Post on 30-Mar-2016
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elle estpas belle
la vie ?!
Juin 2013 - n° 42 - www.lebonbon.fr
parisouest
1 — OUEST
Photos © Flavien Prioreau
www.flavienprioreau.com
Tél. : +33 6 98 31 34 92
Modéle : Alexia Barlier
1 — OUEST
édito Bon'jour !
Président
Jacques de la Chaise
jacques@lebonbon.fr
Photo couverture
Flavien Prioreau
Rédactrice en chef
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Rédaction
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Charlotte / 01 48 78 15 64
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ERRATUM : Le Bon Fromager du Bonbon
Ouest d’Avril 2013 PHILIPPE ALLÉOSSE
: crédit - Tiphaine ILLOUZ et non pas
Charles Guillet. Mille excuses :)
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pub@lebonbon.fr
Lionel / 06 33 54 65 95
C'est bien connu, le Bonbon Ouest est toujours
à l'affût d'infos fraîches. Ce mois-ci, fête de
la musique oblige, on s'est pas mal rencardé
sur les nouvelles tendances musicales qui enva-
hiront nos rues en ce doux soir du 21 juin. Première
info, et elle n'est pas des moindres, il faudra vous attendre à entendre
un peu partout de la flûte de Pan. Instrument hautement à la mode au
milieu des années 80, la flûte de Pan a injustement été mise au placard
pendant plus de trois décennies. 2013 marquera donc pour notre plus
grand bonheur son grand retour sur la scène internationale. Deuxième
info de taille : la fin programmée des djembés et autres didgeridoos.
D'après nos sources (elles sont toujours sûres), les musiciens de rue
jugent désormais ces instruments trop ringards et ont jeté leur dévolu
sur 1) La flûte de Pan (comme dit plus haut), 2) les maracas (très en
vogue), 3) la polyphonie corse (plus économique). Troisième info, c'est
un scoop, sachez que la Mairie de Paris est en train d'étudier un projet
de loi visant à interdire tout adolescent n'ayant pas fait sa mue de chan-
ter du rock anglais en public. Affaire à suivre. Enfin, dernière info, sans
doute la plus primordiale : pleuvra-t-il ou ne pleuvra-t-il pas le soir du
21 juin ? Eh bien mes amis, à vrai dire, on n'en sait strictement rien, mais
on lance les paris en mettant en place un jeu concours. Envoyez « OUI »
ou « NON » sur lebonbonpluiefetedelamusiqueouiounon@lebonbon.fr,
les gagnants auront droit à une magnifique flûte de Pan (en plastique
inoxydable).
Sur ce, si vous voulez boire un verre avec moi, je serai à côté du stand de
merguez entre Concorde et l’Arc de Triomphe.
Bien à vous.
MPK
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www.louvre.fr
En lien avec l’exposition « De l’Allemagne » jusqu’au 24 juin
Cinéma3 € (– de 26 ans) à 6 €,l’intégrale de 24 € (– de 26 ans) à 32 €Berlin, Alexanderplatzde Rainer Werner Fassbinder14, 15 et 16 juinà l’auditorium du Louvre
Théâtre10 € (– de 26 ans) à 20 €,incluant l’entrée à l’expositionVie de Gundling, Frédéric de Prusse, sommeil rêve cri de Lessingde Heiner Müller22 et 23 juin . 19 h et 20 h dans la rotonde de l’exposition
Réservations :01 40 20 55 00www.fnac.com
Allemagne,Allemagnes
PUB_ALLEMAGNE_BONBON_BAT.indd 1 17/05/13 12:09
3 — OUEST
sommaire
6. ASP Fondatrice
14. Strip Art 22. Atelier Terre des Batignolles
5. Le Bon Timing
6. La Bonne Asso
10. La Bonne Étoile
13. Les Bons Plans
14. Le Bon Art
16. La Bonne Raquette
17. Les Bonnes Annonces
18. Le Bon Astro
20. Le Bon Assureur
22. Les Bons P’tits Diables
26. Les Bons Snapshots
30. Le Bon Agenda
Juin 2013
8. Fresh 10. Robi
24. L'appero
5 — OUEST
© Marie Guirlet
Vendredi 4 JuilletDivan du Monde - 23h / 6h
Sur invitation : party@lebonbon.fr
5 — OUEST
le bon timing Les événements à ne pas manquer !
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Cinema paradiso
Pendant 12 jours, le Grand Palais va vibrer au rythme
d’un événement public exceptionnel. Cinema Para-
diso réinvente l’expérience du cinéma dans l’un des
édifices les plus célèbres de Paris en offrant le plus
grand drive-in jamais réalisé dans une capitale. Vous
serez lové dans les sièges de voitures Fiat 500 ou
perché sur une colline aménagée
Du 10 au 21 juin 2013 – Grand palais - 8e
Cinéma
Strip Art - L’ Art se dévoile !
La galerie d’art 2.0 vous invite à découvrir de l’art,
pour tous ! Si vous aimez l’art contemporain, l’art
urbain et la photographie, cet événement est pour
vous. Dites au revoir à votre déco Ikea et foncez à l’ex-
position où Strip Art lèvera le voile sur des artistes
talentueux, émergents ou cotés, pour tous les bud-
gets ! Du 18 au 23 juin de 11h à 19h. Cocktail
le jeudi de 18h à 22h - 76, rue Quincampoix - 3e
Exposition
Les 24h du vélib’, edition 2013
Suite au succès rencontré l’année passée, la Mairie de
Paris réitère son opération de grand relais insolite. Un
événement solidaire et festif où de nombreuses ani-
mations gratuites et concerts vous attendent sur les
Champs. Pas moins de 400 vélib’ seront disponibles
pour tous les participants (individuels et entreprises).
Les 15 et 16 juillet – Les Champs Elysées - 8e
Événement
Keith Haring : the political line
Présentation de près de 250 œuvres réalisées sur
toile, sur bâche ou dans le métro. L’exposition per-
met d’appréhender l’importance des œuvres d’art
de Keith Haring, tant sur le plan historique que sur
le plan politique. Ses œuvres visaient à délivrer
des messages de justice sociale et de changement.
Jusqu’au 18 août – Musée d’Art Moderne
11, avenue du Président Wilson - 8e
Expo
6 — OUEST 7 — OUEST
la bonne asso Texte Loraine Dion
Photo DR
ASP fondatrice
une asso qui fait du bien
dans un monde sans souffrance, nul besoin d’une
telle mobilisation. Mais sur cette terre là, sur
laquelle nous marchons, courons, roulons, la souf-
france existe. et l’impossibilité de la neutraliser
impose de mettre en œuvre des moyens consé-
quents pour la soulager, l’accompagner même. C’est
ce que nous ont expliqué les membres de l’associa-
tion asp, qui nous ont ouvert leurs portes, et leur
univers, l’espace de quelques instants.
C’est Antonio Ugidos qui nous reçoit. Le délégué
général de l’ASP n’a pas de tabou. Maladie, fin de vie,
aucun sujet n’est éludé par ce psychologue de forma-
tion. Investi depuis quelques mois dans l’association
à la source du développement des soins palliatifs en
France, (d’où son nom ASP fondatrice), il œuvre avec
trois autres membres permanents, pour l’accom-
pagnement des personnes atteintes de maladies
graves, évolutives ou en fin de vie. Une structure de
terrain, qui agit au quotidien pour informer et accom-
pagner le traitement de la douleur de 10 000 patients
de 15 à 99 ans. « Nous ne pouvons que déplorer la
méconnaissance des soins palliatifs. Aujourd’hui 7
français sur 10 ignorent en quoi ilsconsistent, et s’ils
connaissent le terme, ils ne l’assimilent qu’à la fin de
vie. Leur engagement se traduit par le déploiement
sur le terrain de près de 250 bénévoles. Répartis
entre différents centres hospitaliers et les domi-
ciles des patients, ils interviennent en général sur
recommandations du personnel de santé et parfois
sur demandes des malades. « Nous faisons de l’ac-
compagnement, ce qui revient souvent à assurer une
présence, voire de l’écoute, même silencieuse » nous
rapporte François, bénévole depuis près de 11 ans.
Il relate sa journée type sous le regard bienveillant
d’Antonio. Tous deux s’accordent sur le terme de
«responsabilité citoyenne » pour définir la mission
qui leur incombe. Le mot « contrat » revient à plu-
sieurs reprises dans la discussion. Un contrat tripar-
tite liant moralement l’association, le bénévole et le
patient. Et c’est précisément ce qui cimente L’ASB
depuis près de 28 ans. Et le terme volontaire n’est
pas usurpé : plusieurs entretiens (dont un avec une
psychologue), sessions de formation et coups de fils
sont nécessaires à l’intégration d’un bénévole dans
l’association. « Il faut être motivé » souligne le délé-
gué général, et surtout « ne pas avoir de projet pour
les personnes que nous accompagnons » martèlent-
ils à l’unisson.
6 — OUEST 7 — OUEST
Si l’empathie reste la qualité essentielle pour être
recruté, aucun profil type n’est privilégié. La condi-
tion sine qua non, c’est 4 heures de temps libre par
semaine. Même si François relate que « certaines
interventions sont plus difficiles que d’autres ». Et
sa décennie d’engagement témoigne des bienfaits
de cette démarche.
pour devenir bénévole, rendez-vous sur :
www.aspfondatrice.org
ASP fondatrice
37 - 39, avenue de Clichy
75017 Paris
Tél : 01 53 42 31 33
8 — OUEST 9 — OUEST
8 — OUEST 9 — OUEST
la bonne thérapie Publi-reportage Loraine Dion
Photos Odilon Corby
Chaque midi cette question parcourt votre bureau
telle une botte de paille en plein far West : « on
déjeune où ? » si vous êtes amateurs de fast food
américains, que vous êtes accros à vos 2000 calo-
ries/repas, passez votre chemin, cette adresse n’est
pas pour vous. en revanche, si vous cherchez un
lieu agréable où croquer une salade fraîche et vous
revigorer au contact de sourires accueillants, alors
fresh risque bien de devenir votre cantine !
À deux pas de la place Victor Hugo, Daniel nous
attend dans ce qu’il appelle « son bar à salades ».
Assis derrière un Mac dernière génération, le
quinquagénaire branché nous fait faire le tour du
propriétaire, l’œil fier. Murs de pierre, couleurs flashy
et photo en noir et blanc du pont de Brooklyn qui
ouvre la salle vers des horizons exotiques, le resto a
changé de look il y a quelques jours. L’heureux maître
des lieux semble conquis, nous aussi.
Après avoir travaillé dans le secteur du Hi-Fi, Daniel,
frustré de ne pas avoir tenté sa chance dans la
restauration, se lance dans l’aventure. Amoureux
des États-Unis, il en ramène le concept du « Salad
Bar ». De prime abord attiré par les franchises, il est
déçu par les contraintes et les prix pratiqués par
ces grandes enseignes. Son étude de marché et son
goût du risque le mènent à ouvrir sa propre échoppe.
Un leitmotiv : proposer à ses clients une alternative
« chic et pas cher », à l’instar des « healthy fast food »
qui fleurissent outre-Atlantique.
Et sa velléité de récréer un petit corner new-yorkais
est parfaitement mise en œuvre. Autant dans la
décoration que dans les formules proposées. Entre
plats chauds (quiches, pâtes et soupes pour l’hiver),
boissons aux infusions importées directement
des États-Unis et les désormais célèbres bagels
au choix, trône sa pièce maîtresse. Une vitrine de
22 ingrédients pour composer ses salades, le tout
sélectionné avec soin, chez de petits producteurs
régionaux. « À l’heure des scandales alimentaires,
c’est agréable de savoir ce qu’on met dans nos
assiettes » se justifie Daniel. Le concept ne s’arrête
pas là. À l’image de ses modèles américains, l’accent
est mis sur l’accueil. « Un sourire, quelques mots
ciblés pour les habitués, c’est aussi simple que ça. »
Et les feedbacks sont excellents. Aussi bien du côté
de son équipe que de ses clients.
À l’aube de son premier anniversaire, le créateur
de Fresh me montre fièrement les commentaires
dithyrambiques des internautes qui félicitent la
qualité et la fraîcheur des mets proposés. Et c’est
bien naturel : la qualité est toujours récompensée !
fresh
1, rue Mesnil - 16e (métro : Victor Hugo)
Tél. : 01 45 53 09 77
www.facebook.com/fresh.salade.bar
—
Ouvert du lundi au vendredi de 10h30 à 21h00 et
samedi de 11h00 à 16h00
freshla « HealtHy » tHérapie
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la bonne étoile
Robidouble MiXte
Texte Elise Monnier
Photo Frank Loriou
il est 10h30, robi passe au déca, elle a déjà 5 cafés
dans le ventre. auteure, compositrice, interprète et
maman, Chloé robineau, que l’on qualifie souvent
d’écorchée vive, nous offre ce matin une sensibilité
hyperactive. une rencontre au féminin, masculin,
singulier, pluriel… robi embrasse tout.
Robi nous donne rendez-vous au Joli Môme, son
repaire pour l’apéro et le lâcher d’enfants sur la place
Turgot, « je suis tombée folle amoureuse de ce quar-
tier magique à la fois culturellement très vivant et
très familial, on a peu besoin d’en bouger car tout y
est » s’enthousiasme-t-elle. Une bouche rouge, une
veste d’homme, l’artiste duelle est résolument sen-
suelle. Lorsque nous lui demandons pourquoi Robi et
non Chloé, sa réponse est directe : « je porte en moi
depuis l’enfance un sentiment non pas d’androgynie
pure mais j’aime l’idée que ce que je viens raconter
ne soit pas sexué. Chloé porte trop de douceur et de
féminité, Robi réconcilie… Et en plus c’est le surnom
de mon père. C’est une identité familiale. » La bande
son de son enfance se résume à 4 B : Blues, Barbara,
Brel et Brassens, la sublimation des émotions par
les mots. Le clou sera définitivement enfoncé dans
le cœur de Robi lorsqu’à 12 ans, Cyrano de Bergerac
lui révèle sa passion pour l’écriture versifiée, « c’est
mon premier grand amour, j’en ai gardé cette néces-
sité de vivre les mots dans le corps rythmiquement.
La poésie a besoin d’être dite, ce sont la mélodie et
la rythmique des mots qui m’ont conduite très essen-
tiellement à la musique » nous éclaire Robi. Dans un
premier temps simplement auteure, un ami lui met
le pied à l’étrier en composant pour elle une toile
musicale pour accompagner ses bluettes ; elle va
plus loin : « de cette première tentative/tentation est
né le besoin de composer moi-même, il m’a fallu dou-
ter et m’abstraire de la notion de résultat pour être
au plus juste et m’autoriser à n’être que moi-même.
J’ai découvert la liberté assez tardivement, bien
qu’encore en chemin, et c’est un très beau chemin. »
L’équilibre est trouvé sur le fil entre l’auteure et l’in-
terprète, la pudeur et l’impudeur, l’album L’Hiver Et La
Joie, sorti en février dernier en témoigne. Robi ne se
complaît pourtant pas dans cet accomplissement,
bien au contraire : « j’ai une peur tétanisante de la
satisfaction de l’instant, le seul moyen que j’ai de
vivre, c’est d’être dans l’après, le mouvement, le faire.
Seul le balancier rythmique de la marche me permet
de canaliser mes pensées, d’accorder mon corps,
mon esprit et mon écriture. » Et nous la remercions
de partager sa bal(l)ade.
Organique et claire-obscure, l’aura musicale de Robi
demeure inclassable mais comme le dit si bien Oscar
Wilde dans Le Portrait de Dorian Gray, « définir, c’est
limiter ».
10 — OUEST 11 — OUEST
L’Hiver Et La Joie disponible en Cd, vinyl et digital
http ://robimusic.net/
Facebook : robimusic
—
la constellation de robi :
la bocata, 31, rue Milton, c’est le rendez-vous
indispensable pour le café du matin, le patron est
adorable, brillant et drôle.
Johnny pigalle, 59, rue Pigalle, LE bar New Wave du
9e avec un patron charmant et érudit.
le scandale, 4 rue Viollet-le-Duc, profitez-en avant
sa fermeture à la fin du mois !
un Zèbre à Montmartre, 38, rue Lepic, j’y ai travaillé
longtemps et j’y retourne toujours avec grand plaisir.
les balades sonores (j’y suis tous les jeudis soirs
avec mes enfants) et Gals rock sont les maisons-
mère de ma vie de quartier.
12 — OUEST 13 — OUEST
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www.louvre.fr
Cinéma 3 € (– de 26 ans) à 6 €,l’intégrale de 24 € (– de 26 ans) à 32 €Berlin, Alexanderplatzde Rainer Werner Fassbinder14, 15 et 16 juinà l’auditorium du Louvre
Théâtre 10 € (– de 26 ans) à 20 €,incluant l’entrée à l’expositionVie de Gundling, Frédéric de Prusse, sommeil rêve cri de Lessingde Heiner Müller22 et 23 juin . 19 h et 20 h dans la rotonde de l’exposition
Réservations :01 40 20 55 00www.fnac.com
Allemagne,Allemagnes
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www.louvre.fr
Cinéma 3 € (– de 26 ans) à 6 €,l’intégrale de 24 € (– de 26 ans) à 32 €Berlin, Alexanderplatzde Rainer Werner Fassbinder14, 15 et 16 juinà l’auditorium du Louvre
Théâtre 10 € (– de 26 ans) à 20 €,incluant l’entrée à l’expositionVie de Gundling, Frédéric de Prusse, sommeil rêve cri de Lessingde Heiner Müller22 et 23 juin . 19 h et 20 h dans la rotonde de l’exposition
Réservations :01 40 20 55 00www.fnac.com
Allemagne,Allemagnes
les bons plans Publi-reportage Camille Clance
Photo DR
Au LouvreDe l’Allemagne, 1800-1939
le louvre expose l’allemagne jusqu’au 24 juin,
avec plus de 200 œuvres comptant des prêts
exceptionnels. l’exposition propose une réflexion
autour des grands thèmes structurant la pensée
allemande de 1800 à 1939. derniers jours, donc,
pour assister à l’événement culturel !
Entre autres, focus sur le cinéma à l’auditorium
du louvre du vendredi 14 au dimanche 16 juin :
l’intégrale de Berlin Alexanderplatz de Rainer Werner
Fassbinder. Tournée pour la télévision entre 1979
et 1980, la série Berlin Alexanderplatz est basée
sur le célèbre roman d’Alfred Döblin. Des dernières
années de la République de Weimar à l’histoire de
la déchéance à Berlin –ou celle de Franz Biberkopf,
criminel repenti, on entrevoit entre les lignes un
portrait de l’Allemagne de 1930, coincée entre la
progression des nazis et le climat tendu de l’après
défaite de 1918. En plus d’être un chef d’œuvre de
Fassbinder, ce film se révèle naître d’une véritable
obsession qui habite le cinéaste. « Ma vie même se
serait déroulée autrement qu’elle ne s’est déroulée
avec le Berlin Alexanderplatz de Döblin dans la tête,
dans la chair, dans le corps en totalité et dans l’âme »,
déclarera-t-il ainsi. Autre chef d’œuvre d’illustration
d’une période aussi fascinante que marquante, la
pièce de théâtre de Heiner Müller présentée dans
la rotonde de l'exposition et mise en scène par Jean
Jourdheuil les samedi 22 et dimanche 23 juin à 19h
et à 20h, intitulée Vie de Gundling, Frédéric de Prusse,
sommeil rêve cri de Lessing. Datant de 1976, cette
pièce d’Heiner Müller pose sans concession la
question de l’identité allemande, à travers la figure
ambiguë de Jacob Paul von Gundling, historien officiel
de la Prusse de Frédéric Ier au début du XVIIIe siècle.
Les étudiants du Théâtre National de Strasbourg,
encadrés par Jean Jourdheuil, écrivain et metteur
en scène, ami et traducteur de Heiner Müller, se sont
attaqués à cette pièce provocante et grotesque où se
lit aussi la douleur de Heiner Müller, homme de l’Est,
éloigné de son pays déchiré et exilé aux États-Unis.
La pièce est présentée à l’entrée de l’exposition, au
milieu d’une œuvre d’Anselm Kiefer. Les spectateurs
visitent l’exposition pendant un long entracte.
L’intégrale de Berlin Alexanderplatz
de Rainer Werner Fassbinder
Du vendredi 14 au dimanche 16 juin
All., 1980, 15h30, 14 épisodes, coul.
De 3 € (- 26 ans) à 6 € / Abonnement possible
Rés. : 01 40 20 55 00 / fnac.com
—
Vie de Gundling, Frédéric de Prusse, sommeil rêve cri
de Lessing d’Heiner Müller
Les samedi 22 et dimanche 23 juin à 19h et à 20h
De 10 € (- 26 ans) à 20 €
Incluant l’entrée à l’exposition
Rés. : 01 40 20 55 00 / fnac.com
12 — OUEST 13 — OUEST
les bons plans Publi-reportage Camille Clance
Photo Jade Moyez
PFA TravelPlus simple la location
il était une fois, dans le joli quartier du Marais,
une agence de voyages spécialisée en location
saisonnière nommée pfa travel. une agence qui
guide les propriétaires et accueille les touristes.
rencontre.
Plantons le décor : vous êtes propriétaire d’un pied-
à-terre parisien que vous n’occupez que pendant les
soldes et à Noël. Un bien précieux qu’il serait bon
d’optimiser pendant qu’il est inoccupé : PFA Travel
prend en charge la location de votre bien, sa mise à
disposition, l’accueil des locataires, et tout ce qui en
découle.
Bien qu’ils fleurissent ces temps-ci sur le net, les
dispositifs de location saisonnière sur Paris ont
rarement figure humaine. Avec ses bureaux cosy de la
rue de la Cerisaie, son équipe anglophone qui compte
plus de 10 années de bons et loyaux services et son
parc d’une trentaine d’appartements « sélectionnés
selon des critères rigoureux de confort et de géo-
localisation », PFA Travel s’annonce comme le service
qui fait la différence. Ciblant principalement les
touristes et les businessmen, l’agence propose
à la location des appartements principalement
situés dans les arrondissements de 1 à 7 ainsi
qu'à Montmartre (quartiers privilégiés par les
locataires anglo-saxons notamment). « La location
temporaire s’annonce comme une alternative idéale
à la résidence en hôtel. Parce qu’elle s’avère moins
onéreuse, mais aussi pour son coté convivial et
chaleureux. Quel touriste n’apprécie pas l’expérience
de vivre dans un immeuble typiquement parisien ? »
nous explique Damien, le directeur de l’agence.
Ainsi, PFA Travel prend en charge la location de A
à Z dans l’unique but de simplifier au maximum la
démarche pour les propriétaires. « Nous proposons
un service clé en main : un planning virtuel est mis en
ligne sur notre site, le propriétaire est donc en mesure
de réserver lui-même les périodes durant lesquelles
il souhaite disposer de son bien. Nous gérons
aussi le ménage, l’entretien et le suivi qualité de
l’appartement, une sélection rigoureuse et l’accueil
check-in et check-out du locataire temporaire, mais
aussi les assurances et diverses charges satellites. »
L’autre bonus pour le propriétaire : l’assurance
d’une location respectueuse du voisinage et de la
copropriété.
Plus aucune raison, donc, de laisser sommeiller les
petites mines d’or parisiennes !
PFA Travel
7, rue de la Cerisaie - 4e
Tél. : 01 49 96 43 44
info@pfatravel.com
www.parisfurnishedapartments.com
14 — OUEST 15 —
le street-art, l’art urbain, vous voyez de quoi il
s’agit ? pour les amateurs, ce sont évidemment
des courants incontournables qui ne cessent de
monter. en revanche, pour les néophytes, qui aiment
satisfaire leurs mirettes ou soigner leurs intérieurs
autrement qu’à l’aide de tableaux ikea, c’est une
autre paire de manche. découverte de strip art, une
galerie 2.0 qui prône l’art pour tous.
Alexis De Gourcuff nous accueille dans ce qu’il
nomme « son showroom ». Tout comme une galerie
d’art, ce duplex de 75 m2 reçoit des œuvres choisies
avec soin par son hôte. Nichée dans un bâtiment Art
déco autrefois atelier du verrier René Lalique, Strip
Art trône en reine face aux quais de Seine du très
chic 8e arrondissement. Dichotomie flagrante entre
l’art de la rue abordable que propose Alexis et le
faste de l’immeuble classé.
Qu’à cela ne tienne, le jeune homme de 35 ans a
décidé de s’établir ici, car il se doit d’avoir « un endroit
sympa » pour accueillir les amateurs d’art urbain. Et
effectivement, on s’y sent bien.
Prenant le parti de recevoir chacun des visiteurs
dans un cadre privilégié, il opte pour des rencontres
intimistes et accessibles sur simple rendez-vous.
Le jeune cadre s’affranchit ainsi du fonctionnement
traditionnel des galeries qui s’ouvrent au tout-
venant. Concept innovant pour un trentenaire bien
ancré dans sa génération.
Alexis de Gourcuff est un homme de passion. Après
une carrière dans l’immobilier, il réinvente sa vie
professionnelle. Avec l’aide de deux amis passionnés
de street-art et étant lui-même amateur du genre,
ils fondent Strip Art. Tous trois souhaitent apporter
un regard neuf sur l’art contemporain et soutenir les
artistes qu’ils affectionnent.
Ce concept de niche puise son originalité dans la
diversité des supports de diffusion. Sites web, blogs,
réseaux sociaux, showroom, expositions éphémères,
le jeune galeriste féru d’art a su distiller tableaux,
photos et installations sur tous les supports dont
dispose sa génération.
Et c’est précisément le point de convergence avec
ses goûts artistiques. « L’art urbain est complètement
générationnel, la fameuse ‘ génération X ’ (30-45 ans)
s’y retrouve ». Un pari réussi. Les artistes issus de l’art
contemporain et du street-art qui s’adressent à cette
génération utilisent ses codes, normes et valeurs.
L’artiste Ramzi Adek, par exemple, dont Alexis parle
avec un engouement certain, reprend les symboles
les plus forts de la société capitaliste. Il arbore
fièrement les toiles de son poulain qui déstructure
la célèbre souris de Disney dans des couleurs flashy.
Parmi les artistes que le galeriste expose, on trouve
Nasty, Mesnager, Chanoir, Artof Popof, figures
importantes du mouvement Graffiti en France. Chez
les photographes, on admire le travail de Léo Caillard,
Antoine Mercusot et Thomas Tramp avec sa série
de portraits originaux qui dénonce la propagande
démocratique par ses clichés d’objet marketing.
S’ils bénéficient tous d’une légitimité sur le marché
et sont voués à être valorisés dans les années à venir,
les artistes dénichés par le regard averti du galeriste
Strip Art l’art se dévoile
Texte Loraine Dion
Photo DR
le bon art
14 — OUEST 15 —
vous … Avouez que c’est pratique !
strip art vous invite à son exposition d’été !
Rendez-vous au 76, rue Quincampoix - 3e
Du 18 au 23 juin prochain.
Nocturne le jeudi jusqu’à 22h
Foncez-y !
www.stripart.com
restent accessibles. Abordables artistiquement,
financièrement, et sur le web. Alexis De Gourcuff y
met un point d’honneur. Les œuvres n’excèdent pas
4000 euros, même pour les artistes les plus cotés.
L’idée était celle-là. Permettre à tout budget, à
portée de clavier via le site www.stripart.com et le
blog de découvrir l’art contemporain et l’art urbain,
et de pouvoir le « consommer » directement sur
internet.
À l’heure d’une génération qui ne cesse de courir
après le temps, la galerie Strip Art s’installe chez
16 — OUEST
Je suis paisible aujourd’hui. bien installé sur la
scène. faisant face à quelque mille spectateurs
chaque soir. autrefois mis au service de la musique
de chambre, j’ai joué sous les mains des plus grands
du genre. la salle Gaveau, sur l’estrade de laquelle
je trône majestueusement, a connu les plus fantas-
tiques aventures. Mes 88 touches et ma lyre en ont
été témoins. Nous nous sommes établis dans la salle
Gaveau le 3 octobre 1907. J’arrivai sur cette estrade
prévue pour moi mais s’animant de temps à autre
aux rythmes d’orchestres. Je n’ai malheureusement
pas été sollicité lors de la première représen-
tation : le concert vocal du « Lehrergesan-
gverein » (chorale des professeurs) de
Brême a néanmoins enthousiasmé le
public. Cette même saison, ma scène
accueillit des concerts Lamoureux
durant lesquels Camille Chevillard,
Vincent D’Indy et André Messager
dirigèrent les pianistes qui flirtaient
avec mes touches. La guerre n’exempta
pas les tenanciers de la salle de mes ser-
vices. J’usai de mes notes dans le cadre de galas
pour les soldats et les victimes de cet effroyable
conflit. Puis nos vies musicales reprirent leur cours.
Des artistes de renommée continuèrent à se succé-
der sur mon clavier, notamment Rudolph Serkin en
décembre 1933. La démarche fut la même lors du
second conflit mondial, où mes touches furent mises
à profit pour des galas, notamment celui durant
lequel, sous le doigté de Reynaldo Hahn, j’accompa-
gnai la voix mélodieuse de Germaine Lubin. Pendant
l’occupation, j’eus l’occasion d’entendre de grands
solistes, comme Paul Tortelier ou Pierre Fournier. En
1963, la salle Gaveau fit faillite. Je fus mis à l’écart,
au profit de bureaux d’une compagnie d’assurance.
L’énergie salvatrice du couple Fournier vint à ma res-
cousse et réinstalla mon humble instrument sur le
devant de la scène. Ils évitèrent par ce geste l’inva-
sion d’automobilistes venant garer leurs véhicules,
à la place même où j’avais régné en maître pendant
plus d’un demi-siècle. Néanmoins, mon lieu de vie
et de travail avait perdu de sa superbe. J’entendais
mes propriétaires se plaindre. « Tout est très
fatigué et nous commençons à redouter
qu’un siège ne cède en pleine repré-
sentation. » C’est en 1992 qu’une
armada d’ouvriers se déploya autour
de moi pour redonner un coup de
neuf à ma demeure sous la direction
d’Alain Charles Perrot. L’architecte
en chef des monuments historiques
« s’est efforcé de retrouver le strict gris
rechampi d’or du décor historique, et l’ori-
ginalité de l’éclairage ». Reconstitués à l’identique,
les fauteuils à piétements métalliques et cadres
boisés renouent alors avec le jaune bouton d’or ini-
tial. Quand les portes s’ouvrent à nouveau le 8 janvier
2001, je retrouve ma salle d’antan, et les applaudis-
sements qui l’inondent et résonneront encore pen-
dant longtemps.
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Allez Tony, encore
quelques mois
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Loraine,
bienvenue dans la
famille, et merci
de faire remonter
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d’âge :)
Emma, tu es déjà mon amour mais veux-tu être ma
femme ? C.
Viens à La Familiale prendre ta plaque
de Marbre ! ! !Charles, va falloir se secouer les miches
graaaave !
Nico, si tu continues tu vas retourner à la
ferme ;)
Mega Birthday SEX Caro alias
Le chien fou des férias :)
Bis
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aman
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Pierrot,souviens-toi que quand on veut, on
peut !
Charlotte, je suis heureux que tu aies
ouvert le compteur !
Le Bonbon FC, champion ?
On y croit tous très fort !
RDV pour notre dernier
match le 11 juin…
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Joséphine le 6 juin ça fera trois ans,
je remercie le bon dieu chaque jour !
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Loulou et Soso
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Idolon et Miraune sont
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Jacques, t’es plutôt
Starck ou Lannister ?
18 — OUEST 19 — OUEST
bélier 22 mars / 21 avril
Béliers, mais qui a osé vous traiter de gentils mou-
tons ? Certainement un Taureau, ou peut-être encore
un Capricorne de votre entourage. « Rebélier-vous » !
Jupiter vous soutiendra, surtout si vous êtes du 3ème
décan. Célibataires, vous le resterez tout le mois de
juin, profitez-en pour vous lustrer le poil, et préparer
une belle rencontre pour l’été. Le travail est finale-
ment ce qui vous apportera le plus de satisfaction ce
mois-ci ; et pourquoi pas une prime d’ailleurs ?!
taureau 22 avril / 21 mai
Décidément, vous avez vraiment la poisse. Un peu
comme la météo, votre vie ressemble à une histoire
d’amour compliquée et sans issue. Pluie, soleil, pluie,
orage… apocalypse. Vos amis (si on peut appeler ça
des amis) ne supportent plus de vous entendre vous
lamenter sur votre sort. S’ils ne vous répondent plus,
ce n’est pas par ce qu’ils sont malades. Ils n’ont juste
pas envie de vous voir. Votre boss ne vous fait plus
confiance, et il a bien raison puisque vous faites tout
de travers. Un seul remède : partir à l’étranger. Loin.
Là où les gens ne vous connaissent pas.
GéMeauX 22 mai / 22 juin
Ô Gémeaux, la bonne humeur n’est pas au rendez-
vous, tout comme le temps, vous êtes d’une humeur
de chien. Célibataire, la vie suit sagement son cours
et cela vous ennuie. Le train-train vous mine mais
des rencontres vont se faire autour du 16. Travail,
conscient(e) de votre valeur professionnelle, vous re-
fusez d’être malmené(e), critiqué(e) par des gens qui
ne vous arrivent pas à la cheville. Petits problèmes
de peau : remettez la charcuterie et le fromage à plus
tard… Et par la même occasion pensez à soulager
votre foie…
Texte Dame Bonbon
18 —
le bon astro
CanCer 23 juin / 21 juillet
Arrêtez de vous ronger les pinces, vos excès du mois
dernier finiront par laisser place à un bel été astrolo-
gique et prometteur en amour. Pour le 1er décan, un
lion, proche de votre entourage, à la griffe assurée et
la crinière bien taillée, s’apprête à vous conter fleu-
rette. Surtout écoutez-le et lancez-vous, c’est le mo-
ment ! Cancer du 2ème décan, sous l’influence de la
Lune, vous pourriez voir votre carrière propulsée au
plus haut des cieux ; attachez bien votre ceinture, si
vous ne voulez pas vous retrouver au fond d’un court
bouillon !
lion 22 juillet / 23 août
L’été arrive, et ça n’est pas pour vous déplaire : vous
êtes dans la place ! L’œil vif et le radar au top, les ter-
rasses sont votre terrain de chasse favori. Mais gare
aux conquêtes échaudées par vos sensuels rugisse-
ments, une réputation est vite anéantie… Travail, ne
vous endormez pas sur vos lauriers. Oui, la sieste au
soleil est tentante, mais il y va de la taille de votre
portion de viande mensuelle ! Forme, surveillez votre
ligne et votre moral n’en sera que meilleur. En véri-
table conquérant, vous avez la griffe ferme et la cri-
nière flamboyante, et ça plaît !
vierGe 24 août / 23 sept.
Chère Vierge, vous venez de passer un mois de mai
totalement déprimant, et vous en avez marre. Alors
dites STOP ! « Ce qui rend heureux, c’est d’être heu-
reux » dit Johnny Hallyday, prenez-en de la graine.
Votre âme sœur vous fera de très belles preuves
d’amour et vous saurez le lui rendre. Côté boulot, l’été
arrivant, votre planning sera moins chargé et vous ar-
riverez à lâcher un peu de leste. Profitez de ce que la
vie peut vous donner avec allégresse et satisfaction,
c’est tout ce que l’on vous demande. Amicalement.
Dame Sucette.
18 — OUEST 19 — OUEST
balanCe 24 sept. / 23 oct.
Le mois de juin ne sera pas de tout repos. Avec Vé-
nus et Mars alignés, les Balances qui sont en couple
risquent fortement de se disputer de nombreuses
fois… Et comme vous voulez toujours avoir raison,
les choses ne s’arrangeront pas de sitôt. Faites donc
un effort et prenez sur vous. En revanche pour les cé-
libataires, c’est le calme plat. Vous risquez donc de
l’être pour un bon moment encore, alors on ne baisse
pas les bras et on enchaîne les soirées. En attendant,
faites un peu de sport, ça vous aérera l’esprit et vous
serez plus apaisés.
sCorpion 24 oct. / 22 nov.
Ce mois-ci tout vous sourit ! Mars étant aligné avec
Saturne, vous irez de succès en succès au travail !
Cependant n’oubliez pas de garder la tête froide afin
de toujours faire les bons choix. Coté cœur, en couple
vous vivez quelque chose de fort, passionnel avec
l’être aimé. Vous savourez chaque petit moment pas-
sé avec elle (lui) malgré des conditions parfois dif-
ficiles pour se voir. Célibataires, ne désespérez pas,
vous ferez de belles rencontres en fin de mois, Vénus
vous réserve de bonnes surprises ! Santé : prenez un
pull pour sortir, c’est plus sage.
saGittaire 23 nov. / 22 déc.
Si professionnellement votre vie est plutôt sur une
pente ascendante ce mois-ci, on ne peut en dire au-
tant de votre vie sentimentale. Dieu quel désastre !
Heureusement que la santé vous incite à l’opti-
misme… Quoi qu’avec ces relents d’hiver, vous au-
rez probablement le nez qui coule tout le temps. Et
pour ne rien vous cacher, ça commence à dégoûter
votre entourage. Un conseil, en juin : mouchez-vous,
et profitez de votre travail. Au rythme où vont les
choses, ça risque de ne pas durer très longtemps…
CapriCorne 23 déc. / 20 janv.
Vous croyiez peut être que ce mauvais temps si im-
promptu n’était qu’une coïncidence ? Détrompez-
vous. Il n’est en réalité que la conséquence de vos
actes. Nous vous avions conseillé d’OSER, mais vous
l’avez trop fait. On ne peut pas forcer le destin. Et al-
ler sur des sites de rencontre pour draguer des ava-
tars, voler les pourboires laissés sur les tables des
cafés et vous corrompre pour vous attirer les faveurs
de votre patron, ça, c’est forcer le destin. Jupiter a
sûrement déjà tout prévu pour vous, il ne faut juste
pas trop lui mettre la pression.
verseau 21 jan. / 19 février
C’est bientôt l’été et on ressent un relâchement au
boulot. Des vacances pourraient vous faire du bien,
alors foncez-y ! En plus de revenir bronzé(e), vous re-
viendrez en forme et personne ne pourra vous faire
perdre votre bonne humeur (même pas votre patron).
Côté cœur, les rayons du soleil vous illuminent et
vous ne passez pas inaperçu(e), le soleil vous va bien
au teint. Côté relationnel, c’est le désert ! N’hésitez
pas à sauter le pas pour inviter vos proches à sortir,
ils peuvent être un bon tremplin pour faire de nou-
velles rencontres.
poissons 20 fév. / 21 mars
Le soleil, au sens propre comme au figuré, fera son
apparition dans votre vie… Les vacances se rappro-
chent à grands pas bien qu’on dirait que vous y êtes
depuis longtemps. Mars, aligné avec Saturne vous
offre des nouvelles possibilités professionnelles. Le
23 vous irez chez le dentiste et le 28 faites attention
à vos talons, ils risqueraient de se casser. Le 29 vous
irez chez le cordonnier et le 30 vous gambaderez
dans vos espadrilles. N’oubliez pas le 21, concert de
flûte de Pan à l’auditorium de Paris.
18 — 19 —
le bon astro Juin 2013
20 — OUEST 21 — OUEST
la bonne action
À l’heure où la Commission européenne propose
une loi qui criminalise la culture privée de légumes
en interdisant la semence et la pousse de végétaux
sans approbation d’une nouvelle autorité, il est
salutaire de s’asseoir un instant aux côtés de Marie
duval, une éco-citoyenne engagée sans être enragée
qui cultive ses rêves comme son jardin. prenons-en
de la graine !
Nous rencontrons Marie sur les marches d’un esca-
lier de la butte, isolés de l’atelier de distribution
et de troc de graines que son association anime
aujourd’hui à la Maison Verte. Instinctivement nous
nous mettons au diapason de la nature qui nous
entoure, dans l’instant présent, encouragés par les
oiseaux qui célèbrent un rayon de soleil. Laissons-
nous conter la genèse de Prends-en de la graine, une
initiative locale à la croissance exponentielle : « J’ai
eu cette idée un soir de février 2010 en rentrant d’une
fête par les ruelles du 18e. Il y avait une superbe mai-
son recouverte de lierre et de vigne vierge, ce fut une
révélation ! Je me suis dit, pourquoi chacun ne cultive
pas son propre coin de verdure ? J’ai pris quelques
notes et le reste s’est enchaîné avec une facilité
déconcertante. » Dès lors, Marie transforme rapide-
ment son idée en action et en avril, elle décide d’aller
voir tous les commerçants de la rue des Abbesses
pour solliciter une participation pour la distribu-
tion des graines, « je devais répondre à un besoin,
l’accueil des commerçants a dépassé mes espé-
rances, le premier que j’ai visité m’a donné 450 € alors
que l’association n’était même pas montée ! » s’en-
thousiasme-t-elle. Si elle commence par se four-
nir en graines hybrides (donc non reproductibles) à
Rungis, elle prend très vite conscience du drame qui
se trame et prend contact avec Kokopelli pour s’ap-
provisionner en graines reproductibles. Celle-ci se
propose immédiatement comme sponsor de Prends-
en de la graine. Marie nous explique : « C’est un peu
l’Arche de Noé ! Monsanto détient 60% du patrimoine
végétal mondial, c’est la plus grande guerre qu’il n’y
ait jamais eu, ils sont en train de stériliser la pla-
nète. Mais on peut faire quelque chose, prendre des
banques de semence, les graines ont presque autant
de valeur que l’argent ! ». Le bilan est alarmant mais
pas irréversible et notre semencière reste optimiste
(et bonne en calcul) : « fleurir nos fenêtres c’est végé-
taliser la ville. Il y a 2 millions de parisiens ayant
au moins une demi-fenêtre, cela fait … 1 million de
fenêtres ou plus ou moins 50 hectares de végétation.
Le mouvement est lancé, le troc se met en place, il y
a des Suisses qui me ramènent des graines, d’autres
qui partent au Liban dans les chaussettes car il est
interdit de transporter des graines en avion ! » La
nature, une drogue dure. De son enfance en Bre-
tagne, Marie garde le souvenir de récoltes géné-
reuses dans le verger familial et de bocaux stérilisés
Texte & Photo Elise Monnier
Prends-en de la graine
qui s’aiMe réColte !
20 — OUEST 21 — OUEST
par sa grand-mère pour passer l’hiver, « la faim dans
le monde est un non-sens quand on constate à quel
point la nature est abondante. » Par ailleurs l’acte
même de jardiner nous reconnecte à la terre et à l’es-
sentiel : l’air, la lumière, le temps, en somme tout ce
qui tend à manquer en milieu urbain. Marie conclut :
« La nature est vibratoire, en jardinant on pose sa tête
et on reprend corps ». Prendre soin des racines pour
retrouver les siennes.
programme des différentes activités sur facebook :
prends.en.de.la.Graine
Blog de Marie :
marie.duval.over-blog.com/
Kokopelli (ndlr : association à but non
lucratif œuvrant pour la libération de la semence
et de l’humus)
kokopelli-semences.fr
22 — OUEST
la bonne poterie Texte Loraine Dion
Photo DR
sculpture, modelage, poterie, à l’heure du métro-
boulot-dodo, les loisirs manuels connaissent un
véritable engouement chez les parents parisiens.
Mais pas que. véritable moteur à rêve et générateur
de vocations, terre des batignolles ne désemplit
pas. l’atelier de modelage reçoit les enfants tous les
jours depuis près de 6 ans avec une seule obligation :
se faire plaisir !
C’est en plein cœur du quartier des Batignolles que
Géraldine et Nadège ont installé leur atelier. Une
immense table centrale ornée de pinceaux et de
taches colorées occupe la quasi totalité de l’es-
pace. Les étagères murales abritent le « bestiaire
fantastique ». Pingouin, marmotte, cheval, tout a été
représenté par des petits doigts délicats, au moyen
de terre et d’émail. Géraldine arbore fièrement une
reproduction miniature bleue et rose de la cathé-
drale Notre Dame. « L’artiste est trop mignonne, elle
n’a que 6 ans ! » Aucun thème n’est imposé, « les
enfants font ce qu’ils veulent » signifie-t-elle, « on ne
les oblige à rien ».
La soif de liberté, c’est également ce qui a poussé
Géraldine à se reconvertir. Dans son « ancienne vie »
elle travaillait en finance de marché, bien loin des
sculptures en glaise. Pourtant, c’est la seule activité
dont elle ne s’est pas lassée. Alors, il y a 6 ans, elle
quitte « le monde de l’argent » pour s’investir pleine-
ment dans sa passion. Trois ans plus tard, sa route
croise celle de Nadège lors d’un cours justement.
Artiste-peintre de profession, Nadège s’associe à
celle qui est devenue son amie, pour apporter une
dimension colorée au travail de la terre.
Tous les jours, elles reçoivent vos petites têtes
blondes (les plus grands aussi) pour des sessions
qu’elles veulent les plus ludiques possible. Les soirs,
mercredis et week-ends, elles proposent, chacune
dans leur champ d’expertise, deux heures de libre
expression. « Nous n’avons que trois règles : on ne
court pas, on ne crie pas et on ne jette pas la terre ! ».
Sinon tout est permis ! Pas d’enseignement acadé-
mique, ici on apprend les techniques au gré des pro-
jets, « on n’est pas à l’école ». Et les productions de
ces jeunes esprits créatifs trônent là, sous forme de
petites figurines brillantes et bariolées. Géraldine
s’empresse de raconter l’anecdote d’une petite fille
qui leur rend visite un jour en coup de vent, deman-
dant, émerveillée par l’espace « c’est vrai qu’ici on
peut faire ce qu’on veut ? »
Atelier Terres des Batignolles
Moteur de rêves
22 — OUEST 23 — OUEST
Une ambition assumée par Géraldine et Nadège :
« ici on a le droit de rater » clament-elles. Idée qui
contraste avec une société avide de réussite.
Un pari réussi pour ces deux copines, qui diversi-
fient leurs activités en organisant des goutés d’an-
niversaire le samedi après-midi. Et ça marche du
tonnerre ! « Nous sommes obligées de refuser des
demandes ». Deux heures de cours sans parents
durant lesquelles se salir est presque un ordre. Que
demander de plus ? Les traditionnels gâteaux avec
bougies closent dignement la petite sauterie.
Détente, créativité et liberté, voici les maîtres-mots
de Terre des Batignolles. Un petit coin de paradis
pour enfants, en somme.
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Tél. : 06 68 21 01 54
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24 — OUEST
la bonne appli
tous très pince-sans-rire, Josselin, Grégoire, Geof-
frey et tristan peuvent être fiers d'eux. surtout Joss
et Greg, les boss, trop complémentaires pour ne pas
s'entendre.
Mais c'est Geoffrey que vous connaîtrez, livreur sur
Fixie, dont le maillot orange de champion du Tour de
Paris sera vite identifiable. Tristan, 4ème mousque-
taire, est stagiaire mais hyper-motivé. Âge moyen,
25 ans pour toute la bande, et les voilà créateurs et
développeurs d'un concept aussi charitable que fes-
tif, typiquement parisien, pour tous les gourmets et
amateurs d'apéros dans les règles de l'art. L'appero,
avec 2 « p » comme dans « appli », vous permet de
vous géolocaliser, de passer commande, de payer
avec votre portable, encaissement une fois la livrai-
son effectuée, donc, sans erreur possible. Puis, vous
recevez votre boîte, la petite (bière) ou la grande (vin),
pour un apéro parfait, avec le meilleur du Sud de la
France, à boire… et à manger : des olives, du fromage,
du jambon sec, du pain, de la tapenade, des chips, et
tous les accessoires.
Avec vos amis ou lors d'un rendez-vous galant au
soleil qui fera de vous un maître du savoir-vivre,
ayez cette touche de modernité digne de la dernière
génération. Deux maîtres-mots la représentent :
écolo et quali. Et là, avec l'appero, électronique et
satellite à la clé, aussi paradoxal que cela soit, dans
les précieux emballages éphémères, tout est écolo,
compostable, livré à bicyclette ; et tout est choisi
avec un soin tel que ces produits de luxe et du terroir
vous coûteraient plus cher achetés dans les maga-
sins. Non, mon cher lecteur attentionné du Bonbon,
tu ne rêves pas, reste bien concentré et lis bien : ce
que contient cette box coûte plus cher en magasin,
et donc on te la livre là, juste là où tu te trouves, en
lisant ton Bonbon, car tu ne me crois pas, et tu veux
vérifier mon affirmation, et tu vas te régaler dans
moins de 45 minutes chrono, obligé d'avouer qu'une
fois de plus, le Bonbon a raison et que ses infos sont
mortellement… tendances !
Concrètement, cet apéro de qualité se compose,
pour le moment, d'un choix entre 2 boîtes – d'autres
boîtes seront bientôt créées pour toute l'année, avec
des produits de saison, toujours haut-de-gamme
mais à la portée de toutes les bourses. Primo : la box
Moustache : une bouteille de bière absolument déli-
cieuse et relativement inédite, la Bellerose, au goût
fleuri, original, avec de la mimolette Label Rouge et
des chips triées sur le volet. Secondo, La Box n°2,
repas à deux ou apéro à quatre : c'est le choix entre
vin rouge (Côtes du Roussillon AOC), blanc (Lorge-
ril de Pays d'Oc, Chardonnay) ou rosé (de Méditer-
ranée, Caves de St-Tropez). L'Ossau Iraty, AOP pur
Brebis, 6 mois d'affinage. Des olives vertes (Chalki-
diki) et noires (Kalamata), AOP grecque. Le jambon
de Lacaune est médaillé d'or. Tapenade hors-pair.
Le rapport qualité/quantité/prix est confondant,
essayez seulement pour voir, goûtez, appréciez, vous
y reviendrez vite ! Et si vous souhaitez composer
1ère appli ultra-Moderne au serviCe d'une Grande tradition : l'apéro À paris !
Publi-reportage B-Jay
Photo L'appero & B-Jay
L'appero
24 — OUEST
votre apéro vous-même, pas de soucis, vous pouvez
acheter boissons et produits indépendamment, ainsi
que de nombreuses options sympas que l'applica-
tion vous fera découvrir.
Le soleil s'est-il fait attendre, cette année ? Certes,
mais vous pourrez vite oublier son retard avec l'ap-
pero comme appli pour ne rien rater de l'été entre
amis, ou entre amoureux…
l'appero pour iphone sur l'app store et pour
androïd sur Google play
En Semaine : 11h-14h et 19h-23h
W-E : 11h-01h (dimanche à 23h)
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26 — OUEST 27 — OUEST
Il vous suffit de prononcer le mot magique le Bonbon au moment de payer et vous bénéficierez de l’offre annoncée !
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le bon homme
diagnostiqué hyperactif par son médecin de famille
dès l’âge de huit ans, raphael découvre l’insomnie
et comble le vide en regardant des films, parfois
quinze, vingt fois. rencontre et retour vers le futur
d’un réalisateur passionné.
Raphael, d’où te vient cette passion pour le cinéma ?
J’ai été bercé par le cinéma des années 80 puis 90,
Schwarzenegger, Steven Spielberg, Claude Lelouch,
Star Wars, John Carpenter... et par les dessins ani-
més, Cobra, Les Chevaliers du Zodiac… Je me sou-
viens de mon père et de sa première caméra vidéo
hyper encombrante, avec enregistreur VHS et bat-
terie déportée. Je la garde précieusement. Le for-
mat VHS, c’est la source, le format d’origine de mon
obsession. On enregistre, on regarde, on efface.
Mon père est photographe amateur, son Réflex
Canon m’attire irrésistiblement, alors je me l’appro-
prie et je prends mes premières photos. Peu après
je me fabrique un sténopé et je parviens à produire
quelques clichés très intéressants, encore en ma
possession à ce jour. On m’offre mon premier camés-
cope à l’âge de 11 ans, je m’amuse avec mes copains,
on imagine des histoires et je filme ; je me souviens
par exemple d’une tentative de film d’horreur qui a
coûté cher en ketchup, après avoir vu Evil Dead.
Et comment devient-on réalisateur de films ?
Je m’engage relativement tôt dans un parcours
cinématographique, j’intègre une section cinéma
au lycée, j’y réalise quelques courts-métrages, j’ap-
prends à utiliser une chambre noire et je commence
à faire mes propres tirages photo. Je rentre par la
suite dans une université en « arts et technologie ».
J’y apprends notamment à me servir correctement
d’un ordinateur et je m’imprègne totalement de l’ère
numérique. Beaucoup de choses deviennent pos-
sibles alors. Je fais la connaissance de Grégory Cam-
penet, Guillaume Coulpier et Sébastien Pomier et
avec d’autres nous créons Extermitent, d’abord col-
lectif de vidéastes, puis association, et aujourd’hui
société de production. Je m’épanouis au sein de cette
structure, j’imagine et je réalise de nombreux projets
très différents, fictions, documentaires, expérimen-
tations vidéos...
Parle-nous de tes films et de tes projets justement
Je commence à me faire une petite réputation en
m’imposant comme le vidéaste de l’artiste Space
Invader, pour lequel je réalise de nombreux projets
vidéos. Il y a quelques années je commence à m’in-
téresser à l’imagerie panoramique et tente une pre-
Raphael Haddadla passion du CinéMa
Texte Arnaud Chaillou
Photo Raphael Haddad
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mière expérience en collaboration avec le groupe
Stuck In The Sound. C’est à cette occasion que je
rencontre l’équipe de Loop’in, les experts français
en la matière dont je suis à présent directeur artis-
tique, chef de projet et chef opérateur en vidéo pano-
ramique. Vous aurez très prochainement l’occasion
de naviguer dans une vidéo vous immergeant dans
l’univers de l’artiste M. Chat, mais aussi Machine-
gun, sample vidéo qui mitraille tes pupilles et Fresh
Meat, mon immersion filmée au cœur de Calvi on
the Rocks édition 2012. Je suis très fier d’un projet
qui devrait être diffusé en septembre 2013, Cul Sec,
où l’amitié est mise à rude épreuve, le premier web
movie intéractif, dont je suis le scénariste, réalisa-
teur et co-producteur. Mais je prépare aussi de nom-
breuses surprises qui j’espère raviront vos yeux et
vos oreilles, et éventuellement vous rendront sourds
et aveugles ! Affaire à suivre…
www.loop-in.com / www.extermitent.com
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le bon agenda Agenda des manifestations culturelles
ThéâTRE
Du 19 Juin au 7 Juillet
Kiss & Cry – Théâtre du Rond Point - 8e
Le 25 Juin
Des femmes qui font des trucs bizarres dans les
coins – Théâtre du Rond Point - 8e
Jusqu’au 16 Juin
Spectacle de Edouard Baer, « … A la Française »
Théâtre Marigny - 8e
Jusqu’au 29 Juin
Dans la tête de Redouanne Harjane – Théâtre
Marigny - 8e
Du 2 Mai au 30 Aout
Couple en danger – Théatre Petit Hébertot -17e
SOIRéES
Vendredi 14 Juin
A night with… klangkarussell, nils hoffmann,
stephan & tibo’z au showcase – 8e
Samedi 15 Juin
Meant : Daniel Avery, Chloé, Remain au showcase
8e
Samedi 15 Juin
Cinema paradiso superclub – 5ème édition de la
ofive party au Grand Palais - 8e
Mercredi 19 Juin
Cinema paradiso superclub - Kitsuné club night au
Grand Palais - 8e
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le bon agenda Agenda des manifestations culturelles
ExPOS
Du 18 mai au 16 octobre
Apartés 2013 – Musée d’art Moderne - 8e
Du 24 Mai au 18 Aout
DANH VO– Musée d’art Moderne - 8e
Du 22 Mai au 6 juillet
Geral Petit – Fondation d’entreprise Ricard - 8e
Du 15 Mai au 15 juin
Sam Francis, Jonone – Galerie le Feuvre - 8e
Du 22 avril au 29 Juin
Patrick Richard – Cfoc - 8e
Jusqu’au 25 août
Exposition Bêtes de Sexe au Palais de la Découverte
8e
Jusqu’au 31 août
Expo Photo à la Maison Blanche – 8e
Du 11 au 21 Juin
Exposition Vélib’ au Grand Palais – 8e
SOIRéES
13 Juin
Concert Nicolle Rochelle Swing Band – Le Meridien
17e
28 Juin
Concert C2C, Bloc Party, Dub Inc., Alborosie, Agoria
presents Forms à l’Hippodrome de Longchamp – 16e
28 Juin
Concert Wax Tailor, Parov Stelar Band, Lilly Wood &
The Prick, Kery James, Sexy Sushi, Deluxe
Hippodrome de Longchamp – 16e
30 Juin
Concert Asaf Avidan, Beady Eye, David Guetta, Gogol
Bordello, Django Django, Balthazar, Max Romeo à l’
Hippodrome de Longchamp – 16e
14,15 Juin
Les Rolling Dominos au Jazz Club Etoile - 17e
19 au 22 Juin
Shanna Waterston & The Drew Davies Rhythm Combo
32 — OUEST
les bonnes adresses Régie Publicitaire
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06 37 02 22 61
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1, rue Mesnil - 16e
Tél. : 01 45 53 09 77
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