Les 1ères écritures apparaissent vers – 3500 (IVe millénaire av. JC) en Mésopotamie.

Les pictogrammes sont des dessins. C’est la 1ère écriture qui permet de comptabiliser les ressources agricoles, les marchandises produites ou vendues.

Ensuite, l’écriture est simplifiée : l’écriture cunéiforme, faite de signes ; un signe peut correspondre à un mot ou à un son, donc on peut exprimer plus de choses.

A peu près au même moment, les Egyptiens créent une écriture originale, les hiéroglyphes ; c’est une écriture complexe car un hiéroglyphe peut exprimer un mot, un son et une idée.

Peu à peu, l’écriture permet de transmettre ou de conserver des informations plus complexes : les lois, les croyances envers les dieux, les histoires légendaires de rois (comme par exemple L’Epopée de Gilgamesh).

Les scribes, peu nombreux, sont les seules personnes qui savent écrire dans l’Antiquité.

Les écritures permettent donc de mieux connaître le passé : elles marquent le début de l’Histoire.