Post on 21-Jul-2016
description
P O R T F O L I OÉlise Bourgeois-Lavoie
Continuité
P R O J E T S
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Greffe urbaine0 2
Continuités [re]trouvées0 3
Suivre le pas0 4
Collages0 5
Folies0 6
Gîte au pied levé0 7
L’arrière scène0 8
Le sentier0 9
Entre bois et lumière1 0
Maison paysage1 1
Dessins1 2
Différenciation du volume ajouté par une matérialité distincte
5Volume désaxé doublé et imbriqué sur le volume initial
4Désaxement pour accès à l’entrée principale
3Volume désaxé doublé et imbriqué sur le volume initial
2implantation d’un volume dans la pente et division du volume en deux bandes
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Volume désaxé doublé et imbriqué sur le volume initial
4Désaxement pour accès à l’entrée principale
3Volume désaxé doublé et imbriqué sur le volume initial
2implantation d’un volume dans la pente et division du volume en deux bandes
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À la rencontre de cinq secteurs ayant leur propre identité, l’îlot, délimité par les rues Saint-Laurent, de Castelnau, Jean-Talon et Clark, est à la fois une composition des ambiances, des matérialités et des usages des secteurs qui l’entourent et à la fois s’affranchit de ces éléments pour exprimer son propre langage, sa propre identité. Conceptuellement, les secteurs relevés se posent au sol en bandes afin de tracer dans l’îlot des lignes de liaison et de continuité avec le contexte. Celles-ci se croisant, des connexions entre les programmes sont alors créées. Les noyaux de circulation verticale, disposés aux intersections des bandes, donnent accès au volume d’habitation.
C O N T I N U I T É
Logements collectifsannée / Automne 2014tuteur / Frédéric Dubéréalisation / 12 semainescollaborateur / Louis Babin Saint-Jeanlieu / Montréal
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Les espaces collectifs se dilatent le long des distributions verticale et horizontale à partir de chacun des noyaux. Ils reprennent lescaractéristiques matérielles et programmatiques des bandes sur lesquels ils se situent afin d’offrir des espaces variés. Les espaces collectifs offrent par des percées visuelles, des dilatations et l’apport en lumière naturelle, une modulation de la distribution centrale des logements. L’habitant, chaque jour, est exposé à cette vie communautaire et au potentiel que lui offre celle-ci.
Différenciation du volume ajouté par une matérialité distincte
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Désaxement pour accès à l’entrée principale
3Volume désaxé doublé et imbriqué sur le volume initial
2implantation d’un volume dans la pente et division du volume en deux bandes
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À la rencontre de cinq secteurs ayant leur propre identité, l’îlot, délimité par les rues Saint-Laurent, de Castelnau, Jean-Talon et Clark, est à la
fois une composition des ambiances, des matérialités et de
Plan d’implantation
Maquette schématique
Espace jeux
Cour garderie
Le centre de l’îlot, contenant l’espace extérieur de la garderie et la terrasse du restaurant, se veut être un espace semi-public en
retrait de la forte circulation des rues bordant le site. Les abaissements du volume d’habitation et les rétrécissements permettent la création
d’espaces à plus susceptibles d’être appropriés par les usagers.
Plan rez-de-chaussée
Plan niveau 2
Plan niveau 3 et 4
E.B.
E.B.
E.B.
E.B.
E.B.
E.B.
E.B.
E.B.
E.B.
E.B.
plan niveau 5
Plan niveau 6
Plan niveau 7
Coupe latérale
Coupe longétudinale
Élévation avant
Élévation rue Clark
Une dualité s’établit entre les volumes publics, au sol, et le volume du bloc d’habitation. Ce dernier qui est traité de manière monolithique par sa matérialité vient contraster avec les
volumes situés en-dessous qui eux sont traités en mur-rideau comportant des insertions de matériaux. Le bloc d’habitations est recouvert d’une enveloppe de zinc de module horizontal.
Les joints, les plis, les altérations et la patine créent des variations de nuance dans ce volume. Les saillies au nord et les retraits des loggias au sud extrudent et replient cette enveloppe
ponctuellement, permettent de moduler les façades.
Schéma matéialité
Maquette loggia 1:10
REA
LISE
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DU
IT A
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REALISE PAR UN PRODUIT AUTODESK A BUT EDUCATIF
REA
LISE PAR
UN
PRO
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REALISE PAR UN PRODUIT AUTODESK A BUT EDUCATIF
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REALISE PAR UN PRODUIT AUTODESK A BUT EDUCATIF
Schéma matéialité Maquette loggia 1:10
Maquette brise-soleil 1:20
Percements d’accès vers le coeur du projet5Mise en valeur des deux malteries existantes par deux programmes : Culturel et alimentaire
4Greffes rappelant l’accumulation de volumes sur le bâtiment existant
3Accumulation de blocs servants contre les circulations.
2Conservation des façades intérieures, distanciation des circulations du mur existant.
1
L’’intention principale était de concevoir un projet à vocation publique dans le but de redonner cet espace au quartier et de multiplier les liens physiques entre le quartier et le canal. Ensuite, dans une optique de conservation patrimoniale, l’intention était de conserver l’aspect visuel du bâtiment le plus intact possible, soit en minimisant les percements dans les façades extérieures et en conservant la majorité des artefacts. Le projet est organisé selon deux axes ayant chacun un programme distinct, soit culturel et alimentaire faisant référence aux deux malteries qui travaillaient indépendamment l’une de l’autre. Les espaces intérieurs sont organisés par empilement de
G R E F F E U R B A I N E
Conservation du patrimoine bâti, Canada Maltingannée / Hiver 2015tuteur / Jacques Lachapelle, Richard de la Rivaréalisation / 10 semainescollaborateur / Marilyne Michellieu / Montréal
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couches sur les façades extérieures; premièrement, une « couche de vide » permet de se détacher du mur afin de le mettre en valeur. Puis, des coursives linéaires sont disposées sur ce vide pour faire office de circulation. Ensuite, des blocs de service permettent de desservir les espaces de vie de de créer une certaine distanciation entre la circulation et ceux-ci. Les espaces de vie viennent s’adjoindre aux blocs de service et sont connectés à la circulation par des passerelles. Finalement, nous avons intégré au projet un système de greffes qui reprend les typologies des artefacts existants afin de mettre en évidence en façade un espace clé du projet ou de cloisonner les espaces intérieurs.
Avant
Après
Plan du rez-de-chaussée
Greffes publiques
Greffes publiques liant les quartiers au canal
Dans l’idée de multiplier les liens entre le canal et la ville, nous avons organisé deux axes de passage de chaque côté du bâtiment auxquels viennent se greffer divers pavillons qui
desservent les espaces extérieurs. Alors que l’axe du côté du programme culturel donnant sur St-Rémi sert de lieu de passage en étant ponctué par des installations temporaires à la
manière d’un jardin éphémère, l’axe du côté alimentaire est davantage traité avec des points d’arrêt (marché extérieur, pavillon du parc, estrades, kiosque de location d’équipements
sportifs) qui desservent également un large parc.
Élévation Saint-Ambroise
Élévation Saint-Rémi
Élévation parc
Élévation intérieure bloc culturel
CONSERVATION DES TRACES DE L’ANCIENNE STRUCTURE ET DES GRAFFITIS
RENFORT À LA FAÇADE ET DISTANCIATION DE LA CIRCULATION DU MUR POUR MISE EN VALEUR ET DISTINCTION DE L’ÉTAT D’ORIGINE
MARQUAGE PAR JOINT DANS LE MATÉRIAU AU SOL
BLOC DE SERVICE, CIR-CULATION ET CONDUIT MÉCANIQUE
REVÊTEMENT DE BOIS
REVÊTEMENT MÉTALLIQUE
JEU PLEIN / VIDE DANS LE MUR DE BRIQUE EXISTANT
Détail vide, circulation, blocs de service, mur existant et ajout
Typologies de greffes
MARQUAGE PAR JOINT DANS LE MATÉRIAU AU SOL
REVÊTEMENT DE BOIS
Extension du musée / Création d’une extension de musée venant s’adapter à la fin du parcours existant du musée
5Dialogue avec l’existant / Déformation du dessin de la ligne initial afin de dialogue avec le site d’implantation du musée
4Espace de représentation / La topographie artificielle accueille des gradins orientés vers la scène au pied des remparts
3Topographie / Création d’une topographie en dialogue avec le site existant
2Continuité urbaine / Dessin d’une ligne symbolisant le parcours historique et mettant en dialogue le patrimoine
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Le site de projet se situe à la confrontation de nombreuses problématiques et enjeux à différentes échelles. Ce dernier se situe dans un lieu possédant un caractère patrimonial fort qui souffre aujourd’hui d’une importante inégalité de fréquentation.
Le projet vient se développer comme une dilatation de la continuité urbaine. Une continuité entre la zone basse correspondant au stationnement des autobus et la zone haute au jardin occidental. La topographie et matérialité de l’espace de représentation faisant écho au rocher des Doms, la structure en maille de bois et la disposition de l’extension du musée
C O N T I N U I T É S [ R E ] T R O U V É E S
Redynamisation du quartier Ferruceannée / Automne 2013tuteur / W.Hayet, B.Chavardes, P.Duffieux, F.Fleury, M.Morel, R.Mouterderéalisation / 12 semainescollaborateur / V.Joyet, S.Doinlieu / Avignon (intra muros)
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permettent, qu’en à eux, de ne pas entrer en confrontation avec les éléments patrimoniaux. L’ensemble du projet vient qualifier et redynamiser le quartier Ferruce par la conception architecturale, la création de vues et de nouveaux parcours.
Plan d’implantation
Détail passerelle - Sans échelleDétail exposition ruines - Sans échelle
A
D
C B
Coupe A-A
Coupe B-B
Coupe C-C
Coupe D-D
B
Il s’agissait de produire un travail d’inventaire sur le site de l’Hopital Saint-Jean -de-Dieu. L’exercice libre a mené à un résultat final, 28 cartes accompagnées d’un plan des trajets suivis.
Démarche / Suivre le pas est une mise en relation d’un inventaire effectué in situ sur le site de l’hôpital Saint-Jean de Dieu et de différents textes sur la marche. Ce dialogue s’effectue à partir de cartes illustrant d’un côté un trajet et présentant de l’autre côté une citation relative à la figure de la marche tirée d’écrits divers et d’artistes contemporains. Les trajets récoltés lors de la filature sont réécrits comme une marche à suivre et sont classifiés en catégorie de figures de marche.
Matière récoltée / Les trajets : Les flux, les distances parcourus et les espaces traversés constituent une cartographie. La trace
S U I V R E L E P A S
Redynamisation du quartier Ferruceannée / Hiver 2014tuteur / André Avrillieu / Hopital Saint-Jean-de-Dieu, Lyon, France
du corps marque le passage. La typologie de marcheur : Les façons de circuler, de s’approprier ou non l’espace, de considérer le paysage. La déambulation, la dérive, la simple promenade, la traverse ou l’avancée exploratoire sont des manières différentes de circuler dans un lieu. Le rythme, la façon de porter le regard, la vitesse, les arrêts permettent de tirer de grandecatégorie permettant de classifier la matière récoltée. Les écrits.
Procédure / D’abord, il s’agit de suivre la première personne rencontrée, peu importe son statut. Ne cherchant pas le contact et ne désirant pas influencer le trajet de la personne rencontrée, une distance est conservée entre moi et cette dernière. Durant le trajet, le parcours est retracé sur une carte et est accompagné d’une description du rythme, du statut et es façons de parcourir l’espace.
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C O L L A G E
Comment imaginez-vous la maison des usagers de demain ? année / Hiver 2014tuteur / André Avrilréalisation / 15 semainescollaborateurs / Nicolas Jomphe-Côté, Audrey Bertrandlieu / Hopital Saint-Jean-de-Dieu, Lyon, France
Le collage comme outil de conception et de discussionLes étudiants en architecture ont développé un collage comme outil de conception pour repenser la maison des usagers. Le but de cet outil était de susciter un intérêt nouveau pour ce petit bâtiment, parfois inaperçu dans le grand ensemble de l’hôpital. En posant la question «Comment imaginez-vous la maison des usagers de demain», les étudiants voulaient récolter des impressions instinctives et des idées provocatrices.
Cet outil de collage a été testé et développé avec les étudiants et les professeurs de l’école d’architecture. Par la suite, l’exercice a été répété avec les patients des services Galilée et L’Orangerie
pendant leur période d’activité artistique. Le collage, suivi d’un échange, a été générateur de discussions sur la maison des usagers (inconnue pour certains patients) et de sa place dans l’hôpital.
L’expositionAfin de poursuivre la discussion et amener une nouvelle participation à la maison des usagers, les collages y sont exposés sans distinction entre ceux des patients, des étudiants ou du personnel soignant et accompagnés de citations récoltées pendant l’activité. Ainsi, le visiteur peut avoir sa propre interprétation de ce qu’il voit.
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Maison des usagers
Plan transformateur
Cinéma
Salle de sport
Maison des usagers avec installation temporaire
F O L I E S
Comment imaginez-vous la maison des usagers de demain ? année / Hiver 2014tuteur / André Avrilréalisation / 15 semainescollaborateurs / Nicolas Jomphe-Côté, Audrey Bertrandlieu / Hopital Saint-Jean-de-Dieu, Lyon, France
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L’immersion in situ durant le semestre à l’Hopital Saint-Jean-
de-Dieu, a mené une critique de l’actuelle méthode de développement du site de l’hôpital selon les besoins du moment, des petits bâtiments qui se construisent sur le site tel de petit objet satellite. Comme de petits parasites, les bâtiments, à l’origine temporaire, occupent et modifient l’espace. Nous proposons ici une vision à long terme à partir de cette manière de développer l’espace. Il s’agit de poursuivre et de multiplier la construction de ces «folies».
Ces constructions pourraient ainsi répondre à des besoins fonctionnels, d’usages ou ponctuels. L’archétype de la maison
permet alors de relier les nouvelles installations tout comme celles qui existent actuellement. La structure du toit permettrait de couvrir un bâtiment en entier ou un espace extérieur au-dessus, à l’avant ou sur le côté du bâtiment.
Différenciation du volume ajouté par une matérialité distincte
5Volume désaxé doublé et imbriqué sur le volume initial
4Désaxement pour accès à l’entrée principale
3Volume désaxé doublé et imbriqué sur le volume initial
2implantation d’un volume dans la pente et division du volume en deux bandes
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Ce projet est situé à Magog dans les Cantons de l’Est. Les propriétaires désirent leur actvité d’élevage et de ventes avec une partie gîte.
La volumétrie du projet est un bloc qui se sépare au milieu et où ces deux parties pivotent autour d’un axe de rotation. D’un côté s’organise le programme de la maison, de l’autre, sur pilotis, celui du gîte. Le point de pivot se trouve à être l’accueil du gîte, le hall et les circulations. Un axe visuel est créé à partir de la cuisine et de la dinette vers les espaces client afin de favoriser les échanges avec les propriétaires. L’étage, contenant les espaces de nuit, vient
G Î T E A U P I E D L E V É
Gîte au Pied-Levéannée / Hiver 2014tuteur / Sébastien St-Laurentréalisation / 8 semainescollaborateur / Winsane Limlieu / Magog, Québec
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s’imbriquer dans celui du rez-de-chaussée.
Ce volume en lamellé-croisé est recouvert, à l’extérieur, d’une résille en bois torréfié rappelant la texture et les eff ets lumineux des granges et off rant des percées uniques vers le paysage environnant.
Le rythme du soleil, des saisons, des bêtes.Vue panoramique sur les saveurs, les couleurs, les odeurs, les matériaux,
les actvités et le paysage. Un volume de bois , filtre la lumière.
Dormir dans la grange.
atelier 4 I ARC 2012 I professeur : sébastien st-laurent / manon asselin élise bourgeois-lavoie | winsane stéphanie lim
PARCOURS
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atelier 4 I ARC 2012 I professeur : sébastien st-laurent / manon asselin élise bourgeois-lavoie | winsane stéphanie lim
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atelier 4 I ARC 2012 I professeur : sébastien st-laurent / manon asselin élise bourgeois-lavoie | winsane stéphanie lim
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atelier 4 I ARC 2012 I professeur : sébastien st-laurent / manon asselin élise bourgeois-lavoie | winsane stéphanie lim
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atelier 4 I ARC 2012 I professeur : sébastien st-laurent / manon asselin élise bourgeois-lavoie | winsane stéphanie lim
PLANSÉchelle 1:100
ÉLÉVATION ET COUPESÉchelle 1:100
Niveau 1 Niveau 0 Niveau -1
atelier 4 I ARC 2012 I professeur : sébastien st-laurent / manon asselin élise bourgeois-lavoie | winsane stéphanie lim
PLANSÉchelle 1:100
ÉLÉVATION ET COUPESÉchelle 1:100
Niveau 1 Niveau 0 Niveau -1
atelier 4 I ARC 2012 I professeur : sébastien st-laurent / manon asselin élise bourgeois-lavoie | winsane stéphanie lim
PLANSÉchelle 1:100
ÉLÉVATION ET COUPESÉchelle 1:100
Niveau 1 Niveau 0 Niveau -1
atelier 4 I ARC 2012 I professeur : sébastien st-laurent / manon asselin élise bourgeois-lavoie | winsane stéphanie lim
PLANSÉchelle 1:100
ÉLÉVATION ET COUPESÉchelle 1:100
Niveau 1 Niveau 0 Niveau -1
Élévation avant - 1:250
Coupe latérale - 1:250
Plan rez-de-chaussée - 1:250 Plan étage - 1:250
atelier 4 I ARC 2012 I professeur : sébastien st-laurent / manon asselin élise bourgeois-lavoie | winsane stéphanie lim
MATÉRIALITÉ
1 – Pilotis en béton
2 – Plaque d’acier et boulons d’ancrage
3 – Étrier
4 – Plancher terrasse -Bardage de bois -Lambourde de bois 39mm -Solive de plancher 250mm
5 – Plancher RDC exposé (R-34 Requis : R-26,5 ) -Dalle de béton 39mm avec système de plancher radiant -Pare-vapeur -Isolant rigide 25mm (R-5) -Contreplaqué embouveté 19mm -Solive de plancher 250mm -Isolant en ouate de cellulose 250 mm (r-29) -Contreplaqué embouveté 19mm -Pare-air
6 – Poutre Lamellé-collé 6 plis
7 – Mur extérieur RDC (R-32 Requis : R-19,3 ) -Enduit Acrylique Gris -Treillis métallique -Isolant rigide 50mm (R-10) -Pare-pluie -Contreplaqué 19mm -Colombage de bois 140 mm x 38 mm @ 400mm c/c -Pare-vapeur -Fourrures de bois 19mm x 64mm @ 600mm c/c -Panneaux de gypse 15,9mm
8 – Plancher de l’étage -Bois lamellé-croisé 3 plis 105mm (R-4,96)
9 – Cornière pour assemblage des panneaux de bois lamellé-croisé
10 – Plancher exposé étage (R-27 Requis : R-16,5 ) -Fourrures de bois 38mm x 38mm @ 600mm c/c -Montant de bois 140mm @ 600mm c/c -Pare-vapeur -Bois lamellé-croisé 3 plis 105mm (R-4,96)
11 – Visse pour assemblage des panneaux de bois lamellé-croisé
12 – Plaque d’acier pour assemblage des panneaux de bois lamellé-croisé
13 – Mur extérieur étage: (R-27 Requis : R-16,5 ) -Tasseaux horizontaux 19mm x 64mm -Tasseaux verticaux 89 mm x 38 mm -Pare-pluie hpv à très haute résistance uv pour façade à claire-voie -Contreplaqué embouveté 19mm -Montants de bois 140 mm x 38 mm @ 600 c/c -Pare-vapeur -Bois lamellé-croisé 3 plis 105mm (R-4,96)
15 – Fascia en bois
16 – Toiture: (R-27 Requis : R-16,5 ) -Bardeaux -Papier noir -Contreplaqué embouveté (19mm) -Fourrure de bois 89 mm x 38 mm @ 610 c/c -Fourrure de bois 140 mm x 38 mm @ 610 c/c -Pare-vapeur -Bois lamellé-croisé 3 plis 105mm (R-4,96)
17 – Fond de clouage
18 – Gouttière intégrée en solin métallique
COUPE DE MURÉchelle 1:10
INSPIRATIONS
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DAMES-JEANNES
1. Volume de résille2. Fragmentation3. Dispersion et parcours4. Espace lunch et dames-jeannes
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Création d’une cour intérieure5Insertion de blocs servants Espace sertant
4Superposition de volume en gradin Espace de nuit Espace de jour Atelier
3Ouverture du socle à l’arrière2Socle monolithique Espace exposition : Salle-à-manger / Réception
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L’Arrière-Scène est une maison pour un collectionneur. Le collectionneur récupère des objets conservés ou créés en marge de productions théâtrales et cinématographiques. La collection regroupe des photographies de décors, travaux de production, maquettes sont conservés, restaurés et exposés dans des boîtes qui retranscrivent l’éclairage et l’ambiance scénique.
L’exercice proposait de concevoir une maison contemporaine exposant une collection privée et s’intégrant dans un terrain étroit et mitoyen situé sur la rue Baile, à Montréal, au nord du Centre canadien d’Architecture.Fermeture avec l’extérieur, lumière tamisée et dispositifs
L ’ A R R I È R E S C È N E
La maison du collectionneurannée / Automne 2013tuteur / Cécile Bairdréalisation / 3 semaineslieu / Montréal
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d’éclairage mettent l’emphase sur la collection au rez-dechaussée. L’idée de socle est imposée par le choix de la collection. À l’arrière-scène, aux étages, on habite et profite des vues, de la lumière naturelle et de l’extérieur.
Élévation avant
Élévation arrière Coupe ACoupe C
Coupe D
Plan rez-de-chaussée Plan niveau 2 Plan niveau 3
LE SENTIER
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Logements collec fsannée : Automne 2013tuteur : Cécile Bairdréalisa on : 10 semainescollaborateur : Laurie BeaumontLe projet reprend le rythme du découpage ini al du lieu d’interven on et des bâ ments précédents. Traversant le parc, un chemin de désir marque le � ux d’étudiants, de travailleurs et de résidants qui, chaque jour, coupe au travers le parc en direc on ou en provenance du chemin de la Côte-des-neiges. A� n de briser les limites de l’espace créée au cœur du bâ ment, le projet prévoit au rez-de-chaussée un passage extérieur public poursuivant le � ux présent dans le parc.
Le passage intérieur se divise en deux. Un chemin traversant le site le reliant à l’avenue Côte-des-Neiges est une connexion intéressante qui pourrait alors perme re un mouvement traversant incitant l’u lisa on de l’espace café, des locaux d’ar stes et des commerces se trouvant au rez-de-chaussée. L’autre, le plus large, se poursuit en courbe jusqu’au cœur du bâ ment puis ouvre sur un escalier donnant accès aux logements. Le passage permet de créer une dynamique entre les usages et les gens qui y circulent.
PORTFOLIO ARCHITECTURE
Socle monolithique Ouverture du socle à l’arrière
1 : Schémas de principe2: Vue intégra on au site3: Vue espace exposi on4: Vue espaces de jour5: Vue cour intérieure6: Photo maque e
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ÉLISE BOURGEOIS-LAVOIE
Superposi on des volumes en gradin Inser on bloc servant Forma on cour intérieur
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LE SENTIER
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Logements collec fsannée : Automne 2013tuteur : Cécile Bairdréalisa on : 10 semainescollaborateur : Laurie BeaumontLe projet reprend le rythme du découpage ini al du lieu d’interven on et des bâ ments précédents. Traversant le parc, un chemin de désir marque le � ux d’étudiants, de travailleurs et de résidants qui, chaque jour, coupe au travers le parc en direc on ou en provenance du chemin de la Côte-des-neiges. A� n de briser les limites de l’espace créée au cœur du bâ ment, le projet prévoit au rez-de-chaussée un passage extérieur public poursuivant le � ux présent dans le parc.
Le passage intérieur se divise en deux. Un chemin traversant le site le reliant à l’avenue Côte-des-Neiges est une connexion intéressante qui pourrait alors perme re un mouvement traversant incitant l’u lisa on de l’espace café, des locaux d’ar stes et des commerces se trouvant au rez-de-chaussée. L’autre, le plus large, se poursuit en courbe jusqu’au cœur du bâ ment puis ouvre sur un escalier donnant accès aux logements. Le passage permet de créer une dynamique entre les usages et les gens qui y circulent.
PORTFOLIO ARCHITECTURE
Socle monolithique Ouverture du socle à l’arrière
1 : Schémas de principe2: Vue intégra on au site3: Vue espace exposi on4: Vue espaces de jour5: Vue cour intérieure6: Photo maque e
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Superposi on des volumes en gradin Inser on bloc servant Forma on cour intérieur
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Logements collec fsannée : Automne 2013tuteur : Cécile Bairdréalisa on : 10 semainescollaborateur : Laurie BeaumontLe projet reprend le rythme du découpage ini al du lieu d’interven on et des bâ ments précédents. Traversant le parc, un chemin de désir marque le � ux d’étudiants, de travailleurs et de résidants qui, chaque jour, coupe au travers le parc en direc on ou en provenance du chemin de la Côte-des-neiges. A� n de briser les limites de l’espace créée au cœur du bâ ment, le projet prévoit au rez-de-chaussée un passage extérieur public poursuivant le � ux présent dans le parc.
Le passage intérieur se divise en deux. Un chemin traversant le site le reliant à l’avenue Côte-des-Neiges est une connexion intéressante qui pourrait alors perme re un mouvement traversant incitant l’u lisa on de l’espace café, des locaux d’ar stes et des commerces se trouvant au rez-de-chaussée. L’autre, le plus large, se poursuit en courbe jusqu’au cœur du bâ ment puis ouvre sur un escalier donnant accès aux logements. Le passage permet de créer une dynamique entre les usages et les gens qui y circulent.
PORTFOLIO ARCHITECTURE
Socle monolithique Ouverture du socle à l’arrière
1 : Schémas de principe2: Vue intégra on au site3: Vue espace exposi on4: Vue espaces de jour5: Vue cour intérieure6: Photo maque e
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Superposi on des volumes en gradin Inser on bloc servant Forma on cour intérieur
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Logements collec fsannée : Automne 2013tuteur : Cécile Bairdréalisa on : 10 semainescollaborateur : Laurie BeaumontLe projet reprend le rythme du découpage ini al du lieu d’interven on et des bâ ments précédents. Traversant le parc, un chemin de désir marque le � ux d’étudiants, de travailleurs et de résidants qui, chaque jour, coupe au travers le parc en direc on ou en provenance du chemin de la Côte-des-neiges. A� n de briser les limites de l’espace créée au cœur du bâ ment, le projet prévoit au rez-de-chaussée un passage extérieur public poursuivant le � ux présent dans le parc.
Le passage intérieur se divise en deux. Un chemin traversant le site le reliant à l’avenue Côte-des-Neiges est une connexion intéressante qui pourrait alors perme re un mouvement traversant incitant l’u lisa on de l’espace café, des locaux d’ar stes et des commerces se trouvant au rez-de-chaussée. L’autre, le plus large, se poursuit en courbe jusqu’au cœur du bâ ment puis ouvre sur un escalier donnant accès aux logements. Le passage permet de créer une dynamique entre les usages et les gens qui y circulent.
PORTFOLIO ARCHITECTURE
Socle monolithique Ouverture du socle à l’arrière
1 : Schémas de principe2: Vue intégra on au site3: Vue espace exposi on4: Vue espaces de jour5: Vue cour intérieure6: Photo maque e
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Superposi on des volumes en gradin Inser on bloc servant Forma on cour intérieur
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Logements collec fsannée : Automne 2013tuteur : Cécile Bairdréalisa on : 10 semainescollaborateur : Laurie BeaumontLe projet reprend le rythme du découpage ini al du lieu d’interven on et des bâ ments précédents. Traversant le parc, un chemin de désir marque le � ux d’étudiants, de travailleurs et de résidants qui, chaque jour, coupe au travers le parc en direc on ou en provenance du chemin de la Côte-des-neiges. A� n de briser les limites de l’espace créée au cœur du bâ ment, le projet prévoit au rez-de-chaussée un passage extérieur public poursuivant le � ux présent dans le parc.
Le passage intérieur se divise en deux. Un chemin traversant le site le reliant à l’avenue Côte-des-Neiges est une connexion intéressante qui pourrait alors perme re un mouvement traversant incitant l’u lisa on de l’espace café, des locaux d’ar stes et des commerces se trouvant au rez-de-chaussée. L’autre, le plus large, se poursuit en courbe jusqu’au cœur du bâ ment puis ouvre sur un escalier donnant accès aux logements. Le passage permet de créer une dynamique entre les usages et les gens qui y circulent.
PORTFOLIO ARCHITECTURE
Socle monolithique Ouverture du socle à l’arrière
1 : Schémas de principe2: Vue intégra on au site3: Vue espace exposi on4: Vue espaces de jour5: Vue cour intérieure6: Photo maque e
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ÉLISE BOURGEOIS-LAVOIE
Superposi on des volumes en gradin Inser on bloc servant Forma on cour intérieur
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Percement du passage pour la poursuite du sentier au travers l’ilot. Fragmentation des façades
5Modulation des hauteurs pour favoriser l’ensoleillement et les vues vers l’Oratoire Saint-Joseph
4Reprise de typologie à proximité. Évidement d’un bloc pour la création d’une cour intérieur.
3Poursuite dans l’ilot du chemin de désir présent dans le parc. Création d’un passage vers Côte-des-Neiges
2Découpage et fragmentation selon le tracé historique
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Le projet reprend le rythme du découpage initial du lieu d’intervention et des bâtiments précédents. Traversant le parc, un chemin de désir marque le flux d’étudiants, de travailleurs et de résidants qui, chaque jour, coupe au travers le parc en direction ou en provenance du chemin de la Côte-des-neiges. Afin de briser les limites de l’espace créée au coeur du bâtiment, le projet prévoit au rez-dechaussée un passage extérieur public poursuivant le flux présent dans le parc.
Le passage intérieur se divise en deux. Un chemin traversant le site le reliant à l’avenue Côte-des-Neiges est une connexion
L E S E N T I E R
Logements collectifsannée / Automne 2013tuteur / Cécile Bairdréalisation / 10 semainescollaborateur / Laurie Beaumontlieu / Montréal
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intéressante qui pourrait alors permettre un mouvement traversant incitant l’utilisation de l’espace café, des locaux d’artistes et des commerces se trouvant au rez-de-chaussée. L’autre, le plus large, se poursuit en courbe jusqu’au coeur du bâtiment puis ouvre sur un escalier donnant accès aux logements. Le passage permet de créer une dynamique entre les usages et les gens qui y circulent.
La démarche exploratrice découlant de l’étude de l’écran cinétique de l’artiste Ned Kahn, Articulated Cloud, composé de volet battant au rythme du vent, le dispositif tente de réinventer l’architecture vernaculaire, la grange et son bardage de bois.
Les angles d’ouverture, les essences de bois, la dispositif on des planches sont choisies dans une dimension performative tout en étant empreint d’une grande poésie. Les planches inclinés laissent passer la lumière, la réfléchissent et la filtrent. Les ouvertures ne sont plus des percements. Le bois s’articule pour ouvrir des bois de vue. La façade se dynamise face à son environnement.
E N T R E B O I S E T L U M I È R E
Résille solaireannée / Hiver 2014tuteur / Sébastien St-Laurentréalisation / 8 semainescollaborateur / Winsane Lim, Laurence Roux, Pascale Busseau.
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Réflexion
Lumière directe
Résille solaire
Analogie à la grange
Modules
Matérialité
Création d’un plat par un bloc servant encastré
5Jonction des blocs par imbrication. Le parcours se définit et devient d’avantage accessible
4Maison oblique offre l’infini de l’espace, circulation habitable, enclos traversable
3Tissage de bloc réagissant aux obstacles. Se fissurant, s’inclinant selon la topographie
2Banlieue actuelle : accumulation d’obtacles. Maison oblique : Infini de l’espace, circulation habitable
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Réinventé la banlieue au travers des explorations rythmiques et formelles.
Je refuse et combatLa banlieue actuelleUne topographie effacée, sol horizontal,immobile, obligatoireUn paysage, absent.
J’acclameUne cité partout, et nulle partVivre sous terre premiers abris, caverne, terrier, carapace
M A I S O N P A Y S A G E
Réinventer la banlieueannée / Hiver 2012atuteur / Katherine Lapierreréalisation / 12 semaines
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L’absence d’obstacles,l’habitation parcourable.
Tenir compte de l’espace, mais du temps,comme parcours.Creuser la terre, choisir sa caverne, devenir nomade.Succession d’espaces,ressentir différemment les parois, le plafond.
La maison comme paysage.
C
D
BA
Plan - 1:250
C
D
Coupe A-A - 1:250
Coupe B-B - 1:250
Coupe C-C - 1:250
Coupe D-D - 1:250
D E S S I N S
Techniques / Modèles vivants, fusain, graphite sur papier, graphite sur papier Mylar
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C O N T A C TÉlise Bourgeois-Lavoie
e.bourgeois-lavoie@hotmail.ca514-355-6534438-830-8344