en bref agenda...et je crois pouvoir le dire sans me tromper pour tous les ha-bitants du village,...

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  • Franches-Montagnes

    10 | Mercredi 5 juin 2013 | Le Quotidien JurassienUgra/FOGRA MiniTarget

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    REFLET DU COMMERCEVILLAT BUREAU À DELÉMONT

    Villat Bureau adhère avec enthousiasme au projet «santé&entreprise»

    «santé&entreprise» renforce encore laposition de cette entreprise sur lemarché du mobilier tertiaire.

    Pour plus d’infos:Villat Bureau45, rue Emile-Boéchat2800 DelémontTél. 032/422 09 94info@villat.chwww.villat.ch

    novante est né un siège de bureau ré-volutionnaire étudié pour prévenirles maux et l’inconfort que peuventengendrer les nouvelles habitudesdictées par l’emploi des technologiesactuelles. Fruit de trois ans d’étude, cesiège aux propriétés inédites est enpasse d’être commercialisé sous lenom de Gesture.«Nous sommes aussi bien desconseillers que des vendeurs», préciseStéphane Villat, directeur de Villat Bu-reau dont l’adhésion au projet

    portements humains lui a garantit lesuccès; il est aujourd’hui le leadermondial de l’ameublement du sec-teur tertiaire. Très attentifs aux réper-cussions induites par l’interventionde nouveaux outils informatiques,les experts accrédités auprès de cegrand fabricant de meubles ont ainsirepéré neuf nouvelles postures. Steel-case, qui a toujours su intégrer ses ob-servations dans ses projets, s’est fixépour objectif de les gérer sous l’angleergonomique. De cette approche in-

    un travail concret de sensibilisationque se livreront, jusqu’en 2015, tousles partenaires rassemblés autour dece projet très largement soutenu. Lesactions ciblées de «santé&entreprise»visent à l’instauration, sur le long ter-me, d’une culture de bien-être et desanté au travail.Villat Bureau, toujours enthousiasteet volontaire lorsqu’il s’agit d’innoveret d’élaborer de nouvelles stratégiesprofitables à sa clientèle, s’est donctout naturellement associé à ce pas-sionnant projet.Villat Bureau adhère d’autant plus vo-lontiers à cette initiative que son per-sonnel est au bénéfice de compéten-ces reconnues en matière d’ergono-mie. Cette entreprise jurassienne àvocation familiale est le concession-naire accrédité de Steelcase pour l’en-semble de l’Arc jurassien. Or, Steelca-se, fabricant de meubles spécialisédans l’aménagement d’espaces detravail, est réputé pour l’intérêt accruqu’il porte à l’ergonomie. Depuis safondation aux Etats-Unis, il y a un siè-cle, Steelcase observe avec attentionles mutations qui interviennent dansle monde du travail et y adapte systé-matiquement ses produits. Sa straté-gie fondée sur l’anticipation des com-

    En octobre 2012, un projet baptisé«santé&entreprise» prenait sonenvol sous l’impulsion de divers re-présentants des milieux économi-ques. Programmés sur deux ans, lesobjectifs de «santé&entreprise» visentà mettre en évidence l’importance dela prévention sanitaire en entreprise.Ses cibles privilégiées sont les très pe-tites, petites et moyennes entreprises(TP/PME) implantées dans la régionBienne-Seeland-Jura bernois. Cetteinitiative est issue d’un constat fla-grant: les dirigeants des TP/PME n’ac-cordent pas toujours l’attention méri-tée au confort physique et moral deleurs salariés. Les chefs d’entreprisessont, en principe, assez peuconscients que le bien-être en généralet la santé en particulier sont des fac-teurs de rendement essentiels et qu’ilconvient donc de les placer au centredes préoccupations, à tous les ni-veaux.Cette situation découle souventd’une faute de moyens et d’une ab-sence de communication. D’où l’im-portance d’informer et de mettre enrelief «le retour sur investissement»que constitue le confort des em-ployés, garant d’une bonne santéphysique et psychique. C’est donc à

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    a n SAINT-BRAIS- Assemblée de pa-roisse, convoquée cesoir mercredi à 20 h,à la halle de gymnas-tique.

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    SAIGNELÉGIER

    Marché public animé, avec douze acheteursmoyen de 3 fr. 20 (surenchère de51 centimes). Trente broutardsont également été vendus auprix moyen de 5 fr. 60 (suren-chère de 12 centimes), ainsi que21 taureaux à 4 fr. 30 (surenchè-re de 12 centimes) et 10 génis-ses à 4 fr. 45 (surenchère de 2centimes). A noter que 12 ache-teurs étaient présents. PJN

    Un marché public bien animés’est tenu hier sur la place de Sai-gnelégier. En effet, ce ne sontpas moins de 112 bêtes qui onttrouvé preneur, avec une suren-chère moyenne de 23 centimes.Les vaches, surtout celles à en-graisser, ont été les plus deman-dées. Trente-cinq d’entre ellesont trouvé preneur, à un prix

    MONTFAUCON

    Les comptes de la paroisse dans le rouge

    Les paroissiens ont égalementété informés que la caissière Odi-ne Affolter était démissionnaireet qu’une nouvelle caissière étaitdonc recherchée. PJN

    L’assemblée de la paroisse deMontfaucon, qui s’est tenue ré-cemment, a rassemblé quatorzepersonnes sous la présidence deFabien Schaffner. Elle a entérinéles comptes 2012, qui se soldentpar un déficit de 3600 francs,imputable pour une grande partà la réfection des cloches, sur unbudget total de 160 000 francs.

    même était désespérée, com-me je ne l’avais jamais vue.Pour l’instant, nous ne savonspas encore de quelle manièreréagir. Je dois discuter avecRaphaël Schneider, chef duService des communes poursavoir comment les chosesvont se passer.» Il poursuit:«Nous allons encore discuteravec elle pour savoir si sa déci-sion est irrévocable. Pour moi,et je crois pouvoir le dire sansme tromper pour tous les ha-bitants du village, c’est uneimmense tristesse.» PJN

    L a maire du Noirmont, De-nise Girardin, victime d’unaccident vasculaire cérébral à lami-février, a remis sa démis-sion au Conseil communal lorsde sa séance de lundi soir. Elleestime en effet qu’elle ne se re-met pas suffisamment vitepour pouvoir espérer continuerd’assumer sa tâche.

    Jacques Bassang, vice-mai-re, qui assure son remplace-ment, explique: «Elle est ve-nue en personne nous remet-tre sa lettre. C’était un mo-ment très émotionnel, elle-

    n LE NOIRMONT

    Démission de Denise Girardinpour raisons de santé

    La maire du Noirmont Denise Girardin va quitter ses fonctions.ARCHIVES DANIÈLE LUDWIG

    VLe patron d’unecarrosserie aux Franches-Montagnes et son ouvrierétranger comparaissaienthier devant la juge uniquepour une affaire de travailau noir.VLe patron semblait agirdavantage par philanthro-pie que par appât du gain.VRegard sur unphénomène en évolution.

    Que risque-t-on si l’on enga-ge un ouvrier au noir? Une es-quisse de réponse a été don-née hier devant la juge uniqueLaurence Brenlla. La magistra-te jugeait d’une affaire qui aété découverte au printemps2012 dans une carrosserie dela montagne.

    C’est lors d’un contrôle duService des arts et métiers etdu travail que l’affaire a été ré-vélée. Depuis six mois, le pa-tron travaillait avec un ouvrieralbanais non déclaré. On luireproche également de ne pasavoir payé les cotisations AVSpour nombre d’employés quiont transité par son garage.

    Est-ce que ce genre d’affai-res est courant? Du côté duService des arts et métiers etdu travail, on avance que «pluson gratte plus on découvre descas». Le Jura se situe par ail-leurs au second rang des en-treprises les plus contrôlées.L’an passé, 229 d’entre ellesont reçu une visite et unesoixantaine de cas ont été dé-couverts. Une bonne partied’entre elles sont des entrepri-ses qui viennent de l’extérieurou qui sont en sous-traitance.Il est donc tentant de pratiquerdes salaires plus bas et d’éviterles cotisations sociales.

    Dans l’affaire qui nous oc-cupe, rien de tel. Le carrossieren question, âgé de 63 ans etbien installé sur la montagne,dit travailler 12 heures parjour, six jours par semaine. Ilconnaît de gros problèmes fa-miliaux avec deux fils adultesqu’il a à charge. A la carrosse-rie, ils ne sont que deux frèresà maîtriser le métier. L’arrivéede cet Albanais a donc été unevéritable aubaine. Durant sixmois, il a été formé à la techni-que et n’a touché qu’un salairede 6700 francs. Pour le pa-tron, ce n’était pas vraimentun employé mais un homme

    qu’il formait. Sa situation a étéaujourd’hui régularisée. Il aun permis de travail et il tou-che un salaire de 3750 francspar mois.

    Une magistratede bon conseil

    L’ouvrier albanais de soncôté a indiqué qu’il était venuen Suisse pour chercher dutravail, qu’il s’était endettépour nourrir sa femme et sco-lariser ses deux fils qui sont àMilan. Il ignorait qu’il fallaitun permis de travail. Pour cequi a trait aux cotisations AVSdes autres employés, le patrona déclaré qu’il s’agissait de cassociaux qu’il voulait réintégrerpar le travail mais que cela aété un échec. «J’ai dépenséplus que j’ai gagné», dit-il.

    La magistrate semble avoirété sensible aux justificationsphilanthropiques de ce patronet à cet ouvrier albanais. Elleleur inflige deux peines de 60jours amende (de 10 francspour le patron et 50 francspour l’ouvrier) avec sursis.

    En leur conseillant ferme-ment à l’un et à l’autre de rem-plir les formalités légales àl’avenir… MICHEL GOGNIAT

    n CHRONIQUE JUDICIAIRE

    Travail au noir devant le juge pénal

    Une affaire avec pour décor la belle mécanique...