Post on 24-Feb-2020
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L’AmantIncipit
Marguerite Duras
(Université de Bologne)Docteure en littératures de langue française
Document rédigé par Luigia Pattano
Commentaire de texte
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Document rédigé par Luigia Pattano
L’AmantIncipit
Marguerite Duras
Commentaire de texte
MISE EN CONTEXTE 7L’occupation française de l’Indochine
Le renouveau du roman
Situation de l’extrait étudié
COMMENTAIRE 10Le vieillissement
De multiples visages
Le rapport au pays
La langue de Duras
POUR ALLER PLUS LOIN 16
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Marguerite DurasÉcrivaine, dramaturge et cinéaste française
• Née en 1914 à Gia Dinh (Indonésie)• Décédée en 1996 à Paris• Quelques- unes de ses œuvres :
ʟ Un barrage contre le Pacifique (1950), roman ʟ Le Ravissement de Lol V. Stein (1964), roman ʟ L’Amant (1984), roman autobiographique
Marguerite Duras (1914-1996), née Donnadieu en Cochinchine (ancienne région de l’Indochine française), est l’un des auteurs les plus originaux et les plus marquants du xxe siècle. Prônant une écriture épurée, elle utilise des personnages récurrents et établit l’ensemble de son œuvre autour des thèmes fondamentaux de la mémoire et de l’ou-bli, ainsi que de la réécriture et de la destruction. Ses romans les plus célèbres et les plus étudiés sont Un barrage contre le Pacifique (1950), Moderato cantabile (1958) et L’Amant (prix Goncourt en 1984). Elle s’adonne aussi au théâtre (La Musica, L’Éden cinéma) et au cinéma, où elle impose un style très personnel et radical (India Song ; Détruire, dit- elle ; Le Camion).
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MISE EN CONTEXTE
L’OCCUPATION FRANÇAISE DE L’INDOCHINE
L’occupation française de l’Indochine commença avec Napoléon III (premier président de la République française, proclamé empereur des Français en 1852, 1808-1873) dans les années 1850, sous le prétexte d’empêcher les persé-cutions de missionnaires catholiques par les empereurs du Viêt Nam. Les objectifs réels de la conquête étaient de nature économique, car il s’agissait, pour la France, de construire un « balcon sur le Pacifique » et de s’ouvrir par le sud une voie vers le marché chinois. Installés dès 1859 à Saigon, les Français prirent vite possession des provinces du delta du Mékong et étendirent leur influence à l’en-semble des pays indochinois. En 1887, l’Union indochinoise fut créée. En 1911, elle comptait une colonie (Cochinchine), trois protectorats (Cambodge, Annam et Laos) et un semi- protectorat (Tonkin). Malgré ces différences statutaires, la France mit en place une administration coloniale centra-lisée dans toute la région. Considérée comme une « colonie d’exploitation économique » et non comme « une colonie de peuplement », l’Indochine française fut administrée par le biais d’un corps de fonctionnaires (français) recrutés par concours. En ce qui concerne l’éducation, la doctrine de l’assimilation caractéristique de la France coloniale fut abandonnée ici en faveur d’un système d’écoles mixtes. Bien qu’un régime d’apartheid n’ait jamais existé, la minorité blanche occupait dans les faits, et de manière exclusive, le sommet de la hiérarchie sociale. Les Français
L’AmantUne initiation amoureuse
• Genre : roman• Édition de référence : L’Amant, Paris, Les Éditions de
Minuit, 1984, 145 p.• 1re édition : 1984• Thématiques : amour, initiation, Indochine, société
coloniale
L’Amant (1984) est probablement l’ouvrage le plus connu de Marguerite Duras et celui qui consacra, par le biais du prix Goncourt, son talent. Il s’agit d’un récit autobiographique dans lequel l’auteure revient sur les souvenirs sombres de son adolescence qu’elle avait déjà abordés dans d’autres textes (Un barrage contre le Pacifique, 1950). Le noyau du récit est la relation qu’elle a entretenue avec un Chinois lorsqu’elle avait 15 ans. Les souvenirs de l’amant s’entre-lacent avec ceux de sa famille (sa mère et ses deux frères) et du pensionnat où elle a séjourné en tant que lycéenne. Écrit dans un langage épuré, simple, mais pas pour autant évident, L’Amant réunit des thèmes récurrents chez Duras : le silence, la détresse inavouée aux autres que les mots pourtant crient, le désir, la folie.
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l’engagement. Si certains ont essayé de rapprocher Duras du nouveau roman, l’auteure de L’Amant s’est toujours démarquée de ce courant, et la critique reconnait désormais l’autonomie de l’écriture durassienne, une écriture qui s’est exprimée sur trois registres : littéraire, théâtral et cinéma-tographique. Le style de l’auteure résulte davantage de la juxtaposition de formes artistiques que de l’influence des romanciers contemporains.
SITUATION DE L’EXTRAIT ÉTUDIÉ
Récit autobiographique sur une partie de l’adolescence de l’auteure, L’Amant traite de la relation que Duras a entrete-nue à quinze ans avec un riche Chinois de douze ans plus âgé qu’elle. Si cette relation scandaleuse est placée au centre du récit, elle n’en occupe pas pour autant toute la place. Les relations familiales sont aussi importantes pour Duras qui établit un rapport certain mais non transparent entre sa famille et sa recherche du plaisir (ou de l’amour). Si le récit s’appuie sans aucun doute sur l’expérience vécue par Duras, il faut prendre en considération le fait que l’auteure, à l’inverse, aime brouiller ses fictions par des intrusions autobiographiques et ses textes autobiographiques par des ajouts fictifs. Cela témoigne de son gout pour la variation : sa production se caractérise par le retour des mêmes épi-sodes traités à chaque fois de manière différente.
L’incipit de L’Amant est intéressant à analyser dans la mesure où il annonce les thèmes fondamentaux du texte et en dévoile les procédés formels. Ce passage introduit (et reporte) la narration de la rencontre avec l’amant ainsi que les relations conflictuelles qui lient Marguerite à sa mère et à son frère ainé. Une réflexion sur l’écriture s’y trouve également ébauchée.
formèrent toujours une petite minorité : leur nombre ne dépassa jamais les 34 000 personnes sur une population d’environ 22 655 000 habitants.
La crise économique des années trente et la montée du communisme et des mouvements nationalistes affaiblirent l’administration française en Indochine. La situation s’em-pira à la suite de la Deuxième Guerre mondiale. Hô Chi Minh, fondateur du Parti communiste indochinois, profita de la situation pour poursuivre sa lutte pour l’indépendance du Viêt Nam. En 1945, il proclama la République démocratique du Viêt Nam à Hanoï. La réponse française fut violente : la guerre d’Indochine éclata le 19 décembre 1946. La France en sortit vaincue en 1954.
LE RENOUVEAU DU ROMAN
Marguerite Duras commence à écrire et à publier à un moment où s’imposent des intellectuels influents qui mettent profondément en cause le roman tel qu’il a été conçu jusque- là, c’est- à- dire comme la manifestation lit-téraire d’une idéologie bourgeoise. Son premier roman, Les Impudents, date de 1943. Il sera suivi de La Vie tranquille en 1944. Quelques années avant, Sartre avait traduit son existentialisme en littérature en publiant La Nausée (1938). Si ce texte a été considéré comme l’acte de décès du roman traditionnel, les années cinquante ont vu l’émergence d’un groupe d’auteurs proposant des formules inédites pour un « nouveau roman ». Alain Robbe- Grillet (1922-2008), Nathalie Sarraute (1900-1999) et Jean Ricardou (né en 1932), les chefs de file du mouvement, affichent ainsi un égal refus de la conception classique de l’intrigue et du personnage et de l’instrumentalisation de la littérature par
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Les manifestations de la vieillesse sur le visage de la jeune Duras sont les symptômes, les conséquences d’un évène-ment obscur qu’il nous faut lire entre les lignes. Il s’agit d’un drame familial que l’auteure évoque à partir du sixième paragraphe : « Il est arrivé quelque chose lorsque j’ai eu dix- huit ans qui a fait que ce visage a eu lieu. Ça devait se passer la nuit. J’avais peur de moi, j’avais peur de Dieu. » (p. 13)
Si elle n’en dit pas plus à propos de ce « quelque chose » qui se passa lorsqu’elle avait 18 ans, on comprend tout de même que cela doit être lié à ce frère ainé envers lequel elle éprouve une haine qui va jusqu’au désir de mort, voire à l’intention de meurtre. Elle voudrait le tuer à cause de sa violence et de l’amour injustement démesuré que lui portait cette mère souvent décrite comme folle ou insouciante. On voit se profiler ici l’un des grands thèmes durassiens, l’amour. Chez Duras, il s’agit d’un thème double ou bicéphale puisqu’il comprend aussi sa négation : il est à la fois attraction et répulsion. Dans l’incipit de L’Amant, il s’agit avant tout de l’amour pour cette famille disloquée, régie par une obscure violence. Mais l’amour est aussi extrêmement sensuel. Aveu d’un drame familial, L’Amant se veut également le récit de la découverte du plaisir et de la jouissance ainsi que du dépassement d’un interdit moral, à savoir la pudeur de raconter une telle découverte.
DE MULTIPLES VISAGES
L’incipit du récit se caractérise par la primauté accordée aux images visuelles. Comme d’autres textes de Duras, L’Amant se compose d’une juxtaposition d’images saisis-santes de justesse : le lecteur a l’impression de voir ce qui est écrit, sans qu’il ait pourtant la sensation d’un trop- plein
COMMENTAIRE
Il nous semble pertinent d’analyser les premières pages de L’Amant dans la mesure où celles- ci abordent de manière plus ou moins explicite quelques- uns des thèmes principaux autour desquels le roman est construit.
Ces thèmes peuvent être rassemblés autour de trois grandes notions :
• le vieillissement ;• le(s) visage(s) ;• le pays.
Une fois ces trois axes développés, la question stylistique sera abordée à travers un paragraphe sur la langue de Duras.
LE VIEILLISSEMENT
Phénomène qui, par définition, concerne l’âge adulte, voire sa dernière phase, le vieillissement est abordé dès les premières lignes du texte de manière quelque peu paradoxale puisque Duras l’associe à sa jeunesse. L’auteure date son vieillissement avec une précision extrême : « À dix- huit ans j’ai vieilli », avoue- t-elle au début du troisième paragraphe. « Poussée du temps » qui peut frapper « alors qu’on traverse les âges les plus jeunes, les plus célébrés de la vie », le vieillissement appa-rait commet imprévu, brutal et conscient chez cette auteure, car visible ou mieux, lisible sur son visage : « J’ai vu s’opérer ce vieillissement de mon visage avec l’intérêt que j’aurais pris par exemple au déroulement d’une lecture. » (p. 10)
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jeune femme est à l’origine du visage actuel de l’auteure, qu’elle décrit ainsi à la fin du troisième paragraphe : « J’ai un visage lacéré de rides sèches et profondes, à la peau cassée. Il ne s’est pas affaissé comme certains visages à traits fins, il a gardé les mêmes contours mais sa manière est détruite. J’ai un visage détruit. » (p. 10) Détruit et pourtant beau, ce second visage est plus présent dans le texte que le premier visage, celui de l’auteure jeune. La description de celui- là ne peut en effet qu’être déduite par soustraction de l’autre. On y devine une absence de rides, des yeux moins grands, un regard moins triste, une bouche moins définitive. Les détails restent à imaginer.
• Quant aux visages « enchevêtrés », il s’agit de visages que l’auteure dévoile à la fin de l’extrait – deux visages qui se superposent à ceux que Duras porte à des moments précis de sa vie dans des instants fulgurants : le « visage de l’alcool » et le « visage de la jouissance ». Visages pré-monitoires, comme elle les définit elle- même, ceux- ci ont une fonction narrative certaine : ils annoncent deux moments de sa vie (la dépendance à l’alcool et la sexualité).
LE RAPPORT AU PAYS
Les premières pages de L’Amant dévoilent un des motifs sous- jacents au texte : le rapport de Duras au pays qui l’a vue naitre.
Si ce rapport n’est pas traité de manière étendue, il est sans doute présent dans les évocations des rares personnages indigènes, notamment de l’amant chinois qu’elle ne nom-mera jamais au cours de la narration. Dans l’incipit, il peut
de descriptions. Les images suggérées par l’auteure sont certes partielles, puisqu’elle refuse les descriptions détail-lées, mais efficaces, et elles reviennent avec une constance quasi obsessive.
Dans L’Amant, les images se manifestent de deux manières :
• par une accumulation de mots relatifs à la vision ;• par la présence d’une pluralité de visages de l’auteure.
Pour ce qui est du premier aspect, on signale la récurrence des mots suivants :
• le substantif « image » ;• le verbe « voir » dans ses formes dérivées (vu, revue,
voyaient, voyant, etc.) ;• le substantif « visage » qui, il est utile de le rappeler,
vient du latin visus signifiant la vue, le regard, ainsi que, par métonymie, la figure et l’image.
Pour ce qui est du second, on remarque l’évocation de plu-sieurs visages enchevêtrés ou consécutifs.
• Ce sont essentiellement deux visages qui s’enchainent au fil du temps : le visage de la jeune Duras et le visage d’une Duras déjà âgée. Des deux visages liés à deux images apparemment contradictoires – la beauté et la ruine –, le deuxième est mieux décrit que le premier. On sait que ce visage émergea à 18 ans chez Duras et qu’il se caractérisa par « [d]es yeux plus grands, [un] regard plus triste, [une] bouche plus définitive », un front marqué de « blessures profondes ». Ce visage que l’inconnu du pre-mier paragraphe considère plus beau que son visage de
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compréhension. Du point de vue syntaxique, c’est la para-taxe (la coordination) qui domine. Le récit procède donc par juxtaposition de phrases simples engendrées par des images jaillissantes qui reviennent avec une constance obsessive.
Un choix stylistique qui explique et s’explique par la supré-matie des motifs sensuels renvoyant au thème du désir, avoué dès les premières pages, après une petite hésitation :
De même que j’avais en moi la place du désir. J’avais à
quinze ans le visage de la jouissance et je ne connaissais
pas la jouissance. (p. 15)
L’évocation insistante de l’aspect du visage ne sert alors qu’à introduire la centralité du désir sexuel, un sujet qui est peut- être reporté à cause de son inconvenance, comme si l’auteure hésitait à en parler. Les répétitions contribuent aussi à forger ce rythme spécifique de la langue durassienne.
être repéré dans la première référence indirecte à l’Indo-chine : « ce pays- là ». Non nommée, l’Indochine est tenue à distance par Duras qui, à aucun moment, ne l’appelle « mon pays » puisque son pays à elle est clairement la France. Une vérité qui s’exprime dans cette opposition entre « nous » (les Blancs, les Français) et « eux » (les indigènes) :
Les enfants- vieillards de la faim endémique, oui, mais nous,
non, nous n’avions pas faim, nous étions des enfants blancs,
nous avions honte, nous vendions nos meubles, mais nous
n’avions pas faim, […] nous nous permettions ce luxe de ne
pas vouloir manger. (p. 13)
La différence qui sépare le narrateur et sa famille du peuple indochinois n’est pas passée sous silence. Si l’auteure connait l’expérience de la misère, celle- ci est tout de suite relativisée par sa différence, car la couleur de sa peau et ses origines familiales lui donnent un statut de privilégiée. Un statut qui lui permettra d’avoir une grande liberté sexuelle et qui la place au- dessus de son amant chinois, même milliardaire, dans l’échelle sociale.
LA LANGUE DE DURAS
Comme tout grand écrivain, Duras n’écrit pas dans la langue qu’on lui a enseignée dès l’enfance, mais dans sa langue à elle. Et cette langue se caractérise par des traits spécifiques qu’on pourrait résumer en quelques adjectifs : elle est simple, épurée, itérative (procède par répétitions) et rythmée.
Sa langue est essentielle, car elle évite toute chose superflue, mais n’est pas pour autant évidente. Du point de vue lexical, on remarquera le choix d’adjectifs courants et d’immédiate
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Austen• Orgueil et Préjugés
Balzac• Eugénie Grandet• Le Père Goriot• Illusions perdues
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Chateaubriand• Mémoires d’outre-tombe
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• Le Rapport de Brodeck
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Conan Doyle• Le Chien des Baskerville
Dai Sijie• Balzac et la Petite• Tailleuse chinoise
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De Vigan• No et moi
Dicker• La Vérité sur l’affaire Harry Quebert
Diderot• Supplément au Voyage de Bougainville
Dumas• Les Trois Mousquetaires
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Ferrari• Le Sermon sur la chute de Rome
Flaubert• Madame Bovary
Frank• Journal d’Anne Frank
Fred Vargas• Pars vite et reviens tard
Gary• La Vie devant soi
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POUR ALLER PLUS LOIN
ÉDITION DE RÉFÉRENCE
• Duras M., L’Amant, Paris, Les Éditions de Minuit, 1984.
ADAPTATION
• L’Amant, film de Jean- Jacques Annaud, avec Jane March et Tony Leung Ka- fai, 1992.
SUR LEPETITLITTÉRAIRE.FR
• Fiche de lecture sur L’Amant• Fiche de lecture sur Le Ravissement de Lol V. Stein de
Marguerite Duras• Fiche de lecture sur Un barrage contre le Pacifique de
Marguerite Duras
Gaudé• La Mort du roi Tsongor• Le Soleil des Scorta
Gautier• La Morte amoureuse• Le Capitaine Fracasse
Gavalda• 35 kilos d’espoir
Gide• Les Faux-Monnayeurs
Giono• Le Grand Troupeau• Le Hussard sur le toit
Giraudoux• La guerre de Troie n’aura pas lieu
Golding• Sa Majesté des Mouches
Grimbert• Un secret
Hemingway• Le Vieil Homme et la Mer
Hessel• Indignez-vous !
Homère• L’Odyssée
Hugo• Le Dernier Jour• d’un condamné• Les Misérables• Notre-Dame de Paris
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Ionesco• Rhinocéros• La Cantatrice chauve
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Joffo• Un sac de billes
Kafka• La Métamorphose
Kerouac• Sur la route
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Le Clézio• Mondo
Levi• Si c’est un homme
Levy• Et si c’était vrai…
Maalouf• Léon l’Africain
Malraux• La Condition humaine
Marivaux• La Double Inconstance• Le Jeu de l’amour et du hasard
Martinez• Du domaine des murmures
Maupassant• Boule de suif• Le Horla• Une vie
Mauriac• Le Nœud de vipères
Mauriac• Le Sagouin
Mérimée• Tamango• Colomba
Merle• La mort est mon métier
Molière• Le Misanthrope• L’Avare• Le Bourgeois gentilhomme
Montaigne• Essais
Morpurgo• Le Roi Arthur
Musset• Lorenzaccio
Musso• Que serais-je sans toi ?
Nothomb• Stupeur et Tremblements
Orwell• La Ferme des animaux
• 1984Pagnol• La Gloire de mon père
Pancol• Les Yeux jaunes des crocodiles
Pascal• Pensées
Pennac• Au bonheur des ogres
Poe• La Chute de la maison Usher
Proust• Du côté de chez Swann
Queneau• Zazie dans le métro
Quignard• Tous les matins du monde
Rabelais• Gargantua
Racine• Andromaque• Britannicus• Phèdre
Rousseau• Confessions
Rostand• Cyrano de Bergerac
Rowling• Harry Potter à l’école des sorciers
Saint-Exupéry• Le Petit Prince• Vol de nuit
Sartre• Huis clos• La Nausée• Les Mouches
Schlink• Le Liseur
Schmitt• La Part de l’autre• Oscar et la Dame rose
Sepulveda• Le Vieux qui lisait des romans d’amour
Shakespeare• Roméo et Juliette
Simenon• Le Chien jaune
Steeman• L’Assassin habite au 21
Steinbeck• Des souris et des hommes
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Stevenson• L’Île au trésor
Süskind• Le Parfum
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Tournier• Vendredi ou la Vie sauvage
Toussaint• Fuir
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Verne• Le Tour du monde en 80 jours
• Vingt mille lieues sous les mers
• Voyage au centre de la terre
Vian• L’Écume des jours
Voltaire• Candide
Wells• La Guerre des mondes
Yourcenar• Mémoires d’Hadrien
Zola• Au bonheur des dames• L’Assommoir• Germinal
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ISBN version imprimée : 978-2-8062-3606-7 ISBN version numérique : 978-2-8062-3281-6
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