Paul-Yves Poumay BS

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Paul-Yves Poumay

INVESTING IN ART

2011-2012 #1 - #26 PYP 1618

MASTER IN ARTS

«Celui qui sait ce qui est assez, en a assez.Celui qui attend d’en avoir assez, n’en a jamais assez.»

CONFUCIUS

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DIMENSIONS (cm) : H x L x l

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La désindustrialisation financière, une issue de secours ?

La pression imposée par la finance sur le capital humain n’est plus socialement tolérable. Entendre encore des économistes de talents, se gargariser avec l’arrogance intellectuelle empruntée aux plus ignorants, se dire lassés par la légèreté du traitement des infor-mations qui sont en opposition avec leurs convictions, n’est plus soutenable.

Selon Deloitte Sustainability and Climate Change Services, l’humanité utilisera en 2011 1,35 fois les ressources qu’elle est capable de produire en un an.

Les effets pervers dénoncés de notre capitalisme découlent d’un modèle expérimenté massivement depuis le XIXème siècle et adapté graduellement au cours du temps pour arriver au capitalisme complexe actuel. Sur l’échelle du temps,... un souffle et pourtant, la destinée de l’humanité a basculé.

Le système a été alimenté par une croissance démographique à l’allure exponentielle passant de +/ 1 milliard d’habitants en 1800 à 2 milliards en 1930, 3 milliards en 1960 et 7 milliards actuellement...

L’homme a créé , d’abord intuitivement puis factuellement , un modèle qui a généré des nouveaux besoins à court terme sans en maîtriser les conséquences sur le long terme. Pourtant, la question créatrice de tout système pérenne se formule à partir des besoins pour développer un modèle et non l’inverse... mais, qui aurait pu prédire l’explosion démographique constatée et les avancées technologiques vécues en moins de 2 siècles ?

En effet, si nous pouvons considérer que notre modèle capitaliste a fonctionné, avec les imperfections liées à tout système construit, le nombre et la pondération des variables ont tellement évolués que l’équation originelle et intuitive n’est plus en mesure de répondre aux besoins de l’humanité.

L’industrialisation financière a permis de produire des sources incroyables de profits divers, souvent virtuels, mais, malheureu-sement, en appauvrissant régulièrement le stock des ressources disponibles.

La puissance économique, concentrée à travers les banques qui contrôlent la monnaie, a privé l’humain d’une grande part de ses libertés. Les seuls besoins de rentabilité et de profit, dans les secteurs privés et publics, ont perverti le monde qui se trouve dans un état d’aberration sans précédent. Que faut-il penser quand un notaire ou des professeurs d’université ne peuvent pas répondre à une question simple « qui crée la monnaie » ? Il existe donc des intellectuels, occupés à des fonctions majeures au sein de nos sociétés, qui acceptent de construire leur vie autour d’un concept prépondérant « la monnaie » sans en connaître son origine !

La finance et les banques ont terminé de pervertir l’humanité en créant une notion incongrue de « réalité irréelle » où l’homme est devenu une simple variable qui alimente une équation de consommation.

Quand un économiste prétend que l’esprit capitaliste se résume simplement « il faut que le meilleur gagne », il sous entend, avec légèreté, que le meilleur est celui qui connaît et exploite le mieux les

règles économiques contemporaines... ce « petit malin » là, serait-il donc le meilleur ? Ce « meilleur » financier apporte-t-il une contribution réelle à l’humanité ?

Les notions de profit, de rentabilité et de croissance doivent être remplacées par celles de bonheur, de coopération et d’épa-nouis-sement humain. Il ne s’agit pas du discours d’un illuminé, d’un « soixante huitard attardé » et encore moins d’une lubie d’un baba cool, il s’agit des besoins fondamentaux de l’Homme.

Force est de constater, aujourd’hui, que nos peurs nous encouragent à gagner de l’argent et nos besoins nous guident vers lui. Mais que valent réellement 1.000.000.000...000.000 EUR sur un compte bancaire ? Rien, d’un point de vue réel, si ce n’est donner la possibilité à son détenteur de concrétiser ses illusions de pouvoir, de sécurité ou de capacité à répondre partiellement à ses besoins infinis. Rien de réel, mais pourtant, le détenteur de ce capital influencera l’évolution du monde.

L’argent, outil favorisant les échanges, est évidemment la meilleure solution jamais trouvée par l’homme. Toutefois, plutôt qu’un étalon-or arbitraire et abandonné depuis 40 ans, je pense que le capital circulant dans le monde devrait être contingenté et pondéré par rapport à différentes variables dont le nombre total d’habitants, les surfaces et ressources disponibles,... en imaginant une équation d’équivalence universelle non liée au profit mais au bien-être général.

Le pouvoir d’une monnaie devrait être borné au territoire sur lequel il a été émis pour empêcher les déséquilibres constatés tout en imaginant des passerelles de réciprocités. En effet, si j’achète un canapé pour 3.000 EUR en Europe, je ne devrais pas pouvoir acheter une propriété en Asie ou en Afrique avec cette même somme d’argent convertie en monnaie locale car la réciprocité de ce type d’équivalence ne serait pas tolérée par nos pays développés... Comment soutenir que de la monnaie scripturale, transformée par un

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régime de change inapproprié, puisse rendre maître son détenteur, d’entreprises ou de tout autres biens, dans des pays où un capitalisme naissant fait encore rêver certains indigènes qui se laissent aveugler par le pouvoir fictif de cet argent destructeur ?

Nous n’avons pas besoin, à tous les endroits de la terre, des mêmes montants de capitaux pour vivre correctement. Par contre, si on autorise une circulation sans frein du capital, on accepte, de facto, l’exploitation du bien commun par les seuls capitalistes respon-sables du grand déséquilibre mondial actuel.

L’idée du bonheur matériel, transmise principalement par les européens et autres américains a conduit le reste du monde à vouloir transposer ce mode de « réussite imagée » dans leurs pays. Nous, capitalistes de tous bords, avons du faire croire au reste du monde que nous disposions de l’équation du bonheur en suscitant de nouveaux besoins chez nos « admirateurs » qui n’étaient, pour nous, rien d’autre que des nouveaux « clients », indispensables pour nourrir notre modèle de croissance !

Cette obligation de croissance continue nous incite à trouver, sans relâche, des nouveaux marchés afin d’alimenter la courbe exponentielle tracée par la croissance géométrique attendue mais, ces marchés, une fois « équipés », devront, eux aussi, trouver de nouveaux marchés pour croître... le cercle vicieux ainsi engendré a sonné la fin de la récréation.

Possession et consommation sont les leurres d’une société en dérive.

La libre circulation des capitaux sans équivalence universelle et le contrôle de l’émission des monnaies par les banques font partie des vraies hérésies à l’origine des dysfonctionnements actuels de nos sociétés.

Le capitalisme débridé a permis la privatisation des richesses communes en recourant à un processus virtuel qu’est l’émission de toujours plus de capital dette ; ce qui revient à échanger des valeurs contre des non valeurs...

L’humanité a-t’elle vraiment pris conscience que la finance s’est appropriée, sans aucun droit, la terre qu’elle appauvri inexorablement ?

OUI à la croissance de la connaissance, à la mixité des peuples, aux développements technologiques durables, aux améliorations des systèmes de santé, … mais NON à la destruction massive du bien commun pour nourrir le seul capital.

L’épanouissement d’une l’humanité durable passera par la désindustrialisation financière massive de nos sociétés afin de préserver notre bien commun sur le long terme et de créer les facteurs nécessaires à une stabilité sociale à l’échelle mondiale.

« On ne désire pas les choses parce qu’elles sont belles, mais c’est parce qu’on les désirent qu’elles sont belles » Baruch Spinoza.

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E se la smettessimo di tramandare i propri beni ?

L’organizzazione della società, riposa su l’accumulazione e la trasmissione dei beni, di generazione in generazione. Questo comportamento presenta un degrado del rischio insospettato: l’accumulo, sempre più importante fra le mani sempre meno numerose. Paul Yves Poumay suggerisce una bozza di soluzione, prima di arrivare al punto di rottura.

Le nozioni di proprietà e di possesso derivano dall’antico diritto romano (45 av.J- C), dove appariva l’anteriorità della proprietà e del possesso.

La parola « usucapione » o « prescrizione acquisitiva » è il diritto di proprietà su un bene che possediamo da un lasso di tempo; questo termine designa l’accessione alla proprietà, risultante dall’uso o dal possesso. Si tratta della maniera in cui una proprietà può essere acquisita per mezzo di un possesso placido e tranquillo e pubblico prolungato.

Sotto il piano giuridico, « la proprietà è il diritto di godere e disporre delle cose in modo assoluto... » (articolo 544 del Codice civile).

Questo diritto, include quello di utilizzare la cosa, di trasmettere l’utilizzo ad una persona, il diritto di modificarla, di distrug-gerla e di disporla.

Ma chi può pretendere attualmente, di essere il proprietario di una terra senza ammettere che ad un certo punto un individuo on un gruppo di individui non si siano appropriati dello stesso terreno con la forza, il divino o qualsiasi altro artificio ? Cosa dobbiamo pensare quindi delle fondamenta della costruzione delle nostre economie attuali basate su questa dichiarazione iniziale che è stata questa appropriazione dichiarativa o forzata ?

Ma ancor di più, l’uomo dispone dei suoi beni fino alla sua morte, poiché ne organizza la sua trasmissione. In effetti, al decesso del proprietario e, in caso contrario, a difetto di destinatari particolari, è la legge che detta l’ordine di successione.

Constatiamo dunque che l’uomo ha stabilito delle disposizioni particolari per permettere alle persone postulanti uno o vari possedimenti materiali per trasmetterli rispettando un quadro legislativo preciso.

Come fossimo al seguito, di una discendenza di « possesso » autoproclamata di proprietà. Per gioire pienamente della società detta moderna, sarebbe meglio avere un’ascendenza di ricchi proprietari di beni, anzi che provenire da un ceto modesto e senza beni da trasmettere. Questo modo di funzionare, questa modalità, laddove la nascita favorisce un individuo piuttosto che un altro, non è equo. Il valore accordato attualmente ai soldi, non autorizza la creazione di un mondo dove ognuno potrebbe tenersi il suo posto senza dover gerarchizzare l’importanza dell’uomo in funzione del capitale che può utilizzare.

Un tempo, la forza era nel cuore dell’organizzazione ; oggi, il capitale si è impossessato del destino del mondo e domani una nuova mutazione dovrà essere messa in opera.

L’accumulazione

Se la parola capitalismo porta generalmente, ad un sistema economico sociale particolare, il contenuto di questo termine, rimanda a molteplici definizioni. Normalmente, si considera che in un regime capitalistico, il motore principale dell’attività economica è la ricerca del profitto, che trova la sua contro partita nel rischio.

La nostra società capitalista ha dunque modellato, costruito e organizzato il funzionamento attuale di una parte del mondo su basi erronee, trasmesse attraverso le generazioni. In effetti, la modalità di trasmissione, accettata da tutti, nella nostra società capitalista, permette di trasmettere tutto, compreso il potere fittizio di un capitale, senza alcun valore intrinseco (alcuna qualità vitale), ma il cui valore attribuito dalla società permette al suo detentore di influenzare e di approfittare di ciò che la nostra civiltà ha acquisito, in accordo con la qualità della vita quotidiana. Chi rifiuterebbe di viaggiare, di possedere delle opere d’arte, di bere del buon vino, di leggere i più bei manoscritti, di alloggiare negli immobili situati al meglio, di possedere il lusso, calma, voluttuosità,sazietà ?...

Questi precetti, creatori di bisogni hanno sviluppato la costruzione di un mondo che ha puntato sul culto del possesso e della trasmissione dei possedimenti materiali e/o virtuali.

Se consideriamo la natura nella sua globalità, come la sola forma di vita parzialmente conosciuta dall’uomo e idealmente autoregolata, l’uomo avendo voluto dirigere tutto con una conoscenza infinitesimale delle conseguenze delle sue azioni, allontanandosi sensibilmente da questo equilibrio, in continua evoluzione, avanzando nel tempo con l’elaborazione di costruzioni virtuali erronee. Ma perché non espandiamo a grande scala, come per la dispersione e la generalizzazione del soldo, una nuova forma di intelligenza sociale, del sapere, del ben essere e di tutte le vere qualità della vita di un uomo ?

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I soldi, moneta di scambio, sono serviti a compensare delle transazioni o scambi diversi, valorizzanti, ma hanno anche e soprattutto permesso la creazione di un avanzamento sociale e del sapere, per lo meno lo pensiamo.

Tuttavia, quale valore possiamo ancora attribuire a questi soldi che i nostri dirigenti sembrano incapaci di utilizzare in modo massiccio, con lo scopo di proteggere e mettere in sicurezza la nostra società (pensiamo al recente incidente nucleare). Il mondo avanza trasmettendo il materiale, ma non si preoccupa abbastanza dell’immateriale e tanto meno dell’evoluzione sociale, che peraltro sono alla base dei valori essenziali di una società.

La trasmissione

I due problemi fondamentali legati al capitalismo, alla proprietà e al suo possesso, provengono da una possibile trasmissione intergenerazionale del capitale acquisito dall’uomo durante la sua vita, ma egualmente di una possibile crescita esponenziale di questo capitale, in un mondo finito, senza una misura comune e con la crescita dell’essere vivente in generale

La terra e i suoi componenti, da cui l’uomo deriva, non presentano alcuna possibilità di crescita fisica infinita. In nessuno dei suoi elementi, se non nei suoi elementi innati, acquisiti dall’evoluzione della specie, dovrebbero essere trasmissibili a una discendenza qualunque.

Un abete rosso, probabilmente non supererà mai i 70 m di altezza. Per contro un capitalista, potrà concentrare, accumulare, sviluppare e possedere, senza limiti il fattore « Capitale Virtuale », accordandogli il potere societario.

L’espansione del capitale può essere correlato con la proprietà « colonizzante » del vivente, che sia animale o vegetale. In effetti, il vivente, il cui bisogno di crescita è innato, ha tendenza ad espandersi e a colonizzare gli spazi che lo accolgono.

Pensiamo semplicemente alle erbe cattive, che invadono un giardino oppure a un branco di lupi che organizzano e dirigono un ter-ritorio... Non appena il vivente dispone degli elementi che favo rizzano la sua espansione, si espande e sviluppa sino ai suoi limiti fisici.

A livello umano, l’accumulo di proprietà, di possedimenti e del capitale potrebbe dunque essere la conseguenza diretta di un carattere innato dell’uomo. La differenza maggiore, in rapporto alla natura, risiede nel fatto che l’accumulo e la trasmissione delle sue “conquiste”, acquisite nel tempo, non conoscerebbe alcun limite nell’uomo.

Il punto di rottura del sistema

L’espansione, il possesso e la colonizzazione fanno parte delle caratteristiche innate del vivente. Questa patologia innata, potrebbe essere correlata ad un bisogno perpetuo di riconoscimento o di confronto, ma non conosciamo né l’origine, né l’utilità e ancor meno la finalità di una tale caratteristica colonizzante della vita.

Ora, quando l’organizzazione societaria si articola intorno all’accumulazione e la trasmissione, questa specificità diventa un grande rischio. Poiché il fattore di concentrazione della ricchezza si polarizza su un gruppo proporzionalmente sempre più ristretto di individui, il rischio di tensione popolare e di rottura del sistema diventeranno delle realtà. La situazione diventerà potenzialmente incontrollabile se non vengono applicati rapidamente, dei rimedi radicali... fin tanto che la situazione è ancora sotto controllo.

E se una partenza risolutiva si traducesse con l’arresto parziale e/o totale della trasmissione intergenerazionale dei beni materiali ?

Voltaire avrebbe detto: « Non sono d’accordo con ciò che dite, ma mi batterò fino alla fine affinché possiate dirlo ».

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La creazione di un autorità morale - Il riciclaggio delle ricchezze - L’imposizione di un corso sul denaro.

La società sta mutando profondamente e i rimedi da prodigare alle economie si fanno sempre più tenui/fragili e senza effetti positivi duraturi.

Constatiamo che l’oro rappresenta, nei momenti di incertezze del mercato, ancora attivo ambito dall’uomo.

Perché no... Anche se va detto che si tratta di una convenzione dal valore simbolico, applicata su un bene che non ha nessun altro valore intrinseco se non quello che si potremmo attribuire a un sasso che, dal punto di vista storico, potremmo avere un valore facciale superiore a quello che viene dato all’oro stesso.

Se l’oro rappresenta un consenso stabilito dall’umano, questa scelta puramente arbitraria potrebbe essere rivisitata senza sca-denze.

In effetti, in futuro, potremmo consacrare, un valore rifugio al lantanio o altri fosfati per esempio. Questi beni potrebbero divenire la moneta/tallone del futuro ma sarebbe un errore credere che potremmo trovare le soluzioni infinite e strutturali a questi problemi organizzativi.

Il punto sta nell’accettazione di un referente, di uno standard.

A mio avviso, l’interesse maggiore della misura dello standard tallone oro, abbandonato 40 anni or sono, era quello di poter contenere la creazione monetaria in funzione alle riserve d’oro disponibili e ciò secondo la mia tesi dei bisogni di simmetria e di conver-genza fra l’economia e l’essere vivente in generale, non permetteva una crescita esponenziale della massa monetaria in circolazione.

Fin tanto che la speculazione, la crescita illimitata della massa monetaria e l’accumulo intergenerazionale dei beni, regoleranno l’economia capitalista, i periodi di austerità nei bilanci, lasceranno il posto alle tensioni sociali e più generalmente a un mal’essere della società.

E, finché la creazione della ricchezza non sarà riciclata economicamente, impedendo una polarizzazione di questa, l’uomo impoverirà la terra e dunque il suo potenziale di sopravvivenza, anziché nutrirla e preservarla.

Credo che il mondo è giunto ad un punto per il quale, non può più rifiutarsi di ingaggiarsi nella ricerca di una migliore organi-zzazione della società. L’uomo deve prendere la misura del suo stato di “essere vivente”, non può più accettare di trasformarsi in un “homo oeconomicus” dando alla propria vita il solo senso economico. Se la vita è per definizione aleatoria e di conseguenza imprevedi-bile, non dobbiamo più limitare gli indicatori dei diversi studi, al solo benessere economico delle popolazioni. L’evoluzione del mondo economico è diventata troppo divergente per il “vivente” da poter pretendere di continuare a gestire le nostre società senza stabilire delle nuove regole di scambio e di condotta fra gli uomini.

Penso che il tempo è contrario, le popolazioni minacciano, l’informazione circola, le reti sociali “ fioriscono”, internet festeggia i suoi 20 anni e tutti i mezzi di comunicazione funzionano perfettamente. Le economie non sono più domabili, il debito mondiale è divenuto incontrollabile e i piani di salvataggio sperimentati nel passato non funzioneranno più poiché la popolazione è cosciente dell’incapacità dei politici di controllare l’economia. L’uomo è nato per vivere libero e realizzato e non per servire i bisogni di pochi eletti di un sistema.

La cortina fumogena, costruita dai politici e gli altri interessati si dissiperà e il mondo prenderà coscienza dello stato di delin-quenza del capitalismo.

E’ un urgenza, definire un autorità morale planetaria dove ogni individuo troverà il suo posto, non più determinato soltanto dal capitale del quale può beneficiare. Sarà necessario inculcare alle popolazioni che non possediamo null’altro che l’istante e che pare ridicolo di voler passare una vita ad accumulare e trasmettere beni. Questo comportamento induce a una condotta irrazionale per le popolazioni future con il rischio di distruggere massicciamente il nostro solo bene comune che è la terra.

L’evoluzione dovrà passare, dalla soppressione di costruzioni virtuali, che mirano a dissimulare delle situazioni che conducono al lusso materiale che si trasmette”intergenerazionalmente “.Inoltre, sarà necessario instaurare l’etica in tutti i nostri scambi; ridurre le possibilità di speculazione, di accumulo e trasmissione dei beni materiali e soprattutto, rinforzare il ruolo degli stati nelle nostre economie che sono attualmente sotto la cupola del mondo finanziario, lasciando così la libertà a l’essere umano di creare e di sviluppare…Un socialismo liberale o un liberalismo sociale.

Senza questi cambiamenti, la congiunzione non esaustiva, di questi fattori condurrà alla rottura del nostro sistema.

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L’uomo ha realmente altre vocazioni che quella di accumulare del capitale virtuale. Si tratta della ricerca di uno stadio di ma-turità superiore dell’umanità rispetto a quella attuale, difficilmente sopportabile dal punto di vista intellettuale .

Se l’uomo ben intenzionato non si mette in guardia, i movimenti sociali attuali rischiano di essere presi in mano sia dai movimenti religiosi, sia da “pericolosi e indelicati”.

Una domanda ricorrente ostina l’umanità ; « oltre al capitale, vi sono altri fattori che potrebbero motivare l’uomo nel superarsi per ottenere uno stato superiore ? Il cittadino è realmente interessato dalla crescita del BIP o al degrado del debito del paese ?

Una domanda interessante « Chi crea e/o possiede il soldo- debito, da dove viene questo denaro, come è nato, chi gestisce la massa, chi fissa la remunerazione,... ? ». Se mi affido alla mia intuizione e alle risposte degli interlocutori che ho interpellato, meno di 8 persone su 10 che attraversano le nostre strade, potrebbe rispondere a queste domande. In effetti abbiamo seguito tutti dei corsi di storia, di matematica, di lingue, di geografia... Ma chi ha seguito un corso sul denaro e la sua provenienza ? L’origine del denaro che regola tutta una vita, resta pertanto e troppo spesso, una variante « sconosciuta » per la popolazione. E’ il fatto di un dato base di tutte le nostre società, di ...un’evidenza ! Tuttavia, costruire un sistema basato su un evidenza sconosciuta, rischia un giorno , di rimettere in questione tutto un sistema !

Perché non imporre un corso sul denaro già dai 12 anni di vita ?

Se i nostri responsabili non osano immaginare la creazione di un nuovo ordine basato su un’etica maggiore per proporre una società, non tanto egualitaria (che sarebbe un’esca) ma più giusta, i movimenti degli indignati in Europa e dei rivoltati un po’ dapper-tutto, cresceranno e si amplificheranno fino a creare una grande e incontrollabile depressione.

I movimenti caotici ed erratici, legati alla volatilità cresciuta sui mercati finanziari, traducono parzialmente lo stato febbrile attuale di certi detentori di capitali.

Oggi, tutti gli strati della popolazione sono toccati dall’incertezza dello sbocco attuale di questa crisi.

Le soluzioni non si troveranno nelle scorciatoie. Vi saranno delle priorità evidenti, fra cui una vita decente per ciascun essere umano: bere, mangiare, dormire al riparo e istruirsi; dei valori che devono essere acquisiti per tutti così come certi aspetti delle nostre organizzazioni devono essere privilegiati come le cure e l’aspetto sanitario, l’assicurazione pensionistica, l’insegnamento, il reddito minimo per tutti...

La politica, ha corso i suoi rischi, per aver pronunciato per troppo tempo dei discorsi accomodanti seguiti dall’incapacità di realizzarli. Nel sistema attuale, a politico immutato, chi oserebbe annunciare che non paghiamo più la pensione dopo gli 85 anni, che bisognerebbe aumentare la tassazione, diminuire le diverse indennità... ?

Senza un azione, lo spirituale essendo organizzato, potrebbe occupare un potere temporale. In effetti, a cominciare dai capi delle chiese fino all’ultimo dei fedeli, le religioni sono organizzate gerarchicamente e propongono dei discorsi dove l’uomo è al centro del progetto.

Il potere è sempre stato la cupidigia di numerosi e per come sono i mercati finanziari, le società evolveranno in modo disordinato implicando dei rischi imprevedibili. Il pericolo esiste... Fa la posta

La storia si scrive ogni giorno ed è giunta a un appuntamento preciso. Le nostre società hanno raggiunto un « punto cardine » e le decisioni come le scelte dei dirigenti attuali, implicheranno delle conseguenze fondamentali sulla perennità della nostra umanità.

Questo ragionamento, basato sull’osservazione rigorosa degli eventi e dei fattori di evoluzione, non integra pertanto,alcuna teoria ad oggi conosciuta: non potremmo quindi immaginare la creazione di un comitato etico mondiale, che inquadrerebbe l’organizzazione delle nostre società il cui potere possa inibire tutti gli attori locali ?

« In questo mondo è più importante elevarsi al di sopra delle cose con gli ideali, piuttosto che compiacersi nella riuscita ! »

Franz Liszt

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