Post on 04-Apr-2015
L’Arbre-Sympadu plongeur subaquatique Junior
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090506.
Requins
9-Poissons
(Téléostéens)
8-Arthropodes
Ascidies 7-Echinodermes
6-Mollusques
5-Bryozoaires
4-Annélides
2-Spongiaires
1-Algues
3-Cnidaires
Crustacés
Raies
Nos Conseillers
Hugo FournierPaul Chézaud
InF&FoCD92
Mode d’emploi
Autres Arbres Phylogénétiques
VersionsSenior& Pro
L’Arbre-Sympadu plongeur subaquatique Junior
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6-MOLLUSQUES
RequinsRaies
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Crabes CrevettesHomards Pagures
TortuesMammifères
Sirène
Escargots
GASTEROPODESCEPHALOPODES
Limaces
CrinoïdesHolothurides
EchinidesOphiurides
Astérides
BIVALVESAscidiacées
Thaliacées
7-ECHINODERMES4-ANNELIDES
AlguesBrunes
AlguesRouges
Plantes
5-BRYOZOAIRES
3-CNIDAIRES
1-VEGETAUX
Démosponges
2-PORIFERES
Poissons(Téléostéens)
8-ARTHROPODES
Algues Vertes(Ulvophytes)
Méduses
82 CRUSTACESDECAPODES
90 ASCIDIES
EpongesCalcaires
Hexactinellides
CorauxAnémones Hydraires
9-VERTEBRES
Plathelminthes
L’Arbre-Sympadu plongeur subaquatique Junior
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L’Arbre-Sympa est un diaporama interactif qui nécessite la visionneuse (gratuite) de PowerPoint . Son but est de vous aider à comprendre les relations entre les groupes d’Espèces de la Faune et de la Flore (F&F) observés pendant vos plongées, en sautant d’une branche à l’autre. Cette version Junior correspond au niveau ‘Découverte F&F’ du CD92. Attention, ce n’est pas un guide d’identification : il y a d’excellents ouvrages pour cela !
Vous pouvez aborder l’Arbre-Sympa en cliquant sur ses premières images puis, pour obtenir plus de détails dans les cadres ou sur les textes en bleu et dans les cadres rouges pour revenir à la branche précédente. Le texte appelle du texte détaillé, l’image appelle d’autres images. Les pastilles noires et vertes en coïncidence vous permettent d’alterner instantanément entre image et texte pour un même sujet. Les pastilles jaune donnent accès à des Fiches Techniques et le retour à la ‘case départ’ est possible à tout moment en cliquant sur l’Arbre-Sympa, en haut des branches !
L’organisation linnéenne en Classes, Ordres, Familles est abandonnée depuis plus de 30 ans ! Aujourd’hui, tous les scientifiques utilisent la notion de ‘taxons monophylétiques’ : ce sont les groupes constitués par un ancêtre et tous ses descendants et seulement par ceux-là. L’Arbre Phylogénique Naturel d’aujourd’hui, celui qui se déduit de l’Arbre Généalogique Généralisé (l’AGG) par des innovations majeures successives donne une approche plus ‘continue’ de la complexité du vivant. Le symbole (#) souligne les groupes non monophylétiques. C’est donc uniquement pour se repérer que les Embranchements sont encadrés sur fonds noirs, les anciennes ‘Classes’ encadrées sur fonds gris, en CAPITALES SOULIGNEES, les ‘Ordres’ encadrés sur fond jaune, en CAPITALES non soulignées et les ‘Familles’ sont en petits caractères gras. Les Espèces dulçaquicoles, celles qui vivent en eau douce, sont notées %. Les groupes difficiles à observer sont dans des cadres en pointillé. Les photos non signées sont faites par les auteurs. Notre référence de base est l’ouvrage de Guillaume Lecointre et Hervé Le Guyader : ‘Classification phylogénétique du Vivant’ (BELIN 2001).
Vous pouvez copier l’arbre-Sympa Junior avec ses 60 branches en toute liberté et l’envoyer par email à tous vos amis ! Toutes les photos sont libres de droit. Il n’y a pas de ©.
Deux versions plus complètes existent, gravées sur CD : Senior et PRO. Avec plusieurs centaines de branches, elles correspondent au niveau ‘Observation’ et ‘Compréhension’ F&F du CD92. Plus riche en informations et en images de meilleure qualité (nous avons l’autorisation de Michel Pakiela pour reproduire ses photos sous ©). Ces versions très ‘lourdes’ ne sont pas autorisées à la reproduction sans autorisation des auteurs ni ‘email-ables’. Pour imprimer le bon de commande qui est en dernière page, remplacez manuellement, dans le gestionnaire de fichier de WINDOWS, le ‘s’ de l’extension du nom du fichier par un ‘t’. Arbre-Sympa Jr.pps devient Arbre-Sympa Jr.ppt. Ensuite, vous pouvez imprimez tout ce que vous voulez de la version Junior, en particulier le bon de commande !
Si, malgré tous nos soins, une erreur s’était glissée sur une branche, n’hésitez pas à nous le faire savoir. Merci d’avance et, bonne promenade dans l’Arbre-Sympa !
fournier.hugo@wanadoo.fr et paul.chezaud@wanadoo.fr 070606
Mode d’emploi
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InF&Fo CD92
Nos cours théoriques ‘Faune & Flore’ proposent trois niveaux progressifsau choix : Découverte, Observation ou Compréhension.Voici la liste des cours pour les débutants : ‘Découverte F&F’
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les
pla
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cours
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r.hugo@
wanadoo.f
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6-MOLLUSQUES
RequinsRaies
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90 ASCIDIES
7-ECHINODERMES4-ANNELIDES
AlguesBrunes
AlguesRouges
Plantes
5-BRYOZOAIRES
3-CNIDAIRES
1-VEGETAUX
2-PORIFERES
Algues Vertes(Ulvophytes)
8-ARTHROPODES
Poissons(Téléostéens)
82 CRUSTACESDECAPODES
9-VERTEBRES
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Nombre : Sur plus de 375 000 Végétaux répertoriés sur Terre, environ 1500 macro Algues sont observées dans les eaux européennes et seulement 66 sont dans les Weinberg (les 'bibles' Méditerranée et Atlantique du plongeur F&F 'généraliste'). Les Algues ne présentent aucun danger pour les plongeurs et leur présence est le cadre agréable de la découverte du milieu subaquatique. Signalons que si les Algues sont très nutritives, elles sont négligées en Occident mais très appréciées en Extrême-Orient.
Définition : organisme végétal, généralement aquatique, pratiquant la photosynthèse. (Larousse-2005).Autotrophie : absorbe du gaz carbonique et libère de l'oxygène en fabricant les premiers composés organiques des chaînes alimentaires : les glucides.
Critère d'identification : Végétal sans tige (stipe) ni feuille (fronde) ni racine (crampons ou disques adhésifs) : pas de vascularisation, les échanges sont faits directement au niveau des cellules du thalle. Présence de cellulose dans les membranes des cellules.
Diversité :Dimensions : de quelques centimètres à plusieurs dizaines de mètres (le Kelp de Californie).Formes : encroûtantes (Crambe crambe), dressées (Cystoseires, Laminaires – parfois maintenues par des flotteurs, Sargasse, Fucus), en boule (Bérêt basque), plus ou moins calcifiées (trottoir, Maërl, Coralline, Monnaie de Poséïdon).Couleurs : Vert – Brun – Rouge, la couleur permet de distinguer facilement les différentes Classes d'Algues (ce découpage en Classes est justifié également par leurs méthodes de reproduction différentes).Répartition : limitée en profondeur à cause de la perte rapide de la luminosité. Maximum : 50 à 100 mètres en eaux claires.Cas particulier des étagements caractéristiques de l'estran avec la découverte plus ou moins importante du littoral en fonction des marées (cas exceptionnel de la Pelvétie).
Chaînes alimentaires : premiers maillons obligatoires. Des prédateurs dédiés existent : quelques Escargots (Helcion), quelques Limaces (le Lièvre de mer), etc.Mises à part les Saupes, peu d'espèces de poissons broutent uniquement des Algues.
Reproduction : les Algues ont un mode de reproduction qui n’est pas observable sans matériel. Le Fucus spiralé a cependant des réceptacles terminaux bien visibles (sortes de boursouflures remplies de gamètes). Chez les Algues, les deux modes de reproduction existent : le bouturage (Taxifollia) et la reproduction sexuée par gamètes libérés en pleine eau (l’Herbe à Robert).La reproduction sexuée des Algues est souvent très compliqué, en particulier pour les Algues Rouges !
Evolution : Les Algues Vertes sont à l'origine de toute la végétation terrestre.les Posidonie et la Zostère sont des plantes à fleur (des Phanérogames) qui sont 'retournées' dans le milieu marin il y a 100 millions d’années.
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Les ALGUESFiche Technique
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11.2 – PLANTES A FLEURS
Posidonie(Méditerranée)Zostère(Bretagne)Utriculaire %(plante carnivore)Pommier
12 – ALGUES ROUGES
FucusLaminaireCystoseire
Feuille deChateignerMaërlCoralline
Monnaie dePoséidonUlveBérêt basqueEntéromorphe
11.1 – ALGUES VERTES
(Ulvophytes)
1 – ALGUES et PLANTES 389 837 Espèces décrites, marines et terrestres
13500 marines et eau douce chloroplastes, pigments, photosynthèse
13 – ALGUES BRUNES
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1 – ALGUES et PLANTES
11.2 PLANTES A FLEURSPosidonie
Dune-CNEB
Posidonia_oceanica
13 ALGUES BRUNESFucus vésiculeux
II
Fucus_vesiculosus
11.1 ALGUES VERTES(Ulvophytes)Monnaie de Poséidon
Maniette-CNEB
12 ALGUES ROUGESPeyssonnelia
Gilli-CNEB Pessonneylia_squamaria
Halimeda_tuna
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6-MOLLUSQUES
RequinsRaies
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90 ASCIDIES
7-ECHINODERMES4-ANNELIDES
5-BRYOZOAIRES
3-CNIDAIRES
1-VEGETAUX
2-PORIFERES
8-ARTHROPODES
EpongesCalcaires Démospon
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Poissons(Téléostéens)
82 CRUSTACESDECAPODES
Hexactinellides
9-VERTEBRES
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nombre : environ 7 000 Espèces, surtout marines. 600 aux Caraïbes, un site très réputé pour ses belles éponges.définition : masse sans tête ni corps, pas de symétrie. Toujours fixées au substrat. Il y a de nombreux petits trous (ostioles inhalantes) parfois invisibles et quelques gros trous, les oscules. L'examen au laboratoire montre la présence de deux couches de cellules : les pinacocytes (vers l'extérieur) et les choanocytes, des cellules flagellées à collerette, vers l'intérieur.critères de reconnaissance : l'identification nécessite parfois l'examen des spicules à la loupe binoculaire : ce n'est pas pratique pour le plongeur, in situ. Confusion facile avec les Synascidies (différence : pas de réaction au touché car il n'y a pas de système nerveux, pas de muscle).diversité formes très variables : encroûtantes, tubulaires (gobelet, vase), ramifiées, coulantes, perforantes ou masse indistincte.couleurs variables : bleu, rose, gris, etc.taille maximum : la Coupe de Neptune, 2 m de diamètre ! remarques : l'excellente plasticité des Eponges explique leurs formes adaptées à la turbulence des eaux. Les deux couches de cellules sont séparée par la mésoglée qui contient plusieurs types de cellules mobiles (formation des spicules, sexe).relations trophiques : filtrage de l'eau en continu (volume propre pompé en moins d'une minute en moyenne). Les particules (micro algues, protozoaires) sont filtrées dans les chambres vibratiles et digérées dans des vacuoles (Phagocytose). Peu d'espèces mangent les éponges, citons les limaces (traces caractéristiques des Doris dalmatiens sur l'Eponge pierre en Méditerranée).reproduction : les Eponges Calcaires sont gonochoriques (sexes séparés) et les Eponges Siliceuses hermaphrodites. Les Eponges sont vivipares : des larves nageuses ciliées en sortent et ne tardent pas à se fixer sur un substrat (support) qu'elles ne quitteront plus. Grande facilité de bourgeonnement et de régénération. Bourgeons externes, exemple de l'Orange de mer, bourgeonnement interne : les formes de résistance pour la survie en conditions difficiles, les gemmules.évolution : les biologiste ont remarqué depuis longtemps la grande similitude des cellules flagellées des Porifères, les choanocytes, et des Protozoaires unicellulaires qui vivent parfois en groupes de quelques individus réunis par un mucus (Proterospongia_haeckeli).L'Embranchement des Cnidaires, un voisin des Porifères dans l'Arbre –Sympa, possède également deux tissus (interne et externe) mais son système digestif est plus évolué, ainsi que son système nerveux et sa musculature (exemples : déplacement, très relatif, des Méduses dans le courant et capture des petites proies vivantes par les tentacules des polypes des Coraux) sans oublier leurs cellules urticantes très caractéristiques !
Les EPONGESFiche Technique
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Note : les spicules n’étantobservablesqu’au microscope,Ce Classement n’est pasvraiment pratiquepour le plongeur !
2 – PORIFERESenviron 10 000 Espèces décritesnombreux trous, les ‘pores’spicules fréquentsles premiers Métazoaires !
ClioneE. RognonAxinelleSubériteSpongine %IrciniaE. de toilette
SyconClathrine
22 – EPONGES CALCAIRES10% des Porifèresexclusivement marinesmajorité : spicules en calcaire
23 – DEMOSPONGES (éponges siliceuses)80 % des PorifèresEnvironnement marin, eau doucemajorité : spicules en silice
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21 – HEXACTINELLIDES(éponges de verre)10% des Porifèresenvironnement marin profond(et certaines grottes de Méd.)spicules à 6 pointes, en silice
Euplectelle
Isabelle DOMART-COULON, Muséum de Paris
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2 – PORIFERES070506
CNEB22 – EPONGES CALCAIRES
Clathrine, Clathrina-clathrus
CNEB
Orange de mer, Tethya_aurantium
AxinelleAxinella_polypoïdes
Maniette-CNEB
21 – HEXACTINELLIDES
Ircinie
Euplectelle(profonde)
Une très belle histoire d’amourau Japon !
23 – DEMOSPONGES
Maran-CNEB
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6-MOLLUSQUES
RequinsRaies
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90 ASCIDIES
7-ECHINODERMES4-ANNELIDES
5-BRYOZOAIRES
3-CNIDAIRES
1-VEGETAUX
2-PORIFERES
8-ARTHROPODES
Poissons(Téléostéens)
MédusesCorauxAnémones
82 CRUSTACESDECAPODES
Hydraires
9-VERTEBRES
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nombre : 9 000 Espèces décrites dont environ 500 en Méditerranée et 20 Espèces en eau douce. description : les "animaux-fleurs" de la mer jusqu'en 1841 : la plus grande diversité est observée dans les récifs coralliens. Solitaires (Anémones) ou en colonies (Madréporaires), libres (Siphonophores) ou fixés (Gorgones), mous (Méduses) ou avec squelette externe de nature variée, parfois très dure (les Coraux constructeurs de récifs), mais toujours avec une symétrie radiaire paire, les plus grands individus (2 mètres) sont très petits comparés à la dimension de la Grande Barrière de Corail le long des côtes est de l'Australie (2 000 kms) !Un Cnidaire est un sac ouvert par une bouche qui lui sert aussi d'anus, elle est entourée de tentacules mobiles parfois très nombreux mais toujours urticants.En coupe, l'enveloppe du Cnidaire se compose de trois couches, deux tissus ayant des cellules différenciées (dont les cnidocystes : cellules urticantes caractéristiques de l’Embranchement) et une couche intermédiaire, la mésoglée qui contient d'autres cellules, mobiles (reproduction). Pas d'appareil circulatoire, respiratoire ou excréteur. Système nerveux rudimentaire.écologie : C'est un des groupes dominants des fonds rocheux avec les Ascides, les Eponges et les Bryozoaires. Les Cnidaires peuvent être dangereux pour le plongeur, en particulier certaines méduses réputées mortelles (cubo-méduses dans l'est asiatique).Les Madréporaires fossiles sont à l'origine de la concentration en grande quantité d'hydrocarbure (grand intérêt pour la prospection pétrolière).critères de reconnaissance : les Cnidaires sont urticants ! (leur contact est plus ou moins désagréable suivant l'Espèce et l'endroit du corps du plongeur touché : la paume de sa main est peu sensible car la peau est très épaisse, par contre, ses lèvres ont une peau fine et sont très sensibles au contact involontaire avec des fragments de tentacules à la dérive).relations trophiques : Le Cnidaire utilise ses nombreux tentacules urticants pour immobiliser ses proies vivantes : micro-organismes planctoniques, petits poissons, crevettes, vers, ophiures, etc.Il faut connaître la symbiose exceptionnelle des coraux et des zooxanthelles, des micro algues.Les Cnidaires sont mangés par des Limaces, Poissons, Tortues, etc.reproduction : sexuée, formation d’une larve ciliée nageuse qui se fixe rapidement, donne un polype qui peut aboutir à une méduse.Exemple pédagogique de l’Aurélie (Ephyrule).La reproduction par bourgeonnement est à l'origine des grands massifs coralliens dans les zones favorables de la ceinture inter tropicale.évolution : les Innovations intéressantes apportées par les Cnidaires :-la différenciation des cellules vers des tissus fonctionnels (cnidocystes, muscles).- la digestion. - la locomotion chez les Méduses.Ces étapes importantes justifient de placer les Cnidaires dans l'Arbre-Sympa entre les Porifères et les Bryozoaires.
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Les CNIDAIRESFiche Technique
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32 – Coraux, Gorgoneset Anémones(Anthozoaires)
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31 – Méduses(Scyphozoaires)
CorauxGorgonesAnémonesCérianthesAlcyons
AuréliePélagieCyanéeOeuf-au-platMéduse isocèle
Hydre %Corail de feu Physalie
3 – CNIDAIRES9000 Espèces décritescellules urticantes
33 – Hydraires(Hydrozoaires)
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3 – CNIDAIRES
33 - HYDRAIRES
32 CORAUXGORGONESANEMONES
Aurélie, Aurelia_aurita
G. Breton
VMStG
Gorgone_zola
Gorgone
Corail de feu, Millepora_sp
Acropore, Acropora_humilis
31 MEDUSES VRAIES
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6-MOLLUSQUES
RequinsRaies
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90 ASCIDIES
7-ECHINODERMES4-ANNELIDES
5-BRYOZOAIRES
3-CNIDAIRES
1-VEGETAUX
2-PORIFERES
8-ARTHROPODES
Poissons(Téléostéens)
45 Plathelminthes
82 CRUSTACESDECAPODES
9-VERTEBRES
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avant-propos : Tous les scientifiques s'accordent pour dire qu'il y a non pas un seul Embranchement comme nous le croyons mais toute une série de groupes d'Espèces très différentes ayant une forme de ver. Chaque groupe, représentant parfois plusieurs milliers d'Espèces décrites, est considéré comme un Embranchement. Nous connaissons en plongée les Annélides, la Bonellie et les Vers Plats mais il existe également des groupes bien moins connus des plongeurs tels que Nématodes, Némertes, Priapuliens, Sipunculien, Hémichordés, Rotifères, etc. Ces Espèces sont difficiles à observer : petits, bien cachés (parasites internes) ou trop profonds.Les Annélides, en particulier les Polychètes avec le Spirographe, représentent l'Embranchement phare de ces Espèces vermiformes pour le plongeur observateur de la Faune et de la Flore.
nombre : 14360
description : corps segmenté (anneaux identiques, les métamères), allongé (max environ 30 mètres), cylindrique, à symétrie bilatérale, composé de trois parties : tête (palpes, yeux avec cristallin et rétine, mâchoire), tronc (très segmenté) et telson. Système circulatoire clos. Respiration (chez les Polychètes) à travers des palettes latérales (capillaires) sur chaque segment (les parapodes), par branchies latérales chez les autres. Paire de ganglions nerveux cérébroïdes suivi de ganglions dans chaque segment. Soies chitineuses rigides.
écologie : formes marines, terrestres et d'eau douce. Nageurs, tubicoles ou benthiques fouisseurs. Certaines Espèces se déplacent avec leurs parapodes (Polychètes Errantes) et d'autres vivent dans des tubes calcaires ou composés de grains de sable (les Sédentaires).
critères de reconnaissance : forme allongée, anneaux. Tubes membraneux calcaires (Serpules) avec ou sans opercule, parfois constitués de grains de sable agglutinés (Sabelle, Lanice : le 'petit palmier‘ des plages à marée basse).
remarques : la Bonellie (groupe des Echiuriens) est rapprochée des Annélides par les biologistes bien que la métamérisation de son corps de soit pas évidente (larve caractéristique). Le mâle est minuscule !Les Oligocètes ('peu de poils', Lombric ou ver de terre) et les Achètes ('pas de poil', Sangsues, eau douce ou terrestres) ne concernent pas vraiment les plongeurs. relations trophiques : prédateurs (petits animaux) ou microphages filtreurs (Spirographe).
reproduction : sexuée externe et asexuée. Grande aptitude à la cicatrisation et à la régénération.Reproduction asexuée par scissiparité très importante chez certaines espèces.Régénération parfois surprenante suivant la position de la section : possibilité de régénérer une tête à la place de la queue (le Palolo) !
évolution : Innovations importantes : la segmentation du corps et un système circulatoire clos plus efficace permettent de donner aux Annélides une place à mi-hauteur dans l'Arbre-Sympa.
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Les ANNELIDESFiche Technique
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4 – ANNELIDES14 360 Espèces décrites
métamères (anneaux pouvant devenir autonomes)
Tubifex %Sangsue %Autres
41 – POLYCHETESnombreuses soies
Néréide, AphroditePhyllodoceSpirographe, SpirorbeSerpule, SabelleLanice, Arénicole
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42 – ECHIURIENSposition controversée Bonellie?
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Palolo, Ver bourréAtreau_bhu
SpirographeSpirographis_spallanzani
Vers triangulaires sur NassePotamoceros_triqueter
4 – ANNELIDES
41 – POLYCHETES 42 – ECHIURIENS
Bonellia_viridis, Bonellie
VMStG
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45 – PLATHELMINTHES ou Vers Platssystème digestif à un seul orifice
TURBELLARIES Planaire
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autres
Prostheceraeus_vittatus
Brizard-CNEB
F. Gilbert-Zinck
Planaires
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6-MOLLUSQUES
RequinsRaies
200406
90 ASCIDIES
7-ECHINODERMES4-ANNELIDES
5-BRYOZOAIRES
3-CNIDAIRES
1-VEGETAUX
2-PORIFERES
8-ARTHROPODES
Poissons(Téléostéens)
82 CRUSTACESDECAPODES
9-VERTEBRES
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nombre : 5 000 Espèces décrites dont 180 en Méditerranée.description : Colonies étalées, encroûtantes ou dressées, arborescentes, foliacées, rigides ou gélatineuse fixées aux substrats des côtes et des fonds marins, de quelques millimètres à max quelques dizaines de centimètres (Rose de mer). Les colonies sont constituées de nombreux individus (les zooïdes) à symétrie bilatérale, presque indépendants, souvent en rangées très régulières (Membranipore). Les individus sont très petits (inférieurs à 1 mm. : nécessité loupe) et leur polypide (tentacules et tube digestif) peut se rétracter pour protection dans une logette plus ou moins calcifiée (le cystide). La couronne de tentacules creux dévaginables non urticants est très caractéristique : c'est le lophophore.écologie : C'est un des groupes dominants des fonds rocheux avec les Ascides, les Eponges et les Cnidaires. Craignent beaucoup les Algues qui peuvent les étouffer : on les trouve, de ce fait, surtout dans les zones d'ombre. Généralement peu remarqués et sans valeur commerciale.critères de reconnaissance : facile pour les plongeurs pour quelques colonies dont la forme est caractéristique (Bugule, Dentelle de Neptune), l'identification nécessite un examen attentif avec loupe binoculaire pour de nombreuses Espèces.remarques : Pas de cœur ni de système différencié pour la respiration, pas de néphridie.relations trophiques : filtrage passif de l'eau en continu, les particules (micro algues, protozoaires) sont capturées par les cils vibratiles des tentacules (qui sont eux-mêmes immobiles) puis dirigés vers un tube digestif bien différencié. Digestion par estomac et intestin, évacuation par un anus donnant à l'extérieur du lophophore. Les Bryozoaire sont la proie sans défense de nombreuses Limaces de mer, de petits Crustacés et de quelques Oursins.reproduction : sexuée hermaphrodite simultanée, larve ciliée nageuse. Reproduction par bourgeonnement très importante.évolution : ressemblance des larves de Bryozoaires avec les larves d'Annélides. Les colonies de Bryozoaires ressemblent aux colonies d'Hydrozoaires (Cnidaires), mais les individus sont très différents : tube digestif par exemple !
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Schéma en coupeUne zooécie
de Bryozoaire
1 mm
Les BRYOZOAIRESFiche Technique
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5 – BRYOZOAIRES ou Ectoproctes
4500 Espèces décriteslophophore rétractile
Corne d’Elan CNEB
Ecorce pileuseElectra_pilosa
CNEB
Myriapora_truncata, faux corail
VMStG
et le vrai Corail Rouge, derrière, avec ses polypes blancs déployés !
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RequinsRaies
180406
90 ASCIDIES
7-ECHINODERMES4-ANNELIDES
5-BRYOZOAIRES
3-CNIDAIRES
1-VEGETAUX
2-PORIFERES
8-ARTHROPODES
Poissons(Téléostéens)
6-MOLLUSQUES
82 CRUSTACESDECAPODES
Escargots
GASTEROPODESCEPHALOPODES
Limaces
BIVALVES
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L’Arbre-Sympadu plongeur subaquatique Junior
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nombre : 117 045 espèces répertoriées. 7 Classes, de très nombreuses familles. Le plus important groupe après celui des Arthropodes (1,7 millions) et les Végétaux (375 000).description : Corps à symétrie bilatérale non segmenté : la tête avec bouche et organes sensoriels (ocelles, rhynophores, tentacules), le pied avec sécrétions muqueuses lubrifiantes a une musculature très développée (sole de reptation.), masse viscérale contenant les organes internes. Elle est généralement protégée par une coquille calcaire secrétée par le manteau. Branchies dans la cavité palléale.Diversité de la taille : depuis les Helcions, des Gastéropodes de quelques millimètres observés sur les Laminaires jusqu'aux Calmars géants des grands fonds (18 mètres).Diversité de l'élégance : depuis le Bigorneau noir des rochers qui n'a d'intérêt que dans notre assiette jusqu'au magnifique Peigne de Vénus.Diversité de la locomotion : depuis le déplacement imperceptible des Moules qui arrachent et recréent une par une les fixations de leur byssus au substrat jusqu'aux bolides à réaction profilés pour la course, les Calmars pélagiques.Diversité de la vision : depuis la patelle qui distingue tout juste le jour de la nuit avec ses regroupements de cellules photosensibles jusqu'au poulpe dont la qualité de vision est comparable à la notre en passant par la coquille Saint-Jacques et le Bénitier avec leurs nombreux vrais petits yeux en bordure de leur manteau et sans oublier notre Nautile et son sténopé !Diversité de la nutrition : brouteurs de micro algues avec radula (patelles), nettoyage les cadavres (Nasses), broutage des Eponges, des Bryozoaires et des Hydrozoaires (Limaces), sans oublier les Bivalves qui passent leur temps à filtrer l'eau de nos plages et les plus surprenants, ceux qui savent attraper au harpon un poisson trop curieux : qlq cônes tropicaux !Diversité de la reproduction : depuis les Moules qui éjaculent leurs gamètes en pleine eau en laissant à la nature le soin d'organiser les rencontres, jusqu'aux accouplements mystérieux des poulpes qui savent garder leur distance et finir leur vie, ensuite, en protégeant leurs œufs.L'hétérogénéité n'est qu'apparente : les Espèces ci-dessus ne sont que des variantes d'une même structure fondamentale, l'archi-mollusque, animal mystérieux trouvé seulement dans les bouquins.écologie: La diversité favorise l'occupation de niches écologiques très variées., On trouve les Mollusque partout, dans toutes les mers, en eau douce (Planorbe, Moule zebrée) et même à terre : l'Escargot de Bourgogne. remarques : Les coquilles sont toutes plus belles les unes que les autres, elles font souvent l'objet de la convoitise des collectionneurs. Spiralées pour la plupart, certaines sont coniques (Patelles) en forme d'oreille (Ormeaux) ou d'œuf (Porcelaines).danger : le Cône textile tropical.reproduction : les Mollusques ont une seule gonade, ils se reproduisent exclusivement par voie sexuée, avec sexes en principe séparés (gonochorisme). Exception : les Limaces de mer sont hermaphrodites, bien connues pour leur ‘pas de deux’ !évolution : affinités avec les Annélides.
060606
Les MOLLUSQUESFiche Technique
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27
63 – BIVALVES
6 – MOLLUSQUES117 045 Espèces décritesmanteau sécrète coquilleradula
65 – CHITONS (Polyplacophores) Chiton gris
NasseMurexNaticeLittorine
FlabellineDorisAplysie
200406
MouleHuîtreCoquePecten
LIMACES DE MER(Opistobranches)
PoulpeSeicheArgonaute
62 - CEPHALOPODES
ESCARGOTS DE MER(Prosobranches)
61- GASTEROPODES
Dentaleautres
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28
6 – MOLLUSQUES
200406
Mos(
64 CHITONS (Polyplacophores)Chiton vert, Chiton_olivaceus
63 CEPHALOPODESpoulpe
VMStG62 BIVALVES Moules
61.1 GASTEROPODESLimace (Opistobranches)
Octopus_vulgaris
Mytilus_edulis
Hinnia_reticulata
CNEB
Le Granché-CNEB
CNEB
Doris dalmatien(Discodoris_atromaculata)
cadres bleu :Cliquez pour d’autres photos !
61 GASTEROPODESEscargot (Prosobranches)
Nasse
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29
61LIMACES DE MER
(Opistobranches)
200406
Flabelline, Flabellina_affinis
Eolidiens
Janolus_cristatus
Armina
DorisHypselodoris_elegans
Doridiens
Dune - CNEB
Eric
CNEB
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30
61 – ESCARGOTS DE MER(Prosobranches)
200406
Littorine, Littorina_saxatilis Ormeau, Haliotis_lamellosa
Cône, Conus_arenatus
Gilli-CNEB
Murex perceur, Ocenebra_erinacea
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31
RequinsRaies
180406
90 ASCIDIES
7-ECHINODERMES4-ANNELIDES
5-BRYOZOAIRES
3-CNIDAIRES
1-VEGETAUX
2-PORIFERES
8-ARTHROPODES
Poissons(Téléostéens)
6-MOLLUSQUESCrinoïdesHolothurides
EchinidesOphiurides
Astérides
82 CRUSTACESDECAPODES
9-VERTEBRES
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32
nombre : environ 6000 Espèces décrites, marines exclusivement, elles sont réparties en 5 Classes dont 800 Oursins, 1500 Etoiles de mer, 1100 Holothuries, 1900 Ophiures et 700 Crinoïdes.
description : Boules hérissées de piquants articulés (Oursins) ou formes caractéristiques en étoile, les Echinodermes sont difficiles à confondre avec des espèces d'un autre Embranchement sauf quelques Holothuries dont la forme de boudin plus ou moins allongé peut dérouter. En particulier certaines Holothuries tropicales et, chez nous, le surprenant Lèche-doigts dont le corps est caché dans une faille de rocher. Il lèche régulièrement ses palpes buccaux un par un pour récupérer les particules alimentaires et se confond aisément avec des algues ballottées par la houle.Symétrie d'ordre cinq avec, pour certaines Espèces, une symétrie bilatérale supplémentaire (Oursins de sable). Le squelette rigide, recouvert par une peau (échinoderme = 'peau épineuse') est constitué de plaques de calcaire jointives. La rigidité et la liaison des éléments les uns avec les autres est variable suivant les Classes : les oursins ont un test parfaitement rigide, les Ophiures sont plus souples et les Holothuries n'ont que des spicules éparpillés.Le système aquifère interne est très caractéristique de l'Embranchement avec des petits pieds couplés à des ampoules, souvent terminés par une ventouse. Ces podia, toujours en mouvement, passent à travers les plaques de calcaire et servent essentiellement à la locomotion. Des muscles tapissent l'intérieur des podia. et des ampoules.Un examen plus attentif à la base des piquants (avec une loupe) montre la présence de nombreuses petites pinces articulées à l'extrémité d'un pédoncule (genre pince à sucre modèle réduit). Ces pédicellaires sont utilisés en permanence pour éliminer les petits épibiontes indésirables.
écologie : toutes les mers, benthiques, ils vivent plutôt la nuit, cachés le jour dans les anfractuosités rocheuses.
critères de reconnaissance : piquants; formes généralement étoilée ou globuleuses mais certains Oursin sont très plats (le 'dollar') et certaines Etoiles n'ont pas de bras (Culcita) !
danger : Les blessures dues aux piquants à travers la combinaison des plongeurs peuvent mettre un certain temps à cicatriser. Oursins tropicaux (Asthenosum) : la piqûre peut être mortelle.
relations trophiques : filtreurs (Ophiures – particules capturées par les bras très souples, sans podia visibles), limivores (Holothuries – avalent le sable en continu), charognards ou prédateurs (Etoiles de mer – dévastation des récifs coralliens par les Acanthaster), brouteurs (Oursins – lanterne d'Aristote, dents à croissance continue), l'éventail des modes de nutrition est vaste. Les Echinodermes sont très bien protégés par leurs piquants (Oursin Diadème) mais il n'est pas exclu qu'ils soient mis en pièces par des poissons (Baliste).
reproduction : sexes séparés; la fécondation est externe, larves pélagiques nageuses. Il n'y a pas de reproduction asexuée chez les Echinodermes.
remarque : autotomie, régénération et formes comètes fréquentes. On remarque qu'il existe quelques Etoiles de mer sans anus ou avec un anus non fonctionnel
évolution : Les comatules appartiennent au groupe le plus récent.
070606
Les ECHINODERMESFiche Technique
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33
Comatule(autres :profonds)
75 ASTERIDES
72 HOLOTHURIDES
74 OPHIURIDES
Holothurie
OursinSpatangue
Ophiure
Étoile de merAcanthaster
270406
73 ECHINIDES
7 – ECHINODERMES6000 Espèces décritessquelette = plaques de calcaire sous la peau système ambulacraire hydraulique
71 CRINOÏDES
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34
7 – ECHINODERMES200406
73 ECHINIDES
Ophiure
VMStG
74 OPHIURIDES
71 CRINOÏDES
72 HOLOTHURIDES
CNEB
Oursins Diadème tropicaux
Mayet
Oursin ChateigneEchinus_esculentusP. Le Granché-CNEB
75 ASTERIDESEtoile de mer
Comatule deMéditerranée MayetC. tropicale
CNEB
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35
RequinsRaies
200406
90 ASCIDIES
7-ECHINODERMES4-ANNELIDES
5-BRYOZOAIRES
3-CNIDAIRES
1-VEGETAUX
2-EPONGES
82-CRUSTACESDECAPODES
8-ARTHROPODES
Poissons(Téléostéens)
6-MOLLUSQUES
Crabes CrevettesHomards Pagures
9-VERTEBRES
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36
avant-propos : sans les Insectes, les Mille-pattes et les Araignées qui ne nous intéressent pas, il reste moins de 1% pour les Crustacés Décapodes. (Crabes, Crevettes, Homards, Langoustes) qui nous concernent en plongée.
nombre : 1 000 000caractéristiques : pattes articulées, carapace, mues.description : corps segmenté à symétrie bilatérale. Chaque segment (métamère) comporte une paire d'appendices également segmentés, plus ou moins transformés suivant le groupe (pattes également articulées avec ou sans pinces terminales, antennes, mandibules, chélicères, etc.). Corps en plusieurs parties : tête libre ou liée au thorax, abdomen, telson. Exosquelette : tout l'épiderme est recouvert de plaques de cuticule plus ou moins épaisses. Rôle de soutien du corps et, souvent, protection contre d'éventuels prédateurs. Branchies attachées à la base des appendices. Tailles variables, jusqu’à plus de 1 mètres (Araignée du Japon). Couleurs très variables (chromatophores), parfois absentes (certaines Crevettes transparentes). Système vasculaire non clos, tube digestif, système nerveux ventral et néphridies dans chaque segment. Yeux composés (ommatidies). Parfois des poils (Dromie).écologie : toutes mers, tous biotopes et toutes profondeurs, préfèrent sortir la nuit.remarques : La mue peut durer plusieurs dizaines de minutes (Langouste) ou une fraction de seconde (Moustique). Parfois elle se termine mal : l'animal est exposé aux prédateurs, il ne peut pas se défendre.danger : Tourteaux et Homards peuvent aisément sectionner ou écraser un doigt de plongeur avec leurs pinces. relations trophiques : nombreuses formes parasites mais également des filtreurs (Balanes), et des charognards au goût très recherché : Langoustes, Crabes, Homards ! Aspect commercial non négligeable.reproduction : sexuée, gonochorique. Pas de reproduction asexuée.
évolution : premières formes aquatiques apparues au Cambrien, les Trilobites.Les Arthropodes terrestres sont plus tardifs (Insectes : Dévonien).Parenté phylogénétique des Arthropodes avec les Annélides L’abdomen replié des Crabes est une forme récente.
Les ARTHROPODESFiche Technique
090606
L’Arbre-Sympadu plongeur subaquatique Junior
37
ANOMOURES
Dromie
Bernard l’ermitec. des cocotiers
GambaCrevette Japonaise
PénéidésGrandes Crevettes
CaridésCrevettes communes
Crevette griseCrevette bouquetCrevette rose nordiqueCrevette caridine %
SténopidésCrevettes nettoyeuses
Crevette nettoyeuse
Écrevisse %HomardLangoustine
Langouste, Cigale
Alpheus (avec Gobie)
CRABES VRAIS
c. évolués
c. moyens
c. primitifs
Crabe marbréTourteauEtrilleAraignée de mer
82 - CRUSTACES DECAPODES5 paires de pattes, 11 061 espèces décrites
Paguridés
GalathéridésGalathéePorcelane (sic)
Astacidés
Palinuridés
270406
ThalassinidésCrevettes fouisseuses
Pierre-Yves Noël, Muséum de Paris
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38
210406
Maniette-CNEB
82 – CRUSTACES DECAPODES
Crabe Vrai Crabe enragé, Carcinus_maenas
Stenopus_spinosus(Sténopidés)
Crevette nettoyeuse
LangoustePalinurus_argus
Palinuridés
Maniette-CNEB
Crabe enragéCarcinus_maenas
Ce qu’il ne faut JAMAIS faire !
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39
Requins
210406
90 ASCIDIES
7-ECHINODERMES4-ANNELIDES
5-BRYOZOAIRES
3-CNIDAIRES
1-VEGETAUX
2-PORIFERES
82 CRUSTACESDECAPODES
8-ARTHROPODES
6-MOLLUSQUES
TortuesMammifères
Sirène
Raies
Poissons(Téléostéens)
9-VERTEBRES
L’Arbre-Sympadu plongeur subaquatique Junior
40
avant-propos : la raison d'être originale de notre activité : l'observation Faune & Flore en plongée subaquatique. La moitié ce groupe (que nous aimons bien, nous en faisons partie) est l'écrasante majorité des 'poissons' actuels, les Téléostéens. Les autres Espèces qui nous concernent sont observées moins souvent ou motivent moins de plongeurs : Oiseaux, Tortues et Mammifères marins.Ici, le maître mot est : adaptation.nombre : 51000 toutes Espèces confondues, marines, terrestres et aériennes.caractéristiques : de petits os consécutifs, les vertèbres, constituent la colonne vertébrale qui donnent au corps de l'animal une certaine souplesse. Sur cette colonne vertébrale viennent s'articuler des membres pairs, nageoires ou pattes. L'axe nerveux principal, protégé par les vertèbres, est dorsal par rapport à l'orientation du corps et le tube digestif qui est complet : bouche, estomac, intestin et anus.Certains Vertébrés sont homéothermes : les Mammifères (37°C), les Oiseaux (42°C).adaptations particulières :dans l'eau : corps fusiforme hydrodynamique souvent recouvert d'écailles protectrices, l'appendice caudal est généralement très musclé, il assure la propulsion (Requins, Dauphins, Carpes). Flottabilité assistée, pour de nombreux Téléostéens, par une vessie natatoire dont la gestion est automatique (à comparer au Nautile, un Céphalopode 'antique').Détection et perception par les lignes latérales : le 'toucher à distance'.dans le froid : épaisse couche de graisse (Baleines, Phoques), fourrure (Ours blanc).dans les airs : des ailes avec des plumes, des os creux, un bréchet surdimensionné pour l'accrochage des muscles principaux, un poids limite (15 kg) et une vision très développée.écologie : toutes mers et dans les airs, tous biotopes à toutes profondeurs.danger : Peu de danger pour le plongeur : les Requins sont généralement très craintifs sans nourrissage, la taille des Baleines, qui pourraient nous écraser sans en avoir l'intention, décourage toute approche, le Barracuda et la Murène, bien qu'impressionnants avec leurs gueules pleines de dents acérées, sont inoffensifs. relations trophiques : essentiellement des prédateurs rapides (Fous de Bassan, Guépard, Carangues, Otaries). Qlqs brouteurs calmes (Saupe, Dugong) qlqs éboueurs (Goélands).Les plus grands mangent les plus petits : Homme mange Thon qui mange Sardines.Comme pour d'autres Embranchements, quelques associations d'Espèces (Rémora, poissons nettoyeurs), le camouflage-mimétisme et la vie en banc améliorent l'ordinaire.reproduction : sexuée, gonochorique. Pas de reproduction asexuée mais de possibles changements de sexe chez les Téléostéens (Mérou).évolution : longtemps considérés comme le sommet de l'Evolution, les Vertébrés se distinguent par une excellente adaptabilité à tous les environnements.
110606
Les VERTEBRESFiche Technique
L’Arbre-Sympadu plongeur subaquatique Junior
41
93 – POISSONS (Téléostéens)
91 – LAMPROIES Pétromyzontidés)
270406
98-CROCODILES(Crocodiliens)
99 – OISEAUX
97 – TORTUES(Chéloniens)
96 – MAMMIFERES
92 – REQUINS(Chondrichthyens)
9 – VERTEBRES
51000 Espèces décritessuccession de
vertèbresrate et pancréas
94 - COELACANTHES (Sarcoptérygiens)
La Systématique estl’Étude du
Classementdes Espèces.
95 – GRENOUILLES(Amphibiens)
L’Arbre-Sympadu plongeur subaquatique Junior
42
270406
CHELONIDES Tortue VerteTortue à dos platTortue olivâtreTortue de KempeCaouanneTortue à écailles
Tortue LuthDERMOCHELYDES
97 – TORTUES MARINESQ = 7plaques osseuses, dossière et plastronou peau résistante, la Luth.
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43
97 – TORTUES MARINES
120406
Tortue à écailles, Pacifique, Eretmochelys_imbricata
Jacques JOUBERT
Tortue Verte (Chelonia_mydas)
Eric
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44
CARCHARHINIFORMES
270406
AUTRES
ORECTOLOBIFORMES
LAMNIFORMES(ou Isuriformes)
R-pointes noiresR-océaniqueR-marteauRoussette
Grand blancR-pèlerinR-renardR-taupe
R-tapisR-nourriceR-baleine
92 – REQUINS ou ChondrichthyensQ = 375os cartilagineux5 à 7 fentes branchiales
L’Arbre-Sympadu plongeur subaquatique Junior
45
070406
92 – REQUINS, Chondrichthyens
Lamniformes(ou Isuriformes)
Jacques JOUBERT
Carcharhiniformesrequin aileron noir, Pacifique, Carcharhinus_melanopterus
Orectolobiformes Requin NourriceChiloscyllium_griseumMuséum Aquarium de Nancy
)Requin Taureau, Aquarium de Saint Malo, Carcharias_taurus
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46
200406
92 – RAIES, Chondrichthyens
Raie pastenague(Taenyura_lymna)
Raie MantaManta_afredi
Jacques Joubert
L’Arbre-Sympadu plongeur subaquatique Junior
47
270406
93 - POISSONS à nageoires rayonnéesLes scientifiques disent : Téléostéens Q = environ 25 000os véritable
Labridés Labres, Girelles, Vieilles
Amphiprionidés Poissons-ClownsDemoiselles
Scaridés Poissons-Perroquets
Acanthuridés Chirurgiens
Serranidés Serrans (Mérou)
Sparidés Sars
Chaetodontidés Poissons-Papillons
Pomacanthidés Poissons-Anges
Gobidés Gobies
Blennidés Blennies
Pleuronectiformes Poisons-Plats : Sole, Plie
(quelques familles bien connues des plongeurs)
L’Arbre-Sympadu plongeur subaquatique Junior
48
210306
93 - ‘POISSONS’ ou Téléostéens
Classement écologique
Eau douce (%)
Mers tempérées
Mers tropicales
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49
autres
CETACES
96.2 MYSTICETESfanons
96.1 ODONTOCETESdents
Baleine francheMégaptèreRorqual
DauphinMarsouinCachalotBélugaNarval
PhoqueOtarieMorseDugongSirène
270406
96 – MAMMIFERESQ = 4 500 (terrestres et marins)glandes mammairespoils
Il est très dangereux d’approcher les Baleines en plongée !
L’Arbre-Sympadu plongeur subaquatique Junior
50
96 - Mammifères Marins
Grands Dauphins (Tursiops_truncatus)
Sandra ROBY
230406
L’Arbre-Sympadu plongeur subaquatique Junior
51
96– SIRENEQ = ?2 glandes mammairesdes poils et des écailles
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52
RequinsRaies
180406
7-ECHINODERMES4-ANNELIDES
5-BRYOZOAIRES
3-CNIDAIRES
1-VEGETAUX
2-PORIFERES
82 CRUSTACESDECAPODES
8-ARTHROPODES
6-MOLLUSQUES
Ascidiacées
autres
Poissons(Téléostéens)
90 ASCIDIES
9-VERTEBRES
L’Arbre-Sympadu plongeur subaquatique Junior
53
remarques : Urochordés = 'chorde dans la queue' mais seulement pendant le stade larvaire pendant lequel l'animal ressemble à un poisson, ancêtre des Vertébrés. Les adultes ont peu de ressemblance avec le plan d'organisation anatomique général des Chordés. Attention, la 'chorde' des larves n'est pas segmentée. C'est la chaîne nerveuse dorsale qui est segmentée, elle disparaît au stade adulte. nombre : 1300 Espèces recensées.
caractéristiques : Synonyme, 'Tuniciers' : tunique plus ou moins rigide constituée en partie de chitine et de cellulose (tunicine). Des espèces fixées pour la plupart, discrètes, inconnues du public non plongeur (mis à part les violets très difficiles à observer en plongée car très bien camouflés par de nombreux épibiontes - ils sont très appréciés des connaisseurs pour relever la soupe méridionale traditionnelle). Dans le cas général, petites outres (environ 10 cm) ayant deux siphons opposés (ascidie solitaire : Ascidie Rouge), ou tapis encroûtant de petits éléments répétés, disposés en étoile sur des algues, des coquillages abandonnés. (ascidie coloniale : Botrylle).
adaptations particulières : filtrage rapide de l'eau pour nutrition et respiration, présence de nombreux cils en mouvement sur une sorte de grillage. Débit : un volume propre par seconde en moyenne. Pas de mouvement externe apparent mise à part d'occasionnelle fermeture et ouverture rapides et imprévisibles du siphon entrant pour en chasser des particules trop grosses, en les recrachant énergiquement.
écologie : toutes mers, tous biotopes à toutes profondeurs.danger : Aucun danger pour le plongeur relations trophiques : filtreurs zoo et phytoplancton. Peu de prédateurs.
reproduction : sexuée et, surprise, asexuée ! Sexuée hermaphrodite avec auto-fertilisation possible. Les espèces solitaires sont ovipares, les œufs sont fécondés à l'extérieur. La plupart des espèces coloniales fixées sont vivipares et libèrent des larves nageuses fixées après qlq minutes ou qlq heures, suivie d'une métamorphose très particulière : perte de la queue, retournement du corps, ouverture des siphons.Reproduction asexuée : Bourgeonnement des stolons, les individus sont réunis en touffes (Claveline). Bourgeonnement des adultes : formation des colonies (Fraise de mer).
évolution : reproduction asexuée un peu surprenante pour un groupe si proche des Vertébrés : les zoologistes le considèrent comme le groupe le plus évolué des Invertébrés (plus évolué que les Crabes ou que les Poulpes).
120606
Les ASCIDIESFiche Technique
L’Arbre-Sympadu plongeur subaquatique Junior
54
90 – ASCIDIES (Urocordés)1300 espèces décritesvie fixée (la plupart)tunique avec tunicine, proche cellulose
ASCIDIACEES(benthiques, fixées)
Salpe (pélagique, libre)
270406
AUTRES
Ascidies Solitaires :
Ascidies Sociales :
Ascidies Coloniales :
PhallusieAscidie rouge
DiazoneClaveline
BotrylleFraise de mer
APLOUSOBRANCHES
PHLEBOBRANCHES
STOLIDOBRANCHES
ouPour votre information :Ce classement visuel, pratique pour les plongeurs, n’est pas reconnupar les scientifiques qui, eux, distinguent trois groupes basés surl’examen à la binoculaire du pharynx des différentes Espèces :
L’Arbre-Sympadu plongeur subaquatique Junior
55
110406
90 – ASCIDIES
PhallusiePhallusia_mammillata
Mayet
Ascidiacées
BotrylleBotryllus_sp
ClavelinesClavelina_lepadiformis
Eric
‘sociales’ ‘solitaire’
‘coloniales’
C. Mayet
L’Arbre-Sympadu plongeur subaquatique Junior
56Autres Arbres
Phylogénétiques
FFESSM, CNB 1991
PADI, Encyclopedia of Recreational Diving 1989
L’Arbre-Sympadu plongeur subaquatique Junior
57
FFESSM CNB 91
P. Petit de Voize
L’Arbre-Sympadu plongeur subaquatique Junior
58
PADI-89
Extrait de ‘The Encyclopedia of Recreational Diving‘The Aquatic Realm – Overview of the Taxonomic System’
L’Arbre-Sympadu plongeur subaquatique Junior
59
nos Conseillers
Vincent MARIE-SAINT GERMAIN, Marseille
Yves MÜLLER, Dunkerque : Cnidaires
Gérard BRETON, ancien directeur du Muséum du Havre : Mollusques
Bernard METIVIER, Muséum de Paris : Mollusques
Rénata RODONI-BOUCHER, Muséum de Paris : Céphalopodes
Pierre-Yves NOËL, Muséum de Paris : Crustacés
Nadia AMEZIANE, Muséum de Paris : Echinodermes
Jean-Loup d’HONDT, Muséum de Paris : Bryozoaires
Isabelle DOMART-COULON, Muséum de Paris : Eponges
Françoise et Claude MONNIOT, Muséum de Paris : Ascidies
Guillaume LECOINTRE, CNRS-Muséum de Paris : Systématique
080306
10/03/06Re : arbre-SUPER-sympaCher Hugo,Vous avez fait exactement ce qu’il fallait faire ! Partir de l’arbre du vivanttel qu’il existe et couper les branches au sécateur ! On peut donc parler desbêtes que l’on rencontre en plongée en respectant un seul ‘cahier des charges’.Bien cordialementG. Lecointre
L’Arbre-Sympadu plongeur subaquatique Junior
60
Bon de Commande de CD
Comité Départemental Hauts-de-Seine de la F.F.E.S.S.M. Tél. 01 40 90 93 94 (mardi – jeudi 18h30 à 20h00)Siège : C.S.M.P Plongée Sous-Marine – 2, allée Georges Hassoux – Ile de Puteaux – 92800 PUTEAUX
Je désire recevoir l’Arbre-Sympa suivant les indications du tableau :
Nom, Prénom :
Adresse pour recevoir l’envoi du CD 92 :
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Téléphone :
Date : Signature :
Chèque à l’ordre du CD92
VersionsCoût
unitaireQuantité
(CD)Total par version
Junior 5 €
Senior 10 €
Pro 20 €
=== === total :
Il est recommandé de téléphoner pour connaître la disponibilité des versions
‘Arbre-Sympa’