LA MUSIQUE DU 17ème SIÈCLE LE BAROQUE

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LA MUSIQUE DU 17ème SIÈCLE LE BAROQUE. On appelle musique baroque, l'école musicale du XVIIe siècle, d'un point de vue purement chronologique. L'harmonie est confuse, chargée de modulations et de dissonances. - PowerPoint PPT Presentation

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LA MUSIQUE DU 17ème SIÈCLE

LE BAROQUE

• On appelle musique baroque, l'école musicale du XVIIe siècle, d'un point de vue purement chronologique.

L'harmonie est confuse, chargée de modulations et de dissonances.

• Les figures culminantes de la musique baroque à son apogée, en France sont Jean-Baptiste Lully(1632-1687) ou encore Jean-Philippe Rameau (1683-1764) et Marc-Antoine Charpentier (1643 - 1704), compositeur français

• Le foyer de l’Opéra (de Charles Garnier), Paris, plan datant du Second Empire, 1861, ouvert finalement en 1875.

Pierre Corneille

Pierre Corneille, né le 6 juin 1606 à Rouen et mort le 1er octobre 1684 à Paris

(paroisse Saint-Roch), est un dramaturge et poète français du XVIIe siècle.

Il est originaire d'une famille de magistrats et est l'aîné de cinq frères et sœurs. Son père est maître des eaux et fôrets et sa mère est la fille d'un avocat. Il accomplit ses études secondaires chez les jésuites

et se destine à une carrière d'avocat à Rouen tout en se tournant vers la

littérature.

Il écrivit d'abord des comédies comme Mélite, La Place royale, L'Illusion

comique, et des tragi-comédies Clitandre (vers 1630) et en

1637, Le Cid, qui fut un triomphe, malgré les critiques de ses

rivaux et des théoriciens.

Au printemps (1641), Corneille épouse

Marie de Lampérière, fille

d'un lieutenant. Ils auront sept enfants.

Les années quarante sont les années de gloire de Corneille. Célébré par le public,

reconnu par ses pairs, financé par le pouvoir, il connaît une décennie éclatante. 

Style

• Corneille se conformera assez mal aux règles, sa tragédie sera écrite en vers alexandrins et divisée en cinq actes .

• Dans le style, il est facile de signaler de l'emphase creuse, de la rudesse, de l'obscurité.

• Dans ses tragédies, il s’inspire de

thèmes chrétiens (Polyeucte) ou de

mythes païens (Médée), de

l’histoire antique (La Mort de Pompée) ou

médiévale (Le Cid).

• " La façon de donner vaut mieux que ce qu'on donne."( Le Menteur V.90)

" A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire."( Le Cid v.434)

" Qui veut mourir ou vaincre est vaincu rarement."(Horace v.385)

Médaille en bronze à l'effigie de Pierre Corneille par Borrel  et un billet de 100 Francs français à son effigie sur les deux

faces circula dans les années soixante quatre à soixante dix neuf du xxe siècle.

FIN

Laura Ramos Fernández y Cira Espinosa Martínez