je menais depuis 2001 avec Francine Pellaud au Laboratoire de didactique et épistémologie des sciences de l’Université de Genève, sous la direction d’André Giordan. Il s’agit plus généralement d’appliquer les résultats récents des sciences cognitives aux questions éducatives, ce que j’ai notamment pu expérimenter dans le cadre du projet COMPAS, think tank coordonné par le philosophe des sciences Daniel Andler. Ces réflexions se poursuivent actuellement dans le cadre d’une recherche doctorale en lien avec les deux laboratoires, et s’appuient sur la théorie du changement conceptuel, dans le cadre de laquelle je développe les aspects formels du modèle d’apprentissage allostérique.

Bérénice Fervaques Metteur en scène

En parallèle à sa formation de comédienne et de Lettres Modernes, Bérénice Fervaques réalise ses premières mises en scène à partir de 1996 avec notamment Emballage perdu de Vera Feyder et une adaptation du Capitaine Fracasse de Théophile Gautier. Elle crée La Valse du hasard de Victor Haïm à la Sorbonne en juin 1999.

A partir de la saison 1999-2000, elle collabore régulièrement aux activités Jeunepublic du Théâtre du Châtelet, animant des ateliers de création, donnant des cours de théâtre et d’ex-pression corporelle.

Activités de comédienne

Depuis septembre 2002, elle joue dans Rose et Jeannot, une comédie musicalepour enfants de Gérard Rouzier, représentée à ce jour près de deux cents fois enFrance (Paris, Avignon, région parisienne notamment). En novembre 2005 et février 2006, elle interprète le rôle de Woglinde dans La Journée Famille du Théâtre du Châtelet sur le thème de la Tétralogie de Wagner.

Depuis décembre 2004, elle a donné plus de 30 représentations des Contesscientifiques à Paris, en Picardie, à Nice et à Mulhouse notamment.

Mises en scène

Elle effectue un stage à la mise en scène à l’Opéra de Paris en 2001, puis participe aux répétitions du Songe d’une nuit d’été de Shakespeare mis en scène par Yannis Kokkos au Théâtre des Amandiers de Nanterre en 2002. Elle collabore pour la première fois avec Sandrine Anglade en 2003 sur La Reine des glaces de Julien Joubert à l’Opéra de Paris avec la Maîtrise de Radio France.

Après Tout fées tout flamme, comédie musicale créée au Château du Rivau durant l’été 2003, Bérénice Collet réalise la mise en scène du Petit Ramoneur de Benjamin Britten en avril 2004 au Théâtre des Champs-Elysées, (repris en mars 2005). Elle collabore à nouveau avec Sandrine Anglade sur Tamerlano de Haendel à l’Opéra de Lille en octobre 2004 (puis au Grand Théâtre de Caen et à l’Opéra de Bordeaux) et réalise en parallèle Le Petit Tamerlano avec une distribution de jeunes chanteurs.

Après H2O, création pour deux comédiens, un vidéaste et deux musiciens, sur des textes d’Aloysius Bertrand, Jean Tardieu et Francis Ponge, elle a signé en juin dernier la mise en scène du Verfügbar aux enfers de Germaine Tillion au Théâtre du Châtelet, largement salué par la presse et le public.Elle prépare la mise en scène de Cosi Fan Tutte de Mozart, dirigé par Benjamin Pionner, pour un festival d’été itinérant en août 2008.

Bérénice Fervaques a collaboré à plusieurs reprises aux ateliers de création Jeune public du Théâtre du Châtelet. En outre, elle s’est vue confier par l’Orchestre Lamoureux l’écriture et l’interprétation de plusieurs spectacles éducatifs, présentés dans la cadre de la saison 2005-2006.

Fabrice EtifierMetteur en scène

Un concours de critique de film est proposé aux jeunes de moins de 26 ans. Fabrice se dit qu’il peut y participer puisqu’il n’a que 21 ans. Il lit alors tout ce qu’il trouve concernant de près ou de loin le 7ème Art (Voici, Podium, Paris Match...). Il voit et revoit plusieurs fois les films dont il prévoit de rédiger la critique. Entre-temps, il a remis en état cinéma désaffecté et y anime avec deux amis un Ciné-club hebdomadaire. Faisant fi de tout droits d’exploitation, ils projètent les films en VHS. Alain Rodaix, animateur de l’émission télé quotidienne NouChéVou, propose à Fabrice d’animer la chronique cinéma de son émission. Il y vilipende l’unique exploitant de salles de la région. La sanction ne tarde pas : Fabrice est renvoyé de l’émission.

En 2001, Fabrice est attiré par la grisaille et le froid triste de Paris. Il démissionne de Ciné Woulé et malgré son implication sans faille au sein de l’association durant toutes ces années, il n’aura même pas de cadeau de départ (pas même un porte-clefs).

A Paris, Fabrice enchaîne les boulots alimentaires : sondeur pour la SOFRES, gardien de musée, distributeur de journaux gratuits, échassier, animateur en centre de loisirs, chirurgien, chauffeur de bus, et même sous-secrétaire au Démentèlement des Finances Associatives pour plus de Répartition Budgétaire (DFARB).

En 2004, il met en scène « Cabotine, l’apprentie fée », interprété par la clown Anissa Benchelah, qui deviendra sa femme et la mère de ses 8 enfants (les 3 suivants étant des erreurs de jeunesse). Cette expérience est décisive pour Fabrice. Il y synthétise l’ensemble de ses expériences humaines et professionnelles et les transcende par l’absurde. Mais puisqu’il faut bien payer son loyer, Fabrice se forme au motion design et au montage vidéo, il réalise également une centaine de courts métrage qui obtiendront tous des prix dans des festivals internationnaux prestigieux : La Foire au Boudin de Marceau en Yvelines, Le Festival du Mouton en Peluche Empaillé A la Main de Saint-Chéron, ou encore feu Le Festival des Films Jamais Vus.En 2009, à la suite de Bérénice Collet, partie en congés maternité, Il reprend la mise en scène du spectacle de clown « De l’Expérimentation des Expériences expérimentales » avec Anissa Benchelah. Produit par les Atomes Crochus, association de médiation scientifique, le spectacle est un succès, et fait le tour du monde : Sénégal, île de la Réunion, Algérie, Cergy-Pontoise, New-York, Pom Pom Galli...

Aujourd’hui, Fabrice ETIFIER, partage son temps entre l’éducation de ses 11 enfants, ses cours de judo, d’équitation, de karting et de bignou, et sa vie professionnelle : graphiste vidéo d’images animées par ordinateur, inspecteur de police remplaçant, et metteur en scène de spectacles de clowns qui font rire.

Fabrice ETIFIER naît le 26 septembre de l’an de grâce 1974, à Fort de France, Martinique, à une date et un lieu inconnus de lui. Très tôt, le jeune Fabrice se prend de passion pour le dessin. Malheureusement, le travail harassant sur les champs de cannes lui laisse peu de temps pour se consacrer à son activité artistique. Bac en poche, il réussit le concours d’entrée à l’Ecole Régionale d’Arts Plastiques de Martinique.

Très vite, les professeurs de l’école se rendent à l’évidence : ils ont admis un authentique génie. ...Mais ceci est une autre histoire car il ne s’agit pas de Fabrice.

Fabrice, en proie aux questionnements existentielles propre à son âge, tombe sur une annonce qui va changer sa vie pour toujours et à jamais.

Les Atomes Crochus

La troupe des Atomes Crochus est une association interdisciplinaire créée en 2002 à l’Ecole normale supérieure par trois universitaires passionnés de communication scientifique. Agréée Jeunesse et Education Populaire, elle compte désormais une douzaine d’artistes et plusieurs dizaines de membres, dotés d’une double formation en sciences expérimentales et en sciences humaines pour la plupart, conseillés par des Membres d’Honneur prestigieux.

Dès sa création, à travers une grande variété d’activités de médiation culturelle dans les domaines des sciences expérimentales et du développement durable, alliant arts, sciences et pédagogie, elle s’est rapidement muée en un véritable laboratoire d’innovations de la culture scientifique.

Clowns de sciences, contes scientifiques, ateliers expérimentaux et ateliers débats, expositions photographiques, concours d’écriture… Ces activités élaborées pour des publics spécifiques couvrent toutes les tranches d’âge et tous les niveaux de connaissances. Les Atomes Crochus interviennent en France et à l’étranger, dans les écoles, universités, médiathèques, théâtres, centres culturels ou scientifiques, fêtes de sciences...

L’association vise des objectifs ambitieux : transmettre sa passion pour la connaissance, replacer la science dans la culture, développer le goût d’apprendre chez les jeunes, participer à la clarification des valeurs, entretenir le plaisir de la découverte et l’envie de comprendre le monde...Pour ce faire, elle s’appuie d’une part sur les recherches et réflexions menées par ses membres en sciences cognitives, en sociologie, en philosophie des sciences, et en sciences de l’éducation. D’autre part, elle se base sur l’imagination, la créativité, l’originalité, les compétences techniques et artistiques des photographes, comédiens, clowns, conteurs, infographistes, metteurs en scène avec lesquels ils collaborent.

Fiche techniqueEquipe2 personnes : 1 clown et 1 technicien

MontageInstallation décors et lumière : 2h (ou pré-montage)

Ouverture des portes 10 minutes avant le spectacleDurée du spectacle : environ 45 minutes sans entracteDiscussion après le spectacle.Jauge maximale : 150 personnes

DimensionsOuverture du cadre de scène : minimum 5 mètresProfondeur de l’avant-scène au rideau de fond de scène : minimum 3 mètresLe sol doit être plat et de couleur sombre. L’avant scène et le cadre de scène doivent être noir.

ObscuritéIl est important de pouvoir obtenir un noir complet sur scène et dans la salle.

Régie Son et LumièreL’emplacement idéal de la régie se situe au centre arrière de la salle au niveau du parterre. Lorsque cen’est pas possible, l’emplacement de cette régie doit permettre en tout temps la pleine vision de la scène et une bonne écoute des éléments sonores du spectacle (pas de fenêtre). Les consoles lumière et son doivent être manipulable en même temps par le régisseur de la compagnie.

Équipements d’éclairages *3 pc 1000 W3 pieds1 consol lumière et câblerie adaptée3 gélatines 205

Équipements son *1 console de type professionnel1 lecteur CD avec auto-pause1 système de diffusion de bonne qualité (puissance adaptée à la salle)

DiversTables pour la régieÉclairages de coulisses discrets et 2 lampes de régies graduablesRallonges électriques pouvant relier le centre de la scène1 pupitre de chant1 rallonge électrique reliant la régie et le plateau (fiche mâle côté plateau !)1 balai 2 tables pour la scène (1m x 1m60)

LogeTable de maquillage avec miroir bien éclairé.

Contact technique : 01 43 48 36 96

* Pour la région parisienne possibilité de fournir le matériel lumière sous-conditions.