Dinasquet Julie Herrmann Laetitia Jaresova Jana Survie de lagent pathogène chez son hôte.

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Dinasquet JulieHerrmann LaetitiaJaresova Jana

Survie de l’agent Survie de l’agent pathogène chez son pathogène chez son

hôtehôte

INTRODUCTION

Parasite obligatoire

Parasite opportuniste

Pouvoir pathogène : parasite actif ou de faiblesse

Virulence variable

GENES DE VIRULENCE ET DE RESISTANCE

Regroupement de gènes d’intérêt en îlots de pathogénicité Augmentation de la virulence

Résistance horizontale : plusieurs gènes conduisant à une résistance non spécifique (non hôte)

Résistance verticale : un gène code pour une résistance Concept de relation gène pour gène

GENES DE VIRULENCE :

Concept de relation gène à gène

Pathogène

Hôte

Gène de virulence

Gène d’avirulence

Gène de résistance

Incompatibilité

Incompatibilité

Pas de gène de résistance

CompatibilCompatibilitéité

Incompatibilité

PROCESSUS D’INFECTION

Pathogène

Hôte

Adhésion

Pénétration Réactions de défense

Survie dans les cellules hôtes ?

REACTIONS DE DEFENSE

CHEZ LA PLANTE

Défenses physiques :

Défenses chimiques :

Phytoalexines

H2O2

PR protéines

Existantes

Cuticule Stomates Poils

Induites

Lignine Callose

REACTIONS DE DEFENSE CHEZ LA PLANTE

CONTOURNEMENT DE LA RESISTANCE

PROCESSUS INFECTIEUX

Chez les champignons

Mise en place d’une vésicule primaire puis secondaire pour absorber les nutriments de l’hôte

PROCESSUS INFECTIEUX

Chez les champignons

PROCESSUS INFECTIEUX

Chez les champignons

Urédospore :

Colonisation du reste de la plante par le tube germinatif

Germination de la spore

Formation de nouveaux appressorium et haustories

PROCESSUS INFECTIEUX

Chez les champignons

Biotrophe strict

Hémibiotrophe

Nécrotrophe

Développement en surface

Pénétration dans l’hôte

PROCESSUS INFECTIEUX

Chez les champignons

Production de toxines

Phytotoxines : Non spécificité d’hôte Pathotoxines : Spécificité d’hôte

Initiation de l’infection Déterminant primaire Augmentation des symptômes Déterminant secondaire

DISSEMINATION

Multiplication végétative

Spores asexuées

Exemple :ConidiesAleuriosporesZoospores …

Chez les champignons

Reproduction sexuée

DISSEMINATION

Spores sexuées

Exemple : AsquesBasidesOospores…

Chez les champignons

FORMES DE RESISTANCE

Chez les champignons

Sclérotes

Exemple de sclérotes

Structures massives plus ou moinscompactes, résultant de l’enchevêtrement d’un grandnombre de filaments.

Chlamydospores

FORMES DE RESISTANCE

Chez les champignons

Spore volumineuse à paroi très épaisse et contenu cytoplasmique dense

FORMES DE RESISTANCE

Chez les champignons

PROCESSUS INFECTIEUX

Chez les bactéries

Bactérie est attirée par les exsudats racinaires

Colonisation des racines (enzymes hydrolytiques et toxines) – formation des organes spécialisés

Bactérie absorbe des nutriments de la plante

SIGNAUX DU QUORUM SENSING

Chez les bactéries

• Communication entre les cellules bactériennes d’une même population ou entre plusieurs espèces

• Régulation de l’expression des gènes (ex : virulence, production d’antibiotiques, sporulation, formation de biofilms…)

• Les signaux sont transmis par de petites molécules (= autoinducteurs), qui s’accumulent quand la population

bactérienne augmente.

• Lors d’un déficit des signaux « QS », la virulence de la bactérie diminue ou disparaît

COMPOSITION DES SIGNAUX

Chez les bactéries

Chez les Gram négatifs : Acyl Homosérine LactoneChez les Gram positifs : oligopeptides

Ce système permet à la bactérie de réguler l’expression des gènes selon les conditions de l’environnement

adaptation rapide

– Colonisation d’un environnement plus riche– Résistance à un environnement hostile

(ex : sporulation)

EXEMPLE : Erwinia carotovora

Chez beaucoup de bactéries Gram négatifs : Protéines LuxI et Lux R

LuxI est reponsable de la biosynthèse d’un autoinducteur

LuxR se fixe à cet autoinducteur si la concentration est suffisante

Le complexe LuxR/autoinducteur active ou inhibe la transcription des régions cibles

ExpI/ExpR : homologues de LuxI/LuxR

Contrôle de la sécrétion des exoenzymes, uniquement à une certaine concentration

Cela permet aux bactéries de passer inaperçues jusqu’à ce qu’elles soient assez nombreuses pour assurer l’infection

EXEMPLE : Erwinia carotovora

CarI/CarR : 2ème système de Quorum Sensing

Régulation de la biosynthèse d’un antibiotique (Carbapenem)

Action simultanée des deux systèmes

CONCLUSION

Ensemble de réactions physiques et chimiques

Sous la dépendance de nombreux gènes

Interactions entre les différents systèmes pour optimiser la survie dans l’hôte

Merci de votre attention