Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

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Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

Introduction

Chap. 2 – D’autres logiques d’org°

Face à la mondialisation de type libérale que nous venons de décrypter et qui organise aujourd’hui la géographie planétaire, d‘autres forme d’organisations géographiques sont proposées ou sont en cours de mise en place.Lesquelles ?Et qui les propose ?

Introduction

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

I – La M° libérale est contestée1) La critique majeure : la M° non

régulée empêche le développement des pays pauvres

a. Le discrédit des grandes agences internationale : la M° est-elle régulée ?b. La M° nuit-elle au développement?2) L’altermondialisme et la critique

de la M° libéralea. De l’antimondialisme à

l’altermondialismeb. Les réponses de l’altermondialisme

à la M° libérale3) La critique environnementale

a. Les modification climatiques et leur lien avec la M°

b. Les csq à moyen et long terme sur l’environnement

c. qu’est-ce que le dvlpmt durable ?d. Les réponses actuelles donnent peu

de résultat…

La mondialisation de type libéral est d’abord contestée, pour son impact économique et social et pour son impact écologique : cette critique est le fait des altermondialistes

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

I – La M° libérale est contestée1) La critique majeure : la M° non

régulée empêche le développement des pays pauvres

a. Le discrédit des grandes agences internationale : la M° est-elle régulée ?b. La M° nuit-elle au développement?2) L’altermondialisme et la critique

de la M° libéralea. De l’antimondialisme à

l’altermondialismeb. Les réponses de l’altermondialisme

à la M° libérale3) La critique environnementale

a. Les modification climatiques et leur lien avec la M°

b. Les csq à moyen et long terme sur l’environnement

c. qu’est-ce que le dvlpmt durable ?d. Les réponses actuelles donnent peu

de résultat…

Une histoire rapide du rôle de l’ONU dans le processus de M° depuis 1945 :

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

I – La M° libérale est contestée1) La critique majeure : la M° non

régulée empêche le développement des pays pauvres

a. Le discrédit des grandes agences internationale : la M° est-elle régulée ?b. La M° nuit-elle au développement?2) L’altermondialisme et la critique

de la M° libéralea. De l’antimondialisme à

l’altermondialismeb. Les réponses de l’altermondialisme

à la M° libérale3) La critique environnementale

a. Les modification climatiques et leur lien avec la M°

b. Les csq à moyen et long terme sur l’environnement

c. qu’est-ce que le dvlpmt durable ?d. Les réponses actuelles donnent peu

de résultat…

Une histoire rapide du rôle de l’ONU dans le processus de M° depuis 1945 : - Jsq dans les années 60-70, dans le contexte de la décolonisation, les organes affectés au développement (PNUD, CNUCED) dominaient les débats à l’ONU.

- PNUD = Programme des Nations Unis pour le Développement- CNUCED = Conférence des Nations Unis

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

I – La M° libérale est contestée1) La critique majeure : la M° non

régulée empêche le développement des pays pauvres

a. Le discrédit des grandes agences internationale : la M° est-elle régulée ?b. La M° nuit-elle au développement?2) L’altermondialisme et la critique

de la M° libéralea. De l’antimondialisme à

l’altermondialismeb. Les réponses de l’altermondialisme

à la M° libérale3) La critique environnementale

a. Les modification climatiques et leur lien avec la M°

b. Les csq à moyen et long terme sur l’environnement

c. qu’est-ce que le dvlpmt durable ?d. Les réponses actuelles donnent peu

de résultat…

Une histoire rapide du rôle de l’ONU dans le processus de M° depuis 1945 : - Années 80 : la crise de la dette frappe les Pays en Voie de Développement (PVD) et ouvre un champ d’action au FMI et à la BM

- Idée : la BM accorde des prêts/aides (PAS : Plans d’Ajustement Structurel) en contrepartie de politique de rééquilibrage des comptes publics (conseillés par le FMI)

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

I – La M° libérale est contestée1) La critique majeure : la M° non

régulée empêche le développement des pays pauvres

a. Le discrédit des grandes agences internationale : la M° est-elle régulée ?b. La M° nuit-elle au développement?2) L’altermondialisme et la critique

de la M° libéralea. De l’antimondialisme à

l’altermondialismeb. Les réponses de l’altermondialisme

à la M° libérale3) La critique environnementale

a. Les modification climatiques et leur lien avec la M°

b. Les csq à moyen et long terme sur l’environnement

c. qu’est-ce que le dvlpmt durable ?d. Les réponses actuelles donnent peu

de résultat…

Une histoire rapide du rôle de l’ONU dans le processus de M° depuis 1945 : - Début des années 90 : mise en place d’un programme type élaboré à travers le consensus de Washington (le développement d’un pays est conditionné par sa stabilité financière)

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

I – La M° libérale est contestée1) La critique majeure : la M° non

régulée empêche le développement des pays pauvres

a. Le discrédit des grandes agences internationale : la M° est-elle régulée ?b. La M° nuit-elle au développement?2) L’altermondialisme et la critique

de la M° libéralea. De l’antimondialisme à

l’altermondialismeb. Les réponses de l’altermondialisme

à la M° libérale3) La critique environnementale

a. Les modification climatiques et leur lien avec la M°

b. Les csq à moyen et long terme sur l’environnement

c. qu’est-ce que le dvlpmt durable ?d. Les réponses actuelles donnent peu

de résultat…

Une histoire rapide du rôle de l’ONU dans le processus de M° depuis 1945 : - Début des années 90 : mise en place d’un programme type élaboré à travers le consensus de Washington (le développement d’un pays est conditionné par sa stabilité financière)- Ce programme (libéral) est surtout défendu par un pays, les USA… qui sont les principaux pourvoyeurs d’argent à la BM (les pays qui s’endettent en dollars, dépendent donc des USA…)

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

I – La M° libérale est contestée1) La critique majeure : la M° non

régulée empêche le développement des pays pauvres

a. Le discrédit des grandes agences internationale : la M° est-elle régulée ?b. La M° nuit-elle au développement?2) L’altermondialisme et la critique

de la M° libéralea. De l’antimondialisme à

l’altermondialismeb. Les réponses de l’altermondialisme

à la M° libérale3) La critique environnementale

a. Les modification climatiques et leur lien avec la M°

b. Les csq à moyen et long terme sur l’environnement

c. qu’est-ce que le dvlpmt durable ?d. Les réponses actuelles donnent peu

de résultat…

Bilan : la dépendance croissante vis-à-vis du FMI et de la BM… donc vis-à-vis des USA conduisent à une méfiance grandissante vis-à-vis de ces agences de l’ONU

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I – La M° libérale est contestée1) La critique majeure : la M° non

régulée empêche le développement des pays pauvres

a. Le discrédit des grandes agences internationale : la M° est-elle régulée ?b. La M° nuit-elle au développement?2) L’altermondialisme et la critique

de la M° libéralea. De l’antimondialisme à

l’altermondialismeb. Les réponses de l’altermondialisme

à la M° libérale3) La critique environnementale

a. Les modification climatiques et leur lien avec la M°

b. Les csq à moyen et long terme sur l’environnement

c. qu’est-ce que le dvlpmt durable ?d. Les réponses actuelles donnent peu

de résultat…

Pourquoi une telle défiance ? Car des études statistiques mettent en cause les bienfaits supposés de la mondialisation libérale défendue par les USA. Tableau 1 et 2 (poly)

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Nom du modèle de calcul et date de l’estimation ►

▼ Montant des gains estimés

GTAP2002

GTAP2005

LINKAGE2002

LINKAGE2005

Gains totaux de la libéralisation des échanges (en milliards de dollars)

254 84 832 287

Dont gains de PVD (en milliards de dollars) 108 22 539 90

Part des PVD en % du gain total 42,5% 26,2% 64,8% 31,4%

Tableau 1 : l’évolution des estimations des gains de la mondialisation de 2002 à 2005Source : K. Anderson et W. Martin, Agricultural trade reform and the Doha development agenda, Washington D. C.,Banque Mondiale, 2005. GTAP (Global Trade Analysis Project, développé par l’Université de New Lafayette, près de Chicago)et LINKAGE (modèle utilisé par la Banque mondiale) sont 2 modèles économétriques

Vous pouvez répondre à chaque question puis voir les réponses…

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Nom du modèle de calcul et date de l’estimation ►

▼ Montant des gains estimés

GTAP2002

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Gains totaux de la libéralisation des échanges (en milliards de dollars)

254 84 832 287

Dont gains de PVD (en milliards de dollars) 108 22 539 90

Part des PVD en % du gain total 42,5% 26,2% 64,8% 31,4%

Tableau 1 : l’évolution des estimations des gains de la mondialisation de 2002 à 2005Source : K. Anderson et W. Martin, Agricultural trade reform and the Doha development agenda, Washington D. C.,Banque Mondiale, 2005. GTAP (Global Trade Analysis Project, développé par l’Université de New Lafayette, près de Chicago)et LINKAGE (modèle utilisé par la Banque mondiale) sont 2 modèles économétriques

Présentez le document…

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GTAP2002

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LINKAGE2005

Gains totaux de la libéralisation des échanges (en milliards de dollars)

254 84 832 287

Dont gains de PVD (en milliards de dollars) 108 22 539 90

Part des PVD en % du gain total 42,5% 26,2% 64,8% 31,4%

Tableau 1 : l’évolution des estimations des gains de la mondialisation de 2002 à 2005Source : K. Anderson et W. Martin, Agricultural trade reform and the Doha development agenda, Washington D. C.,Banque Mondiale, 2005. GTAP (Global Trade Analysis Project, développé par l’Université de New Lafayette, près de Chicago)et LINKAGE (modèle utilisé par la Banque mondiale) sont 2 modèles économétriques

Présentez le document…- Un tableau statistique estimant les gains réalisés grâce au le processus de mondialisation, en particulier dans les Pays en Voie de Développement (PVD)

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LINKAGE2005

Gains totaux de la libéralisation des échanges (en milliards de dollars)

254 84 832 287

Dont gains de PVD (en milliards de dollars) 108 22 539 90

Part des PVD en % du gain total 42,5% 26,2% 64,8% 31,4%

Tableau 1 : l’évolution des estimations des gains de la mondialisation de 2002 à 2005Source : K. Anderson et W. Martin, Agricultural trade reform and the Doha development agenda, Washington D. C.,Banque Mondiale, 2005. GTAP (Global Trade Analysis Project, développé par l’Université de New Lafayette, près de Chicago)et LINKAGE (modèle utilisé par la Banque mondiale) sont 2 modèles économétriques

Présentez le document…- Un tableau statistique estimant les gains réalisés grâce au processus de mondialisation , en particulier dans les Pays en Voie de Développement (PVD)- Les estimations sont récentes : 2002 et 2005… Mais antérieure à la crise de 2008

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▼ Montant des gains estimés

GTAP2002

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Gains totaux de la libéralisation des échanges (en milliards de dollars)

254 84 832 287

Dont gains de PVD (en milliards de dollars) 108 22 539 90

Part des PVD en % du gain total 42,5% 26,2% 64,8% 31,4%

Tableau 1 : l’évolution des estimations des gains de la mondialisation de 2002 à 2005Source : K. Anderson et W. Martin, Agricultural trade reform and the Doha development agenda, Washington D. C.,Banque Mondiale, 2005. GTAP (Global Trade Analysis Project, développé par l’Université de New Lafayette, près de Chicago)et LINKAGE (modèle utilisé par la Banque mondiale) sont 2 modèles économétriques

Présentez le document…- Un tableau statistique estimant les gains réalisés grâce au processus de mondialisation , en particulier dans les Pays en Voie de Développement (PVD)- Les estimations sont récentes : 2002 et 2005… Mais antérieure à la crise de 2008- Le tableau propose 2 estimations réalisées à partir de deux modes de calcul (l’un nommé Linkage, l’autre GTAP). On remarque que les 2 modèles sont utilisés par la Banque Mondiale, principal agence favorable à la Mondialisation

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▼ Montant des gains estimés

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LINKAGE2002

LINKAGE2005

Gains totaux de la libéralisation des échanges (en milliards de dollars)

254 84 832 287

Dont gains de PVD (en milliards de dollars) 108 22 539 90

Part des PVD en % du gain total 42,5% 26,2% 64,8% 31,4%

Tableau 1 : l’évolution des estimations des gains de la mondialisation de 2002 à 2005Source : K. Anderson et W. Martin, Agricultural trade reform and the Doha development agenda, Washington D. C.,Banque Mondiale, 2005. GTAP (Global Trade Analysis Project, développé par l’Université de New Lafayette, près de Chicago)et LINKAGE (modèle utilisé par la Banque mondiale) sont 2 modèles économétriques

Quelle remarque générale pouvez vous faire quant aux résultats de la mondialisation proposés par ces 2 estimations ?

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▼ Montant des gains estimés

GTAP2002

GTAP2005

LINKAGE2002

LINKAGE2005

Gains totaux de la libéralisation des échanges (en milliards de dollars)

254 84 832 287

Dont gains de PVD (en milliards de dollars) 108 22 539 90

Part des PVD en % du gain total 42,5% 26,2% 64,8% 31,4%

Tableau 1 : l’évolution des estimations des gains de la mondialisation de 2002 à 2005Source : K. Anderson et W. Martin, Agricultural trade reform and the Doha development agenda, Washington D. C.,Banque Mondiale, 2005. GTAP (Global Trade Analysis Project, développé par l’Université de New Lafayette, près de Chicago)et LINKAGE (modèle utilisé par la Banque mondiale) sont 2 modèles économétriques

Quelle remarque générale pouvez vous faire quant aux gains totaux de la mondialisation proposés par ces 2 estimations ? - Dans les 2 cas (GTAP et LINKAGE), les gains totaux estimés en 2005 ont fortement été revus à la baisse en 2005 : globalement ils ont été divisés par 3 !

÷ 3 ÷ 2,8

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▼ Montant des gains estimés

GTAP2002

GTAP2005

LINKAGE2002

LINKAGE2005

Gains totaux de la libéralisation des échanges (en milliards de dollars)

254 84 832 287

Dont gains de PVD (en milliards de dollars) 108 22 539 90

Part des PVD en % du gain total 42,5% 26,2% 64,8% 31,4%

Tableau 1 : l’évolution des estimations des gains de la mondialisation de 2002 à 2005Source : K. Anderson et W. Martin, Agricultural trade reform and the Doha development agenda, Washington D. C.,Banque Mondiale, 2005. GTAP (Global Trade Analysis Project, développé par l’Université de New Lafayette, près de Chicago)et LINKAGE (modèle utilisé par la Banque mondiale) sont 2 modèles économétriques

Quelle remarque générale pouvez vous faire quant aux gains totaux de la mondialisation proposés par ces 2 estimations ? - Dans les 2 cas (GTAP et LINKAGE), les gains totaux estimés en 2005 ont fortement été revus à la baisse en 2005 : globalement ils ont été divisés par 3 !

÷ 3 ÷ 2,8

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▼ Montant des gains estimés

GTAP2002

GTAP2005

LINKAGE2002

LINKAGE2005

Gains totaux de la libéralisation des échanges (en milliards de dollars)

254 84 832 287

Dont gains de PVD (en milliards de dollars) 108 22 539 90

Part des PVD en % du gain total 42,5% 26,2% 64,8% 31,4%

Tableau 1 : l’évolution des estimations des gains de la mondialisation de 2002 à 2005Source : K. Anderson et W. Martin, Agricultural trade reform and the Doha development agenda, Washington D. C.,Banque Mondiale, 2005. GTAP (Global Trade Analysis Project, développé par l’Université de New Lafayette, près de Chicago)et LINKAGE (modèle utilisé par la Banque mondiale) sont 2 modèles économétriques

D’après ce tableau, quel type de pays semble profiter de la mondialisation ?

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▼ Montant des gains estimés

GTAP2002

GTAP2005

LINKAGE2002

LINKAGE2005

Gains totaux de la libéralisation des échanges (en milliards de dollars)

254 84 832 287

Dont gains de PVD (en milliards de dollars) 108 22 539 90

Part des PVD en % du gain total 42,5% 26,2% 64,8% 31,4%

Tableau 1 : l’évolution des estimations des gains de la mondialisation de 2002 à 2005Source : K. Anderson et W. Martin, Agricultural trade reform and the Doha development agenda, Washington D. C.,Banque Mondiale, 2005. GTAP (Global Trade Analysis Project, développé par l’Université de New Lafayette, près de Chicago)et LINKAGE (modèle utilisé par la Banque mondiale) sont 2 modèles économétriques

D’après ce tableau, quel type de pays semble profiter de la mondialisation ?- Sont-ce les PVD ? En 2002, l’estimation LINKAGE semble le dire : ils totalisent 64,8% des gains totaux de la mondialisation; c’est seulement 42,5% pour l’estimation GTAP- Bref, les gains paraissaient alors globalement partagés entre PVD et les autres (c’est-à-dire les Pays Développés)

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Nom du modèle de calcul et date de l’estimation ►

▼ Montant des gains estimés

GTAP2002

GTAP2005

LINKAGE2002

LINKAGE2005

Gains totaux de la libéralisation des échanges (en milliards de dollars)

254 84 832 287

Dont gains de PVD (en milliards de dollars) 108 22 539 90

Part des PVD en % du gain total 42,5% 26,2% 64,8% 31,4%

Tableau 1 : l’évolution des estimations des gains de la mondialisation de 2002 à 2005Source : K. Anderson et W. Martin, Agricultural trade reform and the Doha development agenda, Washington D. C.,Banque Mondiale, 2005. GTAP (Global Trade Analysis Project, développé par l’Université de New Lafayette, près de Chicago)et LINKAGE (modèle utilisé par la Banque mondiale) sont 2 modèles économétriques

D’après ce tableau, quel type de pays semble profiter de la mondialisation ?- En 2005, les estimations sont totalement différentes :

- 1ère remarque : les 2 modèles se confirment l’un l’autre car leurs estimations, très différentes en 2002 (22 points d’écart) sont quasiment identiques : 26,2% et 31,4%

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Nom du modèle de calcul et date de l’estimation ►

▼ Montant des gains estimés

GTAP2002

GTAP2005

LINKAGE2002

LINKAGE2005

Gains totaux de la libéralisation des échanges (en milliards de dollars)

254 84 832 287

Dont gains de PVD (en milliards de dollars) 108 22 539 90

Part des PVD en % du gain total 42,5% 26,2% 64,8% 31,4%

Tableau 1 : l’évolution des estimations des gains de la mondialisation de 2002 à 2005Source : K. Anderson et W. Martin, Agricultural trade reform and the Doha development agenda, Washington D. C.,Banque Mondiale, 2005. GTAP (Global Trade Analysis Project, développé par l’Université de New Lafayette, près de Chicago)et LINKAGE (modèle utilisé par la Banque mondiale) sont 2 modèles économétriques

D’après ce tableau, quel type de pays semble profiter de la mondialisation ?- En 2005, les estimations sont totalement différentes :

- 2e remarque : dans les 2 estimations les gains estimés pour les PVD sont en très forte baisse (÷1,6 pour GTAP et ÷2 pour LINKAGE)

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Nom du modèle de calcul et date de l’estimation ►

▼ Montant des gains estimés

GTAP2002

GTAP2005

LINKAGE2002

LINKAGE2005

Gains totaux de la libéralisation des échanges (en milliards de dollars)

254 84 832 287

Dont gains de PVD (en milliards de dollars) 108 22 539 90

Part des PVD en % du gain total 42,5% 26,2% 64,8% 31,4%

Tableau 1 : l’évolution des estimations des gains de la mondialisation de 2002 à 2005Source : K. Anderson et W. Martin, Agricultural trade reform and the Doha development agenda, Washington D. C.,Banque Mondiale, 2005. GTAP (Global Trade Analysis Project, développé par l’Université de New Lafayette, près de Chicago)et LINKAGE (modèle utilisé par la Banque mondiale) sont 2 modèles économétriques

D’après ce tableau, quel type de pays semble profiter de la mondialisation ?- En 2005, les estimations sont totalement différentes :

- 3e remarque : dans les 2 estimations les gains estimés pour les PVD minimes par rapport au total… Bref : qui profite de la mondialisation ? Réponse : les pays développés !

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Modèle de référence ►▼ Montants (en milliards de dollars)

GTAP 2005 LINKAGE 2005

1. GainsGains totaux 84 287Gains de PVD 22 902. CoûtsPertes fiscales pour les PVD -63,4 -63,4Coûts administratifs pour les PVD -4,4 -4,4Total des coûts pour les PVD -67,8 -67,83. Résultat net pour les PVD(gains – estimation des coûts)

-45,8 22,2

Tableau 2 : Gains et coûts de la libéralisation des échangesSource : données de la CNUCED

Pour avoir une idée juste de l’impact de mondialisation , il faut évaluer les gains… Mais aussi évaluer les coûts !

C’est que permet ce tableau, qui complète le Tableau 1

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Modèle de référence ►▼ Montants (en milliards de dollars)

GTAP 2005 LINKAGE 2005

1. GainsGains totaux 84 287Gains de PVD 22 902. CoûtsPertes fiscales pour les PVD -63,4 -63,4Coûts administratifs pour les PVD -4,4 -4,4Total des coûts pour les PVD -67,8 -67,83. Résultat net pour les PVD(gains – estimation des coûts)

-45,8 22,2

Tableau 2 : Gains et coûts de la libéralisation des échangesSource : données de la CNUCED

En quoi le processus de mondialisation peut-il imposer des coûts à unétat ?

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Modèle de référence ►▼ Montants (en milliards de dollars)

GTAP 2005 LINKAGE 2005

1. GainsGains totaux 84 287Gains de PVD 22 902. CoûtsPertes fiscales pour les PVD -63,4 -63,4Coûts administratifs pour les PVD -4,4 -4,4Total des coûts pour les PVD -67,8 -67,83. Résultat net pour les PVD(gains – estimation des coûts)

-45,8 22,2

Tableau 2 : Gains et coûts de la libéralisation des échangesSource : données de la CNUCED

En quoi le processus de mondialisation peut-il imposer des coûts à unétat ?-Le tableau indique 2 types de coûts :

- Les pertes fiscales- Les coûts administratifs

Il ne suffit pas de paraphraser le doc,encore faut-il expliquer ce que cela signifie…

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Modèle de référence ►▼ Montants (en milliards de dollars)

GTAP 2005 LINKAGE 2005

1. GainsGains totaux 84 287Gains de PVD 22 902. CoûtsPertes fiscales pour les PVD -63,4 -63,4Coûts administratifs pour les PVD -4,4 -4,4Total des coûts pour les PVD -67,8 -67,83. Résultat net pour les PVD(gains – estimation des coûts)

-45,8 22,2

Tableau 2 : Gains et coûts de la libéralisation des échangesSource : données de la CNUCED

En quoi le processus de mondialisation peut-il imposer des coûts à unétat ?-Le tableau indique 2 types de coûts :

- Les pertes fiscales : la déréglementation implique une baisse des taxes douanières, et donc des recettes fiscales pour les états- Les coûts administratifs : cette déréglementation implique une modification du fonctionnement de l’état, donc des frais de réorganisation

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Modèle de référence ►▼ Montants (en milliards de dollars)

GTAP 2005 LINKAGE 2005

1. GainsGains totaux 84 287Gains de PVD 22 902. CoûtsPertes fiscales pour les PVD -63,4 -63,4Coûts administratifs pour les PVD -4,4 -4,4Total des coûts pour les PVD -67,8 -67,83. Résultat net pour les PVD(gains – estimation des coûts)

-45,8 22,2

Tableau 2 : Gains et coûts de la libéralisation des échangesSource : données de la CNUCED

Partant de ce tableau, quelle peut être la principale critique faite aujourd’hui au processus de mondialisation ?- Dans les 2 estimations, GTAP et LINKAGE, les coûts imposés par la mondialisation sont identiques : 67,8 milliards de dollars

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

Modèle de référence ►▼ Montants (en milliards de dollars)

GTAP 2005 LINKAGE 2005

1. GainsGains totaux 84 287Gains de PVD 22 902. CoûtsPertes fiscales pour les PVD -63,4 -63,4Coûts administratifs pour les PVD -4,4 -4,4Total des coûts pour les PVD -67,8 -67,83. Résultat net pour les PVD(gains – estimation des coûts)

-45,8 22,2

Tableau 2 : Gains et coûts de la libéralisation des échangesSource : données de la CNUCED

Partant de ce tableau, quelle peut être la principale critique faite aujourd’hui au processus de mondialisation ?- Dans les 2 estimations, GTAP et LINKAGE, les coûts imposés par la mondialisation sont identiques : 67,8 milliards de dollars- Compte-tenu des gains estimés, les résultats nets sont au mieux minimes (22,2 milliards de dollars) au pire carrément catastrophiques : -45,8 milliards !

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

Modèle de référence ►▼ Montants (en milliards de dollars)

GTAP 2005 LINKAGE 2005

1. GainsGains totaux 84 287Gains de PVD 22 902. CoûtsPertes fiscales pour les PVD -63,4 -63,4Coûts administratifs pour les PVD -4,4 -4,4Total des coûts pour les PVD -67,8 -67,83. Résultat net pour les PVD(gains – estimation des coûts)

-45,8 22,2

Tableau 2 : Gains et coûts de la libéralisation des échangesSource : données de la CNUCED

Partant de ce tableau, quelle peut être la principale critique faite aujourd’hui au processus de mondialisation ?- Dans les 2 estimations, GTAP et LINKAGE, les coûts imposés par la mondialisation sont identiques : 67,8 milliards de dollars- Compte-tenu des gains estimés, les résultats nets sont au mieux minimes (22,2 milliards de dollars) au pire carrément catastrophiques : -45,8 milliards !- Bref : la mondialisation rapporte bien peu aux PVD !

I – La M° libérale est contestée1) La critique majeure : la M° non

régulée empêche le développement des pays pauvres

a. Le discrédit des grandes agences internationale : la M° est-elle régulée ?b. La M° nuit-elle au développement?2) L’altermondialisme et la critique

de la M° libéralea. De l’antimondialisme à

l’altermondialismeb. Les réponses de l’altermondialisme

à la M° libérale3) La critique environnementale

a. Les modification climatiques et leur lien avec la M°

b. Les csq à moyen et long terme sur l’environnement

c. qu’est-ce que le dvlpmt durable ?d. Les réponses actuelles donnent peu

de résultat…

Bilan : le processus de mondialisation libérale est critiqué par bcp de PVD, qui réagissent de 2 façons :

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régulée empêche le développement des pays pauvres

a. Le discrédit des grandes agences internationale : la M° est-elle régulée ?b. La M° nuit-elle au développement?2) L’altermondialisme et la critique

de la M° libéralea. De l’antimondialisme à

l’altermondialismeb. Les réponses de l’altermondialisme

à la M° libérale3) La critique environnementale

a. Les modification climatiques et leur lien avec la M°

b. Les csq à moyen et long terme sur l’environnement

c. qu’est-ce que le dvlpmt durable ?d. Les réponses actuelles donnent peu

de résultat…

Bilan : le processus de mondialisation libérale est critiqué par bcp de PVD, qui réagissent de 2 façons :- En récusant l’action du FMI : remboursement anticipé des dettes pour ne plus être dépendant (Brésil, Argentine…)

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de la M° libéralea. De l’antimondialisme à

l’altermondialismeb. Les réponses de l’altermondialisme

à la M° libérale3) La critique environnementale

a. Les modification climatiques et leur lien avec la M°

b. Les csq à moyen et long terme sur l’environnement

c. qu’est-ce que le dvlpmt durable ?d. Les réponses actuelles donnent peu

de résultat…

Bilan : le processus de mondialisation libérale est critiqué par bcp de PVD, qui réagissent de 2 façons :-En récusant l’action du FMI : remboursement anticipé des dettes pour ne plus être dépendant (Brésil, Argentine…)- En enlisant volontairement le dernier cycle de négociation de l’OMC en vue de la libéralisation du commerce mondial (cycle de Doha)

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de la M° libéralea. De l’antimondialisme à

l’altermondialismeb. Les réponses de l’altermondialisme

à la M° libérale3) La critique environnementale

a. Les modification climatiques et leur lien avec la M°

b. Les csq à moyen et long terme sur l’environnement

c. qu’est-ce que le dvlpmt durable ?d. Les réponses actuelles donnent peu

de résultat…

Bilan : le processus de mondialisation libérale est critiqué par bcp de PVD, qui réagissent de 2 façons :-En récusant l’action du FMI : remboursement anticipé des dettes pour ne plus être dépendant (Brésil, Argentine…)- En enlisant volontairement le dernier cycle de négociation de l’OMC en vue de la libéralisation du commerce mondial (cycle de Doha)

Cf. doc 1 page 60 : la carte des manifestations anti-mondialisation libérale montre que ce sont les pays du Sud qui s’opposent (forums sociaux)

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l’altermondialismeb. Les réponses de l’altermondialisme

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b. Les csq à moyen et long terme sur l’environnement

c. qu’est-ce que le dvlpmt durable ?d. Les réponses actuelles donnent peu

de résultat…

Comment s’organise précisément le mouvement de contestation, c’est-à-dire le mouvement anti / alter –mondialiste ?

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- Contestation antimondialiste dans au dbt années 90 : Amérique du Nord, Europe de l’Ouest. Ce mouvement est alors hostile au processus de mondialisation

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c. qu’est-ce que le dvlpmt durable ?d. Les réponses actuelles donnent peu

de résultat…

- Dans les années 90 ont passe de l’anti à l’altermondialisme : ce n’est plus la mondialisation qui pose prb (elle est là ! Il faut faire avec) mais sa forme libérale. On veut lui donner une autre forme…

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à la M° libérale3) La critique environnementale

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c. qu’est-ce que le dvlpmt durable ?d. Les réponses actuelles donnent peu

de résultat…

Qui anime ce mouvement ?- Des organisations syndicales : par exemple « Sud » en France- Des mouvements paysans : par exemple la « Confédération paysanne » en France, qui intègre un réseau mondial : Via Campesina- des ONG politiques : par exemple ATTAC- des ONG environnementales : par exemple les AMAP en FranceToutes ces associations, qqsoient leurs origines se retrouvent périodiquement…

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l’altermondialismeb. Les réponses de l’altermondialisme

à la M° libérale3) La critique environnementale

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b. Les csq à moyen et long terme sur l’environnement

c. qu’est-ce que le dvlpmt durable ?d. Les réponses actuelles donnent peu

de résultat…

Cadre de rencontre : les forums sociaux mondiaux. Le 1er s’est tenu au Brésil en 2001 : forum de Porto-Alegre. But des discussions : proposer une alternative à la mondialisation libérale fondées…

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régulée empêche le développement des pays pauvres

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de la M° libéralea. De l’antimondialisme à

l’altermondialismeb. Les réponses de l’altermondialisme

à la M° libérale3) La critique environnementale

a. Les modification climatiques et leur lien avec la M°

b. Les csq à moyen et long terme sur l’environnement

c. qu’est-ce que le dvlpmt durable ?d. Les réponses actuelles donnent peu

de résultat…

- Sur le respect de l’environnement (opposition à l’agriculture industriel, aux OGM)- Sur la solidarité nécessaire vis-à-vis des pays du Sud. Mesure : effacement de la dette extérieur des pays les + pauvres- Sur le développement du commerce équitable (cf. normes équitables)- Sur une autre forme de gouvernement mondial (renforcement de l’ONU)- Sur le rejet de la marchandisation de certains produits et services : l’eau, l’éducation, la santé, la culture…

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régulée empêche le développement des pays pauvres

a. Le discrédit des grandes agences internationale : la M° est-elle régulée ?b. La M° nuit-elle au développement?2) L’altermondialisme et la critique

de la M° libéralea. De l’antimondialisme à

l’altermondialismeb. Les réponses de l’altermondialisme

à la M° libérale3) La critique environnementale

a. Les modification climatiques et leur lien avec la M°

b. Les csq à moyen et long terme sur l’environnement

c. qu’est-ce que le dvlpmt durable ?d. Les réponses actuelles donnent peu

de résultat…

L’altermondialisme cherche à mettre en cause l’impact environnemental de la mondialisation libérale…

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Doc : l’évolution des températures moyennes mondiales…

Le document a été construit par l’OMM a partir d’une moyenne des températures constaté sur une période assez longue (de 1961 à 1990) : cette moyenne est de 15,08°C. Il mesure

la différence constatée chaque année entre la température annuelle de l’année et cette moyenne. C’est un document assez récent : 2005

2005

Doc : l’évolution des températures moyennes mondiales…

Avant 1937, les températures relevées par l’OMM sont toujours inférieures à 15,08 °C (moyenne des températures de la période 1961-1990)

Doc : l’évolution des températures moyennes mondiales…

De 1937 à 1980 : tendance au réchauffement perceptible. Toutefois, jusqu’en 1979, l’évolution des températures est irrégulière : des années plus chaudes (1941- 1945 ou 1958-1963) laissant la place à des années plus fraîches (1946-1950 ou 1964-1969)

Doc : l’évolution des températures moyennes mondiales…

Toutes les données enregistrées depuis 1980 font apparaître un net réchauffement : les températures moyennes annuelles sont toutes supérieures à 15,08 °C

Doc : l’évolution des températures moyennes mondiales…

Bilan : le diagramme paraît bien lier un paramètre du changement climatique actuel (l’élévation des températures moyennes) au système économique mondialisé dont l’apparition est bien datée

(années 80-90). Causes généralement pointé du doigt : la consommation énergétique émettant des Gaz à Effet de Serre (GES)

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de la M° libéralea. De l’antimondialisme à

l’altermondialismeb. Les réponses de l’altermondialisme

à la M° libérale3) La critique environnementale

a. Les modification climatiques et leur lien avec la M°

b. Les csq à moyen et long terme sur l’environnement

c. qu’est-ce que le dvlpmt durable ?d. Les réponses actuelles donnent peu

de résultat…

La critique : la mondialisation libérale est extrêmement consommatrice d’énergie rejetant des GES dans l’atmosphère. Ces GES provoquent un effet de serre qui lui-même provoque vraisemblablement un réchauffement global de l’atmosphère (voir à ce sujet ce site). Les pays n’ont pas tous le même impact en la matière

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

Quels sont les principaux pays émetteurs de gaz carbonique (un GES parmi d’autres) ?

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Quels sont les principaux pays émetteurs de gaz carbonique (un GES parmi d’autres) ?

Les principaux pays émetteurs de GES en millions de tonnes sont la Chine, les Etats-Unis (les 2 plus gros pollueurs), suivis de la Russie, de l’Inde et du Japon (s’y ajoutent qq pays d’Europe occidentale, l’Indonésie, l’Afrique du Sud et le Mexique)

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En quoi cette carte reproduit-celle des inégalités de développement dans le monde ?

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En quoi cette carte reproduit-celle des inégalités de développement dans le monde ?

Cette carte reproduit celle de la fracture Nord-Sud- L’Amérique du Nord, l’Europe et la Russie (les vieilles puissances industrielles) représentent seulement… 21% de la pop° mondiale pour… 54% des émissions de GES- L’Asie orientale, en pleine émergence, a un bilan équilibré : 23% de la pop° mondiale pour 24% des émissions de GES- Asie du Sud, Afrique et Amérique du Sud regroupe 51% de la pop° mondiale… et ne rejettent que 24% des GES

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régulée empêche le développement des pays pauvres

a. Le discrédit des grandes agences internationale : la M° est-elle régulée ?b. La M° nuit-elle au développement?2) L’altermondialisme et la critique

de la M° libéralea. De l’antimondialisme à

l’altermondialismeb. Les réponses de l’altermondialisme

à la M° libérale3) La critique environnementale

a. Les modification climatiques et leur lien avec la M°

b. Les csq à moyen et long terme sur l’environnement

c. qu’est-ce que le dvlpmt durable ?d. Les réponses actuelles donnent peu

de résultat…

Quel impact à moyen et long terme ?

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Impact :- Recrudescence des phénomènes climatiques extrêmes : cf. cette année, inondation au Pakistan et en Chine, cyclone aux Philippines, inondations au Tchad- Renforcement des déséquilibres hydrologiques (réduction des pluies tensions politiques)

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Impact :- Si le réchauffement climatique affecte toute la planète, il est plus dangereux pour les pays du Sud : nombreux littoraux bas (impact de l’élévation du niveau marin), capacité d’anticipation et de réaction plus limitée faite de moyens financiers et technologiques suffisants

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Impact :- Atteinte à la biodiversité : la prise de conscience est réelle et 2010 a été décrétée « Année mondiale de la biodiversité »

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régulée empêche le développement des pays pauvres

a. Le discrédit des grandes agences internationale : la M° est-elle régulée ?b. La M° nuit-elle au développement?2) L’altermondialisme et la critique

de la M° libéralea. De l’antimondialisme à

l’altermondialismeb. Les réponses de l’altermondialisme

à la M° libérale3) La critique environnementale

a. Les modification climatiques et leur lien avec la M°

b. Les csq à moyen et long terme sur l’environnement

c. qu’est-ce que le dvlpmt durable ?d. Les réponses actuelles donnent peu

de résultat…

Une forme de réponse à cette dégradation environnementale réside peut-être dans l’idée d’une développement durable- L’idée date des années 80 et du rapport Brundtland (1987)- Elle s’est développée dans les org° internationales : l’ONU a créé le GIEC- Elle anime aujourd’hui les grandes conférences internationales sur le sujet : la 1ère s’est tenu en 1992 à Rio (Sommet de la terre)… et la dernière en date en 2009 à Copenhague

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I – La M° libérale est contestée1) La critique majeure : la M° non

régulée empêche le développement des pays pauvres

a. Le discrédit des grandes agences internationale : la M° est-elle régulée ?b. La M° nuit-elle au développement?2) L’altermondialisme et la critique

de la M° libéralea. De l’antimondialisme à

l’altermondialismeb. Les réponses de l’altermondialisme

à la M° libérale3) La critique environnementale

a. Les modification climatiques et leur lien avec la M°

b. Les csq à moyen et long terme sur l’environnement

c. qu’est-ce que le dvlpmt durable ?d. Les réponses actuelles donnent peu

de résultat…

Les résultats sont toutefois assez maigres et la situation paraît bloquée… -> voir Texte

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

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La conférence de la Convention des Nations Unies sur les changements climatiques (CNUCC)[Réunie à Vienne du 27 au 31 août 2007] La convention de la CNUCC recommande l'extension des mécanismes mis en place par le protocole de Kyoto. En ratifiant ce dernier, trente-cinq pays industriels se sont engagés à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre de 5 % entre 2005 et 2012. Pour les participants à la conférence de Vienne, il est clair que le protocole de Kyoto doit avoir un successeur. Et non moins clair qu'un nouvel accord devra, cette fois, associer les Etats-Unis et l'Australie, générateurs, à eux deux, d'un tiers des émissions mondiales de gaz à effet de serre. A défaut d'établir les règles du jeu pour l'après-2012, la conférence de Vienne a permis aux représentants de 158 pays de confronter leurs positions respectives. Sur la rigueur ou la flexibilité du système à instaurer, les opinions divergent. La France et l'Union européenne, attachées aux acquis de Kyoto, proposent de réduire de 50 % les émissions mondiales de carbone d'ici à 2050, et de fixer pour les pays industriels, Etats-Unis inclus, des objectifs de réduction de 75 %. Mais les pays industrialisés restent partagés sur la question des objectifs et des moyens. Les Américains ont réaffirmé leur soutien à un accord global dans le cadre des Nations unies, tout en précisant qu'ils ne croyaient pas le marché international prêt pour une bourse mondiale du carbone et que les propositions européennes leur paraissaient très ambitieuses. Le protocole de Kyoto prévoit que les entreprises qui dépassent les seuils d'émissions fixés peuvent racheter des quotas sur des marchés du carbone. Parmi les débats soulevés à Vienne, figurent la question de la contribution de pays comme la Chine, le Brésil ou le Mexique, dont le développement économique rapide va de pair avec une augmentation des émissions, et celle des transferts technologiques. Les pays les moins avancés ont souligné la nécessité de développer le volet "adaptation" prévu par le protocole de Kyoto. Trente-neuf pays – industrialisés pour la plupart – produisent 80 % des émissions mondiales de carbone. Mais ce sont les pays du Sud qui risquent d'en payer en premier chef les conséquences : sécheresses, inondations, disparition de terres arables et habitables, pénurie d'eau potable, déplacements de population et recrudescence de certaines maladies.

Le Monde, article de Laurence Monnot, 31 août 200

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La conférence de la Convention des Nations Unies sur les changements climatiques (CNUCC)[Réunie à Vienne du 27 au 31 août 2007] La convention de la CNUCC recommande l'extension des mécanismes mis en place par le protocole de Kyoto. En ratifiant ce dernier, trente-cinq pays industriels se sont engagés à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre de 5 % entre 2005 et 2012. Pour les participants à la conférence de Vienne, il est clair que le protocole de Kyoto doit avoir un successeur. Et non moins clair qu'un nouvel accord devra, cette fois, associer les Etats-Unis et l'Australie, générateurs, à eux deux, d'un tiers des émissions mondiales de gaz à effet de serre. A défaut d'établir les règles du jeu pour l'après-2012, la conférence de Vienne a permis aux représentants de 158 pays de confronter leurs positions respectives. Sur la rigueur ou la flexibilité du système à instaurer, les opinions divergent. La France et l'Union européenne, attachées aux acquis de Kyoto, proposent de réduire de 50 % les émissions mondiales de carbone d'ici à 2050, et de fixer pour les pays industriels, Etats-Unis inclus, des objectifs de réduction de 75 %. Mais les pays industrialisés restent partagés sur la question des objectifs et des moyens. Les Américains ont réaffirmé leur soutien à un accord global dans le cadre des Nations unies, tout en précisant qu'ils ne croyaient pas le marché international prêt pour une bourse mondiale du carbone et que les propositions européennes leur paraissaient très ambitieuses. Le protocole de Kyoto prévoit que les entreprises qui dépassent les seuils d'émissions fixés peuvent racheter des quotas sur des marchés du carbone. Parmi les débats soulevés à Vienne, figurent la question de la contribution de pays comme la Chine, le Brésil ou le Mexique, dont le développement économique rapide va de pair avec une augmentation des émissions, et celle des transferts technologiques. Les pays les moins avancés ont souligné la nécessité de développer le volet "adaptation" prévu par le protocole de Kyoto. Trente-neuf pays – industrialisés pour la plupart – produisent 80 % des émissions mondiales de carbone. Mais ce sont les pays du Sud qui risquent d'en payer en premier chef les conséquences : sécheresses, inondations, disparition de terres arables et habitables, pénurie d'eau potable, déplacements de population et recrudescence de certaines maladies.

Le Monde, article de Laurence Monnot, 31 août 200

Quelle a été la principale réponse proposée par les états au réchauffement climatique ?

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La conférence de la Convention des Nations Unies sur les changements climatiques (CNUCC)[Réunie à Vienne du 27 au 31 août 2007] La convention de la CNUCC recommande l'extension des mécanismes mis en place par le protocole de Kyoto. En ratifiant ce dernier, trente-cinq pays industriels se sont engagés à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre de 5 % entre 2005 et 2012. Pour les participants à la conférence de Vienne, il est clair que le protocole de Kyoto doit avoir un successeur. Et non moins clair qu'un nouvel accord devra, cette fois, associer les Etats-Unis et l'Australie, générateurs, à eux deux, d'un tiers des émissions mondiales de gaz à effet de serre. A défaut d'établir les règles du jeu pour l'après-2012, la conférence de Vienne a permis aux représentants de 158 pays de confronter leurs positions respectives. Sur la rigueur ou la flexibilité du système à instaurer, les opinions divergent. La France et l'Union européenne, attachées aux acquis de Kyoto, proposent de réduire de 50 % les émissions mondiales de carbone d'ici à 2050, et de fixer pour les pays industriels, Etats-Unis inclus, des objectifs de réduction de 75 %. Mais les pays industrialisés restent partagés sur la question des objectifs et des moyens. Les Américains ont réaffirmé leur soutien à un accord global dans le cadre des Nations unies, tout en précisant qu'ils ne croyaient pas le marché international prêt pour une bourse mondiale du carbone et que les propositions européennes leur paraissaient très ambitieuses. Le protocole de Kyoto prévoit que les entreprises qui dépassent les seuils d'émissions fixés peuvent racheter des quotas sur des marchés du carbone. Parmi les débats soulevés à Vienne, figurent la question de la contribution de pays comme la Chine, le Brésil ou le Mexique, dont le développement économique rapide va de pair avec une augmentation des émissions, et celle des transferts technologiques. Les pays les moins avancés ont souligné la nécessité de développer le volet "adaptation" prévu par le protocole de Kyoto. Trente-neuf pays – industrialisés pour la plupart – produisent 80 % des émissions mondiales de carbone. Mais ce sont les pays du Sud qui risquent d'en payer en premier chef les conséquences : sécheresses, inondations, disparition de terres arables et habitables, pénurie d'eau potable, déplacements de population et recrudescence de certaines maladies.

Le Monde, article de Laurence Monnot, 31 août 200

Quelle a été la principale réponse proposée par les états au réchauffement climatique ?- La ratification par 35 pays industriels du protocole de Kyôto est une des principales réponses des États à la question du réchauffement climatique. Signé en 1997, entré en vigueur en 2005, il fixe des objectifs globaux et quantifiés de réduction des GES (– 5,2% pour la période 2008-2012 par rapport au niveau atteint en 1990)

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La conférence de la Convention des Nations Unies sur les changements climatiques (CNUCC)[Réunie à Vienne du 27 au 31 août 2007] La convention de la CNUCC recommande l'extension des mécanismes mis en place par le protocole de Kyoto. En ratifiant ce dernier, trente-cinq pays industriels se sont engagés à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre de 5 % entre 2005 et 2012. Pour les participants à la conférence de Vienne, il est clair que le protocole de Kyoto doit avoir un successeur. Et non moins clair qu'un nouvel accord devra, cette fois, associer les Etats-Unis et l'Australie, générateurs, à eux deux, d'un tiers des émissions mondiales de gaz à effet de serre. A défaut d'établir les règles du jeu pour l'après-2012, la conférence de Vienne a permis aux représentants de 158 pays de confronter leurs positions respectives. Sur la rigueur ou la flexibilité du système à instaurer, les opinions divergent. La France et l'Union européenne, attachées aux acquis de Kyoto, proposent de réduire de 50 % les émissions mondiales de carbone d'ici à 2050, et de fixer pour les pays industriels, Etats-Unis inclus, des objectifs de réduction de 75 %. Mais les pays industrialisés restent partagés sur la question des objectifs et des moyens. Les Américains ont réaffirmé leur soutien à un accord global dans le cadre des Nations unies, tout en précisant qu'ils ne croyaient pas le marché international prêt pour une bourse mondiale du carbone et que les propositions européennes leur paraissaient très ambitieuses. Le protocole de Kyoto prévoit que les entreprises qui dépassent les seuils d'émissions fixés peuvent racheter des quotas sur des marchés du carbone. Parmi les débats soulevés à Vienne, figurent la question de la contribution de pays comme la Chine, le Brésil ou le Mexique, dont le développement économique rapide va de pair avec une augmentation des émissions, et celle des transferts technologiques. Les pays les moins avancés ont souligné la nécessité de développer le volet "adaptation" prévu par le protocole de Kyoto. Trente-neuf pays – industrialisés pour la plupart – produisent 80 % des émissions mondiales de carbone. Mais ce sont les pays du Sud qui risquent d'en payer en premier chef les conséquences : sécheresses, inondations, disparition de terres arables et habitables, pénurie d'eau potable, déplacements de population et recrudescence de certaines maladies.

Le Monde, article de Laurence Monnot, 31 août 200

Quels éléments limitent la portée de ce protocole ?

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

La conférence de la Convention des Nations Unies sur les changements climatiques (CNUCC)[Réunie à Vienne du 27 au 31 août 2007] La convention de la CNUCC recommande l'extension des mécanismes mis en place par le protocole de Kyoto. En ratifiant ce dernier, trente-cinq pays industriels se sont engagés à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre de 5 % entre 2005 et 2012. Pour les participants à la conférence de Vienne, il est clair que le protocole de Kyoto doit avoir un successeur. Et non moins clair qu'un nouvel accord devra, cette fois, associer les Etats-Unis et l'Australie, générateurs, à eux deux, d'un tiers des émissions mondiales de gaz à effet de serre . A défaut d'établir les règles du jeu pour l'après-2012, la conférence de Vienne a permis aux représentants de 158 pays de confronter leurs positions respectives. Sur la rigueur ou la flexibilité du système à instaurer, les opinions divergent. La France et l'Union européenne, attachées aux acquis de Kyoto, proposent de réduire de 50 % les émissions mondiales de carbone d'ici à 2050, et de fixer pour les pays industriels, Etats-Unis inclus, des objectifs de réduction de 75 %. Mais les pays industrialisés restent partagés sur la question des objectifs et des moyens. Les Américains ont réaffirmé leur soutien à un accord global dans le cadre des Nations unies, tout en précisant qu'ils ne croyaient pas le marché international prêt pour une bourse mondiale du carbone et que les propositions européennes leur paraissaient très ambitieuses. Le protocole de Kyoto prévoit que les entreprises qui dépassent les seuils d'émissions fixés peuvent racheter des quotas sur des marchés du carbone. Parmi les débats soulevés à Vienne, figurent la question de la contribution de pays comme la Chine, le Brésil ou le Mexique, dont le développement économique rapide va de pair avec une augmentation des émissions, et celle des transferts technologiques. Les pays les moins avancés ont souligné la nécessité de développer le volet "adaptation" prévu par le protocole de Kyoto. Trente-neuf pays – industrialisés pour la plupart – produisent 80 % des émissions mondiales de carbone. Mais ce sont les pays du Sud qui risquent d'en payer en premier chef les conséquences : sécheresses, inondations, disparition de terres arables et habitables, pénurie d'eau potable, déplacements de population et recrudescence de certaines maladies.

Le Monde, article de Laurence Monnot, 31 août 200

Quels éléments limitent la portée de ce protocole ?3 éléments en limitent la portée :- Il est limité dans le temps : 2008-2010… C’est l’après 2012 qui est en cours de négociation- Il ne concerne que les pays développés : comment traiter les PVD (dont la Chine, 1er émetteur de GES au monde)- La réticence de certains pays développés : les Etats-Unis ou l’Australie n’ont pas ratifié ce protocole !

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

La conférence de la Convention des Nations Unies sur les changements climatiques (CNUCC)[Réunie à Vienne du 27 au 31 août 2007] La convention de la CNUCC recommande l'extension des mécanismes mis en place par le protocole de Kyoto. En ratifiant ce dernier, trente-cinq pays industriels se sont engagés à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre de 5 % entre 2005 et 2012. Pour les participants à la conférence de Vienne, il est clair que le protocole de Kyoto doit avoir un successeur. Et non moins clair qu'un nouvel accord devra, cette fois, associer les Etats-Unis et l'Australie, générateurs, à eux deux, d'un tiers des émissions mondiales de gaz à effet de serre. A défaut d'établir les règles du jeu pour l'après-2012, la conférence de Vienne a permis aux représentants de 158 pays de confronter leurs positions respectives. Sur la rigueur ou la flexibilité du système à instaurer, les opinions divergent. La France et l'Union européenne, attachées aux acquis de Kyoto, proposent de réduire de 50 % les émissions mondiales de carbone d'ici à 2050, et de fixer pour les pays industriels, Etats-Unis inclus, des objectifs de réduction de 75 %. Mais les pays industrialisés restent partagés sur la question des objectifs et des moyens. Les Américains ont réaffirmé leur soutien à un accord global dans le cadre des Nations unies, tout en précisant qu'ils ne croyaient pas le marché international prêt pour une bourse mondiale du carbone et que les propositions européennes leur paraissaient très ambitieuses. Le protocole de Kyoto prévoit que les entreprises qui dépassent les seuils d'émissions fixés peuvent racheter des quotas sur des marchés du carbone. Parmi les débats soulevés à Vienne, figurent la question de la contribution de pays comme la Chine, le Brésil ou le Mexique, dont le développement économique rapide va de pair avec une augmentation des émissions, et celle des transferts technologiques. Les pays les moins avancés ont souligné la nécessité de développer le volet "adaptation" prévu par le protocole de Kyoto. Trente-neuf pays – industrialisés pour la plupart – produisent 80 % des émissions mondiales de carbone. Mais ce sont les pays du Sud qui risquent d'en payer en premier chef les conséquences : sécheresses, inondations, disparition de terres arables et habitables, pénurie d'eau potable, déplacements de population et recrudescence de certaines maladies.

Le Monde, article de Laurence Monnot, 31 août 200

Quels sont les divergences qui bloquent les négociations actuelles ?

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

La conférence de la Convention des Nations Unies sur les changements climatiques (CNUCC)[Réunie à Vienne du 27 au 31 août 2007] La convention de la CNUCC recommande l'extension des mécanismes mis en place par le protocole de Kyoto. En ratifiant ce dernier, trente-cinq pays industriels se sont engagés à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre de 5 % entre 2005 et 2012. Pour les participants à la conférence de Vienne, il est clair que le protocole de Kyoto doit avoir un successeur. Et non moins clair qu'un nouvel accord devra, cette fois, associer les Etats-Unis et l'Australie, générateurs, à eux deux, d'un tiers des émissions mondiales de gaz à effet de serre. A défaut d'établir les règles du jeu pour l'après-2012, la conférence de Vienne a permis aux représentants de 158 pays de confronter leurs positions respectives. Sur la rigueur ou la flexibilité du système à instaurer, les opinions divergent. La France et l'Union européenne, attachées aux acquis de Kyoto, proposent de réduire de 50 % les émissions mondiales de carbone d'ici à 2050, et de fixer pour les pays industriels, Etats-Unis inclus, des objectifs de réduction de 75 %. Mais les pays industrialisés restent partagés sur la question des objectifs et des moyens. Les Américains ont réaffirmé leur soutien à un accord global dans le cadre des Nations unies, tout en précisant qu'ils ne croyaient pas le marché international prêt pour une bourse mondiale du carbone et que les propositions européennes leur paraissaient très ambitieuses. Le protocole de Kyoto prévoit que les entreprises qui dépassent les seuils d'émissions fixés peuvent racheter des quotas sur des marchés du carbone. Parmi les débats soulevés à Vienne, figurent la question de la contribution de pays comme la Chine, le Brésil ou le Mexique, dont le développement économique rapide va de pair avec une augmentation des émissions, et celle des transferts technologiques. Les pays les moins avancés ont souligné la nécessité de développer le volet "adaptation" prévu par le protocole de Kyoto. Trente-neuf pays – industrialisés pour la plupart – produisent 80 % des émissions mondiales de carbone. Mais ce sont les pays du Sud qui risquent d'en payer en premier chef les conséquences : sécheresses, inondations, disparition de terres arables et habitables, pénurie d'eau potable, déplacements de population et recrudescence de certaines maladies.

Le Monde, article de Laurence Monnot, 31 août 200

Quels sont les difficultés qui bloquent les négociations actuelles ?5 grandes difficultés sont présentées dans le texte :- Le coût financier de la réduction des émissions de GES- Réduire… oui, mais de combien ? Personne n’est d’accord !- Comment faire pour les réduire ?- Comment intégrer les PVD au protocole ?- Faut-il accepter de transférer massivement des technologies dans les pays du Sud pour remplir les objectifs ?

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

La conférence de la Convention des Nations Unies sur les changements climatiques (CNUCC)[Réunie à Vienne du 27 au 31 août 2007] La convention de la CNUCC recommande l'extension des mécanismes mis en place par le protocole de Kyoto. En ratifiant ce dernier, trente-cinq pays industriels se sont engagés à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre de 5 % entre 2005 et 2012. Pour les participants à la conférence de Vienne, il est clair que le protocole de Kyoto doit avoir un successeur. Et non moins clair qu'un nouvel accord devra, cette fois, associer les Etats-Unis et l'Australie, générateurs, à eux deux, d'un tiers des émissions mondiales de gaz à effet de serre. A défaut d'établir les règles du jeu pour l'après-2012, la conférence de Vienne a permis aux représentants de 158 pays de confronter leurs positions respectives. Sur la rigueur ou la flexibilité du système à instaurer, les opinions divergent. La France et l'Union européenne, attachées aux acquis de Kyoto, proposent de réduire de 50 % les émissions mondiales de carbone d'ici à 2050, et de fixer pour les pays industriels, Etats-Unis inclus, des objectifs de réduction de 75 %. Mais les pays industrialisés restent partagés sur la question des objectifs et des moyens. Les Américains ont réaffirmé leur soutien à un accord global dans le cadre des Nations unies, tout en précisant qu'ils ne croyaient pas le marché international prêt pour une bourse mondiale du carbone et que les propositions européennes leur paraissaient très ambitieuses. Le protocole de Kyoto prévoit que les entreprises qui dépassent les seuils d'émissions fixés peuvent racheter des quotas sur des marchés du carbone. Parmi les débats soulevés à Vienne, figurent la question de la contribution de pays comme la Chine, le Brésil ou le Mexique, dont le développement économique rapide va de pair avec une augmentation des émissions, et celle des transferts technologiques. Les pays les moins avancés ont souligné la nécessité de développer le volet "adaptation" prévu par le protocole de Kyoto. Trente-neuf pays – industrialisés pour la plupart – produisent 80 % des émissions mondiales de carbone. Mais ce sont les pays du Sud qui risquent d'en payer en premier chef les conséquences : sécheresses, inondations, disparition de terres arables et habitables, pénurie d'eau potable, déplacements de population et recrudescence de certaines maladies.

Le Monde, article de Laurence Monnot, 31 août 200

Ces questions n’ont pas trouvé de solution lors de la dernière conférence de Copenhague (décembre 2009) : USA et Chine se sont opposés sur leurs responsabilités, se renvoyant la balle et faisant échouer la conférence. Une prochaine est en préparation, à Bonn, en Allemagne, mais elle s’annonce délicate…

I – La M° libérale est contestée1) La critique majeure : la M° non

régulée empêche le développement des pays pauvres

a. Le discrédit des grandes agences internationale : la M° est-elle régulée ?b. La M° nuit-elle au développement?2) L’altermondialisme et la critique

de la M° libéralea. De l’antimondialisme à

l’altermondialismeb. Les réponses de l’altermondialisme

à la M° libérale3) La critique environnementale

a. Les modification climatiques et leur lien avec la M°

b. Les csq à moyen et long terme sur l’environnement

c. qu’est-ce que le dvlpmt durable ?d. Les réponses actuelles donnent peu

de résultat…

Bilan : l’altermondialisme propose de sortir du mode de pensée dominant libéral pour organiser l’espace mondial autour d’une plus grande solidarité entre les peuples (pour rééquilibrer le différentiel Nord-Sud) et d’une implication environnementale plus respectueuse des équilibres écologiques

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

II – les états (-nations) restent des déterminants essentiels de

l’org° géo mondiale1) Le pouvoir des états en qst°

a. L’essor du libéralisme a réduit les intervent° des états dans les domaines

éco et sociauxb. Mais les états restent des interlocuteurs fondamentaux

2) Des états qui se regroupent en blocs régionaux

a. L’essor des org° éco. régionales [OER]

b. La pertinence de l’échelle régionale, entre les états et le monde ?

Si la mondialisation organise l’espace mondial global, d’autres logiques d’organisation territoriale à échelle plus réduite tentent de se mettre en place…

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

II – les états (-nations) restent des déterminants essentiels de

l’org° géo mondiale1) Le pouvoir des états en qst°

a. L’essor du libéralisme a réduit les intervent° des états dans les domaines

éco et sociauxb. Mais les états restent des interlocuteurs fondamentaux

2) Des états qui se regroupent en blocs régionaux

a. L’essor des org° éco. régionales [OER]

b. La pertinence de l’échelle régionale, entre les états et le monde ?

L’échelle géographique la plus évidente pour tout un chacun est bien sûr celle de son pays. Or les théories libérales concourent à limiter le champ d’action des états… Plusieurs éléments ont concouru à affaiblir l’idée même d’état…

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

II – les états (-nations) restent des déterminants essentiels de

l’org° géo mondiale1) Le pouvoir des états en qst°

a. L’essor du libéralisme a réduit les intervent° des états dans les domaines

éco et sociauxb. Mais les états restent des interlocuteurs fondamentaux

2) Des états qui se regroupent en blocs régionaux

a. L’essor des org° éco. régionales [OER]

b. La pertinence de l’échelle régionale, entre les états et le monde ?

L’échelle géographique la plus évidente pour tout un chacun est bien sûr celle de son pays. Or les théories libérales concourent à limiter le champ d’action des états… Plusieurs éléments ont concouru à affaiblir l’idée même d’état…- Depuis la chute du bloc de l’Est, l’extension du capitalisme libéral à conduit à développer le libre échange et donc à dissoudre la notion de frontière

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

II – les états (-nations) restent des déterminants essentiels de

l’org° géo mondiale1) Le pouvoir des états en qst°

a. L’essor du libéralisme a réduit les intervent° des états dans les domaines

éco et sociauxb. Mais les états restent des interlocuteurs fondamentaux

2) Des états qui se regroupent en blocs régionaux

a. L’essor des org° éco. régionales [OER]

b. La pertinence de l’échelle régionale, entre les états et le monde ?

L’échelle géographique la plus évidente pour tout un chacun est bien sûr celle de son pays. Or les théories libérales concourent à limiter le champ d’action des états… Plusieurs éléments ont concouru à affaiblir l’idée même d’état…- Depuis la chute du bloc de l’Est, l’extension du capitalisme libéral à conduit à développer le libre échange et donc à dissoudre la notion de frontière- Les FTN dépassent l’action des états

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II – les états (-nations) restent des déterminants essentiels de

l’org° géo mondiale1) Le pouvoir des états en qst°

a. L’essor du libéralisme a réduit les intervent° des états dans les domaines

éco et sociauxb. Mais les états restent des interlocuteurs fondamentaux

2) Des états qui se regroupent en blocs régionaux

a. L’essor des org° éco. régionales [OER]

b. La pertinence de l’échelle régionale, entre les états et le monde ?

L’échelle géographique la plus évidente pour tout un chacun est bien sûr celle de son pays. Or les théories libérales concourent à limiter le champ d’action des états… Plusieurs éléments ont concouru à affaiblir l’idée même d’état…- Depuis la chute du bloc de l’Est, l’extension du capitalisme libéral à conduit à développer le libre échange et donc à dissoudre la notion de frontière- Les FTN dépassent l’action des états- La libéralisation est passée par le désengagement de l’état de nbx secteurs à présent ouverts à la concurrence : l’eau, l’énergie, la santé, la poste, l’éducation…

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II – les états (-nations) restent des déterminants essentiels de

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a. L’essor du libéralisme a réduit les intervent° des états dans les domaines

éco et sociauxb. Mais les états restent des interlocuteurs fondamentaux

2) Des états qui se regroupent en blocs régionaux

a. L’essor des org° éco. régionales [OER]

b. La pertinence de l’échelle régionale, entre les états et le monde ?

L’échelle géographique la plus évidente pour tout un chacun est bien sûr celle de son pays. Or les théories libérales concourent à limiter le champ d’action des états… Plusieurs éléments ont concouru à affaiblir l’idée même d’état…- Dans les années 90, l’idée d’un droit d’ingérence (humanitaire) dans les affaires intérieures d’un état a limité la souveraineté jusque là attribuée aux états (ex : intervention US en Somalie en 1993)

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

II – les états (-nations) restent des déterminants essentiels de

l’org° géo mondiale1) Le pouvoir des états en qst°

a. L’essor du libéralisme a réduit les intervent° des états dans les domaines

éco et sociauxb. Mais les états restent des interlocuteurs fondamentaux

2) Des états qui se regroupent en blocs régionaux

a. L’essor des org° éco. régionales [OER]

b. La pertinence de l’échelle régionale, entre les états et le monde ?

Pourtant, plus que jamais, l’état est un acteur indispensable :

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

II – les états (-nations) restent des déterminants essentiels de

l’org° géo mondiale1) Le pouvoir des états en qst°

a. L’essor du libéralisme a réduit les intervent° des états dans les domaines

éco et sociauxb. Mais les états restent des interlocuteurs fondamentaux

2) Des états qui se regroupent en blocs régionaux

a. L’essor des org° éco. régionales [OER]

b. La pertinence de l’échelle régionale, entre les états et le monde ?

Pourtant, plus que jamais, l’état est un acteur indispensable :- L’état nation reste le cadre de vie évident des sociétés : il y a 200 aujourd’hui (4 fois + qu’en 1945)

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

II – les états (-nations) restent des déterminants essentiels de

l’org° géo mondiale1) Le pouvoir des états en qst°

a. L’essor du libéralisme a réduit les intervent° des états dans les domaines

éco et sociauxb. Mais les états restent des interlocuteurs fondamentaux

2) Des états qui se regroupent en blocs régionaux

a. L’essor des org° éco. régionales [OER]

b. La pertinence de l’échelle régionale, entre les états et le monde ?

Pourtant, plus que jamais, l’état est un acteur indispensable :- L’état nation reste le cadre de vie évident des sociétés : il y a 200 aujourd’hui (4 fois + qu’en 1945)- Ce sont bien les états et eux seuls qui négocient les accords internationaux !

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

II – les états (-nations) restent des déterminants essentiels de

l’org° géo mondiale1) Le pouvoir des états en qst°

a. L’essor du libéralisme a réduit les intervent° des états dans les domaines

éco et sociauxb. Mais les états restent des interlocuteurs fondamentaux

2) Des états qui se regroupent en blocs régionaux

a. L’essor des org° éco. régionales [OER]

b. La pertinence de l’échelle régionale, entre les états et le monde ?

Pourtant, plus que jamais, l’état est un acteur indispensable :- L’état nation reste le cadre de vie évident des sociétés : il y a 200 aujourd’hui (4 fois + qu’en 1945)- Ce sont bien les états et eux seuls qui négocient les accords internationaux !- Certaines fonctions (dites régaliennes) restent propres à l’état : l’armée, la justice, la fiscalité

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

II – les états (-nations) restent des déterminants essentiels de

l’org° géo mondiale1) Le pouvoir des états en qst°

a. L’essor du libéralisme a réduit les intervent° des états dans les domaines

éco et sociauxb. Mais les états restent des interlocuteurs fondamentaux

2) Des états qui se regroupent en blocs régionaux

a. L’essor des org° éco. régionales [OER]

b. La pertinence de l’échelle régionale, entre les états et le monde ?

Pourtant, plus que jamais, l’état est un acteur indispensable :- L’état nation reste le cadre de vie évident des sociétés : il y a 200 aujourd’hui (4 fois + qu’en 1945)- Ce sont bien les états et eux seuls qui négocient les accords internationaux !- Certaines fonctions (dites régaliennes) restent propres à l’état : l’armée, la justice, la fiscalité- L’état reste maître de sa stratégie économique : cf. le Brésil vis-à-vis du FMI…

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

II – les états (-nations) restent des déterminants essentiels de

l’org° géo mondiale1) Le pouvoir des états en qst°

a. L’essor du libéralisme a réduit les intervent° des états dans les domaines

éco et sociauxb. Mais les états restent des interlocuteurs fondamentaux

2) Des états qui se regroupent en blocs régionaux

a. L’essor des org° éco. régionales [OER]

b. La pertinence de l’échelle régionale, entre les états et le monde ?

Pourtant, plus que jamais, l’état est un acteur indispensable :- L’état nation reste le cadre de vie évident des sociétés : il y a 200 aujourd’hui (4 fois + qu’en 1945)- Ce sont bien les états et eux seuls qui négocient les accords internationaux !- Certaines fonctions (dites régaliennes) restent propres à l’état : l’armée, la justice, la fiscalité- L’état reste maître de sa stratégie économique : cf. le Brésil vis-à-vis du FMI…- Et puis en cas de crise, l’état reste le dernier rempart (cf. en 2007-8 lors de la crise des subprimes)

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

II – les états (-nations) restent des déterminants essentiels de

l’org° géo mondiale1) Le pouvoir des états en qst°

a. L’essor du libéralisme a réduit les intervent° des états dans les domaines

éco et sociauxb. Mais les états restent des interlocuteurs fondamentaux

2) Des états qui se regroupent en blocs régionaux

a. L’essor des org° éco. régionales [OER]

b. La pertinence de l’échelle régionale, entre les états et le monde ?

Certes un état seul est isolé : les états ont donc tendance à se regrouper, à former des Organisations (Economiques) Régionales, les OER, qui reconfigurent la géographie du monde

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

II – les états (-nations) restent des déterminants essentiels de

l’org° géo mondiale1) Le pouvoir des états en qst°

a. L’essor du libéralisme a réduit les intervent° des états dans les domaines

éco et sociauxb. Mais les états restent des interlocuteurs fondamentaux

2) Des états qui se regroupent en blocs régionaux

a. L’essor des org° éco. régionales [OER]

b. La pertinence de l’échelle régionale, entre les états et le monde ?

Doc carte des org° éco régionales (OER)

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

1ère remarque : il y en de OER partout, tous les continents sont touchés par cette tendance à créer des régions pluri-étatiques au sein de la mondialisation

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

2e remarque: ces OER sont des structures de libre-échange, qui cherchent à créer des conditions favorables au commerce entre les pays qui les composent

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

3e remarque: 4 OER sont à connaître géographiquement :- Le MERCOSUR- L’ALENA- L’UE- L’ASEAN- Une 5e émerge actuellement : l’Organisation Economique de Shanghaï (OCS), qui regroupe la Russie, la Chine et d’autres pays d’Asie centrale (Kazakhstan…)

II – les états (-nations) restent des déterminants essentiels de

l’org° géo mondiale1) Le pouvoir des états en qst°

a. L’essor du libéralisme a réduit les intervent° des états dans les domaines

éco et sociauxb. Mais les états restent des interlocuteurs fondamentaux

2) Des états qui se regroupent en blocs régionaux

a. L’essor des org° éco. régionales [OER]

b. La pertinence de l’échelle régionale, entre les états et le monde ?

Doc 2 page 72Le tableau montre qu’il existe différentes formes d’OER :- Les Asso° régionales : OER- Les zones de libre-échange (pas de restrictions douanières entre les membres) : ALENA- Les Unions douanières (idem + mêmes règles vis-à-vis de l’extérieur ) : MERCOSUR- Les marchés communs (idem + libre circulation) : ASEA N- Les unions économiques (idem + monnaie unique) : UE

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

II – les états (-nations) restent des déterminants essentiels de

l’org° géo mondiale1) Le pouvoir des états en qst°

a. L’essor du libéralisme a réduit les intervent° des états dans les domaines

éco et sociauxb. Mais les états restent des interlocuteurs fondamentaux

2) Des états qui se regroupent en blocs régionaux

a. L’essor des org° éco. régionales [OER]

b. La pertinence de l’échelle régionale, entre les états et le monde ?

Quelle est la pertinence de ces organisations régionales dans la mondialisation ?

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

Ces org° ont tendance à privilégier les relations commerciales intra-zone (grosso modo 1/3 à l’extérieur et 2/3 à l’extérieur pour l’UE et l’ALENA)

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

Le développement des échanges est directement déterminé par l’ampleur de l’intégration régionale. Plus l’intégration est poussée, plus les échanges progressent : voyez le cas de l’UE

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

Début de la CEE en 1957 : mise en place progressive du

marché commun

Le développement des échanges est directement déterminé par l’ampleur de l’intégration régionale. Plus l’intégration est poussée, plus les échanges progressent : voyez le cas de l’UE

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

Début de la CEE en 1957 : mise en place progressive du

marché commun

1986 : Acte unique qui envisage la monnaie commune, et met en

place l’Union Européenne (libre circulation). Csq : augmentation des échanges dans les

années 90

Le développement des échanges est directement déterminé par l’ampleur de l’intégration régionale. Plus l’intégration est poussée, plus les échanges progressent : voyez le cas de l’UE

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

Début de la CEE en 1957 : mise en place progressive du

marché commun

1986 : Acte unique qui envisage la monnaie commune, et met en

place l’Union Européenne (libre circulation). Csq : augmentation des échanges dans les

années 90

Mise en place de l’Euro de

1999 à 2002 : nouvelle

augmentation des échanges

intra-zone

Le développement des échanges est directement déterminé par l’ampleur de l’intégration régionale. Plus l’intégration est poussée, plus les échanges progressent : voyez le cas de l’UE

II – les états (-nations) restent des déterminants essentiels de

l’org° géo mondiale1) Le pouvoir des états en qst°

a. L’essor du libéralisme a réduit les intervent° des états dans les domaines

éco et sociauxb. Mais les états restent des interlocuteurs fondamentaux

2) Des états qui se regroupent en blocs régionaux

a. L’essor des org° éco. régionales [OER]

b. La pertinence de l’échelle régionale, entre les états et le monde ?

Quelle est la pertinence de ces organisations régionales dans la mondialisation ?Réponse : les OER constituent une réponse pertinente à la mondialisation, en introduisant entre l’échelle de états (trop petite) et l’échelle mondiale (souvent trop global) une échelle régionale intermédiaire destinée à développer les échanges à l’intérieur de la zone

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

III – Les civilisations organisent encore la géo mondiale : vers un

choc des civilisations ?1) Langues et religions dans le

monde : un état des lieuxa. Le devenir des langues : un état des

lieux inquiétantb. Les grandes religions

2) Une pluralité de civilisationsa. Une géographie des aires de

civilisationb. Vers un choc des civilisations ?

Conclusion

Il reste un dernier niveau d’organisation géographique, qui échappe bien souvent à la logique de la mondialisation : l’échelle civilisationnelle

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

III – Les civilisations organisent encore la géo mondiale : vers un

choc des civilisations ?1) Langues et religions dans le

monde : un état des lieuxa. Le devenir des langues : un état des

lieux inquiétantb. Les grandes religions

2) Une pluralité de civilisationsa. Une géographie des aires de

civilisationb. Vers un choc des civilisations ?

Conclusion

Il reste un dernier niveau d’organisation géographique, qui échappe bien souvent à la logique de la mondialisation : l’échelle civilisationnellePlusieurs paramètres définissent habituellement ce qu’est une civilisation :- La langue- La religion- …

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

III – Les civilisations organisent encore la géo mondiale : vers un

choc des civilisations ?1) Langues et religions dans le

monde : un état des lieuxa. Le devenir des langues : un état des

lieux inquiétantb. Les grandes religions

2) Une pluralité de civilisationsa. Une géographie des aires de

civilisationb. Vers un choc des civilisations ?

Conclusion

Les langues constituent une logique d’organisation culturelle du monde : elles créent des régions culturelles disposant chacune de leur identité

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

Les langues multiétatiques sont celles qui sont parlées dans plusieurs états… Les principales (dont il faut connaître globalement la géographie) sont :

- Le français- L’anglais- L’espagnol- Le portugais- Le russe- L’arabe- Le chinois

Leur diffusion tient au phénomène de colonisation(ancien –moyen âge pour l’arabe par exemple-, moderne –grandes découvertes pour l’espagnol ou le portugais-,ou contemporain –colonisation anglaise ou française-). L’anglais est évidemment la langue dominante de la mondialisation...

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

Certains types de langues, qui englobent peu de langues différentes, sont beaucoup parlées : par exemple les langues indo-européenne, ou le Chinois

D’autres types de langues, qui englobent un grand nombre de langues sont parlées par une population réduite :

par exemple les langues d’Afrique ou d’Océanie

Ce processus se traduit par une disparition progressive des langues peu représentées numériquement : il y a actuellement 5000 langues différentes dans le monde, pour 200 états : 4500 sont en danger d’extinction. Les estimations pessimistes considèrent qu’elles auront disparu d’ici 1 siècle…

Où le risque est-il le plus grand ?

Où le risque est-il le plus grand ?- En Amérique du Nord (langues amérindiennes), en Afrique australe (langues bantoues), en Australie (langues aborigènes)… Bref, surtout dans les zones d’expression anglosaxonne

Où le risque est-il le plus grand ?-En Amérique du Nord (langues amérindiennes), en Afrique australe (langues bantoues), en Australie (langues aborigènes)… Bref, surtout dans les zones d’expression anglosaxonne- Risque d’uniformisation linguistique (voir le site de l’association Sorosoro) et de perte culturelle : une langue qui disparaît, c’est une culture qui s’évanouit

III – Les civilisations organisent encore la géo mondiale : vers un

choc des civilisations ?1) Langues et religions dans le

monde : un état des lieuxa. Le devenir des langues : un état des

lieux inquiétantb. Les grandes religions

2) Une pluralité de civilisationsa. Une géographie des aires de

civilisationb. Vers un choc des civilisations ?

Conclusion

Les religions constituent un autre critère d’organisation de la géographie mondiale et déterminent là encore des identités fortes, parfois antagonistes…

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

Le christianisme (sous ses 3 grandes formes : catholique, orthodoxe et protestante) domine : 2 milliards d’adeptesL’Islam (sous ses 2 formes : sunnite et chiite) est la 2e plus grande religion : 1,2 milliards d’adeptesViennent ensuite les religions asiatiques : Hindouisme, Bouddhisme…

L’islam domine de l’Afrique saharienne à

l’Asie centrale ; il domine également en Asie du Sud

(Indonésie)

Le christianisme catholique domine en Europe occidentale et du Sud, en Amérique latine et Afrique centrale (zones de colonisation européenne latine :

Espagne, Portugal, France, Belgique)Le christianisme protestant domine en Amérique du Nord, Europe du Nord,

Afrique australe et Océanie (zones de colonisation anglo-saxonne)Le christianisme orthodoxe domine Russie

3 grandes fractures divisent le monde religieux

:

3 grandes fractures divisent le monde religieux

:

En Afrique (et Moyen-Orient) entre Islam et

Christianisme

3 grandes fractures divisent le monde religieux

:

En Afrique (et Moyen-Orient) entre Islam et

Christianisme

En Europe, entre les 3 christianismes

3 grandes fractures divisent le monde religieux

:

En Afrique (et Moyen-Orient) entre Islam et

Christianisme

En Europe, entre les 3 christianismes

Dans le sous-continent indien, entre l’hindouisme

et l’Islam

La mondialisation a un effet ambigu sur les religions :

-D’un côté elle les pousse à se diffuser (logique mondialisatrice)

- De l’autre, elle les poussent à se refermer sur elles, comme un réflexe identitaire face à l’uniformisation culturelle imposée par la mondialisation. Cf. : opposition violente entre

hindouistes et musulman en Inde, entre islam et christianisme en Afrique

III – Les civilisations organisent encore la géo mondiale : vers un

choc des civilisations ?1) Langues et religions dans le

monde : un état des lieuxa. Le devenir des langues : un état des

lieux inquiétantb. Les grandes religions

2) Une pluralité de civilisationsa. Une géographie des aires de

civilisationb. Vers un choc des civilisations ?

Conclusion

Ces groupes culturelles, linguistes et religieux déterminent des« régions civilisationnelles » que l’on peut grossièrement cartographier à travers le croquis suivant

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

Civilisation chinoise : vieille civilisation, très hiérarchisées, construite autour d’un état central puissant

Civilisation chinoise

Civilisation hindoue : vieille civilisation, là aussi très hiérarchisée en termes de fonctionnement social (castes) et fondée sur un état fort

Civilisation chinoise

Civilisation hindoue

Civilisation japonaise : encore une vieille civilisation, là aussi socialement très hiérarchisée, avec une tradition d’état fort incarné dans l’empereur

Civilisation chinoise

Civilisation hindoue

Civilisation japonaise

Civilisation islamique : univers civilisationnel plus récent (7e siècle), construit autour d’une religion qui inspire la vie politique et juridique (loi islamique), mais absence d’un état dominant, d’où une forte fragmentation politique, créant des conflits

Civilisation chinoise

Civilisation hindoue

Civilisation japonaise

civilisation islamique

Civilisation africaine : civilisation marquée par une grande pluralité religieuse (animisme, christianisme, islam) et par l’absence d’une référence étatique forte ; d’où fragmentation et instabilité

Civilisation chinoise

Civilisation hindoue

Civilisation japonaise

civilisation islamique

Civilisation africaine

Civilisation orthodoxe : univers doublement marqué par l’impérialisme russe et par l’orthodoxie chrétienne ; la période soviétique adopte complètement ce modèle (état fort, conquérant…)

Civilisation chinoise

Civilisation hindoue

Civilisation japonaise

civilisation islamique

Civilisation africaine

Civilisation orthodoxe

Civilisation occidentale : marquée par le christianisme et divers héritages historique : l’empire romain, la révolution française et les Lumières dont elle proclame le caractère « universel » (donc extensif…)

Civilisation chinoise

Civilisation hindoue

Civilisation japonaise

civilisation islamique

Civilisation africaine

Civilisation orthodoxe

Civilisation occidentale

Civilisation latino-américaine : marquée par l’héritage colonial (langue, religion) et par la proximité américaine

III – Les civilisations organisent encore la géo mondiale : vers un

choc des civilisations ?1) Langues et religions dans le

monde : un état des lieuxa. Le devenir des langues : un état des

lieux inquiétantb. Les grandes religions

2) Une pluralité de civilisationsa. Une géographie des aires de

civilisationb. Vers un choc des civilisations ?

Conclusion

Cette description (qui n’est pas unanimement reconnue) a été proposée, en 1996, par le savant américain Samuel Huntington qui considère que ces univers civilisationnels sont en état d’opposition continuel : théorie du choc des civilisations

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

III – Les civilisations organisent encore la géo mondiale : vers un

choc des civilisations ?1) Langues et religions dans le

monde : un état des lieuxa. Le devenir des langues : un état des

lieux inquiétantb. Les grandes religions

2) Une pluralité de civilisationsa. Une géographie des aires de

civilisationb. Vers un choc des civilisations ?

Conclusion

Cette description (qui n’est pas unanimement reconnue) a été proposée, en 1996, par le savant américain Samuel Huntington qui considère que ces univers civilisationnels sont en état d’opposition continuel : théorie du choc des civilisationsLes attentats du 11 septembre 2001 ont semblé lui donner raison, mais sa théorie est critiquée car trop souvent simplificatrice…

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

III – Les civilisations organisent encore la géo mondiale : vers un

choc des civilisations ?1) Langues et religions dans le

monde : un état des lieuxa. Le devenir des langues : un état des

lieux inquiétantb. Les grandes religions

2) Une pluralité de civilisationsa. Une géographie des aires de

civilisationb. Vers un choc des civilisations ?

Conclusion

Il n’est pas possible de se contenter d’une seule vision du monde (occidentale et libérale) :

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

III – Les civilisations organisent encore la géo mondiale : vers un

choc des civilisations ?1) Langues et religions dans le

monde : un état des lieuxa. Le devenir des langues : un état des

lieux inquiétantb. Les grandes religions

2) Une pluralité de civilisationsa. Une géographie des aires de

civilisationb. Vers un choc des civilisations ?

Conclusion

Il n’est pas possible de se contenter d’une seule vision du monde (occidentale et libérale) :- Parce que la mondialisation est contestée à toutes les échelles (inégalités nord-sud…)

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

III – Les civilisations organisent encore la géo mondiale : vers un

choc des civilisations ?1) Langues et religions dans le

monde : un état des lieuxa. Le devenir des langues : un état des

lieux inquiétantb. Les grandes religions

2) Une pluralité de civilisationsa. Une géographie des aires de

civilisationb. Vers un choc des civilisations ?

Conclusion

Il n’est pas possible de se contenter d’une seule vision du monde (occidentale et libérale) :- Parce que la mondialisation est contestée à toutes les échelles (inégalités nord-sud…)- Parce que les états restent des acteurs incontournables

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

III – Les civilisations organisent encore la géo mondiale : vers un

choc des civilisations ?1) Langues et religions dans le

monde : un état des lieuxa. Le devenir des langues : un état des

lieux inquiétantb. Les grandes religions

2) Une pluralité de civilisationsa. Une géographie des aires de

civilisationb. Vers un choc des civilisations ?

Conclusion

Il n’est pas possible de se contenter d’une seule vision du monde (occidentale et libérale) :- Parce que la mondialisation est contestée à toutes les échelles (inégalités nord-sud…)- Parce que les états restent des acteurs incontournables- Parce que la mondialisation ne touche par tous les lieux et tous les hommes de la même façon et qu’elle produit de forts réflexes identitaires

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°

III – Les civilisations organisent encore la géo mondiale : vers un

choc des civilisations ?1) Langues et religions dans le

monde : un état des lieuxa. Le devenir des langues : un état des

lieux inquiétantb. Les grandes religions

2) Une pluralité de civilisationsa. Une géographie des aires de

civilisationb. Vers un choc des civilisations ?

Conclusion

Il n’est pas possible de se contenter d’une seule vision du monde (occidentale et libérale) :- Parce que la mondialisation est contestée à toutes les échelles (inégalités nord-sud…)- Parce que les états restent des acteurs incontournables- Parce que la mondialisation ne touche par tous les lieux et tous les hommes de la même façon et qu’elle produit de forts réflexes identitaires- Et puis, parce que… la crise modifie les rapports de forces

Chap. 2 - D’autres logiques d’org°