Post on 18-Apr-2015
Actualités francophones :
• Un centre de formation pour enfants autistes à La Pommeraye ?
• Des jeux éducatifs adaptés aux enfants autistes
• L'autisme fait partie des troubles envahissants du développement (TED)
• Le combat sans fin d'une mère et d'un psychiatre pour un autiste
• Un livre dénonce le scandale
• Insertion scolaire des élèves souffrant de handicap : une délégation japonaise en visite au
lycée Croizat
• Un combat à mener pour diagnostiquer l'autisme
• «Rappeler la singularité de chaque autiste»; Malgré des nombreuses publications, le «gène
de l’autisme» échappe aux chercheurs.
• Quels sont les symptômes de l'autisme chez l'enfant ?
• TEDxParis a rempli l'Olympia pour imaginer 2030
• Conférence médicale sur la génétique et l'autisme
Actualités scientifiques internationales :
• The French Version of the Autism-Spectrum Quotient in Adolescents: A Cross-Cultural
Validation Study. Journal of autism and developmental disorders
• Disruption of Contactin 4 in two subjects with autism in Chinese population. Gene
• Report Raises Questions On New Autism Definition. New York Times
• Effects of STX209 (Arbaclofen) on Neurobehavioral Function in Children and Adults with
Fragile X Syndrome: A Randomized, Controlled, Phase 2 Trial. Science Translational Medicine
• Curemark, Llc ; Patent Application Titled "Method for Treating Pervasive Development
Disorders" Under Review
• Application of DSM-5 Criteria for Autism Spectrum Disorder to Three Samples of Children
With DSM-IV Diagnoses of Pervasive Developmental Disorders. American Journal of
Psychiatry
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2 - 8 octobre 2012
• Intentional Communication of Young Children with Autism Spectrum Disorder: Judgments
of Different Communication Partners. Journal of Developmental and Physical Disabilities
• Safety and observations in a pilot study of lenalidomide for treatment in autism. Autism
Research and Treatment
• Chronic inorganic mercury exposure induces sex-specific changes in central TNFa
expression: importance in autism? Neuroscience Letters
• Investigation of autistic features among individuals with mild to moderate Cornelia de
Lange syndrome. American Journal of Medical Genetics Part A
• An Evaluation of Social Skills in Adults with Pica, Autism Spectrum Disorders, and
Intellectual Disability. Journal of Developmental and Physical Disabilities
• Anticipation of action intentions in autism spectrum disorder. Journal of Autism and
Developmental Disorders
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La Pommeraye
Un centre de formation pour enfants autistes à La Pommeraye ?
383 mots
2 octobre 2012
Ouest France
OUESTF
angers
Français
© Ouest France 2012.
Entretien
Arnaud Lebreton et Sébastien Talonneau, militants de l'association de parents autistes Pas à Pas 49
Quel est le but de votre association ?
Pas à Pas 49 est une antenne locale de la fédération Pas à Pas Aba France, pour l'éducation des
personnes atteintes d'autisme et de troubles envahissants du développement, par la méthode Aba
(Applied behavioral analysis) : l'analyse appliquée du comportement.
Pourquoi une méthode particulière ?
Parce que l'autisme est un handicap particulier qui se traduit par de grosses difficultés à apprendre à
parler, à manger, à s'habiller, à se laver et d'une manière générale à prêter attention au monde
environnant. De plus, les parents peuvent être confrontés aux crises parfois violentes d'enfants qui
peuvent s'automutiler, se cogner la tête contre les murs, se griffer. Ils peuvent passer des heures à
exécuter des mouvements répétitifs. Dans ces conditions, leur avenir scolaire, professionnel et social est
compromis.
En quoi consiste cette méthode Aba ?
Les enfants autistes sont capables d'apprendre, mais ont besoin d'un cadre très structuré qui va leur
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permettre d'acquérir les mêmes compétences que les autres enfants acquièrent naturellement. C'est une
méthode basée sur la théorie de l'apprentissage, avec un enseignement structuré et guidé. Elle permet à
l'enfant autiste d'apprendre les comportements sociaux indispensables à son épanouissement, de
préparer son intégration à l'école et dans la vie. Lorsque la prise en charge est suffisamment précoce,
certains enfants peuvent avoir une vie normale. Cette solution est connue sous le nom d'Aba, médiatisée
par Francis Perrin, parrain de l'association Pas à Pas.
Quel est votre projet ?
Il s'agit de créer à La Pommeraye un IME-Aba (institut médico-éducatif) pour 10 enfants de 6 à 20 ans,
diagnostiqués autistes sévères. Un projet d'une vingtaine d'emplois. Mais en attendant, nous voudrions
que ces dix enfants puissent bénéficier d'une prise en charge à domicile, soutenus par des psychologues
et autres professionnels formés à la méthode Aba.
Pourquoi à La Pommeraye ?
Parce que la commune a déjà des structures d'accueil pour personnes handicapées, Établissement et
services d'aide par le travail (Esat), Entreprise adaptée (EA), la Blottière... et de nombreuses structures
scolaires.
Document OUESTF0020121002e8a20008i
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Paimpol
Des jeux éducatifs adaptés aux enfants autistes
231 mots
2 octobre 2012
Ouest France
OUESTF
lannion
Français
© Ouest France 2012.
La jeune association paimpolaise Autisme Breizh Autonomie organisait ce vendredi son premier café-
rencontre.
Autour des jeux
Le premier objectif très concret d'Autisme Breizh Autonomie (ABA) est de constituer une pédagothèque
adaptée, afin de permettre aux familles de mutualiser des jeux éducatifs, à destination des enfants
souffrant d'autisme et de troubles envahissant du développement (TED). L'association organisait ce
vendredi son premier café-rencontre. Les personnes présentes avaient apporté des jeux qui leur
permettent d'aider leurs enfants à acquérir davantage d'autonomie. Il s'agit de jeux classiques qu'ils ont
jugé adaptés, ou qu'ils ont détourné pour les adapter aux difficultés de leurs enfants, soit des dispositifs
qu'ils ont créés de toutes pièces.
Un moment d'échange
Virginie Devismes était l'invité de cette rencontre. Virginie est la maman de Thomas, un enfant de 13 ans
atteint d'autisme sévère. Elle tient un blog sur lequel elle témoigne de ses réflexions, de sa vie
quotidienne et surtout des méthodes qu'elle a mises au point pour aider son enfant. Car l'autre objectif
d'ABA est de lutter contre l'isolement des familles (échanges mais aussi sorties familiales et pourquoi pas
voyages).Contacts : Autisme Breizh Autonomie : tél. 02 96 55 12 87 et
autisme.breizh.autonomie@orange.fr.
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Blog de Virginie Devismes : blogthomas.over-blog.com
Document OUESTF0020121002e8a2000rr
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Laval
L'autisme fait partie des troubles envahissants du développement (TED). C'est un...
418 mots
2 octobre 2012
Ouest France
OUESTF
laval
Français
© Ouest France 2012.
L'autisme fait partie des troubles envahissants du développement (TED). C'est un handicap sévère qui
affecte près d'un enfant sur cent cinquante, et quatre garçons pour une fille.
Pourquoi ? Comment ?
Quels sont les signes qui peuvent faire penser à l'autisme ou à un trouble envahissant du
développement (TED) ?
Les troubles de la communication, avec troubles du langage (retard dans l'acquisition, écholalie (1)...),
regard étrange, fuyant, souvent « périphérique ». L'enfant n'arrive pas à vous fixer du regard. Des
altérations sensorielles sont fréquentes, entraînant une hypersensibilité à certains bruits, mais aussi aux
odeurs et à la lumière. Des troubles de l'imagination avec des intérêts restreints (jeux, activités
quotidiennes). L'enfant peut passer des heures à faire la même chose.
Enfin, il y a un isolement et une recherche permanente de l'immuabilité des situations. Ces troubles du
comportement sont une réponse à des difficultés d'adaptation et à une incompréhension des réactions
des personnes ou des situations qui les entourent.
Comment peut-on diagnostiquer qu'un enfant est autiste ou présente un TED ?
À ce jour, le diagnostic de l'autisme et des troubles envahissants du développement est clinique. Le plus
souvent, le diagnostic peut être établi à partir de l'âge de 2 ans. Il est associé à une évaluation des
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troubles et des capacités, ainsi qu'à la recherche de maladies associées (épilepsie le plus souvent des
cas). Il se fait en collaboration avec la famille.
L'enfant doit être orienté, pour confirmation diagnostique, vers des professionnels formés et
expérimentés. Le diagnostic nécessite une équipe pluridisciplinaire. Cette équipe doit être en relation
avec les professionnels susceptibles d'assurer les consultations génétique et neurologique.
Où trouver des informations sur l'autisme ou les TED en Mayenne ?
Votre pédiatre ou médecin traitant pourra vous orienter vers un pédopsychiatre. Il existe également une
association qui vient en aide aux familles et qui oriente vers des référents de santé en Mayenne :
Autisme Mayenne.
De plus, le Centre d'action médico-sociale précoce (Camps) de la Mayenne reçoit à la demande des
parents, des enfants de 0 à 6 ans, qui présentent des difficultés dans leur développement.
(1) Tendance spontanée à répéter systématiquement tout, ou une partie des phrases, habituellement de
l'interlocuteur, en guise de réponse verbale.
Contact. Autisme Mayenne : autismemayenne.fr ou au 02 43 07 89 68. Le Camps : 13, rue Albert-
Blanchard ou au 02 43 58 00 70.
Document OUESTF0020121002e8a200160
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Le combat sans fin d'une mère et d'un psychiatre pour un autiste
B. C.
379 mots
4 octobre 2012
Midi Libre
MIDLIB
CARCA_ML
Français
Copyright 2012 Midi Libre All Rights Reserved
Je suis attentivement le cas de ce jeune autiste carcassonnais, aujourd'hui âgé de 13 ans, depuis 2008,
et il n'y a toujours pas de solution. C'est pourquoi, en mars dernier, j'avais déposé plainte au conseil de
l'Ordre
», rappelle le docteur Pierre Sans (lire nos éditions du 14 mars et 7 avril 2012). « Et récemment, la mère
de l'enfant a déclaré à un éducateur qu'elle avait préparé une boîte de médicaments, pour elle et son fils,
afin de mettre fin à leurs jours. Je peux vous dire que ce n'est pas du chantage. Elle est vraiment au bout
du rouleau »
.Le Dr Sans est psychiatre à l'Afdaim (Association familiale départementale pour l'aide aux personnes
handicapées infirmes mentales). Il a également travaillé à l'hôpital psychiatrique de Limoux (géré par
l'union sanitaire et sociale Aude Pyrénées : Ussap) de 1989 à 2004.Sa plainte, déposée en mars, portait
sur deux motifs visant deux médecins de l'Ussap qui soignent également le jeune garçon :
« Non assistance médicale à personne en danger »
et
« utilisation abusive de la notion de chambre d'isolement »
. Obligé de lui mettre un casqueL'affaire s'est conclue par une conciliation avec l'un des médecins et par
une suspension de la procédure avec le second :
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« Cette procédure impliquait le témoignage des parents du jeune autiste, ce que je refusais d'envisager
car, médicalement parlant, cela aurait impliqué pour ce couple un stress supplémentaire inutile »
.Actuellement, le cas du jeune autiste n'est toujours pas réglé :
« Et son état a empiré : on est obligé de lui mettre un casque car il se cogne la tête dans les angles de
meubles, de fenêtres, et il agresse les autres enfants... Ce que je demande, c'est que l'Ussap (qui a une
mission de service public en matière de santé) le prenne en charge en lui administrant un traitement
adapté, l'Afdaim étant prête, de son côté, à partager la prise en charge de cet enfant qui passe trois jours
par semaine à l'IME (institut médico-éducatif) de Pennautier, où j'interviens. Le reste de la semaine, il est
chez ses parents »
.B. C.
Document MIDLIB0020121004e8a4000aa
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Un livre dénonce le scandale
247 mots
4 octobre 2012
Midi Libre
MIDLIB
CARCA_ML
Français
Copyright 2012 Midi Libre All Rights Reserved
Le Dr Pierre Sans rédige actuellement un ouvrage dont le titre, « Autismes : un scandale français »,
ressemble à un coup de gueule. Il y décrit les différentes formes d'autisme :
« de l'Asperger à la mémoire fabuleuse
, notamment dans le domaine mathématique »,
jusqu'au cas grave de déficience (allant jusqu'à l'absence de langage), pour ensuite dénoncer la situation
qui est faite aux personnes atteintes par
ce handicap.
« En France, l'autisme est considéré comme une maladie mentale alors qu'ailleurs dans le monde, il est
considéré comme un handicap rééducable et adaptable à la société, la chose allant dans les deux sens
car la société doit aussi s'adapter à l'autisme »
.Pierre Sans dénonce la mainmise du courant psychanalytique (spécialement lacanien) sur la psychiatrie
française :
« Pour expliquer l'autisme, ce courant défend une théorie abandonnée par tout le monde depuis vingt
ans... Sauf par la France ! Cette théorie affirme que l'autisme est dû à de mauvaises conditions
d'éducation de l'enfant provoquées par une mère fusionnelle, castratrice, négatrice du père... En fait, des
recherches ont démontré que l'autisme est dû à deux facteurs : soit il s'agit de prédispositions ou d'une
vulnérabilité héréditaires, soit la cause réside dans l'environnement (transit intestinal, effets d'une
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vaccination, métaux lourds...). En tout cas, le fait est, qu'en France, les personnes autistes sont l'objet
d'une ségrégation qui se traduit notamment par des formes d'enfermement social »
.
Document MIDLIB0020121004e8a4000ac
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Insertion scolaire des élèves souffrant de handicap : une délégation japonaise en visite
au lycée Croizat
348 mots
4 octobre 2012
La Voix du Nord
VOINOR
Douai
Français
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Nord ou avec Factiva, vous avez uniquement la possibilité de consulter le présent document, vous ne
pouvez en aucun cas le réutiliser.
Le lycée professionnel Ambroise-Croizat est un exemple dans l'insertion scolaire et la mise en oeuvre de
l'accessibilité pédagogique pour les élèves en situation de handicap. Des enseignants japonais se sont
déplacés au lycée pour prendre connaissance des programmes établis pour l'insertion des élèves. À
Auby, les élèves sont scolarisés au lycée Croizat. Ceux-ci ont besoin de l'intervention et de l'aide des
auxiliaires de vie scolaire car leur présence est indispensable pour reformuler et réexpliquer les
consignes de travail. Ils gèrent également les temps hors classe (intercours, cantine, permanences...).
Quatre heures avec des professeurs en mathématiques et français sont nécessaires pour revenir sur les
bases fondamentales.
Programme ULIS Des objectifs précis sont donnés pour une excellente insertion. Tout d'abord réussir son
entrée au lycée professionnel et devenir un lycéen à part entière. Donner du sens aux apprentissages,
développer le travail de recherche, l'autonomie et la prise d'initiatives afin de renforcer les compétences
fondamentales du socle commun par des stratégies de raisonnement. Découvrir des métiers et des
formations, choisir une orientation adaptée. Mais aussi développer l'estime de soi par la participation à
des projets. Découvrir l'autre en se découvrant soi-même. Ces élèves, par leur pugnacité et avec l'aide
des équipes d'encadrement, se fondent parfaitement dans cet univers lycéen. Ce programme dit ULIS
(unités localisées pour l'inclusion scolaire), permet désormais cette intégration en milieu scolaire (collège
et lycée), plutôt qu'en espace spécialisé. Les visiteurs japonais ont apprécié les méthodes utilisées qui
permettent une consolidation de l'autonomie personnelle et sociale du jeune. Ce programme permet
l'accueil en petits effectifs d'adolescents (maximum 10) en collège et lycée. Ceux-ci sont généralement
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atteints de troubles du langage écrit et de la parole, du développement - dont l'autisme - mais aussi des
troubles visuels, auditifs ou de maladies invalidantes. De nombreuses structures existent dans la région.
Les résultats sont excellents : de nombreux jeunes trouvent un métier grâce au programme de
découverte.
Document VOINOR0020121004e8a40009a
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Lanester
Un combat à mener pour diagnostiquer l 'autisme
501 mots
5 octobre 2012
Ouest France
OUESTF
vannes
Français
© Ouest France 2012.
L'association Je Ted à aller à l'école oeuvre en faveur des personnes qui souffrent de troubles
envahissants du développement. Elle milite entre autres pour que l'autisme soit diagnostiqué plus
rapidement.
Entretien
Valérie Sochon,
présidente de l'association.
Quels sont les objectifs de l'association ?
Notre but est d'accompagner les enfants à l'école, mais aussi les adultes qui souffrent de troubles
envahissants du développement.
D'ailleurs, actuellement, nous nous occupons d'un homme d'une quarantaine d'années qui n'a jamais été
diagnostiqué autiste, et qui a subi plusieurs traitements pour schizophrénie et dépression. Le diagnostic
reste un vrai problème. Il y a encore du pain sur la planche.
Nous proposons aussi plusieurs actions pour aider les familles et cette année, il y a une nouveauté : nous
allons proposer une rando contée.
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Quel est le bilan de cette année ?
Il est satisfaisant. Nous avons agi dans tout le département et nous avons aidé une famille à Paris. Dans
les écoles, nous informons le personnel accompagnant et les enseignants.
En général, ce sont eux qui nous contactent, pour avoir des informations. Nous avons mené une action
d'information à l'Afpa (Association de formation professionnelle des adultes) de Quéven. Nous avons
proposé plusieurs sorties, au cirque et au zoo de Pont-Scorff, ou au spectacle de Noël.
Notre manifestation organisée dans le cadre de la Journée mondiale de l'autisme a remporté un franc
succès.
Quelles sont vos prochaines actions ?
Nous allons organiser un goûter de Noël avec les familles au local, avec un spectacle au parc des
expositions. Au mois d'avril, nous proposerons des animations dans le cadre de la Journée mondiale de
l'autisme, et une balade contée en mai-juin. Au programme au mois d'octobre : une soirée couscous.
Sur quel problème allez vous travailler en priorité ?
Lors de l'assemblée générale qui aura lieu vendredi 12 octobre, nous allons aborder un problème qui
s'accentue.
Nous avons actuellement 17 familles dispersées dans le département, en attente d'un diagnostic. C'est
une situation extrêmement douloureuse pour ces familles.
Depuis que la haute autorité de Rennes a sectorisé la région, il y a quelques mois, les familles sont
obligées d'aller voir le psychiatre de leur secteur pour faire diagnostiquer leur enfant. Si le spécialiste
reconnaît le trouble, il n'y a pas de problème. L'enfant peut être scolarisé et évoluer normalement. Mais,
si le médecin ne reconnaît pas l'autisme et parle de psychose infantile (c'est le cas pour ces 17
familles), alors là, l'enfant part en Centres médico-éducatifs (CME) et va très peu, voire pas du tout, à
l'école.
Nous avons encore beaucoup de combats à mener pour que les diagnostics soient posés et que les
personnes souffrant de ces troubles puissent bénéficier d'une vie de qualité.
Vendredi 12 octobre, assemblée générale de l'association, à 20 h, au local de l'association, rue Le Hen.
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Document OUESTF0020121005e8a50033h
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Sciences & Environnement
«Rappeler la singularité de chaque autiste»; Malgré des nombreuses publications, le
«gène de l’autisme» échappe aux chercheurs. Deux praticiens mettent en garde contre
les conclusions simplistes.
Lucia Sillig
1,055 mots
6 octobre 2012
Le Temps
TEMPS
Français
(c) 2012 Le Temps Homepage Address: http://www.letemps.ch.
La représentation de l’autisme est en train de changer. L’accent mis sur la relation précoce et le rôle de
l’entourage a été largement remis en question. La science se concentre maintenant sur la recherche du
gène – ou du groupe de gènes – à l’origine de ce trouble du développement. Sans succès, pour l’instant.
La généticienne Ariane Giacobino et le psychiatre François Ansermet, des Hôpitaux universitaires de
Genève, publient Autisme, A chacun son génome, pour mettre en garde contre ce qu’ils estiment être un
nouveau piège de causalité. Ils appellent à se libérer des déterminants pour se concentrer sur la
singularité de chacun.
Le Temps: Le nombre de cas d’autisme a explosé. Selon les estimations les plus extrêmes, il aurait
augmenté de 600% entre 1990 et 2006. Pourquoi?
Ariane Giacobino:Au départ, ce sont les psychiatres qui ont semé la zizanie avec leur DSM [le manuel
américain diagnostic et statistique des troubles mentaux], en changeant les critères diagnostiques à
chaque nouvelle édition.
François Ansermet: Nous sommes en pleine confusion, avec beaucoup de contradictions qui ne sont pas
sans conséquences pour ceux qui souffrent. Nous avons voulu mettre en avant ces contradictions.
– Vous soulignez que, paradoxalement, alors que le spectre des troubles considérés comme autistiques
s’est passablement élargi, la science se concentre désormais sur la recherche «du» gène d’origine.
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– A. G.: Dans Nature, tous les six mois à peu près depuis 2008, sort un article qui fait la couverture et qui
dit avoir trouvé le gène de l’autisme. C’est agaçant. Ou alors, on parle des 370 gènes variants qui
pourraient expliquer le 10% des troubles. Mais c’est quand même vendu comme une avancée dans la
détermination. Or, si on lit tous ces articles à la suite, ça devient extrêmement hétérogène. Je trouve que
le message est souvent mal perçu, y compris par les patients ou les associations de parents qui, chaque
fois, croient qu’on a trouvé l’origine de l’autisme.
– F. A.: Sur le plan des représentations communes ou même de la philosophie spontanée des
psychiatres, des psychologues et des gens du monde de l’éducation, on risque d’avoir l’idée un peu
simpliste: un gène, une maladie, avec un lien causal continu. Alors qu’on ne pense plus trouver «le» gène
de la schizophrénie. Aujourd’hui, nous sommes face à des maladies à traits complexes, qui impliquent de
repenser complètement la détermination génétique.
– Le débat autour de l’autisme n’est-il pas d’abord né de la remise en question de l’approche
psychiatrique?
– F.A.:Il y a une crise énorme, avec une discussion politique, des associations de personnes qui veulent
se faire entendre – à juste titre, parce qu’elles n’ont pas été entendues. Et elles ont raison de dire aux
médecins qu’ils doivent raisonner différemment, surtout aux psychiatres. On a beaucoup trop culpabilisé
les parents par rapport à la relation précoce. On les a accusés d’être à l’origine des troubles de leur
enfant, la mère en particulier. Le mouvement actuel de crise est bienvenu, parce qu’il remet en cause ces
a priori simplistes. Mais avec la génétique, il y a le même risque: tout attribuer à un gène que l’on n’arrive
pas à trouver. Tout ça, c’est un grand chantier de la causalité, du côté psychiatrique, psychanalytique ou
génétique. Sans compter les facteurs épigénétiques [des éléments externes qui modifient l’expression
des gènes, sans changer la séquence ADN] qui nous ramènent en plein dans la question de
l’environnement, de l’interaction précoce, etc.
– A. G.:Quoi qu’il en soit, en aval de tout ça, il y a un enfant autiste. Qu’est-ce qu’on en fait? Même si on
identifiait une origine génétique du trouble, cela ne veut pas dire qu’il faille opter pour le même traitement
pour tous les porteurs d’une même variation. Dans toutes les maladies génétiques, que cela soit la
mucoviscidose ou la trisomie, on se retrouve avec un individu et un traitement qui doit être individuel.
L’origine ne définit pas un futur identique pour tous. Il faut aller de l’avant, se séparer peut-être de ce qui
a été la détermination et se demander comment la personne peut aller mieux. Pour moi, la psychiatrie et
certains de ses outils thérapeutiques font encore partie des choses qui peuvent aider.
– Votre propos, c’est de rappeler la singularité de chacun?
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– F.A.: On balance entre un système de causalité psychique et un système de causalité génétique, qui, à
chaque fois, évacuent l’idée qu’il y aurait un sujet créateur de son devenir. Pour moi, il est important de le
remettre en jeu. Il y a une idée trop standard de l’autiste. La diversité, la multiplicité, la complexité des
différents déterminants – génétiques ou épigénétiques – laissent toute sa place au sujet. Il est curieux
qu’au moment où la science met en évidence l’hétérogénéité interindividuelle, on prône des visions
standardisées. Qu’un enfant soit atteint dans son organisme ne dit pas encore comment il va se
construire. On est souvent émerveillé de voir ce qu’ils arrivent à faire, à inventer, comme solution
individuelle, en bricolant quelque chose à partir de leur passé, leur présent, leur entourage et leur
génome. Ne refermons pas le piège de la causalité, laissons-leur cette liberté. La médecine, et même
parfois la psychanalyse, aiment les liens de cause à effet. On est peut-être trop pris dans ce modèle et
pas assez ouverts à ce que les gens échappent à leurs déterminants.
– Pourtant, vous continuez à penser que la psychanalyse a quelque chose à offrir aux personnes
autistes?
– F.A.: Aller vers la singularité de chacun, c’est ce que sait faire le psychanalyste. Et il n’y a pas de
contradiction avec les avancées actuelles de la science. Au contraire, il y a une sorte de rencontre
surprenante: la clinique psychanalytique et la génétique autour de la question de l’irréductibilité de la
singularité.
Autisme, A chacun son génome, François Ansermet et Ariane Giacobino, Ed. Navarin, Paris, 2012.
Document TEMPS00020121005e8a60002h
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Montargis
Quels sont les symptômes de l 'autisme chez l 'enfant ?
267 mots
6 octobre 2012
La République du Centre
REPCEN
MG
Français
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Les symptômes de l'autisme se caractérisent par une absence ou un déficit de la communication, mais
aussi par plusieurs signes apparaissant dans la petite enfance.
Exemple pour le nourrisson de 4-5 mois : ne pas tenir son hochet et le lâcher, ne pas tenir le regard.
Quand l'enfant va à l'école et que le langage se développe, l'autisme est souvent décelé. « Pour un
enfant autiste, une émotion est angoissante car il ne la comprend pas. Tout ce qui vient de l'extérieur et
n'est pas compréhensible est agressif pour lui », explique Luc Tinseau, président d'Objectif lune. « Les
parents leur apprennent à faire le lien, en leur montrant. Par exemple serrer la main pour que l'enfant
comprenne que cela veut dire bonjour ».
Un autiste ne fait pas la relation entre ce qu'il ressent et la manière d'y répondre. Lorsqu'il a froid, il ne
va pas avoir le réflexe de se couvrir. C'est le cas de Théo.
Il y a aussi le syndrome Asperger dans lequel le développement cognitif est relativement bien préservé. Il
se caractérise par des difficultés significatives d'interactions sociales, associées à des intérêts restreints.
Louan entre dans ce cas, ce qui peut expliquer que son autisme n'a été décelé qu'à l'âge de 8 ans.
« Il peut se passionner pour un sujet et apprendre tout ce qui le concerne, comme un spécialiste. Ce fut
le cas avec le thème des Gaulois, sur lequel il est incollable », souligne Anne-Sophie sa maman.
Document REPCEN0020121006e8a60005e
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tech-medias
TEDxParis a rempli l 'Olympia pour imaginer 2030
BENOIT GEORGES
1,627 mots
6 octobre 2012
Les Echos.fr
ECHOFR
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Du mathématicien Cédric Villani au philosophe Miguel Benasayag, l'Olympia a accueilli samedi les
prestations d'une vingtaine de chercheurs, futurologues, artistes ou ingénieurs.
Une vingtaine d'intervenants, connus ou inconnus, sur la scène de l'Olympia pendant 12 minutes chacun
pour imaginer le monde en 2030. C'était le menu de TEDx Paris 2012, la principale version française des
conférences TED ( »technology, entertainment, design »), nées dans les années 1980 aux Etats-Unis.
Samedi après-midi, 1.200 spectateurs ont assisté à ces interventions de chercheurs, d'entrepreneurs,
d'artistes ou de philosophes. Thème de cette édition, plus ou moins respecté par les participants : « 2030,
lignes de mire » .
Histoire de dresser le tableau, le premier intervenant était un futurologue: Mathieu Baudin, président de
l'Institut des futurs souhaitables, a livré un exposé en forme d'hommage aux « explorateurs positifs »,
issus de la culture du logiciel libre ou chercheurs de nouvelles pistes de développement: « Il y a dix ans,
on les dégageait de la conversation en les qualifiant d'utopistes. Aujourd'hui, on les convoque pour les
mêmes raisons ».
Deuxième à monter sur la scène de l'Olympia, le mathématicien-star Cédric Villani n'a pas parlé du futur.
Son intervention a commencé par le rappel des esprits les plus brillants de sa discipline au XXe siècle,
d'Alan Turing à Henri Poincaré. Il s'est ensuite attaché à expliquer comment nait une idée « à travers un
processus très mal connu qui fait que pour résoudre les problèmes, il faut parfois faire tout autre chose ».
L'occasion pour Cédric Villani de faire la promotion de son livre, « Théorème vivant » (Grasset), qui
retrace les deux ans et demi de recherche qui l'ont mené jusqu'à la médaille Fields, l'équivalent du Nobel
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pour les mathématiques, obtenue en 2010. L'occasion aussi de lister les « ingrédients » nécessaires
selon lui à l'éclosion d'une bonne idée: un cerveau bien formé; la documentation, qui nourrit ce cerveau et
qui « a été révolutionné par l'informatique »; la motivation ( »pour les pays industrialisés, la pire menace
est aujourd'hui le manque de motivation des jeunes pour les matières scientifiques »); un environnement
propice ( »un laboratoire, un institut, des gens avec qui discuter... »); les échanges ( »indispensables
pour développer l'idée, pour la faire avancer »); les contraintes (avec les exemples du musicien György
Ligeti et de l'écrivain Georges Perec), la persévérance... et la chance.
Honneur à la médecine
La médecine a été l'une des disciplines les mieux représentées à TEDx Paris. Fabrice Chrétien,
neuropathologiste et directeur d'unité de recherche à l'institut Pasteur, a consacré son exposé à
l'importance des cellules souches dans la vie de chacun de nous ( »A l'origine de chaque individu, il n'y a
qu'une seule cellule souche »), mais aussi à leurs promesses pour l'avenir de la médecine. Il prédit
l'avènement d'une thérapie cellulaire réparatrice, c'est-à-dire « capable de réparer des organes au lieu de
traiter des symptomes ». Il a notamment présenté ses recherches sur la survie et le fonctionnement des
cellules souches cadavériques, qui ont se mettent en état de « dormance » quand elles sont privées
d'oxygène et de nutriments. Ses études ont établi que des cellules prélevées 17 jours après un décès
pouvaient redevenir fonctionnelles.
Venu lui aussi de l'institut Pasteur, Pierre-Marie Lledo, directeur de l'unité de recherche « Perception et
mémoire », a évoqué un autre type de cellule: les neurones, et la « croyance » selon laquelle notre
cerveau cessait d'en produire à partir de l'âge adulte. Ses études ont prouvé le contraire: certains
facteurs externes détruisent prématurément nos neurones, d'autres permettent de continuer en produire
tout au long de la vie -c'est le concept de plasticité cérébrale à l'âge adulte. « Le cerveau d'un individu
stressé ou dépressif perd toutes ses capacités à produire de nouveaux neurones. A l'inverse, les
neurones d'un individu baignant dans l'alchimie du bien-être auront la capacité de migrer vers des zones
où ils seront pleinement utiles. » Il a également montré, vidéo spectaculaire à l'appui, comment
l'implantation de multiples électrodes dans le cerveau avait permis à une femme tétraplégique de piloter
un robot par la pensée.
Ariel Fuchs, ingénieur en biologie marine et photographe sous-marin, a pour sa part expliqué comment sa
passion de la mer et de la plongée l'a amené à devenir l'un des maîtres d'oeuvre du projet d'exploration
SeaOrbiter, de l'architecte Jacques Rougerie. « J'ai la chance de travailler sur ce qui sera la plus grande
aventure océanographique du XXIe siècle, un navire de 50 mètres de haut qui sera la première maison
sous-marine nomade, entourée par le plus grand des jardins : l'océan. » Ce laboratoire flottant, dont la
construction doit débuter l'an prochain, permettra de mieux comprendre comment fonctionnent les mers
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du globe, et d'y découvrir de nouvelles ressources.
La connaissance des océans était aussi au coeur de l'intervention de César Harada, chercheur et
designer franco-japonais, dont le projet « open H20 » vise à récolter des données sur les océans à
travers des innovations, notamment un spectaculaire bateau à coque articulée encore à l'état de
prototype, Protei. Télécommandé ou microcontrôlé, il pourrait à terme être contrôlé partout dans le
monde pour détecter des marées noires, évaluer les stocks de poissons ou mesurer la radioactivité.
Après la mer, c'est l'agriculture du futur qui a fait l'objet d'une intervention: celle d'Augustin Rosenthal,
architecte spécialisé dans les fermes urbaines, venu expliquer comment les bâtiments pourraient
associer logements, bureaux et cultures hors-sol -son projet « La Tour Vivante » a été récompensé en
2005. Il a détaillé les différentes pistes pour que les villes contribuent à nourrir leurs habitants: tours
entièrement dédiées à la production agricoles, mini-fermes, jardins sur les toits...
Mélange des genres
Moins futuriste mais beaucoup plus intimiste, Lydie Laurent, enseignante spécialisée, est elle venue
raconter son histoire de mère d'un enfant, Aymeric, atteint d'autisme sévère. Elle a participé à la
création d'une association pour faire venir des psychologues de l'étranger, grâce auxquels Aymeric a pu
apprendre à parler, puis aller à l'école. Elle a alors repris ses études et découvert comment s'inspirer des
méthodes de la pédagogie Montessori pour aider son fils, qui est aujourd'hui en classe de sixième et est
venu la rejoindre sur la scène de l'Olympia sous les applaudissements. « Ce que je veux vous dire à
travers cette histoire, c'est qu'une autre école est possible, une école inclusive, capable de recevoir tous
les types d'enfants, handicapés ou non. »
L'autisme, il en a aussi été question avec l'intervention de l'écrivain Daniel Tammet ( »Je suis né un jour
bleu », Les Arènes, 2007). Diagnostiqué autiste à 25 ans, il a expliqué sa relation très particulière au
monde des nombres ( »chacun a un sens bien particulier pour moi »), et en a fait l'objet de son prochain
livre.
Seul entrepreneur présent samedi à l'Olympia, Eric Careel, ancien patron d'Inventel et fondateur des
start-up Scuplteo et Withings, est lui venu présenter sa vision des objets du futur -et vanter au passage
les offres de ses entreprises. D'abord avec l'impression 3D, dont Sculpteo est un des prionniers, qualifiée
par lui de « troisième révolution industrielle » car elle permet de fabriquer des objets à la demande, à
proximité du lieu de consommation, et personnalisés avec l'aide de designers. Ensuite avec les objets
connectés, comme la balance de Withings capable d'envoyer le poids de son utilisateur via Internet et
même, avec son accord, de le tweeter pour créer une « pression sociale positive ».
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Entre les fermes du futur, l'autisme ou les objets connectés, les spectateurs ont ainsi pu écouter une
juriste, Céline Bardet, spécialiste des crimes de guerre ayant exercé au Tribunal Pénal International
venue parler de son expérience en ex-Yougoslavie. Le réalisateur Djinn Carrénard a raconté avec
beaucoup d'humour comment il avait réalisé un long-métrage, « Donoma », avec 150 euros de budget.
Le philosophe Yann Dall'Aglio s'est interrogé sur les notions d'amour et de séduction dans notre société
de consommation. Les spectateurs de l'Olympia ont même pu voir Rémy Larousse, consultant en
innovation et... illusionniste, jouer les « mentalistes » dans un numéro de divination assez réussi.
Le message d'optimisme d'une étudiante indienne
Cette édition de TEDxParis était la première à accueillir une intervenante sélectionnée lors d'événements
ouverts à tous, les TEDxSalon. Anjuli Pandit, étudiante indienne de 27 ans est venue confronter sa vision
de jeune venant d'un pays en développement et celle des étudiants qu'elle a rencontré en France,
pessimistes et déprimés par la récession et le chômage mais ren même temps réticents à partir à
l'étranger. Avec humour et fraîcheur, elle a raconté l'histoire de sa famille, qui a quitté Mumbai pour
travailler partout dans le monde, et l'a encouragé à parler un maximum de langues.
« Mon histoire n'est pas unique: la diaspora indienne est évaluée à 25 millions de personnes. Je suis
revenu en Inde travaillé pour le Climate Change Project et pour Tata, des postes totalement
disproportionnés pour une jeune fille de 23 ans à l'époque, mais ils ont cru en moi car j'avais une double
culture. » Et de conclure sur un constat sans appel: « Les jeunes français voient un monde qui manque
d'opportunités. Les jeunes indiens voient un monde qui en a plein. Mais ce monde est le même pour tous.
Vous ferez plus pour la France si vous décidez d'embrasser la mondialisation au lieu de chercher du
travail sans quitter Paris. »
Document ECHOFR0020121008e8a60006n
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Conférence médicale sur la génétique et l 'autisme
Correspondant
171 mots
8 octobre 2012
L'Indépendant
LINDEP
NARBONNE_IN
Français
Copyright 2012 L'Indépendant All Rights Reserved
NISSAN-LEZ-ENSERUNE
Une conférence médicale organisée par la Croix rouge française, délégation de Béziers, en partenariat
avec la Maison de Sol-N de Nissan-lez-Ensérune se tiendra jeudi 11 octobre à 20 h, à la salle Michel
Galabru, route de Salles-d'Aude, mise à disposition gracieusement par la municipalité. Le but de cette
conférence est de favoriser les échanges entre professionnels de santé susceptibles de prodiguer des
soins à des enfants déficients mentaux. Public ciblé : médecins généralistes, pédiatres, neurologues,
médecins d'institution : IME, CAMPS, PMI, périnatalité, médecins scolaires, CSRE, médecins hospitaliers
service de psychiatrie et pédopsychiatrie, IFSI de Béziers, représentants d'associations d'enfants
handicapés mentaux et/ou autistes.Les thèmes : généralité en génétique, syndrome d'Angelman et de
Willi-Prader, génétique et autisme. Ces trois sujets seront traités par le professeur Pierre Sarda, chef de
service de génétique au CHU de Montpellier et le docteur David Geneviève, généticien au CHU de
Montpellier.Un cocktail dînatoire clôturera la soirée.
Document LINDEP0020121008e8a800075
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The French Version of the Autism-Spectrum Quotient in Adolescents: A Cross-Cultural
Validation Study. Journal of autism and developmental disorders
. We assessed the accuracy of the French version of the Autism Spectrum Quotient (AQ) in adolescents
with Asperger syndrome (AS) and high-functioning autism (HFA) compared to healthy controls and
adolescents with psychiatric disorders (PDs). Three groups of adolescents, aged 11-18, were assessed:
116 with AS/HFA (93 with IQ ≥ 85 and 20 with 70 ≤ IQ < 85), 39 with other PDs, and 199 healthy controls.
The AS/HFA group scored significantly higher than the healthy control and PD groups. A cut-off score of
26 was used to differentiate the autism group from healthy controls with 0.89 sensitivity and 0.98
specificity. Scores did not vary by age or sex.
Sonie S, Kassai B, Pirat E, Bain P, Robinson J, Gomot M, Barthelemy C, Charvet D, Rochet T, Tatou M,
Assouline B, Cabrol S, Chabane N, Arnaud V, Faure P, Manificat S.
Centre de Ressource Autisme Rhône-Alpes, Centre Hospitalier Le Vinatier, bât.211, INSERM U1028-
CNRS UMR 5292, 95 boulevard Pinel, 69677, Bron cedex, France, sandrine.sonie@ch-le-vinatier.fr.
http://dx.doi.org/10.1007/s10803-012-1663-0
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Autism; New Autism Study Findings Have Been Reported from Xinxiang Medical
University
374 mots
2 octobre 2012
China Weekly News
CHWKNW
1228
Anglais
© Copyright 2012 Chemicals & Chemistry via NewsRx.com
2012 OCT 2 (VerticalNews) -- By a News Reporter-Staff News Editor at China Weekly News -- Data
detailed on Autism have been presented. According to news originating from Xinxiang, People's Republic
of China, by VerticalNews correspondents, research stated, "Autism is a heterogeneous childhood
neurodevelopmental disorder that is characterised by deficits in verbal communication, impaired social
interactions, restricted interests and repetitive behaviours. Using an Illumina HumanCNV370-Quad
BeadChip, we identified two Han Chinese individuals with autism and large duplications (similar to 1.6 Mb
and similar to 2.4 Mb) disrupting the same CNTN4 gene."
Our news journalists obtained a quote from the research from Xinxiang Medical University, "CNTN4
encodes a protein that functions as a cell-adhesion molecule and may play an essential role in the
formation of axon connections in the developing nervous system. The disruption of this gene has been
reported to be the cause of the 3p deletion syndrome and also a possible susceptibility factor for autism
spectrum disorders (ASDs). Our results suggest that rare copy number variations (CNVs) in CNTN4 may
also influence autism susceptibility in Asian populations. Interestingly, a comparison of the clinical
phenotypes between the two subjects revealed that the subject with the 2.4 Mb CNV (involving several
other genes) presented with a more severe phenotype than the subject with the 1.6 Mb CNV (disrupting
only CNTN4 and CNTN6)."
According to the news editors, the researchers concluded: "This suggests that other genes in the nearby
region may contribute to the pathogenesis."
For more information on this research see: Disruption of Contactin 4 in two subjects with autism in
Chinese population. Gene, 2012;505(2):201-205. Gene can be contacted at: Elsevier Science Bv, PO
Box 211, 1000 Ae Amsterdam, Netherlands. (Elsevier - www.elsevier.com; Gene -
www.elsevier.com/wps/product/cws_home/506033)
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The news correspondents report that additional information may be obtained from H. Guo, Xinxiang Med
Univ, Affiliated Hosp 2, Xinxiang, People's Republic of China.
Keywords for this news article include: Autism, Xinxiang, Genetics, Neurology, People's Republic of
China, Developmental Disabilities
Our reports deliver fact-based news of research and discoveries from around the world. Copyright 2012,
NewsRx LLC
Document CHWKNW0020120928e8a2000jh
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National Desk; SECTA
Report Raises Questions On New Autism Definit ion
By BENEDICT CAREY
673 mots
2 octobre 2012
The New York Times
NYTF
Late Edition - Final
19
Anglais
Copyright 2012 The New York Times Company. All Rights Reserved.
Proposed changes to the official diagnosis of autism will not reduce the proportion of children found to
have it as steeply as many have feared, scientists reported on Tuesday, in an analysis that contradicts
several previous studies.
Earlier research had estimated that 45 percent or more of children currently on the ''autism spectrum''
would not qualify under a new definition now being refined by psychiatric researchers -- a finding that
generated widespread anxiety among parents who rely on state-financed services for their children. The
new report, posted online Tuesday by The American Journal of Psychiatry, concluded that the number
who would be excluded is closer to 10 percent.
The finding may soothe the anxieties of some parents, but will not likely settle the debate over the effect
of the new diagnosis.
All sides agree that the proposed criteria are narrower and will likely result in fewer diagnoses of autism,
but until doctors begin using the new definition widely, the predictions of its effect are just that:
predictions.
The debate has simmered over the past year as an expert panel appointed by the American Psychiatric
Association has updated its proposals for the association's Diagnostic and Statistical Manual of Mental
Disorders, scheduled to take effect in May 2013. The manual is the field's standard reference, and
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several recent studies suggested that the amended autism definition was far narrower than intended.
''What I would say to families worried about the new criteria is that they're more open-ended than the old
ones,'' said Catherine Lord, the senior researcher on the study. ''So it's very important to find a clinician
who understands them, and who is not rushed when making a diagnosis.''
The new analysis, the largest to date, is effectively an answer to previous studies that had forecast many
more children would not meet the new definition. Dr. Lord serves on the panel that proposed the new
definition.
''Everyone has been waiting to see what the impact of the new diagnosis is going to be, and this study is
the most comprehensive we have to date,'' said Sally Ozonoff, vice chairwoman for research in the
department of psychiatry and behavioral sciences at the University of California, Davis, MIND Institute.
Dr. Ozonoff was not involved in the research or the debate over its implications.
In the study, Dr. Lord's team analyzed case files for children who received an autism diagnosis under the
current criteria, exhibiting six or more of 12 behaviors, like language delays and absence of social
bonding or eye contact. The team asked which of these youngsters would qualify under the proposed
definition, which requires just three deficits in social interaction and at least two in ''repetitive behaviors,'' a
category that includes hypersensitivities and fixations.
The previous studies took exactly the same approach, but Dr. Lord's group looked at more cases, in
greater detail. The records it examined came from three large collections, totaling 4,453 children, with
detailed interviews from parents, doctors' observations or both.
''Simply put, we found that the new criteria are quite effective at identifying most children with autism
across all levels of functioning and across males and females,'' said Dr. Lord, director of the Center for
Autism and the Developing Brain, a joint project of NewYork-Presbyterian Hospital, Weill Cornell Medical
College, Columbia University Medical Center and New York Collaborates for Autism.
The discrepancy between Dr. Lord's findings and earlier ones may be rooted in the quality of data
available, said Dr. Fred Volkmar, director of the Child Study Center at Yale University School of Medicine
and senior author of a widely reported study presented early this year, with starkly different results.
''What they report is impressive in scope and magnitude, but it is using meticulously characterized cases
with what are probably very experienced clinicians,'' Dr. Volkmar said. ''The problem is one of moving this
to the real world outside of academic centers'' where the art of diagnosing varies widely.
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Document NYTF000020121002e8a200038
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Clinical Trials Research; New targeted drug for treating fragile X syndrome, potential ly
autism, is effective
1,142 mots
3 octobre 2012
Biotech Week
BIWK
953
Anglais
(c) Copyright 2012, Biotech Week via NewsRx.com
2012 OCT 3 (NewsRx) -- By a News Reporter-Staff News Editor at Biotech Week -- An investigational
compound that targets the core symptoms of fragile X syndrome is effective for addressing the social
withdrawal and challenging behaviors characteristic of the condition, making it the first such discovery for
fragile X syndrome and, potentially, the first for autism spectrum disorder, a study by researchers at the
UC Davis MIND Institute and Rush University Medical Center, Chicago, has found.
The finding is the result of a clinical trial in adult and pediatric subjects with fragile X syndrome. It
suggests, however, that the compound may have treatment implications for at least a portion of the
growing population of individuals with autism spectrum disorder, as well as for those with other conditions
defined by social deficits. The study is published online today in the journal Science Translational
Medicine. A second study by the manufacturer of the compound is included in the same issue.
The "first-in-patient" drug trial was led by internationally recognized fragile X researchers Elizabeth Berry-
Kravis of Rush University Medical Center and Randi Hagerman of the UC Davis MIND Institute. It
examined the effects of the compound STX 209, also known by the name arbaclofen.
The study was conducted collaboratively with Seaside Therapeutics, a Cambridge, Mass., pharmaceutical
company that is focused on translating bench research on fragile X and autism into therapeutic
interventions. Seaside Therapeutics produces the compound.
"This study shows that STX 209 is an important part of the treatment for fragile X syndrome, because it
improved symptoms in those with significant social deficits or autism as well as fragile X syndrome," said
Hagerman, medical director of the MIND Institute. "Additional studies also are suggesting that STX 209
can be helpful for autism without fragile X syndrome. Until now, there have been no targeted treatments
available for autism. This appears to be the first."
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Fragile X syndrome is the most common known cause of inherited intellectual impairment, formerly
referred to as mental retardation, and the leading known single-gene cause of autism. Social impairment
is one of the core deficits in both fragile X and autism. The U.S. Centers for Disease Control and
Prevention (CDC) estimates that about 1 in 4,000 males and 1 in 6,000 to 8,000 females have the
disorder. An estimated 1 in 88 children born today will be diagnosed with autism, according to the CDC.
"There are no Food and Drug Administration-approved treatments for fragile X syndrome, and the
available options help secondary symptoms, but do not effectively address the core impairments in fragile
X. This is the first large-scale study that is based on the molecular understanding of fragile X and
suggests that the core symptoms may be amenable to pharmacologic treatment," said lead study author
Elizabeth Berry-Kravis, professor of pediatrics, neurological sciences and biochemistry at Rush University
Medical Center.
"This study will help to signal the beginning of a new era of targeted treatments for genetic disorders that
have historically been regarded as beyond the reach of pharmacotherapy," Berry-Kravis said. "It will be a
model for treatment of autism, intellectual disability and developmental brain disorders based on
understanding of dysfunction in brain pathways, as opposed to empiric treatment of symptoms. We hope
mechanistically based treatments like STX209 ultimately will be shown to improve cognitive functioning in
longer-term trials."
Studies in mice genetically engineered to exhibit features of fragile X, including social impairment, have
suggested that the behavioral abnormalities in fragile X result from deficiencies in the neurotransmitter
gamma-amino butyric acid (GABA). Decreased GABA has been observed in a mouse model of fragile X
in many areas of the brain including the hippocampus, and has been hypothesized to be a basis of the
social anxiety and avoidance characteristic of fragile X sufferers, the study says.
Arbaclofen is an agonist for gamma-amino butyric acid type B, or GABA-B, receptors. An agonist is a
chemical that effectively combines with a receptor on a synapse to effect a physiologic reaction typical of
a naturally occurring substance. Anxiety-driven repetitive behavior and social avoidance have been
reduced in fragile X-engineered mice treated with arbaclofen. The current, first-of-its-kind study
investigated whether arbaclofen would produce similar results in human subjects.
The double-blind, placebo-controlled clinical trial initially recruited 63 male and female subjects at 12 sites
across the United States for the research, conducted between December 2008 and March 2010. The
participants ranged in age from 6 to 39 years. Of the initial participants, 56 completed the clinical trial.
There were no withdrawals related to drug tolerability. The majority of the subjects were treated with what
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was assessed as the optimum tolerated dosage of the study drug, 10 milligrams twice a day in younger
patients and three times a day in adults. Compliance was monitored by patient guardians, who filled out a
dosing form on a daily basis.
The study subjects returned for evaluations at two- and four-week intervals after beginning the six-week-
long treatment. The drug then was tapered down over a one- to two-week period.
The effects of the medication were scored on variables of the Aberrant Behavior Checklist (ABC), a
behavior-rating scale for the assessment of drug-treatment effects. The checklist includes variables for
irritability, lethargy/withdrawal, stereotypic (repetitive) behavior and hyperactivity, among other factors.
The study found improvement for the full study population on the social-avoidance subscale, an analysis
validated by secondary ratings from parent observation of improvement in subjects' three most
problematic behaviors. It found that the medication was the same as placebo, however, on the subscale
for irritability.
The study is one of several at the MIND Institute aiming to help improve behavior and cognition for
individuals with fragile X syndrome and autism spectrum disorder.
Hagerman currently is leading a larger controlled trial of STX 209 at UC Davis that is also carried out at
multiple centers and is enrolling individuals with fragile X syndrome from ages 5 to 50. Individuals
interested in enrolling may contact Lindsey Partington at 916-703-0471 or via e-mail at
lindsey.partington@ucdmc.ucdavis.edu.
"We are looking forward to further studies utilizing STX 209 in both autism and fragile X syndrome
because the fragile X mouse studies demonstrate long-term strengthening of synaptic connections with
continued use of this medication," Hagerman said.
Keywords for this news article include: Pharmaceutical Companies, Brain, Autism, Therapy, Genetics,
Hospital, Engineering, Fragile X Syndrome, Government Agencies, Offices and Entities, Central Nervous
System, Clinical Trial Research, Nervous System Diseases, Clinical Trials Research, Sex Chromosome
Disorders, Neurologic Manifestations, Developmental Disabilities.
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Document BIWK000020120928e8a3000k4
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Curemark, Llc; Patent Application Tit led "Method for Treating Pervasive Development
Disorders" Under Review
1,456 mots
3 octobre 2012
Biotech Week
BIWK
1011
Anglais
(c) Copyright 2012, Biotech Week via NewsRx.com
2012 OCT 3 (NewsRx) -- By a News Reporter-Staff News Editor at Biotech Week -- According to news
reporting originating from Washington, D.C., by NewsRx journalists, a patent application by the inventors
FALLON, JOAN M. (Bronxville, NY), filed on May 25, 2012, was cleared for further review on September
20, 2012.
The assignee for this patent application, patent serial number 481087, is Curemark, Llc.
Reporters obtained the following quote from the background information supplied by the inventors: "The
present invention relates generally to a method for treating individuals diagnosed with a form of PDD
(pervasive development disorder) and other disorders such as ADD (attention deficit disorder) and ADHD
(attention deficit hyperactivity disorder). More specifically, the present invention is directed to therapeutic
method for treating individuals with such disorders by administering secretin, other neuropeptides,
peptides, and/or digestive enzymes, as well as a prognosticative method for determining the potential
effectiveness of the administration of secretin, other neuropeptides, peptides, and/or digestive enzymes
for the treatment of such disorders.
"PDDs are a class of disorders defined by both American and International diagnostic systems (i.e., the
Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders, 4th edition (DSM-IV) and World Health
Organization: International Classification of Diseases, Tenth revision (ICD-10)). The spectrum of PDDs
include disorders such as Autism, Aspergers, ADD, and ADHD. PDDs are typically characterized by
multiple distortions in the development of basic psychological functions that are involved in the
development of social skills and language, such as attention, perception reality testing and motor
movement. In addition, many children diagnosed with Autism, for example, suffer from primary diffuse
gastrointestinal problems such as protracted diarrhea and constipation. Although PDDs are currently of
unknown etiology, many conventional methods, such as dietary alteration, behavioral modification, and
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medication, have been utilized for treating individuals suffering from PDD related disorders. Unfortunately,
PDD related disorders have no known treatment beyond that which is symptomatic, and these
conventional methods have proven unsuccessful in allowing such children and adults to become
symptom, or disorder free.
"A child which displays signs of developmentally inappropriate inattention, impulsivity and hyperactivity is
typically diagnosed as having ADD and/or ADHD. With these disorders, there can be marked
disturbances of organization, distractibility, impulsivity, restlessness, and other disturbances of language
and/or social behavior. A combination of psychiatric care and medicine is typically used for treating
children with ADD and ADHD.
"It was recently discovered that the administration of secretin, a gastrointestinal peptide hormone, to
children diagnosed with Autism resulted in ameliorating the symptoms associated with Autism. This
finding was published in the article by Horvath et al., entitled Improved Social and Language Skills After
Secretin Administration In Patients with Autistic Spectrum Disorders, Journal of the Association for
Academic Minority Physician Vol. 9 No. 1, pp. 9-15, January, 1998. The secretin administration, as
described in Horvath, was performed as a diagnostic procedure, i.e., to stimulate pancreaticaobiliary
secretion during an upper gastrointestinal endoscopy, rather than as a therapeutic procedure. Although
the specific mechanism by which the secretin improved the autistic-related symptoms was not specifically
identified, Horvath postulated that secretin may have had a direct or indirect effect on the central nervous
system. What is important, however, is that this was the first time that gastrointestinal problems of autistic
children were linked to a possible etiology in Autism.
"Accordingly, in view of such findings, a method for determining whether an individual suffering from a
disorder in the PDD spectrum will benefit from the administration of secretin, other neuropeptides,
peptides and/or digestive enzymes, as well as a therapeutic method for treating such individuals with the
administration of secretin, other neuropeptides, peptides and/or digestive enzymes, are highly desired."
In addition to obtaining background information on this patent application, NewsRx editors also obtained
the inventors' summary information for this patent: "The present invention is directed to a method of
analyzing the chymotrypsin level of an individual to determine the potential benefit of the administration of
secretin, other neuropeptides, peptides and/or digestive enzyme administration to such individual, and in
particular, as a prognosticative of potential secretin, other neuropeptides, peptides, and/or digestive
enzyme administration for individuals diagnosed as having ADD, ADHD, Autism and other PDD related
disorders.
"In one aspect, a method for determining the efficacy of secretin, other neuropeptides, peptides, or
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digestive enzymes for the treatment of an individual diagnosed with a pervasive developmental disorder
(PDD) comprises obtaining a sample of feces from an individual, determining a quantitative level of
chymotrypsin present in the sample, and correlating the quantitative level of chymotrypsin determined to
be present in the sample with the PDD to determine the efficacy of treating the individual with secretin,
other neuropeptides, peptides, or digestive enzyme administration.
"In another aspect, a therapeutic method for treating an individual diagnosed with a PDD pervasive
developmental disorder comprises determining the efficacy of the administration of secretin, other
neuropeptides, peptides, and digestive enzyme for the treatment of the individual based on a measure of
the individual's chymotrypsin level, and administering secretin, other neuropeptides, peptides, or digestive
enzymes to the individual based on the determination of the measure of the individual's chymotrypsin
level.
"The present invention involves determining the presence of abnormal protein digestion of individuals,
especially children, by measuring the chymotrypsin levels so as to determine if the individual is likely to
benefit from the administration of secretin, digestive enzymes, peptides and/or neuropeptides. Although
there have been methods to test fecal samples for indications of cystic fibrosis and pancreatic diseases in
infants, none of the known methods have tested fecal samples in determining the benefits of
administering secretin, other neuropeptides, peptides and/or digestive enzymes to individuals suffering
from a PDD. Indeed, in so far as an individual's fecal chymotrypsin level is a broad measure of protein
and fat digestion, such levels can be applied to all those who may benefit from improvements in this mode
of digestion. Furthermore, as low measures of fecal chymotrypsin expresses an abnormality of protein
digestion, it is postulated that an improvement of protein digestion to promote normal growth and
development of an individual suffering from a PDD by the administration of secretin, other neuropeptides,
peptides and/or digestive enzymes, can ameliorate the symptomatologies of PDDs.
"Accordingly, in another aspect of the present invention, a therapeutic method is provided for treating an
individual diagnosed with a PDD including but not limited to Autism, Aspergers, ADD and ADHD,
comprising the steps of:
"determining the effectiveness of secretin administration for the treatment of the individual based on a
measure of the individual's chymotrypsin level; and
"administering secretin therapy to the individual based on the determination of the measure of the
individuals chymotrypsin level.
"In yet another aspect, the therapeutic method involves administering a fecal chymotrypsin test to
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measure an individual's fecal chymotrypsin level. Preferably, an enzymatic spectrophotometry method is
used for measuring the fecal chymotrypsin level of the individual. Upon determinating that an individual
has an abnormal level of chymotrypsin, the individual is preferably administered 1 U/kg of body weight of
porcine or human secretin by means of an intravenous push method. This method can be described as
the administration of an IV push of saline solution and secretin to equal 1 U/kg of body weight. The
individual then receives 1 unit test dose (absolute). A period of one minute is allowed to pass to determine
if the individual has any allergic reactions to the secretin. After one minute has elapsed, if no urticarial
reaction or any other allergic reaction has occurred, the remainder of the dose is administered.
Subsequent fecal chymotrypsin samples are then gathered at one week intervals post administration to
determine any changes in the chymotrypsin levels.
"These and other aspects, features and advantages of the present invention will be described and
become apparent from the following detailed description of preferred embodiments, which is to be read in
connection with the accompanying drawings."
For more information, see this patent application: FALLON, JOAN M. Method for Treating Pervasive
Development Disorders. U.S. Patent Serial Number 481087, filed May 25, 2012, and posted September
20, 2012. Patent URL: http://appft.uspto.gov/netacgi/nph-Parser?Sect1=PTO2&Sect2=HITOFF&u=
%2Fnetahtml%2FPTO%2Fsearch-
adv.html&r=2763&p=56&f=G&l=50&d=PG01&S1=20120913.PD.&OS=PD/20120913&RS=PD/20120913
Keywords for this news article include: Autism, Proteins, Neurology, Pediatrics, Amino Acids,
Chymotrypsin, Curemark Llc, Therapeutics, Peptide Hydrolases, Enzymes and Coenzymes, Serine
Endopeptidases, Developmental Disabilities.
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News
Autism redefined for clearer diagnoses; Absorbing Asperger's syndrome wil l mean faster
access to more treatment options
Tanya Talaga Toronto Star
677 mots
3 octobre 2012
The Toronto Star
TOR
ONT
A1
Anglais
Copyright (c) 2012 The Toronto Star
Early next year, a new definition of autism will be used by scientists in order to more precisely diagnose
kids with the brain disorder.
The diagnosis of Asperger's syndrome, considered a "higher functioning" form of autism, will disappear
once the new criteria for identifying the disorder come out in May 2013, according to Dr. Catherine Lord,
director of the Center for Autism and the Developing Brain. The latter is a collaborative program between
New York-Presbyterian Hospital, Weill Cornell Medical College and Columbia University, in partnership
with the New York Center for Autism.
The proposed changes on how doctors define and diagnose autism were the subject of a research study
conducted by Lord.
The study was published in the latest issue of the American Journal of Psychiatry.
"As a scientific medical diagnosis, Asperger's is merged into autism spectrum disorder," Lord said. "Our
committee felt there just wasn't any way to justify its continuance."
Lord is part of the American Psychiatric Association's working group responsible for updating the fifth
edition of the Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders, a guide used by physicians around
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the world. Improved diagnosis leads to better treatment.
"There was so much confusion of who had Asperger's and who didn't. We were also concerned that there
were kids being denied services because Asperger's sounds like a better diagnosis," she said.
Autism rates are staggering in North America. A debate is raging among physicians as to whether the
rates are actually increasing or if experts have just recognized that many syndromes are linked.
One in 88 children is believed to have the neurological disorder. Symptoms range from repetitive or
aggressive behaviour to a complete lack of social skills and an inability to speak or make eye contact.
Clinicians are scrambling to better define autism in an effort to quickly identify children and get them into
interactive, behavioural treatment. There is no cure for autism and the burden on families can be
immense as many autistic people cannot live on their own.
Nearly 70 years ago, Austrian pediatrician Hans Asperger was the first to notice intellectual children with
social problems who were somewhat obsessed with specific topics. These children often avoided eye
contact and were clumsy. But it wasn't until the 1990s that Asperger's syndrome was added to a list of
mental disorders.
Famous people thought to have Asperger's include physicist Sir Isaac Newton, Microsoft founder Bill
Gates and British author Jane Austen.
Reaction to the changing scope of autism has been positive.
There is no biological or genetic reason why Asperger's should be separated on its own, said Dr. Evdokia
Anagnostou, a child neurologist at Holland Bloorview Kids Rehabilitation Hospital. "We assumed they
were different but it looks like they are not," she said. "Now we can call them all autism."
Also being swallowed into the autism spectrum is Pervasive Developmental Disorder, a term used to
classify some developmental issues, including an inability to socialize.
Child psychiatrist Dr. Peter Szatmari, a professor at McMaster University and a noted expert on autism,
said the changes are a "good thing" as they will speed up the diagnostic progress. But he cautioned that
autism is "incredibly heterogeneous."
"In 30 years, I don't think I could say I have seen two cases the same," he said. "You can't treat a 2-year-
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old who is profoundly intellectually disabled and without language as the same as a 7-year-old who is
very chatty about their stamp collection."
"We need a way to capture that diversity," he said.
People previously diagnosed with Asperger's should be able to keep that label or name, noted Alycia
Halladay, director of environmental research at the U.S.-based Autism Speaks advocacy group.
"The intent is to ensure that people with Asperger's receive the same needed interventions and services
as those with an autism diagnosis," she said.
Document TOR0000020121003e8a300002
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Autism; Investigators from University of I l l inois Target Autism
338 mots
8 octobre 2012
Mental Health Weekly Digest
MHWK
107
Anglais
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2012 OCT 8 (NewsRx) -- By a News Reporter-Staff News Editor at Mental Health Weekly Digest --
Research findings on Autism are discussed in a new report. According to news originating from
Champaign, Illinois, by NewsRx correspondents, research stated, "The purpose of this study was to
examine judgments made by different listeners of the communicative intent, specifically requesting and
rejecting, of young children with autism and limited expressive language. Video clips from a structured
assessment study of three young children with autism spectrum disorder were edited and viewed by adult
raters from four subgroups."
Our news journalists obtained a quote from the research from the University of Illinois, "Analysis of the
findings indicated that those who were both familiar and expert were more accurate and more confident in
their judgments than those who were unfamiliar and non-expert. There was more variation among the four
subgroups of raters in accuracy related to rejecting compared to requesting behavior."
According to the news editors, the researchers concluded: "It was concluded that collaboration in the
determination of intention and consistency of responding to specific communicative forms among all
individuals who are involved in the child's life appear to be important steps in developing common
communication goals."
For more information on this research see: Intentional Communication of Young Children with Autism
Spectrum Disorder: Judgments of Different Communication Partners. Journal of Developmental and
Physical Disabilities, 2012;24(5):437-450. Journal of Developmental and Physical Disabilities can be
contacted at: Springer, Plenum Publishers, 233 Spring St, New York, NY 10013, USA. (Springer -
www.springer.com; Journal of Developmental and Physical Disabilities -
www.springerlink.com/content/1056-263x/)
The news correspondents report that additional information may be obtained from H. Meadan, University
of Illinois, Champaign, IL 61820, United States.
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Keywords for this news article include: Autism, Illinois, Champaign, Neurology, Pediatrics, United States,
North and Central America, Developmental Disabilities
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Document MHWK000020121005e8a800028
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Autism; New Data from M. Chez et al I l luminate Research in Autism
416 mots
8 octobre 2012
Mental Health Weekly Digest
MHWK
119
Anglais
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2012 OCT 8 (NewsRx) -- By a News Reporter-Staff News Editor at Mental Health Weekly Digest -- Data
detailed on Autism have been presented. According to news reporting originating from Sacramento,
California, by NewsRx correspondents, research stated, "Autism affects 1?:?88 children in the United
States. Familial history of autoimmune disease, autoantibodies in the serum of mothers when there is
more than one autistic offspring, and neuroglial response in CSF and brain tissue in autistic patients
suggest an immunological variable may be associated with this condition."
Our news editors obtained a quote from the research, "Lenalidomide has the potential to invoke changes
in TNF-a with less toxicity than thalidomide. This pilot study evaluated lenalidomide at reduction of TNF-a
and improvement of behavior and language in children with autism with elevated TNF-a. Subjects with
elevated TNF-a were given 2.5?mgs lenalidomide daily for 12-weeks. Pharmacodynamics and safety was
evaluated. Changes in language and autistic behaviors after six and twelve weeks were measured.
Although statistical significance was not achieved for most measures, there were trends toward
improvement. After 6-weeks, mean receptive language increased: 60.67 (+-) 12.06 to 65.00 (+-) 15.10
(p=0.11) and symptoms of autism decreased (40.75 (+-) 5.96 versus 38.67 (+-) 7.90, p=0.068). After 12-
weeks, CSF-TNF-a declined 57% (+-) 25% from 80.5 (+-) 41.03 to 38.0 (+-) 31.27 (p=0.068). Serum TNF-
a declined 57% (92.50 (+-) 68.92 to 40.25 (+-) 44.53 (p=0.048)."
According to the news editors, the researchers concluded: "This study suggests that lenalidomide is
tolerated as a treatment by children with autism and should be further studied as a potential agent for
cytockine inflammation."
For more information on this research see: Safety and observations in a pilot study of lenalidomide for
treatment in autism. Autism Research and Treatment, 2012;2012():291601. (Hindawi Publishing -
www.hindawi.com; Autism Research and Treatment - www.hindawi.com/journals/aurt/)
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The news editors report that additional information may be obtained by contacting M. Chez, Sutter
Neuroscience Medical Group, 1625 Stockton Boulevard, Suite 104, Sacramento, CA 95816, United
States.
Keywords for this news article include: Autism, Neurology, Sacramento, California, Pediatrics, United
States, North and Central America, Developmental Disabilities.
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Neuroscience; Research Findings from Oklahoma State University Center for Health
Sciences Update Understanding of Neuroscience
384 mots
8 octobre 2012
Mental Health Weekly Digest
MHWK
173
Anglais
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2012 OCT 8 (NewsRx) -- By a News Reporter-Staff News Editor at Mental Health Weekly Digest --
Current study results on Neuroscience have been published. According to news reporting originating in
Tulsa, Oklahoma, by NewsRx journalists, research stated, "Mercury is neurotoxic and increasing
evidence suggests that environmental exposure to mercury may contribute to neuropathologies including
Alzheimer's disease and autism spectrum disorders. Mercury is known to disrupt immunocompetence in
the periphery, however, little is known about the effects of mercury on neuroimmune signaling."
The news reporters obtained a quote from the research from Oklahoma State University Center for Health
Sciences, "Mercury-induced effects on central immune function are potentially very important given that
mercury exposure and neuroinflammation both are implicated in certain neuropathologies (i.e., autism).
Furthermore, mounting evidence points to the involvement of glial activation in autism. Therefore, we
utilized an in vivo model to assess the effects of mercury exposure on neuroimmune signaling. In prairie
voles, 10 week mercury exposure (60ppm HgCl(2) in drinking water) resulted in a male-specific increase
in TNFa protein expression in the cerebellum and hippocampus. These findings are consistent with our
previously reported male-specific mercury-induced deficits in social behavior and further support a role for
heavy metals exposure in neuropathologies such as autism. Subsequent studies should further evaluate
the mechanism of action and biological consequences of heavy metals exposure."
According to the news reporters, the researchers concluded: "Additionally, these observations highlight
the potential of neuroimmune markers in male voles as biomarkers of environmental mercury toxicity."
For more information on this research see: Chronic inorganic mercury exposure induces sex-specific
changes in central TNFa expression: importance in autism? Neuroscience Letters, 2011;504(1):40-4.
(Elsevier - www.elsevier.com; Neuroscience Letters - www.elsevier.com/wps/product/cws_home/506081)
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Our news correspondents report that additional information may be obtained by contacting J. Thomas
Curtis, Dept. of Pharmacology, Physiology, Oklahoma State University Center for Health Sciences, 1111
West 17th Street, Tulsa, OK 74107, United States.
Keywords for this news article include: Tulsa, Autism, Oklahoma, Neurology, Neuroscience, United
States, North and Central America, Developmental Disabilities.
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Document MHWK000020121005e8a800044
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Medical Genetics; Research from Children's Hospital in Medical Genetics Provides New
Insights
451 mots
8 octobre 2012
Mental Health Weekly Digest
MHWK
178
Anglais
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2012 OCT 8 (NewsRx) -- By a News Reporter-Staff News Editor at Mental Health Weekly Digest -- A new
study on Medical Genetics is now available. According to news reporting out of Philadelphia,
Pennsylvania, by NewsRx editors, research stated, "Cornelia de Lange syndrome (CdLS) is a congenital
disorder characterized by distinctive facial features, growth retardation, limb abnormalities, intellectual
disability, and behavioral problems. Autism has been reported to occur frequently in CdLS, but the
frequency of autism in individuals with the milder CdLS phenotype is not well studied."
Our news journalists obtained a quote from the research from Children's Hospital, "We investigated
autistic features by using a screening tool and a diagnostic interview in 49 individuals with the mild to
moderate phenotype from a CdLS research database at the Children's Hospital of Philadelphia. The
Social Communication Questionnaire (SCQ), a screening instrument for autistic disorder, was completed
for all individuals. For individuals who screened positive and a subset of those that screened negative, the
Autism Diagnostic Interview-Revised (ADI-R) was administered. Autistic symptom severity was not
significantly different by gender, age groups, and genotypes. There was a significant correlation between
higher levels of adaptive functioning and lower scores of autistic symptoms. The estimated prevalence of
significant autistic features by ADI-R criteria was 43% in our cohort of individuals with the mild to
moderate CdLS phenotype, which suggests that prevalence of autistic disorder may be higher than
previously described among individuals with mild to moderate phenotype of CdLS."
According to the news editors, the researchers concluded: "Clinicians who take care of individuals with
CdLS should have a high index of suspicion for autistic features, and refer for further evaluation when
these features are present in order to expedite appropriate intervention."
For more information on this research see: Investigation of autistic features among individuals with mild to
moderate Cornelia de Lange syndrome. American Journal of Medical Genetics Part A,
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2012;158A(8):1841-7. (Wiley-Blackwell - www.wiley.com/; American Journal of Medical Genetics Part A -
onlinelibrary.wiley.com/journal/10.1002/(ISSN)1552-4833)
Our news journalists report that additional information may be obtained by contacting M. Nakanishi,
Division of Child Development, Rehabilitation and Metabolic Disease, The Children's Hospital of
Philadelphia and University of Pennsylvania School of Medicine, Philadelphia, Pennsylvania 19104,
United States.
Keywords for this news article include: Autism, Philadelphia, Pennsylvania, United States, Medical
Genetics, Mental Retardation, Chromosome Disorders, Nervous System Diseases, Congenital
Abnormalities, North and Central America, Neurologic Manifestations, Cornelia De Lange Syndrome,
Developmental Disabilities, Neurobehavioral Manifestations.
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Developmental Science; Studies in the Area of Developmental Science Reported from
Louisiana State University
337 mots
8 octobre 2012
Mental Health Weekly Digest
MHWK
223
Anglais
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2012 OCT 8 (NewsRx) -- By a News Reporter-Staff News Editor at Mental Health Weekly Digest --
Investigators discuss new findings in Developmental Science. According to news reporting originating in
Baton Rouge, Louisiana, by NewsRx journalists, research stated, "Adults with intellectual disability (ID)
and autism spectrum disorders (ASDs) are often at risk for developing additional forms of
psychopathology and/or challenging behaviors, including pica. The aim of this study was to examine the
relationship of pica and social skills deficits."
The news reporters obtained a quote from the research from Louisiana State University, "The Matson
Evaluation of Social Skills for Individuals with sEvere Retardation (MESSIER), a measure of social skill
impairment, was administered to a group of adults with ID alone (n = 22), a group with ID and ASD (n =
22), and a group with ID, ASD, and pica (n = 15). The Pica + ASD + ID group exhibited significantly fewer
pro-social behaviors than the ID alone group but had significantly more negative social skills than both
other groups."
According to the news reporters, the researchers concluded: "These findings and the implications of
these data are discussed."
For more information on this research see: An Evaluation of Social Skills in Adults with Pica, Autism
Spectrum Disorders, and Intellectual Disability. Journal of Developmental and Physical Disabilities,
2012;24(5):505-514. Journal of Developmental and Physical Disabilities can be contacted at: Springer,
Plenum Publishers, 233 Spring St, New York, NY 10013, USA. (Springer - www.springer.com; Journal of
Developmental and Physical Disabilities - www.springerlink.com/content/1056-263x/)
Our news correspondents report that additional information may be obtained by contacting J.L. Matson,
Louisiana State University, Dept. of Psychol, Baton Rouge, LA 70803, United States.
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Keywords for this news article include: Autism, Louisiana, Neurology, Baton Rouge, United States,
Developmental Science, North and Central America, Developmental Disabilities
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NewsRx LLC
Document MHWK000020121005e8a80005t
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Autism and Developmental Disorders; Study Results from Northern University Broaden
Understanding of Autism and Developmental Disorders
344 mots
8 octobre 2012
Mental Health Weekly Digest
MHWK
233
Anglais
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2012 OCT 8 (NewsRx) -- By a News Reporter-Staff News Editor at Mental Health Weekly Digest --
Investigators discuss new findings in Autism and Developmental Disorders. According to news originating
from Barranquilla, Colombia, by NewsRx correspondents, research stated, "We investigated whether
individuals with a mild form of autism spectrum disorder (ASD) are influenced by an actor's gaze direction
when anticipating how an observed action will continue in the immediate future. Participants observed a
head rotate towards them, while the gaze direction was either leading, or lagging behind, rotation."
Our news journalists obtained a quote from the research from Northern University, "They also observed
identical rotations of a cylinder containing the geometrical equivalent of the gaze manipulation. The
control group was influenced by the gaze manipulations for the animate but not the inanimate stimulus.
The ASD group did not discriminate between the stimuli, showing a similar influence for both."
According to the news editors, the researchers concluded: "This suggests that the ASD responses in the
animate condition were biased by the low-level directional features of the eyes rather than by the
conveyed intentions."
For more information on this research see: Anticipation of action intentions in autism spectrum disorder.
Journal of Autism and Developmental Disorders, 2012;42(8):1684-93. Journal of Autism and
Developmental Disorders can be contacted at: Springer, 233 Spring Street, New York, NY 10013, USA.
(Springer - www.springer.com; Journal of Autism and Developmental Disorders -
www.springerlink.com/content/0162-3257/)
The news correspondents report that additional information may be obtained from M. Hudson, School of
Business, Universidad del Norte, Bloque G, Piso 4, Barranquilla, Atlantico, Colombia.
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The publisher's contact information for the Journal of Autism and Developmental Disorders is: Springer,
233 Spring Street, New York, NY 10013, USA.
Keywords for this news article include: Colombia, Neurology, Barranquilla, South America, Developmental
Disabilities, Autism and Developmental Disorders.
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