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d'Issoirexante-quinze centiares, numéro 1395 p,section D, comprises sous les articlesneuf et dix, a été adjugé à Jean RAY-NAUD-FLAGEL, propriétaire, demeurantà Saillant, pour la somme de cinq centsoixante francs outre les charges.

Le septième lot comprenant le prédit pra Redon, article onze, a été idjugA àLouis SAIUTIER-YILLAMEAUX, pro-priétaire, demourant au môme lieu,moyennant la somme de trois centcinq francs outre les charges.

Le huitième lot comprenant les deuxterres de Pradinal; comprises sous lesarticles douze et treize, l'une d'environquarante-six ares quatre-vingts centiareset l'autre de cinquante-huit ares cin-quante centiares, a été adjugé à AntoineRABANY époux de Madeleine BOISSAT,propriétaire, demeurant à Saillant, à lasomme de mille cinq francs onlre les char-ges, et à l'instant, M. Rabany a déclaréavoir surenchéri pour lu compte de Mon-sieur. J -B. MONTAGNE, époux dedame Alphousiue RABANY, propriétaire,demeurant à Saillant, son mandant, auxtermes d'une procuration a lui donnée,reçue M0 Dumoulin, notaire à Cham-peix.

Le neuvième lot composé d'une terresise mêmes dépendances, au lieu ditRozier.de trente-un ares quatre-vingt-deuxcentiares, article onze de la désignation,a été adjugé à Antoine RABANY-BOIS-SAT, propriétaire, demeurant à Saillant,moyennant le prix de six cents francsoutra les charges.

Le dixième lot composé d'une terresise même commune au lieu dit Boisse-ras, d'une contenance d'environ cinquanteneuf are?, compris sous l'article quinze,a été adjugé à Jean RAYNAUD-FLA-GEL sus-nommé, moyennant le prix dehuit cents francs outre les charges.

Copie collationnée de ces quatre con^irats de vente a été déposée au greffe dutribunal civil d'Issoire, le premier marsmil huit cent quatre-vingt-dix-neuf, ainsiqu'il résulte de l'acte de dépôt dressé lemôme jour par monsieur le greffier dudit tribunal, dûment enregistré et affichéconformément à la loi, ainsi qu'il résulteaussi du certificat d'affiche délivré lemême jour par le greffier.

Ol acte du dépôt a été signifié à 1°monsieur le Procureur de la Républiqueprès le tribunal civil d'Issoire ;

2° A madame Françoise Servierépouse du sieur François Jeuf, domici-liée à baillant, mais résidants Murols etaudit François Jeuf, pris tant en son nompersonnel comme administrateur des biensde sa femme que pour la validité à sonégard, propriétaire demeurant à Saillant,par exploit du ministère de Rouvet huis-sier à Issoire, en date du vingt-huitmars mil huit cent quatre-vingt-dix-neuf, enregistré.

Avec déclaration à monsieur le Pro-cureur de la République et auxditsépoux Jeuf-Servier que la notificationleur était faite en conformité de l'ar-ticle deux mille cent quatre-vragt-qua-tarze du code civil pour qu'ils, eus-sent à prendre sur les immeubles

Ple

ayant fait l'objet des quatre ventes sus-analysées, telles inscriptions d'hypo-thèques légales qu'ils aviseraient duchef de ladite dame Françoise Servierépouse Françoise Jeuf et de tous au-tres qu'il appartiendrait, et ce dans ledélai de deux mois à compter de ladate des notificaiions, sinon et fautem eux de ce faire dans ledit délai,es immeubles sus-désignôs seraient et

demeureraient définitivement purgés etlibérés entre les mains des acquéreursde toutes hypothèques de cette nature.

En outre, avec déclaration à mon-sieur le Procureur de la Républiqueque les précédents propriétaires indi-qués aux quatre contrats de vente sus-visés étaient indépendamment des ven-deurs, sont savoir : 1° François Bay-le, en son vivant demeurant à Sail-lant, pour la terre acquise par madameMarie Girard, épouse Bergogne ; 2°Blaiso Jeuf, en son vivant demeurantau même lieu ; 3° François Jeuf, de-meurant au moine lieu : 4° Dame Mar-guerite-Julie Christophle épouse de J.-B.Victor Fleury, en son vivant demeurant àClermont-Ferrand, ces trois dernier pourle pré acquis par Antoine Rabany,époux de dame Madeleine Boissat ; 5°Françoise Servier, et François Jeuf sonmari sus-nommés j 6° Joseph Roux,en son vivant demeurant à Saillant, cesderniers pour le pré acquis par monsieurJoseph Parrat ; 7° Françoise Servier etFrançois Jeuf; 8° François Bayle sus-nommés; 9° Biaise Jeuf et Marie Ma-douf son épouse, en leur vivant de-meurant à Saillant et madame Mar-gueiite-Julie Christophle, épouse demonsieur J.-B. Victor Fleury prénom-més, pour les propriétés acquises parmessieurs 1° Joseph Parrat ; 2° J - B .Montagne ; 3° Antoine Rabany ; 4° JeanRaynaud-Flagel ; 5° Annei Bougeron ;6° Louis Sabatier; 7° Jean Feuillade ;8° Michel Besson ; 9° Antoine Foury ;10° Martin Legoueix, lesdites proprié-tés faisant l'objet du procès-verbal d'ad-judication dressé par M0 Dumoulin lesix novembre mil huit cent quatre-vingt-dix-huit, enregistré et transcrit etplus amplement désignée au dit acte.

Et que tous ceux du chef desquelsil pourrait être pris sur les immeublesfaisant l'objet des quatre ventes pré-datées, d^s inscriptions d'hypothèqueslégales n'étant pas connus des acqué-reurs, ces derniers feraient publier lesdites notifications dans un journal judi-ciaira conformément à l'avis du Conseild'Etat du neuf mai mil huit ceat septapprouvé le premier juin suivant.

Les formalités plus haut relatées etla présent insertiou ont pour but de pur-

er les immeubles vendus aux termeses quatre contrats sus-yisés, de toutes

hypothèques légales qui pourraient legrever et cela en conformité de l'articledeux mille cent quatre-vingt-quatorzedu code civil et de l'avis du Conseild'Etat précité.

Pour extrait conforme :Signé : Aimé FAURE,

avouédocteur en droit.

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AVERTISSEMENTAux créanciers de la faillite de

dame Julie FABRY, mar-chande, demeurant à La-montgie.

Messieurs les créanciers de cette fail-lite dont les créances ont été vérifiées etaffirmées ou admises par provision sontinvités à se réunir le jeudi six avril milhuit cent quatre-vingt-dix-neuf s dix heu-res du matin, au Tribunal, dans la salledes réunions des faillites, à l'effet d'enten-dre le rapport du syndic tant sur l'état dala laillite que sur les formalités qui ontété remplies et les opérations qui ont eulieu, et de délibérer ensuite s'il y a lieude consentir un concordat ou de "passerun contrat d'unioD, et dans ce dernier casêtre immédiatement consultés tant sur lesfaits de la gestion que sur l'utilité dumaintien ou du remplacement du syndic.

Issoire, le vingt-huit mars mil huit centquatre-vingt-dix-neuf.

Le Greffier du Tribunal,P. BOYER.

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