Qui ne connaît pas les langues étrangères

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Numele si prenumele: Spiridon Ana-MariaClasa: a XII-a FScoala: Colegiul National „Nicolae Bălcescu”Profesor indrumator: Drambu Steluta

« Qui ne connaît pas les langues étrangères ne

connaît pas la sienne » (Goethe)

Cette pensée a éveillé ma réflexion. Ainsi à mon avis, les langues ont une très grande importance dans la vie des hommes, dans la collaboration des

peuples, dans le bien être du monde.

Premièrement je veux mentionner l’importance des langues étrangères

dans la vie d’un individu, puisque je suis d’accord avec cette idée de Goethe que

la connaissance et la maîtrise des langues étrangères c’est une nécessité

au XXI-ième siècle.

Connaître une langue étrangère, c’est la confronter avec la langue maternelle, c’est

apprécier, aimer et améliorer la sienne. C’est aussi un grand atout en ce qui concerne la

carrière professionnelle, car l’une des exigences des plus importantes des firmes,

des compagnies et des institutions, c’est que leurs employés doivent connaître au moins

une langue étrangère. De plus, la connaissance des langues étrangères assure

une progression et un développement personnel.

Deuxièmement, la diplomatie et la coopération internationales sont les

instruments de la paix dans le monde et la formule du succès dans l’économie

mondiale.

Ainsi dans l’Union Européenne qui est une mosaïque de langues, peuples et cultures et dont la devise est « Unis dans la diversité » – ce sont

l’anglais et le français qui sont les clefs de la communication et du fonctionnement de cette

Union internationale. Donc on peut affirmer que la connaissance des langues étrangères joue le rôle essentiel dans la coopération internationale.

L’enseignement des langues étrangères est une priorité pour un état et pour ses citoyens. Cela

ouvre la porte vers le monde, vers la coopération mondiale. La multitude des langues semble être un obstacle, mais je considère que les langues représentent un pont entre hommes et cultures. La coopération mondiale signifie une

compréhension mutuelle. Les langues créent cette compréhension réciproque, parce

qu’apprendre une langue étrangère signifie comprendre les autres peuples et leur manière

de penser, de vivre.

Troisièmement, la connaissance des langues étrangères et le multilinguisme

ne sont pas seulement un atout

pour les gens, mais c’est aussi

une possibilité de développement

économique, social et culturel.

Les langues étrangères ont une importance énorme pour l’économie

d’un pays, pour les entreprises, etc : par exemple : en 2006, la Commission Européenne a réalisé une étude qui

indique le fait que chaque année des entreprises européennes perdent des

affaires à cause des salariés qui ne connaissent pas les langues étrangères.

Connaître des langues étrangères signifie connaître le monde, comprendre les gens. Je crois que la compréhension mutuelle, la compréhension mondiale est l’arme la plus

forte contre le racisme, la xénophobie et l’intolérance.

Une langue étrangère est une langue qui n'est pas la langue maternelle d'une personne, si bien

qu'elle doit en faire l'apprentissage pour pouvoir la maîtriser. Ceci peut se faire de différentes

manières : par la voie scolaire, par des cours, des stages ou des formations à l'âge adulte, par des manuels ou des méthodes multimédia, par

le bain linguistique.

La langue française est un attribut de souveraineté en France : la langue

officielle de la République française est le français. Elle est également le principal véhicule de la pensée et de la culture française dans le monde. La langue

française fait l'objet d'un dispositif public d'enrichissement de la langue, avec le

décret du 3 juillet 1996 relatif à l'enrichissement de la langue française.

La langue française a cette particularité que son développement et sa codification ont

été en partie l’œuvre des groupes intellectuels, comme la Pléiade, ou d’institutions, comme l’Académie

française.

C’est une langue dite « académique ». Toutefois, l’usage garde ses droits et nombreux sont ceux qui malaxèrent

cette langue vivante, au premier rang desquels Rabelais et Molière : on

parle d'ailleurs de la

« langue de Molière ».