1 CODAGE ET TRANSFERT DE L'INFORMATION SUR ORDINATEUR ET RESEAUX INFORMATIQUES.

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CODAGE ET TRANSFERT DE L'INFORMATION SUR

ORDINATEUR ET RESEAUX INFORMATIQUES

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I. Introduction et définitions

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INFORMATIQUE:

contraction de INFORmation et autoMATIQUE

c ’est avant tout un ensemble de méthodes et matériels permettant le traitement des données ou de l ’information.

I. Introduction et définitions

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INFORMATION:

On appelle INFORMATION tout ce qui est susceptible d ’être représenté à l ’aide de conventions pour être conservé, traité ou communiqué.

I. Introduction et définitions

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RESEAU INFORMATIQUE:

C ’est un moyen (matériel & méthodes) de transporter des messages ou de l ’information de différents types:

•Sons: parole, musique

•Images: fixes, animées (vidéo), en noir et blanc, avec nuances de gris, en couleur.

•Textes: avec ou sans dessin, avec des styles différents.

•Données informatiques:informations codées en binaire.

I. Introduction et définitions

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NUMERISATION

Sons

Images

TextesDonnées binaires

MULTIMEDIA

I. Introduction et définitions

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Système Codeur Décodeur Transmission

Parole Téléphone MicrophoneHP ou écouteur

par signaux analogiques ou numériques

Image fixe Fax (télécopie) Scannerdispositif de réception

par signaux analogiques ou numériques

TélévisionDiffusion hertzienne

CaméraRécepteur TV+antenne

par signaux analogiques et numériques

Données informatiques

Réseaux de téléinformatique

MODEM MODEMpar signaux analogiques ou numériques

I. Introduction et définitions

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Les nécessités de transmission imposent une transformation en signaux électriques ou électromagnétiques.

I. Introduction et définitions

9

Les signaux analogiques

t

Grandeur physique

I. Introduction et définitions

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Les signaux numériques

t

Grandeur physique

I. Introduction et définitions

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I. Introduction et définitions

Les infrastructures existantes de télécommunication sont de type analogique ou de type numérique.

Dans de nombreux cas il est nécessaire de procéder à des conversions de signaux analogiques en signaux numériques et réciproquement.

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II. Les ordinateurs

1. HISTORIQUE

2. ARCHITECTURE

3. LES LANGAGES

4. FONCTIONNEMENT D ’UN PROGRAMME

5. LES PERIPHERIQUES

6. COMPARATIF DE CAPACITES ET TAUX DE TRANSFERT

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Les premières machines à calculer dignes de ce nom, les Pascalines, furent construites en 1642-1645 par le jeune Blaise Pascal, afin de faciliter les calculs, et spécialement les calculs compliqués nécessitant des changements de bases.

Par exemple la machine construite pour son père, « Commissaire député par sa Majesté pour l ’impôt et la levée des tailles », permettait de manipuler des livres, des sols et des deniers,

• 12 deniers pour faire un sol,

• 20 sols pour une livre,

• les livres étant comptabilisées en décimal….

sachant bien sûr qu ’il faut :

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1. Bref Historique

• des machines à calculer mécaniques : très utilisées pour exploiter les

données du recensement aux Etats-Unis en 1890

• des métiers à tisser : qui utilisaient des cartes perforées inventées en

1728 par Falcon, mécanicien lyonnais

• de l’algèbre de Boole : créé en 1854, mais inexploité pendant un siècle !

• des transistors, inventés seulement au XX° siècle

Nos ordinateurs sont les héritiers :

1. Bref Historique

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Historique (suite)

•1947 : construction du premier transistor (transfer resistor) à

pointe aux Etats-Unis

•1949 : naissance du premier ordinateur en Grande Bretagne

(Maurice Wilkes)

•1951 : fabrication de transistors à jonction

•1952 : fabrication de transistors à effet de champ : à faible

consommation électrique et très rapides

•1955 : les premiers récepteurs radio à transistors remplacent

les récepteurs radio à galène (cristal de sulfure de plomb)

•1959 : mise au point du premier circuit intégré : appelé

« puce » qui comprenait 5000 composants élémentaires sur une

pastille de 5 mm de côté

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•1960: utilisation du silicium ce qui permet de diminuer la taille des

transistors : la course à la miniaturisation est lancée

•1964 : un transistor à jonction occupe un millimètre carré sur une

épaisseur de quelques dixièmes de millimètre d ’épaisseur

•1971 : la société INTEL met au point le premier microprocesseur sur 4

bits : les fonctions élémentaires d ’un ordinateur sont rassemblées sur

un seul composant électronique équivalent à 2300 transistors.

•Aujourd’hui, les microprocesseurs possèdent entre 9 et 22 millions de

transistors

•2000 : les transistors disponibles sur le marché mesurent 180

nanomètres ( milliardièmes de mètre), mais un laboratoire français a

réalisé un transistor de 20 nanomètres : c’est actuellement le plus petit

transistor au monde.

Historique (suite)

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• une position binaire = un binary digit = un bit on ne peut y mettre qu ’une seule valeur « logique » souvent représentée par 0 ou 1

• un Øctet = 8 positions binaires consécutives indissociables = un Ø = un Byte

Chaque position binaire d ’un Ø a un poids : elle vaut 0 ou 1 fois une certaine puissance de 2, qui dépend de sa position dans l’octet

Définitions

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• Un Kilo-Octet = 210 Ø 103 Ø = 1 KØ = 1024 Ø

•Un Méga-Octet = 220 Ø 106 Ø = 1 MØ

•Un Giga-Octet = 230 Ø 109 Ø = 1 GØ

•Un Téra-Octet = 240 Ø 1012 Ø = 1 TØ

Précisions

•Un Péta-Octet = 250 Ø 1015 Ø = 1 PØ

•Un Exa-Octet = 260 Ø 1018 Ø = 1 EØ

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Les codes ASCII

American Standard Codes for Information Interchange

Code de A : 65

Code de a : 97

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2. Architecture d ’un micro-ordinateur

Mémoire centrale

Microprocesseur

Unité de commande

Unité arithmétique et logique

écran

clavier

disque dur

imprimante

bus

Unité centrale

CD

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L’ordinateur est encore actuellement construit selon une architecture générale définie en 1945 par un mathématicien d’origine hongroise John von Neumann.

L’ordinateur est composé d’une unité centrale et de périphériques d’entrée/sortie.

Les périphériques ont différentes vocations :

• permettre la communication entre l’utilisateur et l’ordinateur : écran, clavier, souris

• mémorisation ou archivage : disque dur, disquette, imprimante, CD(Compact Disc), DVD (Digital Versatile Disc)

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L’unité centrale est constituée :

• d’une mémoire centrale ( ou mémoire vive)

• d’un microprocesseur

• de bus de données et de bus d’adresses

• d’une mémoire morte

• d’une mémoire cache

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• C’est la mémoire de travail exclusive du microprocesseur.

La mémoire centrale

• elle est vive, c’est à dire très rapide d’accès, car chacun de ses mots a une adresse individuelle.

• elle est volatile : dès qu’elle est mise hors tension, elle s’efface.

• elle sert à stocker temporairement les programmes et les données dont le microprocesseur a besoin à un instant donné.

Un programme n’est exécutable que s’il est chargé en mémoire centrale (au moins partiellement).

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La mémoire centrale

On dit de la mémoire centrale que c’est de la R.A.M. : Random

Access Memory, et on traduit malheureusement Random par

Aléatoire, pour exprimer le fait qu’on peut accéder directement à

un mot mémoire précis!

L’accès a une information en mémoire centrale n’est pourtant

pas du tout aléatoire.

On pourrait traduit R.A.M. en français par Mémoire à accès direct

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La mémoire centrale

Elle est organisée en MOTS-mémoire.

La longueur d’un mot-mémoire varie d’une machine à l’autre

mais les tailles de 32 et 64 bits tendent à se généraliser.

Le mot mémoire est l’unité d’information adressable, c’est-à-dire

que toute opération de lecture ou écriture porte sur un mot-

mémoire.

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La mémoire centrale

A chaque mot-mémoire est associé :

• une adresse, unique, indiquant sa position en mémoire

• un contenu (instruction ou donnée)

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La mémoire centrale

Un registre est une cellule mémoire qui a une fonction

particulière.

Dans la mémoire centrale on trouve deux types de registres :

• le registre mot qui contient le contenu d’un mot-mémoire

•le registre d’adresse : qui contient l ’adresse d’un mot-

mémoire

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La mémoire centrale

Le registre mot a la même taille qu ’un mot-mémoire.

Le registre d’adresse a une taille qui doit lui permettre

d’adresser tous les mots de la mémoire centrale :

• s’il a une taille de 8 bits, il ne pourra adresser que 256 mots-

mémoires (28 =256).

• s’il a une taille de 32 bits, il pourra adresser 4 Gmots ( 232 ).

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La mémoire centrale

Le temps d’accès a un mot-mémoire est de l’ordre de quelques

nanosecondes.

Techniquement, chaque point mémoire, qui représente un bit

de la mémoire centrale, est matérialisé

• soit par un bistable (ou bascule), qui a deux états stables ; il

est composé de 4 transistors

• soit par un condensateur couplé à un transistor.

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Le microprocesseur

• c ’est Le grand ACTEUR de l ’ordinateur

• Il s’active et active ces interlocuteurs au rythme d ’une horloge

• son unité de commande

décode les instructions du programme en mémoire centrale,

récupère des copies de certaines valeurs de la mémoire centrale à traiter,

soumet du travail à l’Unité Arithmétique et Logique,

modifie des valeurs en mémoire centrale

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Le microprocesseur

L’unité arithmétique et logique est spécialisée uniquement en traitements :

• Mathématiques : addition, soustraction, multiplication, division

• et Logique : négation, ET, OU, OU exclusif

Elle reçoit des ordres de l’unité de commande à qui elle fournit les

résultats du travail demandé : elle n’ aucune autre attribution

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L’horloge

Elle émet des impulsions électriques régulières, synchronisant

ainsi toutes les actions de l ’unité centrale.

Entre 2 coups d ’horloge il se passe un cycle, durant lequel on

exécute une seule instruction élémentaire.

Le cycle est l ’inverse de la fréquence :

un processeur fonctionnant à 2 GHz, a un cycle de 0.5 ns

(nano seconde = 10-9 s)

Remarque : il y a autant de nanosecondes dans une seconde que de secondes dans une trentaine d ’années !

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Le séquenceur

Il génère des signaux de commande pour actionner et contrôler

les unités participant à l ’exécution d’une instruction en cours.

Il tient compte des temps de réponses des circuits sollicités.

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La mémoire cache

Le principe de la mémoire cache ( ou antemémoire) apporte une

solution au problème de trop grande différence de vitesse entre

le microprocesseur et la mémoire centrale.

On insère entre eux une mémoire tampon, pas très grande

(quelques MØ), mais très rapide d ’accès.

Elle ne fait pas partie de la mémoire centrale, mais contiendra

des données et des instructions issues de la mémoire centrale.

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Les bus

Un bus est un ensemble de lignes (16, 32, ou 64, ou +) assurant la

connexion des dispositifs qui y sont rattachés.

On peut distinguer des lignes affectées au transport des

adresses, des données, ou de signaux de commandes.

Ces lignes sont exploitées en commun par plusieurs entités, mais

pendant une communication le bus est réservé aux deux unités

participant à l ’échange.

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Le système d’exploitation

C’est un ensemble de programmes qui se chargent de toutes

les tâches et problèmes relatifs à l’exploitation du matériel.

• gestion des adresses dans les différents segments de la

mémoire centrale

• gestion des entrées-sorties sur les périphériques

• optimisation de la gestion des implantations de programmes et

logiciels en mémoire centrale

En voici quelques exemples :

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La mémoire morte

Il y en a toujours au moins une par ordinateur, pour permettre son

démarrage.

• elle contient le N° de série, et une partie du système

d’exploitation.

• elle est de type R.O.M. (Read Only Memory) : son contenu a été

figé à la fabrication ; elle n’est pas modifiable.

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Le B.I.O.S

Acronyme de Basic Input/Output System

Ce circuit contient les instructions du programme à suivre au

démarrage de l’ordinateur :

•Test de la mémoire

•Lancement du disque dur

•Chargement en mémoire centrale de programmes systèmes

indispensables au fonctionnement de la machine

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La mémoire virtuelle

C’est un procédé qui consiste à faire croire à l’ordinateur qu’il

dispose de plus de mémoire centrale que le total de R.A.M.

installée.

Il consiste à gérer plus d’adresses qu’il n’existe de mots-

mémoires, et à utiliser une partie de l’espace disque pour y gérer

les informations correspondantes.

C’est donc de la mémoire centrale virtuelle, qui n’existe pas.

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3. Les langages

Le langage machine : on écrit les programmes directement en

binaire : c’est le seul langage que le microprocesseur

comprenne.

Le langage assembleur : utilise des symboles (mathématiques) et

des codes mnémoniques pour désigner des séquences binaires.

Ils sont de différents types selon de leur niveau de complexité

ou de leur domaine d ’intervention.

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Les langages évolués : tels que Fortran, Pascal, C, Cobol, C++,

Visual-Basic, sont basés sur un vocabulaire anglais très limité.

Ils permettent de programmer, sans une connaissance approfondie

du microprocesseur, mais nécessitent une grande rigueur.

Ils comportent des instructions complexes très structurées.

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Ces langages évolués ont des domaines d ’intervention

privilégiés :

• COBOL : sert uniquement à la gestion (de stocks, de

commandes, d’encours de fabrication, de finances, …)

• FORTRAN : sert aux calculs mathématiques demandant une

très grande précision.

• PASCAL : sert à un enseignement rigoureux de la

programmation dans les écoles

• C, C++ : servent aux acquisitions, et traitement d ’informations

dans des laboratoires techniques, et au développement de

logiciels.

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Un logiciel est un groupe de programmes tout faits, destinés à

être commercialisés, qui participent ensemble à un objectif

commun précis : on parle de logiciels de comptabilité, de

conception mécanique, de jeux, ...

Les langages d’intelligence artificielle : tels que Lisp et Prolog,

sont des langages évolués particuliers, qui permettent de

réaliser des systèmes experts qui tentent de simuler

l’intelligence humaine, sur des bases de connaissances.

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4. Fonctionnement d ’un programme

Un nouveau programme est créé sous forme d’un code source

écrit en langage évolué.

Avant de pouvoir être exécuté par un ordinateur, il doit subir les

étapes suivantes :

b) la compilation : elle est réalisée par un programme appelé

compilateur , qui traduit le code source en code machine : cette

nouvelle version du programme s ’appelle son code objet.

a) le chargement en mémoire centrale

c) l ’édition de liens : réalisée par un programme qui rassemble

les différents modules nécessaires au programme (sous-

programmes en bibliothèques).

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Cette dernière version complète peut être mémorisée et

réutilisée, pour éviter des recompilations ultérieures.

Mais chaque modification du code source oblige à refaire les 3

étapes a) b) c)

Ensuite seulement l’exécution du programme peut démarrer :

elle fait souvent appel à des données utilisateurs qui sont

chargées aussi en mémoire centrale, mais progressivement au

fur et à mesure des besoins du traitement, en provenance des

périphériques.

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5. Les Périphériques

L’écran

Il permet l ’affichage de caractères et d ’images.

L’écran est divisé en domaines élémentaires nommés pixels

(contraction de picture elements) dont la couleur est codée en

fonction de l ’affichage voulu.

Le nombre de couleurs utilisables est limité par le nombre de bits

sur lesquels est codée la couleur d’un pixel.

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L’écran

Les écrans actuellement les plus répandus (caractérisés par la

taille de leur diagonale en pouces : 15,17, 19 ou 21) utilisent 3

tubes à rayons cathodiques qui excitent chacun une couche de

luminophores de couleur différente (rouge, vert ,bleu).

Pour faire du jaune on met du rouge + du vert.

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L’écran

Pour obtenir des nuances d ’une même couleur, ou de nouvelles

couleurs, en plus des 8 couleurs obtenues par combinaisons

des 3 couleurs de bases, on joue sur l ’intensité de chacune

d ’elles.

Si on gère le code de chaque couleur de chaque pixel sur un

octet, il faut 3 octets par pixel, et on peut obtenir 2 24 = 16

millions de couleurs différentes.

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L’écran

Si on sait que la résolution maximale d ’un écran 17 ’ ’ est de

1280 x 1024 pixels, et si on code la couleur de chaque pixel sur

3 octets, la taille d ’une seule image en mémoire centrale sera

de :

3 x 1280 x 1024 = 3932160 Ø soit 4 MØ

La résolution maximale d ’un écran 15 ’ ’ est de 1024 x 768

pixels, et celle d ’un 19 ’ ’ est de 1600 x 1200 pixels.

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Le disque dur

Il est composé des plusieurs plaques ( de 2 à 4) sur lesquelles on

a déposé un matériaux magnétisable en micro-zones, sur chacune

des deux faces.

Ces plaques sont solidaires d ’un même axe autour duquel elles

tournent toutes ensemble.

De petits électro-aimants (1 par face de plaque ) sont installés sur

un bras, qui par déplacement sur un rayon du disque, et rotation

du disque, permet aux électro-aimants d ’atteindre toutes les

zones magnétisables des plaques.

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Le disque dur

Le disque est enfermé dans un boîtier en salle blanche. L’altitude

des têtes de lecture/écriture est de 0.2 à 1 µm (une empreinte

digitale est de l’ordre de 5 µm, une poussière de 25 µm, un cheveu

de 75 µm)

Chaque micro-zone utilisée représente un 1 ou un 0. Au moment

de son écriture, elle est aimantée selon une orientation ou une

autre, selon que le courant passe dans un sens ou dans l’autre

dans l’entrefer de la bobine de l’électro-aimant.

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Le disque dur

L ’accès aux informations d ’un disque de plusieurs GØ est loin

d ’être direct. Pour optimiser le temps d ’accès, on lit tout un

ensemble d ’octets sans les analyser.

La surface du disque est organisée, avant sa toute première

utilisation, au formatage, en pistes concentriques, et en secteurs.

Les informations sont écrites dans un fichier qui a une adresse de

début d ’implantation qui correspond à un secteur d ’une piste.

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Le disque dur

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Le disque dur

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Le disque dur

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Les disques optiques

• CD-ROM : Compact Disc Read Only Memory

• CD-R : CD enregistrables

• CD-RW : CD ré-enregistrables

• DVD : Digital Versatile Disc, il remplacera prochainement tous les types de CD. Sa qualité

Ils sont « gravés » et lus par des lasers, selon différentes

technologies en fonction du fait qu ’ils sont enregistrables, ou

pas .

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Les disques optiques

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6. Comparatif de capacités et taux de transfert

capacités taux de transfert

mémoire centrale 256 MØ à 1 GØ 1 mot en qq. ns

disque dur 40-80 GØ 7 à 9 MØ/s

CD 650 MØ 4 à 6 MØ/s

DVD 4.7 à 8.5 GØ 8 à 13 MØ/s

disquette 1.44 MØ

Imprimante de 40 à 256 MØ 4 à 25 pages/mn (de mémoire tampon)