Post on 21-Jun-2022
Les aventures
D’Yvain
Chapitre premier : l’adoubement
e suis Yvain, fils d’Urien et de Moragne
et époux de Laudine. Voilà comment mes
aventures vont se passer. Ca commença
un jour avant mon adoubement.
Tout comme la tradition l’a dit, je jeûnai,
ensuite je pris un bain purificateur. A la fin de la
journée, quand je finis de jeûner et finis donc mon
repas je commençai à prier. Je n’arrêtai de prier
que seulement quand le soleil se leva.
Le lendemain, comme chaque chevalier à son
adoubement je mis une tunique blanche pour
montrer la pureté. Quelques minutes plus tard je
vois ma mère Morgane qui comme habituellement
si bien habillée, si humble me salue et
m’encourage pour la cérémonie qui allait se
dérouler un peu plus tard dans la journée.
N’ayant rien à faire je décidai d’aller voir mon
père qui en réalité me cherchait. Donc surpris je
l’accompagnai et il m’emmena dans une écurie où
il y avait un magnifique cheval blanc, il était très
intelligent mais inconfortable, mon père l’a appelé
Tonnerre.
Par la suite, le roi Arthur en personne m’a
donné un cadeau, impatient je l’ouvris et vis une
magnifique armure. Il n’avait rien oublié sauf
l’arme mais j’étais quand même très heureux mais
cela m’a surpris c’est qu’il m’a passé tout ce qu’il
faut comme si j’allais me battre, comme le bonnet,
le gambison, camail, cotte de mailles, surcot,
l’épée et les jambières.
Il se trouva que derrière ce gros cadeau il y
avait un autre cadeau un petit peu plus petit dans
lequel il y avait un écu avec évidemment un blason
rouge comme le courage et la force, et blanc
comme la lune et l’innocence et dessus il y avait un
magnifique aigle bicéphale armé de blanc,
lampassé de rouge et lui-même noir.
Sans voir le temps passer c’était déjà l’heure
de ce grand moment. J’entre, dans la salle, de la
musique douce, j’avance en tenant ma mère par les
entre coudes et elle me lâcha pour aller me faire
adouber. J’avance et fis un genou au sol et là le
premier coup sur l’épaule, ensuite la droite et
c’était déjà fini. Mais cette journée reste et restera
toute ma vie dans ma mémoire.
Chapitre second : le tournoi
’est enfin le jour du tournoi, le soleil
vient de se lever, je me prépare pour les
combats qui vont suivre dans la journée.
Le premier combat est à quatorze heures
contre Mordred.
Actuellement il est treize heures, je suis armé
et prêt au combat. En approche de la tente, je vois
le roi Arthur, la reine et des seigneurs qui attendent
impatiemment le combat.
La cloche sonne, il est l’heure : je compte sur
toi Azur !
En entrant je pris les couleurs d’une jeune fille
et montai sur mon cheval. Chacun dans son côté de
la lice, l’arbitre siffle. Je m’élance, je lui fonce
dessus et le fis tomber de son cheval. Avec des
difficultés à se relever il tenta de m’attaquer.
J’esquive et je l’estourbis en ouissant son cri de
douleur.
Malgré le fait que ce soit un combat courtois,
j’étais heureux de l’avoir vaincu. Il était gési par
terre, je trouvais que ça se passait extrêmement
vite.
On m’a dit que le deuxième combat était à dix-
huit heures. J’étais si fier de moi et d’Azur, mais je
dois gagner ce deuxième combat pour porter avec
honneur les couleurs de cette jeune fille.
Avant le deuxième combat je reçus
énormément de compliments pour avoir gagné,
mais je n’étais plus aussi sûr de moi quand j’ai su
que j’allai me battre contre le roi en personne.
Je n’avais pas vu l’heure, mais il faut aller se
préparer. Enfin prêt, c’est l’heure. Je repris les
couleurs de la jeune fille et montai sur mon cheval.
L’arbitre siffla et nous nous foncèrent dessus.
Miracle, je le fis tomber, mais il m’avait blessé le
bras.
Au sol, i me frappa encore et encore et j’avais
mal, j’étais perdu dans ma tête. Sous la douleur des
coups, je serrai mon arme, donnai un coup dans
l’abdomen du roi et frappai encore et encore
jusqu’à ce qu’il gésisse par terre.
Le roi, un jour plus tard, me remit son armure
ainsi que son fidèle cheval mais également un
trophée d’or et de diamants.
Chapitre troisième : la bête
fabuleuse Le tournoi vient de se terminer, tous les
chevaliers fêtent le vainqueur autour d’un
somptueux banquet, le vin coule à flot et les bardes
chantent les exploits des héros de légende… Tout à
coup, la porte de la grande salle s’ouvre à la volée
et un homme terrifié se précipite et s’écroule aux
pieds du roi Arthur.
« Sire ! Mon village a été détruit par une bête
monstrueuse, elle a dévoré tous les habitants et
réduit les habitations en cendres… Rien ne peut
l’arrêter, elle arrive sûrement directement des
Enfers… Seuls vos preux chevaliers peuvent
mettre fin à ses terribles ravages ! »
Un silence de mort envahit l’assistance, le
froid semble s’être insinué dans tous les cœurs et
nul ne se décide à prendre la parole.
e suis volontaire pour aller combattre le
phénix dans la forêt aux arbres brûlés.
Le chevalier entama son voyage qui ne
dura pas longtemps car la forêt n’était pas
très éloignée, ce qui avait augmenté les risques
pour le village.
En arrivant dans la forêt le chevalier plein de
rage entendit des mugissements. La forêt était
ravagée, il y avait du brouillard et on ouissait des
hurlements de loups. Quelques dizaines de minutes
plus tard il entendit un gargouillement, il tourna sa
tête et hurla de peur car il vit le phénix.
Il couru jusqu’à être à l’abri, mais il ne pouvait
pas rentrer bredouille donc il essaya de retrouver
son chemin vers la bête et il vit une maison.
Dans cette maison il vit une jeune dame qui fut
très aimable et décida de l’accompagner. Après ça,
il reprit sa route vers le phénix. Quand il le trouva
il dégaina son épée et frappa le phénix. Le phénix
énervé le grilla, ça lui ouvrit la main. Sa main
ensanglantée attrapa son épée et coupa la tête de
cette bête !
Chapitre quatrième : pour
l’amour de ma dame
a dame m’a sauvé la vie. Elle est belle,
avec des cheveux bruns bouclés aux yeux
verts, elle n’est pas très grande. Quand
j’étais blessé elle m’a vu, et ma main
saignait vraiment beaucoup. Apeurée, elle a couru
pour trouver de l’aide.
Elle croisa une sorte de cabane abandonnée,
elle entra mais l’endroit était désert. Elle cherchait
quelque chose pour me soigner, mais elle ne voyait
que des débris et un escalier qui menait
certainement à un sous-sol. En ne pensant
qu’absolument à trouver des soins elle descendit,
elle vit un personnage de dos. Ce personnage se
retourna et dit :
– Je m’appelle Mello, et vous gente dame ?
– Je m’appelle Elène. S’il vous plait monsieur
Mello, j’aurai besoin d’aide, mon chevalier est
blessé.
– J’ai ce qu’il vous faut, mais cela ne sera pas
gratuit.
– Je vous en supplie, je n’ai pas d’argent.
Et là Mello s’approcha d’Elène, lui prit son
collier en or et lui dit : « cela fera l’affaire. ». Elène
lui passa le collier et dit : « alors ? ». Mello sortit
de son sac une fiole orangée et dit : « quiconque
boira cette fiole sera guéri de n’importe quelle
blessure. ».
Quelques minutes, le chevalier vit sa dame
vêtue d’une robe rouge et déchirée, il remarqua la
fiole et eu le sourire car la blessure s’est infectée.
Elle lui donna la fiole et le chevalier fut
immédiatement guéri.
Chapitre dernier : le félon Au cours de mes différentes quêtes, je me suis
rendu compte qu’une détestable atmosphère s’est
installée à la cour du roi Arthur. Un chevalier
œuvre dans l’ombre pour détruire Arthur et
Camelot afin de s’emparer du pouvoir ! Le roi
Arthur est trompé par son meilleur ami et risque
d’avoir besoin de moi. Je vais devoir choisir mon
camp : Lancelot ou Arthur.
alheureusement j’ai du faire un choix, et
même si Arthur a juste respecté la loi je
suis contre tuer la reine ou une
quelconque femme de façon si horrible
que le bûcher donc je vais dans le camp de
Lancelot.
Malheureusement, quand j’ai fais mon choix
j’ai vu mes amis partir vers Arthur, j’ai une
sensation de tristesse mais je ne pouvais être
d’accord avec un meurtre. Le groupe de Lancelot
s’est enfui, heureusement car je n’aurai pas pu me
battre contre mes amis.
Trois jours sont passés, c’était plutôt calme,
mais Guenièvre vint en hurlant et disant qu’elle
avait vu une armée au loin. Quand j’ai appris la
nouvelle, je priai pour que ce ne soit pas mes amis.
Quinze minutes plus tard, c’était malheureusement
le Roi et les chevaliers et il y avait
malheureusement mes amis. Ils étaient là, face à
nous, il y a eu un silence pesant mais Arthur
commença à parler et cria avec une énorme larme
de colère : « POURQUOI ?!!! » et sans réponse de
Lancelot Arthur cria : « A l’attaque ! ».
Il s’élança à cheval et attaqua Lancelot, donc
nous répliquons et à contre cœur je dus me battre
contre mon ami d’enfance. Il me frappait et je ne
répliquai pas et je mourus sous ses coups.
Lancelot vit Arthur foncer pour le tuer mais il
ne l’atteint pas donc il fonça sur Guenièvre. Mais
Lancelot aimait Guenièvre plus que quiconque
donc il fonça et la sauva et s’enfuit en pleurant
sans regarder derrière lui.
Un an est passé et maintenant ils vivent
heureux en prévoyant de se marier.